Le Jeune Marquis (36/x)

Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (36/x)
Au manoir des Ferrand de Sabran Amélie et Isabelle sont dans le salon où la mère retouche une robe légère sur sa fille. Pour la taquiner, chaque fois qu’elle prend des mesures avec son centimètre, elle titille les seins de la jeune femme qui dardent leurs tétons.
• Arrête de m’exciter maman, sinon je me jette sur toi et je te dévore la vulve au milieu du salon.
• Ne me dis pas des choses comme ça, j’en ai la fente qui se mouille ...
• Tant mieux ! Nous allons laisser ces travaux et nous les reprendrons après ...
Isabelle descendit du tabouret sur lequel elle était montée, et elle serra sa mère contre elle pour l’embrasser à pleine bouche. Passant sa main sous la robe de chambre de son aînée, elle glissa ses doigts sur la vulve de sa mère et dit :
• En effet, c’est déjà bien mouillé par là, je pense que nous allons bien nous amuser …
La fille entraîna la mère en la tenant par la taille, lorsqu’elles entrèrent dans la chambre, elles entendirent un charroi entrer dans la cour. Elles regardèrent par la fenêtre et Amélie s’écria :
• Mais c’est Frédéric ! Isabelle, ton frère est revenu de voyage ! Va vite prévenir le palefrenier pour qu’il vienne aider à décharger les bagages, on dirait qu’il y en a beaucoup.
La jeune femme courut dans le couloir qui menait aux communs en remontant sa blouse sur ses cuisses. Le jeune palefrenier qui nettoyait une stalle fut surpris de voir arriver la jeune Baronne les jambes à l’air. Il posa sa fourche et gagna la cour au petit trot suivi d’Isabelle.
• Ah mon fils ! Te voilà enfin de retour, tu nous manquais
• Vous aussi vous me manquiez toutes les deux
Il prit sa mère dans ses bras et claqua deux grosses bises sur ses joues. Amélie le serra fort contre elle et souffla.
• Enfin un homme de retour dans cette maison ! Quel bonheur …
Après avoir donné ses consignes au domestique, Isabelle se joignit à eux, les embrassant à tour de rôle sur tout le visage et les entraîna à l’intérieur. Le jeune homme se tourna vers le domestique et dit d’une voix forte :
• Faites très attention, tout ce matériel est très fragile. Allez le déposer dans mes appartements.
Amélie avait pose ses mains affectueusement sur les fesses de ses enfants et dit en les caressant :
• Merci de revenir près de nous Frédéric, merci de reconstituer notre famille. De là où il est, votre père doit être très heureux de nous voir réunis.
• Vous me manquiez beaucoup Isabelle et toi Maman. À vous retrouver, je vous trouve resplendissantes, je n’aurais pas dû m’absenter si longtemps.
• Ne t’en fais pas petit frère, nous allons rattraper le temps perdu ...
Alors qu’il allait déposer un baiser sur sa joue, Isabelle tourna la tête vers sa mère et le garçon et elle se trouvèrent bouche à bouche.
• Et moi alors, moi aussi je veux des vrais baisers de mon fils !
Ils éclatèrent de rire et Frédéric posa ses lèvres sur celles de sa mère. Celle ci passa sa main derrière la tête de son fils et lui donna un vrai baiser.
• C’est très agréable Maman, je n’espérais pas un accueil aussi chaleureux de votre part, j’aurais vraiment du revenir plus tôt ...
• C’est pour t’encourager à nous raconter tout ce que tu as vécu pendant ce voyage désespérément long.
• Je l’aurais fait même sans ce délicieux encouragement. Ceci dit si Isabelle veut aussi m’encourager …
Les deux femmes éclatèrent de rire et Amélie, prenant ses enfants par la main, dit en les entraînant vers les appartements du jeune homme :
• Allons voir ce que ce garçon a rapporté de ses tribulations ...
Lorsqu’ils arrivèrent ils croisèrent le charretier et le palefrenier qui venaient de déposer les derniers bagages. Frédéric mit la main dans sa poche et sortit de l’argent pour payer son transport et donna une pièce au palefrenier.
• Merci messieurs, j’espère que vous n’avez rien cassé …
• Nous avons été très soigneux Monsieur Frédéric, je vous le promet répondit le jeune palefrenier
Les deux femmes entrèrent avec le garçon et Isabelle poussa un petit cri
• Veux tu regarder Maman, quelque chose me pique ...
Amélie s’approcha d’elle et la fit tourner lentement en la tâtant partout. Ne trouvant rien, elle souleva le bas de la robe légère et passa ses mains dessous. La robe remonta haut sur les cuisses découvrant le bas ventre de la fille.
• À quoi jouez vous ?
• Nous étions en train de retoucher cette robe légère quand tu es arrivé. J’ai du oublier une épingle …
En riant, le jeune homme passa aussi ses mains sous la robe et tripota sa sœur en disant :
• Je peux chercher moi aussi ?
• Enfin Frédéric, tu pelotes ta sœur ?
• Oh tu sais, c’est pas la première fois, même si nous avons grandi et que je trouve ça plus intéressant qu’il y a quelques années …
Faisant passer d’un grand geste la robe par dessus sa tête, isabelle dit en riant. Toute nue, elle examina le tissu avec sa mère jusqu’au moment où Amélie trouva l’épingle. Isabelle remit sa robe et son frère lui dit :
• c’est très mignon tout ça … J’espère que tu accepteras de me servir de modèle …
• Tu fais aussi des photos de nus ?
• Oui ma petite Maman, j’adore ça, j’aime mettre en valeur le corps des femmes …
• Tu as des exemples à nous montrer ?
• Oui ma grande sœur. Attends un instant, j’ai un album.
Le garçon fouilla dans le tas de bagages au milieu de la pièce. Après quelques minutes de recherche, il prit un gros livre et l’ouvrit devant les deux femmes. Serrées l’une contre l’autre, la mère et la fille tournaient lentement les pages. Soudain l’aînée resta interdite devant une page
• Je vois que tu ne photographies pas que des femmes …
• Oui, dans mes pérégrinations j’ai photographié de beaux paysages, des animaux et des gens de toutes races … Mais pourquoi dis tu ça ?
• Parce qu’il y a là, un très beau spécimen de mâle …
• Et ça fait rêver ma petite maman…
Je jeune homme se pencha sur l’album et découvrit l’image d’un homme particulièrement bien pourvu par dame nature.
• Je vous trouve bien intéressées par la nature mesdames
• Tu veux me prendre comme modèle, mais que dis tu de l’académie de notre maman ?
En parlant, Isabelle avait ouvert le peignoir de sa mère, découvrant son corps entièrement nu. Elle jeta le vêtement sur le lit et fit tourner la femme sur elle même en caressant le corps de sa maîtresse au passage …
• Regarde, Maman a encore de beaux seins, avec de tétons durs … Regarde ce triangle de poils, il est soyeux …
Frédéric regardait fasciné, les mains de sa grande sœur courir sur le corps de leur mère, sans aicune pudeur. Amélie semblait y prendre grand plaisir et elle dit à son garçon :
• Tu peux me toucher, j’adore ça …
Le garçon s’approcha de sa mère et toucha sa poitrine encore ferme, lorsqu’il posa sa main sur la hanche de sa génitrice, celle ci l’attira contre elle et l’embrassa à pleine bouche
• Embrasse moi, caresse moi, il n’y a plus d’homme ici depuis trop longtemps, viens ...
Elle le guida vers la couche, s’allongea à plat dos et l’attira sur elle. Le serrant dans se bras, elle dévora sa bouche et emprisonna sa taille entre ses jambes. Isabelle, s’activa à déshabiller son frère, puis se mit nue à son tour. Passant la main entre les deux, elle saisit la verge déjà tendue et la branla lentement. Quand elle fut bien dure, elle la guida entre les cuisses de leur mère. Frédéric donna un petit coup de reins et tout son membre entra d’un seul coup dans la grotte d’amour de la femme.
• Oui, fais moi l’amour, prend moi, enfonce toi profond dans ta maman qui t’aime …
Sans se poser de question,le jeune homme amplifia ses pénétrations jusqu’à ce que sa mère jouisse dans un long gémissement ...
Comme il accélérait pour prendre sa part de plaisir, Isabelle le retint et le fit se retirer. Elle donna un gros baiser à sa mère et dit :
• Viens mon petit frère, quand nous étions adolescents tu m’as fait mouiller, mais maintenant, tu vas me faire jouir.
Isabelle se coucha sur le dos, près de sa mère qui arborait un large sourire. Elle prit ses jambes derrière les genoux et écarta ses cuisses au maximum
• Vas y frérot, ça ne risque rien, je suis déjà enceinte…
Frédéric eut l’air surpris mais ne dit rien et s’enfonça dans l’intimité de sa sœur…
• C’est magnifique. Si on m’avait dit que je prendrais du plaisir à vous voir forniquer devant moi, je n’y aurais jamais cru…
• Ma grande sœur enceinte ? Donc, il y a un homme dans le secteur …
• Il y a eu un super étalon, mais il ne nous a pas touchées depuis plus de trois mois …
• Vous ?
• Oui et notre maman aussi est grosse de se œuvres, mais il est très occupé par son bataillon, et nous ne le voyons qu’en coup de vent …
• C’est aussi pour cette raison que nous sommes ravies que tu sois là mon fils, profites en bien …
Et le garçon en profita pleinement. Après avoir honoré sa grande sœur, il se sentit encore un petit appétit pour s’occuper de sa maman, qui cria sa gratitude lorsqu’elle fut emportée par un gros orgasme ...
• Arrête de m’exciter maman, sinon je me jette sur toi et je te dévore la vulve au milieu du salon.
• Ne me dis pas des choses comme ça, j’en ai la fente qui se mouille ...
• Tant mieux ! Nous allons laisser ces travaux et nous les reprendrons après ...
Isabelle descendit du tabouret sur lequel elle était montée, et elle serra sa mère contre elle pour l’embrasser à pleine bouche. Passant sa main sous la robe de chambre de son aînée, elle glissa ses doigts sur la vulve de sa mère et dit :
• En effet, c’est déjà bien mouillé par là, je pense que nous allons bien nous amuser …
La fille entraîna la mère en la tenant par la taille, lorsqu’elles entrèrent dans la chambre, elles entendirent un charroi entrer dans la cour. Elles regardèrent par la fenêtre et Amélie s’écria :
• Mais c’est Frédéric ! Isabelle, ton frère est revenu de voyage ! Va vite prévenir le palefrenier pour qu’il vienne aider à décharger les bagages, on dirait qu’il y en a beaucoup.
La jeune femme courut dans le couloir qui menait aux communs en remontant sa blouse sur ses cuisses. Le jeune palefrenier qui nettoyait une stalle fut surpris de voir arriver la jeune Baronne les jambes à l’air. Il posa sa fourche et gagna la cour au petit trot suivi d’Isabelle.
• Ah mon fils ! Te voilà enfin de retour, tu nous manquais
• Vous aussi vous me manquiez toutes les deux
Il prit sa mère dans ses bras et claqua deux grosses bises sur ses joues. Amélie le serra fort contre elle et souffla.
• Enfin un homme de retour dans cette maison ! Quel bonheur …
Après avoir donné ses consignes au domestique, Isabelle se joignit à eux, les embrassant à tour de rôle sur tout le visage et les entraîna à l’intérieur. Le jeune homme se tourna vers le domestique et dit d’une voix forte :
• Faites très attention, tout ce matériel est très fragile. Allez le déposer dans mes appartements.
Amélie avait pose ses mains affectueusement sur les fesses de ses enfants et dit en les caressant :
• Merci de revenir près de nous Frédéric, merci de reconstituer notre famille. De là où il est, votre père doit être très heureux de nous voir réunis.
• Vous me manquiez beaucoup Isabelle et toi Maman. À vous retrouver, je vous trouve resplendissantes, je n’aurais pas dû m’absenter si longtemps.
• Ne t’en fais pas petit frère, nous allons rattraper le temps perdu ...
Alors qu’il allait déposer un baiser sur sa joue, Isabelle tourna la tête vers sa mère et le garçon et elle se trouvèrent bouche à bouche.
• Et moi alors, moi aussi je veux des vrais baisers de mon fils !
Ils éclatèrent de rire et Frédéric posa ses lèvres sur celles de sa mère. Celle ci passa sa main derrière la tête de son fils et lui donna un vrai baiser.
• C’est très agréable Maman, je n’espérais pas un accueil aussi chaleureux de votre part, j’aurais vraiment du revenir plus tôt ...
• C’est pour t’encourager à nous raconter tout ce que tu as vécu pendant ce voyage désespérément long.
• Je l’aurais fait même sans ce délicieux encouragement. Ceci dit si Isabelle veut aussi m’encourager …
Les deux femmes éclatèrent de rire et Amélie, prenant ses enfants par la main, dit en les entraînant vers les appartements du jeune homme :
• Allons voir ce que ce garçon a rapporté de ses tribulations ...
Lorsqu’ils arrivèrent ils croisèrent le charretier et le palefrenier qui venaient de déposer les derniers bagages. Frédéric mit la main dans sa poche et sortit de l’argent pour payer son transport et donna une pièce au palefrenier.
• Merci messieurs, j’espère que vous n’avez rien cassé …
• Nous avons été très soigneux Monsieur Frédéric, je vous le promet répondit le jeune palefrenier
Les deux femmes entrèrent avec le garçon et Isabelle poussa un petit cri
• Veux tu regarder Maman, quelque chose me pique ...
Amélie s’approcha d’elle et la fit tourner lentement en la tâtant partout. Ne trouvant rien, elle souleva le bas de la robe légère et passa ses mains dessous. La robe remonta haut sur les cuisses découvrant le bas ventre de la fille.
• À quoi jouez vous ?
• Nous étions en train de retoucher cette robe légère quand tu es arrivé. J’ai du oublier une épingle …
En riant, le jeune homme passa aussi ses mains sous la robe et tripota sa sœur en disant :
• Je peux chercher moi aussi ?
• Enfin Frédéric, tu pelotes ta sœur ?
• Oh tu sais, c’est pas la première fois, même si nous avons grandi et que je trouve ça plus intéressant qu’il y a quelques années …
Faisant passer d’un grand geste la robe par dessus sa tête, isabelle dit en riant. Toute nue, elle examina le tissu avec sa mère jusqu’au moment où Amélie trouva l’épingle. Isabelle remit sa robe et son frère lui dit :
• c’est très mignon tout ça … J’espère que tu accepteras de me servir de modèle …
• Tu fais aussi des photos de nus ?
• Oui ma petite Maman, j’adore ça, j’aime mettre en valeur le corps des femmes …
• Tu as des exemples à nous montrer ?
• Oui ma grande sœur. Attends un instant, j’ai un album.
Le garçon fouilla dans le tas de bagages au milieu de la pièce. Après quelques minutes de recherche, il prit un gros livre et l’ouvrit devant les deux femmes. Serrées l’une contre l’autre, la mère et la fille tournaient lentement les pages. Soudain l’aînée resta interdite devant une page
• Je vois que tu ne photographies pas que des femmes …
• Oui, dans mes pérégrinations j’ai photographié de beaux paysages, des animaux et des gens de toutes races … Mais pourquoi dis tu ça ?
• Parce qu’il y a là, un très beau spécimen de mâle …
• Et ça fait rêver ma petite maman…
Je jeune homme se pencha sur l’album et découvrit l’image d’un homme particulièrement bien pourvu par dame nature.
• Je vous trouve bien intéressées par la nature mesdames
• Tu veux me prendre comme modèle, mais que dis tu de l’académie de notre maman ?
En parlant, Isabelle avait ouvert le peignoir de sa mère, découvrant son corps entièrement nu. Elle jeta le vêtement sur le lit et fit tourner la femme sur elle même en caressant le corps de sa maîtresse au passage …
• Regarde, Maman a encore de beaux seins, avec de tétons durs … Regarde ce triangle de poils, il est soyeux …
Frédéric regardait fasciné, les mains de sa grande sœur courir sur le corps de leur mère, sans aicune pudeur. Amélie semblait y prendre grand plaisir et elle dit à son garçon :
• Tu peux me toucher, j’adore ça …
Le garçon s’approcha de sa mère et toucha sa poitrine encore ferme, lorsqu’il posa sa main sur la hanche de sa génitrice, celle ci l’attira contre elle et l’embrassa à pleine bouche
• Embrasse moi, caresse moi, il n’y a plus d’homme ici depuis trop longtemps, viens ...
Elle le guida vers la couche, s’allongea à plat dos et l’attira sur elle. Le serrant dans se bras, elle dévora sa bouche et emprisonna sa taille entre ses jambes. Isabelle, s’activa à déshabiller son frère, puis se mit nue à son tour. Passant la main entre les deux, elle saisit la verge déjà tendue et la branla lentement. Quand elle fut bien dure, elle la guida entre les cuisses de leur mère. Frédéric donna un petit coup de reins et tout son membre entra d’un seul coup dans la grotte d’amour de la femme.
• Oui, fais moi l’amour, prend moi, enfonce toi profond dans ta maman qui t’aime …
Sans se poser de question,le jeune homme amplifia ses pénétrations jusqu’à ce que sa mère jouisse dans un long gémissement ...
Comme il accélérait pour prendre sa part de plaisir, Isabelle le retint et le fit se retirer. Elle donna un gros baiser à sa mère et dit :
• Viens mon petit frère, quand nous étions adolescents tu m’as fait mouiller, mais maintenant, tu vas me faire jouir.
Isabelle se coucha sur le dos, près de sa mère qui arborait un large sourire. Elle prit ses jambes derrière les genoux et écarta ses cuisses au maximum
• Vas y frérot, ça ne risque rien, je suis déjà enceinte…
Frédéric eut l’air surpris mais ne dit rien et s’enfonça dans l’intimité de sa sœur…
• C’est magnifique. Si on m’avait dit que je prendrais du plaisir à vous voir forniquer devant moi, je n’y aurais jamais cru…
• Ma grande sœur enceinte ? Donc, il y a un homme dans le secteur …
• Il y a eu un super étalon, mais il ne nous a pas touchées depuis plus de trois mois …
• Vous ?
• Oui et notre maman aussi est grosse de se œuvres, mais il est très occupé par son bataillon, et nous ne le voyons qu’en coup de vent …
• C’est aussi pour cette raison que nous sommes ravies que tu sois là mon fils, profites en bien …
Et le garçon en profita pleinement. Après avoir honoré sa grande sœur, il se sentit encore un petit appétit pour s’occuper de sa maman, qui cria sa gratitude lorsqu’elle fut emportée par un gros orgasme ...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Enfin un deuxième homme pour seconder Amaury vraiment les nobles se moquent de l’inceste du moment qu’il y a plaisir jouissance et orgasmes. Très belle série bien écrite. Daniel

