Le Jeune Marquis (37/x)

Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (37/x)
Amaury préparait son bagage pour partir en permission quelques jours. Les semaines qui venaient de s’écouler avaient été très intenses pour lui. Le contenu de la formation avait évolué pour s’adapter aux nouvelles missions de renseignements confiées à l’escadron. Au moment où il arriva à la porte du bâtiment pour aller chercher sa monture, un soldat se précipita sur lui en lui tendant un pli.
• Mon Lieutenant, un télégramme pour vous
• Merci Caporal
Pendant que le Caporal regagnait son poste, Amaury ouvrit la missive provenant de sa mère " Attendons Vicomte au manoir, viens". Le Lieutenant eut un grand sourire et se dirigea d’un pas rapide vers l’écurie. Un jeune palefrenier lui approcha sa monture et accrocha le bagage derrière la selle. Il salua l’officier et lui souhaita une bonne permission. Amaury rendit le salut et se dirigea vers la sortie de la caserne en chantonnant. Une fois dehors, il mit sa monture au petit trot en inspirant profondément pour profiter du parfum des fleurs d’un massif auprès duquel il passait.
Tout au long du trajet, son impatience était allée croissant, et il avait même forcé sa monture sur la fin, sachant qu’elle pourrait bénéficier d’un bon repos.
Arrivé au manoir, il confia sa monture à un palefrenier et partit en courants vers le perron avec son bagage sur l’épaule. En entrant, il trouva la Marquise avec des serviettes propres sur les bras.
• Ah Amaury, tu as eu mon message !
• Oui et j’ai su le décoder, comme tu peux voir… Le travail a t il commencé ?
• Oui, depuis pas mal de temps déjà. Mais ne t’inquiètes pas, le premier enfant est presque toujours long à venir…
• Je peux la voir ?
• Certainement, je vais prévenir de ton arrivée et je reviens te chercher
• Merci Mère
Amaury posa un petit baiser sur la bouche de sa mère qui entra dans les appartements de Sophie. Quelques minutes plus tard, Géraldine refit son apparition et invita son fils à la suivre. Sophie, lui fit un beau sourire, mais enchaîna sur une grimace provoquée par une contraction. Le jeune homme posa un baiser sur le front de la future maman et lui dit quelques mots d’encouragements puis il retourna dans le hall, laissant sa mère et la sage femme s’occuper de la parturiente.
Gontrand qui l’attendait le serra sur sa poitrine en disant :
• Nous voilà au bout de notre attente. Il est temps que cet enfant voit le jour, car je suis au bout de mes forces … C’est étrange de dire ça, mais c’est hélas vrai. Je ne passe pas trois jours sans faire un malaise, et je suis certain que c’est ma volonté de voir mon héritier ou mon héritière qui me fait tenir ...
• J’espère que vous le verrez grandir Gontrand. J’espère qu’il retiendra vos premières leçons et qu’il saura qui est le Comte Gontrand Périn de Ferrières …
• Peut être ... En attendant, je te propose de venir prendre un rafraichissement avec moi et de laisser ces femmes œuvrer tranquillement.
Les deux hommes se sont installés au salon et ont bu plusieurs jus de fruits en discutant. Au bout d’un moment, Géraldine est entrée dans la pièce en disant avec un grand sourire :
• Messieurs, Monsieur le Vicomte vous attend dans les appartements de sa mère !
Gontrand saisit le bras d’Amaury et le serra très fort. Son teint était devenu terreux malgré l’immense sourire qui éclairait son visage. D’une voix faible il dit :
• Soutiens moi mon garçon, et allons voir mon héritier.
Amaury l’aida à se lever et le soutint jusqu’au chevet de Sophie. Contrairement à son époux, la jeune maman était écarlate, et reprenait son souffle après l’effort qu’elle venait de faire. Gontrand se pencha sur elle et la remercia en posant un baiser sur son front puis sur ses mains. Amaury félicita sa maîtresse avec un petit clin d’œil et ils se tournèrent tous les deux vers le berceau où le bébé s’agitait.
• Géraldine, peux tu me raccompagner au salon, ces émotions m’épuisent et il faut que je prenne quelques instants de repos avant de boire une coupe de champagne avec vous.
La belle Marquise lui prit le bras et ils quitèrent la pièce. Quelques secondes plus tard, la sage-femme sortit à son tour, en emportant les linges souillés. Émeline s’approcha de Sophie et luiapporta le bébé pour qu’elle puisse l’allaiter puis elle quitta à son tour la pièce en recommandant à la Comtesse de l’appeler au moindre besoin.
Quand ils furent seuls, Amaury se pencha sur Sophie et lui donna un doux baiser. Puis avec un petit sourire, il s’adressa au bébé qui tétait :
• J’espère que tu ne prendras pas tout pour toi, moi aussi j’adore les seins de ta maman …
• je suis impatiente d’être remise, pour pouvoir à nouveau faire l’amour avec toi, tu me manques beaucoup …
• Moi aussi j’ai faim de ton corps …
• Reste ici ce soir, je vous ai fait préparer une chambre … Fais l’amour à Géraldine comme si c’était à moi …
• Vous êtes les femmes de ma vie...
Quelques heures plus tard, Émeline vint chercher Gontrand qui s’était assoupi dans le salon et l’emmena dans les appartements de Sophie, rejoindre Amaury et Géraldine, afin de fêter la naissance di Vicomte. Quand ils entrèrent dans la pièce, Sophie était assise sur son lit avec le bébé dans les bras et Amaury remplissait des coupes de champagne. Émeline prit l’enfançon du sein de sa mère et le porta dans son lit.
Géraldine donna une coupe à Gontrand et demanda :
• Alors, cher Comte, quel prénom avez vous choisi pour votre fils ?
• Ma foi, j’ai beaucoup hésité, mais je pense que nous lui donnerons le prénom de Louis, c’était le prénom de ton père et c’était un vrai ami. En deuxième prénom, je pense lui donner Arnaud qui est le prénom de mon beau père … A moins que Sophie ait fait d’autres choix depuis que nous en avons parlé …
• C’est très bien comme ça mon cher époux. Nous sommes donc en présence du Vicomte Louis Arnaud Périn de Férières, seul héritier légitime du domaine.
Tout le monde applaudit, au risque de réveiller le nourrisson qui s’était endormi dans la pièce contiguë. La petite troupe gagna la salle à manger, laissant Sophie s’endormir pour récupérer de l’accouchement.
Après un délicieux repas, les convives se séparèrent pour gagner leurs chambres. Amaury et sa maman partirent main dans la main vers l’aile restaurée du manoir que Sophie avait fait préparer à leur intention. En entrant dans la chambre, Géraldine se colla au ventre de son fils et lui donna un gros baiser d’amour en lui frottant le dos et les fesses. En frottant son ventre contre celui du garçon elle dit :
• Te voilà totalement accompli. Tu sais merveilleusement faire l’amour, tu as engrossé plusieurs femmes dont moi et maintenant, un fils t’es né. Même si il n’est pas officiellement ton héritier, tu es quand même son géniteur …
• C’est une nouvelle responsabilité, mais dans quelques années j’épouserai peut être sophie, et je te donnerai des petits enfants…
• Quel dommage que tu ne puisses pas te donner un petit frère …
En disant ça, elle repoussa son fils vers le lit et l’y fit basculer. Elle s’allongea sur lui et se mit à lui dévorer la bouche avec passion. Amaury caressait le dos de sa mère tendrement et posa les mains sur les fesses rebondies. À travers la robe, il écartait les deux lobes en frottant le corps de sa partenaire sur sa virilité qui gonflait rapidement.
Se redressant pour le chevaucher elle détacha sa chemise et se courba pour poser quelques baiser sur la poitrine virile. Du bout de sa langue, elle titilla les mamelons de son fils en caressant sa poitrine lentement. Amaury avait passé ses mains sous la robe légère et caressait les cuisses de la femme et ses fesses par dessus la longue culotte fendue.
Arrêtant ses caresses, il déboutonna le devant de la robe maternelle. Géraldine détacha sa propre ceinture, et d’un grand geste fit passer sa robe par dessus sa tête se retrouvant en soutien-gorge et culotte longue. D’une manœuvre souple, elle enjamba son fils pour descendre du lit et détacha la ceinture du garçon. Passant au pied du lit elle saisit le bas du pantalon et le tira vers elle. Regardant quelques secondes l’énorme bosse qui déformait le caleçon, elle prit les deux jambes du vêtement et le fit descendre pour finir de dénuder son fils.
Rapidement, elle repassa sur le côté du lit et se mit à genoux contre le flanc du garçon. Se penchant sur lui, elle lui donna un baiser torride en caressant sa poitrine de sa main droite. Le garçon glissa sa main sous sa mère et caressa un sein par dessus le joli soutien-gorge. Géraldine mit fin au baiser et déposa une chaine de baisers sur la poitrine en descendant vers le ventre. De sa main, elle caressa délicatement la verge dressée. Elle prit les testicules dans sa main et les fit rouler entre ses doigts.
• Tu es un homme fait mon fils, et ces couilles gonflées ont fait de toi un père. Ta semence est puissante et tu as même engrossé ta maman. Quel dommage de ne pouvoir garder cet enfant, j’aimerais tant être enceinte de tes œuvres et vivre une grossesse près de toi…
Du bout de sa langue, elle titilla le gland turgescent. Lentement elle le coiffa de ses lèvres et en fit le tour de sa langue.
Amaury vibrait de tout son corps, gémissant doucement de bonheur les doigts dans les cheveux de sa mère. Avec une lenteur éprouvante, la Marquise emboucha la virilité de son fils qui prenait des dimensions impressionnantes. Le garçon referma ses doigts sur les cheveux de sa mère et la tira vers le haut de son corps. La femme se coucha sur lui et lui donna un baiser brûlant. Puis, se redressant, elle le chevaucha. Elle passa les mains dans son dos et dégrafa le joli soutien-gorge en dentelle.
Se penchant vers le garçon, elle l’embrassa à nouveau langoureusement. Se redressant à nouveau, elle se souleva un peu pour écarter les bords de sa culotte fendue et frotta son pubis sur celui du jeune homme, mouillant de sa cyprine le membre dur. Du bout des doigts, elle guida la verge entre ses lèvres intimes et redescendit pour s’empaler profondément sur le sexe dressé de son mâle préféré.
Amaury émit un long grognement et donna quelques coups de reins avant de basculer sur le côté pour monter sur sa partenaire qui ceintura sa taille de ses jambes. Le garçon pénétrait sa partenaire sur un rythme lent et profond. Géraldine gémissait en talonnant les fesses de son garçon pour qu’il accélère. Le jeune mâle accéléra ses pénétrations jusqu’au moment ou le couple se figea emporté par un énorme orgasme commun…
Étroitement enlacés les deux amants reprirent lentement leur souffle.
• Quel plaisir ! Dans te bras je jouis comme une folle. Tu me satisfais dans toutes les positions. C’est inouï, mais j’ai l’impression que ton sexe, est la meilleure machine pour faire jouir les femmes. Quand je te vois faire l’amour à Sophie, j’ai même l’impression que ton memebre grossit en moi…
• Ton vagin est le temple de l’amour. Quand tu le contracte pour me donner encore plus de sensations, j’ai l’impression qu’il me suce … ton corps est magnifique, et les statues les plus belles des musées sont de pales imitations de la femme à côté de toi. Tes fesses sont fermes et rondes, tes seins généreux sont aussi fermes que ceux de Sophie qui a vingt ans de moins que toi, durs comme ceux d’une adolescente …
En parlant, le garçon caressait lentement le corps de sa mère. La faisant rouler sur le ventre, il lui chatouillait le dos avec douceur, sa main allant de la naissance des cheveux dans sur la nuque jusqu’au dessous des fesses. Ses doigts coururent sur les fesses, glissant le long du sillon fessier jusqu’au pubis et remontant le long de la fente humide. Puis ils glissèrent sur l’intérieur de la cuisse jusqu’au genou et remontèrent jusqu’au temple de l’amour.
Géraldine s’étant cambrée en écartant les cuisses pour mieux goûter les caresses et elle frissonna lorsque les doigts touchèrent son clitoris. Amaury passa sa main sur l’extérieur de la jambe et saisissant la cuisse, fit remonter les fesses de sa mère. Comprenant où il voulait en venir, celle ci replia ses jambes en faisant remonter ses genoux sous elle. Le garçon passa derrière elle, et caressa la fente ruisselante de son gland avant de l’enfoncer lentement et profondément dans la féminité offerte.
La Marquise gémit en sentant le pieu de chair l’investir et marqua chaque pénétration d’un grognement grave. D’une main Amaury caressait les seins de la femme et de l’autre, il tirait sur la hanche pour s’enfoncer au maximum. Rapidement, il accéléra ses pénétrations profondes, faisant taper ses couilles gonflées contre les fesses de sa mère, jusqu’au moment où il déversa un abondant flot de sperme au fond du vagin brûlant. Géraldine émit une sorte de jappement sonore et se laissa glisser lentement sur le ventre.
Profondément imbriqués l’un dans l’autre, les deux amants repus s’endormirent...
• Mon Lieutenant, un télégramme pour vous
• Merci Caporal
Pendant que le Caporal regagnait son poste, Amaury ouvrit la missive provenant de sa mère " Attendons Vicomte au manoir, viens". Le Lieutenant eut un grand sourire et se dirigea d’un pas rapide vers l’écurie. Un jeune palefrenier lui approcha sa monture et accrocha le bagage derrière la selle. Il salua l’officier et lui souhaita une bonne permission. Amaury rendit le salut et se dirigea vers la sortie de la caserne en chantonnant. Une fois dehors, il mit sa monture au petit trot en inspirant profondément pour profiter du parfum des fleurs d’un massif auprès duquel il passait.
Tout au long du trajet, son impatience était allée croissant, et il avait même forcé sa monture sur la fin, sachant qu’elle pourrait bénéficier d’un bon repos.
Arrivé au manoir, il confia sa monture à un palefrenier et partit en courants vers le perron avec son bagage sur l’épaule. En entrant, il trouva la Marquise avec des serviettes propres sur les bras.
• Ah Amaury, tu as eu mon message !
• Oui et j’ai su le décoder, comme tu peux voir… Le travail a t il commencé ?
• Oui, depuis pas mal de temps déjà. Mais ne t’inquiètes pas, le premier enfant est presque toujours long à venir…
• Je peux la voir ?
• Certainement, je vais prévenir de ton arrivée et je reviens te chercher
• Merci Mère
Amaury posa un petit baiser sur la bouche de sa mère qui entra dans les appartements de Sophie. Quelques minutes plus tard, Géraldine refit son apparition et invita son fils à la suivre. Sophie, lui fit un beau sourire, mais enchaîna sur une grimace provoquée par une contraction. Le jeune homme posa un baiser sur le front de la future maman et lui dit quelques mots d’encouragements puis il retourna dans le hall, laissant sa mère et la sage femme s’occuper de la parturiente.
Gontrand qui l’attendait le serra sur sa poitrine en disant :
• Nous voilà au bout de notre attente. Il est temps que cet enfant voit le jour, car je suis au bout de mes forces … C’est étrange de dire ça, mais c’est hélas vrai. Je ne passe pas trois jours sans faire un malaise, et je suis certain que c’est ma volonté de voir mon héritier ou mon héritière qui me fait tenir ...
• J’espère que vous le verrez grandir Gontrand. J’espère qu’il retiendra vos premières leçons et qu’il saura qui est le Comte Gontrand Périn de Ferrières …
• Peut être ... En attendant, je te propose de venir prendre un rafraichissement avec moi et de laisser ces femmes œuvrer tranquillement.
Les deux hommes se sont installés au salon et ont bu plusieurs jus de fruits en discutant. Au bout d’un moment, Géraldine est entrée dans la pièce en disant avec un grand sourire :
• Messieurs, Monsieur le Vicomte vous attend dans les appartements de sa mère !
Gontrand saisit le bras d’Amaury et le serra très fort. Son teint était devenu terreux malgré l’immense sourire qui éclairait son visage. D’une voix faible il dit :
• Soutiens moi mon garçon, et allons voir mon héritier.
Amaury l’aida à se lever et le soutint jusqu’au chevet de Sophie. Contrairement à son époux, la jeune maman était écarlate, et reprenait son souffle après l’effort qu’elle venait de faire. Gontrand se pencha sur elle et la remercia en posant un baiser sur son front puis sur ses mains. Amaury félicita sa maîtresse avec un petit clin d’œil et ils se tournèrent tous les deux vers le berceau où le bébé s’agitait.
• Géraldine, peux tu me raccompagner au salon, ces émotions m’épuisent et il faut que je prenne quelques instants de repos avant de boire une coupe de champagne avec vous.
La belle Marquise lui prit le bras et ils quitèrent la pièce. Quelques secondes plus tard, la sage-femme sortit à son tour, en emportant les linges souillés. Émeline s’approcha de Sophie et luiapporta le bébé pour qu’elle puisse l’allaiter puis elle quitta à son tour la pièce en recommandant à la Comtesse de l’appeler au moindre besoin.
Quand ils furent seuls, Amaury se pencha sur Sophie et lui donna un doux baiser. Puis avec un petit sourire, il s’adressa au bébé qui tétait :
• J’espère que tu ne prendras pas tout pour toi, moi aussi j’adore les seins de ta maman …
• je suis impatiente d’être remise, pour pouvoir à nouveau faire l’amour avec toi, tu me manques beaucoup …
• Moi aussi j’ai faim de ton corps …
• Reste ici ce soir, je vous ai fait préparer une chambre … Fais l’amour à Géraldine comme si c’était à moi …
• Vous êtes les femmes de ma vie...
Quelques heures plus tard, Émeline vint chercher Gontrand qui s’était assoupi dans le salon et l’emmena dans les appartements de Sophie, rejoindre Amaury et Géraldine, afin de fêter la naissance di Vicomte. Quand ils entrèrent dans la pièce, Sophie était assise sur son lit avec le bébé dans les bras et Amaury remplissait des coupes de champagne. Émeline prit l’enfançon du sein de sa mère et le porta dans son lit.
Géraldine donna une coupe à Gontrand et demanda :
• Alors, cher Comte, quel prénom avez vous choisi pour votre fils ?
• Ma foi, j’ai beaucoup hésité, mais je pense que nous lui donnerons le prénom de Louis, c’était le prénom de ton père et c’était un vrai ami. En deuxième prénom, je pense lui donner Arnaud qui est le prénom de mon beau père … A moins que Sophie ait fait d’autres choix depuis que nous en avons parlé …
• C’est très bien comme ça mon cher époux. Nous sommes donc en présence du Vicomte Louis Arnaud Périn de Férières, seul héritier légitime du domaine.
Tout le monde applaudit, au risque de réveiller le nourrisson qui s’était endormi dans la pièce contiguë. La petite troupe gagna la salle à manger, laissant Sophie s’endormir pour récupérer de l’accouchement.
Après un délicieux repas, les convives se séparèrent pour gagner leurs chambres. Amaury et sa maman partirent main dans la main vers l’aile restaurée du manoir que Sophie avait fait préparer à leur intention. En entrant dans la chambre, Géraldine se colla au ventre de son fils et lui donna un gros baiser d’amour en lui frottant le dos et les fesses. En frottant son ventre contre celui du garçon elle dit :
• Te voilà totalement accompli. Tu sais merveilleusement faire l’amour, tu as engrossé plusieurs femmes dont moi et maintenant, un fils t’es né. Même si il n’est pas officiellement ton héritier, tu es quand même son géniteur …
• C’est une nouvelle responsabilité, mais dans quelques années j’épouserai peut être sophie, et je te donnerai des petits enfants…
• Quel dommage que tu ne puisses pas te donner un petit frère …
En disant ça, elle repoussa son fils vers le lit et l’y fit basculer. Elle s’allongea sur lui et se mit à lui dévorer la bouche avec passion. Amaury caressait le dos de sa mère tendrement et posa les mains sur les fesses rebondies. À travers la robe, il écartait les deux lobes en frottant le corps de sa partenaire sur sa virilité qui gonflait rapidement.
Se redressant pour le chevaucher elle détacha sa chemise et se courba pour poser quelques baiser sur la poitrine virile. Du bout de sa langue, elle titilla les mamelons de son fils en caressant sa poitrine lentement. Amaury avait passé ses mains sous la robe légère et caressait les cuisses de la femme et ses fesses par dessus la longue culotte fendue.
Arrêtant ses caresses, il déboutonna le devant de la robe maternelle. Géraldine détacha sa propre ceinture, et d’un grand geste fit passer sa robe par dessus sa tête se retrouvant en soutien-gorge et culotte longue. D’une manœuvre souple, elle enjamba son fils pour descendre du lit et détacha la ceinture du garçon. Passant au pied du lit elle saisit le bas du pantalon et le tira vers elle. Regardant quelques secondes l’énorme bosse qui déformait le caleçon, elle prit les deux jambes du vêtement et le fit descendre pour finir de dénuder son fils.
Rapidement, elle repassa sur le côté du lit et se mit à genoux contre le flanc du garçon. Se penchant sur lui, elle lui donna un baiser torride en caressant sa poitrine de sa main droite. Le garçon glissa sa main sous sa mère et caressa un sein par dessus le joli soutien-gorge. Géraldine mit fin au baiser et déposa une chaine de baisers sur la poitrine en descendant vers le ventre. De sa main, elle caressa délicatement la verge dressée. Elle prit les testicules dans sa main et les fit rouler entre ses doigts.
• Tu es un homme fait mon fils, et ces couilles gonflées ont fait de toi un père. Ta semence est puissante et tu as même engrossé ta maman. Quel dommage de ne pouvoir garder cet enfant, j’aimerais tant être enceinte de tes œuvres et vivre une grossesse près de toi…
Du bout de sa langue, elle titilla le gland turgescent. Lentement elle le coiffa de ses lèvres et en fit le tour de sa langue.
Amaury vibrait de tout son corps, gémissant doucement de bonheur les doigts dans les cheveux de sa mère. Avec une lenteur éprouvante, la Marquise emboucha la virilité de son fils qui prenait des dimensions impressionnantes. Le garçon referma ses doigts sur les cheveux de sa mère et la tira vers le haut de son corps. La femme se coucha sur lui et lui donna un baiser brûlant. Puis, se redressant, elle le chevaucha. Elle passa les mains dans son dos et dégrafa le joli soutien-gorge en dentelle.
Se penchant vers le garçon, elle l’embrassa à nouveau langoureusement. Se redressant à nouveau, elle se souleva un peu pour écarter les bords de sa culotte fendue et frotta son pubis sur celui du jeune homme, mouillant de sa cyprine le membre dur. Du bout des doigts, elle guida la verge entre ses lèvres intimes et redescendit pour s’empaler profondément sur le sexe dressé de son mâle préféré.
Amaury émit un long grognement et donna quelques coups de reins avant de basculer sur le côté pour monter sur sa partenaire qui ceintura sa taille de ses jambes. Le garçon pénétrait sa partenaire sur un rythme lent et profond. Géraldine gémissait en talonnant les fesses de son garçon pour qu’il accélère. Le jeune mâle accéléra ses pénétrations jusqu’au moment ou le couple se figea emporté par un énorme orgasme commun…
Étroitement enlacés les deux amants reprirent lentement leur souffle.
• Quel plaisir ! Dans te bras je jouis comme une folle. Tu me satisfais dans toutes les positions. C’est inouï, mais j’ai l’impression que ton sexe, est la meilleure machine pour faire jouir les femmes. Quand je te vois faire l’amour à Sophie, j’ai même l’impression que ton memebre grossit en moi…
• Ton vagin est le temple de l’amour. Quand tu le contracte pour me donner encore plus de sensations, j’ai l’impression qu’il me suce … ton corps est magnifique, et les statues les plus belles des musées sont de pales imitations de la femme à côté de toi. Tes fesses sont fermes et rondes, tes seins généreux sont aussi fermes que ceux de Sophie qui a vingt ans de moins que toi, durs comme ceux d’une adolescente …
En parlant, le garçon caressait lentement le corps de sa mère. La faisant rouler sur le ventre, il lui chatouillait le dos avec douceur, sa main allant de la naissance des cheveux dans sur la nuque jusqu’au dessous des fesses. Ses doigts coururent sur les fesses, glissant le long du sillon fessier jusqu’au pubis et remontant le long de la fente humide. Puis ils glissèrent sur l’intérieur de la cuisse jusqu’au genou et remontèrent jusqu’au temple de l’amour.
Géraldine s’étant cambrée en écartant les cuisses pour mieux goûter les caresses et elle frissonna lorsque les doigts touchèrent son clitoris. Amaury passa sa main sur l’extérieur de la jambe et saisissant la cuisse, fit remonter les fesses de sa mère. Comprenant où il voulait en venir, celle ci replia ses jambes en faisant remonter ses genoux sous elle. Le garçon passa derrière elle, et caressa la fente ruisselante de son gland avant de l’enfoncer lentement et profondément dans la féminité offerte.
La Marquise gémit en sentant le pieu de chair l’investir et marqua chaque pénétration d’un grognement grave. D’une main Amaury caressait les seins de la femme et de l’autre, il tirait sur la hanche pour s’enfoncer au maximum. Rapidement, il accéléra ses pénétrations profondes, faisant taper ses couilles gonflées contre les fesses de sa mère, jusqu’au moment où il déversa un abondant flot de sperme au fond du vagin brûlant. Géraldine émit une sorte de jappement sonore et se laissa glisser lentement sur le ventre.
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La naissance l’amour le sexe avec sa mère notre jeune géniteur n’arrête jamais surtout avec sa gourmande de mère Daniel

