Le Jeune Marquis (39/x)

Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (39/x)
Tout à sa lecture, Amaury n’entendit pas le passage secret s’ouvrir. Lorsque le personnage toussota, il fut surpris et leva le nez de son ouvrage. Son premier réflexe fut de cacher sa nudité, car au pied de son lit il vit une bonne sœur avec un loup à voilette blanc. La religieuse était plus petite que sa mère, ce qui le laissa figé, se demandant qui était là. Ça ne pouvait pas être Sophie qu’il avait vue le matin même et qui était sensiblement de la même taille que sa maman . Ce n’était pas non plus Isabelle, enceinte jusqu’aux yeux et beaucoup plus grande, ni Charlotte dans le même état…
Il s’assit sur son lit et attendit. La religieuse s’approcha le long du lit en silence, puis elle remonta sa robe jusqu’à sa taille, découvrant la toison châtain de son pubis …
Sans dire un mot, la nonne laissa tomber sa robe puis le fit se tourner vers le bord du lit et se pencha vers lui pour prendre son sexe en main. Toujours en silence, elle le branla un peu et la virilité prit rapidement du volume …
Quand il fut tendu, la religieuse se pencha un peu plus et prit le membre dressé en bouche pour une fellation lente, … Entendant un léger bruit, Amaury releva les yeux et resta interdit devant l’apparition d’une autre religieuse, portant un loup à voilette noir. À sa carrure, il reconnut sa mère. À son tour la femme releva le bas de sa robe, découvrant une toison pubienne très sombre, bien connue du garçon…
Tournant sur elle même, la deuxième religieuse se retroussa et se penchant en avant, elle offrit une vue magnifique sur ses fesses rebondies …
La première nonne, jugeant la virilité du garçon suffisamment développée repousa le jeune Marquis sur sa couche, toujours sans dire le moindre mot. Quand il fut sur le dos, elle grimpa sur le lit au dessus de lui, et se troussant elle s’empala lentement sur la verge dressée …
Amaury sentit son membre glisser dans la gaine serrée du vagin de sa partenaire et grogna de satisfaction…
La deuxième religieuse s’approcha du couple et dégrafa la robe de sa collègue avant de la faire passer par dessus sa tête. La poitrine qui apparut était moyenne mais ferme et semblait appartenir à une femme jeune. Amaury ne vit pas le visage de celle qui s’agitait sur sa verge car elle portait toujours sa cornette et son loup à voilette, mais peu lui importait.
Soudain, la jeune femme se cambra en poussant un gémissement profond son vagin se serrant autour de la virilité d’Amaury. Le garçon fit rapidement basculer sa cavalière, puis la prenant en levrette, il s’enfonça d’un coup dans la féminité ruisselante. Tenant sa partenaire par les hanches, il la besogna comme un forcené, faisant claquer son ventre contre les fesses de la fille. À son tour, il se tétanisa, enfoncé au plus profond du vagin de la fille qu’il inonda d’une belle éjaculation.
La jeune femme glissa sur le ventre en murmurant :
• Que c’est bon …
La deuxième religieuse s’approcha du jeune mâle et souffla à son oreille :
• Alors mon amour, la féminité de sœur Émeline est elle agréable à fourrer ? Maintenant, il va falloir t’occuper de la mienne, vous voir copuler m’a mis le feu entre les cuisses …
Amaury se laissa glisser sur le côté et s’allongea sur le dos près de la jeune femme. La Marquise prit la verge encore tendue en main et la branla doucement en disant à Émeline :
• Alors jeune fille, est tu contente de la prestation de mon fils bien aimé ?
• C’était merveilleux Madame la Marquise.
• Sa virilité est elle plus intéressante que celle d’Edgar ?
• Sans aucun doute. Monsieur le Jeune Marquis m’a remplie mieux que personne… Mais … vous saviez pour Edgar et moi ?
• Oui jeune fille, Amaury et moi vous avons vus dans l’écurie …
• J’avoue … Allez vous me chasser pour cette faute ?
• Pas du tout, ta seule punition sera de partager nos jeux quand nous le voudrons, et sans jamais en dire un mot à qui que ce soit…
• Je vous le jure Madame la Marquise, le plaisir que j’en tire me suffit amplement …
• Bon alors, pousse toi un peu que je puisse en profiter moi aussi ...
• Vous faites l’amour avec Monsieur votre fils ?
• Oui, et j’en suis fort aise ! Amaury me remplit aussi par tous mes trous, et j’y prends un immense plaisir. Je sais que c’est interdit par notre société, mais peu importe, je jouis comme une perdue et ça me plait …
• Heu … je pense que vous avez vraiment raison, ça n’enlève rien aux autres …
A son tour, la marquise posa sa robe et sa cornette, conservant son loup noir. Émeline la détailla les yeux écarquillés en enlevant sa cornette.
Géraldine monta sur le lit et tournant le dos à son fils, elle posa un pied de chaque côté de ses hanches. En fléchissant ses jambes, elle saisit le membre revigoré du garçon et le guida vers sa féminité en disant :
• Puisque tu aimes voir mon cul, mon fils, regarde le. Regarde ton gros mandrin entrer et sortir de mon ventre pour me donner du plaisir et en prendre. Je suis trempée,ça va rentrer tout seul, et je mouille encore plus rien qu’en y pensant …
Amaury sentit sa verge glisser dans la féminité maternelle et grogna de plaisir. Il posa ses mains sur les hanches de sa mère et l’immobilisa lorsqu’il sentit son sexe toucher le fond de celui de sa génitrice.
• Donne moi tes seins …
La belle brune se cambra en prenant appui de ses mains derrière elle et agita son bassin pour mieux s’empaler sur le pieu de chair. Amaury remonta ses mains sur la poitrine et besogna sa mère en accélérant les pénétrations.. Rapidement la marquise émit une plainte flûtée continue en serrant les dents. Près d’eux, Émeline les regardait en se caressant l’entre cuisses.
Brusquement, Géraldine émit un jappement et se crispa en vibrant de tout son corps … Amaury donna encore quelques coups de reins et se crispa en tirant très fort sur les hanches de sa mère … Les deux amants roulèrent sur le côté, faisant face à Émeline qui s’était agenouillée près du lit …
Le jeune mâle se retira de l’intimité de sa mère et demanda à la jeune fille :
• Alors jeune femme, tu voudras bien partager quelques moments avec nous ?
• Oh oui Monsieur le Marquis, j’aime beaucoup faire l’amour et vous me faites jouir très fort… Ceci fait que je reste à votre disposition avec le plus grand des plaisirs…
Amaury se leva pour aller prendre des petits verres dans un placard et une bouteille de cognac. Il posa le tout sur un guéridon, remplit les verres et invita ses compagnes à le rejoindre. Les deux femmes nues s’approchèrent de lui en se tenant la main. Amaury leur donna un verre à chacune et leva le sien pour porter un toast :
• A l’amour sous toutes ses formes, et à Émeline qui nous rejoint dans nos jeux grâce à ma délicieuse maman.
Passant derrière sa mère, il se colla à elle et prit ses seins à pleines mains
• Tu as vu Émeline comme les seins de ma mère sont beaux ?
• Oh oui Monsieur le Marquis, il sont plus gros que les miens, et je sais qu’ils sont très fermes… Madame la marquise a un corps de déesse …
Géraldine se tourna face à son garçon et s’accroupit devant lui pour prendre le membre ramolli en bouche
• Viens petite, suce le toi aussi. Nous allons lui redonner la vigueur nécessaire à la satisfaction de nos envies …
La jeune fille s’agenouilla tout contre la Marquise et approcha sa bouche. La femme passa sa main derrière la tête de la domestique et lui donna un baiser ardent … Puis, les deux bouches se séparèrent et se rejoignirent sur le gland violet de la grosse verge. Chacune leur tour, les deux femmes embouchaient la virilité tendue pour lui redonner toute sa vigueur.
Lorsque le membre eut à nouveau pris les proportions attendues, la Marquise se releva et entraîna sa compagne vers le lit. Elle s’allongea sur le dos en travers du lit et invita sa partenaire à lui dévorer l’entre cuisses. Émeline se pencha sur elle et lécha avec ardeur les lèvres intimes de sa maîtresse. Amaury profita de la position de la servante pour planter son membre revigoré dans l’intimité mouillée de la fille. Géraldine qui ronronnait sous la caresse adroite de son ancillaire, releva la tête et fit un clin d’œil à son fils en lui tirant la langue.
Amaury donna quelques coups de reins plus puissants, touchant de son gland le fond du vagin de sa jeune partenaire, puis il se retira et après avoir balayé toute la fente trempée de sa verge, il posa le bout de sa virilité sur l’anus froncé, et poussa doucement.
Émeline se crispa, mais ne dit mot, laissant entrer le gros membre dur dans son fondement. Elle s’était figée avec un grimace et retenait sa respiration. Lorsqu’elle sentit les couilles de son enculeur contre ses fesses, elle se détendit un peu et reprit sa respiration. Le garçon donna un rythme lent à ses pénétrations et sa partenaire sembla apprécier.
• Alors ma jeune amie, tu m’abandonnes ?
• Excusez moi Madame la Marquise, j’étais un peu inquiète, car Monsieur le Jeune Marquis me défonce le cul et on ne m’a jamais fait ça …
• Et comment trouves tu la chose ?
• C’est plaisant, un peu dur au début mais là, c’est très agréable et je crois que je vais jouir …
• Et Amaury, que pense t il de ce petit cul tout neuf ?
• Un délice Mère, un délice …
Comme il accélérait la cadence, Émeline se cabra et émit un râle profond en s’accrochant aux cuisses de sa maîtresse.
Le jeune mâle se retira de l’intimité de la soubrette, la poussant sur le côté pour se présenter entre les cuisses de sa mère… Lui faisant un sourire, il plaça son gland sur l’anus maternel et la pénétra d’une poussée lente jusqu’à ce que ses couilles touchent les fesses de sa merveilleuse maman.
• Hmmm, j’ai l’impression que ton membre est de plus en plus gros… c’est encore plus de plaisir.
Amaury avait plaqué les cuisses de sa mère contre sa poitrine et la besognait en souplesse, lui arrachant des gémissements de plaisir… Sentant qu’elle se resserrait sur lui, il accéléra, frappant les fesses de son ventre et se tétanisa, son pieu de chair enfoncé jusqu’au plus profond. Son orgasme éclata et il déversa un tsunami de sperme brûlant dans les entrailles de sa génitrice. Surprise, Géraldine ne put résister et fut emportée avec lui par un formidable orgasme qu’elle manifesta d’un oui sonore…
Après quelques secondes, la Marquise ayant repris son souffle elle dit :
• Mon fils, je pense qu’un jour, je vais mourir de jouissance dans tes bras… A chaque fois, je suis emportée dans les étoiles, je ne sais plus où je suis, j’ai l’impression de flotter dans le ciel sereine, apaisée, détachée de tous les soucis terrestres … toi seul sait me conduire vers cette extase … Je t’aime et je me moque de ce que pense notre société…
• Si je peux me permettre Madame la Marquise, je pense que Monsieur Amaury et un amant exceptionnel. Je vous ai regardée quand il vous prend, et vous ne mentez pas, il vous emmène dans les nuages, et j’avoue que faire l’amour avec lui est différent, on a envie qu’il nous prenne dans toutes les positions et dans tous les lieux … Et quand il me prend comme une chienne devant vous, je n’ai aucune honte … Je suis toute entière à sa disposition et il peut me prendre quand il veut …
• C’est parfait Émeline. Je n’ai pas besoin de te répéter que tout ceci n’appartient qu’à nous trois et à personne d’autre. Ne parle pas non plus des passages secrets et n’essaie pas de les trouver, seuls Amaury et moi les connaissons et ça doit rester ainsi…
Viens maintenant, allons nous débarrasser de toute cette transpiration, et laissons notre étalon se reposer …
• Un repos bien mérité Madame, Monsieur Amaury fait preuve d’une endurance exceptionnelle …
Tous trois gagnèrent la salle de bains de Jeune Marquis pour faire leurs ablutions. Pendant que la jeune servante profitait de la douche, Géraldine s’amusait avec les sexe de son fils qui reprit rapidement vigueur. Lorsqu’il fut bien tendu, elle le poussa vers la douche. Le jeune homme rejoignit la domestique et la caressa sur tout le corps, puis la prenant dans ses bras, il la souleva et la laissa redescendre lentement sur sa verge dressée. Émeline écarquilla les yeux et remonta ses jambes autour de la taille de son amant qui la besogna très vite en l’appuyant le dos contre le mur, jusqu’à ce qu’elle crie à nouveau sa jouissance. Il la reposa sur ses pieds un peu pantelante et se savonna pendant qu’elle reprenait son souffle. Ils se rincèrent ensemble et laissèrent la place à une Marquise rayonnante…
Lorsque la Marquise sortit de l’eau à son tour, ils se mirent à deux pour la sécher, puis Géraldine remit le bandeau sur les yeux de la jeune femme et elles quittèrent la pièce toujours nues, avec leur défroque de religieuse sur le bras…
Pendant leur trajet de retour Émeline remercia chaleureusement sa maîtresse pour ce moment de jouissance extraordinaire et compara Amaury au Dieu de l’amour et de la sexualité...
Il s’assit sur son lit et attendit. La religieuse s’approcha le long du lit en silence, puis elle remonta sa robe jusqu’à sa taille, découvrant la toison châtain de son pubis …
Sans dire un mot, la nonne laissa tomber sa robe puis le fit se tourner vers le bord du lit et se pencha vers lui pour prendre son sexe en main. Toujours en silence, elle le branla un peu et la virilité prit rapidement du volume …
Quand il fut tendu, la religieuse se pencha un peu plus et prit le membre dressé en bouche pour une fellation lente, … Entendant un léger bruit, Amaury releva les yeux et resta interdit devant l’apparition d’une autre religieuse, portant un loup à voilette noir. À sa carrure, il reconnut sa mère. À son tour la femme releva le bas de sa robe, découvrant une toison pubienne très sombre, bien connue du garçon…
Tournant sur elle même, la deuxième religieuse se retroussa et se penchant en avant, elle offrit une vue magnifique sur ses fesses rebondies …
La première nonne, jugeant la virilité du garçon suffisamment développée repousa le jeune Marquis sur sa couche, toujours sans dire le moindre mot. Quand il fut sur le dos, elle grimpa sur le lit au dessus de lui, et se troussant elle s’empala lentement sur la verge dressée …
Amaury sentit son membre glisser dans la gaine serrée du vagin de sa partenaire et grogna de satisfaction…
La deuxième religieuse s’approcha du couple et dégrafa la robe de sa collègue avant de la faire passer par dessus sa tête. La poitrine qui apparut était moyenne mais ferme et semblait appartenir à une femme jeune. Amaury ne vit pas le visage de celle qui s’agitait sur sa verge car elle portait toujours sa cornette et son loup à voilette, mais peu lui importait.
Soudain, la jeune femme se cambra en poussant un gémissement profond son vagin se serrant autour de la virilité d’Amaury. Le garçon fit rapidement basculer sa cavalière, puis la prenant en levrette, il s’enfonça d’un coup dans la féminité ruisselante. Tenant sa partenaire par les hanches, il la besogna comme un forcené, faisant claquer son ventre contre les fesses de la fille. À son tour, il se tétanisa, enfoncé au plus profond du vagin de la fille qu’il inonda d’une belle éjaculation.
La jeune femme glissa sur le ventre en murmurant :
• Que c’est bon …
La deuxième religieuse s’approcha du jeune mâle et souffla à son oreille :
• Alors mon amour, la féminité de sœur Émeline est elle agréable à fourrer ? Maintenant, il va falloir t’occuper de la mienne, vous voir copuler m’a mis le feu entre les cuisses …
Amaury se laissa glisser sur le côté et s’allongea sur le dos près de la jeune femme. La Marquise prit la verge encore tendue en main et la branla doucement en disant à Émeline :
• Alors jeune fille, est tu contente de la prestation de mon fils bien aimé ?
• C’était merveilleux Madame la Marquise.
• Sa virilité est elle plus intéressante que celle d’Edgar ?
• Sans aucun doute. Monsieur le Jeune Marquis m’a remplie mieux que personne… Mais … vous saviez pour Edgar et moi ?
• Oui jeune fille, Amaury et moi vous avons vus dans l’écurie …
• J’avoue … Allez vous me chasser pour cette faute ?
• Pas du tout, ta seule punition sera de partager nos jeux quand nous le voudrons, et sans jamais en dire un mot à qui que ce soit…
• Je vous le jure Madame la Marquise, le plaisir que j’en tire me suffit amplement …
• Bon alors, pousse toi un peu que je puisse en profiter moi aussi ...
• Vous faites l’amour avec Monsieur votre fils ?
• Oui, et j’en suis fort aise ! Amaury me remplit aussi par tous mes trous, et j’y prends un immense plaisir. Je sais que c’est interdit par notre société, mais peu importe, je jouis comme une perdue et ça me plait …
• Heu … je pense que vous avez vraiment raison, ça n’enlève rien aux autres …
A son tour, la marquise posa sa robe et sa cornette, conservant son loup noir. Émeline la détailla les yeux écarquillés en enlevant sa cornette.
Géraldine monta sur le lit et tournant le dos à son fils, elle posa un pied de chaque côté de ses hanches. En fléchissant ses jambes, elle saisit le membre revigoré du garçon et le guida vers sa féminité en disant :
• Puisque tu aimes voir mon cul, mon fils, regarde le. Regarde ton gros mandrin entrer et sortir de mon ventre pour me donner du plaisir et en prendre. Je suis trempée,ça va rentrer tout seul, et je mouille encore plus rien qu’en y pensant …
Amaury sentit sa verge glisser dans la féminité maternelle et grogna de plaisir. Il posa ses mains sur les hanches de sa mère et l’immobilisa lorsqu’il sentit son sexe toucher le fond de celui de sa génitrice.
• Donne moi tes seins …
La belle brune se cambra en prenant appui de ses mains derrière elle et agita son bassin pour mieux s’empaler sur le pieu de chair. Amaury remonta ses mains sur la poitrine et besogna sa mère en accélérant les pénétrations.. Rapidement la marquise émit une plainte flûtée continue en serrant les dents. Près d’eux, Émeline les regardait en se caressant l’entre cuisses.
Brusquement, Géraldine émit un jappement et se crispa en vibrant de tout son corps … Amaury donna encore quelques coups de reins et se crispa en tirant très fort sur les hanches de sa mère … Les deux amants roulèrent sur le côté, faisant face à Émeline qui s’était agenouillée près du lit …
Le jeune mâle se retira de l’intimité de sa mère et demanda à la jeune fille :
• Alors jeune femme, tu voudras bien partager quelques moments avec nous ?
• Oh oui Monsieur le Marquis, j’aime beaucoup faire l’amour et vous me faites jouir très fort… Ceci fait que je reste à votre disposition avec le plus grand des plaisirs…
Amaury se leva pour aller prendre des petits verres dans un placard et une bouteille de cognac. Il posa le tout sur un guéridon, remplit les verres et invita ses compagnes à le rejoindre. Les deux femmes nues s’approchèrent de lui en se tenant la main. Amaury leur donna un verre à chacune et leva le sien pour porter un toast :
• A l’amour sous toutes ses formes, et à Émeline qui nous rejoint dans nos jeux grâce à ma délicieuse maman.
Passant derrière sa mère, il se colla à elle et prit ses seins à pleines mains
• Tu as vu Émeline comme les seins de ma mère sont beaux ?
• Oh oui Monsieur le Marquis, il sont plus gros que les miens, et je sais qu’ils sont très fermes… Madame la marquise a un corps de déesse …
Géraldine se tourna face à son garçon et s’accroupit devant lui pour prendre le membre ramolli en bouche
• Viens petite, suce le toi aussi. Nous allons lui redonner la vigueur nécessaire à la satisfaction de nos envies …
La jeune fille s’agenouilla tout contre la Marquise et approcha sa bouche. La femme passa sa main derrière la tête de la domestique et lui donna un baiser ardent … Puis, les deux bouches se séparèrent et se rejoignirent sur le gland violet de la grosse verge. Chacune leur tour, les deux femmes embouchaient la virilité tendue pour lui redonner toute sa vigueur.
Lorsque le membre eut à nouveau pris les proportions attendues, la Marquise se releva et entraîna sa compagne vers le lit. Elle s’allongea sur le dos en travers du lit et invita sa partenaire à lui dévorer l’entre cuisses. Émeline se pencha sur elle et lécha avec ardeur les lèvres intimes de sa maîtresse. Amaury profita de la position de la servante pour planter son membre revigoré dans l’intimité mouillée de la fille. Géraldine qui ronronnait sous la caresse adroite de son ancillaire, releva la tête et fit un clin d’œil à son fils en lui tirant la langue.
Amaury donna quelques coups de reins plus puissants, touchant de son gland le fond du vagin de sa jeune partenaire, puis il se retira et après avoir balayé toute la fente trempée de sa verge, il posa le bout de sa virilité sur l’anus froncé, et poussa doucement.
Émeline se crispa, mais ne dit mot, laissant entrer le gros membre dur dans son fondement. Elle s’était figée avec un grimace et retenait sa respiration. Lorsqu’elle sentit les couilles de son enculeur contre ses fesses, elle se détendit un peu et reprit sa respiration. Le garçon donna un rythme lent à ses pénétrations et sa partenaire sembla apprécier.
• Alors ma jeune amie, tu m’abandonnes ?
• Excusez moi Madame la Marquise, j’étais un peu inquiète, car Monsieur le Jeune Marquis me défonce le cul et on ne m’a jamais fait ça …
• Et comment trouves tu la chose ?
• C’est plaisant, un peu dur au début mais là, c’est très agréable et je crois que je vais jouir …
• Et Amaury, que pense t il de ce petit cul tout neuf ?
• Un délice Mère, un délice …
Comme il accélérait la cadence, Émeline se cabra et émit un râle profond en s’accrochant aux cuisses de sa maîtresse.
Le jeune mâle se retira de l’intimité de la soubrette, la poussant sur le côté pour se présenter entre les cuisses de sa mère… Lui faisant un sourire, il plaça son gland sur l’anus maternel et la pénétra d’une poussée lente jusqu’à ce que ses couilles touchent les fesses de sa merveilleuse maman.
• Hmmm, j’ai l’impression que ton membre est de plus en plus gros… c’est encore plus de plaisir.
Amaury avait plaqué les cuisses de sa mère contre sa poitrine et la besognait en souplesse, lui arrachant des gémissements de plaisir… Sentant qu’elle se resserrait sur lui, il accéléra, frappant les fesses de son ventre et se tétanisa, son pieu de chair enfoncé jusqu’au plus profond. Son orgasme éclata et il déversa un tsunami de sperme brûlant dans les entrailles de sa génitrice. Surprise, Géraldine ne put résister et fut emportée avec lui par un formidable orgasme qu’elle manifesta d’un oui sonore…
Après quelques secondes, la Marquise ayant repris son souffle elle dit :
• Mon fils, je pense qu’un jour, je vais mourir de jouissance dans tes bras… A chaque fois, je suis emportée dans les étoiles, je ne sais plus où je suis, j’ai l’impression de flotter dans le ciel sereine, apaisée, détachée de tous les soucis terrestres … toi seul sait me conduire vers cette extase … Je t’aime et je me moque de ce que pense notre société…
• Si je peux me permettre Madame la Marquise, je pense que Monsieur Amaury et un amant exceptionnel. Je vous ai regardée quand il vous prend, et vous ne mentez pas, il vous emmène dans les nuages, et j’avoue que faire l’amour avec lui est différent, on a envie qu’il nous prenne dans toutes les positions et dans tous les lieux … Et quand il me prend comme une chienne devant vous, je n’ai aucune honte … Je suis toute entière à sa disposition et il peut me prendre quand il veut …
• C’est parfait Émeline. Je n’ai pas besoin de te répéter que tout ceci n’appartient qu’à nous trois et à personne d’autre. Ne parle pas non plus des passages secrets et n’essaie pas de les trouver, seuls Amaury et moi les connaissons et ça doit rester ainsi…
Viens maintenant, allons nous débarrasser de toute cette transpiration, et laissons notre étalon se reposer …
• Un repos bien mérité Madame, Monsieur Amaury fait preuve d’une endurance exceptionnelle …
Tous trois gagnèrent la salle de bains de Jeune Marquis pour faire leurs ablutions. Pendant que la jeune servante profitait de la douche, Géraldine s’amusait avec les sexe de son fils qui reprit rapidement vigueur. Lorsqu’il fut bien tendu, elle le poussa vers la douche. Le jeune homme rejoignit la domestique et la caressa sur tout le corps, puis la prenant dans ses bras, il la souleva et la laissa redescendre lentement sur sa verge dressée. Émeline écarquilla les yeux et remonta ses jambes autour de la taille de son amant qui la besogna très vite en l’appuyant le dos contre le mur, jusqu’à ce qu’elle crie à nouveau sa jouissance. Il la reposa sur ses pieds un peu pantelante et se savonna pendant qu’elle reprenait son souffle. Ils se rincèrent ensemble et laissèrent la place à une Marquise rayonnante…
Lorsque la Marquise sortit de l’eau à son tour, ils se mirent à deux pour la sécher, puis Géraldine remit le bandeau sur les yeux de la jeune femme et elles quittèrent la pièce toujours nues, avec leur défroque de religieuse sur le bras…
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