Le Jeune Marquis - histoire érotique

La cérémonie de mariage se déroula dans la chapelle du château sans émotion particulière et la fête qui suivit fut un succès. Chacun regagna ses terres, sauf ceux qui venaient de loin et furent logés dans les dépendances du manoir, dument préparées pour la circonstance.
Comme prévu, au cours de la réception, le Comte Gontrand Périn de Ferrières annonça son prochain mariage avec Sophie, la fille du Baron Arnaud Bertin de Ribières. L'assistance applaudit, puis félicita les futurs époux, et on porta un toast à cette union. Au bout de quelques minutes, certaines femmes présentes commencèrent à faire des commentaires à vois basse. Certaines regardaient Sophie avec un air triste en disant qu'elle n'aurait certainement pas beaucoup de nuits chaudes … La Marquise enregistra ces réflexions et continua de circuler parmi les invités.
Amaury et son épouse discutaient dans un groupe de jeunes gens, et Géraldine fit une prière pour que la nuit de noces se déroule au mieux …
Le lendemain matin, la Marquise se leva tôt pour vérifier si les domestiques avaient exécuté ses consignes et réorganisé le salon pour le petit déjeuner. Lorsque Amaury apparut, elle comprit immédiatement qu'il y avait un problème. Lorsqu'il eut terminé sa collation, elle lui fit signe de la rejoindre dans ses appartements.
Amaury la rejoignit et elle s'inquiéta
- Que se passe t il ? tu as l'air contrarié …
- Je le suis Mère, cette première nuit fut un fiasco …
- Tu n'es pas parvenu à te motiver pour honorer Caroline ?
- Non Mère, avant de la rejoindre dans mon lit, je me suis masturbé dans le cabinet de toilette en pensant fort à vous et je suis arrivé près d'elle avec un verge bien tendue. Mais elle s'est refusée à moi …
- Mais tu n'as pas insisté ?
- Si Mère, mais elle m'a dit avoir trop bu de champagne et souffrit d'un mal de tête …
- C'est dramatique … je suis désolée pour toi …
Disant ça, Géraldine entraîna son fils vers sa chambre. Face au garçon, elle l'embrassa à pleine bouche. D'une main fiévreuse Amaury déboutonna le gilet coloré de sa mère puis caressa ses seins à travers la chemise. Géraldine se détacha de lui et lui dit en se mettant à quatre pattes sur l'épais tapis :
- Je vais t'apprendre encore quelque chose …
Elle retroussa sa jupe et son jupon puis en écartant les pans de sa longue culotte fendue elle dit d'un voix rauque :
- Viens, prends moi comme ça. Mouille bien ta verge et pénètre moi profondément
Le garçon baissa son pantalon sur une érection déjà importante. Il fit glisser son gland entre les lèvres intimes de sa mère qui commençait à mouiller. Lorsque son membre fut bien raide, il appuya son gland sur le vagin de la femme et s'enfonça lentement.
- Ouiiii, prend mes hanches, ainsi tu viendras bien au fond…
Amaury amplifia ses pénétrations, puis il remonta le chemisier de sa mère et prit possession des deux seins gonflés aux pointes dures. Rapidement le jeune mêle accéléra son mouvement alors que Géraldine émettait une longue plainte flutée. Brusquement, il se tétanisa, enfoncé au maximum et se vida dans le vagin maternel
- Oooooh Mère, je voudrais être en vous chaque nuit !
Géraldine se détacha de son fils et se rendit dans le cabinet de toilette pour se rafraichir, elle se rajusta et dit au garçon :
- Cet après midi, quand nos invités seront partis, je parlerai avec Caroline… Tu te cacheras dans mon antichambre pour écouter notre conversation. Je pense que j'ai compris ce qui se passe …
- Bien Mère, j'espère que nous résoudrons le problème. Au-delà des rapports avec Caroline, j'aimerais mieux ne pas passer pour un imbécile…
- Ne t'en fais pas, j'y veille. Quand tu seras dans l'antichambre, surtout reste totalement silencieux. Regarde ce que nous faisons, et si je te fais signe tâche de comprendre et exécute toi toujours en silence…
- L'après midi venu, tous les invités avaient quitté le manoir et après un repas léger, Monsieur le Marquis décida d'aller chasser et quitta donc l'écurie sur son magnifique alezan.
Innocemment Géraldine entama une conversation légère en faisant quelques pas sur la terrasse, puis elle demanda à Elise, sa femme de chambre, de leur apporter le thé dans ses appartements. Amaury annonça qu'il se rendait aux écuries pour voir si les chevaux de l'attelage avaient été correctement bouchonnés par le nouvel aide palefrenier. Puis il se glissa dans l'antichambre de sa mère et se dissimula derrière une tenture. Lorsque la domestique eut apporté le plateau, les deux femmes se rendirent dans les appartements de la Marquise-
- Caroline, je souhaitais vous parler …
- Oui Marquise, je vous écoute …
- C'est un peu embarrassant, mais j'ai besoin de savoir comment vous ressentez ce mariage
- Je suis très honorée de faire partie de votre famille
- Certes, mais je suis un peu étonnée que vous ayez autant attendu pour prendre époux
- En fait, jusqu'à présent, j'ai refusé toutes les unions qu'on me proposait …
- Et pourquoi un tel revirement
- A cause de vous …
- A cause de moi ! mais qu'ais je fait ?
- Vous êtes très belle et je vous trouve très attirante, pour moi c'est essentiel
Caroline prit les mains de sa belle mère et l'attira contre elle avant de répondre
- J'espère que nous allons devenir très amies, je trouve que votre corps est un appel à l'amour auquel on ne peut résister, fit elle en posant un baiser sur les lèvres de la Marquise
- Je vous trouve très affectueuse, répondit Géraldine en rendant le petit baiser
- Marquise, vous me mettez le feu à l'âme et au corps : souffla la cadette en serrant son ainée dans ses bras.
Caroline colla sa bouche à celle de sa belle mère en caressant sa poitrine. Géraldine rentra dans le jeu de sa bru en lui rendant son baiser et en dégrafant sa robe pour la découvrir en chemise claire. La lourde robe glissa sur les jambes de la jeune femme et celle-ci s'empressa à déshabiller son aînée. Elle ouvrit largement le corsage de la brune et prit ses seins dans ses mains en coques pour les embrasser et lécher les tétons. S'agenouillant devant Géraldine, elle écarta les pans de la culotte fendue et posa sa bouche sur la toison sombre. Rapidement sa langue trouva son chemin et elle commença à sucer le clitoris brusquement durci. Géraldine la fit se relever et la poussa à reculons jusqu'à son lit.
Amaury était stupéfait. Vois sa mère, à moitié nue dans les bras de son épouse, provoqua chez lui une violente érection. Il se glissa silencieusement jusqu'à la porte de la chambre et continua à observer les deux femmes. Il commençait à comprendre pourquoi sa jeune épouse s'était refusée à lui, elle préférait les femmes …
Géraldine fit basculer la jeune femme sur son lit, puis elle s'installa têtes bêches sur elle, et plongea son visage entre les cuisses ouvertes. Charlotte émit un long gémissement et lécha l'entre cuisses de la femme avec enthousiasme. Géraldine se tourna su le côté en entrainant sa partenaire et se plaça sur le dos en écartant largement les cuisses. Elle passa se bras sous les jambes de Caroline te la fit s'installer a genoux sur le bord du lit. Pui elle reprit sa caresse buccale. Pendant que la jeune femme gémissait de plaisir, Géraldine agita la main et fit signe à Amaury se rapprocher.
Encore sous le coup de la sidération, Amaury s'approcha silencieusement des deux femmes. Sa mère l'encouragea du geste et tira sur son pantalon lorsqu'il fut tout près. Le garçon défit son vêtement et le laissa glisser le long de ses jambes. Géraldine saisit le membre dressé et le porta à sa bouche pour bien le mouiller, elle prit les mains du son fils et les posa sur les hanches de Caroline, puis reprenant la verge tendue en main, la dirigea vers l'intimité de sa bru… Amaury pénétra lentement sa jeune épouse, et lorsqu'il fut complètement enfoncé dans le vagin brûlant, il commença son va et vient.
Caroline sursauta en poussant une plainte … Relevant la tête elle tourna son visage vers son mari avec une expression angoissée.
- Amaury ! tu m'as fait mal …
- Certes, mais maintenant, tu n'es plus vierge et tu es ma femme …