Le joli mois de mai. 11ème partie sur Nantes
Récit érotique écrit par Krispas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2016 dans la catégorie Plus on est
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Le joli mois de mai. 11ème partie sur Nantes
NANTES
« Cultiver les plaisir de mes sens fut dans toute ma vie ma principale affaire ; je n’en ai jamais eu de plus importante. Me sentant né pour le sexe différent du mien, je l’ai toujours aimé, et je m’en suis fait aimer tant que j’ai pu. J’ai aussi aimé la bonne table avec transport et passionnément tous les objets faits pour exciter la curiosité ».
Casanova
Direction plein nord, après avoir salué nos hôtes, Christelle, Louise et moi prenons le chemin du retour. Avec ma femme comme copilote et notre nouvelle amie derrière elle, nous échangeons quelques commentaires sur ce week-end torride que nous venons de passer. Nous avons tous les trois rencontré de belles personnes et avons découverts beaucoup de choses sur nos désirs, nos fantasmes. Christelle et moi confirmons à Louise que nous en avons réalisés plusieurs grâce à Nicolas, Valérie et ces deux coquines assumées qu’elles sont avec sa sœur.
Comme nous évoquions quelques souvenirs émus tous les trois, j’ai senti plus que je ne l’ai vu ma femme et sa maîtresse se rapprocher l’une de l’autre. Louise imperceptiblement commençait à se montrer de plus en plus tendre envers Christelle qui s’abandonnait complètement.
Maintenant collée au dossier cette chipie se laissait caresser au travers de la fine toile de sa robe. Bien vite libérés de cette contrainte ses seins jaillirent, gonflés d’excitation et s’offrirent pleinement aux savantes caresses de Louise.
Alternant avec science les caresses, ses doigts passaient des seins aux épaules puis à la nuque et s’attardaient autour du cou de Christelle. Comme des papillons, ils couraient légers sur la peau parfumée de ma femme dont les yeux mi-clos et la bouche entr’ouverte disaient le plaisir. Parfois s’immisçant entre les lèvres humides de cette bouche pulpeuse ils ressortaient humides de salive et retrouvaient les pointes des seins pour tournoyer autour en douceur ou pour les pincer avec fermeté. La poitrine de Christelle commence à se soulever de plus en plus vite et d’un coup d’œil je vois battre sous sa peau le sang dans les veines de son cou. Son bassin commence à s’animer lui aussi et ses cuisses s’écartent quand elle plonge ses doigts sur son sexe que j’imagine trempé de désir. Aucun mot ne sort de leurs bouches, seules leurs respirations me parviennent et je décide de couper le son de l’autoradio pour mieux profiter de ce silence.
Quand la main gauche de Christelle plonge sur le côté du fauteuil pour y trouver la commande permettant de s’allonger, mon excitation est à son comble. Maintenant presque couchée à mes côtés, elle est caressée par Louise qui délivrée de sa ceinture de sécurité plonge sa main entre les cuisses de ma femme tout en l’embrassant avec passion. Au mépris du danger j’incline le rétroviseur intérieur vers elles pour mieux contempler le spectacle. Les mouvements du bassin de Christelle s’accélèrent pour entamer très vite une suite de contractions de moins en moins maîtrisée et elle jouit des doigts et des baisers experts de Louise dans un soupir langoureux.
Tout en se redressant au bout d’un instant elle s’exclame :
- « Comme c’était bon ! Après la bite énorme du petit jeune cet après-midi, ça me fait du bien d’être caressée avec douceur par une femme ! ».
- « J’ai bien senti que tu étais réceptive...c’est vrai que Marc est monté comme un âne et qu’il ne t’a pas ménagée... » confirme Louise avec un air d’envie dans le ton de la voix.
- « C’était très bon mais il va falloir que je me remette un peu de mes émotions ! »
- « Vous allez finir par me rendre jaloux toutes les deux, si vous continuez à parler de ce bellâtre ! » dis-je en en rajoutant un peu.
Christelle a fini par s’endormir, Louise prépare ses interventions avec son groupe de commerciaux sur son Mac book pro, la circulation est encore fluide mais je crains qu’à l’approche de Nantes les choses ne se compliquent.
Il nous aura fallu près de cinq heures pour arriver à La Baule. Epuisés nous acceptons la proposition de Louise de rester à l’hôtel avec elle plutôt que de rentrer vers Nantes. Elle connaît bien le « night auditor » qui nous accueille et comme l’hôtel n’est pas complet, il nous trouve une chambre contiguë à celle de Louise.
Après une bonne douche, nous avons repris figure humaine et nous nous retrouvons au bar. Christelle passe devant moi et lorsque nous arrivons au bar elle a plusieurs pas d’avance sur moi. Louise nous attend déjà, accompagnée de deux messieurs qui la font rire. Une coupe de champagne à la main elle est le point de mire de toute l’assemblée présente, seule jolie femme jusqu’à ce que Christelle n’arrive. Dans une jupe courte taille basse, et un tee-shirt presque trop petit pour elle ma femme attire le regard concupiscent des deux mâles et instantanément je décide de me tenir en retrait. Faisant mine de m’intéresser aux journaux posés sur une des tables je la laisse rejoindre son amie, puis je m’installe au comptoir.
Dans une petite robe noire très sobre, Louise affole les deux hommes par ses formes appétissantes et son sourire ravageur. Sûre de son charme elle en joue et en abuse même. Les présentations sont faites et je comprends que Jean-Marc et Vincent font partie du groupe qu’elle animera demain.
Deux hommes dans la trentaine, aux physiques assez agréables, plutôt drôles et un contexte favorable aux aventures. Il n’en faut pas plus à Christelle et Louise pour se révéler de véritables allumeuses. Leur numéro de charme commence par un étalage de leur plastique avantageuse. Chacune jouant avec ses armes. Christelle croise ostensiblement ses jambes musclées et, les épaules en retrait, fait ressortir sa magnifique poitrine. Louise n’est pas en reste quand elle rit en dévoilant sa gorge, ou quand elle mouille ses lèvres dans sa coupe de Champagne et les essuie de sa langue.
Le barman débonnaire, me demande ce qu’il peut me servir et ignorant qui je suis ajoute :
- « J’ai du métier et je peux vous assurer que les mecs en face ne sont pas près de dormir cette nuit, croyez-moi ! »
J’acquiesce en disant :
- « Ils ne sont pas les seuls » en m’incluant en secret dans cette nuit.
Croyant que je parle des deux femmes, il conclut en me servant :
- « Deux très belles femmes ! Je connais celle avec les cheveux rouges. Je ne l’ai jamais vue finir une soirée seule depuis qu’elle fait des séminaires ici et parfois même avec plusieurs types ! L’autre je ne la connais pas mais elle aussi doit valoir le coup ! »
Que dire sinon confirmer ?
- « J’en suis sûr ! »
Le jeune garçon chargé du service en salle ce soir, sollicité par Louise, prend à nouveau la commande et revient empourpré au bar encore sous le choc de ce qu’il vient de voir.
- « M’sieur Philippe ! Il y en a une en train de... »
- « De quoi ? »- « ...De branler le client en polo bleu ! »
Effectivement à peine cachée, Louise s’affaire sous la table à faire bander son voisin en le caressant lentement. Ma femme me regarde au même moment et se déplace vers l’autre homme en glissant sur la banquette. Sans me quitter des yeux, elle pose sa main sur la bosse impressionnante qui commence à apparaître dans le pantalon de celui qui s’appelle Vincent.
- « Qu’est-ce que je vous disais ? » me dit, blasé, « M’sieur Philippe » tout en préparant la commande.
Le serveur repart dans tous ses états, et je sirote mon verre tout en observant le manège de ma femme et de Louise.
Celle-ci a sorti d’autorité la bite du dénommé Jean-Marc et promène l’air de rien sa main sur toute sa longueur, presque machinalement en discutant avec Christelle non moins détachée de l’effet que procurent ses caresses à son voisin dont le sexe est maintenant sorti du pantalon. Lui par contre semble avoir du mal à garder un air serein et son trouble est tel que je me demande s’il ne va pas jouir tout de suite. Et effectivement dans un grognement il se vide arrosant de son sperme la main de Christelle. Le râle qu’il pousse attire inévitablement les regards sur lui, mais le naturel de Louise et l’aplomb de Christelle désamorcent la situation. Comme si de rien n’était la première continue à branler son voisin et ma femme porte avec gourmandise son index à la bouche comme si elle s’était renversée quelques gouttes de Champagne sur la main.
Ne finissant même pas son verre tout en se confondant en excuses, Vincent se lève et quitte penaud la table masquant tant bien que mal les traces de sperme sur son pantalon. Il disparaît en direction de l’escalier menant aux chambres.
Les discussions, un temps interrompues dans le bar, reprennent en même temps que le va et vient de Louise le long de la verge de Jean-Marc. Sans son hochet, Christelle se retrouve dépourvue et dans le regard qu’elle me lance je comprends sa frustration. Je me lève et sous le regard éberlué de « M’sieur Philippe » rejoins ma femme et l’embrasse fougueusement.
Je me présente par mon prénom à Jean-Marc et dans un sourire propose à Louise de continuer comme si je n’étais pas là. C’est lui qui prend la parole en disant :
- « On peut faire connaissance dans un endroit plus calme, qu’en pensez-vous... »
- « C’est parti ! » lance Louise en balayant d’un geste charmant une mèche de cheveux tombés sur son front.
Elle se lève, nous laissant à peine le temps finir nos verres. Nous lui emboîtons le pas. Elle fait rajouter les consommations sur son compte au jeune serveur encore ému et lance un baiser mutin à un « M’sieur Philippe » toujours aussi blasé.
Je fais un clin d’oeil au barman qui me semble dépité et nous prenons l’escalier les uns après les autres. Jean-Marc ferme la marche après s’être remis en condition de traverser le bar pas tout à fait désert à cette heure.
La vue de ces deux jolis culs devant moi me donne des idées et je rattrape sur les marches mes deux coquines pour leur proposer de faire subir les mêmes soins qu’au pauvre Vincent. Tout aussi excitées que moi elles en gloussent de plaisir et se mettent à dégager mon sexe du pantalon pour le porter à leurs lèvres en s’agenouillant à mes pieds. Jean-Marc est sur le palier lui aussi maintenant et cherche à reprendre un peu de vigueur en se caressant en nous matant.
Le voyant grossir de nouveau, Louise me quitte pour le prendre à son tour dans sa bouche.
Nous sommes tous les quatre dans les escaliers d’une respectable maison de la Baule en train de forniquer comme des bêtes. Nos bites suffisamment tendues à leur goût, nos femmes veulent tout de suite les sentir en elles et c’est notre amie qui en relevant sa petite robe noire offre en premier son délicieux minou à une bite de taille respectable. Sortant de son sac à mains une capote, elle lui enfile sur le sexe dans un geste rapide. Le spectacle nous enchante et Christelle ralentit le rythme de ses caresses pour profiter en même temps de la vue. Et quelle vue ! Toujours aussi belle, Louise nous offre une vue imprenable sur son cul montant et descendant sur la bite de son amant du moment, lequel empoigne les deux sphères musclées à pleines mains tout en la pénétrant avec fougue. Elle décolle littéralement du sol à chaque coup de bite et je reconnais à ses vocalises qu’elle va vite jouir. Les mouvements de son amant se font de plus en plus saccadés et dans un ultime spasme, il est emporté par son plaisir juste avant elle. Redescendant sur terre au sens propre, elle se retourne vers nous et dans un air de défi me lance :
- « À toi Pascal, de faire jouir Christelle vite et bien ! »« Vite » cela s’impose car à tout moment quelqu’un peut survenir : personnel ou client...
Mais c’est justement ce qui excite ma chère et tendre. Ces situations « dangereuses » lui plaisent toujours autant.
Elle défait le zip de sa jupe qui tombe en silence sur la moquette et me tourne le dos pour que je la prenne par derrière. Faisant face à ces deux voyeurs, je la pénètre doucement d’abord puis de plus en plus vite. Empoignant ses hanches je la prends comme un sauvage. Elle aime et se dresse sur la pointe des pieds pour faciliter ma pénétration. Il ne nous faut que quelques minutes de baise terriblement intense pour atteindre ensemble l’orgasme.
Mi jalouse, mi amusée, Louise nous lance alors :
- « C’est trop facile ! Vous êtes un vieux couple, vous vous connaissez trop bien ! »
- « Je crois que je n’ai pas tout compris ! » interroge Jean-Marc.
- « Je t’expliquerai tout à l’heure mais pour l’instant je reste un peu sur ma faim ! Allez ! Venez ! »
Et elle grimpe la dernière volée de marche jusqu’à notre étage pour s’engouffrer dans sa chambre.
Nous la rattrapons et nous jetons à sa suite sur le lit King size. Nous faisons l’amour tous les quatre jusqu’à ce que, vaincus par la fatigue, nous nous endormions.
C’est le bruit de la douche qui me réveille : il est sept heures et nous devons encore rentrer à Nantes. La semaine commence fort.
Je réveille Christelle et nous laissons Louise et Jean-Marc à leurs jeux d’eau.
Nous les retrouvons au restaurant de l’hôtel mais à des tables différentes. Lui a retrouvé ses collègues. Elle, a endossé sa tenue de consultante en relations humaines. Vincent est dans son coin, seul comme puni, à une table un peu en retrait. C’est surtout pour lui que la semaine va être compliquée.
Nous rejoignons Louise à sa table : un petit déjeuner, une bise et une promesse : se revoir, vite !
« Cultiver les plaisir de mes sens fut dans toute ma vie ma principale affaire ; je n’en ai jamais eu de plus importante. Me sentant né pour le sexe différent du mien, je l’ai toujours aimé, et je m’en suis fait aimer tant que j’ai pu. J’ai aussi aimé la bonne table avec transport et passionnément tous les objets faits pour exciter la curiosité ».
Casanova
Direction plein nord, après avoir salué nos hôtes, Christelle, Louise et moi prenons le chemin du retour. Avec ma femme comme copilote et notre nouvelle amie derrière elle, nous échangeons quelques commentaires sur ce week-end torride que nous venons de passer. Nous avons tous les trois rencontré de belles personnes et avons découverts beaucoup de choses sur nos désirs, nos fantasmes. Christelle et moi confirmons à Louise que nous en avons réalisés plusieurs grâce à Nicolas, Valérie et ces deux coquines assumées qu’elles sont avec sa sœur.
Comme nous évoquions quelques souvenirs émus tous les trois, j’ai senti plus que je ne l’ai vu ma femme et sa maîtresse se rapprocher l’une de l’autre. Louise imperceptiblement commençait à se montrer de plus en plus tendre envers Christelle qui s’abandonnait complètement.
Maintenant collée au dossier cette chipie se laissait caresser au travers de la fine toile de sa robe. Bien vite libérés de cette contrainte ses seins jaillirent, gonflés d’excitation et s’offrirent pleinement aux savantes caresses de Louise.
Alternant avec science les caresses, ses doigts passaient des seins aux épaules puis à la nuque et s’attardaient autour du cou de Christelle. Comme des papillons, ils couraient légers sur la peau parfumée de ma femme dont les yeux mi-clos et la bouche entr’ouverte disaient le plaisir. Parfois s’immisçant entre les lèvres humides de cette bouche pulpeuse ils ressortaient humides de salive et retrouvaient les pointes des seins pour tournoyer autour en douceur ou pour les pincer avec fermeté. La poitrine de Christelle commence à se soulever de plus en plus vite et d’un coup d’œil je vois battre sous sa peau le sang dans les veines de son cou. Son bassin commence à s’animer lui aussi et ses cuisses s’écartent quand elle plonge ses doigts sur son sexe que j’imagine trempé de désir. Aucun mot ne sort de leurs bouches, seules leurs respirations me parviennent et je décide de couper le son de l’autoradio pour mieux profiter de ce silence.
Quand la main gauche de Christelle plonge sur le côté du fauteuil pour y trouver la commande permettant de s’allonger, mon excitation est à son comble. Maintenant presque couchée à mes côtés, elle est caressée par Louise qui délivrée de sa ceinture de sécurité plonge sa main entre les cuisses de ma femme tout en l’embrassant avec passion. Au mépris du danger j’incline le rétroviseur intérieur vers elles pour mieux contempler le spectacle. Les mouvements du bassin de Christelle s’accélèrent pour entamer très vite une suite de contractions de moins en moins maîtrisée et elle jouit des doigts et des baisers experts de Louise dans un soupir langoureux.
Tout en se redressant au bout d’un instant elle s’exclame :
- « Comme c’était bon ! Après la bite énorme du petit jeune cet après-midi, ça me fait du bien d’être caressée avec douceur par une femme ! ».
- « J’ai bien senti que tu étais réceptive...c’est vrai que Marc est monté comme un âne et qu’il ne t’a pas ménagée... » confirme Louise avec un air d’envie dans le ton de la voix.
- « C’était très bon mais il va falloir que je me remette un peu de mes émotions ! »
- « Vous allez finir par me rendre jaloux toutes les deux, si vous continuez à parler de ce bellâtre ! » dis-je en en rajoutant un peu.
Christelle a fini par s’endormir, Louise prépare ses interventions avec son groupe de commerciaux sur son Mac book pro, la circulation est encore fluide mais je crains qu’à l’approche de Nantes les choses ne se compliquent.
Il nous aura fallu près de cinq heures pour arriver à La Baule. Epuisés nous acceptons la proposition de Louise de rester à l’hôtel avec elle plutôt que de rentrer vers Nantes. Elle connaît bien le « night auditor » qui nous accueille et comme l’hôtel n’est pas complet, il nous trouve une chambre contiguë à celle de Louise.
Après une bonne douche, nous avons repris figure humaine et nous nous retrouvons au bar. Christelle passe devant moi et lorsque nous arrivons au bar elle a plusieurs pas d’avance sur moi. Louise nous attend déjà, accompagnée de deux messieurs qui la font rire. Une coupe de champagne à la main elle est le point de mire de toute l’assemblée présente, seule jolie femme jusqu’à ce que Christelle n’arrive. Dans une jupe courte taille basse, et un tee-shirt presque trop petit pour elle ma femme attire le regard concupiscent des deux mâles et instantanément je décide de me tenir en retrait. Faisant mine de m’intéresser aux journaux posés sur une des tables je la laisse rejoindre son amie, puis je m’installe au comptoir.
Dans une petite robe noire très sobre, Louise affole les deux hommes par ses formes appétissantes et son sourire ravageur. Sûre de son charme elle en joue et en abuse même. Les présentations sont faites et je comprends que Jean-Marc et Vincent font partie du groupe qu’elle animera demain.
Deux hommes dans la trentaine, aux physiques assez agréables, plutôt drôles et un contexte favorable aux aventures. Il n’en faut pas plus à Christelle et Louise pour se révéler de véritables allumeuses. Leur numéro de charme commence par un étalage de leur plastique avantageuse. Chacune jouant avec ses armes. Christelle croise ostensiblement ses jambes musclées et, les épaules en retrait, fait ressortir sa magnifique poitrine. Louise n’est pas en reste quand elle rit en dévoilant sa gorge, ou quand elle mouille ses lèvres dans sa coupe de Champagne et les essuie de sa langue.
Le barman débonnaire, me demande ce qu’il peut me servir et ignorant qui je suis ajoute :
- « J’ai du métier et je peux vous assurer que les mecs en face ne sont pas près de dormir cette nuit, croyez-moi ! »
J’acquiesce en disant :
- « Ils ne sont pas les seuls » en m’incluant en secret dans cette nuit.
Croyant que je parle des deux femmes, il conclut en me servant :
- « Deux très belles femmes ! Je connais celle avec les cheveux rouges. Je ne l’ai jamais vue finir une soirée seule depuis qu’elle fait des séminaires ici et parfois même avec plusieurs types ! L’autre je ne la connais pas mais elle aussi doit valoir le coup ! »
Que dire sinon confirmer ?
- « J’en suis sûr ! »
Le jeune garçon chargé du service en salle ce soir, sollicité par Louise, prend à nouveau la commande et revient empourpré au bar encore sous le choc de ce qu’il vient de voir.
- « M’sieur Philippe ! Il y en a une en train de... »
- « De quoi ? »- « ...De branler le client en polo bleu ! »
Effectivement à peine cachée, Louise s’affaire sous la table à faire bander son voisin en le caressant lentement. Ma femme me regarde au même moment et se déplace vers l’autre homme en glissant sur la banquette. Sans me quitter des yeux, elle pose sa main sur la bosse impressionnante qui commence à apparaître dans le pantalon de celui qui s’appelle Vincent.
- « Qu’est-ce que je vous disais ? » me dit, blasé, « M’sieur Philippe » tout en préparant la commande.
Le serveur repart dans tous ses états, et je sirote mon verre tout en observant le manège de ma femme et de Louise.
Celle-ci a sorti d’autorité la bite du dénommé Jean-Marc et promène l’air de rien sa main sur toute sa longueur, presque machinalement en discutant avec Christelle non moins détachée de l’effet que procurent ses caresses à son voisin dont le sexe est maintenant sorti du pantalon. Lui par contre semble avoir du mal à garder un air serein et son trouble est tel que je me demande s’il ne va pas jouir tout de suite. Et effectivement dans un grognement il se vide arrosant de son sperme la main de Christelle. Le râle qu’il pousse attire inévitablement les regards sur lui, mais le naturel de Louise et l’aplomb de Christelle désamorcent la situation. Comme si de rien n’était la première continue à branler son voisin et ma femme porte avec gourmandise son index à la bouche comme si elle s’était renversée quelques gouttes de Champagne sur la main.
Ne finissant même pas son verre tout en se confondant en excuses, Vincent se lève et quitte penaud la table masquant tant bien que mal les traces de sperme sur son pantalon. Il disparaît en direction de l’escalier menant aux chambres.
Les discussions, un temps interrompues dans le bar, reprennent en même temps que le va et vient de Louise le long de la verge de Jean-Marc. Sans son hochet, Christelle se retrouve dépourvue et dans le regard qu’elle me lance je comprends sa frustration. Je me lève et sous le regard éberlué de « M’sieur Philippe » rejoins ma femme et l’embrasse fougueusement.
Je me présente par mon prénom à Jean-Marc et dans un sourire propose à Louise de continuer comme si je n’étais pas là. C’est lui qui prend la parole en disant :
- « On peut faire connaissance dans un endroit plus calme, qu’en pensez-vous... »
- « C’est parti ! » lance Louise en balayant d’un geste charmant une mèche de cheveux tombés sur son front.
Elle se lève, nous laissant à peine le temps finir nos verres. Nous lui emboîtons le pas. Elle fait rajouter les consommations sur son compte au jeune serveur encore ému et lance un baiser mutin à un « M’sieur Philippe » toujours aussi blasé.
Je fais un clin d’oeil au barman qui me semble dépité et nous prenons l’escalier les uns après les autres. Jean-Marc ferme la marche après s’être remis en condition de traverser le bar pas tout à fait désert à cette heure.
La vue de ces deux jolis culs devant moi me donne des idées et je rattrape sur les marches mes deux coquines pour leur proposer de faire subir les mêmes soins qu’au pauvre Vincent. Tout aussi excitées que moi elles en gloussent de plaisir et se mettent à dégager mon sexe du pantalon pour le porter à leurs lèvres en s’agenouillant à mes pieds. Jean-Marc est sur le palier lui aussi maintenant et cherche à reprendre un peu de vigueur en se caressant en nous matant.
Le voyant grossir de nouveau, Louise me quitte pour le prendre à son tour dans sa bouche.
Nous sommes tous les quatre dans les escaliers d’une respectable maison de la Baule en train de forniquer comme des bêtes. Nos bites suffisamment tendues à leur goût, nos femmes veulent tout de suite les sentir en elles et c’est notre amie qui en relevant sa petite robe noire offre en premier son délicieux minou à une bite de taille respectable. Sortant de son sac à mains une capote, elle lui enfile sur le sexe dans un geste rapide. Le spectacle nous enchante et Christelle ralentit le rythme de ses caresses pour profiter en même temps de la vue. Et quelle vue ! Toujours aussi belle, Louise nous offre une vue imprenable sur son cul montant et descendant sur la bite de son amant du moment, lequel empoigne les deux sphères musclées à pleines mains tout en la pénétrant avec fougue. Elle décolle littéralement du sol à chaque coup de bite et je reconnais à ses vocalises qu’elle va vite jouir. Les mouvements de son amant se font de plus en plus saccadés et dans un ultime spasme, il est emporté par son plaisir juste avant elle. Redescendant sur terre au sens propre, elle se retourne vers nous et dans un air de défi me lance :
- « À toi Pascal, de faire jouir Christelle vite et bien ! »« Vite » cela s’impose car à tout moment quelqu’un peut survenir : personnel ou client...
Mais c’est justement ce qui excite ma chère et tendre. Ces situations « dangereuses » lui plaisent toujours autant.
Elle défait le zip de sa jupe qui tombe en silence sur la moquette et me tourne le dos pour que je la prenne par derrière. Faisant face à ces deux voyeurs, je la pénètre doucement d’abord puis de plus en plus vite. Empoignant ses hanches je la prends comme un sauvage. Elle aime et se dresse sur la pointe des pieds pour faciliter ma pénétration. Il ne nous faut que quelques minutes de baise terriblement intense pour atteindre ensemble l’orgasme.
Mi jalouse, mi amusée, Louise nous lance alors :
- « C’est trop facile ! Vous êtes un vieux couple, vous vous connaissez trop bien ! »
- « Je crois que je n’ai pas tout compris ! » interroge Jean-Marc.
- « Je t’expliquerai tout à l’heure mais pour l’instant je reste un peu sur ma faim ! Allez ! Venez ! »
Et elle grimpe la dernière volée de marche jusqu’à notre étage pour s’engouffrer dans sa chambre.
Nous la rattrapons et nous jetons à sa suite sur le lit King size. Nous faisons l’amour tous les quatre jusqu’à ce que, vaincus par la fatigue, nous nous endormions.
C’est le bruit de la douche qui me réveille : il est sept heures et nous devons encore rentrer à Nantes. La semaine commence fort.
Je réveille Christelle et nous laissons Louise et Jean-Marc à leurs jeux d’eau.
Nous les retrouvons au restaurant de l’hôtel mais à des tables différentes. Lui a retrouvé ses collègues. Elle, a endossé sa tenue de consultante en relations humaines. Vincent est dans son coin, seul comme puni, à une table un peu en retrait. C’est surtout pour lui que la semaine va être compliquée.
Nous rejoignons Louise à sa table : un petit déjeuner, une bise et une promesse : se revoir, vite !
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