LE JOLI MOIS DE MAI : 14ème épisode.
Récit érotique écrit par Krispas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2016 dans la catégorie Plus on est
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LE JOLI MOIS DE MAI : 14ème épisode.
Depuis deux mois nous avons réservé nos places pour un concert à Pornichet. Dès la fin de la journée, vendredi soir nous filons vers la côte et rejoignons l’hôtel très anonyme que j’ai trouvé en périphérie. Rien d’original dans l’établissement, il ne s’agit après tout que d’y passer une nuit. Après avoir déposé nos affaires et en attendant le spectacle, nous nous promenons sur le front de mer. La météo n’est pas très agréable. Un petit seize degrés avec du vent et une atmosphère humide. Même pas de quoi se poser sur le sable en regardant la mer.
Nous nous replions dans un café et commandons un thé pour Christelle et un café pour moi. La semaine a été difficile, avec pas mal de tracas au boulot. Je suis fatigué et je compte sur la caféine pour me donner un petit coup de fouet.
Nous rejoignons la salle de « Quai des arts » dans les temps. En dépit de la qualité de la programmation il y a quelques places vides, mais nous passons une très bonne soirée.
Fin de spectacle, retour à la voiture sous une petite pluie fine. Nous trouvons une pizzeria dans une rue piétonne. La déco est quelconque mais il y a du monde. Les pizzas sont copieuses et pas trop chères. La serveuse est assez jolie et malgré ma discrétion Christelle perçoit mon intérêt pour elle. Elle commence à me chambrer et, tout en jouant à l’épouse jalouse, commence à m’allumer. Son pied glisse contre ma jambe, elle lèche ostensiblement le couteau entre chaque bouchée de pizza et chaque gorgée de vin est un prétexte pour passer sa langue sur ses lèvres de manière suggestive. Je la connais bien ma Chérie. Je sais que nos nuits à l’hôtel lui font toujours de l’effet. L’attrait de l’inconnu sûrement. Lorsque nous quittons l’établissement sous son insistance, je sais bien qu’elle a envie de faire l’amour et mon comportement vis à vis de la jeune serveuse a passablement ajouté à son excitation :
- « Tu vas voir ce que c’est que l’expérience. Ta petite jeunette peut aller se rhabiller par rapport à ce que peut te faire ta femme de cinquante ans... »
Dehors, la pluie calme un peu nos ardeurs et nous décidons de rentrer directement à l’hôtel. La météo n’est pas propice à des ébats en extérieur comme nous les aimons. Il y fait plus chaud et nous serons plus tranquilles...
Nous retrouvons notre réceptionniste en grande discussion avec un client, au sujet d’une réservation.
Un peu en retrait nous patientons pour obtenir notre clé. L’homme en question, poli, se propose de nous laisser passer devant puisqu’il semble y avoir un problème d’attribution de chambre en ce qui le concerne.
Christelle passe devant et je constate que le monsieur ne se gêne pas pour l’observer sous toutes les coutures. Discrètement mais efficacement il évalue ce que la tenue assez sobre de Christelle lui laisse deviner. Jean taille basse un peu délavé, bottines pointues, caraco et boléro noirs, l’imper humide retenu négligemment à la saignée du coude.
Plutôt bel homme selon les critères de ma femme, le client est grand, assez massif, il fait dans le mètre quatre-vingt-dix et fait sûrement dans les quatre-vingt-dix kilos. Petite barbe de trois jours poivre et sel, bien entretenue sur un visage assez anguleux. Une forte mâchoire et des yeux très vifs. Intelligent, et habitué à ne pas s’en laisser compter d’après ce que nous avons entendu de son échange avec le réceptionniste.
- « Je vous en prie. Vous êtes ce qui m’arrive de mieux depuis ce matin, concède-t-il en regardant Christelle avec un sourire. »
- « Elle minaude une gentillesse en retour, appréciant le savoir-vivre du monsieur qui a vite jaugé à qui il a affaire.»
Il faut dire qu’elle est plutôt échauffée par nos caresses au restaurant et la perspective de baiser dans un nouveau lit. La flamme qui brille dans son regard ne passe pas inaperçue pour ceux qui savent regarder. Le temps que nous obtenions notre clé, elle recule et adopte cette position que je lui connais quand elle est séduite et qu’elle désire un homme. Les mains sur les hanches, le bassin un peu en avant, elle ouvre sa jambe droite comme le font les danseuses classiques en présentant l’intérieur de son pied. Les seins en avant, elle offre, là encore pour qui sait le décoder, un langage non verbal explicite : « toi, tu me plais ! »
- « Chambre deux cent cinq ! »
Presque au même moment, après avoir retrouvé le fax de réservation disparu, l’employé décide d’attribuer à l’homme la deux cent trois.
Nous passons donc devant en offrant à notre voisin de chambrée l’occasion de vérifier un peu mieux la plastique de Christelle. Je joue le jeu en montant les marches, légèrement décalé par rapport à elle. Il a ainsi tout le loisir de mater ces jolies fesses qui se balancent devant lui.
Nous atteignons notre chambre et lui souhaitons une bonne nuit. Cette fois c’est Christelle qui le jauge alors qu’il regagne, quelques mètres plus loin, son lit. Nous retrouvons nos affaires et nous mettons à l’aise avant de plonger sur le lit, à moitié nus. En sous-vêtements noirs ma femme est terriblement désirable. Elle le sait et profite de tous ses charmes pour me rendre à moitié fou. Allongée sur le dos, les cuisses entrouvertes, tout à fait offerte, elle commence à promener sur son sexe ses doigts, jusqu’à provoquer des mouvements très suggestifs du bassin.
Je m’agenouille à côté d’elle et commence moi-même à me tripoter, sans la quitter du regard. Dans le silence, nous commençons ainsi nos préliminaires et commençons à percevoir l’environnement sonore de l’hôtel. Si le lit est spacieux, il couine un peu à chacun de nos mouvements. Tout comme celui de notre voisin dont la télé produit un bruit de fond dont nous percevons la nature : une retransmission sportive quelconque. Complices nous devinons Christelle et moi qu’il vient de se laisser tomber de l’autre côté de la cloison sur son propre lit. S’il ne nous écoute pas il ne va pas tarder à se rendre compte de notre activité du moment.
- « Attend on va voir... »
Et elle décide d’augmenter le volume sonore de ses manifestations de plaisir. Elle force un peu le trait en geignant et en soupirant tout en continuant à se caresser. Ses propres doigts ne lui suffisant plus et comme elle a à sa disposition mon sexe tendu vers elle, elle s’en saisit à pleine bouche et m’avale en grognant.
Dans le silence, nos ébats sont forcément entendus autour de nous et notamment de notre voisin immédiat.
D’ailleurs, sa télé vient de s’éteindre à moins qu’il n’ait baissé le son. Je me prends au jeu moi-même et commence à encourager Christelle en commentant ses caresses :
- « Continue, continue, continue mon amour, continue encore comme ça... Oui c’est bon... »
Je sens bien que ses caresses combinées à la situation commencent à m’exciter dangereusement. Aussi je reprends la main et la saisissant par la taille, je la présente à ma bouche pour la caresser à mon tour. D’une main j’écarte son Tanga et commence à grands coups de langue à l’amener à son tour à s’exprimer :
- « Oh !» crie-t-elle, presque surprise par mon empressement.
Bien vite ses gémissements deviennent de plus en plus clairs.
C’est un feu d’artifice de sons explicites qui monte de sa gorge. Elle en rajoute, la coquine et commence à lancer des vocalises de plus en plus fortes. Ce petit jeu m’excite et j’imagine notre voisin en train de se branler de l’autre côté de la cloison. À sa place j’en ferais de même. Christelle finit au bout de quelques instants par jouir sans se forcer. Lorsque je la prends elle est brûlante et mouille comme une folle. Fatigué j’éprouve les plus grandes difficultés à me retenir et... je finis par me vider contre mon gré et au grand dam de Christelle qui commençait à monter en puissance.
Dépité par ce moment de faiblesse, je ne sais trop comment faire pour rattraper ma bourde quand notre voisin manifeste involontairement sa présence derrière le mur. Le bruit de quelque chose qui tombe dans sa chambre est bientôt suivi d’une série de craquements sonores explicites. Peut-être était-il sur son lit, l’oreille collée au mur.
Mon regard croise celui de Christelle et je la comprends sans qu’elle ne dise un seul mot. Afin de tester si notre intuition est bonne, je me lève et suffisamment fort je tourne la clé de la porte et l’entrebâille. Je retourne sur le lit et signale à voix haute comme si je me parlais :
- « La porte est ouverte... »
Silence... Grincements sur le lit... silence...
Je sais que nous avons visé juste quand nous entendons dans le couloir jouer la serrure de la chambre deux cent trois. Au bout de quelques secondes qui nous ont paru extrêmement longues. Nous voyons de notre lit, la porte s’ouvrir et notre apparaît pieds nus, en pantalon, la chemise négligemment ouverte.
D’une voix grave il nous salue :
- « Re-bonsoir ! J’ai un peu de mal à dormir... les chambres ne sont pas très bien isolées. »
- « Quel dommage ! Nous non plus ne trouvons pas le sommeil... vous avez bien fait de nous rejoindre...euh ? »
- « Sam... »
Et il referme la porte derrière lui.
Nous devons lui offrir un spectacle assez inattendu. Ma femme en sous-vêtements, les seins sortis de son soutien-gorge en ont comme plus de volume, leurs pointes brunes comme bandées. Moi-même assis en tailleur à côté d’elle, nu comme un ver, le sexe encore humide de mon éjaculation intempestive.
Il défait d’un geste le cran de sa ceinture. Comme je m’en doutais il nous apparaît nu, dans un état plus glorieux que le mien, dès que son pantalon tombe. N’en demandant pas tant Christelle saute sur ses genoux et s’approche de lui pour l’avaler d’un coup. Il lui saisit les cheveux et l’accompagne dans ses mouvements. Basculant sa tête vers l’arrière, il ne peut retenir un murmure de satisfaction quand il sent courir la langue de ma femme sur son gland circoncis. Tout en refermant sa bouche sur lui elle le pompe rageusement en creusant les joues. Il bande maintenant comme un turc et laissant glisser ses mains sur la poitrine offerte devant lui, empoigne ces seins sans ménagement entre ses doigts épais. Il se recule et nos regards se croisent, sans la moindre gêne il m’apostrophe en me tutoyant :
- « Tu as des capotes ? »
Il ne se doute sûrement pas que nous en faisons une consommation débridée depuis maintenant près d’un mois. Entre nos amis d’Angers, du Médoc, nos aventures avec Louise et nos partenaires échangistes, Mannix est devenu notre compagnon quotidien.
Je me lève et sachant qu’il y en a, fouille dans la poche extérieure du sac de Christelle. J’en extrais une poignée et je tends à notre nouvel ami la main pour qu’il se serve. Habile, il déchire avec les dents l’enveloppe, en sort le préservatif et se l’enfile en le déroulant jusqu’au bout. Sans être bien monté, il a une bite de taille honorable et à voir les yeux de Christelle qui louchent dessus, tout à fait suffisante.
- « Viens ! » lui dit-elle d’un ton autoritaire en se mettant en levrette.
Lui tournant le dos, elle lui offre son corps dans lequel il plonge d’un grand mouvement du bassin. Lui attrapant les fesses il commence à la limer, consciencieusement. Je commence à reprendre un peu de vigueur en les regardant tous les deux et propose ma bite à la bouche de ma femme. Prise par ses deux orifices, elle s’abandonne totalement en roulant des yeux sous les assauts du plaisir. Les hôtels lui plaisaient déjà mais ce soir, elle est comblée par cette rencontre fortuite. Avec une régularité de métronome son amant la pilonne et à chaque fois comme une onde de choc parcourt ses fesses. Heureusement qu’elle à la bouche pleine sinon tout l’étage en profiterait.
Pour varier les plaisirs mais toujours sans la consulter, Sam couche ma femme sur le lit, l’allonge sur le côté et écartant ses jambes s’emboîte en elle. Elle me reprend dans sa bouche après avoir eu juste le temps de s’exprimer en disant :
- « Oh oui, c’est bon ! »
Prise dans cette position pendant quelques minutes elle commence à chavirer dans une autre dimension et moi-même ayant totalement recouvré mes moyens je propose à mon acolyte une double pénétration :
- « On va la prendre tous les deux ensemble. » lui dis-je.
J’imaginais une double pénétration anale et vaginale mais voyant qu’il ne bougeait pas, j’ai compris qu’il imaginait que nous plongerions tous les deux dans un seul orifice. Sans s’extraire de son sexe, il me permet de le rejoindre en s’écartant un peu et je la pénètre à mon tour.
C’en est trop pour Christelle qui après quelques secondes de ce traitement inédit jouit dans un cri rauque malgré l’oreiller dans lequel elle a enfoui son visage.
Sam jouit tout de suite après et lorsqu’il s’extrait d’elle, j’ai tout le loisir de la prendre par derrière et de nouveau la faire crier de plaisir. Pour la deuxième fois elle me fait jouir dans le même élan.
Christelle, le cul encore plein de mon sperme, se relève et propose sa bouche à notre voisin pour le sucer jusqu’à la dernière goutte.
Allongé à ses côtés, je la vois redonner de la vigueur à cette bite, qui, je le sens va encore la faire jouir.
Son enthousiasme à le faire à nouveau grossir fait plaisir à voir et, heureux de l’aubaine, Sam se prête au jeu expert de cette amante inattendue. Notre nuit à trois ne fait que commencer.
Le lendemain matin notre ami a disparu nous laissant très élégamment ses coordonnées sur une carte de visite avec un petit mot :
« Merci à tous les deux pour cette nuit. J’aurai plaisir à vous retrouver en d’autres circonstances quand vous le voudrez. Faites-moi signe. Sam »
Nous nous replions dans un café et commandons un thé pour Christelle et un café pour moi. La semaine a été difficile, avec pas mal de tracas au boulot. Je suis fatigué et je compte sur la caféine pour me donner un petit coup de fouet.
Nous rejoignons la salle de « Quai des arts » dans les temps. En dépit de la qualité de la programmation il y a quelques places vides, mais nous passons une très bonne soirée.
Fin de spectacle, retour à la voiture sous une petite pluie fine. Nous trouvons une pizzeria dans une rue piétonne. La déco est quelconque mais il y a du monde. Les pizzas sont copieuses et pas trop chères. La serveuse est assez jolie et malgré ma discrétion Christelle perçoit mon intérêt pour elle. Elle commence à me chambrer et, tout en jouant à l’épouse jalouse, commence à m’allumer. Son pied glisse contre ma jambe, elle lèche ostensiblement le couteau entre chaque bouchée de pizza et chaque gorgée de vin est un prétexte pour passer sa langue sur ses lèvres de manière suggestive. Je la connais bien ma Chérie. Je sais que nos nuits à l’hôtel lui font toujours de l’effet. L’attrait de l’inconnu sûrement. Lorsque nous quittons l’établissement sous son insistance, je sais bien qu’elle a envie de faire l’amour et mon comportement vis à vis de la jeune serveuse a passablement ajouté à son excitation :
- « Tu vas voir ce que c’est que l’expérience. Ta petite jeunette peut aller se rhabiller par rapport à ce que peut te faire ta femme de cinquante ans... »
Dehors, la pluie calme un peu nos ardeurs et nous décidons de rentrer directement à l’hôtel. La météo n’est pas propice à des ébats en extérieur comme nous les aimons. Il y fait plus chaud et nous serons plus tranquilles...
Nous retrouvons notre réceptionniste en grande discussion avec un client, au sujet d’une réservation.
Un peu en retrait nous patientons pour obtenir notre clé. L’homme en question, poli, se propose de nous laisser passer devant puisqu’il semble y avoir un problème d’attribution de chambre en ce qui le concerne.
Christelle passe devant et je constate que le monsieur ne se gêne pas pour l’observer sous toutes les coutures. Discrètement mais efficacement il évalue ce que la tenue assez sobre de Christelle lui laisse deviner. Jean taille basse un peu délavé, bottines pointues, caraco et boléro noirs, l’imper humide retenu négligemment à la saignée du coude.
Plutôt bel homme selon les critères de ma femme, le client est grand, assez massif, il fait dans le mètre quatre-vingt-dix et fait sûrement dans les quatre-vingt-dix kilos. Petite barbe de trois jours poivre et sel, bien entretenue sur un visage assez anguleux. Une forte mâchoire et des yeux très vifs. Intelligent, et habitué à ne pas s’en laisser compter d’après ce que nous avons entendu de son échange avec le réceptionniste.
- « Je vous en prie. Vous êtes ce qui m’arrive de mieux depuis ce matin, concède-t-il en regardant Christelle avec un sourire. »
- « Elle minaude une gentillesse en retour, appréciant le savoir-vivre du monsieur qui a vite jaugé à qui il a affaire.»
Il faut dire qu’elle est plutôt échauffée par nos caresses au restaurant et la perspective de baiser dans un nouveau lit. La flamme qui brille dans son regard ne passe pas inaperçue pour ceux qui savent regarder. Le temps que nous obtenions notre clé, elle recule et adopte cette position que je lui connais quand elle est séduite et qu’elle désire un homme. Les mains sur les hanches, le bassin un peu en avant, elle ouvre sa jambe droite comme le font les danseuses classiques en présentant l’intérieur de son pied. Les seins en avant, elle offre, là encore pour qui sait le décoder, un langage non verbal explicite : « toi, tu me plais ! »
- « Chambre deux cent cinq ! »
Presque au même moment, après avoir retrouvé le fax de réservation disparu, l’employé décide d’attribuer à l’homme la deux cent trois.
Nous passons donc devant en offrant à notre voisin de chambrée l’occasion de vérifier un peu mieux la plastique de Christelle. Je joue le jeu en montant les marches, légèrement décalé par rapport à elle. Il a ainsi tout le loisir de mater ces jolies fesses qui se balancent devant lui.
Nous atteignons notre chambre et lui souhaitons une bonne nuit. Cette fois c’est Christelle qui le jauge alors qu’il regagne, quelques mètres plus loin, son lit. Nous retrouvons nos affaires et nous mettons à l’aise avant de plonger sur le lit, à moitié nus. En sous-vêtements noirs ma femme est terriblement désirable. Elle le sait et profite de tous ses charmes pour me rendre à moitié fou. Allongée sur le dos, les cuisses entrouvertes, tout à fait offerte, elle commence à promener sur son sexe ses doigts, jusqu’à provoquer des mouvements très suggestifs du bassin.
Je m’agenouille à côté d’elle et commence moi-même à me tripoter, sans la quitter du regard. Dans le silence, nous commençons ainsi nos préliminaires et commençons à percevoir l’environnement sonore de l’hôtel. Si le lit est spacieux, il couine un peu à chacun de nos mouvements. Tout comme celui de notre voisin dont la télé produit un bruit de fond dont nous percevons la nature : une retransmission sportive quelconque. Complices nous devinons Christelle et moi qu’il vient de se laisser tomber de l’autre côté de la cloison sur son propre lit. S’il ne nous écoute pas il ne va pas tarder à se rendre compte de notre activité du moment.
- « Attend on va voir... »
Et elle décide d’augmenter le volume sonore de ses manifestations de plaisir. Elle force un peu le trait en geignant et en soupirant tout en continuant à se caresser. Ses propres doigts ne lui suffisant plus et comme elle a à sa disposition mon sexe tendu vers elle, elle s’en saisit à pleine bouche et m’avale en grognant.
Dans le silence, nos ébats sont forcément entendus autour de nous et notamment de notre voisin immédiat.
D’ailleurs, sa télé vient de s’éteindre à moins qu’il n’ait baissé le son. Je me prends au jeu moi-même et commence à encourager Christelle en commentant ses caresses :
- « Continue, continue, continue mon amour, continue encore comme ça... Oui c’est bon... »
Je sens bien que ses caresses combinées à la situation commencent à m’exciter dangereusement. Aussi je reprends la main et la saisissant par la taille, je la présente à ma bouche pour la caresser à mon tour. D’une main j’écarte son Tanga et commence à grands coups de langue à l’amener à son tour à s’exprimer :
- « Oh !» crie-t-elle, presque surprise par mon empressement.
Bien vite ses gémissements deviennent de plus en plus clairs.
C’est un feu d’artifice de sons explicites qui monte de sa gorge. Elle en rajoute, la coquine et commence à lancer des vocalises de plus en plus fortes. Ce petit jeu m’excite et j’imagine notre voisin en train de se branler de l’autre côté de la cloison. À sa place j’en ferais de même. Christelle finit au bout de quelques instants par jouir sans se forcer. Lorsque je la prends elle est brûlante et mouille comme une folle. Fatigué j’éprouve les plus grandes difficultés à me retenir et... je finis par me vider contre mon gré et au grand dam de Christelle qui commençait à monter en puissance.
Dépité par ce moment de faiblesse, je ne sais trop comment faire pour rattraper ma bourde quand notre voisin manifeste involontairement sa présence derrière le mur. Le bruit de quelque chose qui tombe dans sa chambre est bientôt suivi d’une série de craquements sonores explicites. Peut-être était-il sur son lit, l’oreille collée au mur.
Mon regard croise celui de Christelle et je la comprends sans qu’elle ne dise un seul mot. Afin de tester si notre intuition est bonne, je me lève et suffisamment fort je tourne la clé de la porte et l’entrebâille. Je retourne sur le lit et signale à voix haute comme si je me parlais :
- « La porte est ouverte... »
Silence... Grincements sur le lit... silence...
Je sais que nous avons visé juste quand nous entendons dans le couloir jouer la serrure de la chambre deux cent trois. Au bout de quelques secondes qui nous ont paru extrêmement longues. Nous voyons de notre lit, la porte s’ouvrir et notre apparaît pieds nus, en pantalon, la chemise négligemment ouverte.
D’une voix grave il nous salue :
- « Re-bonsoir ! J’ai un peu de mal à dormir... les chambres ne sont pas très bien isolées. »
- « Quel dommage ! Nous non plus ne trouvons pas le sommeil... vous avez bien fait de nous rejoindre...euh ? »
- « Sam... »
Et il referme la porte derrière lui.
Nous devons lui offrir un spectacle assez inattendu. Ma femme en sous-vêtements, les seins sortis de son soutien-gorge en ont comme plus de volume, leurs pointes brunes comme bandées. Moi-même assis en tailleur à côté d’elle, nu comme un ver, le sexe encore humide de mon éjaculation intempestive.
Il défait d’un geste le cran de sa ceinture. Comme je m’en doutais il nous apparaît nu, dans un état plus glorieux que le mien, dès que son pantalon tombe. N’en demandant pas tant Christelle saute sur ses genoux et s’approche de lui pour l’avaler d’un coup. Il lui saisit les cheveux et l’accompagne dans ses mouvements. Basculant sa tête vers l’arrière, il ne peut retenir un murmure de satisfaction quand il sent courir la langue de ma femme sur son gland circoncis. Tout en refermant sa bouche sur lui elle le pompe rageusement en creusant les joues. Il bande maintenant comme un turc et laissant glisser ses mains sur la poitrine offerte devant lui, empoigne ces seins sans ménagement entre ses doigts épais. Il se recule et nos regards se croisent, sans la moindre gêne il m’apostrophe en me tutoyant :
- « Tu as des capotes ? »
Il ne se doute sûrement pas que nous en faisons une consommation débridée depuis maintenant près d’un mois. Entre nos amis d’Angers, du Médoc, nos aventures avec Louise et nos partenaires échangistes, Mannix est devenu notre compagnon quotidien.
Je me lève et sachant qu’il y en a, fouille dans la poche extérieure du sac de Christelle. J’en extrais une poignée et je tends à notre nouvel ami la main pour qu’il se serve. Habile, il déchire avec les dents l’enveloppe, en sort le préservatif et se l’enfile en le déroulant jusqu’au bout. Sans être bien monté, il a une bite de taille honorable et à voir les yeux de Christelle qui louchent dessus, tout à fait suffisante.
- « Viens ! » lui dit-elle d’un ton autoritaire en se mettant en levrette.
Lui tournant le dos, elle lui offre son corps dans lequel il plonge d’un grand mouvement du bassin. Lui attrapant les fesses il commence à la limer, consciencieusement. Je commence à reprendre un peu de vigueur en les regardant tous les deux et propose ma bite à la bouche de ma femme. Prise par ses deux orifices, elle s’abandonne totalement en roulant des yeux sous les assauts du plaisir. Les hôtels lui plaisaient déjà mais ce soir, elle est comblée par cette rencontre fortuite. Avec une régularité de métronome son amant la pilonne et à chaque fois comme une onde de choc parcourt ses fesses. Heureusement qu’elle à la bouche pleine sinon tout l’étage en profiterait.
Pour varier les plaisirs mais toujours sans la consulter, Sam couche ma femme sur le lit, l’allonge sur le côté et écartant ses jambes s’emboîte en elle. Elle me reprend dans sa bouche après avoir eu juste le temps de s’exprimer en disant :
- « Oh oui, c’est bon ! »
Prise dans cette position pendant quelques minutes elle commence à chavirer dans une autre dimension et moi-même ayant totalement recouvré mes moyens je propose à mon acolyte une double pénétration :
- « On va la prendre tous les deux ensemble. » lui dis-je.
J’imaginais une double pénétration anale et vaginale mais voyant qu’il ne bougeait pas, j’ai compris qu’il imaginait que nous plongerions tous les deux dans un seul orifice. Sans s’extraire de son sexe, il me permet de le rejoindre en s’écartant un peu et je la pénètre à mon tour.
C’en est trop pour Christelle qui après quelques secondes de ce traitement inédit jouit dans un cri rauque malgré l’oreiller dans lequel elle a enfoui son visage.
Sam jouit tout de suite après et lorsqu’il s’extrait d’elle, j’ai tout le loisir de la prendre par derrière et de nouveau la faire crier de plaisir. Pour la deuxième fois elle me fait jouir dans le même élan.
Christelle, le cul encore plein de mon sperme, se relève et propose sa bouche à notre voisin pour le sucer jusqu’à la dernière goutte.
Allongé à ses côtés, je la vois redonner de la vigueur à cette bite, qui, je le sens va encore la faire jouir.
Son enthousiasme à le faire à nouveau grossir fait plaisir à voir et, heureux de l’aubaine, Sam se prête au jeu expert de cette amante inattendue. Notre nuit à trois ne fait que commencer.
Le lendemain matin notre ami a disparu nous laissant très élégamment ses coordonnées sur une carte de visite avec un petit mot :
« Merci à tous les deux pour cette nuit. J’aurai plaisir à vous retrouver en d’autres circonstances quand vous le voudrez. Faites-moi signe. Sam »
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