Le jour où j’ai vendu mon corps aux enchères - 2… - histoire érotique

Après avoir été divinement baisée par mon « propriétaire », nous retournons donc à table, je suis toujours nue. Eddy me fait asseoir sur ses genoux. Il peut ainsi me peloter les seins, fouiller ma chatte ou me doigter le cul à sa guise. Et il ne s’en prive pas le salaud ! Ses voisins de table louchent sur mon corps et voudraient bien eux aussi palper mes formes appétissantes, mais chasse gardée, Eddy les en empêche.
- Allez Eddy, soit sympa, je veux juste lui caresser un peu les nichons, demande Patrick.
- Vous me donnez une idée les mecs. Elle m’a coûté cher la petite pute, alors pour la toucher il faut me donner 5 € !
Marché vite conclu, 3 ou 4 mecs de la table donnent le fric et me voilà, passant de mains en mains. Je suis devenue un objet et je suis palpée, pétris, malaxée, doigtée dans mon con et dans mon cul par des males que je ne connais même pas, excepté ce Patrick.
Pendant ce temps, sur scène, la dernière fille vient d’être vendue. Elle aussi est totalement nue ; Elle aussi a été humiliée par Ted l’animateur. Elle n’a coûté que 410€. Au fond de moi, je suis contente car je suis celle qui a été vendue la plus chère…
Le bal peut maintenant commencé. Une longue série de slows. Eddy m’emmène sur la piste et se colle contre mon corps nu. Il me tient serré contre lui, ses mains sur mes fesses. Non il glisse un doigt dans mon cul. Très vite, il plante un 2ème doigt dans mon fion. Je ne sais plus où me mettre tellement j’ai honte, car bien sûr les autres couples s’en aperçoivent et rigolent doucement.
La danse se termine. On retourne s’asseoir quand débute le nouveau slow. Un mec vient voir Eddy et lui propose un peu de blé pour danser avec moi.
Je suis vraiment une vulgaire marchandise, de la viande. Eddy accepte et je vais être ainsi prêtée 5 fois à des males en rut qui vont m’embrasser à pleine bouche, me peloter, sucer mes nibards, me doigter le temps d’une danse.
Je suis au bord des larmes. Heureusement, les slows s’achèvent, je vais pouvoir souffler un peu.
Non !, Eddy en a décidé autrement. Pour se rembourser, il me loue pour tailler des pipes à ses copains. 10€ la pipe et je dois avaler !
J’ai vite 3 queues devant ma figure. Et je dois les pomper. A tour de rôle, ils me baisent la bouche. Ils m’obligent à lécher leurs couilles. Le mieux membré, je ne saurais jamais son nom a bien une bite de 22cm, en plus elle est très épaisse. J’ai du mal à l’avaler en entier mais il m’appuie sur l’arrière de la tête et pousse jusqu’à ce que j’arrive à le pomper à fond. Et là il décharge ! 3, 4, 5 longs jets de sauce épaisse et sucrée frappent contre mon palais. Je garde tout en bouche et quand il se retire enfin, j’avale sa liqueur.
Je l’avoue j’ai bien aimé… Le 2è se présente. Bite plus modeste que l’autre. Je n’ai aucun mal à l’engloutir. Il râle de plaisir. Sûr qu’il n’a jamais été sucé comme çà ! Je lèche sa hampe des couilles jusqu’au gland que j’agace de la pointe de ma langue. Il ne resiste pas longtemps le pauvre chéri et il envoie rapidement sa purée… Dommage, je l’aurais bien bouffer encore un peu celui-là !
Le 3è est dèjà bien raide quand il plante son engin entre mes lèvres. Sa bite en bonne à sucer. Celui-là je vais le faire durer un peu. J’alterne les léchouilles sur toute la longueur de son membre, je prends son gland entre mes lèvres, je reviens sur ses couilles. Tiens, j’en goberais bien une ! J’aspire donc une couille et je me dit que les 2 tiendront bien dans ma bouche. Aussitôt fait, j’ai le 2 couilles du monsieur en bouche. Hum, si je croque, je l’émascule ! Non, je reviens sur le braquemard et ma bouche va et vient sur toute sa bite, lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Il n’en peut plus et sans prévenir, il jute dans ma bouche. Son sperme est délicieux, chaud, épais, sucré. Bref je me régale.
Pendant mes fellations royales, Eddy n’a pas cessé de me doigte le cul. Je crois que ça ajouter à mon excitation et je jouis à mon tour comme une salope que je suis. Ma cyprine coule le long de mes cuisses. Eddy vient me nettoyer la chatte.
La soirée continue gentiment… enfin pendant quelques temps, car arrive un beau black.
- Tu veux te faire pomper aussi, demande Eddy ?
- Non , je veut te racheter ta gonzesse.
- Çà peut se faire… Tu proposes combien ?
- 50€ !
- Ok, ça marche ! allez ma poule, va avec ton nouveau proprio !
Il me fout une claque sur le cul et empoche le fric.
Aussitôt, le noir, il s’appelle Allou, m’embrasse sur la bouche. Sa langue force ma bouche et il me roule une pelle comme j’en rarement eu.
- Viens ma belle, la pièce du fond nous attend !
- Bon, j’ai compris, je vais encore me faire sauter !

Ça, c’est pour la 3è partie si vous aimez…