Le Journal d'une soumise

Récit érotique écrit par AniaSb [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le Journal d'une soumise
CHIENNE
J'étais une chienne errante à dix mamelles, mi femme mi chienne, sans nom, jusqu'à ce que mon Maître me trouva. Par provocation, j'allais vers le lampadaire contre lequel il fumait dans la pénombre. J'ai levé la patte arrière et j'ai pissé. Je n'ai pas réussi à me débarrasser du collier que mon ancienne famille m'a attaché autour du cou. C'est bien la seule chose qu'ils m'aient jamais donnée. Il a simplement bougé la jambe pour éviter les éclaboussures. Son calme m'apaisa. Je tremble déjà moins. Seul le froid me fait frémir. Sa présence et cette ambiance pluvieuse m'apaisent un peu.
Il baisse enfin les yeux vers moi. Mon intuition me somme de le choisir. Au fond aujourd'hui, je sais qu'il voyait cela venir de loin, avant même que j'en sois consciente.
- Oh mais quelle jolie chienne que voilà.
- Wouf !
C'est certain, je ferai tout pour qu'il m'adopte.
12-02-2025
Plus haut, je m'essaie au fictif. Je n'ai pas vraiment d'idées pour la suite. Des suggestions ?
J'ai pleins de Maîtres en ligne maintenant.
26-02-2025
J'ai pleins de Maître en ligne maintenant et l'autre jour je me suis exhibée devant 40 mecs. Je me suis connectée sur mon site de tchat favori et je m'amuse à envoyer des liens vers des photos de mes seins. Et parfois, de file en aiguille, je me retrouve à proposer à un parfait inconnu de m'envoyer un lien vers une webcam. Et ensemble, nous partageons le lien à d'autres parfaits inconnus qui s'empressent de me demander, une fois visible, d'écrire toute sorte de mots tordus sur la poitrine et de mettre des pinces sur mes tétons. C'est ainsi que je me suis retrouvée parée d'un magnifique "chienne obéissante" au doré, Soumise de luxe oblige, sur le torse. J'adore faire ça. J'adore les satisfaire. J'ai mes ordres préférés disons. J'aime quand ils sont créatifs, parfois un peu sévère, même, pour certains d'entre eux.
Il y a je l'avoue deux trois personnes avec qui je garde contact et avec qui je fais des séances plus poussées.
Ah et je continue de jouer avec mon fameux vibro das le canapé à côté de mon Maître pendant qu'il joue à des jeux sur son téléphone et me gifle, m'étrangle et m'embrasse entre deux parties. Vive le BDSM !
J'ai envie de m'essayer au shibari. On va peut-être essayer avec des copines mais tout en restant habillées. On attend un peu, histoire de laisser mûrir l'idée. Voir ce qu'on va faire. J'espère faire de belles photos de moi.
*
Je me sens chienne assise par terre à écrire des saloperies sur moi. Je reformule : je me sens bien, là, assise au sol, l'ordinateur sur le canapé, à écrire à côté de mon Maître. Je me sens à ma place et je remercie la vie de me permettre de demeurer à cette place me rappelant ma condition de femelle, objet de tous les vices. Car, faites ce que vous voulez de moi, tant que je suis obligée. CNC mon amour. Je veux dire, en réalité c'est différent. Je suis très à l'écoute de mes envies et surtout de mes limites. Pour l'instant, je ne sais m'adonner complètement à un Maître et exécuter tous les ordres qu'ils proposent comme envoyer une photo avec une pomme dans le vagin ou d'autres photos.
J'avoue, j'ai envoyé une vidéo où je pisse à un de mes amants de trois soirs sur le net. Depuis, on n'a pas de nouveau ré-échangé plus profondément. Je crois que je vais lui demander de ses nouvelles. Bienvenu dans le journal d'une... quel titre me correspond le mieux ? Salope ?
Le journal d'une Salope. Ca sonne bien. Ou mieux, Le journal d'une soumise. J'aime aussi. Va pour Le journal d'une Soumise.
Je n'ai jamais essayé le Consent non consent. Je souhaite découvrir mes limites encore un peu avant de m'y essayer. Et ce n'est pas trop le délire de mon Maître. Par ailleurs, je ressens de la gratitude au fait qu'il me laisse m'adonner à mes masturbations quotidiennes à ses côtés. J'aime rester nue chez moi, mon 85C pendant légèrement, les tétons libérés de toute contrainte. J'aime remuer mon cul, un joli M en pantalon, devant la gueule ou la bite des inconnus, tantôt me complimentant, tantôt m'insultant. J'aime les deux. J'aime susciter de l'admiration et du mépris pour ma condition de chienne soumise. Un jour, j'ai mis l'hymne du MLF (c'est une asso féministe), en fond ^^ Pas longtemps hein, mais juste pour le... principe j'allais dire. Je ne sais pas trop pourquoi j'ai fait ça, mais ça me tenait à coeur qu'ils l'entendent au moins un jour. Je ne pense pas qu'ils l'aient bien entendu cependant. Mais c'était pour moi, quelque part. Un certain moyen de garder le contrôle sur la soumission que j'offre et qu'ils me permettent de vivre. C'est donnant-donnant et nous formons une bulle de plaisir.
En fait, je cherche un abandon total. Mais je cherche un partenaire. J'en trouve quelques uns mais je cherche aussi une séance où je vais être en transe. J'en ai déjà vécu, il y a quelques années. Je me demande si je réussirai à lâcher prise au point de réussir à nouveau. J'ai envie qu'on me demande d'attendre, le cul en l'air pendant 10 minutes, minuteur à l'appui, devant un ou plusieurs dominant, pendant qu'il(s) m'insultent de tous les noms et me rappellent ma condition de dépravée "en manque de bites", comme ils disent...
Parlons fantasmes.
Messieurs, car je ne dialogue malheureusement pas (pas encore... j'espère) avec des domina, vous aimeriez tant pour certains me faire tourner dans des stations services, récupérant même les pourboires pour vous et moi buvant et me délectant de sperme et urine, lorsque vous êtes les plus gentils. Heureusement pour moi, je ne fais pas de réel, seule limite imposée par mon Maître et que je suis heureuse de respecter. Surtout pour ma sécurité, on ne sait jamais. Vivons heureux, vivons cachés. Et puis, je suis jeune, je préfère explorer avec lui d'abord.
Parlons de mes envies.
J'ai envie d'être attachée par une poutre et de ressentir de légers électrochocs sur mes seins et les grandes lèvres de mon vagin. Filmée mais masquée, mon clitoris est pincé et tendu par un poids relié par une corde à la pince. J'ai envie d'être baillonée par ma culotte trempée ou les sous-vêtements de mon partenaire. J'ai envie d'aboyer, de me soumettre, de servir de cendrier et de table. Mon Maître cendre sur mes seins ou même dans ma bouche. J'adore ça... Avec un de mes amants préféré, on parle de me faire manger un mégot lorsque j'incarne sa poubelle... Je ne le ferai jamais, mais j'adore y penser. Je me vois à genoux, pleine de cendre, une bite dans la bouche et dans les mains, sous les grognements assourdissants de mes Maîtres. J'aime être rabaissée, humiliée, j'aime lâcher prise et perdre le contrôle sous la bienveillance de mon partenaire pervers. J'aime explorer la dégradation, les insultes, le mépris. Je n'essaie pas de savoir s'il est vrai ou pas, c'est tout l'avantage du virtuel. Je peux explorer sans limite grâce à un simple masque...
Allez, je sors le vibro. Je baisse pantalon et culotte, insère le trou du vibro sur mon clitoris et je fais aller à basse vitesse pour commencer. Fffff, ça fait déjà du bien. J'ai augmenté la vitesse et remis mes vêtements pour bien caler l'objet entre mes cuisses. Toujours sous le sourire bienveillant de mon Maître occupé. J'ai mis une pince sur mon téton mais à travers le soutien-gorge pour le téton gauche, et directement dessus pour le droit. On va comparer les douleurs. Je me sens libre ainsi.
Je suis à la puissance maximale, c'est délicieux.
J'étais une chienne errante à dix mamelles, mi femme mi chienne, sans nom, jusqu'à ce que mon Maître me trouva. Par provocation, j'allais vers le lampadaire contre lequel il fumait dans la pénombre. J'ai levé la patte arrière et j'ai pissé. Je n'ai pas réussi à me débarrasser du collier que mon ancienne famille m'a attaché autour du cou. C'est bien la seule chose qu'ils m'aient jamais donnée. Il a simplement bougé la jambe pour éviter les éclaboussures. Son calme m'apaisa. Je tremble déjà moins. Seul le froid me fait frémir. Sa présence et cette ambiance pluvieuse m'apaisent un peu.
Il baisse enfin les yeux vers moi. Mon intuition me somme de le choisir. Au fond aujourd'hui, je sais qu'il voyait cela venir de loin, avant même que j'en sois consciente.
- Oh mais quelle jolie chienne que voilà.
- Wouf !
C'est certain, je ferai tout pour qu'il m'adopte.
12-02-2025
Plus haut, je m'essaie au fictif. Je n'ai pas vraiment d'idées pour la suite. Des suggestions ?
J'ai pleins de Maîtres en ligne maintenant.
26-02-2025
J'ai pleins de Maître en ligne maintenant et l'autre jour je me suis exhibée devant 40 mecs. Je me suis connectée sur mon site de tchat favori et je m'amuse à envoyer des liens vers des photos de mes seins. Et parfois, de file en aiguille, je me retrouve à proposer à un parfait inconnu de m'envoyer un lien vers une webcam. Et ensemble, nous partageons le lien à d'autres parfaits inconnus qui s'empressent de me demander, une fois visible, d'écrire toute sorte de mots tordus sur la poitrine et de mettre des pinces sur mes tétons. C'est ainsi que je me suis retrouvée parée d'un magnifique "chienne obéissante" au doré, Soumise de luxe oblige, sur le torse. J'adore faire ça. J'adore les satisfaire. J'ai mes ordres préférés disons. J'aime quand ils sont créatifs, parfois un peu sévère, même, pour certains d'entre eux.
Il y a je l'avoue deux trois personnes avec qui je garde contact et avec qui je fais des séances plus poussées.
Ah et je continue de jouer avec mon fameux vibro das le canapé à côté de mon Maître pendant qu'il joue à des jeux sur son téléphone et me gifle, m'étrangle et m'embrasse entre deux parties. Vive le BDSM !
J'ai envie de m'essayer au shibari. On va peut-être essayer avec des copines mais tout en restant habillées. On attend un peu, histoire de laisser mûrir l'idée. Voir ce qu'on va faire. J'espère faire de belles photos de moi.
*
Je me sens chienne assise par terre à écrire des saloperies sur moi. Je reformule : je me sens bien, là, assise au sol, l'ordinateur sur le canapé, à écrire à côté de mon Maître. Je me sens à ma place et je remercie la vie de me permettre de demeurer à cette place me rappelant ma condition de femelle, objet de tous les vices. Car, faites ce que vous voulez de moi, tant que je suis obligée. CNC mon amour. Je veux dire, en réalité c'est différent. Je suis très à l'écoute de mes envies et surtout de mes limites. Pour l'instant, je ne sais m'adonner complètement à un Maître et exécuter tous les ordres qu'ils proposent comme envoyer une photo avec une pomme dans le vagin ou d'autres photos.
J'avoue, j'ai envoyé une vidéo où je pisse à un de mes amants de trois soirs sur le net. Depuis, on n'a pas de nouveau ré-échangé plus profondément. Je crois que je vais lui demander de ses nouvelles. Bienvenu dans le journal d'une... quel titre me correspond le mieux ? Salope ?
Le journal d'une Salope. Ca sonne bien. Ou mieux, Le journal d'une soumise. J'aime aussi. Va pour Le journal d'une Soumise.
Je n'ai jamais essayé le Consent non consent. Je souhaite découvrir mes limites encore un peu avant de m'y essayer. Et ce n'est pas trop le délire de mon Maître. Par ailleurs, je ressens de la gratitude au fait qu'il me laisse m'adonner à mes masturbations quotidiennes à ses côtés. J'aime rester nue chez moi, mon 85C pendant légèrement, les tétons libérés de toute contrainte. J'aime remuer mon cul, un joli M en pantalon, devant la gueule ou la bite des inconnus, tantôt me complimentant, tantôt m'insultant. J'aime les deux. J'aime susciter de l'admiration et du mépris pour ma condition de chienne soumise. Un jour, j'ai mis l'hymne du MLF (c'est une asso féministe), en fond ^^ Pas longtemps hein, mais juste pour le... principe j'allais dire. Je ne sais pas trop pourquoi j'ai fait ça, mais ça me tenait à coeur qu'ils l'entendent au moins un jour. Je ne pense pas qu'ils l'aient bien entendu cependant. Mais c'était pour moi, quelque part. Un certain moyen de garder le contrôle sur la soumission que j'offre et qu'ils me permettent de vivre. C'est donnant-donnant et nous formons une bulle de plaisir.
En fait, je cherche un abandon total. Mais je cherche un partenaire. J'en trouve quelques uns mais je cherche aussi une séance où je vais être en transe. J'en ai déjà vécu, il y a quelques années. Je me demande si je réussirai à lâcher prise au point de réussir à nouveau. J'ai envie qu'on me demande d'attendre, le cul en l'air pendant 10 minutes, minuteur à l'appui, devant un ou plusieurs dominant, pendant qu'il(s) m'insultent de tous les noms et me rappellent ma condition de dépravée "en manque de bites", comme ils disent...
Parlons fantasmes.
Messieurs, car je ne dialogue malheureusement pas (pas encore... j'espère) avec des domina, vous aimeriez tant pour certains me faire tourner dans des stations services, récupérant même les pourboires pour vous et moi buvant et me délectant de sperme et urine, lorsque vous êtes les plus gentils. Heureusement pour moi, je ne fais pas de réel, seule limite imposée par mon Maître et que je suis heureuse de respecter. Surtout pour ma sécurité, on ne sait jamais. Vivons heureux, vivons cachés. Et puis, je suis jeune, je préfère explorer avec lui d'abord.
Parlons de mes envies.
J'ai envie d'être attachée par une poutre et de ressentir de légers électrochocs sur mes seins et les grandes lèvres de mon vagin. Filmée mais masquée, mon clitoris est pincé et tendu par un poids relié par une corde à la pince. J'ai envie d'être baillonée par ma culotte trempée ou les sous-vêtements de mon partenaire. J'ai envie d'aboyer, de me soumettre, de servir de cendrier et de table. Mon Maître cendre sur mes seins ou même dans ma bouche. J'adore ça... Avec un de mes amants préféré, on parle de me faire manger un mégot lorsque j'incarne sa poubelle... Je ne le ferai jamais, mais j'adore y penser. Je me vois à genoux, pleine de cendre, une bite dans la bouche et dans les mains, sous les grognements assourdissants de mes Maîtres. J'aime être rabaissée, humiliée, j'aime lâcher prise et perdre le contrôle sous la bienveillance de mon partenaire pervers. J'aime explorer la dégradation, les insultes, le mépris. Je n'essaie pas de savoir s'il est vrai ou pas, c'est tout l'avantage du virtuel. Je peux explorer sans limite grâce à un simple masque...
Allez, je sors le vibro. Je baisse pantalon et culotte, insère le trou du vibro sur mon clitoris et je fais aller à basse vitesse pour commencer. Fffff, ça fait déjà du bien. J'ai augmenté la vitesse et remis mes vêtements pour bien caler l'objet entre mes cuisses. Toujours sous le sourire bienveillant de mon Maître occupé. J'ai mis une pince sur mon téton mais à travers le soutien-gorge pour le téton gauche, et directement dessus pour le droit. On va comparer les douleurs. Je me sens libre ainsi.
Je suis à la puissance maximale, c'est délicieux.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres interessant, je voudrais faire partie de ces dominants si tu es prete a accepter ecris moi, j aimerais en savoir plus pour savoir jusqu ou tu peux aller

