Le journal de Luxurie Ep2 : Métamorphose

- Par l'auteur HDS Miss Roxy -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Le journal de Luxurie Ep2 : Métamorphose Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le journal de Luxurie Ep2 : Métamorphose
Dans l’épisode précédent : Une petite fille qui vient de naitre, un boulot qui lui plait, une bande d’amies fidèles, Roxanne a tout pour être une femme heureuse. Le seul point noir, mais de taille, sa vie de femme justement. Délaissée par un compagnon qui préfère sa console et ses potes à son rôle d’amant, elle s’est enfermée dans une vie dominée par un immense sentiment de frustration. Est-ce son nouveau statut de jeune maman qui agit comme un déclic ? C’est sûrement un tout, mais il est clair en tout cas que cela ne peut plus durer. Elle s’en fait la promesse.

oooOooo

Septembre 2010…

- Roxanne ! Hey Roxaaaannne !

Qui osait mêler ses hurlements aux riffs de guitare que Stevie Van Zandt et Niels Lofgren distillaient dans mon casque ? Marquant un temps d’arrêt, je cherchai d’un regard curieux l’origine de cet hameçonnage verbal quand je vis un homme faire un geste de la main. De l’autre côté de la rue Saint Jacques, à hauteur de l’institut océanographique, il pressa le pas dans ma direction, forçant les voitures à s’arrêter.

- Roxanne Obrenovic… Je n’en reviens pas ! s’exclama-t-il une fois devant moi.

J’essayai tant bien que mal de mettre un nom sur la personne me faisant face, mais rien. Impossible !

- Je sais que j’ai beaucoup changé mais quand même, fit-il en constatant qu’à l’évidence je ne le reconnaissais pas. Tu ne me remets pas du tout ?

Intérieurement je me demandais s’il allait continuer longtemps à me poser des questions à la con ou s’il allait se décider à éclairer ma lanterne désespérément éteinte. Je ne laissais rien paraitre de mon agacement naissant. Au contraire, l’air enjoué, je faisais mine de rentrer dans son jeu. Quelle actrice !

- Alex… Alexandre Mercier. On était en première et en terminale ensembles. Ca ne fait pourtant pas si longtemps que ça, insistait-il, peinant de plus en plus à cacher sa déception.

Un éclair de surprise dans mon regard lui fit comprendre que je venais enfin de percuter. Bien sûr que je me souvenais d’Alexandre Mercier mais… Ce n’était pas la personne que j’avais devant moi. Pas possible ! Malgré les quelques années écoulées, le changement ne pouvait être aussi radical.

Devant mon évidente stupéfaction, un rictus de fierté se dessina sur son visage. Et il avait de quoi l’être à priori. Le premier de la classe inintéressant au possible avait laissé la place à un beau gosse à l’allure sportive et au costard italien taillé sur mesure.

- Où sont passés tes vingt kilos de trop, tes lunettes de grand père et tes fringues de premier communiant ? m’enquérais-je en ricanant.
- Toujours autant de tact, je vois ! Les lunettes ont laissé place à des lentilles, la surcharge pondérale abandonnée sur le tapis de course de la salle où j’ai un abonnement, quant à mes célèbres tenues vestimentaires, elles n’ont pas survécu aux critiques de ma femme…

Alex, le cul béni, était marié en plus. Moi qui aurais mis ma main au feu sur le fait qu’il finirait vieux garçon. Limite à tenir le premier rôle du remake de « 40 ans et toujours puceau ».

A ma décharge, il partait de loin. Cadet d’une famille qui se revendiquait haut et fort comme ultra catho, je me revoyais encore planquer des magazines de cul dans son énorme cartable en cuir histoire que sa mère les trouve. Avec Valérie, ma meilleure copine de l’époque et notre petite bande de cas sociaux, nous étions sûres que la chère maman d’Alexandre préparait les affaires du fils prodigue chaque matin. On aurait payé cher pour voir sa tête devant le numéro de janvier de « Hot Video ». Oui, je l’avoue, nous étions un peu salopes sur les bords.

- En tout cas tu n’as pas changé Roxanne. Tu es toujours aussi belle.

Le compliment d’Alex me sortit de mon état de léthargie momentanée.

- Mer… Merci, répondis-je d’un pitoyable bégaiement.
- T’as le temps de boire un café ? On a tellement de chose à se raconter.
- Ca aurait été avec plaisir mais là je ne peux vraiment pas, refusai-je à regret. J’ai un rendez-vous professionnel.
- Pas de problème, je comprends.

Alexandre semblait sur le point d’en rester là, interprétant peut-être mon refus comme un façon polie de lui mettre un vent. Pourtant, même s’il était clair que durant nos années lycéennes, nous n’étions pas les meilleurs amis du monde, cela n’avait été nullement mon intention. Bien au contraire, j’étais curieuse d’en savoir plus sur cette spectaculaire évolution. Je repris alors le contrôle des opérations :

- Par contre on peut s’échanger nos numéros si ça te dit ? Comme ça on essaye de se capter dès qu’on peut.

Alex accepta volontiers et nous repartîmes bientôt chacun de notre côté. Mon rendez-vous au centre culturel irlandais se passa on ne peut mieux. Renseignements pris sur les étapes de notre nouvelle offre de road trip sur l’île d’émeraude, je jetai un œil sur mon portable pour prendre connaissance de mes messages en attente.

Six SMS reçus pendant mon entretien avec le directeur du centre. Le premier de mon patron m’informant d’une réunion le lendemain matin, un autre me proposant des réductions de « folie » chez Zara, un de ma sœur et un autre de Servane, un de Dimitri qui n’avait pas plus d’intérêt que sa conversation habituelle et, au milieu de tout ça, un d’Alexandre.

- Salut Roxanne. Un petit message écrit pour ne pas te déranger mais je tenais à te dire à quel point cela m’a fait plaisir de te revoir. N’hésite pas à m’appeler quand tu veux…

Etait-ce ma situation qui me poussait à surinterpréter chaque signe comme un signe de drague, mais les trois petits points à la fin de son message agirent comme tel.

Malgré ma résolution prise il y a quelques semaines de ne plus mettre entre parenthèses ma vie de femme, je n’avais pas encore franchi le pas. Pas avec un homme en tout cas. Les quelques opportunités que j’avais eu ne m’avaient pas motivée au point d’avoir raison de mes ultimes bribes de culpabilité à l’idée de tromper Dimitri. Allait-il en être de même encore une fois ? A moins que je me plante sur ses intentions. Après tout, lui non plus n’étais pas libre. Décidément, il fallait vraiment que j’arrête de me prendre la tête !

- Pas de souci Alex. Tu ne me déranges pas. Cela m’a fait plaisir à moi aussi. Je ne sais pas si tu serais dispo mais je termine à 18h. Si ça te dit de boire un verre.

Je n’eus même pas le temps de regretter mon envoi que la notification d’une réponse illumina l’écran de mon téléphone.

- Même si je ne l’avais pas été, je me serais libéré… Dis-moi où on se retrouve et j’y serai à 18h30.

L’éventualité que je me fasse de fausses idées venait de prendre un sérieux coup de pelle. Cela m’arracha un large sourire alors que m’installais au volant de ma Clio violette.

A 18h30 pétante je franchis la porte du Murphy’s House. Ne faisant aucune confiance à Dimitri pour s’occuper de sa progéniture, j’avais confié Charlotte à ma sœur, Annabelle. Bien sûr, cette dernière ne s’était pas privée de me faire subir un interrogatoire en règle, m’inondant de questions plus ou moins graveleuses. Et si j’avais réussi à l’abréger en prétextant un retard évident, je savais que je n’allais pas y échapper en venant rechercher ma fille. Alors autant avoir quelque chose à raconter…

Alexandre était déjà là. Il avait pris une table au fond de la salle, un peu à l’écart de la foule et du brouhaha générés par la sortie des bureaux. M’accueillant avec un large sourire aux lèvres, il se leva pour me claquer la bise. Je fus presque surprise qu’il prenne cette initiative.

- Ton message m’a un peu surpris mais il m’a fait trop plaisir, me dit Alex en m’invitant à m’asseoir place en face de lui. Qu’est-ce que tu prends ?
- Une Kriek cerise pour commencer. J’ai trop soif !
- Pour commencer ? J’aime bien cette précision…

Le clin d’œil que m’adressa Alexandre annonçait le début d’un jeu de séduction dont l’issue semblait inéluctable.

- Alors qu’est devenue celle qui m’a martyrisé pendant quasiment deux ans ? Je veux tout savoir. Raconte-moi !

Au moins l’abcès était crevé. Alex me faisait comprendre par ce petit pic qu’il ne me tenait pas rigueur de ce que nous avions pu lui faire subir à l’époque. J’avoue que cela me soulageait.

Sans me conformer à tout prix à la chronologie parfaite de mes années post baccalauréat, je lui narrais le plus fidèlement possible les évènements ayant jalonnée mon existence. Semblant décontenancé alors que j’évoquais ma récente grossesse, mon interlocuteur retrouva un certain entrain tandis que je tempérais mon bonheur avec le récit de mes problèmes de couple. Il faut dire que la deuxième tournée de bière arrivant déjà à notre table, les inhibitions se faisaient de plus en plus minces.

Puis ce fut au tour d’Alexandre de me décrire une à une les étapes de sa métamorphose. Et dès le début ma surprise fut totale. Elève brillant pour qui un seize sur vingt était un échec cuisant, il n’avait même pas été à la fac. Lui que tout destinait à de brillantes études s’était contenté d’une de ces écoles de commerce bidon où l’obtention du diplôme dépend du prix que tu y mets. J’essayai bien de connaître les raisons d’un tel revirement mais, voyant le visage d’Alex se crisper, je compris qu’il était préférable d’éviter le sujet. Il me concéda juste que ce qui lui était arrivé lui avait fait envisager la vie d’une toute autre manière. Ses certitudes avaient volé en éclat en même temps que ses priorités avaient changées.

S’en était suivit la rencontre avec celle qui allait devenir sa femme et lui donner un fils qui venait d’avoir deux ans. Cela lui avait même ouvert les portes d’une carrière de commercial dans l’entreprise de beau-papa. Une société qui fabriquait des composants électroniques pour l’industrie automobile et qui était située à… Bordeaux !

- Ah mais tu ne vis plus à Paris ? fis-je d’un air incrédule. Notre rencontre de ce matin est vraiment incroyable alors.
- Et non ! Je suis devenu un pur provincial.

Cette information jeta un léger froid. Allez savoir pourquoi, j’avais pris comme acquit le fait qu’il habitait encore la capitale. C’est marrant ces films qu’on peut se faire sans raison parfois.

- Mais je monte souvent sur Paris pour le boulot, s’empressa de rajouter Alexandre qui avait perçu mon léger malaise.

J’accueillis cette précision avec un petit sourire emplit de sous-entendus. Une attitude qui allait faire basculer notre face à face dans une dimension plus intimiste.

- Je peux te poser une question indiscrète Roxanne ?
- Tu peux toujours essayer. On verra si je daigne répondre…

Nous restâmes un moment silencieux à nous provoquer à coups de regards de plus en plus brillants.

- Mr Jamin… Tu te l’ais tapé ?
- Haha ! La fameuse rumeur… D’après toi ?

Alex réfléchit avant d’oser une réponse. Avais-je couché avec ce vieux libidineux de prof de maths en première ? C’était ce que les bruits de couloir avaient laissé entendre en tout cas.

- Je dirais que non… Par contre je t’imagine bien avoir lancé toi-même cette rumeur, ricana-t-il.
- Pourquoi aurais-je fait ça ? Ma réputation n’était plus à faire, soufflai-je en me penchant pour me rapprocher d’Alex.

Il en fit de même avant de surenchérir de manière encore plus provocatrice :

- C’est vrai que tu es la célèbre Roxanne. L’intrépide Roxanne qui faisait des fellations à ses petits copains au fond de la classe, en plein cour d’espagnol.
- Mais dis donc… Nous n’étions pas dans la même classe à cette période. C’était en seconde, affirmai-je sur un ton faussement courroucé. Je vais finir par croire que je t’avais déjà tapé dans l’œil et que je ne te laissais pas indifférent.
- Et tu ne me laisses toujours pas indifférent, corrigea Alex qui ne s’était pas privé de saisir la perche tendue.

Nous y étions. La croisée des chemins. Mes prochaines paroles allaient décider de la suite de la soirée. Peut-être même plus. Me connaissant, je savais qu’une fois lâchée sur la voie sinueuse de l’adultère, plus question de faire machine arrière. Je devais peser une dernière fois le pour et le contre, ceci en quelques secondes.

- Attention, fis-je en avançant lentement ma main sur la table, je pourrais prendre ça pour une avance.
- Et tu ferais quoi si c’en était une ?
- Si on m’avait dit un jour que je me retrouverais dans cette situation avec Alexandre Mercier, soufflai-je pour accorder encore à mon cerveau bouillonnant un répit avant de se décider.
- Cela ne répond pas à la question, m’accula mon possible futur amant.
- Puisque je dois forcément réponde…

Volontairement je laissai un blanc en suspend tandis que je m’avançais jusqu’à ce que nos visages se retrouvent à une dizaine de centimètres l’un de l’autre. Cela ajouta à la tension qui avait envahi notre petite bulle. Dans le même mouvement, ma main était venue se glisser sous la sienne. Nos doigts s’entrelacèrent presque naturellement. Il était temps de finir ma phrase :

- Je te demanderais à quel hôtel tu es descendu.
- Et je te dirais que je ne suis pas loin de là où nous nous sommes croisés ce matin.

Alexandre combla la faible distance qui nous séparait encore. Nos lèvres s’effleurèrent. Une fois, puis une autre. Ce petit jeu nous provoqua quelques rires nerveux qui mirent un frein à l’élan que nous avions amorcé.

- Alors, tu hésites ? soupirai-je avec une pointe de défi dans la voix. On peut encore faire machine arrière.

Sans dire un mot, Alex se leva de sa chaise. Après un bref passage par le bar, il prit la direction des toilettes d’où il ressortit aussitôt.

- C’est réglé, m’annonça-t-il tout en prenant sa veste. On y va ?
- Heu… Oui… Je te suis.
- Il faut qu’on passe à une pharmacie. Je voulais te déposer un préservatif sur la table et te demander si ça répondait à ton inquiétude quant à ma possible hésitation, mais le distributeur des toilettes est hors service.

J’explosai de rire ! Son humour prompt à dédramatiser ce que nous étions sur le point de faire termina de me libérer. Aussi, dès la porte du pub franchit, je pivotai sur moi-même afin de lui faire face et lui lançai d’un regard brûlant :

- Qu’est-ce que tu attends pour m’embrasser alors ?

Alexandre m’attira à lui. Cette fois-ci nos bouches ne marquèrent aucun temps d’arrêt avant de se lancer dans une conquête mutuelle. Notre langoureux baiser dériva rapidement en une séance de pelotage en règle faisant fi des personnes qui entraient et sortaient du bar. Il avait les mains sur mes fesses protégées par mon jean, j’avais les miennes sous sa chemise, au contact direct de sa peau.

Je ne pensais plus à Dimitri, plus à cette culpabilité tenace à l’idée d’emprunter le chemin de l’adultère ; plus à rien d’autre qu’à ma vie de femme reprenant enfin ses droits. J’avais juste envie de cet homme qui m’embrassait avec passion et que je sentais bander contre mon ventre.

- On y va mon chat ? Je ne voudrais pas que tu te répandes en pleine rue.
- Je… Je risque de ne pas être brillant la… La première fois, balbutia Alex avec une certaine gêne. Je… C’est la première fois que…

Je posai délicatement mon index sur ses lèvres, l’invitant à se taire. Il avait eu la bonne idée de se garer dans le parking souterrain des Galeries Lafayette et non dans la rue. Il y avait bien du passage mais beaucoup moins que si nous étions à la surface. Du coup, dès qu’Alexandre me rejoignit dans sa voiture, une Peugeot 408 verte si ma mémoire ne me fait pas défaut, je me penchai sur lui avant qu’il n’ait eu le temps de mettre sa ceinture. Nos langues se remirent à jouer ensemble pendant que mes doigts agiles s’attaquaient à la braguette de son pantalon de costume noir. Elle ne me résista pas longtemps.

- Qu… Qu’est-ce… Qu’est-ce que tu fais ?
- Laisse-toi aller mon chat. Pas besoin de capote pour ça…

Il était tellement excité que je crus qu’il allait succomber dès que ma main commença à le masturber.

- Je… On… Ma femme ne m’a jamais sucé…

Me retenant de rire au risque de briser l’intensité du moment, je me dis que je retrouvais bien le souffre-douleur de mes années à Hélène Boucher. J’allais être la première à lui faire découvrir les plaisirs de la fellation et cette pensée décupla mon état d’excitation. J’essayai de faire œuvre de douceur. Cela n’allait pas durer longtemps, je le savais, mais je voulais que ma bouche lui laisse un souvenir impérissable.

- Mon dieu ! Rox… Roxanne… Ca vient ! ahana mon amant qui essayait autant que possible de se retenir pour me laisse l’occasion de me retirer.

Peine perdue. Je n’en avais aucune intention et le lui fis comprendre d’un avant-bras décidé qui l’obligea à se caler dans son fauteuil. La pointe de ma langue venant titiller son frein l’acheva. Ma « victime » s’avoua bientôt vaincue et s’abandonna dans ma bouche. J’avalai avec gourmandise et abnégation chacune des giclées de sperme chaud qui s’abattaient en rythme sur mon palais. Un régal oublié depuis trop longtemps ! La source bientôt tarie, je me redressai, fière de mon effet, m’adossant à mon tour dans mon siège.

- Voilà ! lançai-je en souriant. Le temps qu’on arrive à l’hôtel, tu auras retrouvé la grande forme.

Alexandre me regardait avec un air ahuri. Il devait se demander sur qui il avait bien pu tomber. Il était tellement perturbé qu’il oublia de ranger l’objet du délit (ou du délire…) dans son pantalon, ne s’en rendant compte qu’une fois arrivés, au moment de descendre de voiture. Je l’avais vu mais ne lui avait rien dit, ce qui nous valut un fou rire d’anthologie qui fit encore grandir notre complicité toute nouvelle.

- Range l’engin, ça ne serait pas le moment qu’il prenne froid, me moquai-je gentiment en m’éloignant de quelques pas. Je reviens, j’ai vu une pharmacie avec un distributeur de préservatifs.

Arrivée devant la machine, j’optai pour une boite de six. Il valait mieux en avoir trop que pas assez, me dis-je en souriant béatement. Avant de revenir vers Alexandre, j’eus une pensée pour Dimitri. Pas de celles susceptibles de me faire changer d’avis. Au contraire, je tenais à m’assurer qu’il ne vienne pas me saouler pendant que j’étais en train de prendre mon pied.

- Excuse-moi quelques minutes Alex. Je vais appeler mon mec histoire qu’il ne nous dérange pas, l’avertis-je en espérant que cette précaution ne plombe pas l’ambiance joviale de la soirée. Après je suis toute à toi…
- J’y compte bien. Je vais en profiter pour en faire de même avec ma femme. Si je ne lui téléphone pas tous les soirs, elle s’inquiète.

Qu’elle ne se fasse aucun souci surtout. J’allais bien prendre soin de son mari !

Les avis des lecteurs

Merci pour ces commentaires et la suite vient d'être envoyée. A très vite.

Très belle écriture, je m’y retrouve, je m’y projette !

Histoire Erotique
Oh jolie plume, le tension monte progressivement nous tient en haleine, puis brusque accélération....la suite sera évidemment brûlante et Alex va vouloir sans cesse remonter sur Paris et pas que..oups.... bravo j'ai adoré

Histoire Erotique
Très beau texte bien écrit qui nous emmène crescendo du coup on attend la suite Daniel

Histoire Erotique
Vivement la suite des aventures mais après le lavage de la couette !!!

Roxanne est en train de franchir le pas!
J'encourage vivement à lire et commenter les textes de Roxanne, très bien écrits et très intéressants.



Texte coquin : Le journal de Luxurie Ep2 : Métamorphose
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