Le journal intime de ma femme (1)
Récit érotique écrit par Mario38 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Mario38 ont reçu un total de 54 390 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2010 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 54 390 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le journal intime de ma femme (1)
Le journal intime de ma femme. (je suis cocu)
Un jour j’ai découvert (accidentellement )le journal intime (très très intime de ma femme )
Sa lecture au lieu de me mettre en colère, m’excita énormément.
Quand je dis à mon épouse que j’avais lu son journal, elle prit peur et se mit à trembler, mais je la rassurais très vite et Je lui avouai que cela m’excitait terriblement de me savoir cocu, que c’était un de mes fantasmes, que je ne lui en voulais pas, bien au contraire, qu’elle pouvait continuer.
(Et oui, je suis un cocu content)
Les premiers faits se sont déroulés il y a maintenant bien longtemps, En mille neuf cent quatre-vingt-un. Nous venions de nous marier un an auparavant. Ma femme Marine, un mètre soixante cinq, très jolie frimousse, cheveux blonds, teint de lait, yeux bleus, poitrine quatre-vingt-dix B, venait d’avoir vingt ans. Moi, j’en avais vingt-cinq, blond au yeux bleus, le teint clair plutôt genre minet.
Je me suis toujours demandé pourquoi elle m’avait épousé car son regard est toujours attiré par des hommes très bruns athlétiques au teint mat, ou de type magrebin.
Je suis plutôt doux et attentionné dans nos ébats.
Quand je l’ai connue, elle était vierge. Moi aussi, d’ailleurs. À cette époque, le sida ne sévissait pas encore, du moins chez nous, et nous pouvions nous permettre d’avoir des rapports non protégés. Ma femme travaillait dans une usine de confection, et moi je travaillais en poste dans une usine.
Pendant sa pause déjeuner, Marine, avec trois de ses copines, environ du même âge qu’elle, allait prendre le café dans un bar nommé l’Hacienda qui faisait aussi dancing. Là, elles avaient fait connaissance avec deux ou trois jeunes et discutaient souvent ensemble.
L’un d’eux, Amir, un beau jeune homme de dix-neuf ans d’origine marocaine, très séduisant, cheveux noirs , teint mat, yeux bruns, grand, musclé, larges épaules, leur plaisait particulièrement. Il avait la réputation d’un grand séducteur avec les filles du quartier, et celle d’être un très bon amant. Les trois copines de ma femme, plutôt mignonnes, et qui n’étaient pas mariées, rivalisaient de charme pour le séduire, mais lui, curieusement semblait plutôt intéressé par ma femme.
Lorsqu’ils se faisaient la bise, il s’arrangeait toujours pour l’embrasser près des lèvres. Je pense que séduire une femme mariée et faire un cocu l’excitait.
Marine, comme ses copines, n’était pas insensible à son charme mais, répondait-elle aux remarques de ses copines, «je suis mariée et j’aime mon mari ».
Un jour, alors qu’ils discutaient de leurs chanteurs préférés, ma femme lui dit qu’elle aimait le groupe téléphone. Amir lui dit qu’il avait toute la collection de leur disques et qu’il pouvait lui en prêter. Ma femme accepta et ils se donnèrent rendez-vous à dix-sept heures devant chez lui. À dix-sept heures, mon épouse rejoignit Amir devant chez lui. Il vivait chez ses parents. Là, il la pria d’entrer. Ma femme, dans un premier temps, refusa. Il insista :
__ Viens, j’aimerais te faire entendre un disque que j’aime beaucoup.
Marine finit par accepter mais précisa :
__Pas plus de 10 minutes, mon mari m’attend.
Inconsciemment, elle savait qu’en qualité de femme mariée, Amir voulait se la faire. Dans l’entrée, elle refusa plusieurs fois d’entrer dans sa chambre où étaient ses disques puis finit par accepter. Amir la fit asseoir sur le lit, mit le disque et vint s’asseoir près d’elle. Tout en discutant, il mit innocemment le bras autour de ses épaules. Au bout d’un moment, il l’embrassa sur la joue, puis dans le cou. Marine qui était très attirée par Amir sentit ses seins devenir durs, et l’humidité envahir son entrejambes. Dans un éclair de lucidité, elle dit qu’elle devait partir car je l’attendais. Amir lui dit qu’elle lui plaisait beaucoup et lui demanda si elle était d’accord pour le revoir le lendemain.
Mon épouse était tiraillée entre le désir et le fait qu’elle soit mariée. Mais l’attirance qu’elle avait pour Amir finit par l’emporter et elle accepta.
Cette nuit la, elle ne dormit presque pas, elle s’était même branlée en pensant à Amir.
Le lendemain, à dix-sept heures, elle se rendit chez lui. Dans le vestiaire, elle s’était habillée très sexy, soutien gorge à ballonnets, chemisier moulant entrouvert, bas et porte jarretelles et la jupe noire fendue, celle qu’elle ne mettait habituellement que chez nous lors de nos soirées intimes. Puis avait enfilé par dessus son imper pour dissimuler sa tenue. Ils entrèrent directement dans la chambre. Amir avait fermé les volets, allumé une petite lampe rouge qui créait une ambiance très intime. Ils s’assirent côte-à-côte sur le lit. La fente de la jupe découvrit sa cuisse gainée de Nylon laissant apparaître une jarretelle rouge. Amir prit ses lèvres, et posa sa main sur le haut de cette cuisse offerte, leurs langues se nouèrent, pendant que le jeune homme avec l’autre main lui caressait le dos. À ce stade, Marine était complètement séduite, elle s’offrait, sans retenue à ce beau brun qu’elle désirait ardemment.
Puis la main de Amir glissa sur son corsage, lui prit un sein. Les boutons du corsage ne tardèrent pas à sauter et ses deux seins blancs dans un soutien-gorge à ballonnets noir et rouge apparurent. Au bout d’un moment, Amir, tout en l’embrassant, lui ôta son corsage et dégrafa son soutien-gorge. Les seins étaient durs et les bouts pointaient au centre de la large aréole brune. Marine haletait, elle était brûlante Puis Amir la coucha sur le lit et entreprit de lui retirer sa jupe. Marine attendait, les yeux fermés, avec, malgré tout un reste de pudeur (simulée ?), Et quelques secondes plus tard elle était entièrement nue, excepté ses bas et ses portes jarretelles, qu’elle avait mis pour l’occasion. Dans une discussion antérieure il avait dit qu’il aimait les bas.
Amir couvrit son corps de baisers, lui malaxa les seins, suça les bouts érigés, ce qui fit gémir Marine, puis au bout d’un moment il lui dit :
__ Déshabille-moi.
Ils se levèrent et ma femme, lui ôta lentement sa chemise, découvrant sa poitrine velue, puis son pantalon. Une énorme bosse distendait le slip et le gland de son sexe en érection dépassait de celui-ci. Marine s’arrêta, regardant Amir dans les yeux, la main posée sur la grosseur déformant le sous-vêtement.
Puis lentement, le regardant toujours dans les yeux elle fit glisser le slip qui tombât sur les chevilles de Amir.
Elle venait de découvrir une longue et grosse bite très sombre, (émergeant d’une foret de poils noirs) surmontée d’un énorme gland circoncis. L’engin, en pleine érection, presque à la verticale, était de dimension impressionnante (aux dires de Marine). __ __Suce, ordonna Amir.
Elle saisit la bite tendue, sa petite main en faisait difficilement le tour, elle était dure comme du fer. Elle commença à le branler, puis posa ses lèvres sur le gland ou pointait une goutte de liquide préseminal, et commença une fellation en s’appliquant. (Marine n’avait pas beaucoup d’expérience dans ce domaine.)
Amir la saisit par les cheveux la forçant à aller plus profond dans sa bouche.
__ Oui, comme ça, tu suces bien.
Au bout d’un moment, Amir la poussât sur le lit.
Le jeune homme caressait le corps nu et Marine cherchait constamment les lèvres de son jeune amant, avide de sa langue. Au bout d’un moment, caressant sa chatte, Amir lui introduisit un doigt qu’il ressortit trempé. Comme m’a dit Marine : « il a compris que j’étais à point, que je n’en pouvais plus, que j’avais envie et que je voulais me faire tirer ». Amir demanda :
__Tu prends la pilule ?
__Non, répondit Marine, J’ai toujours été fidèle à mon mari, nous faisons attention, il se retire, si un accident arrivait ce ne serait pas grave, nous sommes mariés.
__J’essaierai de faire attention, dit Amir, mais je ne te garantis rien il y a toujours un risque.
__ Tant pis. Viens, j’ai trop envie, je veux que tu me prennes, que tu me baises.
D’une main, Amir fit pression sur l’intérieur des cuisses, et ma jeune épouse écarta largement ses jambes, les genoux légèrement fléchis. Amir s’installa entre ses jambes, et dirigea sa queue contre la chatte dégoulinante de Marine dont il écarta les lèvres.
Tu veux vraiment faire cocu ton mari ? demanda Amir, dominateur triomphant et sûr de lui en vrai mâle viril comme le sont la plupart des arabes
__ Oui, répondit Marine dans un souffle à peine audible, je veux que tu me prennes.
Amir promena sa bite le long de la fente rose de la chatte de Marine, agaçant le clito. Puis il la présenta à l’entrée de son con, le gros gland écarta la chatte et s’enfonça lentement, dilatant l’étroit vagin lubrifié, jusqu’à l’utérus. Un long gémissement de mon épouse accompagna la pénétration de son intimité que moi seul avait connue. Amir se mit à limer lentement sur toute la longueur de son engin, se retirant presque entièrement, pour replonger dans l’intimité du ventre de Marine. On n’entendait dans la pièce que le clapotement de l’accouplement dû à la chatte dégoulinante de liqueur, et les gémissements étouffés de Marine qui ondulait du bassin pour accompagner le rythme que lui imposait son amant pour mieux épouser la bite qui la travaillait.
Il ne fallut que quelques courtes minutes pour que les gémissements de ma femme deviennent rauques, que son visage s’assombrisse et qu’elle explose dans un orgasme dévastateur, les contractions de son vagin électrifiant tout son corps.
_ Tu aimes être prise par un vrai mâle hein !
__Oh ! Oui c’est bon tu me baise bien, tu vas profond, j’ai joui très fort.
Puis Amir la fit mettre en levrette, cuisses écartées, la position préférée de ma femme et la prenant par les hanches se remit à tringler Marine qui cambrait les reins pour s’offrir complètement à la pine qui la dilatait, la remplissant jusqu’au plus profond de son intimité.
Ils baisèrent ainsi longtemps, Amir la limant tantôt lentement et tantôt plus voilement, lui tordant le bout des seins, et lui claquant voilement les fesses, Marine gémissant :
__ Oh ! ouiii, encore, frappe encore salaud, oooh ouiii.
__ Tu aimes ça, hein !
__ Oh ouiii… Amir, c’est… c’est… boooonnn, ça… ça… m’exciiiite !
__ Mais t’es une vraie salope.
__ Oui je suis ta salope, c’est toi qui m’as fait salope.
__ Je peux te faire devenir encore plus salope si tu veux.
Puis Amir la fit recoucher sur le dos, lui glissa un coussin sous le cul, lui replia les jambes, passant ses bras sous celles-ci se renfonça en elle d’un seul coup, et recommença à la tringler, cette fois beaucoup plus violement.
Il la baisa longtemps, ralentissant quand il sentait sa semence monter, puis recommençant quand la tension retombait. Au bout de longues minutes de va-et-vient, il accéléra le rythme, pour se déchaîner, la baisant sauvagement en la traitant de salope et de pute blonde. Ce traitement projeta mon épouse dans un dernier orgasme qui fit trembler tout son être, se mordant les lèvres pour ne pas crier. Amir poussa un râle et après un dernier assaut se retira au tout dernier moment, envoyant un puissant premier jet de sperme dans le vagin et projetant le reste de l’abondante semence sur le corps épuisé et comblé de Marine, entièrement conquise et soumise à son amant.
Avant que Marine ne parte il la saisit contre lui, lui roula un long patin, et lui dit :
__ Avoue que tu n’as jamais été baisée comme ça.
__ Oui c’est vrai j’ai beaucoup joui.
__ Tu aimes ma bite, elle est plus grosse que celle de ton mari, avoue.
__ Oh ! Oui elle est bien meilleure.
__ On remet ça quand ma petite salope ?
__ Samedi matin, viens chez moi, mon mari commence le travail à 4 heures, on sera tranquilles jusqu'à midi.
__ Ok, ma poule.
Et ils s’embrasserent longuement avant de se séparer.
Marine lui donnait rendez-vous chez nous le samedi matin, et ils baisaient toute la matinée dans le lit conjugal.
Un samedi matin, Amir s’est présenté chez nous avec un de ses potes, Malik, soit disant pour boire le café.
Celui-ci était un maghrébin très typé qui devait avoir presque 40 ans.
Marine ne portait qu’un déshabillé léger, presque transparent.
Gênée et rouge de confusion, ma femme voulut aller se changer, mais Amir la retint et lui dit :
__ Non reste comme tu es, Je veux que Malik te voie ainsi, il sait que tu es mariée et que tu es ma maîtresse. Je veux qu’il voie comme tu es bien roulée.
Marine voulut protester, mais Amir la fit taire en lui roulant un baiser coquin.
Ma femme alla préparer le café.
Quand elle revint au salon, Amir et Malik étaient assis sur le canapé.
Elle les servit, puis Amir la prenant par la main, la fit asseoir entre eux. Amir a sa gauche et Malik a sa droite.
Mon épouse devint cramoisie mais s’exécuta.
Ils commencèrent à boire le café, quand Amir commença à embrasser ma femme, en lui caressant la cuisse, Gauche écartant peu a peu le léger vêtement, découvrant sa jambe presque jusqu’au pubis.
Marine était très gênée, pourtant la situation l’existait mais elle évitait de regarder MaliK.
Soudain elle sursautât. Elle avait senti la main de Malik se poser sur son genoux droit.
Elle allait se lever, mais Amir la retint en l’embrassant longuement, faisant signe à Malik de continuer.
Sous la chaleur du baiser, Marine avait noué ses deux bras autour du cou d’Amir, et continuait d’enrouler sa langue autour de celle d’Amir, exigée par ma main de Malik qui, après avoir dégagé le fin tissu lui caressait sa cuisse nue j’usqu’a effleurer son mont de venus.
Instinctivement elle ouvrit les jambes, s’abandonnant a la caresse de Malik.
Ses seins étaient maintenant durs, les tétins érigés semblaient crever le tissu, et elle sentait l’humidité gluante de sa chatte.
Amir, abandonnant ses lèvres dit à Malik :
__ Roule-lui un patin, tu verras comme elle sait bien faire. ,puis s’adressant à Marine Qui se raidissait :
__ Juste un pour me faire plaisir. Ma femme se tourna ver Malik, et soudain se figeât.
Malik avait sorti une queue longue et large de pantalon et se branlait.
Il attira Marine à lui et commençât à l’embrasser.
Marine s’abandonnât à la caresse buccale, Malik en homme d’expérience embrassait bien, même mieux qu’Amir.
Celui-ci pendant ce temps avait dénoué les cordons du déshabillé et l’avait ouvert complètement et caressait le sein de mon épouse.
Malik saisir tout en l’embrassant la petite main de Marine te la posa sur son engin
Distendu par l’érection.
Ma femme enroula ses doigts autour de la verge et commença à le masturber.
Au bout de quelques minutes Amir souleva Marine, fit tomber le peignoir et la portât sur le lit
Elle restât là, immobile, offerte pendant que les deux mâles se déshabillaient.
Elle admirait Malik homme mur aux pectoraux saillants, la poitrine entièrement couverte de poils noirs. Et surtout son sexe aux dimensions impressionnantes ou était accroché une énorme paire de couilles.
Ce fut Amir qui lui présenta sa bite pour une fellation.
Pendant ce temps Malik lui avait écarté les jambes et lui léchait la chatte, et il savait y faire, car Marine commença à gémir.
__ Tu aimes ça hein ! salope. Tu as su tout de suite quand tu as vu Malik ce qui allait arriver, Je l’ai vu à ton regard, petite pûte. Puis s’adressant à MaliK :
__ Vas y, baise la.
__ Demande à Malik de te baiser , dis-lui que t’es une salope qui fait cocu son mari et que tu veux qu’il te possède.
Marine, maintenant complètement excitée, la chatte dégoulinante, se déchaînait :
__ Malik, baise-moi Malik je suis une salope, je fais cocu mon mari et ça m’excite, depuis qu’Amir m’a baisée je ne peux plus me passer de sa grosse queue, enfile-moi Malik, je suis une salope, une vraie salope ! ! !
__ Ecarte bien j’arrive. Puis il dit des paroles en arabe en regardant Amir.
Malik vint sur elle, son corps brun, son buste couvert de poils noirs contrastait avec la peau laiteuse de ma femme.
Malik, prit sa bite en main et dirigea le gland a l’entrée du con de Marine déjà bien dilaté par Amir.
La queue sombre, presque noire commença à pénétrer la chatte rose de ma femme.
Amir guettait la réaction de mon épouse qui elle-même s’était appuyée sur les coudes
Pour voir l’engin la pénétrer lentement, son nouvel amant faisant durer le plaisir
Sous la poussée sentant son vagin se dilater à l’extrême, Marine ouvrit la bouche et écarquilla les yeux.
Soudain, Malik, poussa violemment son instrument à fond, et Marine poussa un cri et eut un mouvement de recul quand le sexe de son dominateur vint buter au fond de son ventre.
Puis la bite de Malik se mit a coulisser dans la chatte offerte de ma femme., qui avait enroulé ses jambes autour des reins de son nouvel amant.
Amir les regardait s’accoupler en se branlant, se délectant avec un sourire malicieux des râles et des cris de plaisir de cette femelle blonde.
Il s’approcha d’elle et tous deux se mirent à s’embrasser vicieusement, langue entièrement sortie de la bouche, puis marine poussa un hurlement de plaisir, explosant dans un orgasme qui la terrassait.
Voyant cela, Malik s’abandonnât aussi, envoyant au plus profond de la chatte dans le ventre fécond de mon épouse, de longs et puissants jets de semence chaude et épaisse.
Quand il se retira, un flot de sperme s’échappa de la chatte dilatée, pour s’écouler sur le drap, pendant que marine, le corps parcouru de spasmes, gisait sur le lit bras et jambes écartées, épuisée de plaisir.
A suivre.
Un jour j’ai découvert (accidentellement )le journal intime (très très intime de ma femme )
Sa lecture au lieu de me mettre en colère, m’excita énormément.
Quand je dis à mon épouse que j’avais lu son journal, elle prit peur et se mit à trembler, mais je la rassurais très vite et Je lui avouai que cela m’excitait terriblement de me savoir cocu, que c’était un de mes fantasmes, que je ne lui en voulais pas, bien au contraire, qu’elle pouvait continuer.
(Et oui, je suis un cocu content)
Les premiers faits se sont déroulés il y a maintenant bien longtemps, En mille neuf cent quatre-vingt-un. Nous venions de nous marier un an auparavant. Ma femme Marine, un mètre soixante cinq, très jolie frimousse, cheveux blonds, teint de lait, yeux bleus, poitrine quatre-vingt-dix B, venait d’avoir vingt ans. Moi, j’en avais vingt-cinq, blond au yeux bleus, le teint clair plutôt genre minet.
Je me suis toujours demandé pourquoi elle m’avait épousé car son regard est toujours attiré par des hommes très bruns athlétiques au teint mat, ou de type magrebin.
Je suis plutôt doux et attentionné dans nos ébats.
Quand je l’ai connue, elle était vierge. Moi aussi, d’ailleurs. À cette époque, le sida ne sévissait pas encore, du moins chez nous, et nous pouvions nous permettre d’avoir des rapports non protégés. Ma femme travaillait dans une usine de confection, et moi je travaillais en poste dans une usine.
Pendant sa pause déjeuner, Marine, avec trois de ses copines, environ du même âge qu’elle, allait prendre le café dans un bar nommé l’Hacienda qui faisait aussi dancing. Là, elles avaient fait connaissance avec deux ou trois jeunes et discutaient souvent ensemble.
L’un d’eux, Amir, un beau jeune homme de dix-neuf ans d’origine marocaine, très séduisant, cheveux noirs , teint mat, yeux bruns, grand, musclé, larges épaules, leur plaisait particulièrement. Il avait la réputation d’un grand séducteur avec les filles du quartier, et celle d’être un très bon amant. Les trois copines de ma femme, plutôt mignonnes, et qui n’étaient pas mariées, rivalisaient de charme pour le séduire, mais lui, curieusement semblait plutôt intéressé par ma femme.
Lorsqu’ils se faisaient la bise, il s’arrangeait toujours pour l’embrasser près des lèvres. Je pense que séduire une femme mariée et faire un cocu l’excitait.
Marine, comme ses copines, n’était pas insensible à son charme mais, répondait-elle aux remarques de ses copines, «je suis mariée et j’aime mon mari ».
Un jour, alors qu’ils discutaient de leurs chanteurs préférés, ma femme lui dit qu’elle aimait le groupe téléphone. Amir lui dit qu’il avait toute la collection de leur disques et qu’il pouvait lui en prêter. Ma femme accepta et ils se donnèrent rendez-vous à dix-sept heures devant chez lui. À dix-sept heures, mon épouse rejoignit Amir devant chez lui. Il vivait chez ses parents. Là, il la pria d’entrer. Ma femme, dans un premier temps, refusa. Il insista :
__ Viens, j’aimerais te faire entendre un disque que j’aime beaucoup.
Marine finit par accepter mais précisa :
__Pas plus de 10 minutes, mon mari m’attend.
Inconsciemment, elle savait qu’en qualité de femme mariée, Amir voulait se la faire. Dans l’entrée, elle refusa plusieurs fois d’entrer dans sa chambre où étaient ses disques puis finit par accepter. Amir la fit asseoir sur le lit, mit le disque et vint s’asseoir près d’elle. Tout en discutant, il mit innocemment le bras autour de ses épaules. Au bout d’un moment, il l’embrassa sur la joue, puis dans le cou. Marine qui était très attirée par Amir sentit ses seins devenir durs, et l’humidité envahir son entrejambes. Dans un éclair de lucidité, elle dit qu’elle devait partir car je l’attendais. Amir lui dit qu’elle lui plaisait beaucoup et lui demanda si elle était d’accord pour le revoir le lendemain.
Mon épouse était tiraillée entre le désir et le fait qu’elle soit mariée. Mais l’attirance qu’elle avait pour Amir finit par l’emporter et elle accepta.
Cette nuit la, elle ne dormit presque pas, elle s’était même branlée en pensant à Amir.
Le lendemain, à dix-sept heures, elle se rendit chez lui. Dans le vestiaire, elle s’était habillée très sexy, soutien gorge à ballonnets, chemisier moulant entrouvert, bas et porte jarretelles et la jupe noire fendue, celle qu’elle ne mettait habituellement que chez nous lors de nos soirées intimes. Puis avait enfilé par dessus son imper pour dissimuler sa tenue. Ils entrèrent directement dans la chambre. Amir avait fermé les volets, allumé une petite lampe rouge qui créait une ambiance très intime. Ils s’assirent côte-à-côte sur le lit. La fente de la jupe découvrit sa cuisse gainée de Nylon laissant apparaître une jarretelle rouge. Amir prit ses lèvres, et posa sa main sur le haut de cette cuisse offerte, leurs langues se nouèrent, pendant que le jeune homme avec l’autre main lui caressait le dos. À ce stade, Marine était complètement séduite, elle s’offrait, sans retenue à ce beau brun qu’elle désirait ardemment.
Puis la main de Amir glissa sur son corsage, lui prit un sein. Les boutons du corsage ne tardèrent pas à sauter et ses deux seins blancs dans un soutien-gorge à ballonnets noir et rouge apparurent. Au bout d’un moment, Amir, tout en l’embrassant, lui ôta son corsage et dégrafa son soutien-gorge. Les seins étaient durs et les bouts pointaient au centre de la large aréole brune. Marine haletait, elle était brûlante Puis Amir la coucha sur le lit et entreprit de lui retirer sa jupe. Marine attendait, les yeux fermés, avec, malgré tout un reste de pudeur (simulée ?), Et quelques secondes plus tard elle était entièrement nue, excepté ses bas et ses portes jarretelles, qu’elle avait mis pour l’occasion. Dans une discussion antérieure il avait dit qu’il aimait les bas.
Amir couvrit son corps de baisers, lui malaxa les seins, suça les bouts érigés, ce qui fit gémir Marine, puis au bout d’un moment il lui dit :
__ Déshabille-moi.
Ils se levèrent et ma femme, lui ôta lentement sa chemise, découvrant sa poitrine velue, puis son pantalon. Une énorme bosse distendait le slip et le gland de son sexe en érection dépassait de celui-ci. Marine s’arrêta, regardant Amir dans les yeux, la main posée sur la grosseur déformant le sous-vêtement.
Puis lentement, le regardant toujours dans les yeux elle fit glisser le slip qui tombât sur les chevilles de Amir.
Elle venait de découvrir une longue et grosse bite très sombre, (émergeant d’une foret de poils noirs) surmontée d’un énorme gland circoncis. L’engin, en pleine érection, presque à la verticale, était de dimension impressionnante (aux dires de Marine). __ __Suce, ordonna Amir.
Elle saisit la bite tendue, sa petite main en faisait difficilement le tour, elle était dure comme du fer. Elle commença à le branler, puis posa ses lèvres sur le gland ou pointait une goutte de liquide préseminal, et commença une fellation en s’appliquant. (Marine n’avait pas beaucoup d’expérience dans ce domaine.)
Amir la saisit par les cheveux la forçant à aller plus profond dans sa bouche.
__ Oui, comme ça, tu suces bien.
Au bout d’un moment, Amir la poussât sur le lit.
Le jeune homme caressait le corps nu et Marine cherchait constamment les lèvres de son jeune amant, avide de sa langue. Au bout d’un moment, caressant sa chatte, Amir lui introduisit un doigt qu’il ressortit trempé. Comme m’a dit Marine : « il a compris que j’étais à point, que je n’en pouvais plus, que j’avais envie et que je voulais me faire tirer ». Amir demanda :
__Tu prends la pilule ?
__Non, répondit Marine, J’ai toujours été fidèle à mon mari, nous faisons attention, il se retire, si un accident arrivait ce ne serait pas grave, nous sommes mariés.
__J’essaierai de faire attention, dit Amir, mais je ne te garantis rien il y a toujours un risque.
__ Tant pis. Viens, j’ai trop envie, je veux que tu me prennes, que tu me baises.
D’une main, Amir fit pression sur l’intérieur des cuisses, et ma jeune épouse écarta largement ses jambes, les genoux légèrement fléchis. Amir s’installa entre ses jambes, et dirigea sa queue contre la chatte dégoulinante de Marine dont il écarta les lèvres.
Tu veux vraiment faire cocu ton mari ? demanda Amir, dominateur triomphant et sûr de lui en vrai mâle viril comme le sont la plupart des arabes
__ Oui, répondit Marine dans un souffle à peine audible, je veux que tu me prennes.
Amir promena sa bite le long de la fente rose de la chatte de Marine, agaçant le clito. Puis il la présenta à l’entrée de son con, le gros gland écarta la chatte et s’enfonça lentement, dilatant l’étroit vagin lubrifié, jusqu’à l’utérus. Un long gémissement de mon épouse accompagna la pénétration de son intimité que moi seul avait connue. Amir se mit à limer lentement sur toute la longueur de son engin, se retirant presque entièrement, pour replonger dans l’intimité du ventre de Marine. On n’entendait dans la pièce que le clapotement de l’accouplement dû à la chatte dégoulinante de liqueur, et les gémissements étouffés de Marine qui ondulait du bassin pour accompagner le rythme que lui imposait son amant pour mieux épouser la bite qui la travaillait.
Il ne fallut que quelques courtes minutes pour que les gémissements de ma femme deviennent rauques, que son visage s’assombrisse et qu’elle explose dans un orgasme dévastateur, les contractions de son vagin électrifiant tout son corps.
_ Tu aimes être prise par un vrai mâle hein !
__Oh ! Oui c’est bon tu me baise bien, tu vas profond, j’ai joui très fort.
Puis Amir la fit mettre en levrette, cuisses écartées, la position préférée de ma femme et la prenant par les hanches se remit à tringler Marine qui cambrait les reins pour s’offrir complètement à la pine qui la dilatait, la remplissant jusqu’au plus profond de son intimité.
Ils baisèrent ainsi longtemps, Amir la limant tantôt lentement et tantôt plus voilement, lui tordant le bout des seins, et lui claquant voilement les fesses, Marine gémissant :
__ Oh ! ouiii, encore, frappe encore salaud, oooh ouiii.
__ Tu aimes ça, hein !
__ Oh ouiii… Amir, c’est… c’est… boooonnn, ça… ça… m’exciiiite !
__ Mais t’es une vraie salope.
__ Oui je suis ta salope, c’est toi qui m’as fait salope.
__ Je peux te faire devenir encore plus salope si tu veux.
Puis Amir la fit recoucher sur le dos, lui glissa un coussin sous le cul, lui replia les jambes, passant ses bras sous celles-ci se renfonça en elle d’un seul coup, et recommença à la tringler, cette fois beaucoup plus violement.
Il la baisa longtemps, ralentissant quand il sentait sa semence monter, puis recommençant quand la tension retombait. Au bout de longues minutes de va-et-vient, il accéléra le rythme, pour se déchaîner, la baisant sauvagement en la traitant de salope et de pute blonde. Ce traitement projeta mon épouse dans un dernier orgasme qui fit trembler tout son être, se mordant les lèvres pour ne pas crier. Amir poussa un râle et après un dernier assaut se retira au tout dernier moment, envoyant un puissant premier jet de sperme dans le vagin et projetant le reste de l’abondante semence sur le corps épuisé et comblé de Marine, entièrement conquise et soumise à son amant.
Avant que Marine ne parte il la saisit contre lui, lui roula un long patin, et lui dit :
__ Avoue que tu n’as jamais été baisée comme ça.
__ Oui c’est vrai j’ai beaucoup joui.
__ Tu aimes ma bite, elle est plus grosse que celle de ton mari, avoue.
__ Oh ! Oui elle est bien meilleure.
__ On remet ça quand ma petite salope ?
__ Samedi matin, viens chez moi, mon mari commence le travail à 4 heures, on sera tranquilles jusqu'à midi.
__ Ok, ma poule.
Et ils s’embrasserent longuement avant de se séparer.
Marine lui donnait rendez-vous chez nous le samedi matin, et ils baisaient toute la matinée dans le lit conjugal.
Un samedi matin, Amir s’est présenté chez nous avec un de ses potes, Malik, soit disant pour boire le café.
Celui-ci était un maghrébin très typé qui devait avoir presque 40 ans.
Marine ne portait qu’un déshabillé léger, presque transparent.
Gênée et rouge de confusion, ma femme voulut aller se changer, mais Amir la retint et lui dit :
__ Non reste comme tu es, Je veux que Malik te voie ainsi, il sait que tu es mariée et que tu es ma maîtresse. Je veux qu’il voie comme tu es bien roulée.
Marine voulut protester, mais Amir la fit taire en lui roulant un baiser coquin.
Ma femme alla préparer le café.
Quand elle revint au salon, Amir et Malik étaient assis sur le canapé.
Elle les servit, puis Amir la prenant par la main, la fit asseoir entre eux. Amir a sa gauche et Malik a sa droite.
Mon épouse devint cramoisie mais s’exécuta.
Ils commencèrent à boire le café, quand Amir commença à embrasser ma femme, en lui caressant la cuisse, Gauche écartant peu a peu le léger vêtement, découvrant sa jambe presque jusqu’au pubis.
Marine était très gênée, pourtant la situation l’existait mais elle évitait de regarder MaliK.
Soudain elle sursautât. Elle avait senti la main de Malik se poser sur son genoux droit.
Elle allait se lever, mais Amir la retint en l’embrassant longuement, faisant signe à Malik de continuer.
Sous la chaleur du baiser, Marine avait noué ses deux bras autour du cou d’Amir, et continuait d’enrouler sa langue autour de celle d’Amir, exigée par ma main de Malik qui, après avoir dégagé le fin tissu lui caressait sa cuisse nue j’usqu’a effleurer son mont de venus.
Instinctivement elle ouvrit les jambes, s’abandonnant a la caresse de Malik.
Ses seins étaient maintenant durs, les tétins érigés semblaient crever le tissu, et elle sentait l’humidité gluante de sa chatte.
Amir, abandonnant ses lèvres dit à Malik :
__ Roule-lui un patin, tu verras comme elle sait bien faire. ,puis s’adressant à Marine Qui se raidissait :
__ Juste un pour me faire plaisir. Ma femme se tourna ver Malik, et soudain se figeât.
Malik avait sorti une queue longue et large de pantalon et se branlait.
Il attira Marine à lui et commençât à l’embrasser.
Marine s’abandonnât à la caresse buccale, Malik en homme d’expérience embrassait bien, même mieux qu’Amir.
Celui-ci pendant ce temps avait dénoué les cordons du déshabillé et l’avait ouvert complètement et caressait le sein de mon épouse.
Malik saisir tout en l’embrassant la petite main de Marine te la posa sur son engin
Distendu par l’érection.
Ma femme enroula ses doigts autour de la verge et commença à le masturber.
Au bout de quelques minutes Amir souleva Marine, fit tomber le peignoir et la portât sur le lit
Elle restât là, immobile, offerte pendant que les deux mâles se déshabillaient.
Elle admirait Malik homme mur aux pectoraux saillants, la poitrine entièrement couverte de poils noirs. Et surtout son sexe aux dimensions impressionnantes ou était accroché une énorme paire de couilles.
Ce fut Amir qui lui présenta sa bite pour une fellation.
Pendant ce temps Malik lui avait écarté les jambes et lui léchait la chatte, et il savait y faire, car Marine commença à gémir.
__ Tu aimes ça hein ! salope. Tu as su tout de suite quand tu as vu Malik ce qui allait arriver, Je l’ai vu à ton regard, petite pûte. Puis s’adressant à MaliK :
__ Vas y, baise la.
__ Demande à Malik de te baiser , dis-lui que t’es une salope qui fait cocu son mari et que tu veux qu’il te possède.
Marine, maintenant complètement excitée, la chatte dégoulinante, se déchaînait :
__ Malik, baise-moi Malik je suis une salope, je fais cocu mon mari et ça m’excite, depuis qu’Amir m’a baisée je ne peux plus me passer de sa grosse queue, enfile-moi Malik, je suis une salope, une vraie salope ! ! !
__ Ecarte bien j’arrive. Puis il dit des paroles en arabe en regardant Amir.
Malik vint sur elle, son corps brun, son buste couvert de poils noirs contrastait avec la peau laiteuse de ma femme.
Malik, prit sa bite en main et dirigea le gland a l’entrée du con de Marine déjà bien dilaté par Amir.
La queue sombre, presque noire commença à pénétrer la chatte rose de ma femme.
Amir guettait la réaction de mon épouse qui elle-même s’était appuyée sur les coudes
Pour voir l’engin la pénétrer lentement, son nouvel amant faisant durer le plaisir
Sous la poussée sentant son vagin se dilater à l’extrême, Marine ouvrit la bouche et écarquilla les yeux.
Soudain, Malik, poussa violemment son instrument à fond, et Marine poussa un cri et eut un mouvement de recul quand le sexe de son dominateur vint buter au fond de son ventre.
Puis la bite de Malik se mit a coulisser dans la chatte offerte de ma femme., qui avait enroulé ses jambes autour des reins de son nouvel amant.
Amir les regardait s’accoupler en se branlant, se délectant avec un sourire malicieux des râles et des cris de plaisir de cette femelle blonde.
Il s’approcha d’elle et tous deux se mirent à s’embrasser vicieusement, langue entièrement sortie de la bouche, puis marine poussa un hurlement de plaisir, explosant dans un orgasme qui la terrassait.
Voyant cela, Malik s’abandonnât aussi, envoyant au plus profond de la chatte dans le ventre fécond de mon épouse, de longs et puissants jets de semence chaude et épaisse.
Quand il se retira, un flot de sperme s’échappa de la chatte dilatée, pour s’écouler sur le drap, pendant que marine, le corps parcouru de spasmes, gisait sur le lit bras et jambes écartées, épuisée de plaisir.
A suivre.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mario38
18 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est un peu ce qu'il m'arrive ! En déplacement, ma femme est allée en boite avec des copines elle a été attirée par un arabe et c'est pour te ramener chez elle. elle s'est laissée aller et il l'a prise comme une chienne dans notre lit ! Lui aussi il y a à ramener Hakim, un gars de 42 ans.........
huuuuuummm ! j'aime et je bande méchant !
moi je suis un arabe et j'aimerai tant savoir quel sont ces mots en arabe qu il a chuchote a son pote sa doit être excitant . Superbe histoire.
la suite
la suite
superbe histoire trés bandante. ça doit etre trés excitant d'avoir unefemme aussi
salope qui se fait sauter aussi facilement. compliment pour tes cornes, et elles
doivent etres belles!!!
salope qui se fait sauter aussi facilement. compliment pour tes cornes, et elles
doivent etres belles!!!
Superbe histoire trés bandante, Mario . si elle est vraie, (et je pense que oui) ta
femme est une sacrée salope et tu n'as pas fini d'etre cocu (si elle ne finit pas
enceinte a baiser sans protection ni contraceptif). J'attend la suite de ses aventures.
femme est une sacrée salope et tu n'as pas fini d'etre cocu (si elle ne finit pas
enceinte a baiser sans protection ni contraceptif). J'attend la suite de ses aventures.
Bonne année Mario et merci pour ton histoire qui m'a bien fait bander !
Merci pour ta réaction à la lecture de mon histoire "CAMILLE Épisode 1".
J'ai suivi ton pseudo et j'ai lu ton histoire. j'adore ton écriture et la précision
des détails. Est ce une histoire vraie? Moi, je dirais bien...que oui.
Mais par pitié, donne vite la suite.
Moi, je t'encourage à continuer d'écrire.
Si tu veux me contacter, n'hésite surtout pas.
J'ai suivi ton pseudo et j'ai lu ton histoire. j'adore ton écriture et la précision
des détails. Est ce une histoire vraie? Moi, je dirais bien...que oui.
Mais par pitié, donne vite la suite.
Moi, je t'encourage à continuer d'écrire.
Si tu veux me contacter, n'hésite surtout pas.
Récit bien raconté. Vivement la suite. Merci.
bandant ton recit, une suite bientot?
merci pour ton message pour mon récit 'dentiste, mais rugbyman avant tout' moi aussi je suis fan de récits concernant troi, adulteres, candaulisme ect je me brale devant un récit comme 'le journal intime de ma femme ' !!!Georges
suite ??
Je m'appelle Marine aussi. Cette histoire ne me laisse pas indifférente. Une suite, vite
!
!
Ton récit est très excitant et bien écrit.C'est super d'être marié à une femme qui a des
amants avec mon accord,la première fois sur ma demande elle a accepté de se donner dans
une chambre d'hôtel.
amants avec mon accord,la première fois sur ma demande elle a accepté de se donner dans
une chambre d'hôtel.
Superbe narration d'un cocufiage.j'attends une suite qui ne devrait pas manquer
d'intérêt, vu l'envie de Marine.
d'intérêt, vu l'envie de Marine.
on veut vite la suite..superbe..
Bigrement excitant ! Apprendre que ma femme aurait fait ça m'exciterait peut-être, mais
j'aimerais surtout la voir baiser avec d'autres, participant moi aussi. Je lirai la
suite avec plaisir
Vanclive
j'aimerais surtout la voir baiser avec d'autres, participant moi aussi. Je lirai la
suite avec plaisir
Vanclive
la suite vite
Oui oui la suite! Les femmes souvent cachent bien leurs jeux !! Les coquines!!