Le lapin braisé

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Le lapin braisé
Partie 1 : Mise en bouche
Myriam et Marc formaient un couple depuis cinq ans, une union qui semblait équilibrée aux yeux du monde extérieur, mais qui cachait une intimité aux contours mouvants. Marc, 35 ans, était un entrepreneur dans l’édition – un homme aux yeux bleus perçants, tête rasée, épaules carrées, qui dirigeait sa maison d’édition indépendante avec une confiance affirmée. Dans les réunions avec auteurs et imprimeurs, sa voix portait, son assurance imposait, et ses décisions façonnaient des carrières. Mais au lit, il était un "switch", capable de dominer avec une intensité magnétique ou de se plier aux désirs de Myriam, une brunette élancée au regard acéré, gérante d’une boutique d’artisanat et architecte de leurs jeux secrets. Elle adorait ce contraste – son homme puissant le jour, prêt à s’effacer pour elle la nuit.
Un an plus tôt, Myriam avait croisé Tony, un menuisier au physique brut – biceps tatoués, barbe broussailleuse, une voix grave qui grondait comme un moteur. Rencontré lors d’un vernissage organisé par un auteur de Marc, Tony avait capté son attention avec son assurance animale, et Myriam en avait fait son amant avec l’accord tacite de son compagnon. Quand elle le décidait, Marc basculait en soumis, un rôle qu’il endossait avec une dévotion troublante, sa confiance d’éditeur s’évanouissant sous ses ordres.
Un jeudi d’octobre, la sœur de Myriam leur avait prêté son chalet dans les Laurentides – un refuge magnifique au bord d’un lac, entouré de pins et de montagnes rougeoyantes sous l’automne. “J’pars quatre jours avec Tony,” avait-elle annoncé à Marc, un éclat joueur dans les yeux, en bouclant son sac. “Toi, tu nous rejoins samedi soir, juste une soirée. J’veux que tu cuisines – du lapin, Tony adore ça.” Marc, assis dans son bureau à la maison, un manuscrit annoté devant lui, avait levé ses yeux bleus vers elle, un sourire en coin trahissant sa curiosité masochiste. “Et pendant que je cuisine ?” avait-il demandé, sa voix grave d’entrepreneur teintée d’une soumission naissante.
Myriam s’était approchée, posant une main possessive sur son épaule carrée. “Tu verras,” avait-elle murmuré, un sourire cruel aux lèvres. “Mais tu seras mon bon cuck, hein ? Tony et moi, on aura besoin d’espace.” Marc avait senti une chaleur familière lui monter au ventre, son assurance professionnelle cédant à son regard. “OK,” avait-il répondu, ses yeux bleus plongés dans les siens, un mélange de défi et d’abandon. “Je ferai ton lapin.”
Le lendemain matin, Myriam était partie avec Tony dans son pick-up, laissant Marc à ses réunions avec des auteurs et ses échéances de publication. Au chalet, les deux premiers jours furent une plongée dans une débauche brute. Tony, torse nu dès l’aube, coupait du bois dehors, sa sueur luisant sous le soleil d’automne, tandis que Myriam, en short et débardeur, le provoquait depuis la terrasse. “T’es trop lent,” lançait-elle, riant, avant qu’il ne la plaque contre la balustrade, ses mains brutales arrachant son short pour la prendre là, en plein air, ses cris résonnant jusqu’au lac. Les nuits, ils baisaient sur le tapis du salon, devant la cheminée, Tony la dominant avec une force qui la faisait hurler, ses grognements – “T’es à moi, hein ?” – mêlés à ses gémissements.
Marc, à Montréal, relisait des épreuves, négociait des droits, mais chaque soir, il recevait un texto de Myriam – “Tony me baise encore. Pense à ton lapin” – qui le ramenait à sa place de cuck, une tension qu’il portait en silence jusqu’au samedi, son rôle… un peu particulier… prêt à s’activer.
Partie 2 : Trois amis pour souper
Le samedi après-midi, Marc a pris la route des Laurentides dans sa Tesla, la glacière à l’arrière contenant un lapin frais, des herbes et une bouteille de vin rouge – le repas exigé par Myriam. Les textos qu’elle lui avait envoyés pendant ses quatre jours avec Tony – “Il me prend encore sur la table”, “Ton lapin a intérêt à être bon” – avaient semé une tension qu’il portait dans son corps, son assurance habituelle prête à basculer en soumission sous ses ordres.
Il est arrivé au chalet vers 17h, le soleil d’automne jetant une lueur rougeoyante sur le lac. La porte était entrouverte, et des rires filtraient du salon – Myriam, aiguë et provocante, Tony, grave et rauque. Marc a poussé la porte, son sac à l’épaule, et les a trouvés dans le salon adjacent à la cuisine ouverte, en pleine vue. Myriam, brunette foncée à la chevelure garnie et sensuelle, était à califourchon sur Tony. Sa peau tatouée – une rose sur l’épaule, une vague sur la hanche – brillait de sueur sous un débardeur moulant qui soulignait ses gros seins voluptueux. Tony, torse nu en jeans, ses muscles lisses dégoulinant d’une transpiration masculine, pétrissait ses cuisses. Ils s’embrassaient sauvagement, et Tony a glissé une main sous son short, arrachant un gémissement qu’elle a amplifié en apercevant Marc. “T’es là, enfin,” a-t-elle lancé, un sourire moqueur mais teinté d’amour et de reconnaissance dans les yeux – elle savait qu’il était assez fou pour jouer à ce truc intense avec elle.
Marc, ses yeux bleus perçants voilés d’une lueur soumise, a posé la glacière sur le comptoir, à quelques mètres, le salon sous ses yeux. “J’vais faire le lapin,” a-t-il dit, sa voix grave s’adoucissant sous son regard. Tony a ricané, caressant le cul de Myriam à travers le tissu. “Bonne idée. Nous, on a déjà commencé.” Myriam s’est détachée une seconde, ses yeux croisant les siens. “Cuisine, mais regarde bien. Tu seras utile, OK, cuck ?”
Il s’est mis au travail, sortant le lapin, les herbes, une cocotte, mais ses yeux revenaient sans cesse au salon. Tony a arraché le débardeur de Myriam, dévoilant ses gros seins qui tressautaient, et a baissé son short, exposant son sexe rasé pour lui – lisse, prêt pour son amant. “T’es tellement dur,” a-t-elle gémi alors qu’il l’a plaquée sur le plancher, évitant le tapis du chalet de sa sœur, enfonçant sa queue massive en elle, “t’es tellement gros dans ma chatte !” Ses cris résonnaient dans la pièce ouverte tandis qu’il faisait revenir l’ail et les oignons, la sueur perlant sur sa tête rasée, son sexe durcissant sous le spectacle. Myriam, femme fontaine, a joui vite, un jet clair éclaboussant le plancher sous elle, son corps tremblant sous Tony, qui grognait de plaisir.
À mi-cuisson, Myriam a crié depuis le salon : “Marc, du vin !” Il a pris la bouteille, deux verres, et s’est approché, les servant alors que Tony la pilonnait encore, ses coups faisant jaillir un nouveau flot sur le plancher. “Pose ça là,” a-t-elle ordonné entre deux gémissements, pointant une table basse. Marc s’est exécuté, ses épaules carrées tendues, leurs corps luisants à un mètre de lui, l’odeur de transpiration masculine de Tony et de sexe envahissant ses narines. “Reste,” a-t-elle ajouté, ses yeux brillant d’excitation. “Renifle-nous.”
Marc, basculant en soumission, s’est penché, son nez frôlant le cou tatoué de Myriam, inhalant son parfum mêlé de sueur et d’orgasme, une odeur qui la faisait frémir autant que lui. Puis, sous son regard impérieux, il s’est tourné vers Tony, reniflant son torse lisse mais trempé, sa transpiration d’homme brute et enivrante, et plus bas, là où leurs corps se rejoignaient, un mélange animal qui a fait gémir Myriam de plaisir. “Putain, oui,” a-t-elle grogné, folle de ce jeu d’odeur, tandis que Tony ricanait : “Il aime ton bull, hein ?”
Marc est retourné à la cuisine, finissant le lapin braisé pendant qu’ils continuaient, Tony jouissant sur les gros seins de Myriam avec un grognement rauque. “Lèche,” a-t-elle ordonné à Marc, et il s’est agenouillé près d’eux, sa langue glissant sur sa poitrine, goûtant le sperme chaud de Tony, puis plus bas, nettoyant son sexe rasé encore trempé de ses propres jets. Ils se sont levés, nus et luisants, et Marc leur a servi les assiettes à la table du salon, jouant son rôle de cuck docile. Tous trois ont mangé, Marc faisant le service – remplissant leurs verres, apportant les plats – tandis que Myriam caressait la cuisse de Tony sous la table. À un moment, elle a levé les yeux vers Marc, un sourire tendre mais moqueur. “J’adore que tu te sois occupé de tout pour nous,” a-t-elle dit, reconnaissante, sa voix mêlant amour et domination.
La soirée s’est étirée, Marc observant, ses yeux bleus captifs de leurs gestes – Myriam léchant une goutte de sauce sur les doigts de Tony, leurs murmures complices. Tony, bisexuel assumé, a lancé un regard à Marc, un sourire en coin. “T’aimes renifler, hein ? Moi, ça me fait bander.” Myriam, excitée par cette tension, l’a appelé près d’eux alors que Tony la reprenait sur le canapé. “Suce-le,” a-t-elle ordonné, et Marc s’est agenouillé, sa bouche glissant sur le gland de Tony, goûtant son sel, puis descendant le long de sa queue jusqu’à son cul, le léchant avec passion, bandé lui aussi comme un fou, nettoyant sa transpiration masculine sous leurs rires complices.
(à suivre...)
Myriam et Marc formaient un couple depuis cinq ans, une union qui semblait équilibrée aux yeux du monde extérieur, mais qui cachait une intimité aux contours mouvants. Marc, 35 ans, était un entrepreneur dans l’édition – un homme aux yeux bleus perçants, tête rasée, épaules carrées, qui dirigeait sa maison d’édition indépendante avec une confiance affirmée. Dans les réunions avec auteurs et imprimeurs, sa voix portait, son assurance imposait, et ses décisions façonnaient des carrières. Mais au lit, il était un "switch", capable de dominer avec une intensité magnétique ou de se plier aux désirs de Myriam, une brunette élancée au regard acéré, gérante d’une boutique d’artisanat et architecte de leurs jeux secrets. Elle adorait ce contraste – son homme puissant le jour, prêt à s’effacer pour elle la nuit.
Un an plus tôt, Myriam avait croisé Tony, un menuisier au physique brut – biceps tatoués, barbe broussailleuse, une voix grave qui grondait comme un moteur. Rencontré lors d’un vernissage organisé par un auteur de Marc, Tony avait capté son attention avec son assurance animale, et Myriam en avait fait son amant avec l’accord tacite de son compagnon. Quand elle le décidait, Marc basculait en soumis, un rôle qu’il endossait avec une dévotion troublante, sa confiance d’éditeur s’évanouissant sous ses ordres.
Un jeudi d’octobre, la sœur de Myriam leur avait prêté son chalet dans les Laurentides – un refuge magnifique au bord d’un lac, entouré de pins et de montagnes rougeoyantes sous l’automne. “J’pars quatre jours avec Tony,” avait-elle annoncé à Marc, un éclat joueur dans les yeux, en bouclant son sac. “Toi, tu nous rejoins samedi soir, juste une soirée. J’veux que tu cuisines – du lapin, Tony adore ça.” Marc, assis dans son bureau à la maison, un manuscrit annoté devant lui, avait levé ses yeux bleus vers elle, un sourire en coin trahissant sa curiosité masochiste. “Et pendant que je cuisine ?” avait-il demandé, sa voix grave d’entrepreneur teintée d’une soumission naissante.
Myriam s’était approchée, posant une main possessive sur son épaule carrée. “Tu verras,” avait-elle murmuré, un sourire cruel aux lèvres. “Mais tu seras mon bon cuck, hein ? Tony et moi, on aura besoin d’espace.” Marc avait senti une chaleur familière lui monter au ventre, son assurance professionnelle cédant à son regard. “OK,” avait-il répondu, ses yeux bleus plongés dans les siens, un mélange de défi et d’abandon. “Je ferai ton lapin.”
Le lendemain matin, Myriam était partie avec Tony dans son pick-up, laissant Marc à ses réunions avec des auteurs et ses échéances de publication. Au chalet, les deux premiers jours furent une plongée dans une débauche brute. Tony, torse nu dès l’aube, coupait du bois dehors, sa sueur luisant sous le soleil d’automne, tandis que Myriam, en short et débardeur, le provoquait depuis la terrasse. “T’es trop lent,” lançait-elle, riant, avant qu’il ne la plaque contre la balustrade, ses mains brutales arrachant son short pour la prendre là, en plein air, ses cris résonnant jusqu’au lac. Les nuits, ils baisaient sur le tapis du salon, devant la cheminée, Tony la dominant avec une force qui la faisait hurler, ses grognements – “T’es à moi, hein ?” – mêlés à ses gémissements.
Marc, à Montréal, relisait des épreuves, négociait des droits, mais chaque soir, il recevait un texto de Myriam – “Tony me baise encore. Pense à ton lapin” – qui le ramenait à sa place de cuck, une tension qu’il portait en silence jusqu’au samedi, son rôle… un peu particulier… prêt à s’activer.
Partie 2 : Trois amis pour souper
Le samedi après-midi, Marc a pris la route des Laurentides dans sa Tesla, la glacière à l’arrière contenant un lapin frais, des herbes et une bouteille de vin rouge – le repas exigé par Myriam. Les textos qu’elle lui avait envoyés pendant ses quatre jours avec Tony – “Il me prend encore sur la table”, “Ton lapin a intérêt à être bon” – avaient semé une tension qu’il portait dans son corps, son assurance habituelle prête à basculer en soumission sous ses ordres.
Il est arrivé au chalet vers 17h, le soleil d’automne jetant une lueur rougeoyante sur le lac. La porte était entrouverte, et des rires filtraient du salon – Myriam, aiguë et provocante, Tony, grave et rauque. Marc a poussé la porte, son sac à l’épaule, et les a trouvés dans le salon adjacent à la cuisine ouverte, en pleine vue. Myriam, brunette foncée à la chevelure garnie et sensuelle, était à califourchon sur Tony. Sa peau tatouée – une rose sur l’épaule, une vague sur la hanche – brillait de sueur sous un débardeur moulant qui soulignait ses gros seins voluptueux. Tony, torse nu en jeans, ses muscles lisses dégoulinant d’une transpiration masculine, pétrissait ses cuisses. Ils s’embrassaient sauvagement, et Tony a glissé une main sous son short, arrachant un gémissement qu’elle a amplifié en apercevant Marc. “T’es là, enfin,” a-t-elle lancé, un sourire moqueur mais teinté d’amour et de reconnaissance dans les yeux – elle savait qu’il était assez fou pour jouer à ce truc intense avec elle.
Marc, ses yeux bleus perçants voilés d’une lueur soumise, a posé la glacière sur le comptoir, à quelques mètres, le salon sous ses yeux. “J’vais faire le lapin,” a-t-il dit, sa voix grave s’adoucissant sous son regard. Tony a ricané, caressant le cul de Myriam à travers le tissu. “Bonne idée. Nous, on a déjà commencé.” Myriam s’est détachée une seconde, ses yeux croisant les siens. “Cuisine, mais regarde bien. Tu seras utile, OK, cuck ?”
Il s’est mis au travail, sortant le lapin, les herbes, une cocotte, mais ses yeux revenaient sans cesse au salon. Tony a arraché le débardeur de Myriam, dévoilant ses gros seins qui tressautaient, et a baissé son short, exposant son sexe rasé pour lui – lisse, prêt pour son amant. “T’es tellement dur,” a-t-elle gémi alors qu’il l’a plaquée sur le plancher, évitant le tapis du chalet de sa sœur, enfonçant sa queue massive en elle, “t’es tellement gros dans ma chatte !” Ses cris résonnaient dans la pièce ouverte tandis qu’il faisait revenir l’ail et les oignons, la sueur perlant sur sa tête rasée, son sexe durcissant sous le spectacle. Myriam, femme fontaine, a joui vite, un jet clair éclaboussant le plancher sous elle, son corps tremblant sous Tony, qui grognait de plaisir.
À mi-cuisson, Myriam a crié depuis le salon : “Marc, du vin !” Il a pris la bouteille, deux verres, et s’est approché, les servant alors que Tony la pilonnait encore, ses coups faisant jaillir un nouveau flot sur le plancher. “Pose ça là,” a-t-elle ordonné entre deux gémissements, pointant une table basse. Marc s’est exécuté, ses épaules carrées tendues, leurs corps luisants à un mètre de lui, l’odeur de transpiration masculine de Tony et de sexe envahissant ses narines. “Reste,” a-t-elle ajouté, ses yeux brillant d’excitation. “Renifle-nous.”
Marc, basculant en soumission, s’est penché, son nez frôlant le cou tatoué de Myriam, inhalant son parfum mêlé de sueur et d’orgasme, une odeur qui la faisait frémir autant que lui. Puis, sous son regard impérieux, il s’est tourné vers Tony, reniflant son torse lisse mais trempé, sa transpiration d’homme brute et enivrante, et plus bas, là où leurs corps se rejoignaient, un mélange animal qui a fait gémir Myriam de plaisir. “Putain, oui,” a-t-elle grogné, folle de ce jeu d’odeur, tandis que Tony ricanait : “Il aime ton bull, hein ?”
Marc est retourné à la cuisine, finissant le lapin braisé pendant qu’ils continuaient, Tony jouissant sur les gros seins de Myriam avec un grognement rauque. “Lèche,” a-t-elle ordonné à Marc, et il s’est agenouillé près d’eux, sa langue glissant sur sa poitrine, goûtant le sperme chaud de Tony, puis plus bas, nettoyant son sexe rasé encore trempé de ses propres jets. Ils se sont levés, nus et luisants, et Marc leur a servi les assiettes à la table du salon, jouant son rôle de cuck docile. Tous trois ont mangé, Marc faisant le service – remplissant leurs verres, apportant les plats – tandis que Myriam caressait la cuisse de Tony sous la table. À un moment, elle a levé les yeux vers Marc, un sourire tendre mais moqueur. “J’adore que tu te sois occupé de tout pour nous,” a-t-elle dit, reconnaissante, sa voix mêlant amour et domination.
La soirée s’est étirée, Marc observant, ses yeux bleus captifs de leurs gestes – Myriam léchant une goutte de sauce sur les doigts de Tony, leurs murmures complices. Tony, bisexuel assumé, a lancé un regard à Marc, un sourire en coin. “T’aimes renifler, hein ? Moi, ça me fait bander.” Myriam, excitée par cette tension, l’a appelé près d’eux alors que Tony la reprenait sur le canapé. “Suce-le,” a-t-elle ordonné, et Marc s’est agenouillé, sa bouche glissant sur le gland de Tony, goûtant son sel, puis descendant le long de sa queue jusqu’à son cul, le léchant avec passion, bandé lui aussi comme un fou, nettoyant sa transpiration masculine sous leurs rires complices.
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