Le lendemain de mon dépucelage.

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le lendemain de mon dépucelage. Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Le lendemain de mon dépucelage.
Je m’étais mis à l’abri des rayons du soleil. Les plus jeunes de mes cousins et cousines gambadaient autour des adultes toujours tablés. Toute la matinée, j’eus la tête ailleurs. J’avais hâte d’avoir des nouvelles de Christiane. Elle, qui m’avait dit le lendemain de mon dépucelage qu’il fallait pour le mieux de tous le monde, quand ne se vois plus pour l’instant. Qu’elle me ferait signe si elle détectait aucun danger pour quand se revoie.
Malgré moi, sans toujours m’en render compte, je ne quittais guère ma tante des yeux. Elle parlait avec ma mère. Je ne me lassais pas d’amirer ses cuisses que sa mini dévoilée. De ses seins libres sous son tee-shirt. Je revivais l’instant où ma bouche s’agitait sur son clitoris, et cette façon qu’elle avait d’extériorisé son plaisir. À un moment, je ne pus resister et allais m’isoler dans la grange pour me masturber.
Au moment d’aller rejoinder nos chambres, tout de même déçu de ne pas avoir eu de nouvelle de Christiane, je constatai que mes cousines, Lorette et Corinne avaient elles-aussi intégrées leurs couches.
Désappointé, je m’installai dans mon pieu dans le noir et sortis la culotte de ma tante. Agacé, j’avisais, pour très vite me mettre en tête d’aller jouer les voyeurs.
À tout hazard, j’allais rôder dans le couloirs désert. Toute la famille ayant regagner leurs chambres respectives. Je reconnus les voix de mes cousines, entrecoupées de petits rires excités. M’avançant, je parvins après avoir entrouvert la porte, à risqué un oeil à l’intérieur.
Assises sur leur lit, à la lueur du plafonnier, les deux jeunes filles se livraient à des confidences sur leur vie intime. Devant la porte je tendis l’oreille.
Très vite la voix de Lorette s’était voile, son récit l’avait manifestement excité. Elle prit alors Corinne par les épaules, mais celle-ci se dégagea.
-Laisse-moi, tu es folle!
-Et alors?
-Alors quoi?
Prétestant la chaleur dans la chamber, Lorette fit passer son tee-shirt par-dessus sa tête, et m’apparut pour mon plus grand plaisir nue. Ses seins lourds aux mamelons dresses se balancèrent sur sa poitrine. Corinne parut médusée.
-Qu’est-ce que tu fous, mais toi à l’aise, merde!
Corinne froça les sourcils et répliqua d’un ton pincé.
-Je sais ce que tu veux!
-Ah oui, tu sais ce que je veux, et alors?
-Pas ce soir.
-Et pourquoi pas?
Dans un movement d’humeur, Corinne se retourna et se coucha. Au bout de quelques minutes, ayanyretrouvé son clme, elle laissa tomber un bonsoir ironique et conciliant à Lorette.
Déçupar la tournure des événements, j’attendais tout de même que Lorette éteigne la lumière pour retourner dans ma chamber. Ma Lorette s’examinait attentivement les seins. Pressants les chairs entre ses doigts. Peu à peu, ils s’approchaient de ses areoles grnues et roses. Sous l’effet des attouchements répétés, ses mamelons s’allongeaient. Elle se mit à les grater, à les pincer, à les étirer même. Lorette paraissait prendre du plaisir à cette caresse.
Sans me soucier des conséquences, dicté par mon excitation, je sortis ma queue de mon short et commençais à me masturber. Délaissant ses nichons aux pointes tuméfiées, Lorette s’examinait le ventre, à présent. Sa nudité m’excita au plus haut point.
Entre les hanches larges, sa vulve s’étalait dans les poils sombres. La cousine était visiblement excite, les lèvres épaisses et ridées de sa fente s’écartaient sur un filet de mouille. S’installant commodément dans son oreiller, elle écartait les cuisses, pour le plaisir de mes yeux, et se passa les doigts dans la fente. Elle s’abstenait de bouger pour ne pas réveiller Corinne, qui dormait à ses côtés.
Cessant un instant sa caresse, elle respira longuement. Puis elle se remit à se palucher avec plus de rapidité. Au bout de quelques instants, elle fit glisser le draop qui couvrait Corinne jusqu’à ses pieds. la chemise de nuit qu’elle portrait était rmontée assez haut, assez pour apercevoir son cu. Dans sa position, elle paraissait même l’offrir. Entre ses fesses joufflues, des poils noirs dépassaient, on devionait l’anus, et plus bas, à la jonction des cuisses, le nid de la vulve. J’aperçus entre les fesses entrouvertes des poils. Le spectacle était des plus excitant. J’avais très envie d’y coller ma figure. Devinant l’endroit très odorant, et donc très excitant.
Lorette s’agenouilla, et à quatre patte renifla la fente du cul et la vulve de sa cousine. Luttant comme je le faisait à l’envie de la lecher. Fouillant sous son oreiller, elle tira à elle un gode. Il était long et mince. Lorette suça délicatement l’objet et l’ajusta à l’entrée de son puits d’amour. À l’aide de courts va-et-vient, sans quitter des yeux la fente de sa cousine, elle le fit disparaître de plus de la moitié, puis se l’enfonça dans son entier. Elle le manoeuvrait du bout des doigts. Tout à sa jouissance, elle ne prenait pas garde à ses soupirs rauques, ni aux bruits mouillés qui s’échappaient de son vagin.
Mes yeux rives à ses doigts, je ne pu m’empêcher d’éjaculer sur la tomette. Quant à Lorette, elle repoussa du bout des doigts le gode au fond de sa chatte, et posa sa main libre sur les fesses de sa cousine. Qui se mit tout de suite à gémir dans son sommeil.
Là, un bruit de porte se fit entendre, ce qui provoqua chez moi, une fuite. De peur de me faire surprendre, je me résolu à ne plus retourné voir mes cousines. Me contentant d’une nouvelle masturbation.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
ca me donne des idées pour baiser avec ma soeur c ar elle se masturbe toute seule ety je vais lui demander il je peut l'aider



Texte coquin : Le lendemain de mon dépucelage.
Histoire sexe : Une rose rouge
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