Le lézard
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Le lézard
Les paris stupides mènent souvent à des inconvénients. Nous visitions Montpellier au mois de juillet. Il faisait chaud, très chaud pour nous pauvres nordistes. Nos deux couples flânaient en ville quand Maria, la femme de notre ami m'a lancé un défit que j'ai relevé. Je devais enlever mon string dans la rue, devant tout le monde. René, mon mari m'encourageait, le petit salaud. Quand à Nico, il riait déjà fier de voir ma chatte. C'est Maria qui a choisi l'endroit le plus fréquenté de la ville : la Place de la comédie.
Me voilà obligée de lever ma jupe, baisser mon string et l'enlever. Je suis rouge de honte. Elle m'entraîne dans une promenade pas loin, fait tomber mes vêtements, en fait autant et commence à me caresser la chatte.. Elle arrive à me faire jouir devant tout le monde. Je pense à me venger. A mon tour de lancer un défit cette fois aux deux hommes. Nous devons aller dans l'hôtel, ils doivent se mettre nus, sur un lit et se sucer devant nous. En rechignant ils sont sur le lit. Ils commencent à bander quand le plus habile, mon mari prend la queue de note ami dans la bouche. A croire qu'il a déjà fait ça depuis longtemps (au fond c'est sans doute vrai).
Nous regardons les deux bites et les bouches qui les enserrent. Ils se sucent fort bien, en mettant en plus un doigt dans le cul de l'autre. Maria ne tient plus, il lui faut jouir aussi. Elle prend ma tête dans ses mains pour me coller un baiser d'amoureux. Sa langue vient vite dans ma bouche. Je me laisse faire, alors que c'est la première fois que je suis branlée par une fille qui en plus m'embrasse. Il lui est facile de venir sur mon con, je n'est plus rien dessous. Elle recommence à me masturber. Elle murmure :
Branles moi aussi.
Si tu veux
Oui, je veux que nous jouissions ensemble comme nos maris.
Il faut reconnaître que les voir se sucer est des plus excitant. Nous les voyons interrompre souvent ce qu'ils font pour faire durer le plaisir. Sans hésiter je pose ma main sur le sexe de Maria. Elle est trempée, sans doute autant que moi. Notre baiser continue, nous nous tenons la tête pour ne pas nous séparer. Nous embrasser et nous branler nous fait vite jouir, bien avant ces messieurs toujours avec la queue de l'autre dans la bouche. C'est moi qui part la première en ayant des spasmes incontrôlés au niveau de ma chatte et de tout mon corps. Je n'ai pas souvenir d'avoir tant joui. Je sens également l'orgasme de Maria.
Enfin et les hommes et nous jouissons. Ils me paraissent normaux alors que ce qu'ils viennent de se faire et des plus rare à mon avis. René porte encore une trace de sperme sur une lèvre. Il me donne envie de la lécher, je ne connais pas encore le goût de notre ami Nico.
Nous nous mettons tous propre pour aller au restaurant. Là je ne sais pourquoi nous ne sommes plus en couple. Les hommes restent entre eux, ne discutant que seuls. Nous sommes obligés de faire pareil. La situation ne change pas : nous montons dans les chambres en couple du même sexe. Heureusement que nous avons deux chambres.
Je suis donc dans la même chambre que Maria. Nous supposons que les hommes font baiser entre eux. Tant pis pour eux : nous savons comment faire. Dès l'entrée encore Maria me saute dessus. Nous nous embrassons encore en nous tenant la tête. Puis chacune de notre coté nous nous déshabillons. Maria prend toutes les initiatives en me couchant, jambes écartée, sa tête entre les cuisses. Je sens son souffle chaud sur le clitoris. Sa langue arrive enfin sur moi. J'en avais envie alors que je ne sais pas ce que fait un fille à une autre. Je sais que quand un homme me suce je jouis toujours.
Non seulement elle lèche ma chatte mais en plus me caresse les seins remarquablement bien, mieux que mon époux un peu brutal. Elle me fait gémir. Alors elle m'enjambe pour me donner son con. C'est bon de la sentir, de la lécher aussi. Je suis en transpiration de baiser, comme elle. Nous allons prendre un bain.
Une fois dans l'eau nous recommençons les baisers. Je me lance à chercher son clitoris. Je le trouve pour rendre simplement ce qu'elle m'a fait. Elle va plus loin elle enfonce dans le ventre deux doigts qu'elle fait aller et venir. Ce n'est pas une bite, c'est simplement divin. En ressortant du bain nous recommençons encore à nous faire l'amour à notre façon. Elle est sur moi, comme un homme, ses seins sont contre les miens. Je sens les poils de son pubis. Puis elle se met contre moi, nous nous caressons les seins, les fesses, tout ce qui passe avec légèreté.
Elle veux que je la branle encore, je ne lui donne satisfaction qu'à moitié. Si j'entre deux doigts dans le con, je pose et entre deux autres doigts dans le cul. C'est à son tour de gémir plus fort même que moi. Puis, je la couche à moitié sur le coussin les jambes bien ouvertes pour que ma tête passe facilement. Elle penche sa tête en arrière dans l'attente de la suite qu'elle devine bien puisqu'elle écarte les lèvres de son sexe. Elle fait ressortir son clitoris qui me nargue maintenant.
Au début je ne fais que la lécher à peine pour l'exciter complètement. Puis, ensuite, je la lèche comme un chiot. Quand elle est sur le point de jouir, j'arrête tout pour reprendre un instant après cette fois en aspirant son bouton. Je le tête carrément. Elle va jouir, j'arrête tout.
Elle pose une main sur ma tête pour me retenir contre son sexe.
Je ne fais que ce que je décide, j'attends encore plusieurs fois avant de me décider à lui donner un énorme orgasme. Elle n'arrête plus de jouir. J'ai la figure pleine de sa cyprine. J'arrive avec ma langue à en avaler un peu, elle se charge de lécher le reste.
Elle a l'idée de nous faire jouir vulve contre vulve. Nous mêlons nos jambes pour être le plus proche possible. Ainsi nous arrivons à ce que nos deux cons se touchent. Pour nous c'est le summum.Nous remuons à peine pour mieux sentir le clitoris de l'autre sur l'autre. Si c'était un plat se serait suave.
Maria ne manque pas d'idée. Nous sommes en vacances, alors nous en profitons. Elle sait que la nouvelle forme de baise est la main entière dans le con de l'autre. J'en ai peur, à juste titre : je suis assez étroite de ce coté là. Elle me tranquillise : un vagin s'adapte toujours à ce qui le pénètre.
Je veux bien lui faire plaisir puisqu'elle semble y tenir. Elle réunit nos dans cyprines pour les mettre juste à l'entrée de mon vagin : elle m'excite en faisant cela. Puis elle entre les doigts lentement, en faisant attention à mes réactions. Je serre les dents quand elle me dit qu'elle a mit la main en entier, qu'elle entre son poignet et une partie de son avant bras. Il me semble avoir une bite de cheval en moi. Le résultat est frappant : je jouis sans cesse un temps indéterminé. C'est meilleur que bon, j'en redemanderais souvent.
Nous nous endormons ensemble, sauf que j'ai comme une sensation de froid entre mes jambes : j'ouvre le lit pour y trouve un lézard qui se sauve. J'éclate de rire de la situation dans la quelle je me trouve, un animal à sang froid entre mes jambes alors que les mains de mon amante sont à coté. Je l'ai réveillée assez pour qu'elle ait encore envie de jouir. Je suis repue, je n'en peux plus, alors elle se branle devant moi qui lui suce les seins.
Au retour de vacances, nous laissons tomber nos époux qui semblent bien s'aimer pour nous installer ensemble. Nous vivons notre vie de lesbiennes parfaitement avec quand même deux doubles godes pour nous baiser et nous enculer en même temps.
Me voilà obligée de lever ma jupe, baisser mon string et l'enlever. Je suis rouge de honte. Elle m'entraîne dans une promenade pas loin, fait tomber mes vêtements, en fait autant et commence à me caresser la chatte.. Elle arrive à me faire jouir devant tout le monde. Je pense à me venger. A mon tour de lancer un défit cette fois aux deux hommes. Nous devons aller dans l'hôtel, ils doivent se mettre nus, sur un lit et se sucer devant nous. En rechignant ils sont sur le lit. Ils commencent à bander quand le plus habile, mon mari prend la queue de note ami dans la bouche. A croire qu'il a déjà fait ça depuis longtemps (au fond c'est sans doute vrai).
Nous regardons les deux bites et les bouches qui les enserrent. Ils se sucent fort bien, en mettant en plus un doigt dans le cul de l'autre. Maria ne tient plus, il lui faut jouir aussi. Elle prend ma tête dans ses mains pour me coller un baiser d'amoureux. Sa langue vient vite dans ma bouche. Je me laisse faire, alors que c'est la première fois que je suis branlée par une fille qui en plus m'embrasse. Il lui est facile de venir sur mon con, je n'est plus rien dessous. Elle recommence à me masturber. Elle murmure :
Branles moi aussi.
Si tu veux
Oui, je veux que nous jouissions ensemble comme nos maris.
Il faut reconnaître que les voir se sucer est des plus excitant. Nous les voyons interrompre souvent ce qu'ils font pour faire durer le plaisir. Sans hésiter je pose ma main sur le sexe de Maria. Elle est trempée, sans doute autant que moi. Notre baiser continue, nous nous tenons la tête pour ne pas nous séparer. Nous embrasser et nous branler nous fait vite jouir, bien avant ces messieurs toujours avec la queue de l'autre dans la bouche. C'est moi qui part la première en ayant des spasmes incontrôlés au niveau de ma chatte et de tout mon corps. Je n'ai pas souvenir d'avoir tant joui. Je sens également l'orgasme de Maria.
Enfin et les hommes et nous jouissons. Ils me paraissent normaux alors que ce qu'ils viennent de se faire et des plus rare à mon avis. René porte encore une trace de sperme sur une lèvre. Il me donne envie de la lécher, je ne connais pas encore le goût de notre ami Nico.
Nous nous mettons tous propre pour aller au restaurant. Là je ne sais pourquoi nous ne sommes plus en couple. Les hommes restent entre eux, ne discutant que seuls. Nous sommes obligés de faire pareil. La situation ne change pas : nous montons dans les chambres en couple du même sexe. Heureusement que nous avons deux chambres.
Je suis donc dans la même chambre que Maria. Nous supposons que les hommes font baiser entre eux. Tant pis pour eux : nous savons comment faire. Dès l'entrée encore Maria me saute dessus. Nous nous embrassons encore en nous tenant la tête. Puis chacune de notre coté nous nous déshabillons. Maria prend toutes les initiatives en me couchant, jambes écartée, sa tête entre les cuisses. Je sens son souffle chaud sur le clitoris. Sa langue arrive enfin sur moi. J'en avais envie alors que je ne sais pas ce que fait un fille à une autre. Je sais que quand un homme me suce je jouis toujours.
Non seulement elle lèche ma chatte mais en plus me caresse les seins remarquablement bien, mieux que mon époux un peu brutal. Elle me fait gémir. Alors elle m'enjambe pour me donner son con. C'est bon de la sentir, de la lécher aussi. Je suis en transpiration de baiser, comme elle. Nous allons prendre un bain.
Une fois dans l'eau nous recommençons les baisers. Je me lance à chercher son clitoris. Je le trouve pour rendre simplement ce qu'elle m'a fait. Elle va plus loin elle enfonce dans le ventre deux doigts qu'elle fait aller et venir. Ce n'est pas une bite, c'est simplement divin. En ressortant du bain nous recommençons encore à nous faire l'amour à notre façon. Elle est sur moi, comme un homme, ses seins sont contre les miens. Je sens les poils de son pubis. Puis elle se met contre moi, nous nous caressons les seins, les fesses, tout ce qui passe avec légèreté.
Elle veux que je la branle encore, je ne lui donne satisfaction qu'à moitié. Si j'entre deux doigts dans le con, je pose et entre deux autres doigts dans le cul. C'est à son tour de gémir plus fort même que moi. Puis, je la couche à moitié sur le coussin les jambes bien ouvertes pour que ma tête passe facilement. Elle penche sa tête en arrière dans l'attente de la suite qu'elle devine bien puisqu'elle écarte les lèvres de son sexe. Elle fait ressortir son clitoris qui me nargue maintenant.
Au début je ne fais que la lécher à peine pour l'exciter complètement. Puis, ensuite, je la lèche comme un chiot. Quand elle est sur le point de jouir, j'arrête tout pour reprendre un instant après cette fois en aspirant son bouton. Je le tête carrément. Elle va jouir, j'arrête tout.
Elle pose une main sur ma tête pour me retenir contre son sexe.
Je ne fais que ce que je décide, j'attends encore plusieurs fois avant de me décider à lui donner un énorme orgasme. Elle n'arrête plus de jouir. J'ai la figure pleine de sa cyprine. J'arrive avec ma langue à en avaler un peu, elle se charge de lécher le reste.
Elle a l'idée de nous faire jouir vulve contre vulve. Nous mêlons nos jambes pour être le plus proche possible. Ainsi nous arrivons à ce que nos deux cons se touchent. Pour nous c'est le summum.Nous remuons à peine pour mieux sentir le clitoris de l'autre sur l'autre. Si c'était un plat se serait suave.
Maria ne manque pas d'idée. Nous sommes en vacances, alors nous en profitons. Elle sait que la nouvelle forme de baise est la main entière dans le con de l'autre. J'en ai peur, à juste titre : je suis assez étroite de ce coté là. Elle me tranquillise : un vagin s'adapte toujours à ce qui le pénètre.
Je veux bien lui faire plaisir puisqu'elle semble y tenir. Elle réunit nos dans cyprines pour les mettre juste à l'entrée de mon vagin : elle m'excite en faisant cela. Puis elle entre les doigts lentement, en faisant attention à mes réactions. Je serre les dents quand elle me dit qu'elle a mit la main en entier, qu'elle entre son poignet et une partie de son avant bras. Il me semble avoir une bite de cheval en moi. Le résultat est frappant : je jouis sans cesse un temps indéterminé. C'est meilleur que bon, j'en redemanderais souvent.
Nous nous endormons ensemble, sauf que j'ai comme une sensation de froid entre mes jambes : j'ouvre le lit pour y trouve un lézard qui se sauve. J'éclate de rire de la situation dans la quelle je me trouve, un animal à sang froid entre mes jambes alors que les mains de mon amante sont à coté. Je l'ai réveillée assez pour qu'elle ait encore envie de jouir. Je suis repue, je n'en peux plus, alors elle se branle devant moi qui lui suce les seins.
Au retour de vacances, nous laissons tomber nos époux qui semblent bien s'aimer pour nous installer ensemble. Nous vivons notre vie de lesbiennes parfaitement avec quand même deux doubles godes pour nous baiser et nous enculer en même temps.
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