Le libraire aime les jeunes femmes.
Récit érotique écrit par la catin [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le libraire aime les jeunes femmes.
La mère de Marie, gravement malade, avait dû quitter son travail à l’usine et son petit frère était encore trop jeune pour travailler. L’ouvrage qu’elle accomplissait à l’atelier de couture ne rapportait pas suffisamment pour les faire vivre et Marie cherchait depuis des jours, en vain, un autre emploi lorsque sa mère, entre deux quintes de toux, lui parla du bouquiniste de la rue des halles, qui, disait-on formait des jeunes femmes. Personne dans le village de Marie ne s’était enquis de savoir la nature de ces formations car monsieur Grégoire était un homme extrêmement généreux qui n’hésitait pas à verser une obole conséquente à chaque office religieux ce qui lui octroyait respect et considération, bien qu’il passât aux yeux de certains pour un dépravé ce que démentait, à force de sermons, monsieur le curé, trop heureux de pouvoir s’offrir chaque dimanche un cru de Bordeaux millésimé.
— Mais maman ! s’exclama Marie. On dit qu’il est…
— On dit trop de choses, ma chérie, la coupa sa mère, et ce n’est probablement que calomnie. On m’a affirmé qu’il ne refuserait pas d’embaucher une belle jeune fille comme toi. De plus il paie bien.
Marie soupira. Elle ne voulait pas contrarier sa mère. Pas dans l’état de faiblesse dans lequel elle se trouvait. Lorsqu’elle se leva de sa chaise, celle-ci lui prit la main : Va le voir, Marie. Il sera généreux si tu lui obéis. Alors fais-le pour nous ma chérie et ne me déçois pas.
Le lendemain, son ouvrage achevé à l’atelier de couture, Marie, à contre coeur et très angoissée, prit le chemin de la boutique. Tout en cheminant, sans en comprendre la raison, elle revit le visage du jeune saltimbanque qui l’avait dépucelé à l’aube de ses 19 ans, sans qu’elle en retirât grand plaisir.
On disait aussi monsieur Grégoire très vieux et très laid se souvint-elle encore et lorsque, la boule au ventre, elle poussa la porte de la boutique, elle découvrit un homme effectivement vieux mais sans laideur. Il devait avoir dans les soixante dix ans, pensa-t-elle, l’âge de monsieur le curé, mais son visage était exempt de ride. Elle éprouva quelques difficultés à révéler la raison de sa venue et monsieur Grégoire la regarda d’un air amusé.
— Quel âge as-tu ?
— Dix neuf ans monsieur et je cherche du travail.
— Bien, bien. Il regarda Marie intensément, ce qui la fit rougir puis il expliqua : On a dû te le dire, je suis généreux avec celles qui le méritent et tu tombes bien, Andréa ne suffit plus à la tâche. Alors si tu es motivée, reviens demain.
Le lendemain Marie quitta l’atelier de couture vers dix sept heures et courut jusqu’à la boutique.
— Je t’ai attendue toute la journée, fit monsieur Grégoire, fâché.
— Pardon monsieur, mais j’ai un autre travail dans un atelier de couture.
Monsieur Grégoire secoua la tête :
— Tu n’auras plus besoin de ce travail. Si je suis content de toi je te paierai bien. Reviens demain à 9h00.
Le lendemain, Marie passa à l’atelier pour informer son patron qu’elle avait trouvé un autre emploi, ce qui ne lui plut guère.
— Si tu quittes l’atelier, ne compte pas y revenir un jour.
Cette sentence laissa Marie perplexe : si le travail chez monsieur Grégoire ne lui convenait pas, elle aurait tout perdu. Et les embauches étaient rares. Ce fut toutefois la promesse d’être généreusement payée qui l’emporta et elle se promit d’être une employée exemplaire.
Elle poussa la porte de la boutique à 9H00 précises. Un jeune femme en blouse grise était déjà là et Marie pensa qu’elle ne devait pas avoir plus de vingt ans.
— A la bonne heure, fit le libraire en la voyant. Andréa va te donner ta tenue de travail.
Elle suivit la jeune femme dans l’arrière boutique où elle lui remit une blouse identique à la sienne en précisant :
— Tu ne mets rien dessous.
— Hein ! Mais je…
— Monsieur Grégoire est généreux mais il y a des contreparties, la coupa-t-elle. Fais comme tu veux mais alors ne sois pas étonnée des conséquences.
Marie réfléchit puis choisit de garder ses sous vêtements.
Lorsqu’elle fut de retour dans la boutique, monsieur Grégoire posa deux gros billets sur le bureau :
— C’est pour toi Marie. Pour t’encourager. C’est alors qu’Andréa se pencha à l’oreille de monsieur Grégoire. Quelques secondes plus tard il fixa Marie d’un air sévère et demanda : Tu as gardé ta culotte ?
Marie acquiesça d’un signe de tête et monsieur Grégoire s’exclama :
— Tu ne les mérites pas, en rangeant les billets tandis que dans la tête de Marie défilait déjà tout ce qu’elle aurait pu acheter pour la maison. Alors brusquement, sans davantage réfléchir, devant lui, elle retira sa culotte en rougissant.
— Et en haut ? demanda-t-il.
Marie se retourna, déboutonna un peu sa blouse et retira mon soutien gorge. Lorsque, rajustée, elle se retourna, les billets avaient reparu.
— Prends, Marie, c’est pour toi.
Timidement elle les glissa dans la poche de sa blouse puis monsieur Grégoire se leva, s’approcha d’elle et défit quelques boutons de la blouse.
— Il ne faut pas boutonner jusqu’en haut.
Marie cligna des yeux et monsieur Grégoire en profita pour écarter l’échancrure de la blouse.
— Nom d’un chien, tu as de belles mamelles s’exclama-il en glissant aussitôt la main pour palper brièvement son sein droit, sans que Marie trouvât la force de réagir. Puis il lança : Aller, les filles, au travail. Rangez-moi l’étagère du haut.
Marie jeta un coup d’oeil à Andréa qui expliqua :
— Prends l’autre échelle et fais comme moi.
Elle fit coulisser l’échelle et commença à grimper tandis que Marie l’imitai. Lorsqu’elles furent à hauteur de l’étagère, chacune sur leur échelle, monsieur Grégoire se leva, une baguette en main. Il s’approcha de l’échelle sur laquelle se trouvait Marie et du bout de l’objet, écarta le bas de sa blouse. Marie tressaillit et dût se rattraper à l’échelle, puis ivre de honte elle entendit monsieur Grégoire lancer :
— Tu as un très joli petit cul Marie. Ça vaut bien les billets que je t’ai donnés.
Marie ferma les yeux et se concentra sur la lecture des titres des ouvrages pour tenter d’oublier la présence de monsieur Grégoire au pied de l’échelle. Après un moment qui lui parut interminable, elle le vit s’éloigner vers d’Andréa. Il répéta les mêmes gestes sous la blouse puis commenta :
— Ma foi, je ne saurais dire laquelle de vous deux a le plus joli cul. Descends un peu, Andréa.
La jeune femme s’exécuta sans rechigner et dès qu’elle fut à sa portée, il glissa la main le long de ses cuisses. Marie vit juste son bras bouger mais elle comprit ce qu’il faisait au premiers gémissements d’Andréa.
Soudain il retira sa main et maugréa :
— Bon, il faut que je parvienne à vous départager.
Il fit coulisser l’échelle d’Andréa sur son rail afin de la rapprocher de celle de Marie puis se plaçant entre les deux il ordonna :
— Marie mets-toi à la même hauteur qu’Andréa.
Marie hésita un instant puis pour se donner du courage, tâta les billets dans sa poche. Elle était rouge de honte lorsqu’elle sentit la main de monsieur Grégoire lui caresser les cuisses.
— Bon, voilà deux petits culs bien fermes, apprécia-t-il, puis, pressant la fesse gauche de Marie il ajouta : et je crois le tien bien serré comme l’était celui d’Andréa quand elle est arrivée ici. Elle était bien innocente et maintenant elle n’en a jamais assez comme tu peux l’entendre. De fait Andréa s’était mise à gémir.
— Excuse-moi Marie, fit monsieur Grégoire en retirant sa main. Je crois qu’Andréa a besoin de toute mon attention.
Marie le vit glisser l’autre main sous la blouse et bien qu’elle ne sut pas précisément ce qu’il faisait, elle s’en douta néanmoins.
— Tu as déjà fait l’amour, Marie ? Demanda soudainement monsieur Grégoire?
Ne voulant pas paraitre trop niaise, elle répondit aussitôt :
— Oui, une fois, avec un jeune saltimbanque de passage.
— Juste une fois ?
— Oui.
— Bon, bon et c’était bien ?
— Non, pas vraiment, répondit-elle sans comprendre pourquoi elle se confessait à cet homme.
— Il n’y a rien d’étonnant à cela. Les jeunes hommes pensent uniquement à leur plaisir. Mais tu verras, Marie, faire l’amour avec moi est très agréable. N’est-ce pas Andréa ?
— Oui monsieur c’est… Oh mon dieu… Ouiiii ! je viens. Andréa poussa un cri puis elle se mit à trembler.
Monsieur Grégoire retira les mains et regarda Marie en souriant :
— J’espère que tu jouis aussi bien qu’elle. Aller, maintenant au travail.
Monsieur Grégoire n’ennuya plus les jeunes femmes durant l’après midi mais dès que le carillon sonna 17H00 il ordonna :
— Andréa, tire le verrou et ferme les rideaux.
Tandis qu’elle se dirigeait vers la devanture il alla s’asseoir dans un fauteuil face à une petite estrade que Marie n’avait pas remarquée et ordonna :
— Approche, Marie.
La jeune femme le rejoignit tandis qu’Andréa montait sur l’estrade et retirait sa blouse. Elle avait de petits seins laiteux et un ventre plat. Marie remarqua aussitôt l’absence de poils pubiens. Monsieur Grégoire lança le phonographe et Andréa se mit à danser. Lorsque la musique cessa, elle descendit de l’estrade et monsieur Grégoire lança :
— A toi Marie.
— Je… Je ne sais pas danser.
— Mais si, mais si, affirma t’il. Et de toute façon on s’en fout. Contente-toi de bouger et de te déshabiller. Il relança la musique.
Marie monta sur l’estrade, hésita, puis lorsqu’elle vit monsieur Grégoire agiter quelques billets, rouge de honte elle déboutonna sa blouse et commença à tourner. Monsieur Grégoire lança un cri d’admiration lorsqu’il découvrit sa volumineuse poitrine et Andréa s’exclama :
— La mienne va encore grossir, monsieur, j’en suis sûre.
Monsieur Grégoire éclata de rire tandis que Marie tournait sur la piste, nue pour la première fois devant un homme puisque le saltimbanque c’était contenté de retrousser sa jupe. Elle sentit bientôt des sensations étranges lui picorer le ventre. Elle était honteuse, certes, mais que cet homme la regardât si intensément lui procura un plaisir insoupçonné et grandissant. Elle tournait toujours lorsqu’elle vit Andréa baisser le pantalon de monsieur Grégoire et Marie frissonna en découvrant le sexe long et épais parfaitement dressé. Andréa s’accroupit, et lorsque monsieur Grégoire lui appuya sur la tête elle prit son vit dans la bouche.
— Applique-toi et je veux que ça dure longtemps, ordonna t-il alors que Marie s’arrêtait un instant, autant fascinée qu’émoustillée par le spectacle.
— Danse, Marie, danse. Elle recommença à tourner et monsieur Grégoire l’encouragea : c’est bien Marie mais secoue un peu plus tes grosses mamelles.
Chauffée par le spectacle et les paroles de monsieur Grégoire, Marie agita sa poitrine de toutes les façons possibles et monsieur Grégoire exprima sa satisfaction :
— Oui, Marie, oui, continu, oh ouiii !
Marie réalisa brusquement que ce dernier cri était provoqué par la bouche d’Andréa et non par son exhibition lorsque monsieur Grégoire ajouta :
— Andréa a fait des progrès fantastiques. Et elle aime ça de plus en plus, n’est-ce pas Andréa ?
Celle-ci se retira un instant pour répondre :
— Oui monsieur.
— Alors continue gourmande ! Tandis qu’Andréa replongeait sur le sexe de monsieur Grégoire il fit sursauter Marie en lançant : Demain ça sera à toi, Marie.
Aussitôt elle répliqua :
— Je… Je n’ai jamais fait ça.
— Mais tu le feras Marie, si tu veux continuer à travailler ici.
Marie ferma les yeux et recommença à tourner.
— Oh oui, comme ça c’est bien ma cochonne, apprécia monsieur Grégoire.
Entendant cela, Marie, persuadé que le commentaire lui était destiné, se mit à onduler langoureusement avant de comprendre qu’il ne s’adressait pas à elle. Elle entendit monsieur Grégoire pousser un gémissement avant de lancer :
— Sois plus sensuelle Marie. Caresse-toi les seins… N’hésite pas à bien me montrer ton minou.
Ces paroles chauffèrent le sang de Marie. Elle ne c’était jamais sentie ainsi, avec de tels chatouillis dans le ventre ni des frissons si intenses sur la peau. Elle était honteuse de s’exhiber ainsi, mais ne parvenait pas à s’arrêter. Elle aimait sentir le regard de monsieur Grégoire peser sur elle, alors, emportée par l’exaltation de ses émotions nouvelles elle tourna, et s’offrit au regard lubrique, inconsciente de prendre parfois des poses trop suggestives pour son jeune âge, et plus monsieur Grégoire manifestait son contentement, plus elle se plaisait à le satisfaire. En ces minutes, elle n’était plus la petite Marie sage et timide qui baissait les yeux devant les hommes. Elle était en transe, capable des pires folies, des pires outrages aux moeurs pour le regard de cet homme qui l’arrachait aux restes de l’adolescence.
Soudain, alors qu’elle secouait une nouvelle fois sa généreuse poitrine elle entendit monsieur Grégoire rugir en libérant quelques mots grossiers qui lui chauffèrent les oreilles. Andréa resta accroupie encore une minute ou deux puis elle remonta le pantalon de monsieur Grégoire, lequel déclara, alors que Marie s’arrêtait de tourner :
— Demain ça sera à toi Marie. Approche !
Il lui tendit les deux billets, et en remit trois à Andrea. Voyant l’air interrogateur, de Marie il précisa :
— Le cadeau est proportionnel à la nature du service, Marie. Je suis content de vous les filles. Continuez comme ça et vous n’aurez pas à le regretter.
— Merci monsieur, firent Andréa et Marie, en choeur.
Marie renfila sa blouse et monsieur Grégoire demanda :
— Combien de temps pour rentrer chez-toi, Marie ?
— Un peu plus d’une heure monsieur.
— Bon, si tu veux, j’ai une chambre pour toi là haut. Andréa en a une. Comme ça tu n’auras pas de trajet à faire. Tu ne rentreras chez toi que pour le week end.
— Oui, merci monsieur. Demain je reviendrai avec quelques affaires.
— A la bonne heure. Tiens, voici de quoi payer un fiacre et je t’en enverrai un demain matin à huit heures.
— Vous savez où j’habite ?
— Bien sûr Marie, je savais que tu allais venir, alors crois-tu que je ne me sois pas renseigné avant de t’offrir ce travail
Arrivée chez elle, Marie embrassa sa mère puis lui tendit les billets.
— Oh, merci Marie. Je vais pouvoir acheter tous les médicaments. Mais dis-moi comment c’est passé ta journée ? Est-il gentil avec toi ?
Marie renseigna sa mère occultant les scènes les plus troublantes.
— Et il t’envoie un fiacre demain ?
— Oui.
— Il est très généreux, c’est signe qu’il t’apprécie.
— Oui maman.
Le lendemain, le fiacre arriva à huit heures précises.
— Je reviendrai samedi maman. Ça ira ?
— Oui, bien sûr, je vais envoyer quelqu’un chez l’apothicaire. Prends soin de toi.
— Oui maman.
Puis alors que Marie embrassait sa mère, celle-ci ajouta :
— Sois bien obéissante avec lui. Tu as tout à y gagner.
— Oui, maman
La chambre au dessus de la boutique, voisine de celle d’Andréa, était petite et chichement meublée mais le lit était confortable. Marie commençait à vider sa valise lorsque Andréa s’encadra dans l’ouverture de la porte.
— Je crois que tu as pris un peu trop de vêtements, fit-elle
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Parce que la journée on est en blouse et le soir il veut qu’on reste nues.
— Ah bon ?
— Oui. Au début ça fait bizarre, mais on s’y fait.
Marie hésita puis finalement lui posa la question qui lui brulait les lèvres :
— Tu crois que je vais vraiment devoir… Heu… comme toi hier soir ?
— Le sucer ? Oui bien sûr. C’est pas difficile.
— Je l’ai jamais fait. Je sais pas si je pourrai.
— Tu fais comme tu veux mais si tu ne le fais pas tu ne resteras pas. Viens-voir.
Elle entraina Marie dans sa chambre, ouvrit l’armoire et en sortit un coffret métallique qui contenait une liasse de billets.
— Et ça fait que deux mois que je suis là. Il est généreux quand on sait y faire. Encore un an et je pourrai ouvrir ma boutique de fripes.
Le regard de Marie était littéralement aimanté par le contenu du coffret. Elle se voyait déjà riche, affublée de somptueuses toilettes prête à accueillir sa mère et son frère dans son superbe appartement.
Durant la journée monsieur Grégoire répéta plusieurs fois le rituel de l’échelle et Marie ne broncha pas lorsqu’il fourragea sous sa blouse.
A 19h00 Andréa ferma la boutique puis elle se déshabilla et Marie l’imita. Elle se trouvait proche de monsieur Grégoire et celui-ci en profita pour lui palper les seins. Elle n’eut aucun mouvement de recul et sentit aussitôt ses tétons durcir. Son ventre s’embrasa lorsque monsieur Grégoire lui caressa les fesses en disant :
— J’ai hâte de te baiser Marie. Mais avant je veux savoir comment tu jouis. Allongez-vous par terre toutes les deux et caressez-vous.
Andréa fut la première à s’exécuter. Marie avait déjà fait la chose, bien sûr, mais en secret, et devoir se masturber devant cet homme, la troubla infiniment. Jamais un sentiment de honte ne l’avait étreinte avec une telle force et pourtant elle sentait son ventre frémir d’excitation. Elle s’allongea sur le sol tandis qu’Andréa, déjà, gémissait.
— Prenez votre temps, les filles, rien ne presse.
Marie ferma les yeux pour tenter d’occulter la présence de monsieur Grégoire et le plaisir déferla sur sa peau dès qu’elle posa les doigts sur sa vulve. Habituellement il lui fallait du temps pour en ressentir les prémices alors lorsqu’elle réalisa que la fulgurance de ses sens était due à la présence de monsieur Grégoire, elle s’empourpra de plus belle.
— Ouvre les yeux, Marie. Je veux que tu me regardes.
Marie obéit et parvint à soutenir les éclats lubriques du regard de monsieur Grégoire, sans sourciller. Toutefois elle jugea par trop indécent de lui offrir son plaisir et se mordit la lèvre pour ne pas gémir. Hélas, elle sentit peu à peu sa résistance faiblir. Sa respiration devint plus ample, plus rapide. Son coeur s’affola, son ventre s’embrasa et elle lâcha soudain prise en poussant une succession de petits cris aigus.
— Oui, Marie, c’est bien, apprécia monsieur Grégoire. Laisse toi aller. Ne refuse pas ton plaisir. C’est lui qui te fera femme. Tu ne dois jamais avoir honte de ce que tu fais. De ce que nous faisons ensemble.
Les paroles de monsieur Grégoire, dont Marie ne comprenais pas encore toute la portée, la rassurèrent et la libérèrent et elle laissa ses gémissements accompagner ses doigts. Jamais elle n’avait connu un tel plaisir en se caressant.
— Non Andréa, seulement ton clitoris, exigea soudain monsieur Grégoire alors que la jeune femme venait d’entrer deux doigts dans sa chatte. Puis il ajouta : aller les filles, plus vite, maintenant il faut jouir.
Marie en avait tellement envie qu’elle s’activa fébrilement et bientôt elle poussa un cri suraigu aussitôt suivi par l’orgasme bruyant d’Andréa.
Alors que Marie retirait ses doigts, monsieur Grégoire ordonna :
— Non, Marie, continue lentement. Tu vas voir ça va revenir.
Marie ignorait à quoi faisait allusion monsieur Grégoire, mais comprit lorsqu’un éclair de plaisir lui foudroya le ventre. L’orgasme arriva rapidement. Plus intense que le précédent.
— Merci les filles, s’exclama monsieur Grégoire, c’était un très beau spectacle. Maintenant allons diner. Que nous as-tu préparé Andréa ?
— Un potage et une salade aux lardons monsieur.
— Excellent. Demain ça sera à Marie de cuisiner. Tu sais cuisiner, Marie ?
— Oui monsieur.
— Parfait, Andréa t’expliquera tout.
Le diner se passa en silence puis monsieur Grégoire se retira au salon pour fumer la pipe. Les jeunes femmes s’installèrent à ses côtés et après un moment il lança :
— Et si tu nous faisais un peu de lecture, Marie. Choisis parmi les ouvrages qui sont sur cette étagère.
Marie s’approcha de l’étagère désignée et fixa son choix sur « Bernadette au couvent ».
— Excellent choix, approuva monsieur Grégoire. Nous t’écoutons.
Marie lut les dix premières pages sans sourciller puis quand vint une scène osée entre Bernadette et le père prieur, elle s’arrêta.
— Pourquoi t’arrêtes-tu Marie ?
Ne voulant point se ridiculiser par sa niaiserie, Marie soupira puis reprit sa lecture en s’empourprant et sa voix fut bientôt portée par des trémolos dont elle ne put se défaire et buta sur les propos grivois du père prieur, lesquels, étrangement, ne l’offusquèrent pas. Lorsqu’elle fit une pause pour prendre une gorgée d’infusion, elle vit qu’Andréa baissait le slip de monsieur Grégoire. Son vit était puissamment dressé.
— Continue, Marie, continue, fit ce dernier alors qu’Andréa commençait à le masturber.
Marie se replongea difficilement dans sa lecture, qui devint cependant plus aisée lorsque Bernadette révéla son infortune à une soeur devenue son amie, avant de retomber deux pages plus loin entre les mains du père prieur qui la…
— Un mot t’effraie Marie ? demanda monsieur Grégoire alors qu’elle venait de s’interrompre au milieu d’une phrase. Il faut pourtant que tu nous dises. Ni Andréa ni moi ne pouvons deviner, comprends-tu ?
Rouge comme un coquelicot Marie reporta les yeux sur le livre et lu :
— Sodomisait
— Reprends toute la phrase, tu veux ?
Marie inspira profondément puis souffla d’un trait :
— Bernadette priait pendant que le père la sodomisait.
Monsieur Grégoire toucha le bras de Marie en demandant :
— Sais-tu ce que ça veut dire Marie ? Elle acquiesça d’un signe de tête et monsieur Grégoire demanda encore : As-tu déjà été sodomisée, Marie ?
Elle répliqua aussitôt d’une voix haut perchée :
— Non monsieur, bien sûr que non… ajoutant aussitôt sans trop savoir pourquoi : Ça doit… Elle ne put achever sa phrase et monsieur Grégoire lança :
— Ça doit quoi, Marie ? parle sans crainte.
Marie respira profondément avant de lâcher :
— Ça doit faire mal.
Monsieur Grégoire sourit puis s’adressa à Andréa :
— Alors Andréa, ça t’a fait mal la première fois ?
— Non monsieur
— Parce que je t’ai préparée
— Oui monsieur
— Et maintenant tu aimes ?
— Oui monsieur.
— Et tu crois que Marie aimera aussi ?
— J’en suis certaine monsieur.
— A la bonne heure ! Tu vois Marie tu n’as pas de crainte à avoir. Continue ta lecture.
Marie commença à transpirer en lisant par le détail les sensations ressenties par Bernadette et elle entendit Andréa demander :
— Vous voulez que je vous suce, monsieur ?
— J’en ai fort envie en effet mais c’est au tour de Marie. Va prendre sa suite pour la lecture.
Marie le ventre en feu, trembla en glissant aux pieds de monsieur Grégoire.
— Allons, allons, mon enfant. Calme-toi. Tu te doutais bien qu’un jour ou l’autre un homme te l’aurait demandé. Marie hocha la tête et monsieur Grégoire poursuivit : la différence peut-être c’est que moi, je ne me moquerai pas de toi. En as-tu déjà sucé ? Marie fit non, de la tête et monsieur Grégoire ajouta en lui caressant le visage : Commence par la toucher. Imprègne-toi de sa taille, de sa dureté puis quand tu seras prête dépose un baiser sur mon gland.
Le mot fit frissonner Marie mais elle prit le gros phallus dans sa paume. Il palpitait et Marie le trouva dur comme l’acier.
— Touche aussi mes bourses Marie.
Marie s’exécuta tandis que la lecture d’Andréa achevait de lui chauffer le sang et à l’instant où le père prieur entrait sa queue dans la bouche de Bernadette, après l’avoir sodomisée, Marie déposait un baiser sur le gland de monsieur Grégoire qui lui caressa la tête en disant :
— Maintenant prends-le entre tes lèvres et suce-le.
Marie ne chercha pas à réfléchir et obéit aussitôt. Le contact de sa langue sur la peau fine, douce et humide, lui plut. Et plus encore lorsqu’elle sentit le gland gorgé de sang coulisser entre ses lèvres. Elle aurait voulu poser des mots, des adjectifs, sur ses sensations mais ils lui parurent trop insipides pour témoigner du délice.
— C’est bien, Marie, continue, fit monsieur Grégoire qui venait d’allumer un cigare.
Marie, trop ignorante de la caresse, ne savait pas comment l’agrémenter, alors elle continua sur le même rythme jusqu’à ce que monsieur Grégoire précise :
— Plus vite Marie et serre davantage les lèvres. Voilà, c’est bien. Marie fut inondée de fierté lorsque monsieur Grégoire commença à gémir, et surtout peut être lorsqu’il lâcha : C’est bon Marie, tu es douée.
Galvanisée par ces propos, Marie accéléra encore la cadence et fut surprise lorsque monsieur Grégoire éjacula. Elle se retira prestement et reçut son sperme sur le visage.
Monsieur Grégoire sourit puis lança :
— La prochaine fois il faudra avaler Marie. Maintenant file te débarbouiller.
Marie courut jusqu’à la salle de bains où Andréa la suivit.
— Il veut qu’on se douche, Marie.
C’est alors qu’elle se glissait sous le jet d’eau que Marie vit entrer monsieur Grégoire. Il était nu et son sexe épais pendait.
— Savonnez-vous bien les filles, lança-t-il avant de s’asseoir sur le rebord de la baignoire.
Marie sentit les mains d’Andréa répandre la mousse sur ses épaules. C’était la première fois qu’une fille la touchait ainsi et elle en fut troublée. Elle le fut plus encore lorsqu’Andréa lui savonna les seins. Puis les fesses.
— Lave-lui bien sa petite chatte lança monsieur Grégoire. Lorsqu’elle y posa la main, Marie frissonna et il ajouta : Ne la fait pas jouir.
Andréa ne s’éternisa pas sur la vulve de Marie et lorsqu’elle retira ses doigts monsieur Grégoire ordonna :
— A toi, Marie. Savonne-la bien partout.
Le trouble de Marie s’intensifia lorsqu’elle toucha Andréa. Ses petits seins… Ses fesses… Sa chatte. Elle était troublée et très excitée.
Soudain monsieur Grégoire se leva et lorsqu’il s’approcha d’elles Andréa souffla à Marie :
— Mets-toi comme moi. Elle se courba en avant, jambe tendues pour saisir ses chevilles et Marie l’imita. Ecarte les jambes et garde-les bien tendues, ajouta-t-elle.
Marie ne comprenait pas à quoi rimait cette position jusqu’à ce que monsieur Grégoire lance :
— Vous avez un magnifique abricot les filles.
Il avait à peine achevé ces mots que Marie sentit sa main glisser sur sa chatte. Il devait en faire de même avec Andréa, pensa-t-elle. Il s’arrêta sur son clitoris et le caressa quelques instants. Ce fut suffisant pour mettre le feu au ventre de Marie qui sentit peu après quelques chose de dur frôler sa vulve. Elle n’eut pas le temps de réaliser que monsieur Grégoire était déjà en elle. Elle poussa un cri de surprise puis, très vite commença à gémir.
— Tu aimes, Marie ? demanda monsieur Grégoire
Marie n’osa pas répondre et il lui claqua les fesses en exigeant : réponds, Marie !
Marie lâcha alors d’une voix faible :
— Oui, oui. Et elle ne mentait pas car elle adorait la sensation exquise de sa queue épaisse coulissant dans sa chatte.
— On t’a déjà prise fort, Marie ? Et sans attendre sa réponse il ajouta : Non, bien sûr. Tu ne l’as fait qu’une fois, mais je crois que tu vas aimer ma petite Marie.
Ayant achevé sa phrase monsieur Grégoire augmenta la cadence jusqu’à pilonner vaillamment Marie qui sentit son plaisir croitre rapidement. Elle égrena un chapelet de cris ininterrompus.
— Oui, c’est bien Marie, apprécia monsieur Grégoire. Laisse-toi aller. Je suis sûr que tu vas très vite devenir une bonne petite cochonne comme Andréa.
Il donna un puissant coup de reins et Marie hurla :
— Oui, ouiiii ! Je… je viens !!! et elle jouit puissamment.
— C’est très bien Marie fit monsieur Grégoire en se retirant.
Elle sursauta lorsqu’elle sentit son doigt forcer l’ouverture de son anus.
— Reste tranquille Marie. Je veux juste me rendre compte, précisa monsieur Grégoire.
Marie tremblait lorsqu’il poussa son doigt et le retira plusieurs fois.
— Aucun doute tu es vierge de ce côté, lança-t-il. Andréa, je veux que tu la prépares. Il se retourna une dernière fois avant de quitter la pièce et ajouta : Veille à ce qu’elle soit disponible d’ici deux jours.
— Oui monsieur.
Andréa rejoignit Marie dans sa chambre et lui expliqua ce que monsieur Grégoire attendait.
— Mais je ne veux pas, s’insurgea Marie !
— Alors il faut aller lui dire. Mais je te préviens il ne va pas aimer et alors fini les petits billets.
— Je m’en fout. Je trouverai toujours du travail en ville, objecta Marie.
Andréa secoua la tête.
— C’est aussi ce que je disais quand j’ai voulu partir. Seulement il connait tout le monde en ville. Et personne n’a voulut m’embaucher. Et puis tu sais Marie, ce n’est pas si terrible. Tu pourrais même y trouver du plaisir.
— Du plaisir ! Tu… Tu as vu son… son… s’écria t-elle sans pouvoir prononcer le mot.
— C’est justement pour ça qu’il faut te préparer Marie. Andréa baissa la voix pour continuer : tu sais quand il l’a fait avec moi la première fois, le lendemain j’ai trouvé 200 francs dans ma blouse
— Deux cent francs ! s’écria Marie
Andréa attendit un peu puis elle ouvrit la mallette qu’elle avait apportée.
— Qu’est-ce que c’est ? demanda Marie
— De quoi élargir ton petit trou. Allonge-toi sur le côté. Marie s’installa et Andréa remonta sa jambe gauche. Elle badigeonna d’huile le petit cylindre d’albâtre et précisa : détends-toi, je vais aller doucement.
Marie se raidit en sentant l’objet la pénétrer.
— Ça va ? demanda Andréa
— Ça va.
Andréa poussa un peu plus le cylindre puis elle fit de lent mouvements circulaires. Après un quart d’heure elle le retira et en introduisit un autre, très court.
— Il… Il est plus gros ! s’exclama Marie
— Oui, mais ça va aller.
Andréa refit les mouvements puis lentement elle le retira et le rentra une dizaine de fois avant de préciser :
— Il faut que tu le gardes toute la nuit. Elle aida Marie à enfiler une culotte et ajouta : Avec ça, ça devrait tenir. Demain matin ton petit trou sera plus souple.
Le lendemain matin, avant l’aube, Andréa fit irruption dans la chambre de Marie.
— Il faut l’enlever, expliqua-t-elle.
Marie eut une sensation très étrange lorsqu’elle le retira délicatement. Une sensation proche du plaisir.
— Demain soir on mettra celui-la, fit Andréa en lui montrant un objet qui ressemblait étrangement à un sexe d’homme. Elle précisa qu’il était en cire et avait été moulé sur le sexe de monsieur Grégoire. Marie en resta ébahie.
Durant la matinée il y eut beaucoup de client si bien que monsieur Grégoire fut fort occupé.
Lors du repas de midi il expliqua le travail de l’après midi puis demanda à Andréa :
— Tu as commencé à la préparer ?
— Oui monsieur. Je pense qu’elle sera prête demain.
— Déjà ?
— Oui monsieur ça c’est bien passé mais…
— Mais ?
Andréa se tourna vers Marie.
— Excuse-moi, Marie, mais il faut être honnête avec monsieur Grégoire.
— Je t’écoute, fit ce dernier
— Heu… elle ne voulait pas trop mais je lui ai fait comprendre où était son intérêt.
— Pourquoi ce refus Marie ?
Marie leva les yeux, rouge de honte.
— Je… j’avais peur, monsieur.
— De quoi ?
— De… d’avoir mal.
Monsieur Grégoire reposa ses couverts, avala un verre de vin puis lança, calmement :
— Tu n’es obligée à rien Marie. Tu es libre de partir. Maintenant si tu veux. Mais si tu restes, j’exige que tu obéisses.
Marie baissa les yeux.
— Oui, monsieur.
Monsieur Grégoire se cala contre le dossier de sa chaise et demanda :
— Peut-être me trouves-tu trop vieux et préfèrerais-tu faire ce genre de chose avec un jeune homme ? Mais les jeunes hommes, Marie, n’ont aucune expérience. Qu’en penses-tu Andréa ?
Celle-ci se redressa et répondit :
— J’ai appris beaucoup avec vous, monsieur et…
— Et ?
— Heu… je pense que j’ai encore des choses à apprendre.
— Tu ne me trouves pas trop vieux alors ? demanda t-il en souriant
— Non, monsieur
— Moi non plus, monsieur, je vous demande pardon, intervint Marie.
— Bon, n’en parlons plus.
Monsieur Grégoire tira de sa poche deux enveloppes qu’il poussa devant les filles.
Andréa fut la première à s’exclamer après l’avoir ouverte :
— Oh merci monsieur ! Puis elle se précipita pour l’embrasser sur la bouche avec fougue.
Monsieur Grégoire la repoussa gentiment :
— Doucement Andréa tu me fais bander.
— Vous voulez que je vous caresse, pendant que vous prenez votre café ?
— Pourquoi pas ?
— Je vous l’apporte au salon.
Marie les regardait, gênée. Elle n’avait même pas eu un mot pour remercier monsieur Grégoire et s’en voulait.
Andréa apporta les cafés qu’ils burent en silence puis elle prit un cigare dans la boite, le prépara, l’alluma, et le donna à monsieur Grégoire qui se cala confortablement dans le fauteuil.
Andréa déboucla la ceinture du pantalon en velours puis lança :
— Soulevez-vous un peu, monsieur
Elle descendit d’un même mouvement le pantalon et le caleçon, libérant le sexe dressé.
— Approche-toi Marie, je veux que tu regardes lança monsieur Grégoire.
Marie tira sa chaise et observa en silence Andréa le masturber. Aussitôt son ventre s’embrasa, puis brusquement elle se leva d’un bond et embrassa monsieur Grégoire sur la joue.
— C’est tout ? fit ce dernier en souriant.
Marie cligna des yeux puis elle posa ses lèvres sur celles de monsieur Grégoire. Dès qu’il chercha à entrer sa langue, elle décolla les lèvres et bientôt s’abandonna dans un long baiser sensuel qui attisa l’incendie. Elle ne put se retenir de descendre la main pour palper les lourds testicules.
— Oh oui c’est bon les filles, gémit monsieur Grégoire en abandonnant sa bouche.
Andréa continua sa lente masturbation tandis que Marie continuait à caresser les généreuses bourses en se disant que vraiment, elle aimait ça, et en se demandant si tous les hommes en disposaient d’aussi grosses.
Soudain Monsieur Grégoire éjacula en plusieurs jets puissants sur la blouse d’Andréa qui souffla discrètement à Marie, en se levant :
— Je vais me changer. Nettoie sa queue, il y a des serviettes sur le guéridon.
Marie s’exécuta tout en s’étonnant de voir son sexe encore dressé.
— Je peux jouir plusieurs fois d’affilée sans débander, précisa monsieur Grégoire, qui perçut son étonnement. Il parait que c’est une anomalie, mais je ne m’en plains pas, conclut-il en s’esclaffant.
Vers 17 heures, alors que Marie était perchée sur l’échelle, monsieur Grégoire s’approcha et regarda sous sa blouse quelques instants avant de glisser les doigts dans sa raie.
— Tu n’as pas trop mal, Marie ?
— Non, monsieur.
Il tira de sa veste le phallus en cire moulé sur sa verge, l’enduisit de lubrifiant et le glissa dans les fesses de Marie. Il poussa lentement, progressant centimètre par centimètre tandis qu’elle se cramponnait à l’échelle. Marie sentit un tiraillement, sans plus et s’en étonna.
Monsieur Grégoire n’insista pas et retira le phallus de cire en disant :
— C’est parfait. Sais-tu Marie qu’il a été moulé sur mon sexe ? Et sans attendre la réponse il demanda encore : as-tu eu mal ?
— Non monsieur.
— Et qu’as-tu ressenti ?
Marie ne voulut pas tricher en répondant :
— Pas grand chose monsieur, ça m’a juste fait une sensation bizarre quand c’est entré.
— Et est-ce que ça t’a fait mouiller ?
Marie rougit et n’osa pas répondre si bien que monsieur Grégoire glissa les doigts entre ses cuisses.
— Nom de non mais tu es trempée ! s’exclama-t-il. C’est bien Marie. C’est très bien. Il tendit le phallus à Andréa et ordonna : va le laver et range-le.
— Oui monsieur répondit Andréa
Lorsqu’elle fut de retour, monsieur Grégoire lança :
— Faites-vous belles les filles je vous emmène dîner. Mettez les habits qui sont sur vos lits.
Marie découvrit une robe turquoise splendide ainsi que des sous vêtements en soie. Elle n’avait jamais eu de si belle toilette.
Andréa l’aida à se maquiller et une heure plus tard elles se glissèrent en gloussant, à l’arrière de la limousine de monsieur Grégoire. Marie se demanda furtivement d’où lui venait sa fortune, même si à la vérité elle s’en moquait du moment qu’elle pouvait en profiter.
— J’ai réservé pour moi et mes nièces, précisa monsieur Grégoire à la femme qui les accueillit au restaurant.
Le serveur déposa peu après un énorme plateau de fruits de mer sur la table et Marie le regarda ébahie. Elle n’avait jamais vu autant de coquillages et elle suivit attentivement les gestes d’Andréa qui commençait à dépiauter son Homard.
— Apportez-nous votre meilleur champagne, lança monsieur Grégoire au serveur qui moins de cinq minutes plus tard, remplissait leurs coupes.
— A vous les filles ! fit monsieur Grégoire en levant son verre. Je suis très content de vous.
Il regarda les jeunes femmes avec attention et Andréa se redressa pour tenter de faire saillir sa poitrine d’adolescente. La manœuvre fit sourire monsieur Grégoire qui poussa devant chacune d’elles un petit paquet entouré d’un ruban rose.
Marie hésita à l’ouvrir tandis qu’Andréa découvrait déjà une chainette en or munie d’une plaque gravée à son prénom.
— Ouvre-le tien Marie, fit monsieur Grégoire sans se départir de son sourire.
Marie fut émue aux larmes en découvrant un bijou identique marqué à son prénom.
— Merci monsieur s’exclama-t-elle de concert avec Andréa.
— Je veux que vous mettiez ces chainettes à votre cheville droite, précisa-t-il. Maintenant !
Elles s’exécutèrent et, plus tard, sur le chemin du retour, la tête un peu brouillée par le champagne, Marie murmura à l’oreille d'Andréa :
— Je ne savais pas qu’on pouvait porter des bijoux aux chevilles.
— Ça a une signification, Marie. Regarde ! Andréa posa son pied sur la banquette et retourna la plaque où était inscrit son prénom. Marie fut ébahie en lisant : « Me Grégoire » et Andréa expliqua : Ça veut dire qu’on lui appartient.
— Mais ça veut dire quoi « Me » ?
— Maitre, répondit Andréa. Je t’expliquerai.
De retour à l’appartement jouxtant la boutique, monsieur Grégoire, disparut vers la salle de bains d’où il revint un quart d’heure plus tard, ceint d’un confortable peignoir blanc. Il s’installa dans son fauteuil et alluma sa pipe tandis que Marie et Andréa l’observaient.
— Andréa mets-nous un peu de musique, s’il te plait, lança-t-il, soudain. Il y a juste le bouton à tourner.
Andréa s’exécuta et aussitôt une musique orientale emplit la pièce.
Monsieur Grégoire tira plusieurs bouffées puis, ordonna :
— Dansez, les filles.
Andréa évolua avec aisance alors que Marie se dandinait. Puis peu à peu elle s’abandonna à la mélodie et ondula langoureusement.
— C’est bien les filles. C’est bien, apprécia monsieur Grégoire.
Il les observa un long moment puis ordonna :
— Andréa, je veux que tu déshabilles Marie sensuellement.
Andréa tourna encore un peu puis elle fit glisser la robe de Marie. Elle déposa des baiser dans son cou qui la firent frissonner, puis elle dégrafa le soutien gorge et caressa sensuellement les gros seins offerts. Marie trouva déroutant d’être ainsi caressée par une fille mais sentit néanmoins des fourmillements dans mon ventre. Après avoir agacé ses tétons, Andréa ôta la culotte de Marie puis elle embrassa ses fesses. Lorsque ses doigts s’aventurèrent sur sa chatte, Marie sursauta ce qui fit rire monsieur Grégoire qui lança :
— A toi Marie. Je veux que tu fasses comme elle.
Marie ignora quelle folie la poussa aussitôt à se piquer au jeu. Néanmoins elle prodigua à Andréa les mêmes caresses et lorsque celle-ci fut nue, monsieur Grégoire lança :
— Viens ici Marie. Il s’avança sur le bord du fauteuil, posa sa pipe et dénoua son peignoir. Il sembla à Marie que son sexe était encore plus raide qu’à l’ordinaire et en un éclair son ventre s’embrasa. Il la fit asseoir sur ses genoux, dos à lui et précisa : soulève-toi un peu ma puce et penche-toi en avant. Lorsqu’elle se fut exécutée, il écarta ses fesses et Marie, frissonnante, sentit sa queue contre son anus. Maintenant assieds toi doucement ajouta monsieur Grégoire et dès qu’elle le fit, Marie sentit le sexe épais dilater sa rondelle, sans douleur. Elle cria néanmoins sous l’effet de la surprise tandis que monsieur Grégoire la saisissait à la taille pour la faire empaler profondément. Il resta fiché en elle, quelques secondes puis plaça les mains sous ses fesses pour la soulever légèrement et la laisser aussitôt retomber, de tout son poids. Marie ne put retenir ses cris chaque fois que le mouvement se répétait et monsieur Grégoire demanda :
— Tu as mal Marie ?
— No… Non
— Alors c’est bon ?
La réponse échappa à Marie :
— Ou… Oui. Oui monsieur
— Alors je vais pouvoir aller plus fort. Il l’entraina au sol, sans se retirer, puis une fois qu’elle fut à quatre pattes il commença à la sodomiser avec vigueur. Entre deux puissants coups de reins il passa la main sur sa chatte et s’écria :
— Mais tu es trempée ma cochonne. Ça te plait vraiment alors ?
Il la pilonna bestialement puis ordonna : Andréa, branle-la !
Andréa, qui, excitée par le spectacle avait commencé à se masturber, s’approcha et tandis que monsieur Grégoire s’activait toujours vaillamment elle agita les doigts sur le clitoris de Marie qui sentit son ventre s’embraser de plus belle. Peu après, alors que monsieur Grégoire rugissait en se répandant en elle, elle hurla son plaisir.
Une heure plus tard, alors que Marie jouait aux cartes avec Andréa, elle osa demander, bien que rougissant :
— Monsieur Grégoire, est-ce que c’est vous qui m’avez fait jouir ?
— Non Marie, je ne crois pas. Ton anus n’est pas encore érotisé. C’est pour cela que j’ai demandé à Andréa de te caresser. Encore quelques fois comme ça et ton cerveau sera leurré et ne fera plus de différence. La pénétration suffira à te faire jouir
— Je ne savais pas, répondit-elle.
— Marie, Marie, il y a tant de choses que tu ne sais pas. Et je suis là pour te les faire découvrir. Quand tu partiras d’ici tu seras une vraie femme. Crois-moi !
— Merci monsieur
— Ne me remercie pas Marie, j’ai pris un plaisir extrême dans tes fesses. Marie rougit alors qu’il se tournait vers Andréa : Andréa, tu dors avec moi cette nuit. Mais avant j’aimerais que vous me fassiez un petit massage toutes les deux. En as-tu déjà fait Marie ?
— Oui monsieur, j’en fais parfois à ma mère lorsqu’elle a trop mal aux reins.
Monsieur Grégoire éclata de rire.
— Ma petite Marie ce n’est pas de ce genre de massage dont je parle. Andréa t’expliquera au fur et à mesure. Je vais me doucher. Retrouvez-moi dans la salle.
— Quelle huile monsieur ?
— Le flacon rose.
Un quart d’heure plus tard, lorsqu’elles entrèrent dans la petite salle, monsieur Grégoire était déjà installé, nu, à plat ventre sur la table de massage.
Ce fut à ce moment là seulement, que Marie réalisa combien il était encore athlétique. Ses muscles saillaient et ses fesses paraissaient fermes. Elle se pencha vers Andréa et murmura :
— Il est encore beau
Andréa sourit alors que monsieur Grégoire lançait :
— Pas de messe basse les filles. Si vous avez quelque chose à dire, dites-le. Alors ?
— Ce n’est rien, monsieur, Marie me disait qu’elle vous trouvait beau.
— Et toi Andréa ?
— Moi aussi monsieur.
Andréa déposa de l’huile dans ses paumes puis elle posa les mains sur les épaules de monsieur Grégoire. Elle massa longuement le dos et les reins et invita Marie à l’imiter en précisant :
— Il faut faire des mouvements amples et enveloppants, comme ça. Elle partit du haut du dos, glissa très lentement sur les fesses de monsieur Grégoire, puis remonta, avant de passer le relai.
Les mains de marie glissèrent sur le dos de monsieur Grégoire, jusqu’aux fesses et Andréa précisa :
— Passe plus lentement sur ses fesses et quand tu remontes, effleure ses testicules du bout des doigts.
Marie suivit les instructions d’Andréa et lorsqu’elle eut fait une dizaine d’aller retour, celle-ci précisa :
— Il doit bander à présent alors il faut dégager son sexe. Elle passa la main sous le ventre de monsieur Grégoire et ramena en arrière le phallus qui apparut sur la table entre ses cuisses. Elle mit un peu d’huile sur ses doigts puis prit délicatement le gland pour le masser.
— Oui, c’est bien ça, gémit monsieur Grégoire.
Andréa poursuivit la caresse un moment puis elle chuchota :
— Masse-lui les bourses.
Marie s’exécuta et une fois de plus trouva la sensation exquise.
Andréa caressa encore un moment le gland qui prit encore de la consistance, puis elle enduisit son majeur d’huile et l’introduisit dans l’anus de monsieur Grégoire.
— Oh, oui, gémit celui-ci avant de demander : c’est toi Andréa ?
— Oui monsieur.
— Alors laisse faire Marie. Elle doit apprendre.
Andréa retira son doigt et incita Marie à entrer le sien. Celle-ci hésita puis poussée par l’excitation, enfonça son majeur profondément.
— Tu sens quelque chose ? demanda Andréa
— Comme une petite noix, répondit Marie.
— C’est sa prostate. Masse-la doucement, ça va accroitre son plaisir.
Lorsque Marie eut trouvé le bon mouvement, Andréa reprit le gland entre ses doigts et les testicules dans l’autre main.
— Hum c’est bon apprécia monsieur Grégoire avant d’ajouter : laisse faire Marie je veux qu’elle apprenne à faire ça toute seule.
Marie, terriblement excitée n’hésita pas une seconde à prendre le gland entre ses doigts tout en continuant à bouger dans les fesses de monsieur Grégoire. Les gémissements de ce dernier la comblèrent d’aise et de fierté. Donner du plaisir à un homme mûr et expérimenté comme monsieur Grégoire, la fit sentir vraiment femme.
Soudain monsieur Grégoire agita la main.
— Viens par ici Andréa. Je veux te regarder te masturber. Et je veux que tu le fasses debout, un pied sur la chaise.
Andréa retira sa blouse et elle s’exécuta.
— Tu es mouillée ? demanda-t-il
— Oui monsieur.
— Alors tant… il interrompit sa phrase pour crier : bon dieu ce que c’est bon Marie ! je ne pensais pas que tu serais aussi douée. Maintenant fais moi jouir ma puce.
Marie se demanda si le bout de ses doigts allaient suffire lorsque monsieur Grégoire bascula sur le côté, face à Andréa. Elle ne chercha pas à réfléchir, s’empara de sa queue et la masturba vigoureusement, en gardant toujours le doigt dans ses fesses.
Monsieur Grégoire rugit de plaisir en éjaculant suivi peu après par Andréa qui jouit en criant.
— Merci les filles, maintenant au lit, ordonna t-il.
A suivre….
— Mais maman ! s’exclama Marie. On dit qu’il est…
— On dit trop de choses, ma chérie, la coupa sa mère, et ce n’est probablement que calomnie. On m’a affirmé qu’il ne refuserait pas d’embaucher une belle jeune fille comme toi. De plus il paie bien.
Marie soupira. Elle ne voulait pas contrarier sa mère. Pas dans l’état de faiblesse dans lequel elle se trouvait. Lorsqu’elle se leva de sa chaise, celle-ci lui prit la main : Va le voir, Marie. Il sera généreux si tu lui obéis. Alors fais-le pour nous ma chérie et ne me déçois pas.
Le lendemain, son ouvrage achevé à l’atelier de couture, Marie, à contre coeur et très angoissée, prit le chemin de la boutique. Tout en cheminant, sans en comprendre la raison, elle revit le visage du jeune saltimbanque qui l’avait dépucelé à l’aube de ses 19 ans, sans qu’elle en retirât grand plaisir.
On disait aussi monsieur Grégoire très vieux et très laid se souvint-elle encore et lorsque, la boule au ventre, elle poussa la porte de la boutique, elle découvrit un homme effectivement vieux mais sans laideur. Il devait avoir dans les soixante dix ans, pensa-t-elle, l’âge de monsieur le curé, mais son visage était exempt de ride. Elle éprouva quelques difficultés à révéler la raison de sa venue et monsieur Grégoire la regarda d’un air amusé.
— Quel âge as-tu ?
— Dix neuf ans monsieur et je cherche du travail.
— Bien, bien. Il regarda Marie intensément, ce qui la fit rougir puis il expliqua : On a dû te le dire, je suis généreux avec celles qui le méritent et tu tombes bien, Andréa ne suffit plus à la tâche. Alors si tu es motivée, reviens demain.
Le lendemain Marie quitta l’atelier de couture vers dix sept heures et courut jusqu’à la boutique.
— Je t’ai attendue toute la journée, fit monsieur Grégoire, fâché.
— Pardon monsieur, mais j’ai un autre travail dans un atelier de couture.
Monsieur Grégoire secoua la tête :
— Tu n’auras plus besoin de ce travail. Si je suis content de toi je te paierai bien. Reviens demain à 9h00.
Le lendemain, Marie passa à l’atelier pour informer son patron qu’elle avait trouvé un autre emploi, ce qui ne lui plut guère.
— Si tu quittes l’atelier, ne compte pas y revenir un jour.
Cette sentence laissa Marie perplexe : si le travail chez monsieur Grégoire ne lui convenait pas, elle aurait tout perdu. Et les embauches étaient rares. Ce fut toutefois la promesse d’être généreusement payée qui l’emporta et elle se promit d’être une employée exemplaire.
Elle poussa la porte de la boutique à 9H00 précises. Un jeune femme en blouse grise était déjà là et Marie pensa qu’elle ne devait pas avoir plus de vingt ans.
— A la bonne heure, fit le libraire en la voyant. Andréa va te donner ta tenue de travail.
Elle suivit la jeune femme dans l’arrière boutique où elle lui remit une blouse identique à la sienne en précisant :
— Tu ne mets rien dessous.
— Hein ! Mais je…
— Monsieur Grégoire est généreux mais il y a des contreparties, la coupa-t-elle. Fais comme tu veux mais alors ne sois pas étonnée des conséquences.
Marie réfléchit puis choisit de garder ses sous vêtements.
Lorsqu’elle fut de retour dans la boutique, monsieur Grégoire posa deux gros billets sur le bureau :
— C’est pour toi Marie. Pour t’encourager. C’est alors qu’Andréa se pencha à l’oreille de monsieur Grégoire. Quelques secondes plus tard il fixa Marie d’un air sévère et demanda : Tu as gardé ta culotte ?
Marie acquiesça d’un signe de tête et monsieur Grégoire s’exclama :
— Tu ne les mérites pas, en rangeant les billets tandis que dans la tête de Marie défilait déjà tout ce qu’elle aurait pu acheter pour la maison. Alors brusquement, sans davantage réfléchir, devant lui, elle retira sa culotte en rougissant.
— Et en haut ? demanda-t-il.
Marie se retourna, déboutonna un peu sa blouse et retira mon soutien gorge. Lorsque, rajustée, elle se retourna, les billets avaient reparu.
— Prends, Marie, c’est pour toi.
Timidement elle les glissa dans la poche de sa blouse puis monsieur Grégoire se leva, s’approcha d’elle et défit quelques boutons de la blouse.
— Il ne faut pas boutonner jusqu’en haut.
Marie cligna des yeux et monsieur Grégoire en profita pour écarter l’échancrure de la blouse.
— Nom d’un chien, tu as de belles mamelles s’exclama-il en glissant aussitôt la main pour palper brièvement son sein droit, sans que Marie trouvât la force de réagir. Puis il lança : Aller, les filles, au travail. Rangez-moi l’étagère du haut.
Marie jeta un coup d’oeil à Andréa qui expliqua :
— Prends l’autre échelle et fais comme moi.
Elle fit coulisser l’échelle et commença à grimper tandis que Marie l’imitai. Lorsqu’elles furent à hauteur de l’étagère, chacune sur leur échelle, monsieur Grégoire se leva, une baguette en main. Il s’approcha de l’échelle sur laquelle se trouvait Marie et du bout de l’objet, écarta le bas de sa blouse. Marie tressaillit et dût se rattraper à l’échelle, puis ivre de honte elle entendit monsieur Grégoire lancer :
— Tu as un très joli petit cul Marie. Ça vaut bien les billets que je t’ai donnés.
Marie ferma les yeux et se concentra sur la lecture des titres des ouvrages pour tenter d’oublier la présence de monsieur Grégoire au pied de l’échelle. Après un moment qui lui parut interminable, elle le vit s’éloigner vers d’Andréa. Il répéta les mêmes gestes sous la blouse puis commenta :
— Ma foi, je ne saurais dire laquelle de vous deux a le plus joli cul. Descends un peu, Andréa.
La jeune femme s’exécuta sans rechigner et dès qu’elle fut à sa portée, il glissa la main le long de ses cuisses. Marie vit juste son bras bouger mais elle comprit ce qu’il faisait au premiers gémissements d’Andréa.
Soudain il retira sa main et maugréa :
— Bon, il faut que je parvienne à vous départager.
Il fit coulisser l’échelle d’Andréa sur son rail afin de la rapprocher de celle de Marie puis se plaçant entre les deux il ordonna :
— Marie mets-toi à la même hauteur qu’Andréa.
Marie hésita un instant puis pour se donner du courage, tâta les billets dans sa poche. Elle était rouge de honte lorsqu’elle sentit la main de monsieur Grégoire lui caresser les cuisses.
— Bon, voilà deux petits culs bien fermes, apprécia-t-il, puis, pressant la fesse gauche de Marie il ajouta : et je crois le tien bien serré comme l’était celui d’Andréa quand elle est arrivée ici. Elle était bien innocente et maintenant elle n’en a jamais assez comme tu peux l’entendre. De fait Andréa s’était mise à gémir.
— Excuse-moi Marie, fit monsieur Grégoire en retirant sa main. Je crois qu’Andréa a besoin de toute mon attention.
Marie le vit glisser l’autre main sous la blouse et bien qu’elle ne sut pas précisément ce qu’il faisait, elle s’en douta néanmoins.
— Tu as déjà fait l’amour, Marie ? Demanda soudainement monsieur Grégoire?
Ne voulant pas paraitre trop niaise, elle répondit aussitôt :
— Oui, une fois, avec un jeune saltimbanque de passage.
— Juste une fois ?
— Oui.
— Bon, bon et c’était bien ?
— Non, pas vraiment, répondit-elle sans comprendre pourquoi elle se confessait à cet homme.
— Il n’y a rien d’étonnant à cela. Les jeunes hommes pensent uniquement à leur plaisir. Mais tu verras, Marie, faire l’amour avec moi est très agréable. N’est-ce pas Andréa ?
— Oui monsieur c’est… Oh mon dieu… Ouiiii ! je viens. Andréa poussa un cri puis elle se mit à trembler.
Monsieur Grégoire retira les mains et regarda Marie en souriant :
— J’espère que tu jouis aussi bien qu’elle. Aller, maintenant au travail.
Monsieur Grégoire n’ennuya plus les jeunes femmes durant l’après midi mais dès que le carillon sonna 17H00 il ordonna :
— Andréa, tire le verrou et ferme les rideaux.
Tandis qu’elle se dirigeait vers la devanture il alla s’asseoir dans un fauteuil face à une petite estrade que Marie n’avait pas remarquée et ordonna :
— Approche, Marie.
La jeune femme le rejoignit tandis qu’Andréa montait sur l’estrade et retirait sa blouse. Elle avait de petits seins laiteux et un ventre plat. Marie remarqua aussitôt l’absence de poils pubiens. Monsieur Grégoire lança le phonographe et Andréa se mit à danser. Lorsque la musique cessa, elle descendit de l’estrade et monsieur Grégoire lança :
— A toi Marie.
— Je… Je ne sais pas danser.
— Mais si, mais si, affirma t’il. Et de toute façon on s’en fout. Contente-toi de bouger et de te déshabiller. Il relança la musique.
Marie monta sur l’estrade, hésita, puis lorsqu’elle vit monsieur Grégoire agiter quelques billets, rouge de honte elle déboutonna sa blouse et commença à tourner. Monsieur Grégoire lança un cri d’admiration lorsqu’il découvrit sa volumineuse poitrine et Andréa s’exclama :
— La mienne va encore grossir, monsieur, j’en suis sûre.
Monsieur Grégoire éclata de rire tandis que Marie tournait sur la piste, nue pour la première fois devant un homme puisque le saltimbanque c’était contenté de retrousser sa jupe. Elle sentit bientôt des sensations étranges lui picorer le ventre. Elle était honteuse, certes, mais que cet homme la regardât si intensément lui procura un plaisir insoupçonné et grandissant. Elle tournait toujours lorsqu’elle vit Andréa baisser le pantalon de monsieur Grégoire et Marie frissonna en découvrant le sexe long et épais parfaitement dressé. Andréa s’accroupit, et lorsque monsieur Grégoire lui appuya sur la tête elle prit son vit dans la bouche.
— Applique-toi et je veux que ça dure longtemps, ordonna t-il alors que Marie s’arrêtait un instant, autant fascinée qu’émoustillée par le spectacle.
— Danse, Marie, danse. Elle recommença à tourner et monsieur Grégoire l’encouragea : c’est bien Marie mais secoue un peu plus tes grosses mamelles.
Chauffée par le spectacle et les paroles de monsieur Grégoire, Marie agita sa poitrine de toutes les façons possibles et monsieur Grégoire exprima sa satisfaction :
— Oui, Marie, oui, continu, oh ouiii !
Marie réalisa brusquement que ce dernier cri était provoqué par la bouche d’Andréa et non par son exhibition lorsque monsieur Grégoire ajouta :
— Andréa a fait des progrès fantastiques. Et elle aime ça de plus en plus, n’est-ce pas Andréa ?
Celle-ci se retira un instant pour répondre :
— Oui monsieur.
— Alors continue gourmande ! Tandis qu’Andréa replongeait sur le sexe de monsieur Grégoire il fit sursauter Marie en lançant : Demain ça sera à toi, Marie.
Aussitôt elle répliqua :
— Je… Je n’ai jamais fait ça.
— Mais tu le feras Marie, si tu veux continuer à travailler ici.
Marie ferma les yeux et recommença à tourner.
— Oh oui, comme ça c’est bien ma cochonne, apprécia monsieur Grégoire.
Entendant cela, Marie, persuadé que le commentaire lui était destiné, se mit à onduler langoureusement avant de comprendre qu’il ne s’adressait pas à elle. Elle entendit monsieur Grégoire pousser un gémissement avant de lancer :
— Sois plus sensuelle Marie. Caresse-toi les seins… N’hésite pas à bien me montrer ton minou.
Ces paroles chauffèrent le sang de Marie. Elle ne c’était jamais sentie ainsi, avec de tels chatouillis dans le ventre ni des frissons si intenses sur la peau. Elle était honteuse de s’exhiber ainsi, mais ne parvenait pas à s’arrêter. Elle aimait sentir le regard de monsieur Grégoire peser sur elle, alors, emportée par l’exaltation de ses émotions nouvelles elle tourna, et s’offrit au regard lubrique, inconsciente de prendre parfois des poses trop suggestives pour son jeune âge, et plus monsieur Grégoire manifestait son contentement, plus elle se plaisait à le satisfaire. En ces minutes, elle n’était plus la petite Marie sage et timide qui baissait les yeux devant les hommes. Elle était en transe, capable des pires folies, des pires outrages aux moeurs pour le regard de cet homme qui l’arrachait aux restes de l’adolescence.
Soudain, alors qu’elle secouait une nouvelle fois sa généreuse poitrine elle entendit monsieur Grégoire rugir en libérant quelques mots grossiers qui lui chauffèrent les oreilles. Andréa resta accroupie encore une minute ou deux puis elle remonta le pantalon de monsieur Grégoire, lequel déclara, alors que Marie s’arrêtait de tourner :
— Demain ça sera à toi Marie. Approche !
Il lui tendit les deux billets, et en remit trois à Andrea. Voyant l’air interrogateur, de Marie il précisa :
— Le cadeau est proportionnel à la nature du service, Marie. Je suis content de vous les filles. Continuez comme ça et vous n’aurez pas à le regretter.
— Merci monsieur, firent Andréa et Marie, en choeur.
Marie renfila sa blouse et monsieur Grégoire demanda :
— Combien de temps pour rentrer chez-toi, Marie ?
— Un peu plus d’une heure monsieur.
— Bon, si tu veux, j’ai une chambre pour toi là haut. Andréa en a une. Comme ça tu n’auras pas de trajet à faire. Tu ne rentreras chez toi que pour le week end.
— Oui, merci monsieur. Demain je reviendrai avec quelques affaires.
— A la bonne heure. Tiens, voici de quoi payer un fiacre et je t’en enverrai un demain matin à huit heures.
— Vous savez où j’habite ?
— Bien sûr Marie, je savais que tu allais venir, alors crois-tu que je ne me sois pas renseigné avant de t’offrir ce travail
Arrivée chez elle, Marie embrassa sa mère puis lui tendit les billets.
— Oh, merci Marie. Je vais pouvoir acheter tous les médicaments. Mais dis-moi comment c’est passé ta journée ? Est-il gentil avec toi ?
Marie renseigna sa mère occultant les scènes les plus troublantes.
— Et il t’envoie un fiacre demain ?
— Oui.
— Il est très généreux, c’est signe qu’il t’apprécie.
— Oui maman.
Le lendemain, le fiacre arriva à huit heures précises.
— Je reviendrai samedi maman. Ça ira ?
— Oui, bien sûr, je vais envoyer quelqu’un chez l’apothicaire. Prends soin de toi.
— Oui maman.
Puis alors que Marie embrassait sa mère, celle-ci ajouta :
— Sois bien obéissante avec lui. Tu as tout à y gagner.
— Oui, maman
La chambre au dessus de la boutique, voisine de celle d’Andréa, était petite et chichement meublée mais le lit était confortable. Marie commençait à vider sa valise lorsque Andréa s’encadra dans l’ouverture de la porte.
— Je crois que tu as pris un peu trop de vêtements, fit-elle
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Parce que la journée on est en blouse et le soir il veut qu’on reste nues.
— Ah bon ?
— Oui. Au début ça fait bizarre, mais on s’y fait.
Marie hésita puis finalement lui posa la question qui lui brulait les lèvres :
— Tu crois que je vais vraiment devoir… Heu… comme toi hier soir ?
— Le sucer ? Oui bien sûr. C’est pas difficile.
— Je l’ai jamais fait. Je sais pas si je pourrai.
— Tu fais comme tu veux mais si tu ne le fais pas tu ne resteras pas. Viens-voir.
Elle entraina Marie dans sa chambre, ouvrit l’armoire et en sortit un coffret métallique qui contenait une liasse de billets.
— Et ça fait que deux mois que je suis là. Il est généreux quand on sait y faire. Encore un an et je pourrai ouvrir ma boutique de fripes.
Le regard de Marie était littéralement aimanté par le contenu du coffret. Elle se voyait déjà riche, affublée de somptueuses toilettes prête à accueillir sa mère et son frère dans son superbe appartement.
Durant la journée monsieur Grégoire répéta plusieurs fois le rituel de l’échelle et Marie ne broncha pas lorsqu’il fourragea sous sa blouse.
A 19h00 Andréa ferma la boutique puis elle se déshabilla et Marie l’imita. Elle se trouvait proche de monsieur Grégoire et celui-ci en profita pour lui palper les seins. Elle n’eut aucun mouvement de recul et sentit aussitôt ses tétons durcir. Son ventre s’embrasa lorsque monsieur Grégoire lui caressa les fesses en disant :
— J’ai hâte de te baiser Marie. Mais avant je veux savoir comment tu jouis. Allongez-vous par terre toutes les deux et caressez-vous.
Andréa fut la première à s’exécuter. Marie avait déjà fait la chose, bien sûr, mais en secret, et devoir se masturber devant cet homme, la troubla infiniment. Jamais un sentiment de honte ne l’avait étreinte avec une telle force et pourtant elle sentait son ventre frémir d’excitation. Elle s’allongea sur le sol tandis qu’Andréa, déjà, gémissait.
— Prenez votre temps, les filles, rien ne presse.
Marie ferma les yeux pour tenter d’occulter la présence de monsieur Grégoire et le plaisir déferla sur sa peau dès qu’elle posa les doigts sur sa vulve. Habituellement il lui fallait du temps pour en ressentir les prémices alors lorsqu’elle réalisa que la fulgurance de ses sens était due à la présence de monsieur Grégoire, elle s’empourpra de plus belle.
— Ouvre les yeux, Marie. Je veux que tu me regardes.
Marie obéit et parvint à soutenir les éclats lubriques du regard de monsieur Grégoire, sans sourciller. Toutefois elle jugea par trop indécent de lui offrir son plaisir et se mordit la lèvre pour ne pas gémir. Hélas, elle sentit peu à peu sa résistance faiblir. Sa respiration devint plus ample, plus rapide. Son coeur s’affola, son ventre s’embrasa et elle lâcha soudain prise en poussant une succession de petits cris aigus.
— Oui, Marie, c’est bien, apprécia monsieur Grégoire. Laisse toi aller. Ne refuse pas ton plaisir. C’est lui qui te fera femme. Tu ne dois jamais avoir honte de ce que tu fais. De ce que nous faisons ensemble.
Les paroles de monsieur Grégoire, dont Marie ne comprenais pas encore toute la portée, la rassurèrent et la libérèrent et elle laissa ses gémissements accompagner ses doigts. Jamais elle n’avait connu un tel plaisir en se caressant.
— Non Andréa, seulement ton clitoris, exigea soudain monsieur Grégoire alors que la jeune femme venait d’entrer deux doigts dans sa chatte. Puis il ajouta : aller les filles, plus vite, maintenant il faut jouir.
Marie en avait tellement envie qu’elle s’activa fébrilement et bientôt elle poussa un cri suraigu aussitôt suivi par l’orgasme bruyant d’Andréa.
Alors que Marie retirait ses doigts, monsieur Grégoire ordonna :
— Non, Marie, continue lentement. Tu vas voir ça va revenir.
Marie ignorait à quoi faisait allusion monsieur Grégoire, mais comprit lorsqu’un éclair de plaisir lui foudroya le ventre. L’orgasme arriva rapidement. Plus intense que le précédent.
— Merci les filles, s’exclama monsieur Grégoire, c’était un très beau spectacle. Maintenant allons diner. Que nous as-tu préparé Andréa ?
— Un potage et une salade aux lardons monsieur.
— Excellent. Demain ça sera à Marie de cuisiner. Tu sais cuisiner, Marie ?
— Oui monsieur.
— Parfait, Andréa t’expliquera tout.
Le diner se passa en silence puis monsieur Grégoire se retira au salon pour fumer la pipe. Les jeunes femmes s’installèrent à ses côtés et après un moment il lança :
— Et si tu nous faisais un peu de lecture, Marie. Choisis parmi les ouvrages qui sont sur cette étagère.
Marie s’approcha de l’étagère désignée et fixa son choix sur « Bernadette au couvent ».
— Excellent choix, approuva monsieur Grégoire. Nous t’écoutons.
Marie lut les dix premières pages sans sourciller puis quand vint une scène osée entre Bernadette et le père prieur, elle s’arrêta.
— Pourquoi t’arrêtes-tu Marie ?
Ne voulant point se ridiculiser par sa niaiserie, Marie soupira puis reprit sa lecture en s’empourprant et sa voix fut bientôt portée par des trémolos dont elle ne put se défaire et buta sur les propos grivois du père prieur, lesquels, étrangement, ne l’offusquèrent pas. Lorsqu’elle fit une pause pour prendre une gorgée d’infusion, elle vit qu’Andréa baissait le slip de monsieur Grégoire. Son vit était puissamment dressé.
— Continue, Marie, continue, fit ce dernier alors qu’Andréa commençait à le masturber.
Marie se replongea difficilement dans sa lecture, qui devint cependant plus aisée lorsque Bernadette révéla son infortune à une soeur devenue son amie, avant de retomber deux pages plus loin entre les mains du père prieur qui la…
— Un mot t’effraie Marie ? demanda monsieur Grégoire alors qu’elle venait de s’interrompre au milieu d’une phrase. Il faut pourtant que tu nous dises. Ni Andréa ni moi ne pouvons deviner, comprends-tu ?
Rouge comme un coquelicot Marie reporta les yeux sur le livre et lu :
— Sodomisait
— Reprends toute la phrase, tu veux ?
Marie inspira profondément puis souffla d’un trait :
— Bernadette priait pendant que le père la sodomisait.
Monsieur Grégoire toucha le bras de Marie en demandant :
— Sais-tu ce que ça veut dire Marie ? Elle acquiesça d’un signe de tête et monsieur Grégoire demanda encore : As-tu déjà été sodomisée, Marie ?
Elle répliqua aussitôt d’une voix haut perchée :
— Non monsieur, bien sûr que non… ajoutant aussitôt sans trop savoir pourquoi : Ça doit… Elle ne put achever sa phrase et monsieur Grégoire lança :
— Ça doit quoi, Marie ? parle sans crainte.
Marie respira profondément avant de lâcher :
— Ça doit faire mal.
Monsieur Grégoire sourit puis s’adressa à Andréa :
— Alors Andréa, ça t’a fait mal la première fois ?
— Non monsieur
— Parce que je t’ai préparée
— Oui monsieur
— Et maintenant tu aimes ?
— Oui monsieur.
— Et tu crois que Marie aimera aussi ?
— J’en suis certaine monsieur.
— A la bonne heure ! Tu vois Marie tu n’as pas de crainte à avoir. Continue ta lecture.
Marie commença à transpirer en lisant par le détail les sensations ressenties par Bernadette et elle entendit Andréa demander :
— Vous voulez que je vous suce, monsieur ?
— J’en ai fort envie en effet mais c’est au tour de Marie. Va prendre sa suite pour la lecture.
Marie le ventre en feu, trembla en glissant aux pieds de monsieur Grégoire.
— Allons, allons, mon enfant. Calme-toi. Tu te doutais bien qu’un jour ou l’autre un homme te l’aurait demandé. Marie hocha la tête et monsieur Grégoire poursuivit : la différence peut-être c’est que moi, je ne me moquerai pas de toi. En as-tu déjà sucé ? Marie fit non, de la tête et monsieur Grégoire ajouta en lui caressant le visage : Commence par la toucher. Imprègne-toi de sa taille, de sa dureté puis quand tu seras prête dépose un baiser sur mon gland.
Le mot fit frissonner Marie mais elle prit le gros phallus dans sa paume. Il palpitait et Marie le trouva dur comme l’acier.
— Touche aussi mes bourses Marie.
Marie s’exécuta tandis que la lecture d’Andréa achevait de lui chauffer le sang et à l’instant où le père prieur entrait sa queue dans la bouche de Bernadette, après l’avoir sodomisée, Marie déposait un baiser sur le gland de monsieur Grégoire qui lui caressa la tête en disant :
— Maintenant prends-le entre tes lèvres et suce-le.
Marie ne chercha pas à réfléchir et obéit aussitôt. Le contact de sa langue sur la peau fine, douce et humide, lui plut. Et plus encore lorsqu’elle sentit le gland gorgé de sang coulisser entre ses lèvres. Elle aurait voulu poser des mots, des adjectifs, sur ses sensations mais ils lui parurent trop insipides pour témoigner du délice.
— C’est bien, Marie, continue, fit monsieur Grégoire qui venait d’allumer un cigare.
Marie, trop ignorante de la caresse, ne savait pas comment l’agrémenter, alors elle continua sur le même rythme jusqu’à ce que monsieur Grégoire précise :
— Plus vite Marie et serre davantage les lèvres. Voilà, c’est bien. Marie fut inondée de fierté lorsque monsieur Grégoire commença à gémir, et surtout peut être lorsqu’il lâcha : C’est bon Marie, tu es douée.
Galvanisée par ces propos, Marie accéléra encore la cadence et fut surprise lorsque monsieur Grégoire éjacula. Elle se retira prestement et reçut son sperme sur le visage.
Monsieur Grégoire sourit puis lança :
— La prochaine fois il faudra avaler Marie. Maintenant file te débarbouiller.
Marie courut jusqu’à la salle de bains où Andréa la suivit.
— Il veut qu’on se douche, Marie.
C’est alors qu’elle se glissait sous le jet d’eau que Marie vit entrer monsieur Grégoire. Il était nu et son sexe épais pendait.
— Savonnez-vous bien les filles, lança-t-il avant de s’asseoir sur le rebord de la baignoire.
Marie sentit les mains d’Andréa répandre la mousse sur ses épaules. C’était la première fois qu’une fille la touchait ainsi et elle en fut troublée. Elle le fut plus encore lorsqu’Andréa lui savonna les seins. Puis les fesses.
— Lave-lui bien sa petite chatte lança monsieur Grégoire. Lorsqu’elle y posa la main, Marie frissonna et il ajouta : Ne la fait pas jouir.
Andréa ne s’éternisa pas sur la vulve de Marie et lorsqu’elle retira ses doigts monsieur Grégoire ordonna :
— A toi, Marie. Savonne-la bien partout.
Le trouble de Marie s’intensifia lorsqu’elle toucha Andréa. Ses petits seins… Ses fesses… Sa chatte. Elle était troublée et très excitée.
Soudain monsieur Grégoire se leva et lorsqu’il s’approcha d’elles Andréa souffla à Marie :
— Mets-toi comme moi. Elle se courba en avant, jambe tendues pour saisir ses chevilles et Marie l’imita. Ecarte les jambes et garde-les bien tendues, ajouta-t-elle.
Marie ne comprenait pas à quoi rimait cette position jusqu’à ce que monsieur Grégoire lance :
— Vous avez un magnifique abricot les filles.
Il avait à peine achevé ces mots que Marie sentit sa main glisser sur sa chatte. Il devait en faire de même avec Andréa, pensa-t-elle. Il s’arrêta sur son clitoris et le caressa quelques instants. Ce fut suffisant pour mettre le feu au ventre de Marie qui sentit peu après quelques chose de dur frôler sa vulve. Elle n’eut pas le temps de réaliser que monsieur Grégoire était déjà en elle. Elle poussa un cri de surprise puis, très vite commença à gémir.
— Tu aimes, Marie ? demanda monsieur Grégoire
Marie n’osa pas répondre et il lui claqua les fesses en exigeant : réponds, Marie !
Marie lâcha alors d’une voix faible :
— Oui, oui. Et elle ne mentait pas car elle adorait la sensation exquise de sa queue épaisse coulissant dans sa chatte.
— On t’a déjà prise fort, Marie ? Et sans attendre sa réponse il ajouta : Non, bien sûr. Tu ne l’as fait qu’une fois, mais je crois que tu vas aimer ma petite Marie.
Ayant achevé sa phrase monsieur Grégoire augmenta la cadence jusqu’à pilonner vaillamment Marie qui sentit son plaisir croitre rapidement. Elle égrena un chapelet de cris ininterrompus.
— Oui, c’est bien Marie, apprécia monsieur Grégoire. Laisse-toi aller. Je suis sûr que tu vas très vite devenir une bonne petite cochonne comme Andréa.
Il donna un puissant coup de reins et Marie hurla :
— Oui, ouiiii ! Je… je viens !!! et elle jouit puissamment.
— C’est très bien Marie fit monsieur Grégoire en se retirant.
Elle sursauta lorsqu’elle sentit son doigt forcer l’ouverture de son anus.
— Reste tranquille Marie. Je veux juste me rendre compte, précisa monsieur Grégoire.
Marie tremblait lorsqu’il poussa son doigt et le retira plusieurs fois.
— Aucun doute tu es vierge de ce côté, lança-t-il. Andréa, je veux que tu la prépares. Il se retourna une dernière fois avant de quitter la pièce et ajouta : Veille à ce qu’elle soit disponible d’ici deux jours.
— Oui monsieur.
Andréa rejoignit Marie dans sa chambre et lui expliqua ce que monsieur Grégoire attendait.
— Mais je ne veux pas, s’insurgea Marie !
— Alors il faut aller lui dire. Mais je te préviens il ne va pas aimer et alors fini les petits billets.
— Je m’en fout. Je trouverai toujours du travail en ville, objecta Marie.
Andréa secoua la tête.
— C’est aussi ce que je disais quand j’ai voulu partir. Seulement il connait tout le monde en ville. Et personne n’a voulut m’embaucher. Et puis tu sais Marie, ce n’est pas si terrible. Tu pourrais même y trouver du plaisir.
— Du plaisir ! Tu… Tu as vu son… son… s’écria t-elle sans pouvoir prononcer le mot.
— C’est justement pour ça qu’il faut te préparer Marie. Andréa baissa la voix pour continuer : tu sais quand il l’a fait avec moi la première fois, le lendemain j’ai trouvé 200 francs dans ma blouse
— Deux cent francs ! s’écria Marie
Andréa attendit un peu puis elle ouvrit la mallette qu’elle avait apportée.
— Qu’est-ce que c’est ? demanda Marie
— De quoi élargir ton petit trou. Allonge-toi sur le côté. Marie s’installa et Andréa remonta sa jambe gauche. Elle badigeonna d’huile le petit cylindre d’albâtre et précisa : détends-toi, je vais aller doucement.
Marie se raidit en sentant l’objet la pénétrer.
— Ça va ? demanda Andréa
— Ça va.
Andréa poussa un peu plus le cylindre puis elle fit de lent mouvements circulaires. Après un quart d’heure elle le retira et en introduisit un autre, très court.
— Il… Il est plus gros ! s’exclama Marie
— Oui, mais ça va aller.
Andréa refit les mouvements puis lentement elle le retira et le rentra une dizaine de fois avant de préciser :
— Il faut que tu le gardes toute la nuit. Elle aida Marie à enfiler une culotte et ajouta : Avec ça, ça devrait tenir. Demain matin ton petit trou sera plus souple.
Le lendemain matin, avant l’aube, Andréa fit irruption dans la chambre de Marie.
— Il faut l’enlever, expliqua-t-elle.
Marie eut une sensation très étrange lorsqu’elle le retira délicatement. Une sensation proche du plaisir.
— Demain soir on mettra celui-la, fit Andréa en lui montrant un objet qui ressemblait étrangement à un sexe d’homme. Elle précisa qu’il était en cire et avait été moulé sur le sexe de monsieur Grégoire. Marie en resta ébahie.
Durant la matinée il y eut beaucoup de client si bien que monsieur Grégoire fut fort occupé.
Lors du repas de midi il expliqua le travail de l’après midi puis demanda à Andréa :
— Tu as commencé à la préparer ?
— Oui monsieur. Je pense qu’elle sera prête demain.
— Déjà ?
— Oui monsieur ça c’est bien passé mais…
— Mais ?
Andréa se tourna vers Marie.
— Excuse-moi, Marie, mais il faut être honnête avec monsieur Grégoire.
— Je t’écoute, fit ce dernier
— Heu… elle ne voulait pas trop mais je lui ai fait comprendre où était son intérêt.
— Pourquoi ce refus Marie ?
Marie leva les yeux, rouge de honte.
— Je… j’avais peur, monsieur.
— De quoi ?
— De… d’avoir mal.
Monsieur Grégoire reposa ses couverts, avala un verre de vin puis lança, calmement :
— Tu n’es obligée à rien Marie. Tu es libre de partir. Maintenant si tu veux. Mais si tu restes, j’exige que tu obéisses.
Marie baissa les yeux.
— Oui, monsieur.
Monsieur Grégoire se cala contre le dossier de sa chaise et demanda :
— Peut-être me trouves-tu trop vieux et préfèrerais-tu faire ce genre de chose avec un jeune homme ? Mais les jeunes hommes, Marie, n’ont aucune expérience. Qu’en penses-tu Andréa ?
Celle-ci se redressa et répondit :
— J’ai appris beaucoup avec vous, monsieur et…
— Et ?
— Heu… je pense que j’ai encore des choses à apprendre.
— Tu ne me trouves pas trop vieux alors ? demanda t-il en souriant
— Non, monsieur
— Moi non plus, monsieur, je vous demande pardon, intervint Marie.
— Bon, n’en parlons plus.
Monsieur Grégoire tira de sa poche deux enveloppes qu’il poussa devant les filles.
Andréa fut la première à s’exclamer après l’avoir ouverte :
— Oh merci monsieur ! Puis elle se précipita pour l’embrasser sur la bouche avec fougue.
Monsieur Grégoire la repoussa gentiment :
— Doucement Andréa tu me fais bander.
— Vous voulez que je vous caresse, pendant que vous prenez votre café ?
— Pourquoi pas ?
— Je vous l’apporte au salon.
Marie les regardait, gênée. Elle n’avait même pas eu un mot pour remercier monsieur Grégoire et s’en voulait.
Andréa apporta les cafés qu’ils burent en silence puis elle prit un cigare dans la boite, le prépara, l’alluma, et le donna à monsieur Grégoire qui se cala confortablement dans le fauteuil.
Andréa déboucla la ceinture du pantalon en velours puis lança :
— Soulevez-vous un peu, monsieur
Elle descendit d’un même mouvement le pantalon et le caleçon, libérant le sexe dressé.
— Approche-toi Marie, je veux que tu regardes lança monsieur Grégoire.
Marie tira sa chaise et observa en silence Andréa le masturber. Aussitôt son ventre s’embrasa, puis brusquement elle se leva d’un bond et embrassa monsieur Grégoire sur la joue.
— C’est tout ? fit ce dernier en souriant.
Marie cligna des yeux puis elle posa ses lèvres sur celles de monsieur Grégoire. Dès qu’il chercha à entrer sa langue, elle décolla les lèvres et bientôt s’abandonna dans un long baiser sensuel qui attisa l’incendie. Elle ne put se retenir de descendre la main pour palper les lourds testicules.
— Oh oui c’est bon les filles, gémit monsieur Grégoire en abandonnant sa bouche.
Andréa continua sa lente masturbation tandis que Marie continuait à caresser les généreuses bourses en se disant que vraiment, elle aimait ça, et en se demandant si tous les hommes en disposaient d’aussi grosses.
Soudain Monsieur Grégoire éjacula en plusieurs jets puissants sur la blouse d’Andréa qui souffla discrètement à Marie, en se levant :
— Je vais me changer. Nettoie sa queue, il y a des serviettes sur le guéridon.
Marie s’exécuta tout en s’étonnant de voir son sexe encore dressé.
— Je peux jouir plusieurs fois d’affilée sans débander, précisa monsieur Grégoire, qui perçut son étonnement. Il parait que c’est une anomalie, mais je ne m’en plains pas, conclut-il en s’esclaffant.
Vers 17 heures, alors que Marie était perchée sur l’échelle, monsieur Grégoire s’approcha et regarda sous sa blouse quelques instants avant de glisser les doigts dans sa raie.
— Tu n’as pas trop mal, Marie ?
— Non, monsieur.
Il tira de sa veste le phallus en cire moulé sur sa verge, l’enduisit de lubrifiant et le glissa dans les fesses de Marie. Il poussa lentement, progressant centimètre par centimètre tandis qu’elle se cramponnait à l’échelle. Marie sentit un tiraillement, sans plus et s’en étonna.
Monsieur Grégoire n’insista pas et retira le phallus de cire en disant :
— C’est parfait. Sais-tu Marie qu’il a été moulé sur mon sexe ? Et sans attendre la réponse il demanda encore : as-tu eu mal ?
— Non monsieur.
— Et qu’as-tu ressenti ?
Marie ne voulut pas tricher en répondant :
— Pas grand chose monsieur, ça m’a juste fait une sensation bizarre quand c’est entré.
— Et est-ce que ça t’a fait mouiller ?
Marie rougit et n’osa pas répondre si bien que monsieur Grégoire glissa les doigts entre ses cuisses.
— Nom de non mais tu es trempée ! s’exclama-t-il. C’est bien Marie. C’est très bien. Il tendit le phallus à Andréa et ordonna : va le laver et range-le.
— Oui monsieur répondit Andréa
Lorsqu’elle fut de retour, monsieur Grégoire lança :
— Faites-vous belles les filles je vous emmène dîner. Mettez les habits qui sont sur vos lits.
Marie découvrit une robe turquoise splendide ainsi que des sous vêtements en soie. Elle n’avait jamais eu de si belle toilette.
Andréa l’aida à se maquiller et une heure plus tard elles se glissèrent en gloussant, à l’arrière de la limousine de monsieur Grégoire. Marie se demanda furtivement d’où lui venait sa fortune, même si à la vérité elle s’en moquait du moment qu’elle pouvait en profiter.
— J’ai réservé pour moi et mes nièces, précisa monsieur Grégoire à la femme qui les accueillit au restaurant.
Le serveur déposa peu après un énorme plateau de fruits de mer sur la table et Marie le regarda ébahie. Elle n’avait jamais vu autant de coquillages et elle suivit attentivement les gestes d’Andréa qui commençait à dépiauter son Homard.
— Apportez-nous votre meilleur champagne, lança monsieur Grégoire au serveur qui moins de cinq minutes plus tard, remplissait leurs coupes.
— A vous les filles ! fit monsieur Grégoire en levant son verre. Je suis très content de vous.
Il regarda les jeunes femmes avec attention et Andréa se redressa pour tenter de faire saillir sa poitrine d’adolescente. La manœuvre fit sourire monsieur Grégoire qui poussa devant chacune d’elles un petit paquet entouré d’un ruban rose.
Marie hésita à l’ouvrir tandis qu’Andréa découvrait déjà une chainette en or munie d’une plaque gravée à son prénom.
— Ouvre-le tien Marie, fit monsieur Grégoire sans se départir de son sourire.
Marie fut émue aux larmes en découvrant un bijou identique marqué à son prénom.
— Merci monsieur s’exclama-t-elle de concert avec Andréa.
— Je veux que vous mettiez ces chainettes à votre cheville droite, précisa-t-il. Maintenant !
Elles s’exécutèrent et, plus tard, sur le chemin du retour, la tête un peu brouillée par le champagne, Marie murmura à l’oreille d'Andréa :
— Je ne savais pas qu’on pouvait porter des bijoux aux chevilles.
— Ça a une signification, Marie. Regarde ! Andréa posa son pied sur la banquette et retourna la plaque où était inscrit son prénom. Marie fut ébahie en lisant : « Me Grégoire » et Andréa expliqua : Ça veut dire qu’on lui appartient.
— Mais ça veut dire quoi « Me » ?
— Maitre, répondit Andréa. Je t’expliquerai.
De retour à l’appartement jouxtant la boutique, monsieur Grégoire, disparut vers la salle de bains d’où il revint un quart d’heure plus tard, ceint d’un confortable peignoir blanc. Il s’installa dans son fauteuil et alluma sa pipe tandis que Marie et Andréa l’observaient.
— Andréa mets-nous un peu de musique, s’il te plait, lança-t-il, soudain. Il y a juste le bouton à tourner.
Andréa s’exécuta et aussitôt une musique orientale emplit la pièce.
Monsieur Grégoire tira plusieurs bouffées puis, ordonna :
— Dansez, les filles.
Andréa évolua avec aisance alors que Marie se dandinait. Puis peu à peu elle s’abandonna à la mélodie et ondula langoureusement.
— C’est bien les filles. C’est bien, apprécia monsieur Grégoire.
Il les observa un long moment puis ordonna :
— Andréa, je veux que tu déshabilles Marie sensuellement.
Andréa tourna encore un peu puis elle fit glisser la robe de Marie. Elle déposa des baiser dans son cou qui la firent frissonner, puis elle dégrafa le soutien gorge et caressa sensuellement les gros seins offerts. Marie trouva déroutant d’être ainsi caressée par une fille mais sentit néanmoins des fourmillements dans mon ventre. Après avoir agacé ses tétons, Andréa ôta la culotte de Marie puis elle embrassa ses fesses. Lorsque ses doigts s’aventurèrent sur sa chatte, Marie sursauta ce qui fit rire monsieur Grégoire qui lança :
— A toi Marie. Je veux que tu fasses comme elle.
Marie ignora quelle folie la poussa aussitôt à se piquer au jeu. Néanmoins elle prodigua à Andréa les mêmes caresses et lorsque celle-ci fut nue, monsieur Grégoire lança :
— Viens ici Marie. Il s’avança sur le bord du fauteuil, posa sa pipe et dénoua son peignoir. Il sembla à Marie que son sexe était encore plus raide qu’à l’ordinaire et en un éclair son ventre s’embrasa. Il la fit asseoir sur ses genoux, dos à lui et précisa : soulève-toi un peu ma puce et penche-toi en avant. Lorsqu’elle se fut exécutée, il écarta ses fesses et Marie, frissonnante, sentit sa queue contre son anus. Maintenant assieds toi doucement ajouta monsieur Grégoire et dès qu’elle le fit, Marie sentit le sexe épais dilater sa rondelle, sans douleur. Elle cria néanmoins sous l’effet de la surprise tandis que monsieur Grégoire la saisissait à la taille pour la faire empaler profondément. Il resta fiché en elle, quelques secondes puis plaça les mains sous ses fesses pour la soulever légèrement et la laisser aussitôt retomber, de tout son poids. Marie ne put retenir ses cris chaque fois que le mouvement se répétait et monsieur Grégoire demanda :
— Tu as mal Marie ?
— No… Non
— Alors c’est bon ?
La réponse échappa à Marie :
— Ou… Oui. Oui monsieur
— Alors je vais pouvoir aller plus fort. Il l’entraina au sol, sans se retirer, puis une fois qu’elle fut à quatre pattes il commença à la sodomiser avec vigueur. Entre deux puissants coups de reins il passa la main sur sa chatte et s’écria :
— Mais tu es trempée ma cochonne. Ça te plait vraiment alors ?
Il la pilonna bestialement puis ordonna : Andréa, branle-la !
Andréa, qui, excitée par le spectacle avait commencé à se masturber, s’approcha et tandis que monsieur Grégoire s’activait toujours vaillamment elle agita les doigts sur le clitoris de Marie qui sentit son ventre s’embraser de plus belle. Peu après, alors que monsieur Grégoire rugissait en se répandant en elle, elle hurla son plaisir.
Une heure plus tard, alors que Marie jouait aux cartes avec Andréa, elle osa demander, bien que rougissant :
— Monsieur Grégoire, est-ce que c’est vous qui m’avez fait jouir ?
— Non Marie, je ne crois pas. Ton anus n’est pas encore érotisé. C’est pour cela que j’ai demandé à Andréa de te caresser. Encore quelques fois comme ça et ton cerveau sera leurré et ne fera plus de différence. La pénétration suffira à te faire jouir
— Je ne savais pas, répondit-elle.
— Marie, Marie, il y a tant de choses que tu ne sais pas. Et je suis là pour te les faire découvrir. Quand tu partiras d’ici tu seras une vraie femme. Crois-moi !
— Merci monsieur
— Ne me remercie pas Marie, j’ai pris un plaisir extrême dans tes fesses. Marie rougit alors qu’il se tournait vers Andréa : Andréa, tu dors avec moi cette nuit. Mais avant j’aimerais que vous me fassiez un petit massage toutes les deux. En as-tu déjà fait Marie ?
— Oui monsieur, j’en fais parfois à ma mère lorsqu’elle a trop mal aux reins.
Monsieur Grégoire éclata de rire.
— Ma petite Marie ce n’est pas de ce genre de massage dont je parle. Andréa t’expliquera au fur et à mesure. Je vais me doucher. Retrouvez-moi dans la salle.
— Quelle huile monsieur ?
— Le flacon rose.
Un quart d’heure plus tard, lorsqu’elles entrèrent dans la petite salle, monsieur Grégoire était déjà installé, nu, à plat ventre sur la table de massage.
Ce fut à ce moment là seulement, que Marie réalisa combien il était encore athlétique. Ses muscles saillaient et ses fesses paraissaient fermes. Elle se pencha vers Andréa et murmura :
— Il est encore beau
Andréa sourit alors que monsieur Grégoire lançait :
— Pas de messe basse les filles. Si vous avez quelque chose à dire, dites-le. Alors ?
— Ce n’est rien, monsieur, Marie me disait qu’elle vous trouvait beau.
— Et toi Andréa ?
— Moi aussi monsieur.
Andréa déposa de l’huile dans ses paumes puis elle posa les mains sur les épaules de monsieur Grégoire. Elle massa longuement le dos et les reins et invita Marie à l’imiter en précisant :
— Il faut faire des mouvements amples et enveloppants, comme ça. Elle partit du haut du dos, glissa très lentement sur les fesses de monsieur Grégoire, puis remonta, avant de passer le relai.
Les mains de marie glissèrent sur le dos de monsieur Grégoire, jusqu’aux fesses et Andréa précisa :
— Passe plus lentement sur ses fesses et quand tu remontes, effleure ses testicules du bout des doigts.
Marie suivit les instructions d’Andréa et lorsqu’elle eut fait une dizaine d’aller retour, celle-ci précisa :
— Il doit bander à présent alors il faut dégager son sexe. Elle passa la main sous le ventre de monsieur Grégoire et ramena en arrière le phallus qui apparut sur la table entre ses cuisses. Elle mit un peu d’huile sur ses doigts puis prit délicatement le gland pour le masser.
— Oui, c’est bien ça, gémit monsieur Grégoire.
Andréa poursuivit la caresse un moment puis elle chuchota :
— Masse-lui les bourses.
Marie s’exécuta et une fois de plus trouva la sensation exquise.
Andréa caressa encore un moment le gland qui prit encore de la consistance, puis elle enduisit son majeur d’huile et l’introduisit dans l’anus de monsieur Grégoire.
— Oh, oui, gémit celui-ci avant de demander : c’est toi Andréa ?
— Oui monsieur.
— Alors laisse faire Marie. Elle doit apprendre.
Andréa retira son doigt et incita Marie à entrer le sien. Celle-ci hésita puis poussée par l’excitation, enfonça son majeur profondément.
— Tu sens quelque chose ? demanda Andréa
— Comme une petite noix, répondit Marie.
— C’est sa prostate. Masse-la doucement, ça va accroitre son plaisir.
Lorsque Marie eut trouvé le bon mouvement, Andréa reprit le gland entre ses doigts et les testicules dans l’autre main.
— Hum c’est bon apprécia monsieur Grégoire avant d’ajouter : laisse faire Marie je veux qu’elle apprenne à faire ça toute seule.
Marie, terriblement excitée n’hésita pas une seconde à prendre le gland entre ses doigts tout en continuant à bouger dans les fesses de monsieur Grégoire. Les gémissements de ce dernier la comblèrent d’aise et de fierté. Donner du plaisir à un homme mûr et expérimenté comme monsieur Grégoire, la fit sentir vraiment femme.
Soudain monsieur Grégoire agita la main.
— Viens par ici Andréa. Je veux te regarder te masturber. Et je veux que tu le fasses debout, un pied sur la chaise.
Andréa retira sa blouse et elle s’exécuta.
— Tu es mouillée ? demanda-t-il
— Oui monsieur.
— Alors tant… il interrompit sa phrase pour crier : bon dieu ce que c’est bon Marie ! je ne pensais pas que tu serais aussi douée. Maintenant fais moi jouir ma puce.
Marie se demanda si le bout de ses doigts allaient suffire lorsque monsieur Grégoire bascula sur le côté, face à Andréa. Elle ne chercha pas à réfléchir, s’empara de sa queue et la masturba vigoureusement, en gardant toujours le doigt dans ses fesses.
Monsieur Grégoire rugit de plaisir en éjaculant suivi peu après par Andréa qui jouit en criant.
— Merci les filles, maintenant au lit, ordonna t-il.
A suivre….
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une bien belle histoire où deux jeunes filles découvrent le plaisir avec un "vieux" monsieur un peu pervers..
BRAVO... Vite d'autres histoires aussi croustillantes...
BRAVO... Vite d'autres histoires aussi croustillantes...
Wouawww...
Quelle fantastique histoire, superbement racontée et extrêmement excitante...
Merci beaucoup La Catin pour ce magnifique moment
Cyrille
Quelle fantastique histoire, superbement racontée et extrêmement excitante...
Merci beaucoup La Catin pour ce magnifique moment
Cyrille