Le livre de cul
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le livre de cul
Je suis seul ce soir, Nina, ma compagne est parti chez ses parents: elle va les voir depuis le temps. Je m’ennuis pas mal. Je regarde la télé distraitement. Je fini par prendre un livre en allant me coucher: Je suis tombé sur un livre à ne pas mettre entre toutes les mains. Il n’est question que d’amour physique entre deux couples qui se cherchent, de perdent et se retrouvent, le tout ponctué de baises: une au moins par chapitre. Je ne lit que d’une main: ma main droite est occupée à me caresser longuement la bite. Je le ferai lire à Nina qui certainement aura le même réflexe que moi: la main sur son con. J’ai décharge je ne sais combien de fois et m’endors.
Dans mes rêves il me semble que Nina est à mes cotés. Je sens ses mains roder sur mon corps. Je la sens également chercher ma queue pour la caresser. Et sa bouche sur la mienne. Je bande en me réveillant: je ne rêvais pas, c’est bien Nina qui est dans le lit contre moi totalement nue (de toute façon elle dort toujours ainsi). Je me demande ce qu’elle fait là. Je n’aurai pas de réponse: elle veut jouir. Elle a de la peine à me faire bander dur. Dans son esprit elle pense que j’ai fait l’amour avec une voisine qui me fait les yeux doux.
Elle continue et me connaissant elle sait comment me faire bander: elle me prend dans sa bouche, lèche mon gland en l’entourant de sa langue, elle en tient la base avec sa main droite pour me branler aussi. Je n’ai jamais su qui lui avait enseigner cette méthode, en tout cas les fellations étaient toujours excellentes. Elle arrivait à me faire grossir: ma bite avait des dimensions excellentes. Elle se met en missionnaire, écarte ses jambes m’attire sur elle pour que je la lui mette. J’arrive à la baiser comme nous aimons. Elle jouit deux ou trois fois et pas moi, je la fait encore jouir deux fois et enfin à mon tour j’éclate dans son con. L’ennui est que je débande aussitôt après. Elle en voudrai encore, surtout dans le cul. D’habitude quand je la sodomise, elle reste sur le dos, ouvre ses jambes qu’elle mélange avec les mienne, ouvre bien son cul. Quand je suis au fond elle se masturbe, mêlant ainsi deux plaisirs.
Je lui explique le mystère de mes défaillances et lui montre le livre. Pour me faire plaisir elle lit deux chapitres et comme prévu, elle ouvre ses cuisses prend le livre dans la main gauche pour se masturber, non pas une seule fois, mais trois ou quatre, Elle entame un autre chapitre: je me mets la tête entre ses jambes pour la sucer quand elle lit: elle en jouira bien mieux. J’arrive par le haut en commençant donc par le clitoris. Je le lèche longuement. Elle commente ce qu’elle lit et bien sur s’excite encore plus. Elle avoue à mis chemin que j’ai bienfait de me branler en lisant. J’entre ma langue dans son ventre quand elle lit une scène de sodomie: Je dois lui lécher l’anus avant de rentrer la moitié de ma langue dans son cul.
Je sens ses crispations de jouissance autour de ma langue. Je reste dans son cul, cette fois en lui mettant également deux doigts dans sa cachette à plaisir. En somme c’est presque la même chose que quand je l’encule. Entre ses commentaires et mon léchage je recommence à bander, cette fois fortement.
Je me relève pour aller la lui mettre là où elle voudra. Par curiosité et par vice, elle se met en levrette, le livre sur l’oreiller pour qu’elle puisse continuer à lire à haute voix les scènes relevées du bouquin. Elle mouille tant que je n’ai pas grand-chose à faire pour lui entrer la queue dans son cul qu’elle ouvre. Elle me demande de lui branler le clitoris pendant que je suis en elle. Elle se laisse aller totalement dans le plaisir. Je la sens jouir, comme j’aime autour de ma pine. Je ne m’arrête pas ; je suis parti pour une longue sodomie. Je ne sais combien de temps je l’ai enculée, en tout cas quand je jouis et sors de son ventre, elle se plein légèrement d’avoir mal au cul.
Nous arrêtons tout.
Elle me dit qu’elle n’a pas trouvé ses parents, qu’elle a pris le premier train pour revenir et qu’elle m’a vu couché: elle a eu envie de moi, qui de prime abord d’avait plus envie de baiser.
Nous nous recouchons et vers le matin, elle se lève sans rien dire, va dans la salle de bain ouvre en grand la douche. Je pense qu’elle va se masturber avec le jet. Elle m’appelle pour que j’aille l’aider. Je suis étonnée, elle se débrouille bien pour jouir avec le jet sans que je sois là.
Elle veut que je vienne derrière elle pour la sodomiser encore pendant qu’elle se fera jouir avec le jet. Ce n’est pas particulièrement commode d’enculer une femme quand elle est en levrette dans une baignoire avec un jet devant elle; j’arrive péniblement à lui entrer ma bite; elle par contre réussit son coup avec le jet. J’arrive à le sentir sur la queue quand je sors d’elle. Elle jouit, se relève pour s’apercevoir que je n’ai pas encore jouit. Elle me demande de m’assoir au fond de la baignoire, s’agenouille et dirige son jet sur la bite. Elle l’éloigne quand elle se souvient que je ne peux pas jouir comme elle. Le jet va de mon pubis à la pointe de la bite. Ses mouvements sont très irréguliers comme j’aime. Elle vient m’embrasser quand je jouis: elle a arrêter le jet sur ma bite, récupère un peu de sperme pour ne pas le laisser perdre. Nous nous levons pour nous sécher: elle a pris la serviette pour que je la sèche: un bon moyen de l’exciter encore. J’ai droit au peignoir de bain, elle le laisse ouvert pour surveiller ma pine. Elle reste nue.
Nous allons déjeuner. Elle s’occupe de tout. Je la suis des yeux, je peux admirer ses fesses ou son pubis ornés de quelques poils. Quand elle passe près de moi, je n’hésite pas à lui mettre la main au panier: elle me laisse faire et en rajoute en me touchant la bite.
Nous déjeunons rapidement: elle vient me donner la dernière bouchée: elle s’assoit sur la table, bien en face de moi, ouvre ses jambes et me demande de lui bouffer le cul. Lui bouffer le cul, j’en rêve depuis un moment. Je pose ma langue sur son clito, descends petit à petit pour arriver à la destination qu’elle aime. Ma langue est sur son anus. Elle ouvre ses fesses et ma langue fini par entrer encore dans ce cul que j’aime sodomiser. Elle me tient la tête comme si elle avait peur que je parte et la laisse le cul ouvert. Ma langue entre et sort de son ventre. Mon nez est contre son con. Je le rentre un peu pour le retirer pour respirer.
Quand elle jouit, elle vient sur moi, en face, ses jambes toujours ouvertes. Après quelques mouvements elle entre ma bite dans son con. Elle fait seule les mouvements. Elle est sur le point de jouir: je ne me retiens pas, j’éjacule en elle.
Elle est en congé pour la journée, pas moi. Quand je rentre le soir, elle est toujours nue: elle finit le livre de cul. Elle finit de se masturber. Elle est plaine de fantasme: elle voudrait faire tout ce que les héros du livre ont fait. Comme les aventurse d’un livre ne correspondent pas toujours à la réalité j’ai de la peine à lui faire admettre qu’il lui faudrait un amant ou une maitresse par chapitre.
Pour le moment elle reste encore sage: qui sait ce qui va arriver ?
Dans mes rêves il me semble que Nina est à mes cotés. Je sens ses mains roder sur mon corps. Je la sens également chercher ma queue pour la caresser. Et sa bouche sur la mienne. Je bande en me réveillant: je ne rêvais pas, c’est bien Nina qui est dans le lit contre moi totalement nue (de toute façon elle dort toujours ainsi). Je me demande ce qu’elle fait là. Je n’aurai pas de réponse: elle veut jouir. Elle a de la peine à me faire bander dur. Dans son esprit elle pense que j’ai fait l’amour avec une voisine qui me fait les yeux doux.
Elle continue et me connaissant elle sait comment me faire bander: elle me prend dans sa bouche, lèche mon gland en l’entourant de sa langue, elle en tient la base avec sa main droite pour me branler aussi. Je n’ai jamais su qui lui avait enseigner cette méthode, en tout cas les fellations étaient toujours excellentes. Elle arrivait à me faire grossir: ma bite avait des dimensions excellentes. Elle se met en missionnaire, écarte ses jambes m’attire sur elle pour que je la lui mette. J’arrive à la baiser comme nous aimons. Elle jouit deux ou trois fois et pas moi, je la fait encore jouir deux fois et enfin à mon tour j’éclate dans son con. L’ennui est que je débande aussitôt après. Elle en voudrai encore, surtout dans le cul. D’habitude quand je la sodomise, elle reste sur le dos, ouvre ses jambes qu’elle mélange avec les mienne, ouvre bien son cul. Quand je suis au fond elle se masturbe, mêlant ainsi deux plaisirs.
Je lui explique le mystère de mes défaillances et lui montre le livre. Pour me faire plaisir elle lit deux chapitres et comme prévu, elle ouvre ses cuisses prend le livre dans la main gauche pour se masturber, non pas une seule fois, mais trois ou quatre, Elle entame un autre chapitre: je me mets la tête entre ses jambes pour la sucer quand elle lit: elle en jouira bien mieux. J’arrive par le haut en commençant donc par le clitoris. Je le lèche longuement. Elle commente ce qu’elle lit et bien sur s’excite encore plus. Elle avoue à mis chemin que j’ai bienfait de me branler en lisant. J’entre ma langue dans son ventre quand elle lit une scène de sodomie: Je dois lui lécher l’anus avant de rentrer la moitié de ma langue dans son cul.
Je sens ses crispations de jouissance autour de ma langue. Je reste dans son cul, cette fois en lui mettant également deux doigts dans sa cachette à plaisir. En somme c’est presque la même chose que quand je l’encule. Entre ses commentaires et mon léchage je recommence à bander, cette fois fortement.
Je me relève pour aller la lui mettre là où elle voudra. Par curiosité et par vice, elle se met en levrette, le livre sur l’oreiller pour qu’elle puisse continuer à lire à haute voix les scènes relevées du bouquin. Elle mouille tant que je n’ai pas grand-chose à faire pour lui entrer la queue dans son cul qu’elle ouvre. Elle me demande de lui branler le clitoris pendant que je suis en elle. Elle se laisse aller totalement dans le plaisir. Je la sens jouir, comme j’aime autour de ma pine. Je ne m’arrête pas ; je suis parti pour une longue sodomie. Je ne sais combien de temps je l’ai enculée, en tout cas quand je jouis et sors de son ventre, elle se plein légèrement d’avoir mal au cul.
Nous arrêtons tout.
Elle me dit qu’elle n’a pas trouvé ses parents, qu’elle a pris le premier train pour revenir et qu’elle m’a vu couché: elle a eu envie de moi, qui de prime abord d’avait plus envie de baiser.
Nous nous recouchons et vers le matin, elle se lève sans rien dire, va dans la salle de bain ouvre en grand la douche. Je pense qu’elle va se masturber avec le jet. Elle m’appelle pour que j’aille l’aider. Je suis étonnée, elle se débrouille bien pour jouir avec le jet sans que je sois là.
Elle veut que je vienne derrière elle pour la sodomiser encore pendant qu’elle se fera jouir avec le jet. Ce n’est pas particulièrement commode d’enculer une femme quand elle est en levrette dans une baignoire avec un jet devant elle; j’arrive péniblement à lui entrer ma bite; elle par contre réussit son coup avec le jet. J’arrive à le sentir sur la queue quand je sors d’elle. Elle jouit, se relève pour s’apercevoir que je n’ai pas encore jouit. Elle me demande de m’assoir au fond de la baignoire, s’agenouille et dirige son jet sur la bite. Elle l’éloigne quand elle se souvient que je ne peux pas jouir comme elle. Le jet va de mon pubis à la pointe de la bite. Ses mouvements sont très irréguliers comme j’aime. Elle vient m’embrasser quand je jouis: elle a arrêter le jet sur ma bite, récupère un peu de sperme pour ne pas le laisser perdre. Nous nous levons pour nous sécher: elle a pris la serviette pour que je la sèche: un bon moyen de l’exciter encore. J’ai droit au peignoir de bain, elle le laisse ouvert pour surveiller ma pine. Elle reste nue.
Nous allons déjeuner. Elle s’occupe de tout. Je la suis des yeux, je peux admirer ses fesses ou son pubis ornés de quelques poils. Quand elle passe près de moi, je n’hésite pas à lui mettre la main au panier: elle me laisse faire et en rajoute en me touchant la bite.
Nous déjeunons rapidement: elle vient me donner la dernière bouchée: elle s’assoit sur la table, bien en face de moi, ouvre ses jambes et me demande de lui bouffer le cul. Lui bouffer le cul, j’en rêve depuis un moment. Je pose ma langue sur son clito, descends petit à petit pour arriver à la destination qu’elle aime. Ma langue est sur son anus. Elle ouvre ses fesses et ma langue fini par entrer encore dans ce cul que j’aime sodomiser. Elle me tient la tête comme si elle avait peur que je parte et la laisse le cul ouvert. Ma langue entre et sort de son ventre. Mon nez est contre son con. Je le rentre un peu pour le retirer pour respirer.
Quand elle jouit, elle vient sur moi, en face, ses jambes toujours ouvertes. Après quelques mouvements elle entre ma bite dans son con. Elle fait seule les mouvements. Elle est sur le point de jouir: je ne me retiens pas, j’éjacule en elle.
Elle est en congé pour la journée, pas moi. Quand je rentre le soir, elle est toujours nue: elle finit le livre de cul. Elle finit de se masturber. Elle est plaine de fantasme: elle voudrait faire tout ce que les héros du livre ont fait. Comme les aventurse d’un livre ne correspondent pas toujours à la réalité j’ai de la peine à lui faire admettre qu’il lui faudrait un amant ou une maitresse par chapitre.
Pour le moment elle reste encore sage: qui sait ce qui va arriver ?
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