Le maçon portugais.

- Par l'auteur HDS Nico T -
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Récit libertin : Le maçon portugais. Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le maçon portugais.
J'étais décidé à agrandir mon garage mais il me fallait des maçons. Bien que manuel, je n'y connaissais pas grand chose en maçonnerie et bâtissage de murs. J'ai demandé à des collègues qui m'ont conseillé une entreprise locale familiale portugaise, mon pote de travail me disant qu'il allait en parler au patron et qu'il prendrait contact avec moi.

C'est ainsi que quelques jours plus tard, j'ai vu débarquer à la maison un monsieur d'une cinquantaine d'années, portugais, qui se présenta comme étant le patron de l'entreprise. On a fait rapidement connaissance et l'emmenais sur les lieux du délit et lui expliquais ce que je désirais. Ce n'était pas exactement ce que j'avais pensé mais il m'expliquât ce qu'il fallait faire vraiment. J'ai donc suivi ses conseils et il m'a fait un devis et me l'a ramené à la maison me disant que c'était son fils qui s'occupait des travaux et que son équipe pouvait les commencer d'ici une quinzaine de jours.

Quinze jours après j'ai vu débarquer le fils du patron, Joao et deux autres personnes. Des jeunes mecs d'une trentaine d'années amenant tout le matériel nécessaire pour les travaux qui ont commencé dès le lendemain.
Tout se passait à merveille et je voyais mon futur garage se construire. Ils travaillaient avec assiduité et efficacité. Lorsque je rentrais le soir de mon boulot, ils finissaient juste et partaient, seul restait Joao pour m'expliquer ce qu'ils avaient fait le jour même.

J'en profitais pour lui payer un verre. C'était vraiment un beau mec dans son pantalon de chantier et son marcel blanc. On était début juin et le temps était beau et commençait à être chaud. Son torse musclé ressortait du marcel comme tous les poils bruns dont il était recouvert. Il avait un très léger accent portugais quand il parlait trop longtemps, toujours le sourire, un beau visage carré, des yeux noirs, une barbe toujours de 3 jours qui semblait bien piquante et au milieu des lèvres… putain je buvais ses paroles et j'avais qu'une envie c'était de poser les miennes dessus. Donc dans les premiers jours de chantier on buvait une bière sur le terrain même.

Mais un soir une averse tombe, une belle averse qui oblige de se mettre à l'abri. On était devenu des potes pratiquement. On parlait du chantier mais plein d'autres choses, j'avais l'impression que je l'intéressais et ce soir là je lui ai demandé de rentrer à la maison pour boire notre bière, ça pissait dru dehors!
-oh c'est pas la première fois que je prends l'eau sur un chantier dit Joao en riant.
-c'est vrai t'es comme moi! à travailler dehors on se fait rincer plus souvent qu'à notre tour.

On s'est installé dans le salon, côte à côte sur le canapé. Je lui ai offert une bière comme tous les soirs. On la buvait au goulot, mais ce soir là un silence s'est installé. Lorsqu'on se regardait, les yeux se détournaient de suite comme si on était gêné. C'est vrai que je me demandais s'il était gay… comme moi.

J'essayais de relancer la conversation mais ça ne prenait pas ce soir là.

Il était assis sur le canapé, penché en avant, les avant bras sur ses cuisses et ses yeux regardaient le sol. C'était moi qui parlait et il opinait du chef, sans pratiquement rien dire. Quand nos genoux se sont frôlés, vite éloignés mais il avait relevé la tête, me regardait, il ne souriait pas, semblait hésitant.

Je le fixais en déglutissant, approchant ma main de son genou je suis venu prendre la bouteille de bière vide qu'il tenait encore fermement dans sa main.
-t'en veux une autre ?
-oui je veux bien.
Je me suis levé pour aller en chercher dans le frigo et, en revenant je me suis assis plus près de lui, lui tendant la bouteille, sa main a entouré la mienne.
-oh pardon dit-il.
-c'est rien dis-je mais on peut pas dire que t'as les mains douces.
Il a rit.
-oh j'ai personne pour s'en plaindre.
-oh un beau mec comme toi!
-c'est parce que je suis difficile dit-il en riant.
-oui et dans notre région c'est pas facile à trouver.

Moi je parlais des mecs mais lui ?

Mon genou s'était collé au sien, il avait bien retiré le sien mais se trouvant mal assis, son genou était revenu se coller au mien. On était proche l'un de l'autre, on se regardait. J'avais son odeur de travailleur qui remontait dans le nez, de mâle, de sueur. J'observais ses poils avec un peu d'attention.
-moi je suis très poilu ça rebute à des fois dit-il en me fixant.
Et, naturellement j'ai encore une fois oublié de tourner ma langue 7 fois dans ma bouche avant de répondre d'un ton franc.
-moi! j'aime bien les poils…

Et, c'est en le disant que j'ai compris que je venais de me révéler, me griller. Je me suis tu dans l'instant. La chaleur envahissait mon visage, mon corps. Je devais plus ressembler au homard prêt à passer sur la table mais il me fixait toujours et son visage s'est éclairé d'un seul coup. J'ai vu le sourire sur ses lèvres, les entrouvrir laissant voir une belle dentition blanche et un bout de langue rose. Ma queue venait de prendre des proportions dans mon bleu de travail et y'avait de la place pour qu'elle prenne ses aises. Il ne fallait pas que je me lève.
Mais il a juste dit :
-c'est pas souvent de trouver un mec qui aime les poilus, serais tu une exception ?
-je ne sais pas si je suis une exception, mais j'aime ça, de beaux poils doux sur un torse bien dur, bien fait, trouver les tétons, les découvrir.
Nos yeux se fixaient, nos têtes se rapprochaient.
-dis... tu serais pas en train de m'exciter là ?
-ah ça t'excite ce que je dis eh bien je crois que t'es pas le seul.

Je n'ai pas eu le temps de continuer de parler, ses lèvres ont mangé les miennes, il a commencé par la lèvre supérieure, la prenant entre les siennes, je sentais sa langue la lécher, ses lèvres étaient douces, chaudes mais putain sa barbe ça piquait dru! Il m'a bouffé la lèvre inférieure et sa langue est venue visiter ma bouche. J'ai senti ses mains me prendre aux épaules, me serrer contre lui et je me suis laissé aller. Ma bouche emplie de sa langue, la salive au goût de bière coulait en direction de ma gorge. Je sentais son souffle sortir par son nez. Ses mains me caressaient partout où il pouvait, j'ai passé les miennes sur ses épaules, le dos poilu, doux, très agréable à caresser.

C'est lui qui a retiré son marcel me laissant admirer son torse plus que poilu. On ne voyait pratiquement pas la chair. Je passais ma main sur son torse c'était chaud, c'était doux. Il souriait de me voir comme un gamin découvrant son jouet.

Sous les poils les seins étaient bien dessinés, je les malaxais, furetant dans les poils pour trouver les tétons envahis.
On était nez à nez, bouche à bouche, laissant nos langues jouer ensemble.
J'ai pris un téton dans chaque main, les pinçant entre deux doigts et je commençais à les martyriser. Son souffle qui entrait dans ma bouche s'est accéléré au fur et à mesure, plus je les serrais, plus il fermait les yeux et gémissait. J'aurais bien aimé les lécher, les sucer, les téter, les mordre mais je n'osais pas quitter sa langue, sa belle langue juteuse qui jouait avec la mienne. Ses mains étaient posées sur les miennes les serrant lorsque je pinçais trop fort ses tétons et ce petit manège a duré un moment. Lorsque je les ai lâché il a remis mes mains dessus en disant juste "continue encore un peu, j'adore".

Je lui ai donc martyrisé ses tétons, de plus en plus fort. Il ne demandait pas que j'arrête. J'ai enfin lâché sa langue et je suis venu lécher un téton, le prendre directement entre mes dents, le faire rouler. Il gémissait encore plus fort. Je le suçais, le tétais, le mordais et je suis revenu l'embrasser. Il soupirait de plaisir mon beau portugais poilu.

Je le renversais dans le divan, enlevais mon tee-shirt et je me suis allongé sur lui poursuivant mon léchage et mon jeu avec les poils de son torse. Y'en avait partout mais sous les poils on sentait un corps dur, musclé. Je prenais un malin plaisir à tout lécher, voir les poils s'aplatir sur les abdos, prendre leur formes et ses mains me tenaient la tête qui avançait vers son entre jambe. Pendant que ma langue léchait les poils et le nombril, je tâtais la grosse bosse contenue dans le pantalon de chantier.

Vite fait je défais le ceinturon, ouvre le pantalon, descend la fermeture éclair pour voir un boxer blanc presque transparent emprisonnant une grosse barre. Je prends cette barre entre mes doigts et la caresse pour remonter vers le gland. Je l'entends gémir encore et encore. Il a lâché ma tête. Je tire sur son pantalon, il soulève ses fesses, je tire découvrant les cuisses musclées très poilues. Je suis ravi! Le boxer transparent laisse voir la barre de chair dans un amas très sombre, je tire sur le boxer, il soulève encore ses fesses et je libère le bel engin, la bête portugaise sort de sa cachette en se redressant dans les airs. Le mandrin s'étire et libère le gland. Même sa queue est bronzée entourée de longs poils noirs. J'ai à bouffer pour la semaine.

Je caresse cette belle bête, doucement pour l'apprivoiser. Je la tire vers moi pour la voir de plus près, la tenir fermement dans ma main, le gland dépasse bien, je vois la mouille couler sur mes doigts. Je m'approche encore et donne de petits coups de langue dessus et la mouille continue de couler. Joao continue de gémir, je referme ma bouche dessus l'entourant de mes lèvres chaudes et j'avale toute sa queue, moins longue que la mienne mais plus grosse, plus massive… une bite de maçon!

Quand mon nez, mes lèvres sont caressées par les poils, les longs poils pubiens, je suis aux anges et je suce avidement cette belle queue qui sent le mâle en rut. Je le pipe avec tout mon savoir, je caresse ses couilles, il a de très belles couilles poilues, grosses, agréables au toucher, je les malaxe dans ma main et je le suce bien à fond. Il gémit de plus en plus et se met à parler j'ai présumé en portugais. J'ai failli éclater de rire mais sa queue durcissait encore plus dans ma bouche, j'avais l'impression qu'elle s'était allongée et, quand je l'ai entendu crier j'ai reçu une première giclée me refaisant le palais et coulant dans ma gorge. J'ai bien maintenue mes lèvres autour de ce beau et bon morceau et les giclées se sont succédées.

C'était ma première bite portugaise.

Il s'est redressé et m'a renversé sur mon canapé, m'ouvrant rapidement mon bleu, je soulevais mes fesses pour me libérer. Il enlève rapidement mon boxer et je l'entends faire "oh", me regarde.
-putain t'as une belle queue mec!
-elle est à toi dis-je.

Ma queue coulait, il l'a caressée, câlinée, décalottée et ses lèvres se sont approchées et le bonheur est arrivé. J'ai senti sa langue l'envelopper, la lécher, et l'avaler complètement. Sa main a pris délicatement mes couilles pour les pétrir doucement, je voyais sa tête aller et venir sur ma queue, l'enserrant de ses belles lèvres. Il s'appliquait mon portugais et je sentais le plaisir monter mais il a ralenti, calmé mes ardeurs en me caressant le torse, mon torse imberbe complètement.

Il semblait apprécier ma peau douce et moi j'aimais ses mains de travailleurs, durs et tendres en même temps et il a repris sa pipe. Je lui ai maintenu la tête et je donnais des petits coups de reins pour m'enfoncer encore plus en lui. Il acceptait que ma queue s'enfonce bien au fond de sa gorge et quand ma première giclée est arrivée, sa main s'est refermée sur mes couilles, les tenant fermement pendant que ses lèvres enserraient ma queue pour qu'il ne perdre aucune goutte de mon bon jus et je lui en ai donné du bon jus qu'il a tout avalé avant de lécher avec application ma queue.

Il s'est redressé pour venir m'embrasser.
-je pensais pas que ma journée allait se terminer ainsi dit-il.
-moi non plus mais je t'avais repéré quand même! un beau mec comme toi!
-et moi tu crois que je t'avais pas repéré si je te dis qu'en fait on débauche plus tôt que tu n'arrives et que je faisais durer pour te voir le temps de boire une bière.
-mais mon maçon portugais est un coquin mais un beau et bon coquin.
On a ri, on s'est embrassé, on a bu une nouvelle bière. On avait toujours la bite à l'air et elles recommençaient à grandir un maximum et à couler.
-on prend une douche ?
-toi ! t'as envie d'autre chose dit-il en riant.
-ben disons que je goûterais bien à ton postérieur que je n'ai même pas vu!
-c'est ce que je me disais aussi… ça me changera d'un cul poilu et il éclate de rire.

On s'est relevé du canapé, finit d'enlever tous nos vêtements. D'un seul coup ça sentait le mâle, la sueur surtout quand on a enlevé nos chaussettes. Cela nous a fait rire.
Je l'ai emmené dans ma grande douche. J'ai fait couler l'eau et l'ai poussé dessous. Elle était froide bien sûr. Il a crié mais m'a attiré à lui, m'enserrant fortement dans ses bras, sa bouche sur la mienne, sa langue sur la mienne, nos corps soudés laissaient couler l'eau qui se réchauffait. Nos queues faisaient connaissances, les mains caressaient les corps, les fesses.
Il prend le gel douche, s'en met dans la main.
-maintenant laisse toi faire.

Et ses mains sont passées partout sur mon corps, d'abord vite fait puis est revenu dans tous les coins et recoins. Il m'a nettoyé les pieds en passant entre les orteils et a gardé mon petit cul pour la fin. J'étais plein de savon. Son doigt est passé dans ma raie trouvant l'anus, le grattant et d'un seul coup s'enfonce. Une douce chaleur m'envahit, il me retourne, se met à genoux derrière moi, fait couler l'eau pour enlever toute la mousse.
-penche toi en avant.

Je sens deux mains ouvrir mes fesses, ses joues piquantes martyriser mes petites fesses imberbes et sa langue toucher mon anus, je tend bien mon cul, l'ouvrant le plus possible et sa langue lèche, inonde, fore et je la sens lécher le début du petit trou qui s'ouvre. Vite remplacé par un doigt qui s'enfonce en moi, caressant la paroi, je sens son souffle sur mes fesses, il met deux doigts et s'enfonce en tournant. Il fore en tournant ouvrant encore plus mon petit trou, il claque une fesse.
-prêt pour le sacrifice ?
Sa voix est autoritaire, ferme.
-oui ! vas-y!

Tout en gardant ses doigts dans mon cul, il se relève. Il enlève ses doigts qu'il remplace par son gland suintant le pose sur l'anus entrouvert. Je me cramponne au mur de la douche, ses mains claquent mes fesses comme pour les attendrir et je sens son gland entrer, ouvrir doucement le sphincter qui l'épouse au fur et à mesure. Je serre des dents le temps que le gland fasse son entrée mais je suis obligé de crier quand le gland passe et continue son chemin. Ses mains se sont affermies sur le haut de mes fesses et sa queue continue son avancée. Je sens ses poils caresser mes fesses, il me tire bien à lui, je sens sa queue bouger en moi, vivre. Il ondule du bassin, ma paroi enveloppe bien sa belle queue.

Il se retire doucement pour revenir avec force, son pubis claque sur mes fesses et, tel un travailleur de force me baise en cadence, sortant presque sa queue pour la rentrer de suite bien au chaud. Je gueule, mais j'ai passé ma main entre mes jambes et je lui caresse les couilles durant tout le travail effectué. Il est endurant le portugais! et j'en prend vraiment plein le cul. Quand il se bloque sur mes fesses, bien ancré en moi, je sens ses giclées repeindre mon intérieur, me réchauffer. Lui pousse également de petits cris. Il ressort lentement de moi, me redresse, me fait tourner pour revenir dans ses bras et m'embrasser!
-j'adore ton cul mec! dit-il.
-merci et le tien est comment ?
-c'est toi qui va le me le dire dans quelques instants dit-il en rigolant, mais avant tu vas jouer l'esclave et laver ton maitre portugais.
-avec plaisir maitre, j'ai toujours rêvé d'avoir à ma disposition un corps poilu comme le tien, tu ressembles à un très bel ours!
Cela l'a fait rire, m'a tendu le gel douche.
-allez à toi!

Comment vous le raconter le plaisir que j'ai eu cette première fois à caresser ce beau nounours des pieds à la tête, de découvrir son corps à travers les poils mouillés, collés à sa peau. J'ai pris tout mon temps laissant, comme lui, le cul pour la fin. Quand, enfin je me suis retrouvé derrière lui que j'ai eu en mains les deux globes fessiers tout poilus, je les ai caressé, c'était dur, j'ai respiré sa raie. J'ai ouvert ses fesses, il s'est penché en avant et la raie est apparue. Une raie boisée de petits poils frisés. Je trouvais ça marrant et drôle. J'ai léché, caressé, son trou s'ouvrait facilement. Soit il prenait des bites soit il se godait le portugais et j'ai pu mettre deux doigts de suite. La machine à gémissements était déjà en route, j'ai mis ma langue le plus profond que je pouvais, léché, doigté, ce petit trou s'est ouvert encore plus.

Je me suis relevé, bien décalotté ma queue, il tendait bien ses fesses, j'ai passé le gland dans la raie et quand il a touché l'entrée, je l'ai saisi aux hanches et je me suis enfoncé en lui rapidement. Tout le temps de la pénétration j'ai senti la chaleur de son conduit m'envelopper la queue. J'étais bien et quand ses poils des fesses se sont mélangés avec ceux de mon pubis il a soufflé, je sentais son sphincter se serrer autour de ma queue et je ne lui ai pas fait de cadeau. Je l'ai baisé comme un malade. Il criait, gémissait tout en s'offrant et je me suis rapidement vidé en lui, de longues giclées imposantes lui ont noyé le conduit.

On s'est retrouvé dans les bras l'un de l'autre s'embrassant à pleine bouche, les yeux pleins de remerciements.

Il est resté dîner avec moi et n'est rentré chez lui qu'au milieu de la nuit.

Les travaux sont terminés depuis longtemps et on se voit encore pour passer des nuits torrides… et on aime ça!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire. Moi, c'est un maçon Turc qui m'a baisé un jour sur un chantier. Je sortais du lycée et on s'est regardé.Je l'ai rejoins vite fait et on s'est compris. Il était archi poilu et sa queue avait un goût épicé que j'ai aimé. J'ai couiné quand il m'a enculé car sa queue était grosse. Il a jouis dans mon cul.J'ai pris tellement de plaisir que j'ai jouis aussi. Le lendemain,un autre ouvrier Turc nous a rejoins et ils m'ont baisé. Il était plus jeune et encore mieux monté. Cela a duré une quinzaine de jours...que du bonheur

Histoire Erotique
Tres chouette histoire, bien écrite et efficace, j'ai bien bandé et jouit en pensant à ces deux là...



Texte coquin : Le maçon portugais.
Histoire sexe : Une rose rouge
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