Le Maître de maison - 3
Récit érotique écrit par Abby76 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le Maître de maison - 3
J’ai relativement vite déchanté en me rendant compte que ca faisait vraiment mal de marcher avec deux énormes godes dans mes trous. J’avais des crampes comme quand on fait du sport intensif sans s’étirer par la suite.
Par contre, avec un peu de honte là, je me suis rendue compte que j’étais trempée de mouille, et que celle-ci coulait le long de mes jambes, mais, comme me le fit remarquer Juju qui avait apparemment du également passer par là, je n’avais pas le droit de me nettoyer.
Dégoulinante, je suis donc allée rejoindre mon maître à heure dite.
Celui-ci, lorsque je suis entrée dans le bureau, m’adressa un sourire carnassier qui me fit flipper et encore plus mouiller si cela est possible.
Il me fit mettre à quatre pattes et m’enfila un collier autour du cou. C’est juste en tirant sur ce dernier qu’il me conduisit jusqu’à ce qui devait à la base être une cave mais qui avait été transformée en un donjon avec toute une série de machines sur lesquelles je lançais des yeux ébahis.
Il me conduisit tout d’abord devant un petit bureau avant de me lâcher. Il alla alors chercher quelque chose dans un des tiroirs.
-Bon, ma pute, je t’explique le topo. Le temps que tu resteras ici, tu seras pour moi un garage à bites. Or, pour l’instant le garage peine à accueillir un vélo alors que je voudrais y faire entrer un 4X4. On va donc y remédier.
Tout d’abord il me banda les yeux. Etonnement, on aurait pu penser que ca me rassurerait de ne pas voir tout ce qu’il faisait, mais en fait c’était pire car je ne savais pas à quoi m’attendre et que mes appréhensions me démangeait.
Il me conduisit jusqu’à ce qu’il s’arrête pour m’attacher les mollets et les poignets au sol. De même, il attacha une chaine à mon collier qu’il attacha au sol. Je ne pouvais plus beaucoup bouger, et je me sentais étrangement chienne.
Je le sentais se mettre derrière moi comme un chien en rut qui veut copuler avec sa femelle. Il m’enleva la ceinture, puis les godes. Ceux-ci s’enlevèrent sans soucis tant j’étais mouillée. Je l’entendis les balancer et un bruit de fermeture éclair.
Il se remit alors en position et, à ma grande honte, se mit effectivement à me limer comme une chienne en chaleur, à moitié avachie sur mon dos.
Je pleurais, et franchement je ne savais pas pourquoi, de honte ou de plaisir. Je haletais.
-Ha...ha-ha…ha…ha-ha-ha.
Je savais que je ne devais pas émettre de bruit mais il ne me dit rien donc j’ai continué car je ne pouvais pas m’en empêcher.
Il s’amusait avec ma mouille qui avait coulée à titiller mon trou du cul et à mettre deux doigts dedans. Vu le plaisir que je ressentais et le traitement de mon cul auparavant qui m’empêchait d’avoir mal, je ne m’en souciais presque pas.
Tout à coup, alors que j’étais au bord de la jouissance, il s’arrêta et je me suis préparée à recevoir son foutre dans ma chatte. Mais il se retira d’un coup et s’enfonça d’un coup dans mon cul pour y jouir.
Je voulu me dégager mais j’étais vraiment bien attachée, je ne pouvais pas me soustraire, alors que la douleur était énorme. Je n’étais plus du tout (ou presque) excitée, mais j’avais mon cul complètement déchiré.
Il se retira avec un grognement de plaisir.
-Voilà pour le lubrifiant. On passe à la suite.
J’eus vraiment peur. Il m’a littéralement niqué le cul pour le lubrifier ? Pour lui permettre de supporter beaucoup plus gros ?
Il me fit alors monter sur ce que je vais appeler la machine infernale.
Je n’avais plus envie de continuer mais c’est d’une main ferme qu’il me détacha et me conduisit plus loin. Cette fois, il me fit me relever et m’attacha les mains de manière lâche au niveau de la poitrine. Seuls mes poignets étaient attachés et mes bras-coudes pendaient à côté de mes seins.
Il me fit alors écarter les jambes et immobilisa mes pieds dans une espèce d’étau. Je ne pouvais absolument plus les bouger. Ils étaient totalement fixer.
En fait la seule chose que je pouvais encore faire était de plier-replier mes genoux, et de fait baisser-abaisser mon corps.
Il m’obligea à tenir mes jambes les moins pliées que possible et, quand je me suis accomplie, actionna une machine juste entre mes jambes.
Au bout de quelques secondes, il m’écarta le cul et la machine, qui se trouvait être un espèce de gode géant, s’enfonça dans mon trou du cul. Je criais de douleur car c’était encore plus gros que la bite de mon maître.
Il me retira le bandeau et je pu me voir dans le miroir qui me faisait face.
La partie enfoncer dans mon cul était la partie ayant le plus petit diamètre. Mes jambes étant tendues au maximum de mes capacités, il m’était impossible de me dégager.
Et ce que je compris au bout de quelques instants, c’était très douloureux de rester dans cette position, donc on plie les genoux pour se soulager, enfonçant le gode plus profondément, et dilatant très fort le cul.
C’était vraiment une machine infernale. En effet, le sperme de mon maître servait de lubrifiant. Par ailleurs, il encourageait le glissement de mon cul plus bas encore soulageant par la même occasion mes jambes faiblardes.
Par le miroir, je me voyais glisser de plus en plus, les muscles de mon cul se détendant au fur et à mesure que ceux de mes jambes lâchaient.
Je ne sais honnêtement pas combien de temps je suis restée sur cette machine, mais quand mon maître revient, j’avais mal partout.
Il me regarda tout d’abord d’un air satisfait, surtout vu la longueur de l’enculage. Quand il actionna la machine pour l’abaisser, je me suis baissée en même temps. Quand se ne fut plus possible, le gode se retira de mon cul avec un bruit de succion.
Son sperme coula, et avec ses mains il le récupéra dans un bol, ainsi que le reste qui ne coulait pas. Il approcha le bol de mon visage et il ne me vient même pas à l’esprit de refuser tellement j’étais fatiguée.
J’ai donc léché jusqu’à la dernière goutte ce sperme froid qui venait de me servir de lubrifiant et qui avait été conservé dans mon cul.
Je ne sais pas comment je suis retournée dans ma chambre, mais je me suis endormie directement.
Par contre, avec un peu de honte là, je me suis rendue compte que j’étais trempée de mouille, et que celle-ci coulait le long de mes jambes, mais, comme me le fit remarquer Juju qui avait apparemment du également passer par là, je n’avais pas le droit de me nettoyer.
Dégoulinante, je suis donc allée rejoindre mon maître à heure dite.
Celui-ci, lorsque je suis entrée dans le bureau, m’adressa un sourire carnassier qui me fit flipper et encore plus mouiller si cela est possible.
Il me fit mettre à quatre pattes et m’enfila un collier autour du cou. C’est juste en tirant sur ce dernier qu’il me conduisit jusqu’à ce qui devait à la base être une cave mais qui avait été transformée en un donjon avec toute une série de machines sur lesquelles je lançais des yeux ébahis.
Il me conduisit tout d’abord devant un petit bureau avant de me lâcher. Il alla alors chercher quelque chose dans un des tiroirs.
-Bon, ma pute, je t’explique le topo. Le temps que tu resteras ici, tu seras pour moi un garage à bites. Or, pour l’instant le garage peine à accueillir un vélo alors que je voudrais y faire entrer un 4X4. On va donc y remédier.
Tout d’abord il me banda les yeux. Etonnement, on aurait pu penser que ca me rassurerait de ne pas voir tout ce qu’il faisait, mais en fait c’était pire car je ne savais pas à quoi m’attendre et que mes appréhensions me démangeait.
Il me conduisit jusqu’à ce qu’il s’arrête pour m’attacher les mollets et les poignets au sol. De même, il attacha une chaine à mon collier qu’il attacha au sol. Je ne pouvais plus beaucoup bouger, et je me sentais étrangement chienne.
Je le sentais se mettre derrière moi comme un chien en rut qui veut copuler avec sa femelle. Il m’enleva la ceinture, puis les godes. Ceux-ci s’enlevèrent sans soucis tant j’étais mouillée. Je l’entendis les balancer et un bruit de fermeture éclair.
Il se remit alors en position et, à ma grande honte, se mit effectivement à me limer comme une chienne en chaleur, à moitié avachie sur mon dos.
Je pleurais, et franchement je ne savais pas pourquoi, de honte ou de plaisir. Je haletais.
-Ha...ha-ha…ha…ha-ha-ha.
Je savais que je ne devais pas émettre de bruit mais il ne me dit rien donc j’ai continué car je ne pouvais pas m’en empêcher.
Il s’amusait avec ma mouille qui avait coulée à titiller mon trou du cul et à mettre deux doigts dedans. Vu le plaisir que je ressentais et le traitement de mon cul auparavant qui m’empêchait d’avoir mal, je ne m’en souciais presque pas.
Tout à coup, alors que j’étais au bord de la jouissance, il s’arrêta et je me suis préparée à recevoir son foutre dans ma chatte. Mais il se retira d’un coup et s’enfonça d’un coup dans mon cul pour y jouir.
Je voulu me dégager mais j’étais vraiment bien attachée, je ne pouvais pas me soustraire, alors que la douleur était énorme. Je n’étais plus du tout (ou presque) excitée, mais j’avais mon cul complètement déchiré.
Il se retira avec un grognement de plaisir.
-Voilà pour le lubrifiant. On passe à la suite.
J’eus vraiment peur. Il m’a littéralement niqué le cul pour le lubrifier ? Pour lui permettre de supporter beaucoup plus gros ?
Il me fit alors monter sur ce que je vais appeler la machine infernale.
Je n’avais plus envie de continuer mais c’est d’une main ferme qu’il me détacha et me conduisit plus loin. Cette fois, il me fit me relever et m’attacha les mains de manière lâche au niveau de la poitrine. Seuls mes poignets étaient attachés et mes bras-coudes pendaient à côté de mes seins.
Il me fit alors écarter les jambes et immobilisa mes pieds dans une espèce d’étau. Je ne pouvais absolument plus les bouger. Ils étaient totalement fixer.
En fait la seule chose que je pouvais encore faire était de plier-replier mes genoux, et de fait baisser-abaisser mon corps.
Il m’obligea à tenir mes jambes les moins pliées que possible et, quand je me suis accomplie, actionna une machine juste entre mes jambes.
Au bout de quelques secondes, il m’écarta le cul et la machine, qui se trouvait être un espèce de gode géant, s’enfonça dans mon trou du cul. Je criais de douleur car c’était encore plus gros que la bite de mon maître.
Il me retira le bandeau et je pu me voir dans le miroir qui me faisait face.
La partie enfoncer dans mon cul était la partie ayant le plus petit diamètre. Mes jambes étant tendues au maximum de mes capacités, il m’était impossible de me dégager.
Et ce que je compris au bout de quelques instants, c’était très douloureux de rester dans cette position, donc on plie les genoux pour se soulager, enfonçant le gode plus profondément, et dilatant très fort le cul.
C’était vraiment une machine infernale. En effet, le sperme de mon maître servait de lubrifiant. Par ailleurs, il encourageait le glissement de mon cul plus bas encore soulageant par la même occasion mes jambes faiblardes.
Par le miroir, je me voyais glisser de plus en plus, les muscles de mon cul se détendant au fur et à mesure que ceux de mes jambes lâchaient.
Je ne sais honnêtement pas combien de temps je suis restée sur cette machine, mais quand mon maître revient, j’avais mal partout.
Il me regarda tout d’abord d’un air satisfait, surtout vu la longueur de l’enculage. Quand il actionna la machine pour l’abaisser, je me suis baissée en même temps. Quand se ne fut plus possible, le gode se retira de mon cul avec un bruit de succion.
Son sperme coula, et avec ses mains il le récupéra dans un bol, ainsi que le reste qui ne coulait pas. Il approcha le bol de mon visage et il ne me vient même pas à l’esprit de refuser tellement j’étais fatiguée.
J’ai donc léché jusqu’à la dernière goutte ce sperme froid qui venait de me servir de lubrifiant et qui avait été conservé dans mon cul.
Je ne sais pas comment je suis retournée dans ma chambre, mais je me suis endormie directement.
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