Le manager bienveillant (1/2)
Récit érotique écrit par jacques r [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2024 dans la catégorie Plus on est
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Le manager bienveillant (1/2)
Julie et moi avions commencé à sortir ensemble dès son entrée à l’université, un an après mon intégration à l’académie militaire. Elle était très différente des filles que je côtoyais alors dans l’armée. Je me souviens d’ailleurs, dès notre première rencontre, de ce premier flirt particulièrement poussé où je me posais la question :
- Je ne sais pas si je pourrais gérer une telle nana !
Eh bien, et je l'ai découvert assez rapidement, il allait falloir que je m’adapte !
Après de courtes fiançailles un tant soit peu romantiques, nous nous sommes mariés et j'ai alors profité d'une vie sexuelle particulièrement active. Julie n’était jamais rassasiée.
Parfois, j’avais à peine franchi le pas de la porte qu'elle me déshabillait dans l’entrée pour aspirer ma bite. Habituellement, elle me regardait alors droit dans les yeux après mon éjaculation dans sa bouche et elle montrait mon sperme sur sa langue, qu’elle avalait lentement en insistant sur le mouvement de son larynx. Peu après, elle me tirait vers la chambre ou le salon et nous baisions durant des heures. Cela a duré ainsi quelques années et son appétit pour le sexe n’a cessé de grandir.
J'ai alors été muté en Afrique centrale pour un séjour de deux ans et j’ai bien sûr été autorisé à me faire accompagner par Julie. Nous occupions une petite villa dans le quartier chic de la capitale, terrasse et jardin fleuri compris. Cette affectation africaine allait être assurément notre période de vie la plus « sauvage ».
J'avais pris le commandement d’un petit détachement d’une douzaine d’instructeurs. Contrairement à moi, ils venaient ici pour des périodes de 6 mois. Cette équipe était installé sur une colline isolée située à quelques kilomètres de la capitale, à la fois lieu de vie et de repos mais aussi de travail, puisque c’était sur place qu’ils initiaient les forces de l’ordre et les militaires locaux à quelques techniques particulières.
Militaires et expatriés, nous étions de fait un groupe très proche. Tout le monde savait presque tout sur les autres, l’emploi des prénoms était l’usage et nous sortions souvent boire un coup ensemble. Près de la moitié de l’équipe était composée de vrais célibataires, les autres étaient mariés et donc « célibataires géographiques » le temps de leur mission.
Des hommes jeunes et en pleine santé, qui trop souvent ne trouvaient comme seul dérivatif sexuel, outre les vidéos X et la « veuve poignet », quelques bouges ou bars à étrangers, pour y rencontrer, moyennant quelques billets, des filles du cru (toutes, de manière surprenante, se targuant d’un emploi de coiffeuse ou d’esthéticienne en ville). Entre eux, ils appelaient ceci « la corvée de charbon ».
Un vendredi soir, nous avons accepté une soirée avec le groupe dans un maquis typique, pour dîner d’un ndolé (un plat doux-amer de légumes et d’arachides) arrosé d’une bonne Castel beer.
Julie et moi sommes arrivés un peu en avance et j'ai commencé à déguster un whisky coca pour bien me mettre dans l’ambiance. A l’heure dite, nous étions une dizaine. Le dîner fut particulièrement agréable et les boissons consommées généreusement.
A un moment donné, j'ai senti quelque chose sous la table et à ma grande surprise, j’ai découvert Julie faisant du pied à Bruno, mon adjoint pour cette période. Un peu gai en raison de l’alcool ingurgité, j'ai ignoré cet événement et je l’ai assez vite oublié.
À la fin du dîner, Julie a invité Bruno et d’autres gradés de l’équipe à la maison pour continuer la soirée à la maison. Je n'avais aucune idée de ses intentions même si je soupçonnais bien quelque chose.
J'avais un joli stock de bières fraiches dans le frigo et la fête a continué. Nous nous sommes lancés dans une conversation sur le football et personne n’a remarqué les absences de Bruno et Julie. Au bout d’un moment, j'ai dû aller me soulager de cet excès de bière. Au fond du couloir éclairé, j’ai cru entendre un bruit dans la « safe room », la pièce sécurisée. La porte blindée était exceptionnellement entrouverte, alors que la pièce était plongée dans l’obscurité.
J’ai ainsi pu distinguer ma Julie allongée sur l’un des lits et Bruno installé entre ses jambes, la queue fièrement dressée. Au fur et à mesure que ma vue s’habituait à cette pénombre, je pouvais voir qu'elle engloutissait un engin d’une bonne quinzaine de centimètres, le plus épais que je n’ai jamais vu, et qui la besognait allégrement.
Sans réaction notable, Julie était simplement allongée là sur ce lit, incapable du moindre mouvement mais appréciant grandement les aller-retours vigoureux dans sa chatte. Ses gros seins rebondissaient à chaque fois qu'il faisait claquer sa bite au plus profond d’elle-même.
J'ai quitté tranquillement le coin et je suis retourné avec mes gars. Julie et Bruno ont réapparu peu après et nous avons tous continué à discuter, jusqu’à minuit. Tout le monde est parti alors et Julie et moi avons rejoint notre chambre.
Une fois au lit, j’ai demandé :
- Tu as passé un bon moment ?
- Oui, c'était une très bonne soirée.
Je me suis mis à bander fort en repensant à ce que j’avais vu un peu plus tôt.
- Et toi avec Bruno, tu as adoré te conduire comme une putain ?
Très sereinement, Julie m’a simplement répondu :
- J'ai déjà baisé presque tous les célibataires de ton unité et certains des mariés. Bruno est juste un nom à ajouter à cette liste. Bonne nuit, chéri. Je t’aime !
Elle se retourna et s’endormit. J'étais en état de choc, je n'avais jamais suspecté une telle chose.
Le lendemain matin, j'étais debout dès cinq heures. Toujours sous le choc de la nuit, j’examinais la situation sous tous les angles afin de trouver un sens à cette fête sexuelle que ma femme avait lancée.
Vers huit heures, Julie est sortie de la chambre et s'est installée pour boire un café. Je lui ai demandé :
- Bonjour ma chérie. Dis-m’en plus.
- C’est simple. J’ai rencontré une partie de l’équipe précédente lors de notre arrivée. Ils étaient en poste depuis déjà plus de quatre mois. Et c’est long pour de tels hommes virils et sevrés de sexe. J’ai eu l’occasion de déjeuner avec trois d’entre eux alors que tu prenais tes consignes à l’ambassade. Et nous avons beaucoup parlé. L’un d’eux m’a fait une remarque charmante sur la beauté de ma poitrine, et la conversation s’est rapidement orientée vers le sexe.
- Et ensuite ?
- L’un d’eux avait loué une chambre d’hôtel pour le week-end. Je les ai accompagnés et on a passé quelques heures tous les quatre à se faire du bien.
Julie aimait le sexe et ne voyait aucun mal à « prendre soin » de certains de mes subordonnés. Pour elle, c’était son rôle, voire sa mission, d’entretenir le moral de la troupe.
J'ai continué à l'interroger pour savoir qui elle avait baisé. La liste était déjà importante, entre les deux détachements qui venaient de se succéder. Il semble que chacun de ceux qui la sautait lui glisser le nom d’un copain pour la prochaine fois. Vivre 24 heures sur 24 ensemble, durant des semaines et des mois, permettait d’identifier facilement ceux qui étaient en manque, avec les conséquences sur le moral, et la camaraderie avait un sens pour eux. Julie savait alors se rendre disponible et s’adapter au rythme de travail et de repos de chacun.
Elle ajouta :
- Les deux jours où tu es parti inspecter les postes de province, j’ai eu un groupe de six à mon entière disposition. Je peux t’assurer que mon ventre était rempli de foutre à ras bord au petit matin.
Après avoir longuement discuté, j'ai demandé si elle allait continuer ainsi. Elle m’a répondu que oui, avec ou sans mon approbation. Elle aimait la bite et n'en avait jamais assez. C'est alors que nous avons décidé d’un commun accord qu’elle deviendrait un jouet sexuel pour le détachement et qu’elle boosterait son moral au plus haut. En somme, un accord gagnant-gagnant ! Elle se faisait du bien, mes hommes étaient heureux, donc plus efficaces et j’en tirai tout le bénéfice pour grimper les échelons de la hiérarchie.
Notre première opportunité s’est présentée à l’occasion de la fête de l’Indépendance. J'ai invité dix gars de l'équipe à la maison sachant bien que chacun avait déjà pu gouter aux charmes de Julie auparavant.
Vers 18 heures, ils ont commencé à arriver, à s’installer dans le jardin et à mettre le barbecue en route. Personne ne savait que j'étais au courant qu'ils avaient chacun au moins une fois déchargé leur foutre dans ou sur Julie. Polis, tous nous ont remercié pour l’invitation, ayant apporté fleurs, pâtisseries ou alcool. J'ai noté discrètement plusieurs clins d'œil adressés à ma femme. S’ils savaient seulement ce qui allait se passer plus tard, ils tomberaient à la renverse.
Après s’être gavé de nourriture et surtout de bière, la plupart des participants étaient prêts pour aller plus loin. Je le sentais. Julie et moi avions élaboré un petit scénario. À mon signal, elle est allée à l'intérieur se préparer. Vingt minutes après, j'ai suggéré que nous pourrions tous rentrer au salon pour un peu plus de tranquillité, d’autant que l’orage tropical menaçait.
Quand tout le monde fut à l'intérieur avec une bière ou un whisky à la main, j'ai pris la parole :
- Vous pensez tous que je ne sais pas que ma femme peut régulièrement se comporter comme une putain. Mais en vérité, je le sais et en plus, j’approuve et j’apprécie son comportement.
On aurait pu entendre une mouche voler. Pas un bruit, pas un son ! Jusqu’à ce que le plus téméraire, Medhi, ouvre la bouche :
- Et vous n'êtes pas en colère ?
- Non. Je suis en fait excité par cette idée qu’elle se fasse mettre tant et tant par vous, les gars. Et je suis tellement excité aujourd'hui qu’elle pourra avoir autant de bites qu'elle le souhaite. Julie, tu peux venir ?
La brune Julie est entrée dans le salon, juste vêtue d’une lingerie en dentelle rouge, avec son beau soutien-gorge à quart de bonnet, un tanga ouvert et un exceptionnel harnais porte-jarretelles que nous avions commandé en France juste pour cet événement. Ce harnais en dentelle enserrait son cou, passait entre ses deux seins, faisait le tour de sa taille fine avant de laisser la place à six jarretelles, où étaient fixés des bas « rouge et nude ». Pour compléter l’effet, des escarpins tout aussi rouges avec des talons de 15 cm qui soulignaient le galbe de ses jambes.
Ses seins fermes étaient comme une véritable offrande faite aux hommes et ses mamelons déjà durcies. Je suppose qu’elle s’était un tant soit peu excitée toute seule en se préparant.
Elle était parfaite et toute l’équipe béate d’admiration. C’est Julie qui rompit le silence.
- Vous comptez juste regarder ou y a-t-il une bite bien dure dans le besoin quelque part ?
Un par un, les gars ont commencé à s’approcher d’elle. Medhi a été le premier à bouger, mais seulement après m’avoir demandé :
- C'est vraiment ok pour la baiser ?
Je n’ai pu répondre que d’un hochement de tête, pendant que je le regardais se déplacer vers elle. Deux de ses camarades se joignirent à lui.
Leurs mains ont commencé à la caresser partout et à pincer ses tétons directement mis à disposition. Julie a commencé à gémir puis à embrasser Désiré alors qu'il empaumait ses deux seins. Jordan et Désiré ont été rejoints par Bruno qui avait déjà ôté la moitié de ses vêtements. Julie attrapait les queues qui se présentaient, les frottaient contre son corps et mendiait d'être baisée.
(à suivre)
- Je ne sais pas si je pourrais gérer une telle nana !
Eh bien, et je l'ai découvert assez rapidement, il allait falloir que je m’adapte !
Après de courtes fiançailles un tant soit peu romantiques, nous nous sommes mariés et j'ai alors profité d'une vie sexuelle particulièrement active. Julie n’était jamais rassasiée.
Parfois, j’avais à peine franchi le pas de la porte qu'elle me déshabillait dans l’entrée pour aspirer ma bite. Habituellement, elle me regardait alors droit dans les yeux après mon éjaculation dans sa bouche et elle montrait mon sperme sur sa langue, qu’elle avalait lentement en insistant sur le mouvement de son larynx. Peu après, elle me tirait vers la chambre ou le salon et nous baisions durant des heures. Cela a duré ainsi quelques années et son appétit pour le sexe n’a cessé de grandir.
J'ai alors été muté en Afrique centrale pour un séjour de deux ans et j’ai bien sûr été autorisé à me faire accompagner par Julie. Nous occupions une petite villa dans le quartier chic de la capitale, terrasse et jardin fleuri compris. Cette affectation africaine allait être assurément notre période de vie la plus « sauvage ».
J'avais pris le commandement d’un petit détachement d’une douzaine d’instructeurs. Contrairement à moi, ils venaient ici pour des périodes de 6 mois. Cette équipe était installé sur une colline isolée située à quelques kilomètres de la capitale, à la fois lieu de vie et de repos mais aussi de travail, puisque c’était sur place qu’ils initiaient les forces de l’ordre et les militaires locaux à quelques techniques particulières.
Militaires et expatriés, nous étions de fait un groupe très proche. Tout le monde savait presque tout sur les autres, l’emploi des prénoms était l’usage et nous sortions souvent boire un coup ensemble. Près de la moitié de l’équipe était composée de vrais célibataires, les autres étaient mariés et donc « célibataires géographiques » le temps de leur mission.
Des hommes jeunes et en pleine santé, qui trop souvent ne trouvaient comme seul dérivatif sexuel, outre les vidéos X et la « veuve poignet », quelques bouges ou bars à étrangers, pour y rencontrer, moyennant quelques billets, des filles du cru (toutes, de manière surprenante, se targuant d’un emploi de coiffeuse ou d’esthéticienne en ville). Entre eux, ils appelaient ceci « la corvée de charbon ».
Un vendredi soir, nous avons accepté une soirée avec le groupe dans un maquis typique, pour dîner d’un ndolé (un plat doux-amer de légumes et d’arachides) arrosé d’une bonne Castel beer.
Julie et moi sommes arrivés un peu en avance et j'ai commencé à déguster un whisky coca pour bien me mettre dans l’ambiance. A l’heure dite, nous étions une dizaine. Le dîner fut particulièrement agréable et les boissons consommées généreusement.
A un moment donné, j'ai senti quelque chose sous la table et à ma grande surprise, j’ai découvert Julie faisant du pied à Bruno, mon adjoint pour cette période. Un peu gai en raison de l’alcool ingurgité, j'ai ignoré cet événement et je l’ai assez vite oublié.
À la fin du dîner, Julie a invité Bruno et d’autres gradés de l’équipe à la maison pour continuer la soirée à la maison. Je n'avais aucune idée de ses intentions même si je soupçonnais bien quelque chose.
J'avais un joli stock de bières fraiches dans le frigo et la fête a continué. Nous nous sommes lancés dans une conversation sur le football et personne n’a remarqué les absences de Bruno et Julie. Au bout d’un moment, j'ai dû aller me soulager de cet excès de bière. Au fond du couloir éclairé, j’ai cru entendre un bruit dans la « safe room », la pièce sécurisée. La porte blindée était exceptionnellement entrouverte, alors que la pièce était plongée dans l’obscurité.
J’ai ainsi pu distinguer ma Julie allongée sur l’un des lits et Bruno installé entre ses jambes, la queue fièrement dressée. Au fur et à mesure que ma vue s’habituait à cette pénombre, je pouvais voir qu'elle engloutissait un engin d’une bonne quinzaine de centimètres, le plus épais que je n’ai jamais vu, et qui la besognait allégrement.
Sans réaction notable, Julie était simplement allongée là sur ce lit, incapable du moindre mouvement mais appréciant grandement les aller-retours vigoureux dans sa chatte. Ses gros seins rebondissaient à chaque fois qu'il faisait claquer sa bite au plus profond d’elle-même.
J'ai quitté tranquillement le coin et je suis retourné avec mes gars. Julie et Bruno ont réapparu peu après et nous avons tous continué à discuter, jusqu’à minuit. Tout le monde est parti alors et Julie et moi avons rejoint notre chambre.
Une fois au lit, j’ai demandé :
- Tu as passé un bon moment ?
- Oui, c'était une très bonne soirée.
Je me suis mis à bander fort en repensant à ce que j’avais vu un peu plus tôt.
- Et toi avec Bruno, tu as adoré te conduire comme une putain ?
Très sereinement, Julie m’a simplement répondu :
- J'ai déjà baisé presque tous les célibataires de ton unité et certains des mariés. Bruno est juste un nom à ajouter à cette liste. Bonne nuit, chéri. Je t’aime !
Elle se retourna et s’endormit. J'étais en état de choc, je n'avais jamais suspecté une telle chose.
Le lendemain matin, j'étais debout dès cinq heures. Toujours sous le choc de la nuit, j’examinais la situation sous tous les angles afin de trouver un sens à cette fête sexuelle que ma femme avait lancée.
Vers huit heures, Julie est sortie de la chambre et s'est installée pour boire un café. Je lui ai demandé :
- Bonjour ma chérie. Dis-m’en plus.
- C’est simple. J’ai rencontré une partie de l’équipe précédente lors de notre arrivée. Ils étaient en poste depuis déjà plus de quatre mois. Et c’est long pour de tels hommes virils et sevrés de sexe. J’ai eu l’occasion de déjeuner avec trois d’entre eux alors que tu prenais tes consignes à l’ambassade. Et nous avons beaucoup parlé. L’un d’eux m’a fait une remarque charmante sur la beauté de ma poitrine, et la conversation s’est rapidement orientée vers le sexe.
- Et ensuite ?
- L’un d’eux avait loué une chambre d’hôtel pour le week-end. Je les ai accompagnés et on a passé quelques heures tous les quatre à se faire du bien.
Julie aimait le sexe et ne voyait aucun mal à « prendre soin » de certains de mes subordonnés. Pour elle, c’était son rôle, voire sa mission, d’entretenir le moral de la troupe.
J'ai continué à l'interroger pour savoir qui elle avait baisé. La liste était déjà importante, entre les deux détachements qui venaient de se succéder. Il semble que chacun de ceux qui la sautait lui glisser le nom d’un copain pour la prochaine fois. Vivre 24 heures sur 24 ensemble, durant des semaines et des mois, permettait d’identifier facilement ceux qui étaient en manque, avec les conséquences sur le moral, et la camaraderie avait un sens pour eux. Julie savait alors se rendre disponible et s’adapter au rythme de travail et de repos de chacun.
Elle ajouta :
- Les deux jours où tu es parti inspecter les postes de province, j’ai eu un groupe de six à mon entière disposition. Je peux t’assurer que mon ventre était rempli de foutre à ras bord au petit matin.
Après avoir longuement discuté, j'ai demandé si elle allait continuer ainsi. Elle m’a répondu que oui, avec ou sans mon approbation. Elle aimait la bite et n'en avait jamais assez. C'est alors que nous avons décidé d’un commun accord qu’elle deviendrait un jouet sexuel pour le détachement et qu’elle boosterait son moral au plus haut. En somme, un accord gagnant-gagnant ! Elle se faisait du bien, mes hommes étaient heureux, donc plus efficaces et j’en tirai tout le bénéfice pour grimper les échelons de la hiérarchie.
Notre première opportunité s’est présentée à l’occasion de la fête de l’Indépendance. J'ai invité dix gars de l'équipe à la maison sachant bien que chacun avait déjà pu gouter aux charmes de Julie auparavant.
Vers 18 heures, ils ont commencé à arriver, à s’installer dans le jardin et à mettre le barbecue en route. Personne ne savait que j'étais au courant qu'ils avaient chacun au moins une fois déchargé leur foutre dans ou sur Julie. Polis, tous nous ont remercié pour l’invitation, ayant apporté fleurs, pâtisseries ou alcool. J'ai noté discrètement plusieurs clins d'œil adressés à ma femme. S’ils savaient seulement ce qui allait se passer plus tard, ils tomberaient à la renverse.
Après s’être gavé de nourriture et surtout de bière, la plupart des participants étaient prêts pour aller plus loin. Je le sentais. Julie et moi avions élaboré un petit scénario. À mon signal, elle est allée à l'intérieur se préparer. Vingt minutes après, j'ai suggéré que nous pourrions tous rentrer au salon pour un peu plus de tranquillité, d’autant que l’orage tropical menaçait.
Quand tout le monde fut à l'intérieur avec une bière ou un whisky à la main, j'ai pris la parole :
- Vous pensez tous que je ne sais pas que ma femme peut régulièrement se comporter comme une putain. Mais en vérité, je le sais et en plus, j’approuve et j’apprécie son comportement.
On aurait pu entendre une mouche voler. Pas un bruit, pas un son ! Jusqu’à ce que le plus téméraire, Medhi, ouvre la bouche :
- Et vous n'êtes pas en colère ?
- Non. Je suis en fait excité par cette idée qu’elle se fasse mettre tant et tant par vous, les gars. Et je suis tellement excité aujourd'hui qu’elle pourra avoir autant de bites qu'elle le souhaite. Julie, tu peux venir ?
La brune Julie est entrée dans le salon, juste vêtue d’une lingerie en dentelle rouge, avec son beau soutien-gorge à quart de bonnet, un tanga ouvert et un exceptionnel harnais porte-jarretelles que nous avions commandé en France juste pour cet événement. Ce harnais en dentelle enserrait son cou, passait entre ses deux seins, faisait le tour de sa taille fine avant de laisser la place à six jarretelles, où étaient fixés des bas « rouge et nude ». Pour compléter l’effet, des escarpins tout aussi rouges avec des talons de 15 cm qui soulignaient le galbe de ses jambes.
Ses seins fermes étaient comme une véritable offrande faite aux hommes et ses mamelons déjà durcies. Je suppose qu’elle s’était un tant soit peu excitée toute seule en se préparant.
Elle était parfaite et toute l’équipe béate d’admiration. C’est Julie qui rompit le silence.
- Vous comptez juste regarder ou y a-t-il une bite bien dure dans le besoin quelque part ?
Un par un, les gars ont commencé à s’approcher d’elle. Medhi a été le premier à bouger, mais seulement après m’avoir demandé :
- C'est vraiment ok pour la baiser ?
Je n’ai pu répondre que d’un hochement de tête, pendant que je le regardais se déplacer vers elle. Deux de ses camarades se joignirent à lui.
Leurs mains ont commencé à la caresser partout et à pincer ses tétons directement mis à disposition. Julie a commencé à gémir puis à embrasser Désiré alors qu'il empaumait ses deux seins. Jordan et Désiré ont été rejoints par Bruno qui avait déjà ôté la moitié de ses vêtements. Julie attrapait les queues qui se présentaient, les frottaient contre son corps et mendiait d'être baisée.
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