Le manager bienveillant (2/2)
Récit érotique écrit par jacques r [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2024 dans la catégorie Plus on est
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Le manager bienveillant (2/2)
J'ai poussé les canapés et fauteuils sur les côtés du salon pour y étaler un grand tapis type tatami, acheté en prévision de cette séance.
Julie s'agenouilla immédiatement sur le tapis et a pris la bite de Medhi dans sa bouche. Medhi était marié, mais comme tout célibataire géographique qui hésitait à la corvée de charbon, il avait besoin d’une attention toute particulière.
Les autres gars ont commencé à se déshabiller et bientôt je suis resté le seul encore habillé, à l’exception de Julie qui n’avait perdu jusque-là que son soutien-gorge et ses chaussures.
En quelques minutes, Medhi a commencé à gémir et a explosé dans la bouche de Julie. Elle avala presque tout immédiatement, à l'exception d'une petite goutte nacrée qui perlait sur sa lèvre, qu'elle lécha avec gourmandise. Elle sourit à Medhi et lui dit :
- Alors, c'était aussi bon que la dernière fois ?
Ce fut le tournant de la soirée. Julie se vit rapidement ôter la totalité de sa lingerie. Les gars disciplinés attendaient leur tour, au moins pour se faire sucer.
J'étais juste à côté d’elle, et j’entendais chacun des commentaires de l’un ou de l’autre, sur la chaleur de son con ou combien ils appréciaient de la pénétrer.
L’un d’eux a retiré sa bite juste au moment de jouir afin d’éjaculer sur les magnifiques seins de ma femme. Un autre s’est précipité pour amener une petite serviette, pour un brin de toilette succinct, car le sperme dégoulinait déjà partout. Il fallait respecter les autres qui n’avaient pas encore profiter d’elle. La camaraderie encore !
Kevyn était heureux d’être le suivant et il pénétra Julie rapidement. Une fois en elle, il a roulé sur son dos et l’a fait assoir sur lui. Ils y allaient bon train jusqu’à ce que Dom s’approche des fesses de Julie, la pousse vers l’avant sur le torse de Kevin et présente son gland à l’entrée de son cul.
Il n'y avait guère besoin de lubrifiant, la cyprine et le sperme étant déjà particulièrement abondants entre sa chatte et son anus.
Lentement, la bite de Dom a ouvert le cul de mon épouse. La répétition de pénétrations et retraits, associée au propre rythme de Kevyn la vit d’abord haleter de plus en plus fort, puis crier après un orgasme dévastateur. Son corps tremblait. Kevyn pouvait aussi sentir le frottement de la queue de son camarade et lorsqu’elle jouit, ils se libérèrent ensemble en elle.
Quand la tension est retombée, Dom a retiré sa queue de ce trou désormais béant. Une petite quantité de foutre s’est écoulée, puis, alors que l’anus commençait à se refermer, il ne restait visuellement qu’une perle blanc ivoire au centre d'une petite fleur cannelle. Après quelques instants de repos, Julie a dit :
- C'est si bon ! Donnez-moi encore de la bite. Baisez-moi et faite-moi hurler.
Un par un, les hommes qui restaient ont fait ce qu’elle demandait.
Alors que Youssuf entrait dans sa chatte distendue, la sonnette du portail retentit. J’ai alors pensé tout fort :
- Merde. S'il vous plaît, dites-moi que les voisins ne viennent pas se plaindre du bruit !
Jordan m’a répondu :
- Non, j'ai appelé un ami pour qu’il nous rejoigne : Yannis, le chiffreur de l’ambassade. J'espère que cela ne vous dérange pas. Il n’est pas de notre unité, mais on était ensemble dans une mission précédente à Djibouti.
- J'aurais aimé le savoir avant, mais je suppose que c'est d'accord. Laisse-le entrer, mais assure-toi que c’est bien lui et qu’il est seul.
Jordan est sorti dans le jardin et est revenu accompagné. En entrant dans le salon, je l’ai entendu dire :
- Mec, c'est un putain de festin comme jamais tu ne pourrais l’imaginer.
- Cool ! fut la seule réponse que j’ai entendue.
Alors que Jordan et son ami Yannis entraient dans la pièce, Edouard et Pat en finissaient avec ma Julie, libérant leur foutre l’un dans son vagin, l’autre dans sa bouche. Pat retira sa bite avant de s’être totalement vidé, et son sperme coula le long de la joue de ma femme.
Julien remplaça Edouard et se tournant vers l’ami de Jordan, lui dit :
- Je te la prépare bien, mec ! Elle veut toujours plus de queues.
Yannis a hoché la tête et a commencé à se déshabiller, ne gardant que son boxer fleuri. Il avait un corps superbe, typique des gym-rats, ces acharnés de la salle et de la musculation.
J'ai entendu Julie soupirer de satisfaction alors que Julien continuait à la pilonner. Il ne lui a fallu pas longtemps pour jouir et rouler sur le côté, épuisé, laissant son foutre ruisselant se mélanger aux autres jus qui coulaient déjà de la chatte grande ouverte de Julie.
Elle a regardé Yannis et a demandé qui il était. Yannis lui a calmement répondu :
- Je suis le corps avec le chibre que vous avez toujours désirée.
Julie a ri :
- Vous dites tous ça, mais la plupart d'entre vous sont juste des vantards. Nous savons tous que Bruno a la plus grande bite ici.
Yannis a enlevé son boxer et tout ce que j'ai entendu a été : « Putain, Rocco ! » venant de quelqu’un du groupe. Julie est restée abasourdie quand Yannis a fièrement montré son engin de 13 centimètres qui pendait mollement le long de sa cuisse. Le diamètre était aussi tout aussi conséquent. Julie s’est écriée :
- Ouais ! je veux prendre ça et juste baiser pour toujours.
J’étais stupéfait tout en contemplant Yannis se frottait lentement la queue, pour la faire grossir. Julie s'est rapprochée et a pris le gland dans sa bouche alors que Yannis continuait à s'exciter manuellement. Il était visible que le gland seul distendait les lèves de ma belle.
Il ne fallut qu'un peu d'aspiration et d'action de la langue pour rendre Yannis pleinement opérationnel. Il a retiré son sexe de la bouche de Julie et lui a dit :
- Crois-tu vraiment pouvoir prendre mes vingt centimètres dans ta chatte ?
Julie s’est allongée en gémissant :
- Essaie !
Yannis semblait particulièrement disposé à répondre à cette invitation. Il a positionné Julie sur le tapis, les cuisses bien écartées et les pieds bien ancrés sur le sol. Lentement, il a déplacé sa bite massive vers son vagin. Et il a demandé :
- Es-tu prête pour ça ?
Julie répondit d’un souffle alors que la pointe de son membre touchait la chatte bien ouverte, comme une fleur.
Lentement, Yannis a poussé jusqu'à ce que la tête de son sexe soit presque entrée dans la vulve. Julie était allongée, les yeux fermés avec un étrange sourire sur son visage. Les lèvres de sa chatte étaient étirées autour du gland de Yannis, dont le bord n'était toujours pas entré dans son vagin.
Yannis lui glissa à l’oreille, mais assez fort pour que je puisse l’entendre :
- On m’a dit que tu étais particulièrement chaude. Alors, petite salope, tu veux toujours jouir de mon outil ?
- Ma chatte est la tienne, mais va lentement avec ce putain de gourdin. Ma chatte est déjà plus étirée qu’elle ne l’a jamais été.
Yannis s'est retiré d’environ deux ou trois centimètres pour entamer son deuxième assaut. Cette fois, la tête disparut en elle en totalité, alors que ma compagne tremblait et gémissait bruyamment.
Yannis a répété ce geste plusieurs fois, se lubrifiant à chaque fois avec la cyprine et le sperme présents partout sur elle. Vu ses gémissements et son corps qui se tordait en tout sens à chaque pénétration, Julie était au bord de la syncope ou de l’explosion.
Après deux à trois minutes de cette action lente, la bite de Yannis était bien entrée dans sa chatte, à l’exception des derniers centimètres. Julie le supplia de ne pas essayer de tout mettre, de peur d’être déchirée.
Yannis a poursuivi avec de longues pénétrations rythmées, provoquant un nouvel orgasme en quelques minutes. Julie a rapidement récupéré et a crié :
- Laisse-moi au-dessus.
Yannis s'est retiré et a roulé sur le dos. Julie l'a chevauché et maintenant que sa chatte ruisselante était ouverte au maximum, le membre massif glissait assez facilement en elle, en laissant toujours deux ou trois centimètres en dehors.
Un cercle complet d'hommes se tenait autour Julie alors qu'elle rebondissait de haut en bas sur Yannis. Chacun, y compris moi, se masturbait tout en contemplant cet étonnant spectacle. Julie gémissait de plus en plus fort :
- Merde ! c'est, c’est, c’est…. une énorme bite qui me baise !
Ses seins se balançaient et rebondissaient au rythme de la chevauchée, sa tête jetée en arrière alors qu'elle atteignait un nouvel orgasme, assurément le plus intense de la soirée.
Avec un cri sauvage, elle s’enfonça complètement pour s’assoir sur le bas ventre de Yannis qui appuyait de toutes ses forces sur ses hanches. Désormais, pas un centimètre de son mandrin n’était hors du vagin de Julie. Elle cria :
- Baise moi encore, encore plus fort ! S’il te plait !
Yannis jouit alors, son foutre atteignant probablement des profondeurs jusqu’ici inexplorées. Alors qu’elle hurlait, l’épouse du chef de détachement a été honorée par un certain nombre de jets de sperme bien chaud, sur la tête et le corps, venant de toute l’équipe.
Elle est restée figée ainsi une bonne minute, avant de s’écrouler sur le torse de Yannis. Puis elle roula sur le côté, laissant libre un gros sexe bandant encore en partie.
Reprenant son souffle, Julie ajouta :
- Je ne sais pas combien de temps je peux continuer ainsi, mais la nuit n’est pas encore terminée !
La soirée s’est prolongée pour que beaucoup de mes gars essaient de remplir le ventre de Julie plusieurs fois. Il était près de deux heures du matin quand tout le monde est parti se coucher, après avoir tout nettoyé et rangé.
Julie et moi avons pris notre douche et elle a eu seulement ce commentaire :
- Je veux encore baiser tout le détachement.
Je devais donc planifier une nouvelle soirée dans un avenir proche.
Avant de s’endormir, Julie ajouta :
- Tu crois que Yannis pourrait venir loger chez nous ? J’ai envie de sa bite aussi souvent que possible.
Grâce à elle, le moral du détachement a toujours été particulièrement élevé. Après tout, le management bienveillant, c’est juste le principe de faire à ses collaborateurs ce qu’on voudrait que son propre manager vous fasse.
Et j’ai imaginé que mes deux seuls supérieurs dans ce pays pratiquaient comme moi cette sorte de management bienveillant. J’ai donc rêvé de Makéda, la fine et racée compagne éthiopienne de notre ambassadeur, à la peau couleur muscade. Il l’avait connu comme premier conseiller à l’ambassade d’Addis.
Et j’ai aussi rêvé de Gaëtane, la très aristocratique et altière épouse du colonel attaché de défense, une belle blonde d’une quarantaine d’années, passionnée d’équitation, avec son joli cul et ses jambes musclées, aperçues parfois à la piscine du Hilton, aux manières un peu désuètes mais tellement conformes à son milieu et à son éducation.
Julie s'agenouilla immédiatement sur le tapis et a pris la bite de Medhi dans sa bouche. Medhi était marié, mais comme tout célibataire géographique qui hésitait à la corvée de charbon, il avait besoin d’une attention toute particulière.
Les autres gars ont commencé à se déshabiller et bientôt je suis resté le seul encore habillé, à l’exception de Julie qui n’avait perdu jusque-là que son soutien-gorge et ses chaussures.
En quelques minutes, Medhi a commencé à gémir et a explosé dans la bouche de Julie. Elle avala presque tout immédiatement, à l'exception d'une petite goutte nacrée qui perlait sur sa lèvre, qu'elle lécha avec gourmandise. Elle sourit à Medhi et lui dit :
- Alors, c'était aussi bon que la dernière fois ?
Ce fut le tournant de la soirée. Julie se vit rapidement ôter la totalité de sa lingerie. Les gars disciplinés attendaient leur tour, au moins pour se faire sucer.
J'étais juste à côté d’elle, et j’entendais chacun des commentaires de l’un ou de l’autre, sur la chaleur de son con ou combien ils appréciaient de la pénétrer.
L’un d’eux a retiré sa bite juste au moment de jouir afin d’éjaculer sur les magnifiques seins de ma femme. Un autre s’est précipité pour amener une petite serviette, pour un brin de toilette succinct, car le sperme dégoulinait déjà partout. Il fallait respecter les autres qui n’avaient pas encore profiter d’elle. La camaraderie encore !
Kevyn était heureux d’être le suivant et il pénétra Julie rapidement. Une fois en elle, il a roulé sur son dos et l’a fait assoir sur lui. Ils y allaient bon train jusqu’à ce que Dom s’approche des fesses de Julie, la pousse vers l’avant sur le torse de Kevin et présente son gland à l’entrée de son cul.
Il n'y avait guère besoin de lubrifiant, la cyprine et le sperme étant déjà particulièrement abondants entre sa chatte et son anus.
Lentement, la bite de Dom a ouvert le cul de mon épouse. La répétition de pénétrations et retraits, associée au propre rythme de Kevyn la vit d’abord haleter de plus en plus fort, puis crier après un orgasme dévastateur. Son corps tremblait. Kevyn pouvait aussi sentir le frottement de la queue de son camarade et lorsqu’elle jouit, ils se libérèrent ensemble en elle.
Quand la tension est retombée, Dom a retiré sa queue de ce trou désormais béant. Une petite quantité de foutre s’est écoulée, puis, alors que l’anus commençait à se refermer, il ne restait visuellement qu’une perle blanc ivoire au centre d'une petite fleur cannelle. Après quelques instants de repos, Julie a dit :
- C'est si bon ! Donnez-moi encore de la bite. Baisez-moi et faite-moi hurler.
Un par un, les hommes qui restaient ont fait ce qu’elle demandait.
Alors que Youssuf entrait dans sa chatte distendue, la sonnette du portail retentit. J’ai alors pensé tout fort :
- Merde. S'il vous plaît, dites-moi que les voisins ne viennent pas se plaindre du bruit !
Jordan m’a répondu :
- Non, j'ai appelé un ami pour qu’il nous rejoigne : Yannis, le chiffreur de l’ambassade. J'espère que cela ne vous dérange pas. Il n’est pas de notre unité, mais on était ensemble dans une mission précédente à Djibouti.
- J'aurais aimé le savoir avant, mais je suppose que c'est d'accord. Laisse-le entrer, mais assure-toi que c’est bien lui et qu’il est seul.
Jordan est sorti dans le jardin et est revenu accompagné. En entrant dans le salon, je l’ai entendu dire :
- Mec, c'est un putain de festin comme jamais tu ne pourrais l’imaginer.
- Cool ! fut la seule réponse que j’ai entendue.
Alors que Jordan et son ami Yannis entraient dans la pièce, Edouard et Pat en finissaient avec ma Julie, libérant leur foutre l’un dans son vagin, l’autre dans sa bouche. Pat retira sa bite avant de s’être totalement vidé, et son sperme coula le long de la joue de ma femme.
Julien remplaça Edouard et se tournant vers l’ami de Jordan, lui dit :
- Je te la prépare bien, mec ! Elle veut toujours plus de queues.
Yannis a hoché la tête et a commencé à se déshabiller, ne gardant que son boxer fleuri. Il avait un corps superbe, typique des gym-rats, ces acharnés de la salle et de la musculation.
J'ai entendu Julie soupirer de satisfaction alors que Julien continuait à la pilonner. Il ne lui a fallu pas longtemps pour jouir et rouler sur le côté, épuisé, laissant son foutre ruisselant se mélanger aux autres jus qui coulaient déjà de la chatte grande ouverte de Julie.
Elle a regardé Yannis et a demandé qui il était. Yannis lui a calmement répondu :
- Je suis le corps avec le chibre que vous avez toujours désirée.
Julie a ri :
- Vous dites tous ça, mais la plupart d'entre vous sont juste des vantards. Nous savons tous que Bruno a la plus grande bite ici.
Yannis a enlevé son boxer et tout ce que j'ai entendu a été : « Putain, Rocco ! » venant de quelqu’un du groupe. Julie est restée abasourdie quand Yannis a fièrement montré son engin de 13 centimètres qui pendait mollement le long de sa cuisse. Le diamètre était aussi tout aussi conséquent. Julie s’est écriée :
- Ouais ! je veux prendre ça et juste baiser pour toujours.
J’étais stupéfait tout en contemplant Yannis se frottait lentement la queue, pour la faire grossir. Julie s'est rapprochée et a pris le gland dans sa bouche alors que Yannis continuait à s'exciter manuellement. Il était visible que le gland seul distendait les lèves de ma belle.
Il ne fallut qu'un peu d'aspiration et d'action de la langue pour rendre Yannis pleinement opérationnel. Il a retiré son sexe de la bouche de Julie et lui a dit :
- Crois-tu vraiment pouvoir prendre mes vingt centimètres dans ta chatte ?
Julie s’est allongée en gémissant :
- Essaie !
Yannis semblait particulièrement disposé à répondre à cette invitation. Il a positionné Julie sur le tapis, les cuisses bien écartées et les pieds bien ancrés sur le sol. Lentement, il a déplacé sa bite massive vers son vagin. Et il a demandé :
- Es-tu prête pour ça ?
Julie répondit d’un souffle alors que la pointe de son membre touchait la chatte bien ouverte, comme une fleur.
Lentement, Yannis a poussé jusqu'à ce que la tête de son sexe soit presque entrée dans la vulve. Julie était allongée, les yeux fermés avec un étrange sourire sur son visage. Les lèvres de sa chatte étaient étirées autour du gland de Yannis, dont le bord n'était toujours pas entré dans son vagin.
Yannis lui glissa à l’oreille, mais assez fort pour que je puisse l’entendre :
- On m’a dit que tu étais particulièrement chaude. Alors, petite salope, tu veux toujours jouir de mon outil ?
- Ma chatte est la tienne, mais va lentement avec ce putain de gourdin. Ma chatte est déjà plus étirée qu’elle ne l’a jamais été.
Yannis s'est retiré d’environ deux ou trois centimètres pour entamer son deuxième assaut. Cette fois, la tête disparut en elle en totalité, alors que ma compagne tremblait et gémissait bruyamment.
Yannis a répété ce geste plusieurs fois, se lubrifiant à chaque fois avec la cyprine et le sperme présents partout sur elle. Vu ses gémissements et son corps qui se tordait en tout sens à chaque pénétration, Julie était au bord de la syncope ou de l’explosion.
Après deux à trois minutes de cette action lente, la bite de Yannis était bien entrée dans sa chatte, à l’exception des derniers centimètres. Julie le supplia de ne pas essayer de tout mettre, de peur d’être déchirée.
Yannis a poursuivi avec de longues pénétrations rythmées, provoquant un nouvel orgasme en quelques minutes. Julie a rapidement récupéré et a crié :
- Laisse-moi au-dessus.
Yannis s'est retiré et a roulé sur le dos. Julie l'a chevauché et maintenant que sa chatte ruisselante était ouverte au maximum, le membre massif glissait assez facilement en elle, en laissant toujours deux ou trois centimètres en dehors.
Un cercle complet d'hommes se tenait autour Julie alors qu'elle rebondissait de haut en bas sur Yannis. Chacun, y compris moi, se masturbait tout en contemplant cet étonnant spectacle. Julie gémissait de plus en plus fort :
- Merde ! c'est, c’est, c’est…. une énorme bite qui me baise !
Ses seins se balançaient et rebondissaient au rythme de la chevauchée, sa tête jetée en arrière alors qu'elle atteignait un nouvel orgasme, assurément le plus intense de la soirée.
Avec un cri sauvage, elle s’enfonça complètement pour s’assoir sur le bas ventre de Yannis qui appuyait de toutes ses forces sur ses hanches. Désormais, pas un centimètre de son mandrin n’était hors du vagin de Julie. Elle cria :
- Baise moi encore, encore plus fort ! S’il te plait !
Yannis jouit alors, son foutre atteignant probablement des profondeurs jusqu’ici inexplorées. Alors qu’elle hurlait, l’épouse du chef de détachement a été honorée par un certain nombre de jets de sperme bien chaud, sur la tête et le corps, venant de toute l’équipe.
Elle est restée figée ainsi une bonne minute, avant de s’écrouler sur le torse de Yannis. Puis elle roula sur le côté, laissant libre un gros sexe bandant encore en partie.
Reprenant son souffle, Julie ajouta :
- Je ne sais pas combien de temps je peux continuer ainsi, mais la nuit n’est pas encore terminée !
La soirée s’est prolongée pour que beaucoup de mes gars essaient de remplir le ventre de Julie plusieurs fois. Il était près de deux heures du matin quand tout le monde est parti se coucher, après avoir tout nettoyé et rangé.
Julie et moi avons pris notre douche et elle a eu seulement ce commentaire :
- Je veux encore baiser tout le détachement.
Je devais donc planifier une nouvelle soirée dans un avenir proche.
Avant de s’endormir, Julie ajouta :
- Tu crois que Yannis pourrait venir loger chez nous ? J’ai envie de sa bite aussi souvent que possible.
Grâce à elle, le moral du détachement a toujours été particulièrement élevé. Après tout, le management bienveillant, c’est juste le principe de faire à ses collaborateurs ce qu’on voudrait que son propre manager vous fasse.
Et j’ai imaginé que mes deux seuls supérieurs dans ce pays pratiquaient comme moi cette sorte de management bienveillant. J’ai donc rêvé de Makéda, la fine et racée compagne éthiopienne de notre ambassadeur, à la peau couleur muscade. Il l’avait connu comme premier conseiller à l’ambassade d’Addis.
Et j’ai aussi rêvé de Gaëtane, la très aristocratique et altière épouse du colonel attaché de défense, une belle blonde d’une quarantaine d’années, passionnée d’équitation, avec son joli cul et ses jambes musclées, aperçues parfois à la piscine du Hilton, aux manières un peu désuètes mais tellement conformes à son milieu et à son éducation.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci beaucoup pour ce message chaleureux. Tous les goûts sont dans la nature. Ne blâmons pas trop ceux qui n'apprécient pas ce genre d'histoires.
N'hésitez pas à parcourir mes autres productions.
Merci à nouveau et bonne lecture !
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Merci à nouveau et bonne lecture !
Très belle histoire et très bien écrite.nous sommes un couple libertin et nous avons énormément appréciés cette histoire très réaliste…..nous sommes tout de même très affectés .pas de commentaires concernant ce récit c’est à croire que les lecteurs apprécient plus les divorces les histoires sordides.l’amour dans un couple sincèrement complice déplaît alors que s’il y avait eue déchirement dans le couple l’ensemble des lecteurs auraient commenté avec des propos agressifs.les plaisirs sexuels sont fréquents et nombreux mais lorsque ce couple se retrouve les sensations sont démultipliées………sachez apprécier les joies de la vie dont le sex fait partie intégrante des divers plaisirs de la vie……l’esprit est un parachute ouvert il fonctionne à merveille fermer c’est la catastrophe…….lol oui je parachutiste et j’aime la vie et surtout j’aime ma femme.