Le manoir du péché (11)

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le manoir du péché (11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le manoir du péché (11)
Quand j‘avais vu la patronne s‘avançait jusqu‘à moi, je m‘étais dit : ça y est, elle va me demander de la suivre jusqu‘à un endroit discret, et une fois sur place exigera de ma part de la satisfaire en garant ma verge dans son sexe.    - Alain il serait possible que vous accompagnez ma marraine jusqu’à la petite maison. Me demanda la patronne.     - Oui bien sûr avec plaisir madame. Répliquais-je en posant le plateau que je tenais en main sur un petit guéridon.    Ce soir c’était jour de fête dans le domaine. Une centaine de convives se partager les lieux. J’avais rendu mon costume de gardien contre celui de serveur. Pour l’occasion j’avais avalé un comprimé de Cialis. Pour satisfaire, si le cas se produisait, les besoins sexuels débordante de ma patronne. Que rien ne pouvait briser. Pas même une fête avec ses proches.    J’avais patienté un long moment près de la porte d’entrée, avant que Geneviève (la marraine) daigne arriver. Emmitouflée dans un manteau de fourrure.    - Je n’ai pas été trop longue ? Me fit-elle.   - Non, je viens d’arrivé Madame.
  Cela l’avait fait rire.
  - J’avais tellement de personne à saluer avant de m’éclipser, que cela m‘a retarder. Veuillez m‘excuser !
- Mais vous êtes toute excusez, Madame. La guidant jusqu’à son lieu d’ébergement.
- Je ne tiens plus les soirées comme je le faisais plus jeune.    - Mais vous êtes encore très jeune.    - Et vous un grand hypocrite. Répliqua-t-elle en riant de plus belle. Savez-vous seulement l’âge que j’ai mon cher ami ? Alors qu’en passer le portail de la petite maison.    - Je n’ose pas vous donnez une réponse à votre question chère madame. De peur de me faire traiter à nouveau.
- Je vais sur mes quatre vingt deux ans.    - Et bien bravo Madame, vous ne les faites pas.    Torche en main je glissais la clé dans la fente de la serrure. Tout de suite la porte ouverte, j’allumais l’entrée, puis je m’effaçais pour permettre à la dame d’investir le lieu.    - Il fait meilleur ici que dehors fit-elle.    Effectivement le chauffage tournait à plein pot. Sept jours sur sept, et cela toute l‘année, bien que personne n’y habite. Je l’aidais à se soulager de son manteau que j’allais poser sur une chaise. Pas question de le suspendre sur une patère.     - Vous permettez que j’aille jusqu’à votre chambre, fermer les volets ?
  - Mais oui ! Je vous en prie, faites donc mon cher Alain. C‘est bien comme ça que vous vous nommez ?
- Oui Madame.
- Cela je ne vous ennuie pas ?
- Pas le moins du monde Madame.
- Comme cela je vous ennui pas que je vous accompagne jusqu’à ma chambre. Comme ça vous m’aiderez à monter les marches. Je les trouve très abruptes, pas vous ?
- En si fait Madame.
  Et ce fut en sa compagnie que je franchissais le pas de la chambre. Tout de suite mon regard fut attiré par une culotte en soie de couleur sombre, qui était posée à cheval sur le dossier d’une chaise. Elle se précipita jusqu’à elle, s’en saisit pour la fourrer dans sa valise.     - Il faut m’excuser. Je suis du genre bordélique, si vous voyez ce que je veux dire, surtout que j’ai laissé ma bonne à la maison.   Tout en fermant les volets, je l’imaginais en train de faire glisser cette même culotte le long de ses cuisses. Les rideaux tirés, je me retournais et là surprise je me trouvais devant une Geneviève en jupe et soutien-gorge blanc. Les bonnets de soie couvraient à peine la moitié de ses seins.     - Vous avez besoin de quelque chose ? Avais-je bafouillé.  - Je ne sais pas. Une verveine peut-être. Il y a ça dans le magasin.    - Je vais voir s’il y en a dans la cuisine.    - Sinon vous laissez tomber Alain.   N’en trouvant pas dans la cuisine de la petit maison, j’allais jusqu’au manoir. Où hormis la verveine j’eus le plaisir d’y croiser la patronne.
- Elle veut une verveine ? Me lança-t-elle.    - Oui madame.    - Pressez-vous de lui faire sa tisane et revenez-moi vite. J’aurai besoin de vos services.
  - Bien Madame, je fais tout mon possible pour revenir dans les plus brefs délais.
Je n’étais pas mécontent d’avoir pris du Cialis. J’attendais que la verveine infuse pour l’emporter jusqu’à la chambre. Sur un plateau avec une cuillère et un pot de miel. Elle me reçut en peignoir. Assise sur le rebord de son lit elle se passait de la crème sur ses genoux.    - Oh excusez-moi. J’aurai dû frapper.    - Mais non entrer mon cher ami. Il n’y a pas de mal. À votre âge vous savez comment est composée une femme ? Non, rassurez-moi.   - Oui ! Fis-je en riant. Excuser mon retard, il n’y en avait pas ici. Alors je suis retourné jusqu’au manoir.    - Mais il ne fallait pas.
- Je pose le plateau sur la table de nuit.    - Oui, merci Alain   - Avez-vous besoin d’autre chose, Madame ?   - Je ne voudrais pas abuser sur votre gentillesse.
- Mais faite-donc, je vous en prie !   - Bon, si vous assistez, alors ! J’aurai aimé que vous me passiez de la crème sur le dos. Mais si cela vous ennui je comprendrais. Je ne vous en voudrai pas.    - Mais cela ne m’ennui aucunement, Madame.    - A la maison c’est Camille, ma femme de ménage qui me passe la crème.
Je m’étais saisi du tube.
  - Où dois-je vous en passer Madame ?    - Je vais m’allonger sur le lit. Cela sera plus simple pour vous.    Elle s’installa sur le ventre dénudant ses épaules. Le tube émit un petit bruit, quand je le pressais pour y sortir une noix de crème. Puis je m’affairais à bien masser, pour bien la faire pénétrer dans les spores comme elle l‘avait si aimablement exigé.    - Juste les épaules madame ?    - Le dos aussi, Alain, s‘il vous plaît. Si cela ne vous dérange pas. Elle avait soupiré, avant d’ajouter :   - C’est bon, ça détend.    Alors que je frictionnais son dos, elle me parlait de tout et de rien. Une vraie machine à paroles.
  - Vous avez des doigts magiques ! Me fit-elle. Je suis certaine que si je me laissais aller je m’endormirai.    - Mais ça Madame, c’est un encouragement pour prolonger le massage.
  - Oui… s’il vous plaît ! M’implora-t-elle, en faisant glisser le peignoir jusqu’à la naissance de ses fesses.
Prenant par la même occasion une position nonchalante. La tête tournée sur la joue droite.    - Vraiment Alain votre main est d’une douceur incomparable. Je dirai même une sensation exquise. Fit-elle.    - Madame est trop bonne.    - Cela serait profiter de votre gentillesse de vous demandez d’en passer aussi sur mes jambes et pieds. Ce manifesta-t-elle.
Comme en dit : Où il n’y a pas de gêne il n’y a pas de plaisir.
  - Si Madame l’exige !
- On se comprend bien Alain ! Faite le seulement si cela vous enchante.
Sans répondre à la question posée je me mis au travail. Commençant par les pieds et finissant par les cuisses. Pas un millimètre carré n’avait été oublié. Comme j’étais d’humeur ludique, je poussais le vice à lui proposer de masser son fessier.
- Mais en voilà une excellente idée ! Se manifestait-elle.
- Ce n’est pas une réponse ça Madame !
- C’est que je ne suis pas de la première jeunesse ! Comme vous l’avez pu le juger en me massant.
- Je ne me suis aperçu de rien.
- Vous êtes vraiment un fourbe !
- Vous ne répondez toujours à ma question.
- Faite comme cela vous enchante, c’est une bonne réponse ?
- Que cela ne tienne, fis-je en écartant son peignoir d’un coup sec, que j’envoyais valdinguer sur la chaise.    Je fus tout de suite frapper par la vision de ses fesses nue que le temps avait un peu fripées. Ça ressemblait un peu à une pomme qu’on avait oubliée de manger. Il m’en fallait plus pour m’en dégouter. D’ailleurs mon pénis commençait à faire des siennes au fond de mon slip. Prenant du volume. Le cialis en était pour quelque chose ! À un tel point qu’il se trouva très vite coincé, dans une position qui me faisait extrêmement souffrir. Je n’ai pas hésité un seul instant de plonger ma main dans mon pantalon pour la déplacer.
- Que vous arrive-t-il Alain ? Me fit-elle, elle qui me suivait des yeux.
- Ne vous inquiétez Madame, juste un problème passager.
Elle courba le dos, relevant son cul. M’exhibant de la sorte tout ce qu’elle avait à offrir à mes yeux.  Entre ses fesses d’une blancheur de lait, sa raie s’étirait, parfaitement glabre. Son anus se devinait au creux du sillon. Pris d’un coup d’une ardeur pervers, je lui pris fermement ses fesses à pleines mains. Avec mes pouces, je pressais le gras des fesses. Le cul s’entrouvrit devant moi. La gorge sèche, je tirai davantage sur les côtés, écartant davantage les fesses. Faisant ainsi connaissance avec l’anus parfaitement mis en lumière. Rose foncé, orné de fronces très marquées.    Très vite mes narines furent taquinées par une odeur forte de pisse, de sueurs anales. Qui était loin d’arranger l’état inconfortable où se trouvait ma verge dans mon caleçon.
  Comme je me permettais tout à cet instant, je pris l’initiative d’écarter davantage les fesses. Lui déformant par cette impulsion l’anus en largeur. Comme l’aurait fait un étrange rictus de bouche. Geneviève ne réagissait pas. D’une voix rendue sourde par l’excitation, je lui demandais :   - Si Madame le permet je vais devoir prolonger le massage.
- Et je peux savoir pourquoi ? Fit-elle, en pivotant sur elle-même. M‘exhibant son côté face. Son ventre pendait un peu au-dessus d’un sexe lui aussi épilé. J’en restais bouche bée. Elle se saisit alors de mon poignet et le porta jusqu’à son sein droit tombant ; s‘étalant sur sa poitrine.    - Là aussi… enfin si cela de vous ne contrarie pas. Dit-elle d’une voix changée. Un peu rauque. Tout en me regardant droit dans les yeux.    - Cela tombe bien Madame, j’excelle dans la caresse d’un sein.
- Je demande qu’à voir.
- C’est tout vu. Répondis-je en lui massant un sein puis l’autre. Insistant bien autour des mamelons. Geneviève avait fermé les yeux. Se laissant aller sous la bienveillance de ma caresse. Sans pour autant poser une main sur la partie la plus sensible de mon anatomie.
  - Vous avez l’air drôlement excité.  - A qui la faute Madame ?
  - Je me dois alors de vous calmez. Fit-elle en lâchant un petit rire, que je mentionnerai de coquin, alors qu’elle baissait la fermeture Eclair de ma braguette.
Sans tarder, elle avait fourré sa main à l’intérieur et après m’avoir palpé, la mise à l’air libre. Et tout de suite après, elle me masturba, pour mon plus grand bonheur.
- Je fais ça bien ? S’enquit-elle.
- Madame est experte !
- Vous permettez que je vous ôte le pantalon ? Me fit-elle.
- J’allais vous le proposer, Madame.
Une fois nu, elle en profitait pour poser ses lèvres sur mon gland, dans un baiser mouillé.
- Vous sentez bon ! J’aime l’odeur de mâle en rut.    Après ces quelques paroles aguichantes, elle happa mon gland. Je me raidis. Elle avait les paupières closes, alors que sa langue le pourléchait. Humectant de salive le moindre millimètre carré de peau.
Des petits grognements montaient de ses lèvres distendues.    Je profitais qu’elle s’affaire sur mon jouet de plaisir pour m’intéresser à son sexe. Dont les lèvres écartées mettaient en valeur la chair nacrée de la vulve nue. Sans me poser de question j’enfonçais deux doigts joints entre les petites lippes, tout en observant sa réaction. Elle m’envoya un clin d’œil. Un encouragement silencieux pour que je continu. Alors je fis coulisser mes doigts dans son antre. Les faisant entrer et sortir en un mouvement rapide, qui me mit très vite au supplice.   Il m’en fallait pas plus pour passer à autre chose. À celui de faire l’amour avec cette vieille dame. Non, pas faire l’amour, j’allais la baiser, la posséder, la saillir comme une femelle en rut. Et j’allais faire ça ici, à quelques mètres d‘une fête organisé par sa filleul, ma patronne.    Je me retirais de sa bouche. Geneviève eut un rire chatouillé.   - Cela ne vous plaît pas ? Je ne le fais pas assez bien ?    Son intonation n’avait rien de vraiment froissé. Sa réprobation n’était que de pure forme. Cette pensée me fit comme bondir entre ses jambes. J’aurais parié qu’elle s’essuyait mal, tant l’odeur de son con était forte. Un parfum poivré et puissant, comme je les aime. À tel point que je n’ai pas pu résisté à me coller à lui pour le respirer.
  - Qu’est-ce que vous attendez ? Il ne suffit pas de sentir ! Posez votre bouche… je n’ai pas fait autant de manière, moi…   Spontanément je m’étais mis à la lécher. À la laper sans délicatesse longeant la fente de haut en bas, me régalant de la saveur acidulée de son sexe. Repliant les jambes sur sa poitrine, j’exhibais à mes yeux le renflement grenat de l’anus. Qui en s’épanouissant, laissant voir le cratère des muqueuses. J’y plantais deux doigts sans cesser de lécher la chatte. Chatouillant le clitoris du bout de la langue, le gobais même. Mes doigts entraient et sortaient sans encombre tant elle était souple de ce côté-là. J’apercevais les parois mauves et lisses dans le tunnel du rectum. Rien sur le visage de Geneviève ne trahissait la montée de plaisir. Comme si tout ce que je faisais était insipide pour elle. Alors j’enfonçais trois doigts entre ses fesses, avec l’intention de visser par la suite ma langue. Loin dans le rectum. Tant l’envie de la goûter m’avait submergé. D’ailleurs sa réaction ne s’était pas fait attendre.    - Que faîtes-vous ? C’est sale ! Fit-elle tout en se tortillant sur le lit.    - Vous aviez plutôt l’air d’aimer cela ! En me redressant, et la saisissant par les hanches et appuyais mon gland à l’entrée de son anus. Forçant l’entrée lentement. Elle se cambra en sentant mon gland s’introduire entre les parois rectales. Peu à peu son cul s’ouvrait pour laisser entrer ma queue. Je poussais en elle et mon sexe disparut dans son entier, dans l‘ouverture.   - Je suis dans votre cul ! Vous avez mal ?   - Non, je suis bien… je me sens toute drôle… j’ai l’impression de lâcher un gros caca…  La tenant par les hanches, je coulissais dans son rectum. Doucement dans un premier, et accélérant le rythme au fil des pénétrations. J’étais étonné de constater avec quelle rapidité son cul s’était ouvert.
  - Oui, comme ça, continuez ! M’encourageait-elle. Plus profondément si vous pouvez !   Explorateur et fasciné, je martelais son cul. Mon ventre tamponnant ses fesses. Elle mouillait du cul. Je me suis laissé tomber sur elle. J’avais devant mes yeux ses seins. Je les ai tétés, je les ai aspirés goulument.     - Mords-les ! Passant au tutoiement. J’ai envie de tout, cette nuit !    Je n’avais pas eu de mal à presser les mamelles l’une contre l’autre de façon à marier les deux mamelons, pour les mordiller.
  - Plus fort ! Fais-moi mal ! J’ai besoin de souffrance pour jouir à mon âge…   Tout en mâchonnant, je donnais de méchant coup de reins… À grands coups rectilignes. Droit au but. Il devenait de plus en plus baveux. Geneviève poussa un cri, se souleva. Ce qui pour son âge était stupéfiant. Hors d’elle, elle bougeait à tout rompre, poussant des gémissements enroué.    - Oui… oui je jouis ... ah, ça y est, je jouis !    J’accélérais encore la cadence ainsi que la puissance de mes coups de riens. Elle était cahotée comme une vulgaire poupée de chiffon. Mes couilles venant se la chair chaude de ses fesses. À m’en faire mal.
  Les spasmes très fort de son anus m’avait fait jouir à mon tour. J’avais l’impression d’être mangé par son cul. Avec un halètement de bête fauve, mon sperme giclait avec force.    Je m’affalais à ses côtés pour reprendre haleine. Je crus que je vivais ma dernière heure tant j’avais du mal à reprendre mon souffle. Alors qu’elle m’embrassait à pleine bouche. Comme pour me remercier de l‘avoir mené jusqu‘au plaisir.
  - Vous permettez que j’empreinte votre salle de bains ?
- Faites-donc ! Repassant au vouvoiement.
Il fallait que je sois présentable pour la patronne. Qui était sans aucun doute impatiente que j’arrive, pour pouvoir à son tour jouir de mes caresses.
À mon retour dans la chambre, Geneviève dormait. Fesses bien écartées d’où s’écouler mon sperme bruni…

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