Le manoir du péché (16)
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2021 dans la catégorie Plus on est
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Le manoir du péché (16)
La patronne m’avait fait savoir qu’elle désirait que je vienne jusqu’à sa chambre. Elle me reçu- allonger sur son lit.
- Veuillez entrer Alain. Me fit-elle, en espaçant l’intervalle de ses deux jambes avec un petit air malicieux. J‘avais alors vu sur une belle culotte blanche. Y’avait pas à dire, elle était vraiment du genre très libertine ma patronne, et cela n’était pas pour me déplaire. Tout au contraire, j’étais même triste quand elle quittait le domaine, mais aussi très heureux à savoir qu’elle venait y passer le week-end. Sachant qu’à tout moment il y allait se passer quelque chose entre elle et moi.
- Fermez la porte s’il vous plaît ! Fit-elle. À clé, précisa-t-elle.
Ceci fait, elle me priait d’approcher jusqu‘à elle.
- J’espère que vous n’aviez rien de prévu pour cette nuit, Alain ? Fit-elle, un sourire coquin aux lèvres.
- Non madame.
- Bien ! Très bien même. Alors apportez moi mon peau de chambre, voulez-vous.
- Avec plaisir madame… Augurant parfaitement ce qu’elle avait en tête. Et encore plus quand elle me le fit poser entre ses jambes, alors qu’elle avait quitté le lit.
Mais alors que je m’apprêtais à m’éloigner, elle m’ordonna de ne pas bouger. Et là en me fixant droit dans les yeux, elle passa les mains sous son peignoir, et avec un naturel ahurissant que seul une femme comme elle pouvait avoir, elle le rabattit sur son ventre. Dans le même mouvement je vis ses mains agripper l’élastique de sa culotte blanche et, elle la fit glisser vers le bas. D’un gracieux mouvement de jambes, elle ôta son sous-vêtement, qu‘elle garda dans sa main.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, dit-elle en s’accroupissant au-dessus du pot de chambre.
Le spectacle était d’une saisissante obscène. Comme toujours avec elle. Bandant à souhait. Entre les jambes écartées, mon regard s’attarda sur sa chatte aux lèvres dodues, qui bâillait comme un fruit éclaté. Que sa position faisait pointer les nymphes rougeâtres, ainsi que le clitoris dardé.
Je fus témoin de la palpitation de son anus, ainsi que sa crispation à l’instant où quelques gouttes s’échappait du méat. Elle se mit à pousser, et un jet puissant fouetta le fond du récipient.
- Cela ne vous ennuie pas au moins, Alain ? De rester là à regarder une vieille femme se soulager.
- Comme madame le sait, je suis friand de ce genre de spectacle.
- Vous m’en voyez alors ravie, mon cher. Mais dîtes moi Alain, comme nous avons un petit moment pour nous, je voulais savoir si l’augmentation avait été conséquente ?
- Oui et j’en remercie Madame.
- Bien… vous m’en voyez soulager… me fit-elle alors que la miction me semblait ne jamais finir.
J’étais un peu près certain que la coquine avait avalé un litre d’eau juste pour avoir le plaisir de pisser longuement devant moi.
Ce n’était pas la première fois que je voyais ainsi, en gros plan, une femme pisser. Et chaque fois cela me faisait autant d’effets.
Comme tout à une fin, malheureusement pour moi la source se tarit. Elle propulsa quelques jets et attendit que les dernières gouttes dorées s’écoulèrent entre ses lèvres enflées, avant de se redresser. Un frisson traversa mes reins alors qu’elle désertait sa place.
- Vous êtes Alain des plus spéciaux. Une espèce de dégoûtant ! Voyeur et pervers ! Me lança-t-elle, se déplaçant pour rejoindre son lit, d’une démarche provocante.
- Je me trompe Alain ? Ajouta-t-elle en pivotant sur elle-même. Et voyant que je n’étais pas derrière elle ajouta : - Mais approchez donc.
Elle attendit que je fasse les quelques pas qui me séparer d’elle pour me tendre son bras pour approcher la culotte qu’elle tenait toujours en main tout près de mon visage. Elle me dit alors, sur un ton amusé : - Ça doit sentir la cochonne ? Non Alain, je compte sur vous pour être honnête avec moi ? Et tout me dire… - Effectivement madame, je dirai qui exhale de votre belle petite culotte des senteurs assommantes.
- J’en étais certaine. Comme vous pouvez le percevoir, je connais parfaitement vos goûts de pervers. Lança-t-elle en me donnant sa culotte.
Me laissant en tête à tête avec sa lingerie alors qu’elle profitait de cet instant pour retirer tout ce qui la gêner sur ma personne, et pouvoir ainsi en toute liberté me tripoter la verge. Plus que jamais j’avais envie d’elle. Elle s’agenouilla, et enfouit en toute familiarité sa tête entre mes fesses. Elle me lécha l’anus tout en me branlant la verge. Peu à peu le plaisir m’envahit. Et comme elle était une parfaite experte en la matière, elle jugea qu’il était préférable de s’arrêter là. Elle se leva d’un bloc et tout en se passant la langue sur ses lèvres, elle se laissa tomber sur son lit, où elle se renversa sur le dos, les cuisses largement ouvertes.
Prenant cela pour une invite, j’enfouis ma tête entre ses jambes et je la léchais. Glissant le bout de ma langue dans les replis humides qu’avait cultivé son excitation. Une forte odeur s’en dégageait. Un mélange exquis que seul un sexe de femme peut offrir.
Elle se cambra afin de mieux soumettre sa chatte ruisselante au sensuel léchage que je lui prodiguais. Véritable femelle en rut, elle clama haut et fort son plaisir dans un langage que je formulerai imager : - C’est trop bon votre langue dans mon con !... Oh oui ! Avalez mon foutre !… Régalez-vous, nourrissez-vous… Oh non ! Vous me faites pisser de plaisir... Buvez, buvez ceci est ma source… Je la mâchonnais. Il s’en dégageait encore et toujours une odeur marine. Je lui prodiguais l'hommage qu‘elle méritait. Je m’acharnais
sur son clitoris. Son ventre fut agité de spasmes violents et mon visage éclaboussait d’éjaculations. J’attendais qu’elle soit à bout, pour recracher son bouton. Jouissant de sa récupération, je lui relevais ses jambes. Et approchais ma bouche du petit trou du cul. J’aimais beaucoup l'odeur poivrée qui s’en dégager. Je ne pus me retenir d’y passer une langue. Avalant les petites boulettes brunes mal essuyées d'un précédent passage aux toilettes. Comme la zone était très sensible, cela provoqua chez elle quelques gémissements de volupté. M’encourageant à faire durer l'action un peu plus que nécessaire.
Ce fut elle qui me donna le signal de tout cesser. Préférant d’assouvir immédiatement son besoin d‘être remplie. Les jambes largement écartées afin de me chevaucher. Lançant sa main en direction de mon bas-ventre. Elle s’empara de ma verge dressée qu’elle maintenait verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsqu’elle sentit mon gland au contact de ses grandes lèvres sexuelles, elle se laissa tomber de tout son poids, s’empalant profondément sur mon pieu de chair, dans un long râle de bonheur.
Je percevais avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de ma verge gonflée. Comme si mon membre se trouvait plongé dans un pot de miel. Un étrange bien-être sexuel m’envahit, accentuait par la patronne qui, impatiente d’être labourée, commença à agiter son popotin rebondie. Ahanant, elle entama une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée, le long du membre viril prisonnier. Elle me fixait d’un regard émerveillé, les lèvres entrouvertes laissant échapper un doux gémissement de plaisir.
Je portais mon regard sur sa toison. Une fourrure crépue qui se mêlait à mes propres poils pubiens, chaque fois qu’elle se laissait retomber sur mes cuisses pour s’empaler avec une rage hystérique.
Après un moment passé à admirer ma verge apparaître et disparaître de son antre, je m’intéressais à sa danse érotique. Celle-là même qui faisaient sautiller ses seins sous l‘assaut. J’avançais mes mains pour les saisir, les empaumant délicatement. Les pressant fiévreusement. Frottant les mamelons gonflés de désir contre mes paumes. Agaçant les tétons fort érigeaient par l‘excitation.
Elle arqua ses reins afin de mieux m’offrir sa poitrine, tout en activant la cadence de sa chevauchée. S’empalant sur le pieu de chair avec de plus en plus de frénésies. Incapable de contenir ses émotions, elle laissa échapper ses cris de jouissance qui résonnèrent dans la pièce. Parfaite écuyère sensuelle, elle agita fiévreusement sa croupe nerveuse à la recherche de son plaisir. Il s’élevait de sa chatte furieusement barattée, un affolant bruit de clapotis. Comme je sentais aussi un chaud liquide s’infiltrer entre mes jambes et me tremper les couilles. Ivre de volupté, ma verge plongée dans un magma incandescent, je compris que si elle ne ralentissait pas son allure, je ne pourrais contenir longtemps le plaisir que je sentais monter de mes entrailles.
- Oh oui !... Je pars !... Grogna-t-elle à mon attention… Oh, putain que c’est bon !... Oh, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre… C’est trop bon !... Oui !... Ça vient… Oh, non, je vais jouir !...
À chacun de ses assauts je sentais que je touchais bien le fond de son sexe. Je me saisissais des deux mains ses fesses. Que je mis un plaisir à malaxer, les écarter pendant que mes testicules se vidaient au plus profond de son ventre Une fois sorti de ses entailles, la patronne assista fortement pour que j’aille me rendre jusqu’à la salle de bains pour faire une petite toilette réparatrice. Que fut ma surprise en ouvrant la porte de tomber nez à nez avec Agnès.
La coquine jouait les voyeuses à présent.
- Eh bien ! me fit-elle, quel excitant spectacle. Mieux qu’un film porno !
Elle portait une guêpière toute de dentelles de satin noir. Les bonnets ne couvraient que le dessous des seins. Quant au slip assorti, moulait à la perfection les renflées de son sexe. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon était là comme pour attester le plaisir qu‘elle avait pris à nous espionner. Avant que j’aie eu le temps de mieux la scruter, je fus entraîner de nouveau à l’intérieur de la chambre.
- Eh bien, cela me rappelle le bon vieux temps ! Quand tu gémissais sous les feux de ma langue, frangine. Fit-Agnès, en se contorsionnant pour dégrafer sa guêpière. À se demander pourquoi elle se l’était passer. Libérant ainsi, ses seins moites de sueur qui, privés de leur soutien, s’affaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, qu’elle repoussa sur ses cuisses et le long de ses jambes, et cela jusqu’au parquet.
Et sans perdre un seul instant elle alla rejoindre sa sœur sur le lit, s’allongea à ses côtés. Avant de l’embrasser à pleine bouche. L’esprit complètement embrumé par ce qui ce dérouler devant moi, je m’avançait à mon tour jusqu’au lit pour être au plus près de l‘action. Là, ma propre patronne, me fit part, qu’elle et Agnès avaient eu jadis des aventures, qu‘elle qualifia de très spéciaux. Cela me donna des frissons Sur le lit on aurait dit qu’elles étaient ivres toutes les deux tant leurs comportements étaient des plus insolites. Agissant comme si je n‘étais pas là. Ce fut Agnès qui fit les premiers gestes qui me laissèrent bouche bée. Elle commença par pétrir ses seins, puis elle glissa ses mains lentement le long de son corps jusqu’à son pubis. La patronne la regardait, complètement figée, alors que la frangine ouvrait sa vulve avec ses doigts, dont je pouvais entrevoir de ma hauteur, la chair crue d’où suintait une source de sécrétion brûlante. Elle posa sa main droite sur son ventre rond, qu’elle glissait lentement jusqu’à ça fissure. Enfonçant deux doigts dans sa tirelire. Là, elle fit onduler le bassin tout en continuant à branler son vagin. Puis comme prise d’un désir soudain, elle retira sa main d’entre ses cuisses, pour porter ses doigts maculés à sa bouche elle les lécha avec gourmandise, recueillant avec sa langue ses propres sécrétions. Après la dégustation Agnès rompit le silence, en laissant échapper : - Alors tu veux ? dit-elle, en s’adressant à sa sœur, d’une voix soudain devenue grave par l‘excitation, toujours immobile. Tu te souviens de la dernière fois.
- Oui je me souviens très bien…, répondit sans façon la patronne.
- Cela te dirait de remettre ça ?
- Juste pour notre invité ?
- Pour lui, mais aussi pour nous… Et là tout se déchaîna. Chacune, mit la main entre les cuisses de l’autre. C’était comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Ce fut Agnès de réagir la première, soulevant son pubis d’une façon saccadé, esquissant les mouvements d’un coït, tout en secouant la tête, encourageant sa sœur à la fouiller plus profondément dans un long râle de plaisir : - Oh oui ! Continue !… Plus loin !… Encouragée par les plaintes lascives qu’Agnès émettait, la patronne accéléra alors le mouvement de va-et-vient de son index et majeur accolés à l’intérieur de la chatte emplie de jus vaginal brûlant. Agnès tressaillit de plus belle sous la vivace masturbation dont elle était l’objet. Surtout que la sœur y joignait son annulaire. Même si ce dernier força quelque peu pour pénétrer dans caverne sexuelle, dilatant un peu plus l’orifice suintant.
Je ne décelais quelconque souffrance sous la volumineuse pénétration digitale sur le visage de la branler. Alors que les trois doigts de la patronne, fouillèrent et explorèrent avec adresse son vagin bouillonnant, qui allait la mener au plaisir. Où après avoir bien jouit, Agnès se laissa tomber sur le lit, les joues rouges, les paupières closes, les gencives découvertes.
- Venez ! M’ordonna la patronne, les bras tendus.
Mes sens affamés par ce qui s’était dérouler sous mes yeux se firent soudain très pressantes, au point de ne pas refuser l‘invite qui m‘était offert. Un sourire gourmand étirait les lèvres de la patronne. Je bandais, je bandais même très dur. Elle fit aller et venir son doigt le long de mon sexe. Cela me fit frissonner. Et cela l’amusait, de voir mes réactions. Agnès à ses côtés restait écartelée, le souffle court, fascinée par ce qui se passait à seulement quelques centimètres d’elle. La coquine prenait son temps. Et moi, petit à petit, je m’abandonnais de plus en plus au plaisir qu’elle provoquait.
Elle s’arrêta néanmoins, pour sortir une langue pointue de sa bouche. Un frisson me parcourait des pieds à la tête, alors que je croisais son regard. Mélange de sérieux et de gourmandise. Elle lécha, à petits coups précis, d’abord la tige, puis plus haut. Je gémissais quand elle s’attarda sur le frein. Soudain la patronne arrêta de me sucer, m’emplissant d’une frustration presque douloureuse. Mais pas le temps de m’offusquer que déjà la bouche de sa sœur la remplaçait, tout aussi avide et experte. Laquelle s’était sans façon assise à côté de sa sœur dans le but évident de partager avec elle ma verge.
- Eh, dit, faut pas te gêner surtout ! Protesta la patronne, l’œil étincelant. C’est tout de même mon amant.
Agnès interrompit sa fellation gourmande pour tourna sa tête vers sa frangine, avec un petit sourire allumé, elle lâcha : - Et alors ?
Et ce fut avec un ensemble parfait, que les deux sœurs relevèrent la tête vers moi, m’interrogeant du regard.
- Qu’est-ce que vous en pensez ? Me firent-elles en cœur.
Sans prendre la peine de répondre, je pris un malin plaisir de Fixer mon regard sur les cuisses dénudées de ma patronne, puis celle d’Agnès. Jouissant du spectacle qu’elles m’offraient. Tout en me fixant, Agnès posa ses lèvres fiévreuses à la base du cou de sa sœur, qui émit un petit sifflement de satisfaction. Sans rien faire pour repousser sa frangine, tout au contraire, elles prirent la position.
De voir ces deux femmes s’enlacer, jambes ouvertes, ventre La patronne m’avait fait savoir qu’elle désirait que je vienne jusqu’à sa chambre. Elle me reçu- allonger sur son lit.
- Veuillez entrer Alain. Me fit-elle, en espaçant l’intervalle de ses deux jambes avec un petit air malicieux. J‘avais alors vu sur une belle culotte blanche. Y’avait pas à dire, elle était vraiment du genre très libertine ma patronne, et cela n’était pas pour me déplaire. Tout au contraire, j’étais même triste quand elle quittait le domaine, mais aussi très heureux à savoir qu’elle venait y passer le week-end. Sachant qu’à tout moment il y allait se passer quelque chose entre elle et moi.
- Fermez la porte s’il vous plaît ! Fit-elle. À clé, précisa-t-elle.
Ceci fait, elle me priait d’approcher jusqu‘à elle.
- J’espère que vous n’aviez rien de prévu pour cette nuit, Alain ? Fit-elle, un sourire coquin aux lèvres.
- Non madame.
- Bien ! Très bien même. Alors apportez moi mon peau de chambre, voulez-vous.
- Avec plaisir madame… Augurant parfaitement ce qu’elle avait en tête. Et encore plus quand elle me le fit poser entre ses jambes, alors qu’elle avait quitté le lit.
Mais alors que je m’apprêtais à m’éloigner, elle m’ordonna de ne pas bouger. Et là en me fixant droit dans les yeux, elle passa les mains sous son peignoir, et avec un naturel ahurissant que seul une femme comme elle pouvait avoir, elle le rabattit sur son ventre. Dans le même mouvement je vis ses mains agripper l’élastique de sa culotte blanche et, elle la fit glisser vers le bas. D’un gracieux mouvement de jambes, elle ôta son sous-vêtement, qu‘elle garda dans sa main.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, dit-elle en s’accroupissant au-dessus du pot de chambre.
Le spectacle était d’une saisissante obscène. Comme toujours avec elle. Bandant à souhait. Entre les jambes écartées, mon regard s’attarda sur sa chatte aux lèvres dodues, qui bâillait comme un fruit éclaté. Que sa position faisait pointer les nymphes rougeâtres, ainsi que le clitoris dardé.
Je fus témoin de la palpitation de son anus, ainsi que sa crispation à l’instant où quelques gouttes s’échappait du méat. Elle se mit à pousser, et un jet puissant fouetta le fond du récipient.
- Cela ne vous ennuie pas au moins, Alain ? De rester là à regarder une vieille femme se soulager.
- Comme madame le sait, je suis friand de ce genre de spectacle.
- Vous m’en voyez alors ravie, mon cher. Mais dîtes moi Alain, comme nous avons un petit moment pour nous, je voulais savoir si l’augmentation avait été conséquente ?
- Oui et j’en remercie Madame.
- Bien… vous m’en voyez soulager… me fit-elle alors que la miction me semblait ne jamais finir.
J’étais un peu près certain que la coquine avait avalé un litre d’eau juste pour avoir le plaisir de pisser longuement devant moi.
Ce n’était pas la première fois que je voyais ainsi, en gros plan, une femme pisser. Et chaque fois cela me faisait autant d’effets.
Comme tout à une fin, malheureusement pour moi la source se tarit. Elle propulsa quelques jets et attendit que les dernières gouttes dorées s’écoulèrent entre ses lèvres enflées, avant de se redresser. Un frisson traversa mes reins alors qu’elle désertait sa place.
- Vous êtes Alain des plus spéciaux. Une espèce de dégoûtant ! Voyeur et pervers ! Me lança-t-elle, se déplaçant pour rejoindre son lit, d’une démarche provocante.
- Je me trompe Alain ? Ajouta-t-elle en pivotant sur elle-même. Et voyant que je n’étais pas derrière elle ajouta : - Mais approchez donc.
Elle attendit que je fasse les quelques pas qui me séparer d’elle pour me tendre son bras pour approcher la culotte qu’elle tenait toujours en main tout près de mon visage. Elle me dit alors, sur un ton amusé : - Ça doit sentir la cochonne ? Non Alain, je compte sur vous pour être honnête avec moi ? Et tout me dire… - Effectivement madame, je dirai qui exhale de votre belle petite culotte des senteurs assommantes.
- J’en étais certaine. Comme vous pouvez le percevoir, je connais parfaitement vos goûts de pervers. Lança-t-elle en me donnant sa culotte.
Me laissant en tête à tête avec sa lingerie alors qu’elle profitait de cet instant pour retirer tout ce qui la gêner sur ma personne, et pouvoir ainsi en toute liberté me tripoter la verge. Plus que jamais j’avais envie d’elle. Elle s’agenouilla, et enfouit en toute familiarité sa tête entre mes fesses. Elle me lécha l’anus tout en me branlant la verge. Peu à peu le plaisir m’envahit. Et comme elle était une parfaite experte en la matière, elle jugea qu’il était préférable de s’arrêter là. Elle se leva d’un bloc et tout en se passant la langue sur ses lèvres, elle se laissa tomber sur son lit, où elle se renversa sur le dos, les cuisses largement ouvertes.
Prenant cela pour une invite, j’enfouis ma tête entre ses jambes et je la léchais. Glissant le bout de ma langue dans les replis humides qu’avait cultivé son excitation. Une forte odeur s’en dégageait. Un mélange exquis que seul un sexe de femme peut offrir.
Elle se cambra afin de mieux soumettre sa chatte ruisselante au sensuel léchage que je lui prodiguais. Véritable femelle en rut, elle clama haut et fort son plaisir dans un langage que je formulerai imager : - C’est trop bon votre langue dans mon con !... Oh oui ! Avalez mon foutre !… Régalez-vous, nourrissez-vous… Oh non ! Vous me faites pisser de plaisir... Buvez, buvez ceci est ma source… Je la mâchonnais. Il s’en dégageait encore et toujours une odeur marine. Je lui prodiguais l'hommage qu‘elle méritait. Je m’acharnais sur son clitoris. Son ventre fut agité de spasmes violents et mon visage éclaboussait d’éjaculations. J’attendais qu’elle soit à bout, pour recracher son bouton. Jouissant de sa récupération, je lui relevais ses jambes. Et approchais ma bouche du petit trou du cul. J’aimais beaucoup l'odeur poivrée qui s’en dégager. Je ne pus me retenir d’y passer une langue. Avalant les petites boulettes brunes mal essuyées d'un précédent passage aux toilettes. Comme la zone était très sensible, cela provoqua chez elle quelques gémissements de volupté. M’encourageant à faire durer l'action un peu plus que nécessaire.
Ce fut elle qui me donna le signal de tout cesser. Préférant d’assouvir immédiatement son besoin d‘être remplie. Les jambes largement écartées afin de me chevaucher. Lançant sa main en direction de mon bas-ventre. Elle s’empara de ma verge dressée qu’elle maintenait verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsqu’elle sentit mon gland au contact de ses grandes lèvres sexuelles, elle se laissa tomber de tout son poids, s’empalant profondément sur mon pieu de chair, dans un long râle de bonheur.
Je percevais avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de ma verge gonflée. Comme si mon membre se trouvait plongé dans un pot de miel. Un étrange bien-être sexuel m’envahit, accentuait par la patronne qui, impatiente d’être labourée, commença à agiter son popotin rebondie. Ahanant, elle entama une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée, le long du membre viril prisonnier. Elle me fixait d’un regard émerveillé, les lèvres entrouvertes laissant échapper un doux gémissement de plaisir.
Je portais mon regard sur sa toison. Une fourrure crépue qui se mêlait à mes propres poils pubiens, chaque fois qu’elle se laissait retomber sur mes cuisses pour s’empaler avec une rage hystérique.
Après un moment passé à admirer ma verge apparaître et disparaître de son antre, je m’intéressais à sa danse érotique. Celle-là même qui faisaient sautiller ses seins sous l‘assaut. J’avançais mes mains pour les saisir, les empaumant délicatement. Les pressant fiévreusement. Frottant les mamelons gonflés de désir contre mes paumes. Agaçant les tétons fort érigeaient par l‘excitation.
Elle arqua ses reins afin de mieux m’offrir sa poitrine, tout en activant la cadence de sa chevauchée. S’empalant sur le pieu de chair avec de plus en plus de frénésies. Incapable de contenir ses émotions, elle laissa échapper ses cris de jouissance qui résonnèrent dans la pièce. Parfaite écuyère sensuelle, elle agita fiévreusement sa croupe nerveuse à la recherche de son plaisir. Il s’élevait de sa chatte furieusement barattée, un affolant bruit de clapotis. Comme je sentais aussi un chaud liquide s’infiltrer entre mes jambes et me tremper les couilles. Ivre de volupté, ma verge plongée dans un magma incandescent, je compris que si elle ne ralentissait pas son allure, je ne pourrais contenir longtemps le plaisir que je sentais monter de mes entrailles.
- Oh oui !... Je pars !... Grogna-t-elle à mon attention… Oh, putain que c’est bon !... Oh, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre… C’est trop bon !... Oui !... Ça vient… Oh, non, je vais jouir !...
À chacun de ses assauts je sentais que je touchais bien le fond de son sexe. Je me saisissais des deux mains ses fesses. Que je mis un plaisir à malaxer, les écarter pendant que mes testicules se vidaient au plus profond de son ventre Une fois sorti de ses entailles, la patronne assista fortement pour que j’aille me rendre jusqu’à la salle de bains pour faire une petite toilette réparatrice. Que fut ma surprise en ouvrant la porte de tomber nez à nez avec Agnès.
La coquine jouait les voyeuses à présent.
- Eh bien ! me fit-elle, quel excitant spectacle. Mieux qu’un film porno !
Elle portait une guêpière toute de dentelles de satin noir. Les bonnets ne couvraient que le dessous des seins. Quant au slip assorti, moulait à la perfection les renflées de son sexe. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon était là comme pour attester le plaisir qu‘elle avait pris à nous espionner. Avant que j’aie eu le temps de mieux la scruter, je fus entraîner de nouveau à l’intérieur de la chambre.
- Eh bien, cela me rappelle le bon vieux temps ! Quand tu gémissais sous les feux de ma langue, frangine. Fit-Agnès, en se contorsionnant pour dégrafer sa guêpière. À se demander pourquoi elle se l’était passer. Libérant ainsi, ses seins moites de sueur qui, privés de leur soutien, s’affaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, qu’elle repoussa sur ses cuisses et le long de ses jambes, et cela jusqu’au parquet.
Et sans perdre un seul instant elle alla rejoindre sa sœur sur le lit, s’allongea à ses côtés. Avant de l’embrasser à pleine bouche. L’esprit complètement embrumé par ce qui ce dérouler devant moi, je m’avançait à mon tour jusqu’au lit pour être au plus près de l‘action. Là, ma propre patronne, me fit part, qu’elle et Agnès avaient eu jadis des aventures, qu‘elle qualifia de très spéciaux. Cela me donna des frissons Sur le lit on aurait dit qu’elles étaient ivres toutes les deux tant leurs comportements étaient des plus insolites. Agissant comme si je n‘étais pas là. Ce fut Agnès qui fit les premiers gestes qui me laissèrent bouche bée. Elle commença par pétrir ses seins, puis elle glissa ses mains lentement le long de son corps jusqu’à son pubis. La patronne la regardait, complètement figée, alors que la frangine ouvrait sa vulve avec ses doigts, dont je pouvais entrevoir de ma hauteur, la chair crue d’où suintait une source de sécrétion brûlante. Elle posa sa main droite sur son ventre rond, qu’elle glissait lentement jusqu’à ça fissure. Enfonçant deux doigts dans sa tirelire. Là, elle fit onduler le bassin tout en continuant à branler son vagin. Puis comme prise d’un désir soudain, elle retira sa main d’entre ses cuisses, pour porter ses doigts maculés à sa bouche elle les lécha avec gourmandise, recueillant avec sa langue ses propres sécrétions. Après la dégustation Agnès rompit le silence, en laissant échapper : - Alors tu veux ? dit-elle, en s’adressant à sa sœur, d’une voix soudain devenue grave par l‘excitation, toujours immobile. Tu te souviens de la dernière fois.
- Oui je me souviens très bien…, répondit sans façon la patronne.
- Cela te dirait de remettre ça ?
- Juste pour notre invité ?
- Pour lui, mais aussi pour nous… Et là tout se déchaîna. Chacune, mit la main entre les cuisses de l’autre. C’était comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Ce fut Agnès de réagir la première, soulevant son pubis d’une façon saccadé, esquissant les mouvements d’un coït, tout en secouant la tête, encourageant sa sœur à la fouiller plus profondément dans un long râle de plaisir : - Oh oui ! Continue !… Plus loin !… Encouragée par les plaintes lascives qu’Agnès émettait, la patronne accéléra alors le mouvement de va-et-vient de son index et majeur accolés à l’intérieur de la chatte emplie de jus vaginal brûlant. Agnès tressaillit de plus belle sous la vivace masturbation dont elle était l’objet. Surtout que la sœur y joignait son annulaire. Même si ce dernier força quelque peu pour pénétrer dans caverne sexuelle, dilatant un peu plus l’orifice suintant.
Je ne décelais quelconque souffrance sous la volumineuse pénétration digitale sur le visage de la branler. Alors que les trois doigts de la patronne, fouillèrent et explorèrent avec adresse son vagin bouillonnant, qui allait la mener au plaisir. Où après avoir bien jouit, Agnès se laissa tomber sur le lit, les joues rouges, les paupières closes, les gencives découvertes.
- Venez ! M’ordonna la patronne, les bras tendus.
Mes sens affamés par ce qui s’était dérouler sous mes yeux se firent soudain très pressantes, au point de ne pas refuser l‘invite qui m‘était offert. Un sourire gourmand étirait les lèvres de la patronne. Je bandais, je bandais même très dur. Elle fit aller et venir son doigt le long de mon sexe. Cela me fit frissonner. Et cela l’amusait, de voir mes réactions. Agnès à ses côtés restait écartelée, le souffle court, fascinée par ce qui se passait à seulement quelques centimètres d’elle. La coquine prenait son temps. Et moi, petit à petit, je m’abandonnais de plus en plus au plaisir qu’elle provoquait.
Elle s’arrêta néanmoins, pour sortir une langue pointue de sa bouche. Un frisson me parcourait des pieds à la tête, alors que je croisais son regard. Mélange de sérieux et de gourmandise. Elle lécha, à petits coups précis, d’abord la tige, puis plus haut. Je gémissais quand elle s’attarda sur le frein. Soudain la patronne arrêta de me sucer, m’emplissant d’une frustration presque douloureuse. Mais pas le temps de m’offusquer que déjà la bouche de sa sœur la remplaçait, tout aussi avide et experte. Laquelle s’était sans façon assise à côté de sa sœur dans le but évident de partager avec elle ma verge.
- Eh, dit, faut pas te gêner surtout ! Protesta la patronne, l’œil étincelant. C’est tout de même mon amant.
Agnès interrompit sa fellation gourmande pour tourna sa tête vers sa frangine, avec un petit sourire allumé, elle lâcha : - Et alors ?
Et ce fut avec un ensemble parfait, que les deux sœurs relevèrent la tête vers moi, m’interrogeant du regard.
- Qu’est-ce que vous en pensez ? Me firent-elles en cœur.
Sans prendre la peine de répondre, je pris un malin plaisir de Fixer mon regard sur les cuisses dénudées de ma patronne, puis celle d’Agnès. Jouissant du spectacle qu’elles m’offraient. Tout en me fixant, Agnès posa ses lèvres fiévreuses à la base du cou de sa sœur, qui émit un petit sifflement de satisfaction. Sans rien faire pour repousser sa frangine, tout au contraire, elles prirent la position.
De voir ces deux femmes s’enlacer, jambes ouvertes, ventre offert, poitrine palpitante, je sentais mes pudiques bonnes résolutions voler en éclats.
Assez pour me donner envie de m’agenouiller au pied du lit, un genou entre les jambes de ma patronne, l’autre entre celles d’Agnès. Les deux coquines s’embrassaient goulûment, tout en se caressant mutuellement les seins, sans s‘intéresser à moi. Pris d’envie, je plongeais mes lèvres dans la touffeur moite du buisson intime et flamboyant de ma patronne, et darda ma langue au centre de la corolle frémissante et nacrée.
Sous ma caresse, elle fit un brusque sursaut, et ses lèvres se dessoudèrent de celle d’Agnès. Rendu fou de désir par les fragrances lourdes qui émanaient de la fleur affolante que je butinais de nouveau, je n’arrivais pas à me dissuader de faire de même avec celle d’Agnès. En tout cas, pas avant d’avoir mener celle que je suçais de nouveau au plaisir. Ce qui se réalisa dans un temps très court. Et cela dans une longue plainte rauque, le corps totalement arqué sous le fouet du plaisir.
- Bon ! Fit Agnès, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Il est temps que tu t’occupes un peu de moi maintenant, tu ne crois pas ?
Elle releva pour ça ses genoux, afin d’exhiber son sexe en une invite très explicite. Comme téléguider, mes mains se saisirent des deux cuisses, qu’elles écartèrent pour permettre à ma bouche de se poser sur le fruit juteux. De deux doigts, j’ouvrai la voie pour y planter ma langue. Pendant ce temps là, la patronne ivre de désir, me chevaucha de nouveau. Entièrement empalée, elle commença son activité. Se balançant sur ma verge. Me la maintenant au chaud dans un four accueillant, humide, souple, aux contractions de velours.
Après avoir joui grâce à mon jeu de langue, Agnès sortit de nulle part un gode bouche, et me l’arrima. Après s’être assuré qu’il était bien fixé, elle grimpa sur le lit. Elle fit passer une de ses jambes au-dessus de moi, et tout en s’accroupissant, approcha son fruit mûr de ma figure. Jusqu‘à ce que sa vulve vienne délicatement se coller sur le bout du gode. Avec souplesse, dans un mouvement d’avant en arrière, et de haut en bas, la coquine fit disparaître toute la longueur du gode dans sa chatte.
Toutes deux étaient ainsi bien embrochés, et profitèrent de leur position pour pratiquer un bouche-à-bouche ardent. Mes mains s’emparèrent des seins de la patronne, les couvrirent de caresses. Leurs donnant l’affection et de l’amour. Mon érection atteignait son comble. Ma verge tressaillait dans la chaleur du ventre de ma patronne. À ne pas pouvoir résister à l’envie de m’épancher dans la chatte assoiffée de ma patronne. Que seul mon sperme la nourrissait, et cela depuis quelques mois déjà. Agnès quant à elle se branlait toujours sur le gode. Avec la ferme intention de se procurer un maximum de sensation. Ses yeux exprimaient l’infini plaisir qu’elle prenait.
Le souffle court, elle se cajolait le minou, tout en oscillant du bassin de bas en haut, de plus en plus fort, avec des mouvements plus amples. J’oubliais un temps ma patronne, pour me concentrer sur le plaisir de la frangine. Dont les ondulations de son bassin étaient de plus en plus fortes et appuyées.
Elle s’agrippa les seins des deux mains et se les torturait gentiment en étirant les tétons saillants. Elle haletait de plus en plus fort, ses gémissements se transformaient en cris. Elle se lâchait complètement. Comme si elle était seule. Elle poussait un cri. Pas un cri strident non, un petit cri du bout des lèvres, en soufflant tout l’air de ses poumons. Et surtout, en jouissant elle inondait mon visage, de sa jouissance. Et ça coulait ! Ça n’arrêtait pas ! Une vraie fontaine, une source de jouvence.
J’attendais qu’elle se calme, pour lui faire comprendre qu’il était temps pour moi qu’elle se retire. Avant que je finisse noyer. Seulement au moment où j’essayais de me libérer, elle resserrait les jambes pour garder prisonnier le gode avecun grognement de désapprobation.
Je comprenais qu’elle souhaitait prolonger un peu plus ce moment fabuleux, mais cela ne me semblait absolument pas raisonnable. En prenant bien soin de ne pas la brusquer, je l’invitais à se retirer. Elle me regardait, alors qu’un très beau sourire illuminait son visage.
Pendant qu’elle me fixait, je profitais pour retirer le gode. Et sans la lâcher des yeux, je le portais à mes lèvres. Le goût ! Un délice. Du miel. Si doux. Son sourire était encore plus grand, alors que ses yeux pétillaient de contentement en me voyant faire.
Puis elle se leva gracieusement, et cela tout en me fixant, avec ce même sourire sur son visage, elle alla très lentement rejoindre sa sœur dans sa salle de bain. Et elle ne prit pas la peine de fermer la porte. Dès fois que…offert, poitrine palpitante, je sentais mes pudiques bonnes résolutions voler en éclats.
Assez pour me donner envie de m’agenouiller au pied du lit, un genou entre les jambes de ma patronne, l’autre entre celles d’Agnès. Les deux coquines s’embrassaient goulûment, tout en se caressant mutuellement les seins, sans s‘intéresser à moi. Pris d’envie, je plongeais mes lèvres dans la touffeur moite du buisson intime et flamboyant de ma patronne, et darda ma langue au centre de la corolle frémissante et nacrée.
Sous ma caresse, elle fit un brusque sursaut, et ses lèvres se dessoudèrent de celle d’Agnès. Rendu fou de désir par les fragrances lourdes qui émanaient de la fleur affolante que je butinais de nouveau, je n’arrivais pas à me dissuader de faire de même avec celle d’Agnès. En tout cas, pas avant d’avoir mener celle que je suçais de nouveau au plaisir. Ce qui se réalisa dans un temps très court. Et cela dans une longue plainte rauque, le corps totalement arqué sous le fouet du plaisir.
- Bon ! Fit Agnès, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Il est temps que tu t’occupes un peu de moi maintenant, tu ne crois pas ?
Elle releva pour ça ses genoux, afin d’exhiber son sexe en une invite très explicite. Comme téléguider, mes mains se saisirent des deux cuisses, qu’elles écartèrent pour permettre à ma bouche de se poser sur le fruit juteux. De deux doigts, j’ouvrai la voie pour y planter ma langue. Pendant ce temps là, la patronne ivre de désir, me chevaucha de nouveau. Entièrement empalée, elle commença son activité. Se balançant sur ma verge. Me la maintenant au chaud dans un four accueillant, humide, souple, aux contractions de velours.
Après avoir joui grâce à mon jeu de langue, Agnès sortit de nulle part un gode bouche, et me l’arrima. Après s’être assuré qu’il était bien fixé, elle grimpa sur le lit. Elle fit passer une de ses jambes au-dessus de moi, et tout en s’accroupissant, approcha son fruit mûr de ma figure. Jusqu‘à ce que sa vulve vienne délicatement se coller sur le bout du gode. Avec souplesse, dans un mouvement d’avant en arrière, et de haut en bas, la coquine fit disparaître toute la longueur du gode dans sa chatte.
Toutes deux étaient ainsi bien embrochés, et profitèrent de leur position pour pratiquer un bouche-à-bouche ardent. Mes mains s’emparèrent des seins de la patronne, les couvrirent de caresses. Leurs donnant l’affection et de l’amour. Mon érection atteignait son comble. Ma verge tressaillait dans la chaleur du ventre de ma patronne. À ne pas pouvoir résister à l’envie de m’épancher dans la chatte assoiffée de ma patronne. Que seul mon sperme la nourrissait, et cela depuis quelques mois déjà. Agnès quant à elle se branlait toujours sur le gode. Avec la ferme intention de se procurer un maximum de sensation. Ses yeux exprimaient l’infini plaisir qu’elle prenait.
Le souffle court, elle se cajolait le minou, tout en oscillant du bassin de bas en haut, de plus en plus fort, avec des mouvements plus amples. J’oubliais un temps ma patronne, pour me concentrer sur le plaisir de la frangine. Dont les ondulations de son bassin étaient de plus en plus fortes et appuyées.
Elle s’agrippa les seins des deux mains et se les torturait gentiment en étirant les tétons saillants. Elle haletait de plus en plus fort, ses gémissements se transformaient en cris. Elle se lâchait complètement. Comme si elle était seule. Elle poussait un cri. Pas un cri strident non, un petit cri du bout des lèvres, en soufflant tout l’air de ses poumons. Et surtout, en jouissant elle inondait mon visage, de sa jouissance. Et ça coulait ! Ça n’arrêtait pas ! Une vraie fontaine, une source de jouvence.
J’attendais qu’elle se calme, pour lui faire comprendre qu’il était temps pour moi qu’elle se retire. Avant que je finisse noyer. Seulement au moment où j’essayais de me libérer, elle resserrait les jambes pour garder prisonnier le gode avec un grognement de désapprobation.
Je comprenais qu’elle souhaitait prolonger un peu plus ce moment fabuleux, mais cela ne me semblait absolument pas raisonnable. En prenant bien soin de ne pas la brusquer, je l’invitais à se retirer. Elle me regardait, alors qu’un très beau sourire illuminait son visage.
Pendant qu’elle me fixait, je profitais pour retirer le gode. Et sans la lâcher des yeux, je le portais à mes lèvres. Le goût ! Un délice. Du miel. Si doux. Son sourire était encore plus grand, alors que ses yeux pétillaient de contentement en me voyant faire.
Puis elle se leva gracieusement, et cela tout en me fixant, avec ce même sourire sur son visage, elle alla très lentement rejoindre sa sœur dans sa salle de bain. Et elle ne prit pas la peine de fermer la porte. Dès fois que…
- Veuillez entrer Alain. Me fit-elle, en espaçant l’intervalle de ses deux jambes avec un petit air malicieux. J‘avais alors vu sur une belle culotte blanche. Y’avait pas à dire, elle était vraiment du genre très libertine ma patronne, et cela n’était pas pour me déplaire. Tout au contraire, j’étais même triste quand elle quittait le domaine, mais aussi très heureux à savoir qu’elle venait y passer le week-end. Sachant qu’à tout moment il y allait se passer quelque chose entre elle et moi.
- Fermez la porte s’il vous plaît ! Fit-elle. À clé, précisa-t-elle.
Ceci fait, elle me priait d’approcher jusqu‘à elle.
- J’espère que vous n’aviez rien de prévu pour cette nuit, Alain ? Fit-elle, un sourire coquin aux lèvres.
- Non madame.
- Bien ! Très bien même. Alors apportez moi mon peau de chambre, voulez-vous.
- Avec plaisir madame… Augurant parfaitement ce qu’elle avait en tête. Et encore plus quand elle me le fit poser entre ses jambes, alors qu’elle avait quitté le lit.
Mais alors que je m’apprêtais à m’éloigner, elle m’ordonna de ne pas bouger. Et là en me fixant droit dans les yeux, elle passa les mains sous son peignoir, et avec un naturel ahurissant que seul une femme comme elle pouvait avoir, elle le rabattit sur son ventre. Dans le même mouvement je vis ses mains agripper l’élastique de sa culotte blanche et, elle la fit glisser vers le bas. D’un gracieux mouvement de jambes, elle ôta son sous-vêtement, qu‘elle garda dans sa main.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, dit-elle en s’accroupissant au-dessus du pot de chambre.
Le spectacle était d’une saisissante obscène. Comme toujours avec elle. Bandant à souhait. Entre les jambes écartées, mon regard s’attarda sur sa chatte aux lèvres dodues, qui bâillait comme un fruit éclaté. Que sa position faisait pointer les nymphes rougeâtres, ainsi que le clitoris dardé.
Je fus témoin de la palpitation de son anus, ainsi que sa crispation à l’instant où quelques gouttes s’échappait du méat. Elle se mit à pousser, et un jet puissant fouetta le fond du récipient.
- Cela ne vous ennuie pas au moins, Alain ? De rester là à regarder une vieille femme se soulager.
- Comme madame le sait, je suis friand de ce genre de spectacle.
- Vous m’en voyez alors ravie, mon cher. Mais dîtes moi Alain, comme nous avons un petit moment pour nous, je voulais savoir si l’augmentation avait été conséquente ?
- Oui et j’en remercie Madame.
- Bien… vous m’en voyez soulager… me fit-elle alors que la miction me semblait ne jamais finir.
J’étais un peu près certain que la coquine avait avalé un litre d’eau juste pour avoir le plaisir de pisser longuement devant moi.
Ce n’était pas la première fois que je voyais ainsi, en gros plan, une femme pisser. Et chaque fois cela me faisait autant d’effets.
Comme tout à une fin, malheureusement pour moi la source se tarit. Elle propulsa quelques jets et attendit que les dernières gouttes dorées s’écoulèrent entre ses lèvres enflées, avant de se redresser. Un frisson traversa mes reins alors qu’elle désertait sa place.
- Vous êtes Alain des plus spéciaux. Une espèce de dégoûtant ! Voyeur et pervers ! Me lança-t-elle, se déplaçant pour rejoindre son lit, d’une démarche provocante.
- Je me trompe Alain ? Ajouta-t-elle en pivotant sur elle-même. Et voyant que je n’étais pas derrière elle ajouta : - Mais approchez donc.
Elle attendit que je fasse les quelques pas qui me séparer d’elle pour me tendre son bras pour approcher la culotte qu’elle tenait toujours en main tout près de mon visage. Elle me dit alors, sur un ton amusé : - Ça doit sentir la cochonne ? Non Alain, je compte sur vous pour être honnête avec moi ? Et tout me dire… - Effectivement madame, je dirai qui exhale de votre belle petite culotte des senteurs assommantes.
- J’en étais certaine. Comme vous pouvez le percevoir, je connais parfaitement vos goûts de pervers. Lança-t-elle en me donnant sa culotte.
Me laissant en tête à tête avec sa lingerie alors qu’elle profitait de cet instant pour retirer tout ce qui la gêner sur ma personne, et pouvoir ainsi en toute liberté me tripoter la verge. Plus que jamais j’avais envie d’elle. Elle s’agenouilla, et enfouit en toute familiarité sa tête entre mes fesses. Elle me lécha l’anus tout en me branlant la verge. Peu à peu le plaisir m’envahit. Et comme elle était une parfaite experte en la matière, elle jugea qu’il était préférable de s’arrêter là. Elle se leva d’un bloc et tout en se passant la langue sur ses lèvres, elle se laissa tomber sur son lit, où elle se renversa sur le dos, les cuisses largement ouvertes.
Prenant cela pour une invite, j’enfouis ma tête entre ses jambes et je la léchais. Glissant le bout de ma langue dans les replis humides qu’avait cultivé son excitation. Une forte odeur s’en dégageait. Un mélange exquis que seul un sexe de femme peut offrir.
Elle se cambra afin de mieux soumettre sa chatte ruisselante au sensuel léchage que je lui prodiguais. Véritable femelle en rut, elle clama haut et fort son plaisir dans un langage que je formulerai imager : - C’est trop bon votre langue dans mon con !... Oh oui ! Avalez mon foutre !… Régalez-vous, nourrissez-vous… Oh non ! Vous me faites pisser de plaisir... Buvez, buvez ceci est ma source… Je la mâchonnais. Il s’en dégageait encore et toujours une odeur marine. Je lui prodiguais l'hommage qu‘elle méritait. Je m’acharnais
sur son clitoris. Son ventre fut agité de spasmes violents et mon visage éclaboussait d’éjaculations. J’attendais qu’elle soit à bout, pour recracher son bouton. Jouissant de sa récupération, je lui relevais ses jambes. Et approchais ma bouche du petit trou du cul. J’aimais beaucoup l'odeur poivrée qui s’en dégager. Je ne pus me retenir d’y passer une langue. Avalant les petites boulettes brunes mal essuyées d'un précédent passage aux toilettes. Comme la zone était très sensible, cela provoqua chez elle quelques gémissements de volupté. M’encourageant à faire durer l'action un peu plus que nécessaire.
Ce fut elle qui me donna le signal de tout cesser. Préférant d’assouvir immédiatement son besoin d‘être remplie. Les jambes largement écartées afin de me chevaucher. Lançant sa main en direction de mon bas-ventre. Elle s’empara de ma verge dressée qu’elle maintenait verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsqu’elle sentit mon gland au contact de ses grandes lèvres sexuelles, elle se laissa tomber de tout son poids, s’empalant profondément sur mon pieu de chair, dans un long râle de bonheur.
Je percevais avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de ma verge gonflée. Comme si mon membre se trouvait plongé dans un pot de miel. Un étrange bien-être sexuel m’envahit, accentuait par la patronne qui, impatiente d’être labourée, commença à agiter son popotin rebondie. Ahanant, elle entama une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée, le long du membre viril prisonnier. Elle me fixait d’un regard émerveillé, les lèvres entrouvertes laissant échapper un doux gémissement de plaisir.
Je portais mon regard sur sa toison. Une fourrure crépue qui se mêlait à mes propres poils pubiens, chaque fois qu’elle se laissait retomber sur mes cuisses pour s’empaler avec une rage hystérique.
Après un moment passé à admirer ma verge apparaître et disparaître de son antre, je m’intéressais à sa danse érotique. Celle-là même qui faisaient sautiller ses seins sous l‘assaut. J’avançais mes mains pour les saisir, les empaumant délicatement. Les pressant fiévreusement. Frottant les mamelons gonflés de désir contre mes paumes. Agaçant les tétons fort érigeaient par l‘excitation.
Elle arqua ses reins afin de mieux m’offrir sa poitrine, tout en activant la cadence de sa chevauchée. S’empalant sur le pieu de chair avec de plus en plus de frénésies. Incapable de contenir ses émotions, elle laissa échapper ses cris de jouissance qui résonnèrent dans la pièce. Parfaite écuyère sensuelle, elle agita fiévreusement sa croupe nerveuse à la recherche de son plaisir. Il s’élevait de sa chatte furieusement barattée, un affolant bruit de clapotis. Comme je sentais aussi un chaud liquide s’infiltrer entre mes jambes et me tremper les couilles. Ivre de volupté, ma verge plongée dans un magma incandescent, je compris que si elle ne ralentissait pas son allure, je ne pourrais contenir longtemps le plaisir que je sentais monter de mes entrailles.
- Oh oui !... Je pars !... Grogna-t-elle à mon attention… Oh, putain que c’est bon !... Oh, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre… C’est trop bon !... Oui !... Ça vient… Oh, non, je vais jouir !...
À chacun de ses assauts je sentais que je touchais bien le fond de son sexe. Je me saisissais des deux mains ses fesses. Que je mis un plaisir à malaxer, les écarter pendant que mes testicules se vidaient au plus profond de son ventre Une fois sorti de ses entailles, la patronne assista fortement pour que j’aille me rendre jusqu’à la salle de bains pour faire une petite toilette réparatrice. Que fut ma surprise en ouvrant la porte de tomber nez à nez avec Agnès.
La coquine jouait les voyeuses à présent.
- Eh bien ! me fit-elle, quel excitant spectacle. Mieux qu’un film porno !
Elle portait une guêpière toute de dentelles de satin noir. Les bonnets ne couvraient que le dessous des seins. Quant au slip assorti, moulait à la perfection les renflées de son sexe. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon était là comme pour attester le plaisir qu‘elle avait pris à nous espionner. Avant que j’aie eu le temps de mieux la scruter, je fus entraîner de nouveau à l’intérieur de la chambre.
- Eh bien, cela me rappelle le bon vieux temps ! Quand tu gémissais sous les feux de ma langue, frangine. Fit-Agnès, en se contorsionnant pour dégrafer sa guêpière. À se demander pourquoi elle se l’était passer. Libérant ainsi, ses seins moites de sueur qui, privés de leur soutien, s’affaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, qu’elle repoussa sur ses cuisses et le long de ses jambes, et cela jusqu’au parquet.
Et sans perdre un seul instant elle alla rejoindre sa sœur sur le lit, s’allongea à ses côtés. Avant de l’embrasser à pleine bouche. L’esprit complètement embrumé par ce qui ce dérouler devant moi, je m’avançait à mon tour jusqu’au lit pour être au plus près de l‘action. Là, ma propre patronne, me fit part, qu’elle et Agnès avaient eu jadis des aventures, qu‘elle qualifia de très spéciaux. Cela me donna des frissons Sur le lit on aurait dit qu’elles étaient ivres toutes les deux tant leurs comportements étaient des plus insolites. Agissant comme si je n‘étais pas là. Ce fut Agnès qui fit les premiers gestes qui me laissèrent bouche bée. Elle commença par pétrir ses seins, puis elle glissa ses mains lentement le long de son corps jusqu’à son pubis. La patronne la regardait, complètement figée, alors que la frangine ouvrait sa vulve avec ses doigts, dont je pouvais entrevoir de ma hauteur, la chair crue d’où suintait une source de sécrétion brûlante. Elle posa sa main droite sur son ventre rond, qu’elle glissait lentement jusqu’à ça fissure. Enfonçant deux doigts dans sa tirelire. Là, elle fit onduler le bassin tout en continuant à branler son vagin. Puis comme prise d’un désir soudain, elle retira sa main d’entre ses cuisses, pour porter ses doigts maculés à sa bouche elle les lécha avec gourmandise, recueillant avec sa langue ses propres sécrétions. Après la dégustation Agnès rompit le silence, en laissant échapper : - Alors tu veux ? dit-elle, en s’adressant à sa sœur, d’une voix soudain devenue grave par l‘excitation, toujours immobile. Tu te souviens de la dernière fois.
- Oui je me souviens très bien…, répondit sans façon la patronne.
- Cela te dirait de remettre ça ?
- Juste pour notre invité ?
- Pour lui, mais aussi pour nous… Et là tout se déchaîna. Chacune, mit la main entre les cuisses de l’autre. C’était comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Ce fut Agnès de réagir la première, soulevant son pubis d’une façon saccadé, esquissant les mouvements d’un coït, tout en secouant la tête, encourageant sa sœur à la fouiller plus profondément dans un long râle de plaisir : - Oh oui ! Continue !… Plus loin !… Encouragée par les plaintes lascives qu’Agnès émettait, la patronne accéléra alors le mouvement de va-et-vient de son index et majeur accolés à l’intérieur de la chatte emplie de jus vaginal brûlant. Agnès tressaillit de plus belle sous la vivace masturbation dont elle était l’objet. Surtout que la sœur y joignait son annulaire. Même si ce dernier força quelque peu pour pénétrer dans caverne sexuelle, dilatant un peu plus l’orifice suintant.
Je ne décelais quelconque souffrance sous la volumineuse pénétration digitale sur le visage de la branler. Alors que les trois doigts de la patronne, fouillèrent et explorèrent avec adresse son vagin bouillonnant, qui allait la mener au plaisir. Où après avoir bien jouit, Agnès se laissa tomber sur le lit, les joues rouges, les paupières closes, les gencives découvertes.
- Venez ! M’ordonna la patronne, les bras tendus.
Mes sens affamés par ce qui s’était dérouler sous mes yeux se firent soudain très pressantes, au point de ne pas refuser l‘invite qui m‘était offert. Un sourire gourmand étirait les lèvres de la patronne. Je bandais, je bandais même très dur. Elle fit aller et venir son doigt le long de mon sexe. Cela me fit frissonner. Et cela l’amusait, de voir mes réactions. Agnès à ses côtés restait écartelée, le souffle court, fascinée par ce qui se passait à seulement quelques centimètres d’elle. La coquine prenait son temps. Et moi, petit à petit, je m’abandonnais de plus en plus au plaisir qu’elle provoquait.
Elle s’arrêta néanmoins, pour sortir une langue pointue de sa bouche. Un frisson me parcourait des pieds à la tête, alors que je croisais son regard. Mélange de sérieux et de gourmandise. Elle lécha, à petits coups précis, d’abord la tige, puis plus haut. Je gémissais quand elle s’attarda sur le frein. Soudain la patronne arrêta de me sucer, m’emplissant d’une frustration presque douloureuse. Mais pas le temps de m’offusquer que déjà la bouche de sa sœur la remplaçait, tout aussi avide et experte. Laquelle s’était sans façon assise à côté de sa sœur dans le but évident de partager avec elle ma verge.
- Eh, dit, faut pas te gêner surtout ! Protesta la patronne, l’œil étincelant. C’est tout de même mon amant.
Agnès interrompit sa fellation gourmande pour tourna sa tête vers sa frangine, avec un petit sourire allumé, elle lâcha : - Et alors ?
Et ce fut avec un ensemble parfait, que les deux sœurs relevèrent la tête vers moi, m’interrogeant du regard.
- Qu’est-ce que vous en pensez ? Me firent-elles en cœur.
Sans prendre la peine de répondre, je pris un malin plaisir de Fixer mon regard sur les cuisses dénudées de ma patronne, puis celle d’Agnès. Jouissant du spectacle qu’elles m’offraient. Tout en me fixant, Agnès posa ses lèvres fiévreuses à la base du cou de sa sœur, qui émit un petit sifflement de satisfaction. Sans rien faire pour repousser sa frangine, tout au contraire, elles prirent la position.
De voir ces deux femmes s’enlacer, jambes ouvertes, ventre La patronne m’avait fait savoir qu’elle désirait que je vienne jusqu’à sa chambre. Elle me reçu- allonger sur son lit.
- Veuillez entrer Alain. Me fit-elle, en espaçant l’intervalle de ses deux jambes avec un petit air malicieux. J‘avais alors vu sur une belle culotte blanche. Y’avait pas à dire, elle était vraiment du genre très libertine ma patronne, et cela n’était pas pour me déplaire. Tout au contraire, j’étais même triste quand elle quittait le domaine, mais aussi très heureux à savoir qu’elle venait y passer le week-end. Sachant qu’à tout moment il y allait se passer quelque chose entre elle et moi.
- Fermez la porte s’il vous plaît ! Fit-elle. À clé, précisa-t-elle.
Ceci fait, elle me priait d’approcher jusqu‘à elle.
- J’espère que vous n’aviez rien de prévu pour cette nuit, Alain ? Fit-elle, un sourire coquin aux lèvres.
- Non madame.
- Bien ! Très bien même. Alors apportez moi mon peau de chambre, voulez-vous.
- Avec plaisir madame… Augurant parfaitement ce qu’elle avait en tête. Et encore plus quand elle me le fit poser entre ses jambes, alors qu’elle avait quitté le lit.
Mais alors que je m’apprêtais à m’éloigner, elle m’ordonna de ne pas bouger. Et là en me fixant droit dans les yeux, elle passa les mains sous son peignoir, et avec un naturel ahurissant que seul une femme comme elle pouvait avoir, elle le rabattit sur son ventre. Dans le même mouvement je vis ses mains agripper l’élastique de sa culotte blanche et, elle la fit glisser vers le bas. D’un gracieux mouvement de jambes, elle ôta son sous-vêtement, qu‘elle garda dans sa main.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, dit-elle en s’accroupissant au-dessus du pot de chambre.
Le spectacle était d’une saisissante obscène. Comme toujours avec elle. Bandant à souhait. Entre les jambes écartées, mon regard s’attarda sur sa chatte aux lèvres dodues, qui bâillait comme un fruit éclaté. Que sa position faisait pointer les nymphes rougeâtres, ainsi que le clitoris dardé.
Je fus témoin de la palpitation de son anus, ainsi que sa crispation à l’instant où quelques gouttes s’échappait du méat. Elle se mit à pousser, et un jet puissant fouetta le fond du récipient.
- Cela ne vous ennuie pas au moins, Alain ? De rester là à regarder une vieille femme se soulager.
- Comme madame le sait, je suis friand de ce genre de spectacle.
- Vous m’en voyez alors ravie, mon cher. Mais dîtes moi Alain, comme nous avons un petit moment pour nous, je voulais savoir si l’augmentation avait été conséquente ?
- Oui et j’en remercie Madame.
- Bien… vous m’en voyez soulager… me fit-elle alors que la miction me semblait ne jamais finir.
J’étais un peu près certain que la coquine avait avalé un litre d’eau juste pour avoir le plaisir de pisser longuement devant moi.
Ce n’était pas la première fois que je voyais ainsi, en gros plan, une femme pisser. Et chaque fois cela me faisait autant d’effets.
Comme tout à une fin, malheureusement pour moi la source se tarit. Elle propulsa quelques jets et attendit que les dernières gouttes dorées s’écoulèrent entre ses lèvres enflées, avant de se redresser. Un frisson traversa mes reins alors qu’elle désertait sa place.
- Vous êtes Alain des plus spéciaux. Une espèce de dégoûtant ! Voyeur et pervers ! Me lança-t-elle, se déplaçant pour rejoindre son lit, d’une démarche provocante.
- Je me trompe Alain ? Ajouta-t-elle en pivotant sur elle-même. Et voyant que je n’étais pas derrière elle ajouta : - Mais approchez donc.
Elle attendit que je fasse les quelques pas qui me séparer d’elle pour me tendre son bras pour approcher la culotte qu’elle tenait toujours en main tout près de mon visage. Elle me dit alors, sur un ton amusé : - Ça doit sentir la cochonne ? Non Alain, je compte sur vous pour être honnête avec moi ? Et tout me dire… - Effectivement madame, je dirai qui exhale de votre belle petite culotte des senteurs assommantes.
- J’en étais certaine. Comme vous pouvez le percevoir, je connais parfaitement vos goûts de pervers. Lança-t-elle en me donnant sa culotte.
Me laissant en tête à tête avec sa lingerie alors qu’elle profitait de cet instant pour retirer tout ce qui la gêner sur ma personne, et pouvoir ainsi en toute liberté me tripoter la verge. Plus que jamais j’avais envie d’elle. Elle s’agenouilla, et enfouit en toute familiarité sa tête entre mes fesses. Elle me lécha l’anus tout en me branlant la verge. Peu à peu le plaisir m’envahit. Et comme elle était une parfaite experte en la matière, elle jugea qu’il était préférable de s’arrêter là. Elle se leva d’un bloc et tout en se passant la langue sur ses lèvres, elle se laissa tomber sur son lit, où elle se renversa sur le dos, les cuisses largement ouvertes.
Prenant cela pour une invite, j’enfouis ma tête entre ses jambes et je la léchais. Glissant le bout de ma langue dans les replis humides qu’avait cultivé son excitation. Une forte odeur s’en dégageait. Un mélange exquis que seul un sexe de femme peut offrir.
Elle se cambra afin de mieux soumettre sa chatte ruisselante au sensuel léchage que je lui prodiguais. Véritable femelle en rut, elle clama haut et fort son plaisir dans un langage que je formulerai imager : - C’est trop bon votre langue dans mon con !... Oh oui ! Avalez mon foutre !… Régalez-vous, nourrissez-vous… Oh non ! Vous me faites pisser de plaisir... Buvez, buvez ceci est ma source… Je la mâchonnais. Il s’en dégageait encore et toujours une odeur marine. Je lui prodiguais l'hommage qu‘elle méritait. Je m’acharnais sur son clitoris. Son ventre fut agité de spasmes violents et mon visage éclaboussait d’éjaculations. J’attendais qu’elle soit à bout, pour recracher son bouton. Jouissant de sa récupération, je lui relevais ses jambes. Et approchais ma bouche du petit trou du cul. J’aimais beaucoup l'odeur poivrée qui s’en dégager. Je ne pus me retenir d’y passer une langue. Avalant les petites boulettes brunes mal essuyées d'un précédent passage aux toilettes. Comme la zone était très sensible, cela provoqua chez elle quelques gémissements de volupté. M’encourageant à faire durer l'action un peu plus que nécessaire.
Ce fut elle qui me donna le signal de tout cesser. Préférant d’assouvir immédiatement son besoin d‘être remplie. Les jambes largement écartées afin de me chevaucher. Lançant sa main en direction de mon bas-ventre. Elle s’empara de ma verge dressée qu’elle maintenait verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsqu’elle sentit mon gland au contact de ses grandes lèvres sexuelles, elle se laissa tomber de tout son poids, s’empalant profondément sur mon pieu de chair, dans un long râle de bonheur.
Je percevais avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de ma verge gonflée. Comme si mon membre se trouvait plongé dans un pot de miel. Un étrange bien-être sexuel m’envahit, accentuait par la patronne qui, impatiente d’être labourée, commença à agiter son popotin rebondie. Ahanant, elle entama une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée, le long du membre viril prisonnier. Elle me fixait d’un regard émerveillé, les lèvres entrouvertes laissant échapper un doux gémissement de plaisir.
Je portais mon regard sur sa toison. Une fourrure crépue qui se mêlait à mes propres poils pubiens, chaque fois qu’elle se laissait retomber sur mes cuisses pour s’empaler avec une rage hystérique.
Après un moment passé à admirer ma verge apparaître et disparaître de son antre, je m’intéressais à sa danse érotique. Celle-là même qui faisaient sautiller ses seins sous l‘assaut. J’avançais mes mains pour les saisir, les empaumant délicatement. Les pressant fiévreusement. Frottant les mamelons gonflés de désir contre mes paumes. Agaçant les tétons fort érigeaient par l‘excitation.
Elle arqua ses reins afin de mieux m’offrir sa poitrine, tout en activant la cadence de sa chevauchée. S’empalant sur le pieu de chair avec de plus en plus de frénésies. Incapable de contenir ses émotions, elle laissa échapper ses cris de jouissance qui résonnèrent dans la pièce. Parfaite écuyère sensuelle, elle agita fiévreusement sa croupe nerveuse à la recherche de son plaisir. Il s’élevait de sa chatte furieusement barattée, un affolant bruit de clapotis. Comme je sentais aussi un chaud liquide s’infiltrer entre mes jambes et me tremper les couilles. Ivre de volupté, ma verge plongée dans un magma incandescent, je compris que si elle ne ralentissait pas son allure, je ne pourrais contenir longtemps le plaisir que je sentais monter de mes entrailles.
- Oh oui !... Je pars !... Grogna-t-elle à mon attention… Oh, putain que c’est bon !... Oh, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre… C’est trop bon !... Oui !... Ça vient… Oh, non, je vais jouir !...
À chacun de ses assauts je sentais que je touchais bien le fond de son sexe. Je me saisissais des deux mains ses fesses. Que je mis un plaisir à malaxer, les écarter pendant que mes testicules se vidaient au plus profond de son ventre Une fois sorti de ses entailles, la patronne assista fortement pour que j’aille me rendre jusqu’à la salle de bains pour faire une petite toilette réparatrice. Que fut ma surprise en ouvrant la porte de tomber nez à nez avec Agnès.
La coquine jouait les voyeuses à présent.
- Eh bien ! me fit-elle, quel excitant spectacle. Mieux qu’un film porno !
Elle portait une guêpière toute de dentelles de satin noir. Les bonnets ne couvraient que le dessous des seins. Quant au slip assorti, moulait à la perfection les renflées de son sexe. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon était là comme pour attester le plaisir qu‘elle avait pris à nous espionner. Avant que j’aie eu le temps de mieux la scruter, je fus entraîner de nouveau à l’intérieur de la chambre.
- Eh bien, cela me rappelle le bon vieux temps ! Quand tu gémissais sous les feux de ma langue, frangine. Fit-Agnès, en se contorsionnant pour dégrafer sa guêpière. À se demander pourquoi elle se l’était passer. Libérant ainsi, ses seins moites de sueur qui, privés de leur soutien, s’affaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, qu’elle repoussa sur ses cuisses et le long de ses jambes, et cela jusqu’au parquet.
Et sans perdre un seul instant elle alla rejoindre sa sœur sur le lit, s’allongea à ses côtés. Avant de l’embrasser à pleine bouche. L’esprit complètement embrumé par ce qui ce dérouler devant moi, je m’avançait à mon tour jusqu’au lit pour être au plus près de l‘action. Là, ma propre patronne, me fit part, qu’elle et Agnès avaient eu jadis des aventures, qu‘elle qualifia de très spéciaux. Cela me donna des frissons Sur le lit on aurait dit qu’elles étaient ivres toutes les deux tant leurs comportements étaient des plus insolites. Agissant comme si je n‘étais pas là. Ce fut Agnès qui fit les premiers gestes qui me laissèrent bouche bée. Elle commença par pétrir ses seins, puis elle glissa ses mains lentement le long de son corps jusqu’à son pubis. La patronne la regardait, complètement figée, alors que la frangine ouvrait sa vulve avec ses doigts, dont je pouvais entrevoir de ma hauteur, la chair crue d’où suintait une source de sécrétion brûlante. Elle posa sa main droite sur son ventre rond, qu’elle glissait lentement jusqu’à ça fissure. Enfonçant deux doigts dans sa tirelire. Là, elle fit onduler le bassin tout en continuant à branler son vagin. Puis comme prise d’un désir soudain, elle retira sa main d’entre ses cuisses, pour porter ses doigts maculés à sa bouche elle les lécha avec gourmandise, recueillant avec sa langue ses propres sécrétions. Après la dégustation Agnès rompit le silence, en laissant échapper : - Alors tu veux ? dit-elle, en s’adressant à sa sœur, d’une voix soudain devenue grave par l‘excitation, toujours immobile. Tu te souviens de la dernière fois.
- Oui je me souviens très bien…, répondit sans façon la patronne.
- Cela te dirait de remettre ça ?
- Juste pour notre invité ?
- Pour lui, mais aussi pour nous… Et là tout se déchaîna. Chacune, mit la main entre les cuisses de l’autre. C’était comme un ballet léger, un frémissement de phalanges, un tourbillon serré, précis. Ce fut Agnès de réagir la première, soulevant son pubis d’une façon saccadé, esquissant les mouvements d’un coït, tout en secouant la tête, encourageant sa sœur à la fouiller plus profondément dans un long râle de plaisir : - Oh oui ! Continue !… Plus loin !… Encouragée par les plaintes lascives qu’Agnès émettait, la patronne accéléra alors le mouvement de va-et-vient de son index et majeur accolés à l’intérieur de la chatte emplie de jus vaginal brûlant. Agnès tressaillit de plus belle sous la vivace masturbation dont elle était l’objet. Surtout que la sœur y joignait son annulaire. Même si ce dernier força quelque peu pour pénétrer dans caverne sexuelle, dilatant un peu plus l’orifice suintant.
Je ne décelais quelconque souffrance sous la volumineuse pénétration digitale sur le visage de la branler. Alors que les trois doigts de la patronne, fouillèrent et explorèrent avec adresse son vagin bouillonnant, qui allait la mener au plaisir. Où après avoir bien jouit, Agnès se laissa tomber sur le lit, les joues rouges, les paupières closes, les gencives découvertes.
- Venez ! M’ordonna la patronne, les bras tendus.
Mes sens affamés par ce qui s’était dérouler sous mes yeux se firent soudain très pressantes, au point de ne pas refuser l‘invite qui m‘était offert. Un sourire gourmand étirait les lèvres de la patronne. Je bandais, je bandais même très dur. Elle fit aller et venir son doigt le long de mon sexe. Cela me fit frissonner. Et cela l’amusait, de voir mes réactions. Agnès à ses côtés restait écartelée, le souffle court, fascinée par ce qui se passait à seulement quelques centimètres d’elle. La coquine prenait son temps. Et moi, petit à petit, je m’abandonnais de plus en plus au plaisir qu’elle provoquait.
Elle s’arrêta néanmoins, pour sortir une langue pointue de sa bouche. Un frisson me parcourait des pieds à la tête, alors que je croisais son regard. Mélange de sérieux et de gourmandise. Elle lécha, à petits coups précis, d’abord la tige, puis plus haut. Je gémissais quand elle s’attarda sur le frein. Soudain la patronne arrêta de me sucer, m’emplissant d’une frustration presque douloureuse. Mais pas le temps de m’offusquer que déjà la bouche de sa sœur la remplaçait, tout aussi avide et experte. Laquelle s’était sans façon assise à côté de sa sœur dans le but évident de partager avec elle ma verge.
- Eh, dit, faut pas te gêner surtout ! Protesta la patronne, l’œil étincelant. C’est tout de même mon amant.
Agnès interrompit sa fellation gourmande pour tourna sa tête vers sa frangine, avec un petit sourire allumé, elle lâcha : - Et alors ?
Et ce fut avec un ensemble parfait, que les deux sœurs relevèrent la tête vers moi, m’interrogeant du regard.
- Qu’est-ce que vous en pensez ? Me firent-elles en cœur.
Sans prendre la peine de répondre, je pris un malin plaisir de Fixer mon regard sur les cuisses dénudées de ma patronne, puis celle d’Agnès. Jouissant du spectacle qu’elles m’offraient. Tout en me fixant, Agnès posa ses lèvres fiévreuses à la base du cou de sa sœur, qui émit un petit sifflement de satisfaction. Sans rien faire pour repousser sa frangine, tout au contraire, elles prirent la position.
De voir ces deux femmes s’enlacer, jambes ouvertes, ventre offert, poitrine palpitante, je sentais mes pudiques bonnes résolutions voler en éclats.
Assez pour me donner envie de m’agenouiller au pied du lit, un genou entre les jambes de ma patronne, l’autre entre celles d’Agnès. Les deux coquines s’embrassaient goulûment, tout en se caressant mutuellement les seins, sans s‘intéresser à moi. Pris d’envie, je plongeais mes lèvres dans la touffeur moite du buisson intime et flamboyant de ma patronne, et darda ma langue au centre de la corolle frémissante et nacrée.
Sous ma caresse, elle fit un brusque sursaut, et ses lèvres se dessoudèrent de celle d’Agnès. Rendu fou de désir par les fragrances lourdes qui émanaient de la fleur affolante que je butinais de nouveau, je n’arrivais pas à me dissuader de faire de même avec celle d’Agnès. En tout cas, pas avant d’avoir mener celle que je suçais de nouveau au plaisir. Ce qui se réalisa dans un temps très court. Et cela dans une longue plainte rauque, le corps totalement arqué sous le fouet du plaisir.
- Bon ! Fit Agnès, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Il est temps que tu t’occupes un peu de moi maintenant, tu ne crois pas ?
Elle releva pour ça ses genoux, afin d’exhiber son sexe en une invite très explicite. Comme téléguider, mes mains se saisirent des deux cuisses, qu’elles écartèrent pour permettre à ma bouche de se poser sur le fruit juteux. De deux doigts, j’ouvrai la voie pour y planter ma langue. Pendant ce temps là, la patronne ivre de désir, me chevaucha de nouveau. Entièrement empalée, elle commença son activité. Se balançant sur ma verge. Me la maintenant au chaud dans un four accueillant, humide, souple, aux contractions de velours.
Après avoir joui grâce à mon jeu de langue, Agnès sortit de nulle part un gode bouche, et me l’arrima. Après s’être assuré qu’il était bien fixé, elle grimpa sur le lit. Elle fit passer une de ses jambes au-dessus de moi, et tout en s’accroupissant, approcha son fruit mûr de ma figure. Jusqu‘à ce que sa vulve vienne délicatement se coller sur le bout du gode. Avec souplesse, dans un mouvement d’avant en arrière, et de haut en bas, la coquine fit disparaître toute la longueur du gode dans sa chatte.
Toutes deux étaient ainsi bien embrochés, et profitèrent de leur position pour pratiquer un bouche-à-bouche ardent. Mes mains s’emparèrent des seins de la patronne, les couvrirent de caresses. Leurs donnant l’affection et de l’amour. Mon érection atteignait son comble. Ma verge tressaillait dans la chaleur du ventre de ma patronne. À ne pas pouvoir résister à l’envie de m’épancher dans la chatte assoiffée de ma patronne. Que seul mon sperme la nourrissait, et cela depuis quelques mois déjà. Agnès quant à elle se branlait toujours sur le gode. Avec la ferme intention de se procurer un maximum de sensation. Ses yeux exprimaient l’infini plaisir qu’elle prenait.
Le souffle court, elle se cajolait le minou, tout en oscillant du bassin de bas en haut, de plus en plus fort, avec des mouvements plus amples. J’oubliais un temps ma patronne, pour me concentrer sur le plaisir de la frangine. Dont les ondulations de son bassin étaient de plus en plus fortes et appuyées.
Elle s’agrippa les seins des deux mains et se les torturait gentiment en étirant les tétons saillants. Elle haletait de plus en plus fort, ses gémissements se transformaient en cris. Elle se lâchait complètement. Comme si elle était seule. Elle poussait un cri. Pas un cri strident non, un petit cri du bout des lèvres, en soufflant tout l’air de ses poumons. Et surtout, en jouissant elle inondait mon visage, de sa jouissance. Et ça coulait ! Ça n’arrêtait pas ! Une vraie fontaine, une source de jouvence.
J’attendais qu’elle se calme, pour lui faire comprendre qu’il était temps pour moi qu’elle se retire. Avant que je finisse noyer. Seulement au moment où j’essayais de me libérer, elle resserrait les jambes pour garder prisonnier le gode avecun grognement de désapprobation.
Je comprenais qu’elle souhaitait prolonger un peu plus ce moment fabuleux, mais cela ne me semblait absolument pas raisonnable. En prenant bien soin de ne pas la brusquer, je l’invitais à se retirer. Elle me regardait, alors qu’un très beau sourire illuminait son visage.
Pendant qu’elle me fixait, je profitais pour retirer le gode. Et sans la lâcher des yeux, je le portais à mes lèvres. Le goût ! Un délice. Du miel. Si doux. Son sourire était encore plus grand, alors que ses yeux pétillaient de contentement en me voyant faire.
Puis elle se leva gracieusement, et cela tout en me fixant, avec ce même sourire sur son visage, elle alla très lentement rejoindre sa sœur dans sa salle de bain. Et elle ne prit pas la peine de fermer la porte. Dès fois que…offert, poitrine palpitante, je sentais mes pudiques bonnes résolutions voler en éclats.
Assez pour me donner envie de m’agenouiller au pied du lit, un genou entre les jambes de ma patronne, l’autre entre celles d’Agnès. Les deux coquines s’embrassaient goulûment, tout en se caressant mutuellement les seins, sans s‘intéresser à moi. Pris d’envie, je plongeais mes lèvres dans la touffeur moite du buisson intime et flamboyant de ma patronne, et darda ma langue au centre de la corolle frémissante et nacrée.
Sous ma caresse, elle fit un brusque sursaut, et ses lèvres se dessoudèrent de celle d’Agnès. Rendu fou de désir par les fragrances lourdes qui émanaient de la fleur affolante que je butinais de nouveau, je n’arrivais pas à me dissuader de faire de même avec celle d’Agnès. En tout cas, pas avant d’avoir mener celle que je suçais de nouveau au plaisir. Ce qui se réalisa dans un temps très court. Et cela dans une longue plainte rauque, le corps totalement arqué sous le fouet du plaisir.
- Bon ! Fit Agnès, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Il est temps que tu t’occupes un peu de moi maintenant, tu ne crois pas ?
Elle releva pour ça ses genoux, afin d’exhiber son sexe en une invite très explicite. Comme téléguider, mes mains se saisirent des deux cuisses, qu’elles écartèrent pour permettre à ma bouche de se poser sur le fruit juteux. De deux doigts, j’ouvrai la voie pour y planter ma langue. Pendant ce temps là, la patronne ivre de désir, me chevaucha de nouveau. Entièrement empalée, elle commença son activité. Se balançant sur ma verge. Me la maintenant au chaud dans un four accueillant, humide, souple, aux contractions de velours.
Après avoir joui grâce à mon jeu de langue, Agnès sortit de nulle part un gode bouche, et me l’arrima. Après s’être assuré qu’il était bien fixé, elle grimpa sur le lit. Elle fit passer une de ses jambes au-dessus de moi, et tout en s’accroupissant, approcha son fruit mûr de ma figure. Jusqu‘à ce que sa vulve vienne délicatement se coller sur le bout du gode. Avec souplesse, dans un mouvement d’avant en arrière, et de haut en bas, la coquine fit disparaître toute la longueur du gode dans sa chatte.
Toutes deux étaient ainsi bien embrochés, et profitèrent de leur position pour pratiquer un bouche-à-bouche ardent. Mes mains s’emparèrent des seins de la patronne, les couvrirent de caresses. Leurs donnant l’affection et de l’amour. Mon érection atteignait son comble. Ma verge tressaillait dans la chaleur du ventre de ma patronne. À ne pas pouvoir résister à l’envie de m’épancher dans la chatte assoiffée de ma patronne. Que seul mon sperme la nourrissait, et cela depuis quelques mois déjà. Agnès quant à elle se branlait toujours sur le gode. Avec la ferme intention de se procurer un maximum de sensation. Ses yeux exprimaient l’infini plaisir qu’elle prenait.
Le souffle court, elle se cajolait le minou, tout en oscillant du bassin de bas en haut, de plus en plus fort, avec des mouvements plus amples. J’oubliais un temps ma patronne, pour me concentrer sur le plaisir de la frangine. Dont les ondulations de son bassin étaient de plus en plus fortes et appuyées.
Elle s’agrippa les seins des deux mains et se les torturait gentiment en étirant les tétons saillants. Elle haletait de plus en plus fort, ses gémissements se transformaient en cris. Elle se lâchait complètement. Comme si elle était seule. Elle poussait un cri. Pas un cri strident non, un petit cri du bout des lèvres, en soufflant tout l’air de ses poumons. Et surtout, en jouissant elle inondait mon visage, de sa jouissance. Et ça coulait ! Ça n’arrêtait pas ! Une vraie fontaine, une source de jouvence.
J’attendais qu’elle se calme, pour lui faire comprendre qu’il était temps pour moi qu’elle se retire. Avant que je finisse noyer. Seulement au moment où j’essayais de me libérer, elle resserrait les jambes pour garder prisonnier le gode avec un grognement de désapprobation.
Je comprenais qu’elle souhaitait prolonger un peu plus ce moment fabuleux, mais cela ne me semblait absolument pas raisonnable. En prenant bien soin de ne pas la brusquer, je l’invitais à se retirer. Elle me regardait, alors qu’un très beau sourire illuminait son visage.
Pendant qu’elle me fixait, je profitais pour retirer le gode. Et sans la lâcher des yeux, je le portais à mes lèvres. Le goût ! Un délice. Du miel. Si doux. Son sourire était encore plus grand, alors que ses yeux pétillaient de contentement en me voyant faire.
Puis elle se leva gracieusement, et cela tout en me fixant, avec ce même sourire sur son visage, elle alla très lentement rejoindre sa sœur dans sa salle de bain. Et elle ne prit pas la peine de fermer la porte. Dès fois que…
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