Le manoir du péché...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le manoir du péché...
LA LOCATAIRE… Mauricette, locataire du domaine dont j’étais le gardien se tenait comme tous les jours, sur sa terrasse. Moi pour l’épier, en face planqué dans le bosquet. Là où je me trouvais il était impossible pour elle de me voir.
Elle était mariée avec un mec qui passait le plus long de son temps à entretenir sa voiture. Un couple comme bien d’autres. Dont leur drame faisait occasionnellement mon bonheur. Pour un chasseur d’aventure sexuelle comme moi. Deux personnes qui s’étaient aimées au début. Avec amour. Mais qui au fil des années la banalité coutumière s’était installée. Exterminateur des sentiments. Avec comme fond de toile, l’absence de relation sexuelle.
Les jumelles vissaient à mes yeux, un éclair me traversa. J‘avais tout à coup l’impression d’avoir déjà vécu une scène semblable. À la même place, à faire les mêmes gestes. Mon cœur s’affola. Mais pas assez pour me mettre en transe.
Là-bas sur sa chaise, assise les jambes croisées, une tasse de café sur la table tout proche d’elle, Mauricette ouvrait l’enveloppe rose que je lui avais fraichement envoyée, et que le facteur venait de mettre dans la boite à lettres. Anonymement bien sûr. Elle y sortit le courrier. Ma dernière œuvre libertine, spécialement écrite pour elle. Une activité périodique chez moi. Comme d’habitude je me sentais à cet instant intensément fébrile. Attendant anxieusement sa réaction. Si elle allait la lire ou la déchirer. Ce qui ne c’était jamais produit au court des précédentes fois.
Comme elle n’avait jamais montré non plus, un besoin de ce satisfaire en parcourant les lignes. C’était pour moi comme une sorte de loterie. Allait-elle aujourd’hui franchir le pas. Et m’offrir un spectacle affriolant. Le pourquoi de ma planque ce matin-là. Mais ce qu’elle tenait en main était de la bombe. Cette fois je m’étais surpassé. Passant d’une écriture érotique à celle très hard.
Elle déplia la lettre et sans faire attention à ce qui pouvait bien se passer autour d’elle, Mauricette plongea dans la lecture de mon courrier, alors que je m’intéressais à ce qui se trouver sous la table. Pour cela j’avais zoomé. Sa jupe était tellement haute que jepouvais voir dessous. Elle avait de très jolies jambes à la peau très blanche. Malgré ses nombreux passages sur la terrasse ensoleillée. Des chevilles fines. Des mollets un peu ronds.
Ses cheveux longs couleur paille encadraient son visage aux traits fins et agréable. Elle portait un débardeur sans manche et une jupe jaune très éblouissant. Sans lever le nez du courrier, elle hocha plusieurs fois la tête comme si elle répondait aux lignes qu‘elle lisait.
Relevant une jambe, dévoilant par ce mouvement tout son entrecuisse. J’apercevais pour ma plus grande joie, le triangle jaune d’une culotte. Un mince sous-vêtement en nylon, qui moulait à la perfection la bosse d’un pubis. De même que la forme d’un sillon. Pour la première fois, je la surpris en train de poser une main sur sa cuisse et la remontait sous l’ombre de sa jupe. Effleurant son sexe à travers sa culotte. Son comportement était inespéré, mais bandant.
Elle se conduisait comme si elle était seule. Ignorant dans l’état qu’elle me mettait. Et tout cela en étant absorbée par sa lecture. Elle se caressait en toute naïveté à travers son sous-vêtement.
J’étais aux anges. Elle se permit tout de même de suspendre un instant sa caresse, ainsi que sa lecture pour retirer ses bras des manches. Ce qui eut pour effet de faire retomber le haut de son tee-shirt sur son ventre. La poitrine était enveloppée d’un soutien-gorge jaune et ouvragé. Les mains glissées derrière son dos, et allaient dégrafer le dernier rempart. Exhibant sa belle poitrine. Elle se tenait fermement. La peau était aussi laiteuse que ses cuisses. Les longues pointes dardées étaient framboise. Ils bougeaient au rythme de sa respiration saccadée. Trahissant son émotion.
Il n’en fallait pas plus pour que ma queue soit parcourue de fourmillements. Un désir, volé et honteux se ficha dans mes reins. Elle écarta les cuisses. Autorisant mes yeux de la caresser. Très vite elle reprit sa caresse, là où elle l’avait laissé. Ses doigts pénétrèrent sa fente à travers le tissu. Appuyant sur le clitoris dressé. Alors qu’avec l’autre main elle se malaxait la poitrine. Comme elle l’aurait fait avec une pâte à pizza.
Je ne vous cache la tête qu’elle ferait, si par pur hasard elle s’apercevait de ma présence. Sa fente s’entrebâillait. D’où les bourrelets charnus suintaient. Brillant au soleil. Colmatant quelques mailles du nylon, de sa substance. J’étais émoustillé plus que jamais par la situation. Très vite tenté par une masturbation. Dont la jouissance me démangeait. Je baissais sa fermeture Éclair de ma braguette et me retrouvais avec une verge raide dans ma main.
Tenant la paire de jumelles de mon autre main, je dévorais son entrejambe. Me demandant quelle était la couleur sa touffe pubienne. Plus clair que ses cheveux; Mon souhait fut très vite comblé, puisqu’elle se débarrassa de sa culotte. La laissant choir sur le béton de la terrasse. Entre les cuisses longues et fermes m’apparut une toison claire. Épaisse et lustrée. Couronnait d’une fleur aux pétales violacés, larges et charnus. Une sorte de plante carnivore.
Mauricette écarta l’entaille sexuelle que je parcourus grâce aux jumelles. En haut de la fente, le bourgeon rose du clitoris pointait. Elle le pinça doucement, avant de le faire rouler sous son index. Il réagit tout de suite. Se redressant comme un petit pénis en érection. Elle revint sur la vulve ceindrait d’effluves salins. Elle glissa ses doigts entre les replis de chair molle qui suaient d’une mouille gluante. Comme un blanc d’œuf.
Je me touchais, les yeux rivés sur l’entrejambe de ma voisine. Calquant mon rythme avec le sien. Soudain de derrière le fourré me parvenait un bruit de pas. Écartant quelques branches, je perçus un couple dont la femme rousse ne m’était pas inconnue. Ils se dirigeaient un peu à l’écart de la route.
L’homme s’adossa debout contre un chêne, alors qu‘à ses pieds la rousse se démenait avec son pantalon. Qu’elle baissa au niveau des chevilles. S’empressant à tout hâte de mettre sa queue dans sa bouche. Qu’elle se mit à lécher, à sucer. Je l‘identifiais à présent. Elle était la voisine du bout de la rue. Mais l’homme qu’elle pompait n’était pas son époux. Ça, j’en étais certain.
Elle faisait coulisser adroitement le sexe de son partenaire entre ses lèvres. Émettant des bruits de succion à la fois obscènes et excitants. Sa langue s’activait autour du membre dur qui allait et venait dans sa bouche. Titillait le gland avant d’en lécher la base de façon experte. Elle ne le sortait de sa bouche que le temps de reprendre sa respiration avant de le gober à nouveau.
D’un coup d’œil du côté de la terrasse, je m’aperçus que Mauricette était loin d’être dégoutée par ce qu’il se passait sur le sentier. Elle était comme hypnotisée par ce qu‘elle voyait. Ne pouvant détacher son regard de la scène.
Un coup de jumelle pour apercevoir qu’elle avait glissé son doigt au plus profondément de son intimité, luisante. Qu’elle fit coulisser plus rapidement. Se mordant les lèvres pour ne pas gémir. Et par la même occasion de se faire repérer par le couple. Un second doigt rejoignit le premier. Toute à son plaisir et les yeux perdus dans le vague, Mauricette ne faisait presque plus attention au couple qui continuait à se donner du plaisir quelques mètres plus loin.
La rousse avait accéléré la cadence. Pompant le sexe presque violemment. Comme si elle était pressée d’en finir. Celui-ci, émettant des grognements de plaisir de plus en plus forts. Agrippa la tête de la rousse et l’attira à lui. Quelques instants plus tard, tandis que la rousse reprenait sa respiration, l‘homme remontait son pantalon.
Puis le couple disparu comme il avait apparu. Le silence reprit sa place. Sur la terrasse Mauricette avait continué de se doigter frénétiquement. Le visage écarlate, elle fut très vite prise d’un long orgasme.
Mais pas le temps de se remettre de son orgasme qu’une sonnette de téléphone se fit entendre. Replaçant tant bien que mal sa poitrine sous son tee-shirt elle se précipita à l’intérieur de chez elle. Je profitais de son absence pour sortir de ma planque. D’un pas rapide, je m’avançais jusqu’à la terrasse. Replaçant ma queue dans ma braguette. Sa culotte de nylon se tenait toujours sous la table. Comme une âme en peine. Comme si elle n’attendait que moi. Sans hésiter, je m’étais penché au-dessus d’elle et l’avais saisie. Mais pas le temps de la fourrer dans ma poche que je me retrouvais nez à nez avec Mauricette.
- Mais… mais en voilà des manières… petit voleur… - Comment ça petit voleur ?
- Faites pas l’innocent. Je vous ai surpris en train de chaparder ma culotte.
- Comme je vous ai surpris en train de vous envoyer en l’air sur votre terrasse.
Elle en avait perdu de sa superbe.
- Mais vous fabulez mon pauvre type… vous confondez vos désirs pour la réalité. Fit-elle en tournant des talons, prête à retourner chez elle.
Mais je l’attrapais brusquement par le poignet. Et portais sa main droite vers mon nez.
- Putain… ça sent la moule.
Immobilisée, j’en profitais pour glisser mon autre main sous sa jupe. Fourrageant avec mes doigts, sa toison humide. Des larmes dans les yeux elle me supplia : - Vous n’allez pas… pas me violer… au moins. Fit-elle en m’attirant jusqu’à l’entrée de sa demeure dont la porte était grande ouverte.
- Non… non. Je vous interdis de rentrer chez moi. Me tirant à l’intérieur et referma la porte derrière moi.
- Mais vous êtes fou… que comptez-vous me faire.
- Moi. Mais rien… répliquais-je.
- Ça vous a plu, tout à l’heure ? Demanda-t-elle.
- …. Heu ! Oui beaucoup… un vrai supplice.
- À oui ! Tu m’en vois ravi.
- Voir et ne pas toucher.
- Qu’est-ce que tu attends alors ? Touche-moi… Elle me déboutonna le pantalon. Baissa ma fermeture Éclair de ma braguette. Et fourra sa main dans mon slip. Malaxant ma verge comme elle l’avait fait plus tôt avec sa poitrine.
- Tu es vraiment un horrible personnage. Me forcer à vous mettre ma main dans ton slip. Moi une honnête femme. J’espère que cela va s’arrêter là. Que tu ne vas pas me forcer à te mener jusqu’à ma chambre… Elle me saisit par la queue et me remorqua jusqu’à une pièce au fond du couloir. Comme j’avais les chevilles entravées par le pantalon c’était à petits pas que je franchis la chambre. Parfaitement rangée.
- Non, il ne faut pas, je ne saurai pas, je n’ai jamais trompé….oh mon dieu… Non cela ne se peut pas… je suis une honnête femme, moi, c’est mal… Oh seigneur comme c’est doux. Humm… j’adore ta queue Elle me poussa sur le lit. Je me reçus sur le dos. Elle en profita de me déchausser, et dans l’ordre d’ôter mon pantalon, mon slip mes chaussettes.
- Tu es content à présent. Comme tu me la dis je t’ai déshabillé comme…? Fit-elle, les yeux exorbités par le désir. Rivés sur ma queue dure comme du bois.
Elle m’enjamba et à l’aide de sa main, elle guida sa verge jusqu’à son puits d’amour. Et se laissa tomber. S’empalant dessus avec un soupir d’extase.
- Putain ! Quel toupet… forcer une femme mariée de ce conduire pire qu’une prostitué… dans son lit conjugal … tu mérites la prison… oui la prison… Ses hanches se mirent à onduler de plus en plus vite. Bientôt ponctué de plaintes rauques à chaque fois que ma queue l’investissait, la possédait. Elle m’avait englouti au plus profond d’elle-même. Le rythme s’accéléra encore. J’haletais, éperdu de plaisir, tandis qu’elle gémissait, en envoyant des tonnes de : - Oui… oui… oui… Elle avait joui, mais pas moi. Et je comptais y parvenir. Mais pas par là. D’ailleurs j’avais l’impression de nager à l’intérieur. Je l’avais sorti toute poisseuse pour la guider vers l‘autre ouverture.
- Mais dit-moi, que comptes-tu faire là… - Tu vas voir… tu vas aimer aussi de ce côté….
- Ah oui ! Fit-elle, en se laissant retomber de tout son poids.
La bague brune s’écarta, gobant mon gland comme une bouche pleine de salive. Mauricette avait eu un étrange ronronnement de satisfaction. J’étais serré dans une gaine brûlante et moelleuse. Elle resta immobile. Trois-quatre secondes, avant de se mettre d’elle-même à bouger.
Un mouvement insolite, une sorte d’ondulation du bas du corps qui faisait entrer et sortir ma queue. Une animation qui allait en s’accélérant, tandis qu’elle se mettait à haleter, à geindre. Elle lâchait d’une voix rauque.
- Oh que c’est bon… Ce n’était pas que bon, c’était fabuleusement bon. Elle bougeait avec adresse, augmentant mes sensations. Elle respirait fort et balbutiait des choses incompréhensibles. Elle aimait vraiment ça. Et le montrer en accélérant le mouvement.
- Oui… haleta-t-elle. Oui… putain que c’est fort… Le temps n’existait plus. Il n’y avait que cette extase, ce plaisir inouï. Soudain, elle se cabra et gémit.
- Je vais jouir… Oui, je jouis.
Avec un grognement sourd, serrant plus durement les hanches de ma voisine, je lâchais ma semence au fond de ses reins. M’oubliant au seul profit de son bonheur, elle me chevaucha ardemment. J’étais devenu le spectateur de son euphorie. Elle jouit une énième fois en s’écroulant contre moi. Il lui fallut de nombreuses minutes pour revenir à elle.
Elle était mariée avec un mec qui passait le plus long de son temps à entretenir sa voiture. Un couple comme bien d’autres. Dont leur drame faisait occasionnellement mon bonheur. Pour un chasseur d’aventure sexuelle comme moi. Deux personnes qui s’étaient aimées au début. Avec amour. Mais qui au fil des années la banalité coutumière s’était installée. Exterminateur des sentiments. Avec comme fond de toile, l’absence de relation sexuelle.
Les jumelles vissaient à mes yeux, un éclair me traversa. J‘avais tout à coup l’impression d’avoir déjà vécu une scène semblable. À la même place, à faire les mêmes gestes. Mon cœur s’affola. Mais pas assez pour me mettre en transe.
Là-bas sur sa chaise, assise les jambes croisées, une tasse de café sur la table tout proche d’elle, Mauricette ouvrait l’enveloppe rose que je lui avais fraichement envoyée, et que le facteur venait de mettre dans la boite à lettres. Anonymement bien sûr. Elle y sortit le courrier. Ma dernière œuvre libertine, spécialement écrite pour elle. Une activité périodique chez moi. Comme d’habitude je me sentais à cet instant intensément fébrile. Attendant anxieusement sa réaction. Si elle allait la lire ou la déchirer. Ce qui ne c’était jamais produit au court des précédentes fois.
Comme elle n’avait jamais montré non plus, un besoin de ce satisfaire en parcourant les lignes. C’était pour moi comme une sorte de loterie. Allait-elle aujourd’hui franchir le pas. Et m’offrir un spectacle affriolant. Le pourquoi de ma planque ce matin-là. Mais ce qu’elle tenait en main était de la bombe. Cette fois je m’étais surpassé. Passant d’une écriture érotique à celle très hard.
Elle déplia la lettre et sans faire attention à ce qui pouvait bien se passer autour d’elle, Mauricette plongea dans la lecture de mon courrier, alors que je m’intéressais à ce qui se trouver sous la table. Pour cela j’avais zoomé. Sa jupe était tellement haute que jepouvais voir dessous. Elle avait de très jolies jambes à la peau très blanche. Malgré ses nombreux passages sur la terrasse ensoleillée. Des chevilles fines. Des mollets un peu ronds.
Ses cheveux longs couleur paille encadraient son visage aux traits fins et agréable. Elle portait un débardeur sans manche et une jupe jaune très éblouissant. Sans lever le nez du courrier, elle hocha plusieurs fois la tête comme si elle répondait aux lignes qu‘elle lisait.
Relevant une jambe, dévoilant par ce mouvement tout son entrecuisse. J’apercevais pour ma plus grande joie, le triangle jaune d’une culotte. Un mince sous-vêtement en nylon, qui moulait à la perfection la bosse d’un pubis. De même que la forme d’un sillon. Pour la première fois, je la surpris en train de poser une main sur sa cuisse et la remontait sous l’ombre de sa jupe. Effleurant son sexe à travers sa culotte. Son comportement était inespéré, mais bandant.
Elle se conduisait comme si elle était seule. Ignorant dans l’état qu’elle me mettait. Et tout cela en étant absorbée par sa lecture. Elle se caressait en toute naïveté à travers son sous-vêtement.
J’étais aux anges. Elle se permit tout de même de suspendre un instant sa caresse, ainsi que sa lecture pour retirer ses bras des manches. Ce qui eut pour effet de faire retomber le haut de son tee-shirt sur son ventre. La poitrine était enveloppée d’un soutien-gorge jaune et ouvragé. Les mains glissées derrière son dos, et allaient dégrafer le dernier rempart. Exhibant sa belle poitrine. Elle se tenait fermement. La peau était aussi laiteuse que ses cuisses. Les longues pointes dardées étaient framboise. Ils bougeaient au rythme de sa respiration saccadée. Trahissant son émotion.
Il n’en fallait pas plus pour que ma queue soit parcourue de fourmillements. Un désir, volé et honteux se ficha dans mes reins. Elle écarta les cuisses. Autorisant mes yeux de la caresser. Très vite elle reprit sa caresse, là où elle l’avait laissé. Ses doigts pénétrèrent sa fente à travers le tissu. Appuyant sur le clitoris dressé. Alors qu’avec l’autre main elle se malaxait la poitrine. Comme elle l’aurait fait avec une pâte à pizza.
Je ne vous cache la tête qu’elle ferait, si par pur hasard elle s’apercevait de ma présence. Sa fente s’entrebâillait. D’où les bourrelets charnus suintaient. Brillant au soleil. Colmatant quelques mailles du nylon, de sa substance. J’étais émoustillé plus que jamais par la situation. Très vite tenté par une masturbation. Dont la jouissance me démangeait. Je baissais sa fermeture Éclair de ma braguette et me retrouvais avec une verge raide dans ma main.
Tenant la paire de jumelles de mon autre main, je dévorais son entrejambe. Me demandant quelle était la couleur sa touffe pubienne. Plus clair que ses cheveux; Mon souhait fut très vite comblé, puisqu’elle se débarrassa de sa culotte. La laissant choir sur le béton de la terrasse. Entre les cuisses longues et fermes m’apparut une toison claire. Épaisse et lustrée. Couronnait d’une fleur aux pétales violacés, larges et charnus. Une sorte de plante carnivore.
Mauricette écarta l’entaille sexuelle que je parcourus grâce aux jumelles. En haut de la fente, le bourgeon rose du clitoris pointait. Elle le pinça doucement, avant de le faire rouler sous son index. Il réagit tout de suite. Se redressant comme un petit pénis en érection. Elle revint sur la vulve ceindrait d’effluves salins. Elle glissa ses doigts entre les replis de chair molle qui suaient d’une mouille gluante. Comme un blanc d’œuf.
Je me touchais, les yeux rivés sur l’entrejambe de ma voisine. Calquant mon rythme avec le sien. Soudain de derrière le fourré me parvenait un bruit de pas. Écartant quelques branches, je perçus un couple dont la femme rousse ne m’était pas inconnue. Ils se dirigeaient un peu à l’écart de la route.
L’homme s’adossa debout contre un chêne, alors qu‘à ses pieds la rousse se démenait avec son pantalon. Qu’elle baissa au niveau des chevilles. S’empressant à tout hâte de mettre sa queue dans sa bouche. Qu’elle se mit à lécher, à sucer. Je l‘identifiais à présent. Elle était la voisine du bout de la rue. Mais l’homme qu’elle pompait n’était pas son époux. Ça, j’en étais certain.
Elle faisait coulisser adroitement le sexe de son partenaire entre ses lèvres. Émettant des bruits de succion à la fois obscènes et excitants. Sa langue s’activait autour du membre dur qui allait et venait dans sa bouche. Titillait le gland avant d’en lécher la base de façon experte. Elle ne le sortait de sa bouche que le temps de reprendre sa respiration avant de le gober à nouveau.
D’un coup d’œil du côté de la terrasse, je m’aperçus que Mauricette était loin d’être dégoutée par ce qu’il se passait sur le sentier. Elle était comme hypnotisée par ce qu‘elle voyait. Ne pouvant détacher son regard de la scène.
Un coup de jumelle pour apercevoir qu’elle avait glissé son doigt au plus profondément de son intimité, luisante. Qu’elle fit coulisser plus rapidement. Se mordant les lèvres pour ne pas gémir. Et par la même occasion de se faire repérer par le couple. Un second doigt rejoignit le premier. Toute à son plaisir et les yeux perdus dans le vague, Mauricette ne faisait presque plus attention au couple qui continuait à se donner du plaisir quelques mètres plus loin.
La rousse avait accéléré la cadence. Pompant le sexe presque violemment. Comme si elle était pressée d’en finir. Celui-ci, émettant des grognements de plaisir de plus en plus forts. Agrippa la tête de la rousse et l’attira à lui. Quelques instants plus tard, tandis que la rousse reprenait sa respiration, l‘homme remontait son pantalon.
Puis le couple disparu comme il avait apparu. Le silence reprit sa place. Sur la terrasse Mauricette avait continué de se doigter frénétiquement. Le visage écarlate, elle fut très vite prise d’un long orgasme.
Mais pas le temps de se remettre de son orgasme qu’une sonnette de téléphone se fit entendre. Replaçant tant bien que mal sa poitrine sous son tee-shirt elle se précipita à l’intérieur de chez elle. Je profitais de son absence pour sortir de ma planque. D’un pas rapide, je m’avançais jusqu’à la terrasse. Replaçant ma queue dans ma braguette. Sa culotte de nylon se tenait toujours sous la table. Comme une âme en peine. Comme si elle n’attendait que moi. Sans hésiter, je m’étais penché au-dessus d’elle et l’avais saisie. Mais pas le temps de la fourrer dans ma poche que je me retrouvais nez à nez avec Mauricette.
- Mais… mais en voilà des manières… petit voleur… - Comment ça petit voleur ?
- Faites pas l’innocent. Je vous ai surpris en train de chaparder ma culotte.
- Comme je vous ai surpris en train de vous envoyer en l’air sur votre terrasse.
Elle en avait perdu de sa superbe.
- Mais vous fabulez mon pauvre type… vous confondez vos désirs pour la réalité. Fit-elle en tournant des talons, prête à retourner chez elle.
Mais je l’attrapais brusquement par le poignet. Et portais sa main droite vers mon nez.
- Putain… ça sent la moule.
Immobilisée, j’en profitais pour glisser mon autre main sous sa jupe. Fourrageant avec mes doigts, sa toison humide. Des larmes dans les yeux elle me supplia : - Vous n’allez pas… pas me violer… au moins. Fit-elle en m’attirant jusqu’à l’entrée de sa demeure dont la porte était grande ouverte.
- Non… non. Je vous interdis de rentrer chez moi. Me tirant à l’intérieur et referma la porte derrière moi.
- Mais vous êtes fou… que comptez-vous me faire.
- Moi. Mais rien… répliquais-je.
- Ça vous a plu, tout à l’heure ? Demanda-t-elle.
- …. Heu ! Oui beaucoup… un vrai supplice.
- À oui ! Tu m’en vois ravi.
- Voir et ne pas toucher.
- Qu’est-ce que tu attends alors ? Touche-moi… Elle me déboutonna le pantalon. Baissa ma fermeture Éclair de ma braguette. Et fourra sa main dans mon slip. Malaxant ma verge comme elle l’avait fait plus tôt avec sa poitrine.
- Tu es vraiment un horrible personnage. Me forcer à vous mettre ma main dans ton slip. Moi une honnête femme. J’espère que cela va s’arrêter là. Que tu ne vas pas me forcer à te mener jusqu’à ma chambre… Elle me saisit par la queue et me remorqua jusqu’à une pièce au fond du couloir. Comme j’avais les chevilles entravées par le pantalon c’était à petits pas que je franchis la chambre. Parfaitement rangée.
- Non, il ne faut pas, je ne saurai pas, je n’ai jamais trompé….oh mon dieu… Non cela ne se peut pas… je suis une honnête femme, moi, c’est mal… Oh seigneur comme c’est doux. Humm… j’adore ta queue Elle me poussa sur le lit. Je me reçus sur le dos. Elle en profita de me déchausser, et dans l’ordre d’ôter mon pantalon, mon slip mes chaussettes.
- Tu es content à présent. Comme tu me la dis je t’ai déshabillé comme…? Fit-elle, les yeux exorbités par le désir. Rivés sur ma queue dure comme du bois.
Elle m’enjamba et à l’aide de sa main, elle guida sa verge jusqu’à son puits d’amour. Et se laissa tomber. S’empalant dessus avec un soupir d’extase.
- Putain ! Quel toupet… forcer une femme mariée de ce conduire pire qu’une prostitué… dans son lit conjugal … tu mérites la prison… oui la prison… Ses hanches se mirent à onduler de plus en plus vite. Bientôt ponctué de plaintes rauques à chaque fois que ma queue l’investissait, la possédait. Elle m’avait englouti au plus profond d’elle-même. Le rythme s’accéléra encore. J’haletais, éperdu de plaisir, tandis qu’elle gémissait, en envoyant des tonnes de : - Oui… oui… oui… Elle avait joui, mais pas moi. Et je comptais y parvenir. Mais pas par là. D’ailleurs j’avais l’impression de nager à l’intérieur. Je l’avais sorti toute poisseuse pour la guider vers l‘autre ouverture.
- Mais dit-moi, que comptes-tu faire là… - Tu vas voir… tu vas aimer aussi de ce côté….
- Ah oui ! Fit-elle, en se laissant retomber de tout son poids.
La bague brune s’écarta, gobant mon gland comme une bouche pleine de salive. Mauricette avait eu un étrange ronronnement de satisfaction. J’étais serré dans une gaine brûlante et moelleuse. Elle resta immobile. Trois-quatre secondes, avant de se mettre d’elle-même à bouger.
Un mouvement insolite, une sorte d’ondulation du bas du corps qui faisait entrer et sortir ma queue. Une animation qui allait en s’accélérant, tandis qu’elle se mettait à haleter, à geindre. Elle lâchait d’une voix rauque.
- Oh que c’est bon… Ce n’était pas que bon, c’était fabuleusement bon. Elle bougeait avec adresse, augmentant mes sensations. Elle respirait fort et balbutiait des choses incompréhensibles. Elle aimait vraiment ça. Et le montrer en accélérant le mouvement.
- Oui… haleta-t-elle. Oui… putain que c’est fort… Le temps n’existait plus. Il n’y avait que cette extase, ce plaisir inouï. Soudain, elle se cabra et gémit.
- Je vais jouir… Oui, je jouis.
Avec un grognement sourd, serrant plus durement les hanches de ma voisine, je lâchais ma semence au fond de ses reins. M’oubliant au seul profit de son bonheur, elle me chevaucha ardemment. J’étais devenu le spectateur de son euphorie. Elle jouit une énième fois en s’écroulant contre moi. Il lui fallut de nombreuses minutes pour revenir à elle.
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