Le manoir les rend folles
Récit érotique écrit par Sexual_guy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Le manoir les rend folles
Il fait beau, aujourd'hui. Cela fait plaisir ! Alors nous avons décidé de nous rassembler entre étudiants ! Un groupe d'une dizaine de personnes au total pour une ballade dans la forêt. Nous nous sommes répartis entre plusieurs voitures et avons rejoint ensemble un lieu dont nous ignorions jusqu'ici l'existence.
Pourquoi ai-je proposé ce lieu particulier ? Les commentaires sur internet m'y ont incité ! La forêt a une apparence mystérieuse, elle est très sombre et offre parfois d'étranges coloris gris qui la rendent impénétrable. Une ambiance particulière qui a effrayé plus d'une personne. Un manoir a été construit au beau milieu de la forêt. Une demeure abandonnée, entourée de rumeurs, de légendes étranges et en tous genres. Voilà qui ne pouvait qu'attirer une bande d'étudiants, non ?
Tout le monde a donné son accord ! Il fait un temps radieux, nous avons eu envie d'abandonner nos vêtements d'hiver pour troquer ceux d'été. Les garçons portent des tee shirts et des jeans, les filles ont sorti les jupes et robes courtes. Allez savoir pourquoi toutes les filles ont un teint chocolat au lait. Elles sont toutes très belles, très féminines !
Après deux heures de route, nous avons atteint la forêt. Nous avons rapidement récupéré nos affaires et sommes partis à l'aventure. Nous voulions rejoindre le manoir le plus rapidement possible. La course débute. Mais déjà deux personnes manquent à l'appel :
- Où sont Ben et Nathalie ?
- Partez sans nous ! Nous allons vous rejoindre !
Nathalie a perdu une chaussure en tapant du pied contre une racine. Benjamin a gentiment proposé de l'aider. Dans la précipitation, nous les avons dépassés. Entendu, ils veulent se donner un peu de temps. Nous les avons donc laissé là. Après tout, ils sauront bien nous rejoindre rapidement.
*
- Tu as récupéré ta chaussure ?
Nathalie n'a pas répondu. Benjamin est donc revenu sur ses pas et s'est approché d'elle. Elle se tient de dos, il en profite pour étudier sa silhouette. Nathalie est une jeune femme féminine et jolie. Elle porte un pull-chandail dénudant ses magnifiques épaules qui luisent au soleil. Le col du pull moule sa poitrine. Une jupe trapèze en jean assez ample met en valeur de jolies cuisses chocolat dénudées. Elle a un fessier protubérant, elle est vraiment très agréable.
- As-tu récupéré ta chaussure, Nathalie ?
Sans lui répondre, elle se redresse puis se retourne. Il est ébahi par son regard. Totalement vide, inexpressif. Et pourtant si ! Il est expressif, tellement expressif. Benjamin y lit de la détermination, sans savoir en quel sens. Elle est majestueuse, gonflant la poitrine. Puis elle s'approche de lui d'un pas lent et décidé. Elle le regarde, elle se colle à lui. Il est un peu gêné. Après tout, ils sont amis et tant d'impudeur le décontenance un peu. Elle s'en moque, manifestement. Elle se retourne et colle son fessier contre son sexe ! ll bande instantanément.
- Nathalie, que fais-tu ?
Prononcée sans aucune assurance. La gêne lui fait adopter un ton saccadé.
L'éblouissante demoiselle demeure silencieuse. Avec autorité, elle s'empare de ses mains et les pose sur ses hanches. Puis elle entame une danse. Une danse érotique. Elle dandine du fessier contre son sexe, elle se recule quand lui-même essaie de s'éloigner un peu. Elle garde un contact physique. Elle est d'une grande sensualité, il sent son désir augmenter. Alors elle accélère sa danse, retire totalement ses chaussures, dénude ses pieds et danse sur le feuillage.
Benjamin s'abandonne doucement aux rêves et au désir de la posséder. Il n'ose la caresser, il la laisse faire. Nathalie, elle, continue son incroyable manège. Elle le met en ébullition. Elle s'arrête soudainement et se retourne en reculant. Elle le regarde de manière fixe. Puis elle saisit son pull, le soulève et l'ôte sous ses yeux ébahis. Sa peau est magnifique, elle porte un soutien-gorge qui met incroyablement bien en avant ses seins protubérants. Instinctivement, il porte la main à son pénis et se caresse doucement.
Alors elle saisit sa jupe et la soulève, révélant une jolie petite culotte rose ! Il bande très fortement. N'en pouvant plus, il défait sa braguette et ouvre son pantalon en la regardant. Il a l'air d'un carnassier mort de faim ! Il veut la prendre, il veut la prendre. Sans réfléchir, sans savoir pourquoi ni comment, il pense venir facilement à bout de toute éventuelle résistance. Il la possédera, c'est sûr ! Nathalie ne sourit pas, ne s'émeut de rien. Elle regarde son pénis dressé en l'air quelques instants, les yeux toujours aussi vides et neutres. Lui commence à se masturber en se léchant les lèvres.
*
Alors elle s'avance vers lui et il sent la nécessité de se soumettre, sans vraiment comprendre ce qui lui arrive. Il s'agenouille doucement puis s'allonge sur le dos. Tout en gardant sa jupe soulevée pour l'exciter, elle s'avance. Puis elle s'agenouille, le chevauche et bientôt pose son vagin sur son sexe. Il vit alors quelques secondes d'une gigantesque intensité. Un de ses moments où la pudeur de l'amitié n'est plus qu'une vieille barrière en bois. Une barrière qui saute sous les assauts d'un taureau qui a pour nom Eros. Rapidement, elle s'agite au-dessus de lui. Son corps frotte celui du garçon qui est traversé par des spasmes de plaisir. Elle gesticule. Il parvient à poser ses mains sur ses hanches, la regarde plein de désir et d'amour. Elle n'en a cure. Elle accélère le rythme de la danse. Son rut devient douloureux, il a mal à son pénis et sent ses testicules gonfler.
C'est le moment qu'elle choisir pour s'allonger sur son corps. C'en est trop pour Benjamin. Il pousse un cri totalement inhumain et éjacule violemment. Son sexe libère une grosse masse de sperme qui vient s'accrocher à la culotte de Nathalie puis retomber sur lui. Il caresse son dos, son pénis lui fait mal d'avoir ainsi éjaculé. Il est totalement vidé, dépourvu d'énergie.
Et puis le silence se fait. Il n'a pas compris ce qui vient de lui arriver, il ressent simplement le bonheur d'avoir ainsi joui. Et la déception de ne pas avoir possédé Nathalie.
*
Nous n'avons rien entendu.
Nous avons tous continué d'avancer. Heureusement que nous avions un plan pour nous orienter dans la forêt ! Mais les lieux sont assez immenses. Nous avons marché une heure environ. Epuisées, les filles ont demandé à se reposer un peu. Nous nous sommes abrités dans une ancienne petite grange abandonnée. Un bâtiment en bois à ciel ouvert. Une mini-étable. On trouve encore du sable et du foin sur le sol. Personne ne s'inquiète vraiment du retard de Ben et Nathalie. Ils nous retrouveront ! Nous en sommes persuadés.
Nous sommes restés une demi-heure environ puis nous avons repris la route. Nous nous sommes préparés tout du moins. Martial était parmi les derniers. Il s'est enfoncé dans la grange pour récupérer des objets entreposés dans le foin. Quand il s'est retourné, tout le monde semblait parti. Le silence avait envahi les lieux. Seule Paula est apparue.
- Tu es encore là ?
Aucune réponse. Martial lui trouve un air un peu étrange. Elle semble absente. Son regard est vide et pourtant, elle oscille dans sa direction.
- J'ai récupéré les affaires, nous allons pouvoir repartir.
Elle ne dit rien. Elle se retourne, il finit de ranger. Au moment où il la rejoint, elle ôte son gilet plan qui recouvre son corps et le laisse tomber. Elle porte une robe rose faite d'un tissu souple et ample mais qui moule les formes de son corps. Le coloris met en avant sa jolie peau noire. Elle a de très belles cuisses. Martial la regarde, interdit. La lumière transperce sa robe et il peut contempler à loisir son entre-jambe. Il rougit.
Elle tourne la tête dans sa direction, il se sent terriblement perturbé.
Ses gestes sont lents et posés. Son corps si féminin tourne de quelques degrés. Elle écarte les jambes légèrement puis se recroqueville plusieurs fois d'une manière très érotique. Ne pouvant détacher son regard de son entrejambe, il rougit à nouveau devant son geste explicite. Il se sent envahi d'un désir qui ne fait que s'amplifier quand elle se met de profil. Le tissu rose moule ses seins opulents et les magnifie ! Sa bouche est sensuelle, sa coiffure en chignon ajoute encore au côté sexy de sa silhouette.
Sa gorge devient sèche, il n'ose bouger. Elle l'intimide, elle ferait presque peur avec sa détermination ! Elle s'avance doucement vers lui. De temps à autre, de manière ingénue, elle saisit le bas de sa robe. Une bouffée de chaleur envahit alors son corps. Il devient totalement silencieux.
*
Elle est à présent très proche de lui. Son parfum puissant enivre ses narines. Elle est vraiment très jolie. Il sent immédiatement le désir la prendre le gagner. Machinalement, Martial défait son pantalon et exhibe un sexe gonflé à bloc. Elle le regarde sans pudeur ni gêne. Elle s'approche, se retourne. Le bas de sa robe effleure son sexe. Elle fait jouer le tissu sur son pénis et le masse de cette manière. Il ne parvient pas à réprimer ses envies. ll ne parvient pas à réprimer ses envies.
- Danse contre moi ! Crie-t-il.
Mais elle n'en fait rien. Elle ne s'approche pas davantage. Il sent la chaleur de son corps, de ses fesses mais il ne peut la toucher.
- Tu es si jolie ! murmure-t-il lamentablement.
Comme déçue par ses paroles, elle s'éloigne. Elle se retourne, le regarde très durement, le glaçant instantanément. Puis son regard se fait rassurant. Sans comprendre pourquoi, il ressent le besoin de se masturber devant elle. Tout en la regardant, il frotte sa verge qui gonfle encore un peu plus. Elle reste une minute entière, immobile devant lui, tandis qu'il se masturbe pour augmenter son désir. Il accélère, accélère encore, halète devant la cadence imposée.
Puis elle saisit le bas de sa robe si souple et le soulève. Doucement, elle dévoile une petite culotte verte fluo qui tranche totalement avec sa peau sombre. Absolument estomaqué, il est pris d'une nouvelle bouffée de chaleur. Elle continue de lever sa robe. Elle dévoile son ventre, il accélère la masturbation. Il commence à râler, le sperme monte. Elle soulève encore son vêtement, lui aussi accélère. Il commence à râler de douleur. Puis elle dévoile son soutien-gorge de la même couleur, ses gros seins.
Là, il n'en peut plus, il accélère très fortement la masturbation puis pousse un énorme cri bestial. Il éjacule, laisse échapper une grosse giclée de sperme. Le liquide vient asperger sa robe. Une seule giclée mais qui aura suffi à le vider entièrement. Il est épuisé. Tandis qu'elle se retourne et s'en va, il se laisse tomber au sol, plein d'excitation. Mais il n'a pas pu la sauter.
*
- Mais où sont passés les autres ?
Il nous manque deux couples ! Etranges. Nous ne sommes maintenant plus très loin mais nous nous arrêtons au milieu des bois. Ce serait bien que le groupe se reconstitue, à présent. Restons groupés, enfin ! Les filles se rassemblent toutes dans un coin. Enfin, toutes. Personne ne remarque que Camille s'est isolée. Elle s'en va en direction d'un arbre.
Edouard s'est adossé contre cet arbre. Elle le rejoint. Pour discuter, un peu, pense-t-il. Elle approche, le visage masqué par une ombre. Edouard ne remarque pas que quelque chose est changé en elle. Il voit juste une fille pressée de le rejoindre. Aussi est-il étonné et pousse-t-il une exclamation de surprise lorsqu'elle lui saisit le pénis au-dessus du pantalon. D'une main experte, elle frotte deux doigts contre le bas du sexe et le fait immédiatement gonfler au point qu'il dépasse du pantalon.
Les autres entendent son cri et se retournent, curieux de savoir ce qu'il se passe. Ce qu'ils voient les ébahis totalement ! Elle défait sa ceinture tout en continuant de le masser. Lui, totalement excité et sentant ses testicules également touchés, ne parvient pas à réagir. Il plaque ses mains contre l'arbre, transpire abondamment et ses yeux se ferment peu à peu. Elle ouvre la braguette,défait son pantalon, y plonge la main et saisit son sexe qu'elle masse fortement.
Soudainement, elle s'agenouille, ouvre la bouche et y fait entrer son sexe. Il est vraiment très surpris. Camille a un visage ovale et chocolat au lait. De grands yeux, un très beau regard, des traits gracieux et féminins. La voir ainsi capturer son pénis lui fait étrange. Mais il n'a pas le temps de se poser beaucoup de questions ! Elle se met à le sucer de manière autoritaire et experte, tout en agitant ses testicules. L'envie de la prendre le gagne instantanément mais l'excitation le rend totalement impuissant. Il subit entièrement.
Elle se redresse, il l'observe d'un œil suppliant.
*
Camille a un corps fin dissimulé sous une robe noire moulante et rigide. Le haut noir est toutefois verticalement traversé par deux rayures épaisses et dorées qui mettent ses petits seins en avant. Elle le regarde d'un air vide quoique son comportement témoigne de sa grande détermination. Soudain, elle se retourne et soulève abruptement sa robe.
Il découvre estomaqué un string ficelle noir. Deux superbes fesses se dévoilent à lui. Et sans qu'il ait le temps de quoi que ce soit, elle recule et y enfonce son pénis ! Celui-ci grossit immédiatement, il sent une énorme montée de sperme. Il pousse un énorme hurlement qui dissimule son rut. Elle s'enfonce du mieux qu'elle peut puis se plie en deux. Son cri dure une dizaine de secondes. Après quoi, elle se redresse et se retourne à nouveau. Il commence à pleurer.
Elle soulève à nouveau sa robe pour exalter son pubis. Puis elle s'avance autoritairement contre lui et commence à frotter son pubis contre son sexe. C'en est trop, le corps lâche entièrement. Il pousse un gigantesque grognement puis éjacule violemment contre elle. Le sperme dépasse sa culotte et va s'écraser contre ses seins puis son cou et son front ! Une seule giclée mais d'une telle intensité ! Il se laisse alors glisser le long de son arbre et s'assoit. Elle s'installe sur lui et s'effondre dans ses bras.
Le spectacle nous a tous laissé pantois. Mais qu'a-t-il bien pu se passer ? Pourquoi Camille s'est-elle comportée de la sorte ? Mystère ! Un silence lourd s'est instauré entre nous tous. En peu de temps, une après-midi innocente entre étudiants a pris une tournure sexuelle. Et pas n'importe quelle tournure ! Ils ne se sont pas embrassés, pas même caressés ! Elle l'a allumé et l'a poussé à se vider entièrement.
Subitement, j'ai l'impression étrange que cette agression ne sera pas la première. Instinctivement, je me tourne vers les filles qui ont l'air assez calmes. Pour l'instant.
*
Où est passée Virginie ? Subitement, l'angoisse monte en moi. Je ne la vois pas au milieu des autres filles. Je balaie du regard les environs. Mais rien.
Daniel s'est également éloigné. Il est assis sur le sol, les jambes allongées. L'espace d'un instant, il a voulu s'isoler pour réfléchir à ce qui venait de se passer. Quelle histoire étrange !
Il n'est pas resté longtemps dans ses réflexions, rapidement rejoint dans sa course à l'isolement par Virginie. Virginie est une jolie fille. Il la regarde flâner tranquillement, au gré d'une marche à rythme tranquille. Elle porte une robe bleue dont les teins pastels, le motif, mettent en avant sa peau chocolat au lait. Le tissu est ample et fait d'autant mieux ressortir la finesse de sa silhouette. Elle prend plaisir à se montrer de profil, à exhiber ses seins devant lui. Ses doux traits de visage, sa bouche sensuelle en font réellement une fille agréable à regarder. Et qu'il apprécie.
Il est amusé par cette démarche pleine de sous-entendus. Quoiqu'elle fasse semblant de ne pas s'intéresser à lui, il sait son esprit tourné vers un objectif.
- Alors toi aussi tu veux allumer les garçons ?
Elle ne répond pas. Elle continue sa progression au même rythme. L'air soulève très légèrement sa robe. Joue avec le tissu. Et cela ne la rend que plus désirable. De temps à autre, elle pose la main sur l'arrière de sa robe, comme pour l'empêcher de se soulever. En même temps, elle se retourne vers Daniel et le gratifie d'un sourire parfaitement univoque. Elle tourne autour de lui, tend à se rapprocher davantage. Puis il commence à l'imaginer dans sa tête. Il se la représente, s'approchant de lui. Et cette fois, il regarde chaque partie de son corps, en apprécie les charmes. Daniel perd progressivement son sourire moqueur et sûr de lui. Il ressent l'intrusion d'un personnage dans son esprit. Et tandis que les pas doux et lents de Virginie dans le feuillage forment un bruit, son image s'impose à lui, se grave dans sa mémoire.
Et elle, elle se rapproche lentement.
*
Subitement, elle se tourne vers lui et littéralement se jette près de son corps. Elle s'approche telle une bête effrayante. Daniel n'a aucune intention d'éjaculer dans le feuillage, comme les autres. Il libère immédiatement sa libido, ses envies et se dit que lui, il vaincra ! Alors il la reçoit bras grands ouverts et tandis qu'elle s'approche pour l'exciter. Il s'empare de son corps, le tire à lui, l'étend sur sa propre personne et l'embrasse sur la bouche. Elle est surprise mais répond à son assaut par un doux baiser. Ses lèvres sont agréables, chaudes. Un air brûlant s'échappe de sa bouche tandis que sa langue est délicieuse au contact.
Il passe les mains autour d'elle et caresse son dos, ses hanches. Elle est vraiment très belle et le désir de la posséder est très fort. Les deux tourtereaux s'embrassent pendant plusieurs minutes. Daniel est absolument ravi de cette étreinte intense entre eux. Et puis elle se recule légèrement. Pour le contempler. Daniel tombe sous le charme de son regard velouté, deux beaux yeux bruns qui le contemplent avec une grande aisance. Très rapidement, elle entame un étrange mouvement par lequel elle compte serpenter sur son corps ! Elle pose sa tête sur le ventre de Daniel, remonte le long de son torse pour se poser sur son épaule droite. Le contact des deux corps est absolument irrésistible ! Daniel ressent une montée exponentielle de ses pulsions, une vague d'émotions intenses qui le submerge totalement lorsqu'elle pose son pubis sur son pénis.
Il pose ses mains sur le bas du dos de Virginie et la caresse délicatement mais laisse échapper un râlement de jouissance. Le sperme monte irrésistiblement en lui. Bien que submergé, il parvient à garder un certain contrôle. Il saisit les pans de sa robe et la remonte doucement. Ses cuisses chocolats se dévoilent, puis sa petite culotte blanche teintée de pois noirs. Elle a un magnifique petit fessier sur lequel il pose ses mains. Il parcourt ses fesses, elle le laisse le caresser. Sûre d'elle et de sa victoire. Il prend beaucoup de plaisir puis il s'approche de son oreille et lui susurre :
- N'espère même pas me faire jouir ailleurs que dans ton corps ! Nous allons coucher ensemble !
L'espace d'un court instant, elle s'immobilise. Elle ne s'attendait pas du tout à cette réponse. Puis le sourire gagne son visage. Elle se recule, se redresse à la force de ses bras et se lève sans le regarder. Puis elle se retourne en faisant virevolter sa robe. Virevolter au point de dévoiler le bas de ses fesses. Daniel ne résiste pas à poser deux doigts sur son sexe et se masturber. Souriante et satisfaite, elle s'éloigne doucement de lui, tout en l'invitant d'un geste du doigt.
*
Daniel se lève et la rejoint tandis qu'elle les éloigne du groupe. L'attirant par ses gestes aguicheurs de la main. Elle continue sa marche et lui fait admirer sa gracieuse silhouette. Elle finit par s'immobiliser devant lui. Ses mains viennent rechercher l'arrière de sa robe qu'elle soulève délicatement. Sa culotte luit au soleil et fait ressortir sa magnifique peau. A nouveau le désir le prend et ne le quittera plus.Son sexe gonfle au point de devenir douloureux. Il défait rapidement son pantalon et exhibe son sexe qu'il se met à masturber frénétiquement, en haletant.
Elle abaisse sa robe comme on ferait tomber le rideau. Elle reprend sa marche puis à nouveau lui montre sa culotte. N'y tenant plus, il court et la rejoint rapidement. Il la heurte violemment, l'enserre entre ses bras et pose les mains sur son ventre.
- Je vais te pénétrer !
Doucement, son sexe entre dans ses fesses. La chaleur du corps de Virginie augmente ses pulsions. Mécaniquement, ses mains remontent. Atteignent les cotes puis les seins qu'il réussit à caresser quelques instants. Le contact l'a gêné cependant. Elle le rejette avec une force qui le surprend. Il se laisse propulser en arrière tandis qu'elle se met à courir. Sous la virulence de ses pas, sa robe légère volette dans les airs et dévoile à nouveau sa culotte, ses fesses et le haut de ses cuisses. Pour Daniel, c'est une vision de rêve et il laisse tomber quelques larmes sous l'émotion de la voir ainsi.
L'envie, le désir, la passion, le besoin. Il ne sait plus vraiment bien ce qu'il ressent mais au demeurant, peu importe. Ce qui compte est son grand rêve d'écarter ses cuisses, de la déculotter, de pénétrer son intimité. Il commence à l'avouer, il ressent véritablement de l'amour pour elle. Mais il est conscient, sans vraiment comprendre pourquoi qu'elle se livre à un jeu. Alors il faudra la forcer, la brusquer un peu. Mais ce n'est pas grave, il est prêt à le faire.
Il reprend ses esprits, se redresse et court dans sa direction.
*
A nouveau il la rejoint et cette fois, il lui saute dessus et la fait tomber au sol, lourdement au demeurant. Puis il saisit les pans de sa jupe et soulève le tissu. il dévoile son corps, jusqu'au soutien-gorge. De surprise, elle laisse échapper quelques cris. Il n'en a cure, il se penche en avant et pose victorieusement son sexe sur son fessier.
- Tu fais moins la fière, maintenant,hein ? Attends que je te prenne !
Mais elle résiste ! Elle saisit rapidement sa robe et l'abaisse violemment. Soudain, son sexe est recouvert par le tissu qu'elle entend tenir. Il s'énerve et entreprend de lui arracher sa robe. Il la saisit mais elle résiste. Il saisit ses bras, les écarte violemment et soulève à nouveau. Son dos lui apparaît superbe. Puis il pose le bras sur le dos tout en tenant ses mains. Il entreprend de la coincer. Ravi d'y être parvenu, quelques gouttes de sueur, il se rapproche d'elle et enfonce sa verge contre sa culotte. Il pense avoir fait le plus dur.
Mais elle réussit à libérer ses mains et se dégage fortement vers l'avant, se projette. Elle se retourne, le regarde d'un air particulièrement coquin. Puis, écartant les cuisses, elle soulève sa robe et dévoile son pubis sans vergogne sous ses yeux absolument ahuris ! Ses cuisses magistrales, sa petite culotte, la proximité apparente de son pubis ! A nouveau beaucoup de choses se passent en lui. Il entreprend de se calmer en se masturbant. Pour se faire, il saisit son pénis à pleines mains et entreprend un important massage. Mais c'est pire. Elle s'en rend compte, son sourire s'accentue. Alors, elle rebondit sur ses jambes, agite son pubis et entreprend de le rendre vraiment dingue !
Conscient de perdre le contrôle, il se jette sur elle et lui tombe dessus. Elle se laisse faire. Il saisit sa cuisse gauche, la soulève, l'écarte puis presse son sexe contre son pubis. Elle réagit par un petit rire d'enfant qui l'émeut et le déconcerte totalement. Elle semble contente, ravie ! Il ne sait quoi penser. Elle semble particulièrement ravie de son intention de la sauter et pourtant, elle résiste.
Justement, elle profite de cet instant de doute. Avec une force inimaginable, elle le repousse. Il bascule en arrière tandis qu'elle se relève et s'éloigne. Toujours sa robe vole dans les airs. Lorsque Daniel a récupéré de sa surprise et se relève, elle lui fait face. Un regard ingénu et plein de défi. Soudain, elle saisit sa robe et sans aucune pudeur, la soulève. Progressivement, il voit le haut de ses cuisses, sa culotte, son ventre, son soutien-gorge blanc et même le haut de ses seins ! Il se crispe en deux d'effroi. Le sperme lui semble à deux doigts de sortir et pourtant il veut résister. Elle s'immobilise un instant, le regard conquérant, le sourire satisfait devant lui. Il semble Daniel qu'elle fait absolument ce qu'elle veut de lui.
Et justement, elle se recule, s'appuie contre un arbre et lui fait signe de la rejoindre.
*
Il s'approche et s'arrête juste devant elle. Il est étonné, il se demande ce qu'il va se passer. Elle déplace très légèrement ses jambes. Suffisamment pour rallumer sa flamme quant aux formes de son corps ! Décidément, oui elle fait ce qu'elle veut. Il s'arrête, elle le regarde langoureusement. Quelques secondes pour le rassurer ! Puis elle s'agenouille vivement devant lui, ouvre la bouche et y fait entrer son pénis ! Surpris, il peut juste s'appuyer contre l'arbre pour ne pas se blesser tandis qu'il se plie en avant. Elle entame une fellation. Elle mouille l'ensemble de la paroi de son sexe. Un rythme régulier, assez lent.
Elle presse fort ses lèvres contre son pénis et de temps en temps le gratifie d'un regard espiègle. Lui se cramponne comme il peut. Elle accélère le rythme et suce plus fort. Il ferme les yeux, très fortement. Elle accélère encore le rythme, elle suce très bien. En plus, elle donne de petits coups de langue absolument ravageurs. C'en est trop, il se jette en arrière. Parvient à retirer sa verge de sa bouche. Il entend le bruit goulu de sa salive, sa respiration qui se renforce.
Claudiquant maladroitement, il la regarde d'un air désespéré. Il ne contient plus ses émotions, il sent son cerveau totalement anéanti. Son sexe lui fait terriblement mal, il est à deux doigts d'éjaculer. Il la désire maintenant plus que jamais, il veut la prendre. Mais il sent bien qu'avec cette fellation, elle a gagné la partie. Définitivement. Qu'importe, il résistera. Il résistera. Il résistera.
BOUM !
Il est tombé en arrière sur le feuillage. A deux doigts de s'évanouir. Trop d'intensité.
Il la voit se rapprocher de lui, s'agenouiller. Remonter sa robe pour dévoiler encore sa culotte, lever la jambe et le chevaucher. Puis elle presse son vagin contre son pénis. Elle commence à sautiller au-dessus de lui tandis qu'elle lui tombe dessus. Comme s'ils faisaient l'amour, elle laisse sa tête se pencher en arrière. Puis bouche grande ouverte, elle commence à émettre des cris aigus d'orgasme ! D'abord intenses puis de plus en plus forts. Comme s'il la mettait en rut ! Comme si elle s'abandonnait totalement à lui.
Mais c'est bien Daniel qui a perdu maintenant toute résistance. Virginie s'arrête alors, jette un regard victorieux sur sa victime immobilisée par la pulsion. Elle lui montre ses seins une dernière fois puis s'étend sur son corps. Elle lui arrache ainsi un énorme grognement de plaisir tandis que le sperme s'échappe sur son sexe et vient entacher la petite culotte de Virginie. Encore une victime !
*
Nous sommes tous estomaqués ! Daniel n'a pas réussi à sauter Virginie. Alors, épouvantés, nous courons tous et toutes. Nous nous réfugions dans le manoir. Parvenus au sein de la pièce centrale, nous soufflons. Nous voulons nous croire en sécurité. Ici, il ne se passera rien !
Est-ce seulement sûr ?
Subitement, la porte d'entrée se referme et claque violemment. nous voilà prisonniers ! Alors seulement, je me souviens de la principale légende autour des lieux. On raconte que ce manoir était celui d'une belle jeune femme qui voulait vivre en solitaire. Un jour, un groupe d'hommes a détruit sa porte et envahi les lieux. Les hommes l'ont violée et l'ont laissée à son triste sort. De rancoeur, 10 ans plus tard, elle prononça une malédiction avant de mourir. Lorsqu'une femme marchera en direction du manoir, elle sera toute entièrement dévouée à provoquer une pulsion chez l'homme. Une pulsion tellement forte qu'il en perdrait le contrôle de lui-même. En jouissant prématurément par exemple. Et plus nous nous rapprochons du manoir plus les énergies sont vives. Quelle erreur avons-nous commise-là ?
Il reste 2 filles parmi nous. Elles sont assises sur le canapé.
Maylis se lève au bout de quelques instants. Une jolie jeune femme noire. les cheveux noirs resserrés en chignon dévoilent totalement son visage. Elle porte une robe jaune fluo qui fait ressortir la délicatesse de sa peau. Une robe en forme de parallélépipède qui fait ressortir l'épaisseur de ses seins et de son fessier. Cette robe courte dévoile le haut de ses cuisses. Elle se lève et regarde Edouard avec beaucoup d'intensité. Immédiatement captivé par ce regard, Edouard se met à transpirer abondamment. Elle intensifie encore son beau regard brun. Elle s'avance de deux pas. Puis elle saisit sa robe, la soulève et la retire devant lui ! Elle porte une culotte et un soutien-gorge rose qui mettent encore en avant la douceur de sa peau.
Elle s'avance vers lui d'un pas lent et décidé. Il se tourne dans notre direction, terrorisé. Il n'ose pas bouger mais tremble fortement. Elle n'en a cure. Elle continue d'avancer. Puis sa main droite vient attraper son pénis qui gonfle instantanément. Il éjacule dans son sous-vêtement ! A peine de deux gouttes mais suffisamment pour accroître sa terreur. Un sourire dominateur apparaît sur le visage de Maylis. Alors elle déboutonne son pantalon, y glisse la main et en sort son sexe gonflé à bloc !
Elle ne le masturbe même pas, elle le sent à deux doigts d'exploser ! Elle saisit son pantalon et le projette au sol, dénudant ainsi totalement les jambes d'Edouard. Elle le regarde avec curiosité, presque compassion. Puis elle s'avance encore vers lui. Son corps vient se presser contre lui, ses seins s'écraser. Elle glisse son sexe entre ses cuisses, contre son vagin. C'en est trop pour lui. Il pousse un rugissement aigu parfaitement inhumain et éjacule violemment. Une énorme gerbe de sperme vient s'écraser juste devant le canapé. Edouard se laisse doucement envahir par Maylis qui l'inonde de désir.
Et moi, je regarde cela. Absolument tétanisé !
*
Ce n'est vraiment pas possible ! Je ne tiens pas à finir comme les autres, allumé par une fille qui me fera éjaculer et me maintiendra dan un état d'excitation incontrôlable. Je dois, je veux reprendre le contrôle de la situation. Mais déjà, Elle n'est déjà plus elle-même. Sa tête se tourne lentement vers moi, un sourire mauvais déforme son visage. Le sourire d'une personne confiante, absolument sûre de sa victoire.
- N'espère pas réussir contre moi !
son sourire ne s'abaisse pas pour autant. Elle se lève du canapé sur lequel elle est assise. Elle se lève lentement.
Elle s'appelle Sophie. Elle mesure environ 1m70. Une silhouette fine à peine drapée dans un pull gris et une petite jupe. Un pull gris duveteux mais fin qui recouvre et moule les formes d'une jolie poitrine. Son pull laisse dénudé le bas de son ventre. Son nombril s'exhibe impunément. Elle porte une jolie petite jupe blanche qui fait ressortir sa peau chocolat. Sophie est une belle jeune femme. Gentille, douce, compréhensive, adorable. Rien à voir avec la créature de désir que je vois devant moi. Elle se tourne dans ma direction et s'avance d'un pas décidé. Elle se précipite même sur moi.
L'espace très court instant, le temps semble s'être ralenti. Sa gentillesse a disparu, son visage est hideusement déformé par un esprit de revanche. Elle s'empresse d'approcher ses seins de mon torse. Puis elle regarde vers le bas, elle veut approcher son pubis de mon pénis. Ce ralentissement du temps qui passe m'a cependant permis de réagir. J'ai ouvert grand les bras et l'ai étreinte tendrement. J'ai posé mes mains avec délicatesse sur le bas de son dos et tandis qu'elle s'employait à fusionner nos corps, je l'ai caressé. De surprise, elle a subitement levé le visage et exprimé un soupir d'étonnement. Ses yeux ont soudain pris vie et exprimé une certaine terreur. Les miens au contraire étaient emplis de bonté et de compassion tandis que je caresse la belle.
Alors elle s'est reculée. Elle a brutalement écarté mes bras et s'est jetée en arrière pour fuir mes caresses. Elle a reculé de quelques pas tout en me jetant des regards horrifiés.
*
Puis le sourire est revenu. Doucement elle a saisi le bas de sa jupe. D'un air candide, elle m'a regardé. Persuadée que s'offrir à mes regards me ferait perdre le contrôle de moi même. Elle a commencé à soulever sa jupe. Ses cuisses sont superbes. Je les prendrai volontiers pour les écarter. Elle est remontée et elle dévoile une adorable culotte blanche qui met en avant la couleur de sa peau. Effectivement, cela me fait de l'effet mais je prends sur moi de me contrôler. Je défais mon pantalon, extrais mon sexe gonflé à bloc et le pointe dans sa direction.
- Je vais te prendre, Sophie, je vais te sauver.
Sidérée. Sidérée que je réagisse ainsi. Que je lui résiste. Alors elle attrape rapidement son pull et tire sèchement dessus. Elle me dévoile un buste magnifique et un soutien-gorge lumineux. Elle soulève son soutien-gorge et me dévoile ses seins qu'elle me force à regarder pendant quelques secondes. Puis elle se retourne et s'agenouille sur une table, elle soulève sa jupe, baisse sa culotte sans aucune pudeur et manipule son vagin.
- Regarde moi, je suis un objet sexuel. Observe ma chatte, viens l'enfoncer !
La vulgarité de ses propos est absolument sidérante et me renforce dans mon impression que Sophie est effectivement manipulée. Je m'approche d'elle tandis qu'elle s'agite pour se déculotter entièrement. Je me penche en avant, pose doucement la tête sur son fessier. Puis je saisis sa culotte, la remonte et la met en place sous sa jupe. Sophie, la vraie Sophie, soupire alors d'étonnement. Ravie de me voir résister.
- Je vais d'abord m'approprier ton corps, le découvrir progressivement, le faire jouir. Et seulement ensuite, je te prendrai.
Je me suis surpris moi-même ! Voilà une amie de longue date, d'une grande beauté, qui me dévoile ses parties génitales sans aucune pudeur. Et loin de m'exciter, je parviens à l'aider à se rhabiller. Je ne veux pas pas d'un étalage de chair. Et je sens que cette stratégie fonctionne. Sophie lutte en son for intérieur, je m'en rends compte, et fait ce qu'elle peut pour résister à l'esprit qui la manipule.
Alors elle se redresse et s'adosse à un mur de manière précipitée. Puis elle soulève brutalement sa jupe et abaisse sa culotte. Me jurant des obscénités, elle m'invite à regarder sa toison. Moi je m'approche d'elle, avec une grande douceur. Son corps tremble sous l'effet de la colère mais qu'importe. Je m'approche. Puis, parvenue à sa hauteur, je m'agenouille devant elle. Je ramasse sa culotte, la soulève et la remet en place sous sa jupe. Puis je me redresse et la prends dans mes bras. Je pose les mains sur son dos et la caresse tendrement. un moment de franche amitié commence.
Nous nous balançons tous deux de gauche à droite puis je l'amène délicatement vers le centre de la pièce. Et là, nous entamons un slow, une petite danse charmante. Je sens qu'elle se débarrasse petit à petit de l'esprit qui veut la contrôler. La danse se poursuit, elle se nourrit de ma douceur pour se donner la force de résister. Je la sens passer ses bras autour de mon cou, poser sa tête sur mon épaule. Et ses soupirs de bien-être me montre qu'elle réussit. Le slow se poursuit encore et elle fait reculer l'esprit. Le slow continue et cette fois, je triomphe. Il disparaît entièrement.
Elle lève la tête et me regarde.
- Tu as réussi, tu l'as vaincu !
Ses yeux émerveillés me rendent fier de ma victoire.
- Et maintenant, qu'allons-nous faire ?
- L'amour !
*
Je peux enfin me laisser aller à la désirer. Son visage magnifique, ses yeux brillants, son nez taquin, ses lèvres sensuelles. Tout cela me rend dingue d'elle. Je sens sa timidité revenir. Comme si elle ne se souvenait de rien, la pudeur la gagne. A-t-elle oublié qu'elle s'est déculottée devant moi ? Je sens qu'elle n'ose en tout cas même plus écraser ses seins contre mon torse. Une grande timidité la gagne subitement.
Alors je m'approche d'elle et posant les mains sur le milieu de son dos, je l'embrasse langoureusement. Ses lèvres sont d'une grande fraîcheur. Je les embrasse goulûment. Puis ma langue serpente et tente de se frayer un chemin. Elle résiste, je la lèche doucement. Elle écarte légèrement les lèvres, j'en profite pour les baiser de l'intérieur. Je l'embrasse encore plus tendrement tandis qu'elle desserre les dents. Sa langue s'approche de la mienne et nous nous unissons dans une étreinte intense qui dure plusieurs minutes. Le silence se fait autour de nous, plus rien ne compte. Je l'embrasse puis tourne ma tête de l'autre côté. Puis je reviens à la même position. Nous nous éloignons l'un de l'autre.
Je fléchis légèrement des jambes et approche mes mains de son corps. Elle commence à trembler, elle prend peur. Qu'importe. Mes mains contournent lentement ses cuisses puis s'introduisent sous sa jupe. Elle ne le voit pas mais elle sent la chaleur de ses mains et je sens celle de son corps. Elle est enivrante. Je m'approche d'ailleurs d'elle et elle sent très bon. Mes mains remontent très lentement. Nos chaleurs respectives s'entrecroisent et je suis presque ému d'aller toucher ses fesses. Mais elle tremble de plus en plus. Je ne suis plus qu'à une dizaine de centimètres de son postérieur. Il est étrange qu'elle ait si peur ! Elle s'agite fortement. Si fort que je n'ai pas le cœur de la forcer. La chaleur de son corps est délicieuse, obsédante. Je ressens des sensations uniques mais l'envie d'être caressée n'y est pas. Alors je retire mes mains et me recule. Elle me regarde comme si elle me présentait des excuses.
Soudainement, un éclair illumine les lieux tout en nous aveuglant. La lumière forte d'un esprit qui se met à nous parler. Nous n'entendons pas vraiment mais nous comprenons. L'amour qui a émané de moi et de Sophie a suffi à rompre le charme. L'esprit répare son tort ! Les autres filles sortent de leur léthargie petit à petit, les garçons se remettent. Tout le monde ressent une gêne certaine mais aussi le plaisir d'avoir vécu quelque chose d'intense. L'esprit, quant à lui disparaît. La malédiction des lieux est levée, désormais les filles pourront se promener sans risque.
Un seul regret, j'aurai aimé pouvoir prendre Sophie. peut-être une autre fois ?
Pourquoi ai-je proposé ce lieu particulier ? Les commentaires sur internet m'y ont incité ! La forêt a une apparence mystérieuse, elle est très sombre et offre parfois d'étranges coloris gris qui la rendent impénétrable. Une ambiance particulière qui a effrayé plus d'une personne. Un manoir a été construit au beau milieu de la forêt. Une demeure abandonnée, entourée de rumeurs, de légendes étranges et en tous genres. Voilà qui ne pouvait qu'attirer une bande d'étudiants, non ?
Tout le monde a donné son accord ! Il fait un temps radieux, nous avons eu envie d'abandonner nos vêtements d'hiver pour troquer ceux d'été. Les garçons portent des tee shirts et des jeans, les filles ont sorti les jupes et robes courtes. Allez savoir pourquoi toutes les filles ont un teint chocolat au lait. Elles sont toutes très belles, très féminines !
Après deux heures de route, nous avons atteint la forêt. Nous avons rapidement récupéré nos affaires et sommes partis à l'aventure. Nous voulions rejoindre le manoir le plus rapidement possible. La course débute. Mais déjà deux personnes manquent à l'appel :
- Où sont Ben et Nathalie ?
- Partez sans nous ! Nous allons vous rejoindre !
Nathalie a perdu une chaussure en tapant du pied contre une racine. Benjamin a gentiment proposé de l'aider. Dans la précipitation, nous les avons dépassés. Entendu, ils veulent se donner un peu de temps. Nous les avons donc laissé là. Après tout, ils sauront bien nous rejoindre rapidement.
*
- Tu as récupéré ta chaussure ?
Nathalie n'a pas répondu. Benjamin est donc revenu sur ses pas et s'est approché d'elle. Elle se tient de dos, il en profite pour étudier sa silhouette. Nathalie est une jeune femme féminine et jolie. Elle porte un pull-chandail dénudant ses magnifiques épaules qui luisent au soleil. Le col du pull moule sa poitrine. Une jupe trapèze en jean assez ample met en valeur de jolies cuisses chocolat dénudées. Elle a un fessier protubérant, elle est vraiment très agréable.
- As-tu récupéré ta chaussure, Nathalie ?
Sans lui répondre, elle se redresse puis se retourne. Il est ébahi par son regard. Totalement vide, inexpressif. Et pourtant si ! Il est expressif, tellement expressif. Benjamin y lit de la détermination, sans savoir en quel sens. Elle est majestueuse, gonflant la poitrine. Puis elle s'approche de lui d'un pas lent et décidé. Elle le regarde, elle se colle à lui. Il est un peu gêné. Après tout, ils sont amis et tant d'impudeur le décontenance un peu. Elle s'en moque, manifestement. Elle se retourne et colle son fessier contre son sexe ! ll bande instantanément.
- Nathalie, que fais-tu ?
Prononcée sans aucune assurance. La gêne lui fait adopter un ton saccadé.
L'éblouissante demoiselle demeure silencieuse. Avec autorité, elle s'empare de ses mains et les pose sur ses hanches. Puis elle entame une danse. Une danse érotique. Elle dandine du fessier contre son sexe, elle se recule quand lui-même essaie de s'éloigner un peu. Elle garde un contact physique. Elle est d'une grande sensualité, il sent son désir augmenter. Alors elle accélère sa danse, retire totalement ses chaussures, dénude ses pieds et danse sur le feuillage.
Benjamin s'abandonne doucement aux rêves et au désir de la posséder. Il n'ose la caresser, il la laisse faire. Nathalie, elle, continue son incroyable manège. Elle le met en ébullition. Elle s'arrête soudainement et se retourne en reculant. Elle le regarde de manière fixe. Puis elle saisit son pull, le soulève et l'ôte sous ses yeux ébahis. Sa peau est magnifique, elle porte un soutien-gorge qui met incroyablement bien en avant ses seins protubérants. Instinctivement, il porte la main à son pénis et se caresse doucement.
Alors elle saisit sa jupe et la soulève, révélant une jolie petite culotte rose ! Il bande très fortement. N'en pouvant plus, il défait sa braguette et ouvre son pantalon en la regardant. Il a l'air d'un carnassier mort de faim ! Il veut la prendre, il veut la prendre. Sans réfléchir, sans savoir pourquoi ni comment, il pense venir facilement à bout de toute éventuelle résistance. Il la possédera, c'est sûr ! Nathalie ne sourit pas, ne s'émeut de rien. Elle regarde son pénis dressé en l'air quelques instants, les yeux toujours aussi vides et neutres. Lui commence à se masturber en se léchant les lèvres.
*
Alors elle s'avance vers lui et il sent la nécessité de se soumettre, sans vraiment comprendre ce qui lui arrive. Il s'agenouille doucement puis s'allonge sur le dos. Tout en gardant sa jupe soulevée pour l'exciter, elle s'avance. Puis elle s'agenouille, le chevauche et bientôt pose son vagin sur son sexe. Il vit alors quelques secondes d'une gigantesque intensité. Un de ses moments où la pudeur de l'amitié n'est plus qu'une vieille barrière en bois. Une barrière qui saute sous les assauts d'un taureau qui a pour nom Eros. Rapidement, elle s'agite au-dessus de lui. Son corps frotte celui du garçon qui est traversé par des spasmes de plaisir. Elle gesticule. Il parvient à poser ses mains sur ses hanches, la regarde plein de désir et d'amour. Elle n'en a cure. Elle accélère le rythme de la danse. Son rut devient douloureux, il a mal à son pénis et sent ses testicules gonfler.
C'est le moment qu'elle choisir pour s'allonger sur son corps. C'en est trop pour Benjamin. Il pousse un cri totalement inhumain et éjacule violemment. Son sexe libère une grosse masse de sperme qui vient s'accrocher à la culotte de Nathalie puis retomber sur lui. Il caresse son dos, son pénis lui fait mal d'avoir ainsi éjaculé. Il est totalement vidé, dépourvu d'énergie.
Et puis le silence se fait. Il n'a pas compris ce qui vient de lui arriver, il ressent simplement le bonheur d'avoir ainsi joui. Et la déception de ne pas avoir possédé Nathalie.
*
Nous n'avons rien entendu.
Nous avons tous continué d'avancer. Heureusement que nous avions un plan pour nous orienter dans la forêt ! Mais les lieux sont assez immenses. Nous avons marché une heure environ. Epuisées, les filles ont demandé à se reposer un peu. Nous nous sommes abrités dans une ancienne petite grange abandonnée. Un bâtiment en bois à ciel ouvert. Une mini-étable. On trouve encore du sable et du foin sur le sol. Personne ne s'inquiète vraiment du retard de Ben et Nathalie. Ils nous retrouveront ! Nous en sommes persuadés.
Nous sommes restés une demi-heure environ puis nous avons repris la route. Nous nous sommes préparés tout du moins. Martial était parmi les derniers. Il s'est enfoncé dans la grange pour récupérer des objets entreposés dans le foin. Quand il s'est retourné, tout le monde semblait parti. Le silence avait envahi les lieux. Seule Paula est apparue.
- Tu es encore là ?
Aucune réponse. Martial lui trouve un air un peu étrange. Elle semble absente. Son regard est vide et pourtant, elle oscille dans sa direction.
- J'ai récupéré les affaires, nous allons pouvoir repartir.
Elle ne dit rien. Elle se retourne, il finit de ranger. Au moment où il la rejoint, elle ôte son gilet plan qui recouvre son corps et le laisse tomber. Elle porte une robe rose faite d'un tissu souple et ample mais qui moule les formes de son corps. Le coloris met en avant sa jolie peau noire. Elle a de très belles cuisses. Martial la regarde, interdit. La lumière transperce sa robe et il peut contempler à loisir son entre-jambe. Il rougit.
Elle tourne la tête dans sa direction, il se sent terriblement perturbé.
Ses gestes sont lents et posés. Son corps si féminin tourne de quelques degrés. Elle écarte les jambes légèrement puis se recroqueville plusieurs fois d'une manière très érotique. Ne pouvant détacher son regard de son entrejambe, il rougit à nouveau devant son geste explicite. Il se sent envahi d'un désir qui ne fait que s'amplifier quand elle se met de profil. Le tissu rose moule ses seins opulents et les magnifie ! Sa bouche est sensuelle, sa coiffure en chignon ajoute encore au côté sexy de sa silhouette.
Sa gorge devient sèche, il n'ose bouger. Elle l'intimide, elle ferait presque peur avec sa détermination ! Elle s'avance doucement vers lui. De temps à autre, de manière ingénue, elle saisit le bas de sa robe. Une bouffée de chaleur envahit alors son corps. Il devient totalement silencieux.
*
Elle est à présent très proche de lui. Son parfum puissant enivre ses narines. Elle est vraiment très jolie. Il sent immédiatement le désir la prendre le gagner. Machinalement, Martial défait son pantalon et exhibe un sexe gonflé à bloc. Elle le regarde sans pudeur ni gêne. Elle s'approche, se retourne. Le bas de sa robe effleure son sexe. Elle fait jouer le tissu sur son pénis et le masse de cette manière. Il ne parvient pas à réprimer ses envies. ll ne parvient pas à réprimer ses envies.
- Danse contre moi ! Crie-t-il.
Mais elle n'en fait rien. Elle ne s'approche pas davantage. Il sent la chaleur de son corps, de ses fesses mais il ne peut la toucher.
- Tu es si jolie ! murmure-t-il lamentablement.
Comme déçue par ses paroles, elle s'éloigne. Elle se retourne, le regarde très durement, le glaçant instantanément. Puis son regard se fait rassurant. Sans comprendre pourquoi, il ressent le besoin de se masturber devant elle. Tout en la regardant, il frotte sa verge qui gonfle encore un peu plus. Elle reste une minute entière, immobile devant lui, tandis qu'il se masturbe pour augmenter son désir. Il accélère, accélère encore, halète devant la cadence imposée.
Puis elle saisit le bas de sa robe si souple et le soulève. Doucement, elle dévoile une petite culotte verte fluo qui tranche totalement avec sa peau sombre. Absolument estomaqué, il est pris d'une nouvelle bouffée de chaleur. Elle continue de lever sa robe. Elle dévoile son ventre, il accélère la masturbation. Il commence à râler, le sperme monte. Elle soulève encore son vêtement, lui aussi accélère. Il commence à râler de douleur. Puis elle dévoile son soutien-gorge de la même couleur, ses gros seins.
Là, il n'en peut plus, il accélère très fortement la masturbation puis pousse un énorme cri bestial. Il éjacule, laisse échapper une grosse giclée de sperme. Le liquide vient asperger sa robe. Une seule giclée mais qui aura suffi à le vider entièrement. Il est épuisé. Tandis qu'elle se retourne et s'en va, il se laisse tomber au sol, plein d'excitation. Mais il n'a pas pu la sauter.
*
- Mais où sont passés les autres ?
Il nous manque deux couples ! Etranges. Nous ne sommes maintenant plus très loin mais nous nous arrêtons au milieu des bois. Ce serait bien que le groupe se reconstitue, à présent. Restons groupés, enfin ! Les filles se rassemblent toutes dans un coin. Enfin, toutes. Personne ne remarque que Camille s'est isolée. Elle s'en va en direction d'un arbre.
Edouard s'est adossé contre cet arbre. Elle le rejoint. Pour discuter, un peu, pense-t-il. Elle approche, le visage masqué par une ombre. Edouard ne remarque pas que quelque chose est changé en elle. Il voit juste une fille pressée de le rejoindre. Aussi est-il étonné et pousse-t-il une exclamation de surprise lorsqu'elle lui saisit le pénis au-dessus du pantalon. D'une main experte, elle frotte deux doigts contre le bas du sexe et le fait immédiatement gonfler au point qu'il dépasse du pantalon.
Les autres entendent son cri et se retournent, curieux de savoir ce qu'il se passe. Ce qu'ils voient les ébahis totalement ! Elle défait sa ceinture tout en continuant de le masser. Lui, totalement excité et sentant ses testicules également touchés, ne parvient pas à réagir. Il plaque ses mains contre l'arbre, transpire abondamment et ses yeux se ferment peu à peu. Elle ouvre la braguette,défait son pantalon, y plonge la main et saisit son sexe qu'elle masse fortement.
Soudainement, elle s'agenouille, ouvre la bouche et y fait entrer son sexe. Il est vraiment très surpris. Camille a un visage ovale et chocolat au lait. De grands yeux, un très beau regard, des traits gracieux et féminins. La voir ainsi capturer son pénis lui fait étrange. Mais il n'a pas le temps de se poser beaucoup de questions ! Elle se met à le sucer de manière autoritaire et experte, tout en agitant ses testicules. L'envie de la prendre le gagne instantanément mais l'excitation le rend totalement impuissant. Il subit entièrement.
Elle se redresse, il l'observe d'un œil suppliant.
*
Camille a un corps fin dissimulé sous une robe noire moulante et rigide. Le haut noir est toutefois verticalement traversé par deux rayures épaisses et dorées qui mettent ses petits seins en avant. Elle le regarde d'un air vide quoique son comportement témoigne de sa grande détermination. Soudain, elle se retourne et soulève abruptement sa robe.
Il découvre estomaqué un string ficelle noir. Deux superbes fesses se dévoilent à lui. Et sans qu'il ait le temps de quoi que ce soit, elle recule et y enfonce son pénis ! Celui-ci grossit immédiatement, il sent une énorme montée de sperme. Il pousse un énorme hurlement qui dissimule son rut. Elle s'enfonce du mieux qu'elle peut puis se plie en deux. Son cri dure une dizaine de secondes. Après quoi, elle se redresse et se retourne à nouveau. Il commence à pleurer.
Elle soulève à nouveau sa robe pour exalter son pubis. Puis elle s'avance autoritairement contre lui et commence à frotter son pubis contre son sexe. C'en est trop, le corps lâche entièrement. Il pousse un gigantesque grognement puis éjacule violemment contre elle. Le sperme dépasse sa culotte et va s'écraser contre ses seins puis son cou et son front ! Une seule giclée mais d'une telle intensité ! Il se laisse alors glisser le long de son arbre et s'assoit. Elle s'installe sur lui et s'effondre dans ses bras.
Le spectacle nous a tous laissé pantois. Mais qu'a-t-il bien pu se passer ? Pourquoi Camille s'est-elle comportée de la sorte ? Mystère ! Un silence lourd s'est instauré entre nous tous. En peu de temps, une après-midi innocente entre étudiants a pris une tournure sexuelle. Et pas n'importe quelle tournure ! Ils ne se sont pas embrassés, pas même caressés ! Elle l'a allumé et l'a poussé à se vider entièrement.
Subitement, j'ai l'impression étrange que cette agression ne sera pas la première. Instinctivement, je me tourne vers les filles qui ont l'air assez calmes. Pour l'instant.
*
Où est passée Virginie ? Subitement, l'angoisse monte en moi. Je ne la vois pas au milieu des autres filles. Je balaie du regard les environs. Mais rien.
Daniel s'est également éloigné. Il est assis sur le sol, les jambes allongées. L'espace d'un instant, il a voulu s'isoler pour réfléchir à ce qui venait de se passer. Quelle histoire étrange !
Il n'est pas resté longtemps dans ses réflexions, rapidement rejoint dans sa course à l'isolement par Virginie. Virginie est une jolie fille. Il la regarde flâner tranquillement, au gré d'une marche à rythme tranquille. Elle porte une robe bleue dont les teins pastels, le motif, mettent en avant sa peau chocolat au lait. Le tissu est ample et fait d'autant mieux ressortir la finesse de sa silhouette. Elle prend plaisir à se montrer de profil, à exhiber ses seins devant lui. Ses doux traits de visage, sa bouche sensuelle en font réellement une fille agréable à regarder. Et qu'il apprécie.
Il est amusé par cette démarche pleine de sous-entendus. Quoiqu'elle fasse semblant de ne pas s'intéresser à lui, il sait son esprit tourné vers un objectif.
- Alors toi aussi tu veux allumer les garçons ?
Elle ne répond pas. Elle continue sa progression au même rythme. L'air soulève très légèrement sa robe. Joue avec le tissu. Et cela ne la rend que plus désirable. De temps à autre, elle pose la main sur l'arrière de sa robe, comme pour l'empêcher de se soulever. En même temps, elle se retourne vers Daniel et le gratifie d'un sourire parfaitement univoque. Elle tourne autour de lui, tend à se rapprocher davantage. Puis il commence à l'imaginer dans sa tête. Il se la représente, s'approchant de lui. Et cette fois, il regarde chaque partie de son corps, en apprécie les charmes. Daniel perd progressivement son sourire moqueur et sûr de lui. Il ressent l'intrusion d'un personnage dans son esprit. Et tandis que les pas doux et lents de Virginie dans le feuillage forment un bruit, son image s'impose à lui, se grave dans sa mémoire.
Et elle, elle se rapproche lentement.
*
Subitement, elle se tourne vers lui et littéralement se jette près de son corps. Elle s'approche telle une bête effrayante. Daniel n'a aucune intention d'éjaculer dans le feuillage, comme les autres. Il libère immédiatement sa libido, ses envies et se dit que lui, il vaincra ! Alors il la reçoit bras grands ouverts et tandis qu'elle s'approche pour l'exciter. Il s'empare de son corps, le tire à lui, l'étend sur sa propre personne et l'embrasse sur la bouche. Elle est surprise mais répond à son assaut par un doux baiser. Ses lèvres sont agréables, chaudes. Un air brûlant s'échappe de sa bouche tandis que sa langue est délicieuse au contact.
Il passe les mains autour d'elle et caresse son dos, ses hanches. Elle est vraiment très belle et le désir de la posséder est très fort. Les deux tourtereaux s'embrassent pendant plusieurs minutes. Daniel est absolument ravi de cette étreinte intense entre eux. Et puis elle se recule légèrement. Pour le contempler. Daniel tombe sous le charme de son regard velouté, deux beaux yeux bruns qui le contemplent avec une grande aisance. Très rapidement, elle entame un étrange mouvement par lequel elle compte serpenter sur son corps ! Elle pose sa tête sur le ventre de Daniel, remonte le long de son torse pour se poser sur son épaule droite. Le contact des deux corps est absolument irrésistible ! Daniel ressent une montée exponentielle de ses pulsions, une vague d'émotions intenses qui le submerge totalement lorsqu'elle pose son pubis sur son pénis.
Il pose ses mains sur le bas du dos de Virginie et la caresse délicatement mais laisse échapper un râlement de jouissance. Le sperme monte irrésistiblement en lui. Bien que submergé, il parvient à garder un certain contrôle. Il saisit les pans de sa robe et la remonte doucement. Ses cuisses chocolats se dévoilent, puis sa petite culotte blanche teintée de pois noirs. Elle a un magnifique petit fessier sur lequel il pose ses mains. Il parcourt ses fesses, elle le laisse le caresser. Sûre d'elle et de sa victoire. Il prend beaucoup de plaisir puis il s'approche de son oreille et lui susurre :
- N'espère même pas me faire jouir ailleurs que dans ton corps ! Nous allons coucher ensemble !
L'espace d'un court instant, elle s'immobilise. Elle ne s'attendait pas du tout à cette réponse. Puis le sourire gagne son visage. Elle se recule, se redresse à la force de ses bras et se lève sans le regarder. Puis elle se retourne en faisant virevolter sa robe. Virevolter au point de dévoiler le bas de ses fesses. Daniel ne résiste pas à poser deux doigts sur son sexe et se masturber. Souriante et satisfaite, elle s'éloigne doucement de lui, tout en l'invitant d'un geste du doigt.
*
Daniel se lève et la rejoint tandis qu'elle les éloigne du groupe. L'attirant par ses gestes aguicheurs de la main. Elle continue sa marche et lui fait admirer sa gracieuse silhouette. Elle finit par s'immobiliser devant lui. Ses mains viennent rechercher l'arrière de sa robe qu'elle soulève délicatement. Sa culotte luit au soleil et fait ressortir sa magnifique peau. A nouveau le désir le prend et ne le quittera plus.Son sexe gonfle au point de devenir douloureux. Il défait rapidement son pantalon et exhibe son sexe qu'il se met à masturber frénétiquement, en haletant.
Elle abaisse sa robe comme on ferait tomber le rideau. Elle reprend sa marche puis à nouveau lui montre sa culotte. N'y tenant plus, il court et la rejoint rapidement. Il la heurte violemment, l'enserre entre ses bras et pose les mains sur son ventre.
- Je vais te pénétrer !
Doucement, son sexe entre dans ses fesses. La chaleur du corps de Virginie augmente ses pulsions. Mécaniquement, ses mains remontent. Atteignent les cotes puis les seins qu'il réussit à caresser quelques instants. Le contact l'a gêné cependant. Elle le rejette avec une force qui le surprend. Il se laisse propulser en arrière tandis qu'elle se met à courir. Sous la virulence de ses pas, sa robe légère volette dans les airs et dévoile à nouveau sa culotte, ses fesses et le haut de ses cuisses. Pour Daniel, c'est une vision de rêve et il laisse tomber quelques larmes sous l'émotion de la voir ainsi.
L'envie, le désir, la passion, le besoin. Il ne sait plus vraiment bien ce qu'il ressent mais au demeurant, peu importe. Ce qui compte est son grand rêve d'écarter ses cuisses, de la déculotter, de pénétrer son intimité. Il commence à l'avouer, il ressent véritablement de l'amour pour elle. Mais il est conscient, sans vraiment comprendre pourquoi qu'elle se livre à un jeu. Alors il faudra la forcer, la brusquer un peu. Mais ce n'est pas grave, il est prêt à le faire.
Il reprend ses esprits, se redresse et court dans sa direction.
*
A nouveau il la rejoint et cette fois, il lui saute dessus et la fait tomber au sol, lourdement au demeurant. Puis il saisit les pans de sa jupe et soulève le tissu. il dévoile son corps, jusqu'au soutien-gorge. De surprise, elle laisse échapper quelques cris. Il n'en a cure, il se penche en avant et pose victorieusement son sexe sur son fessier.
- Tu fais moins la fière, maintenant,hein ? Attends que je te prenne !
Mais elle résiste ! Elle saisit rapidement sa robe et l'abaisse violemment. Soudain, son sexe est recouvert par le tissu qu'elle entend tenir. Il s'énerve et entreprend de lui arracher sa robe. Il la saisit mais elle résiste. Il saisit ses bras, les écarte violemment et soulève à nouveau. Son dos lui apparaît superbe. Puis il pose le bras sur le dos tout en tenant ses mains. Il entreprend de la coincer. Ravi d'y être parvenu, quelques gouttes de sueur, il se rapproche d'elle et enfonce sa verge contre sa culotte. Il pense avoir fait le plus dur.
Mais elle réussit à libérer ses mains et se dégage fortement vers l'avant, se projette. Elle se retourne, le regarde d'un air particulièrement coquin. Puis, écartant les cuisses, elle soulève sa robe et dévoile son pubis sans vergogne sous ses yeux absolument ahuris ! Ses cuisses magistrales, sa petite culotte, la proximité apparente de son pubis ! A nouveau beaucoup de choses se passent en lui. Il entreprend de se calmer en se masturbant. Pour se faire, il saisit son pénis à pleines mains et entreprend un important massage. Mais c'est pire. Elle s'en rend compte, son sourire s'accentue. Alors, elle rebondit sur ses jambes, agite son pubis et entreprend de le rendre vraiment dingue !
Conscient de perdre le contrôle, il se jette sur elle et lui tombe dessus. Elle se laisse faire. Il saisit sa cuisse gauche, la soulève, l'écarte puis presse son sexe contre son pubis. Elle réagit par un petit rire d'enfant qui l'émeut et le déconcerte totalement. Elle semble contente, ravie ! Il ne sait quoi penser. Elle semble particulièrement ravie de son intention de la sauter et pourtant, elle résiste.
Justement, elle profite de cet instant de doute. Avec une force inimaginable, elle le repousse. Il bascule en arrière tandis qu'elle se relève et s'éloigne. Toujours sa robe vole dans les airs. Lorsque Daniel a récupéré de sa surprise et se relève, elle lui fait face. Un regard ingénu et plein de défi. Soudain, elle saisit sa robe et sans aucune pudeur, la soulève. Progressivement, il voit le haut de ses cuisses, sa culotte, son ventre, son soutien-gorge blanc et même le haut de ses seins ! Il se crispe en deux d'effroi. Le sperme lui semble à deux doigts de sortir et pourtant il veut résister. Elle s'immobilise un instant, le regard conquérant, le sourire satisfait devant lui. Il semble Daniel qu'elle fait absolument ce qu'elle veut de lui.
Et justement, elle se recule, s'appuie contre un arbre et lui fait signe de la rejoindre.
*
Il s'approche et s'arrête juste devant elle. Il est étonné, il se demande ce qu'il va se passer. Elle déplace très légèrement ses jambes. Suffisamment pour rallumer sa flamme quant aux formes de son corps ! Décidément, oui elle fait ce qu'elle veut. Il s'arrête, elle le regarde langoureusement. Quelques secondes pour le rassurer ! Puis elle s'agenouille vivement devant lui, ouvre la bouche et y fait entrer son pénis ! Surpris, il peut juste s'appuyer contre l'arbre pour ne pas se blesser tandis qu'il se plie en avant. Elle entame une fellation. Elle mouille l'ensemble de la paroi de son sexe. Un rythme régulier, assez lent.
Elle presse fort ses lèvres contre son pénis et de temps en temps le gratifie d'un regard espiègle. Lui se cramponne comme il peut. Elle accélère le rythme et suce plus fort. Il ferme les yeux, très fortement. Elle accélère encore le rythme, elle suce très bien. En plus, elle donne de petits coups de langue absolument ravageurs. C'en est trop, il se jette en arrière. Parvient à retirer sa verge de sa bouche. Il entend le bruit goulu de sa salive, sa respiration qui se renforce.
Claudiquant maladroitement, il la regarde d'un air désespéré. Il ne contient plus ses émotions, il sent son cerveau totalement anéanti. Son sexe lui fait terriblement mal, il est à deux doigts d'éjaculer. Il la désire maintenant plus que jamais, il veut la prendre. Mais il sent bien qu'avec cette fellation, elle a gagné la partie. Définitivement. Qu'importe, il résistera. Il résistera. Il résistera.
BOUM !
Il est tombé en arrière sur le feuillage. A deux doigts de s'évanouir. Trop d'intensité.
Il la voit se rapprocher de lui, s'agenouiller. Remonter sa robe pour dévoiler encore sa culotte, lever la jambe et le chevaucher. Puis elle presse son vagin contre son pénis. Elle commence à sautiller au-dessus de lui tandis qu'elle lui tombe dessus. Comme s'ils faisaient l'amour, elle laisse sa tête se pencher en arrière. Puis bouche grande ouverte, elle commence à émettre des cris aigus d'orgasme ! D'abord intenses puis de plus en plus forts. Comme s'il la mettait en rut ! Comme si elle s'abandonnait totalement à lui.
Mais c'est bien Daniel qui a perdu maintenant toute résistance. Virginie s'arrête alors, jette un regard victorieux sur sa victime immobilisée par la pulsion. Elle lui montre ses seins une dernière fois puis s'étend sur son corps. Elle lui arrache ainsi un énorme grognement de plaisir tandis que le sperme s'échappe sur son sexe et vient entacher la petite culotte de Virginie. Encore une victime !
*
Nous sommes tous estomaqués ! Daniel n'a pas réussi à sauter Virginie. Alors, épouvantés, nous courons tous et toutes. Nous nous réfugions dans le manoir. Parvenus au sein de la pièce centrale, nous soufflons. Nous voulons nous croire en sécurité. Ici, il ne se passera rien !
Est-ce seulement sûr ?
Subitement, la porte d'entrée se referme et claque violemment. nous voilà prisonniers ! Alors seulement, je me souviens de la principale légende autour des lieux. On raconte que ce manoir était celui d'une belle jeune femme qui voulait vivre en solitaire. Un jour, un groupe d'hommes a détruit sa porte et envahi les lieux. Les hommes l'ont violée et l'ont laissée à son triste sort. De rancoeur, 10 ans plus tard, elle prononça une malédiction avant de mourir. Lorsqu'une femme marchera en direction du manoir, elle sera toute entièrement dévouée à provoquer une pulsion chez l'homme. Une pulsion tellement forte qu'il en perdrait le contrôle de lui-même. En jouissant prématurément par exemple. Et plus nous nous rapprochons du manoir plus les énergies sont vives. Quelle erreur avons-nous commise-là ?
Il reste 2 filles parmi nous. Elles sont assises sur le canapé.
Maylis se lève au bout de quelques instants. Une jolie jeune femme noire. les cheveux noirs resserrés en chignon dévoilent totalement son visage. Elle porte une robe jaune fluo qui fait ressortir la délicatesse de sa peau. Une robe en forme de parallélépipède qui fait ressortir l'épaisseur de ses seins et de son fessier. Cette robe courte dévoile le haut de ses cuisses. Elle se lève et regarde Edouard avec beaucoup d'intensité. Immédiatement captivé par ce regard, Edouard se met à transpirer abondamment. Elle intensifie encore son beau regard brun. Elle s'avance de deux pas. Puis elle saisit sa robe, la soulève et la retire devant lui ! Elle porte une culotte et un soutien-gorge rose qui mettent encore en avant la douceur de sa peau.
Elle s'avance vers lui d'un pas lent et décidé. Il se tourne dans notre direction, terrorisé. Il n'ose pas bouger mais tremble fortement. Elle n'en a cure. Elle continue d'avancer. Puis sa main droite vient attraper son pénis qui gonfle instantanément. Il éjacule dans son sous-vêtement ! A peine de deux gouttes mais suffisamment pour accroître sa terreur. Un sourire dominateur apparaît sur le visage de Maylis. Alors elle déboutonne son pantalon, y glisse la main et en sort son sexe gonflé à bloc !
Elle ne le masturbe même pas, elle le sent à deux doigts d'exploser ! Elle saisit son pantalon et le projette au sol, dénudant ainsi totalement les jambes d'Edouard. Elle le regarde avec curiosité, presque compassion. Puis elle s'avance encore vers lui. Son corps vient se presser contre lui, ses seins s'écraser. Elle glisse son sexe entre ses cuisses, contre son vagin. C'en est trop pour lui. Il pousse un rugissement aigu parfaitement inhumain et éjacule violemment. Une énorme gerbe de sperme vient s'écraser juste devant le canapé. Edouard se laisse doucement envahir par Maylis qui l'inonde de désir.
Et moi, je regarde cela. Absolument tétanisé !
*
Ce n'est vraiment pas possible ! Je ne tiens pas à finir comme les autres, allumé par une fille qui me fera éjaculer et me maintiendra dan un état d'excitation incontrôlable. Je dois, je veux reprendre le contrôle de la situation. Mais déjà, Elle n'est déjà plus elle-même. Sa tête se tourne lentement vers moi, un sourire mauvais déforme son visage. Le sourire d'une personne confiante, absolument sûre de sa victoire.
- N'espère pas réussir contre moi !
son sourire ne s'abaisse pas pour autant. Elle se lève du canapé sur lequel elle est assise. Elle se lève lentement.
Elle s'appelle Sophie. Elle mesure environ 1m70. Une silhouette fine à peine drapée dans un pull gris et une petite jupe. Un pull gris duveteux mais fin qui recouvre et moule les formes d'une jolie poitrine. Son pull laisse dénudé le bas de son ventre. Son nombril s'exhibe impunément. Elle porte une jolie petite jupe blanche qui fait ressortir sa peau chocolat. Sophie est une belle jeune femme. Gentille, douce, compréhensive, adorable. Rien à voir avec la créature de désir que je vois devant moi. Elle se tourne dans ma direction et s'avance d'un pas décidé. Elle se précipite même sur moi.
L'espace très court instant, le temps semble s'être ralenti. Sa gentillesse a disparu, son visage est hideusement déformé par un esprit de revanche. Elle s'empresse d'approcher ses seins de mon torse. Puis elle regarde vers le bas, elle veut approcher son pubis de mon pénis. Ce ralentissement du temps qui passe m'a cependant permis de réagir. J'ai ouvert grand les bras et l'ai étreinte tendrement. J'ai posé mes mains avec délicatesse sur le bas de son dos et tandis qu'elle s'employait à fusionner nos corps, je l'ai caressé. De surprise, elle a subitement levé le visage et exprimé un soupir d'étonnement. Ses yeux ont soudain pris vie et exprimé une certaine terreur. Les miens au contraire étaient emplis de bonté et de compassion tandis que je caresse la belle.
Alors elle s'est reculée. Elle a brutalement écarté mes bras et s'est jetée en arrière pour fuir mes caresses. Elle a reculé de quelques pas tout en me jetant des regards horrifiés.
*
Puis le sourire est revenu. Doucement elle a saisi le bas de sa jupe. D'un air candide, elle m'a regardé. Persuadée que s'offrir à mes regards me ferait perdre le contrôle de moi même. Elle a commencé à soulever sa jupe. Ses cuisses sont superbes. Je les prendrai volontiers pour les écarter. Elle est remontée et elle dévoile une adorable culotte blanche qui met en avant la couleur de sa peau. Effectivement, cela me fait de l'effet mais je prends sur moi de me contrôler. Je défais mon pantalon, extrais mon sexe gonflé à bloc et le pointe dans sa direction.
- Je vais te prendre, Sophie, je vais te sauver.
Sidérée. Sidérée que je réagisse ainsi. Que je lui résiste. Alors elle attrape rapidement son pull et tire sèchement dessus. Elle me dévoile un buste magnifique et un soutien-gorge lumineux. Elle soulève son soutien-gorge et me dévoile ses seins qu'elle me force à regarder pendant quelques secondes. Puis elle se retourne et s'agenouille sur une table, elle soulève sa jupe, baisse sa culotte sans aucune pudeur et manipule son vagin.
- Regarde moi, je suis un objet sexuel. Observe ma chatte, viens l'enfoncer !
La vulgarité de ses propos est absolument sidérante et me renforce dans mon impression que Sophie est effectivement manipulée. Je m'approche d'elle tandis qu'elle s'agite pour se déculotter entièrement. Je me penche en avant, pose doucement la tête sur son fessier. Puis je saisis sa culotte, la remonte et la met en place sous sa jupe. Sophie, la vraie Sophie, soupire alors d'étonnement. Ravie de me voir résister.
- Je vais d'abord m'approprier ton corps, le découvrir progressivement, le faire jouir. Et seulement ensuite, je te prendrai.
Je me suis surpris moi-même ! Voilà une amie de longue date, d'une grande beauté, qui me dévoile ses parties génitales sans aucune pudeur. Et loin de m'exciter, je parviens à l'aider à se rhabiller. Je ne veux pas pas d'un étalage de chair. Et je sens que cette stratégie fonctionne. Sophie lutte en son for intérieur, je m'en rends compte, et fait ce qu'elle peut pour résister à l'esprit qui la manipule.
Alors elle se redresse et s'adosse à un mur de manière précipitée. Puis elle soulève brutalement sa jupe et abaisse sa culotte. Me jurant des obscénités, elle m'invite à regarder sa toison. Moi je m'approche d'elle, avec une grande douceur. Son corps tremble sous l'effet de la colère mais qu'importe. Je m'approche. Puis, parvenue à sa hauteur, je m'agenouille devant elle. Je ramasse sa culotte, la soulève et la remet en place sous sa jupe. Puis je me redresse et la prends dans mes bras. Je pose les mains sur son dos et la caresse tendrement. un moment de franche amitié commence.
Nous nous balançons tous deux de gauche à droite puis je l'amène délicatement vers le centre de la pièce. Et là, nous entamons un slow, une petite danse charmante. Je sens qu'elle se débarrasse petit à petit de l'esprit qui veut la contrôler. La danse se poursuit, elle se nourrit de ma douceur pour se donner la force de résister. Je la sens passer ses bras autour de mon cou, poser sa tête sur mon épaule. Et ses soupirs de bien-être me montre qu'elle réussit. Le slow se poursuit encore et elle fait reculer l'esprit. Le slow continue et cette fois, je triomphe. Il disparaît entièrement.
Elle lève la tête et me regarde.
- Tu as réussi, tu l'as vaincu !
Ses yeux émerveillés me rendent fier de ma victoire.
- Et maintenant, qu'allons-nous faire ?
- L'amour !
*
Je peux enfin me laisser aller à la désirer. Son visage magnifique, ses yeux brillants, son nez taquin, ses lèvres sensuelles. Tout cela me rend dingue d'elle. Je sens sa timidité revenir. Comme si elle ne se souvenait de rien, la pudeur la gagne. A-t-elle oublié qu'elle s'est déculottée devant moi ? Je sens qu'elle n'ose en tout cas même plus écraser ses seins contre mon torse. Une grande timidité la gagne subitement.
Alors je m'approche d'elle et posant les mains sur le milieu de son dos, je l'embrasse langoureusement. Ses lèvres sont d'une grande fraîcheur. Je les embrasse goulûment. Puis ma langue serpente et tente de se frayer un chemin. Elle résiste, je la lèche doucement. Elle écarte légèrement les lèvres, j'en profite pour les baiser de l'intérieur. Je l'embrasse encore plus tendrement tandis qu'elle desserre les dents. Sa langue s'approche de la mienne et nous nous unissons dans une étreinte intense qui dure plusieurs minutes. Le silence se fait autour de nous, plus rien ne compte. Je l'embrasse puis tourne ma tête de l'autre côté. Puis je reviens à la même position. Nous nous éloignons l'un de l'autre.
Je fléchis légèrement des jambes et approche mes mains de son corps. Elle commence à trembler, elle prend peur. Qu'importe. Mes mains contournent lentement ses cuisses puis s'introduisent sous sa jupe. Elle ne le voit pas mais elle sent la chaleur de ses mains et je sens celle de son corps. Elle est enivrante. Je m'approche d'ailleurs d'elle et elle sent très bon. Mes mains remontent très lentement. Nos chaleurs respectives s'entrecroisent et je suis presque ému d'aller toucher ses fesses. Mais elle tremble de plus en plus. Je ne suis plus qu'à une dizaine de centimètres de son postérieur. Il est étrange qu'elle ait si peur ! Elle s'agite fortement. Si fort que je n'ai pas le cœur de la forcer. La chaleur de son corps est délicieuse, obsédante. Je ressens des sensations uniques mais l'envie d'être caressée n'y est pas. Alors je retire mes mains et me recule. Elle me regarde comme si elle me présentait des excuses.
Soudainement, un éclair illumine les lieux tout en nous aveuglant. La lumière forte d'un esprit qui se met à nous parler. Nous n'entendons pas vraiment mais nous comprenons. L'amour qui a émané de moi et de Sophie a suffi à rompre le charme. L'esprit répare son tort ! Les autres filles sortent de leur léthargie petit à petit, les garçons se remettent. Tout le monde ressent une gêne certaine mais aussi le plaisir d'avoir vécu quelque chose d'intense. L'esprit, quant à lui disparaît. La malédiction des lieux est levée, désormais les filles pourront se promener sans risque.
Un seul regret, j'aurai aimé pouvoir prendre Sophie. peut-être une autre fois ?
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