Le mari de Charlotte
Récit érotique écrit par Abdul75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2020 dans la catégorie Plus on est
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Le mari de Charlotte
Nous avons tous bien aimé l'histoire de sexe de l'auteur Tamalou intitulée "Charlotte". Je me suis dit qu'il pouvait être intéressant d'avoir le point de vue de Steve, le mari trompé.
------------------------------------Je venais de rencontrer mon vieux copain Philippe. Et ce qu'il m'avait révélé me replongea dans mes souvenirs d'enfance. Association d'idée sans doute alors que le visage avenant de mon oncle Pierre s'insinuait dans mon esprit.
J'ai toujours été le chouchou de Pierre, le frère de maman né 10 ans avant sa soeur. Il ne s'est jamais marié et il n'a jamais voulu quitter sa région natale restant auprès de mes grands parents jusqu'à leur mort. C'est chez eux, qu'enfant, Je passais la plus grande partie de mes vacances. À chaque fois que j'arrivais dans leur grande maison perdue dans la campagne je me faisais un plaisir de revoir tonton Pierre. Il était toujours là à m'attendre quelle que soit l'heure à laquelle nous arrivions et j'étais le premier qu'il serrait dans ses bras. Mon oncle était une véritable encyclopédie vivante. Professeur de sciences naturelles, Il me consacrait la majeure partie de ses vacances fier et heureux de partager avec moi ses nombreux hobbies. La pêche et la cueillette des champignons n'avaient aucun secret pour lui. Il aimait aussi m'emmener en balade pour observer les oiseaux. J'avais l'impression qu'il les connaissait tous ainsi que les étoiles que nous admirions ensemble dans le ciel nocturne. Les moments partagés avec Pierre étaient pour moi un pur bonheur. Malheureusement aujourd'hui il ne me reste plus grand chose de ce qu'il m'a appris. Et je ne peux plus compter sur lui pour raviver mes souvenirs car il nous a quitté brutalement il y a quelques mois. Il y a néanmoins une partie de ce qu'il m'a transmis que je n'ai pas oublié. Ce sont les aphorismes qu'il m'assénait sur les femmes et le couple dès que j'ai eu 16 ans. Mon oncle était misogyne et il ne s'en cachait pas. Un jour j'avais questionné ma mère sur le sujet mais elle était restée très évasive m'affirmant que Pierre m'en expliquerait peut être un jour les raisons s'il le jugeait nécessaire. Mais il n'a jamais trouvé le temps de le faire.
Lorsque je lui ai demandé le jour de mon mariage, pourquoi lui-même ne s'était jamais marié alors qu'il allait tranquillement sur ses 70 ans, il m'a simplement répondu :"Tu sais gamin, le célibat c'est encore le meilleur moyen de pas être cocu. Même épouser une femme très moche ne te garantit pas contre une poussée de cornes intempestive. Il s'est ensuite tourné vers Charlotte qui se trémoussait sur la piste et l'observa silencieux. mais son expression en disait plus qu'un long discours. À croire qu'en signant le registre à la salle des mariages, j'avais moi même semé la graine qui allait faire pousser des cors sur mon front.
J'ai alors regardé Pierre près d'une minute avec un certain désenchantement. Drôles d'encouragements pour un jour de mariage. Mais bon je n'allais pas me fâcher avec lui pour si peu. Et puis je m'étais remémoré une autre expression chère au tonton. Quand tu séduis la plus belle poule, ne t'étonnes pas si les autres coqs lui tournent autour.
OxOPhilippe venait de m'expliquer comment il avait découvert mon infortune. Il se trouve qu'il est flic et qu'il connait Charlotte de vue. Il m'a en effet aperçu un jour en sa compagnie sans nous aborder. Lorsque je l'ai revu quelque temps après il m'en a fait part. Charlotte lui avait vraiment tapé dans l'oeil et il m'a fait comprendre qu'il passerait volontiers un moment en sa compagnie. Bref, le visage et la silhouette de mon épouse sont gravés dans la mémoire de Philippe pour un bon moment.
Aussi lorsqu'il a vu ma chérie se faire tripoter par deux mecs dans un bistrot mal éclairé, il n'a pas eu besoin de se poser beaucoup de questions. Comme David le plus entreprenant auprès de Charlotte est un habitué du lieu, le barman a pu fournir à mon pote flic toutes les informations nécessaires à son identification. Informations que Philippe m'a gentiment transmises quand il m'a fait part de ses doutes sur la fidélité de ma femme.
Je ne peux pas prétendre que les révélations de Philippe m'ont anéanti. Finalement les réflexions de mon oncle m'ont peut être préparé à accepter ce genre de nouvelles. D'autant plus que j' ai trouvé quelques avantages aux écarts de ma femme. J'ignore si c'est la culpabilité ou le souhait d'éviter les questions gênantes qui l'ont motivée, mais j'ai enfin pu péter le cul de Charlotte alors qu'elle m'avait jusqu'alors toujours refusé l'entrée de service. Ce revirement me fit d'ailleurs pensé a posteriori à une autre remarque de mon cher oncle. Si le comportement de ta femme au lit change d'un coup, c'est qu'elle se cherche un amant, et si ce n'est pas le cas, c'est qu'elle l'a déjà trouvé.
D'autre part, je suis bien conscient que j'aurai quelque mal à jouer les maris vertueux et offensés. Ça fait quand même plus de trois mois que je me tape Samia la jolie brune de la comptabilité. Quand elle a commencé à me faire du rentre dedans, je n'ai pas résisté bien longtemps à ses rondeurs appétissantes si bien mises en valeur dans ses tenues suggestives et sa lingerie affriolante. Ce qui est particulièrement cocasse c'est que Charlotte a profité de la première nuit que j'ai passée avec Samia pour aller se faire sauter par son bellâtre. Un étrange concours de circonstances. Le mari de Samia avait dû partir en urgence dans sa famille au Maroc, et j'en avais profité pour attirer sa chère épouse dans un hôtel discret de la périphérie.
J'avais simplement expliqué à Charlotte que je devais dépanner en urgence un client situé à une centaine de kms de notre domicile et que je dormirais sur place. J'étais particulièrement ravi de ma nuit car j'avais enfin pu explorer la chatte incandescente de ma jolie comptable alors que jusqu'alors elle ne m'avait accueilli que dans sa bouche délicieuse et dans son fondement dont l'alésage augurait d'une utilisation plutôt intensive. Il est vrai qu'il n'est pas toujours facile chez une musulmane respectable de concilier un tempérament de feu et le souhait de garder son petit Trésor pour son mari.
J'ai compris plus tard qu'en me permettant de la baiser, Samia m'avait fait plonger dans l'adultère. Comme si elle avait considéré jusque là notre relation comme un flirt un peu poussé.
OxORestait à savoir ce que j'allais faire après les révélations de Philippe. J'aurais pu m'écraser et laisser Charlotte s'envoyer en l'air avec David et ses potes quand elle avait trop chaud au cul. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser que ce comportement manquait singulièrement de panache. Comme j'en sais désormais assez sur David et sur son employeur, j'ai décidé de m'amuser un peu. J'ai donc contacté sa société en me faisant passer pour un prospect et j'ai réussi à obtenir un rendez-vous avec lui quelques jours plus tard.
Quelle n'a pas été ma surprise alors que je poireautais à l'accueil du grand Immeuble d'apercevoir brièvement Elsa la copine de Charlotte sortir d'un local avant d'emprunter un long couloir. Tout est alors devenu limpide d'un coup dans mon esprit. J'ai enfin compris ce qui 3 mois plus tôt avait poussé Charlotte à regagner notre domicile complètement déchirée après une nuit soi disant passée à cuver chez son amie. Les deux salopes avaient sans doute picolé plus que de raison mais ça ne les avait sûrement pas empêché de se faire tringler toute la nuit par David et ses potes. J'avais dû croiser Elsa trois fois dans ma vie, mais je ne voulais surtout pas qu'elle me voit traîner sur son lieu de travail de peur qu'elle en parle à Charlotte ce qui aurait immanquablement fait foirer mon projet de vengeance.
Comme avait l'habitude de dire mon oncle Pierre à chaque fois qu'il apprenait l'infortune d'un de ses copains: Quand un mec se tape ta femme il n'y a pas 36 options. Soit c'est un pauvre type, soit c'est un connard. Dès que j'ai vu David, j'ai compris qu'il appartenait à la deuxième catégorie et bien sûr ça m'a fait chier parce que Charlotte n'avait aucune excuse de s'envoyer en l'air avec ce macho prétentieux sinon celle de se faire reluire comme une bonne salope accro à sa grosse bite.
Après les salutations d'usage, je refusai le café proposé par le commercial et j'entrai directement dans le vif du sujet.
"En fait voyez-vous, je ne suis pas du tout intéressé par votre activité professionnelle. C'est plutôt votre vie intime qui me tient à coeur"David a haussé les sourcils en me regardant avec incompréhension.
- Une de mes relations bien informée m'a raconté que vous avez l'habitude d'organiser des soirées cul avec vos copains et de chaudes bourgeoises triées sur le volet et j'y ai vu une bonne opportunité de me faire éponger le noeud à moindre effort.
Je crus qu'il allait me faire une attaque d'apoplexie mais il finit par retrouver sa voix ainsi qu'un ton franchement inamical.
-Je ne vous connais ni d'Eve ni d'Adam!
Vous débarquez dans mon bureau en me laissant entrevoir une collaboration juteuse, et au bout de deux minutes, vous me décrivez comme un organisateur de parties fines au cours desquelles mes amis et moi on se taperait des nanas qui ont le feu au cul. Et comme si ça ne suffisait pas, vous ajoutez de surcroît que vous allez vous inviter à ces hypothétiques sauteries.
Le ton du gars est monté d'un cran et il est passé au tutoiement.
- Maintenant, tu as intérêt à trouver une bonne raison pour m'empêcher de te sortir de mon bureau à coups de pompes dans le cul.
Je me suis abstenu de répondre "la peur peut être" car ce connard de David est plutôt balèze. C'est pourquoi je lui ai simplement dit.
- Il se trouve qu'une de ces salopes est mon épouse et comme tu l'imagines, j'apprécie modérément la désinvolture de son comportement.
Ma réponse laissa David sans voix. J'avais parié sur le fait que ce type était un connard mais aussi que ce n'était pas un salaud intégral. J'espérais donc qu'il écouterait ce que j'avais à dire avant de me foutre dehors.
- Tu vois. ça fait un paquet d'années que je partage la vie et le lit de Charlotte et je n'ai pas vraiment envie que ça cesse. Mais bon tu seras d'accord avec moi; Après ce qu'elle vient de me faire, il faut que je marque le coup. Comme me disait mon oncle Pierre, quoiqu'il se passe dans ta vie de couple, fais en sorte de toujours inspirer le respect à ta femme. Je viens de découvrir que Charlotte a le feu au cul et j'en profite déjà bien plus qu'avant. Tonton me disait aussi, mieux vaut une moitié de salope que 100% d'une prude. Malgré tout, j'aimerais bien un peu plus de considération. C'est humain pas vrai ?
Face au silence ahuri de David, j'ai estimé que c'était le moment pour tenter mon coup de bluff.
- Je suis sûr que tu es pour la paix dans les ménages. Alors si tu fais ce que je te demande, je serai content et j'espère que Charlotte le sera aussi.
- Dis toujours.
- Voilà, le week-end prochain, je vais devoir m'absenter de chez moi samedi matin et je ne rentrerai pas avant dimanche en fin d'après-midi. Du moins c'est la version officielle que je servirai à Charlotte. D'ici là tu vas t' efforcer de convaincre ta copine Elsa et ma chaude épouse de participer à une de ces petites soirées dont tu as le secret. Pour aiguiser leur appétit, tu leur diras que si elles sont aussi appliquées que d'habitude, elles auront droit à une petite surprise samedi à minuit pétantes. Tu convieras évidemment un ou deux potes à se joindre à toi mais pas plus. Faudrait surtout pas transformer les deux chaudasses en sacs à foutre avant que je me pointe. Ensuite, peu avant l'heure fatidique, vous banderez les yeux des deux nanas avec des foulards bien occultants. Puis vous leur demanderez d'attendre gentiment le cul en l'air la suite des événements. Comme tu l'as compris, c'est à partir de là que j'entrerai en scène. Évidemment, je commencerai par fourrer cette petite salope d'Elsa. Ça lui apprendra à dévergonder ma femme.
- tu sais ta nana, on n'a pas eu à insister beaucoup pour qu'elle se jette sur nos queues.
- si c'est toi que le dis... Une fois que j'aurai fait mon affaire à Elsa, on la refilera à tes copains. Ensuite on s'occupera de Charlotte toi et moi et on fera en sorte qu'elle se souvienne longtemps de cette petite fête.
David m'a regardé avec méfiance se demandant si je lui servais du lard ou du cochon.
- de toute façon qu'est ce que tu risques? C'est mon couple qui est en jeu dans cette histoire.
- Ok je vais réfléchir à ton plan.
- super. Si tu marches dans la combine, il faut absolument que rien de ce que je t'ai dit ne sorte de ce bureau jusqu'à dimanche.
- c'est bon. J'ai pigé. Je te tiens au courantJe me suis alors levé et je me suis cassé en prenant soin de ne pas me faire voir par Elsa. Dans l'après-midi, je reçus un SMS de David m'indiquant qu'il était d'accord pour suivre mon programme. J'ai donc pu le soir même raconter à ma chérie que j'allais être obligé de m'absenter une grande partie du week-end. Ce qui la rendit étrangement réceptive à mes désirs de la soirée. Le vendredi suivant, David me communiqua le programme du lendemain. Ses copains serge et Henri seraient de la fête. Les hommes avaient prévu d'inviter les deux filles au restaurant avant de les ramener dans leur maison pour les tirer par tous les trous.
Évidemment, il allait falloir que j'assure moi aussi et comme on est jamais trop prudent, j'avais fait une petite réserve de pilules bleues pour pallier les baisses de tension intempestives. La première partie du plan se déroula comme sur des roulettes. Je me trouvais sur le grand lit de la chambre avec David et Elsa. Pendant que cette salope pompait le noeud imposant de David, je lui défonçais la chatte à grands coups de boutoir. Malgré ce qu'elle avait pris avant que j'arrive elle n'a pas tardé à se mettre à gémir et à m'encourager à accélérer le rythme. J'ai fait au mieux mais je sentais que je n'allais pas tarder à envoyer la purée. Heureusement je suis parvenu à me retenir jusqu'au décollage d'Elsa qui se mit à nous vriller les oreilles au moment même où je déversais mon foutre au fond de son con. Tout en agrippant, fermement la croupe d'Elsa, je fis un signe à David. Il comprit le message et rejoignit ses potes dans la pièce d'à côté avant de présenter sa queue devant les lèvres de Charlotte.
- À votre tour les gars de vous enfiler Elsa. Elle vous attend avec impatience. Je vais m'occuper de cette salope de Charlotte avec notre invité.
Le temps pour moi de rejoindre la pièce et je vis David carrer son gland turgescent entre les lèvres de mon épouse. Il a ensuite forcé le passage au moment où je me calais entre les cuisses de ma chérie. Après avoir vérifié que ma bite était toujours bien raide, je m'enfonçai d'un coup dans la chatte de ma salope préférée. Elle se mit à gueuler manquant de mordre le gros dard de son amant.
" La vache ! vas y doucement. J'ai déjà bien reçu ce soir "J'ai ignoré le petit rire sarcastique de David et j'ai continué à limer ma charmante moitié. Avec une certaine efficacité puisqu'elle a commencé à soupirer de satisfaction. J'ai alors jeté un coup d'oeil à la pendule. Plus qu'une minute avant le bouquet final.
Soudain 3 types ont fait irruption dans la pièce. J'ai pointé deux doigts vers la Chambre. Philippe a fait signe à ses deux acolytes avant de se jeter sur David de lui choper les bras et de le menotter. En entendant le raffut, les deux autres queutards se sont précipités hors de la chambre tombant nez à nez avec Eddy un antillais d'un mètre quatre vingt dix et son collègue Hocine certes moins balèze mais néanmoins champion de boxe française. Charlotte eut à peine le temps de se libérer de ma queue et de retirer son bandeau avant de découvrir Henri et Serge allongés à poil sur le plancher les mains menottées dans le dos. En me reconnaissant ma femme dessaoula d'un coup et fondit en larmes.
- Allons ma chérie, ne pleure pas. Mes copains ne sont pas venus là pour vous faire de mal. Au contraire. Pas vrai les gars?
dis-je en me tournant vers Eddy qui commençait à se désaper alors qu'Hocine avait déjà rejoint Elsa dans la chambre.
Ma chérie blémit d'un coup en découvrant la matraque déployée de l'Antillais. David n'avait plus qu'à aller se rhabiller. Il n'était pas de taille à rivaliser avec le mandrin couleur chocolat d'Eddy. Je me suis alors adressé à Charlotte.
- Allez ma belle salope, vas donc t'occuper de cette queue magnifique. Je suis sûr que tu en meurs d'envie.
J'ai pu effectivement vérifier l'état d'excitation de ma belle en glissant sans difficulté trois doigts dans son vagin trempé. Charlotte s'est alors levée pour aller s'installer aux pieds de l'antillais et attraper le pieu majestueux pour l'emboucher et le lécher langoureusement. De la chambre nous parvenaient les gémissements de plus en plus bruyants d'Elsa qui appréciait sans retenue l'épaisseur peu commune de la queue d'Hocine. Satisfait du déroulement des opérations, Philippe s'est déshabillé à son tour. Nous étions désormais quatre mecs dont deux très généreusement dotés pour satisfaire deux nymphomanes déchaînées. Nous avions même à nos côtés trois remplaçants prêts à prendre notre relais sur le terrain en cas de coup (pas) dur. Nul doute que la nuit allait être longue.
------------------------------------Je venais de rencontrer mon vieux copain Philippe. Et ce qu'il m'avait révélé me replongea dans mes souvenirs d'enfance. Association d'idée sans doute alors que le visage avenant de mon oncle Pierre s'insinuait dans mon esprit.
J'ai toujours été le chouchou de Pierre, le frère de maman né 10 ans avant sa soeur. Il ne s'est jamais marié et il n'a jamais voulu quitter sa région natale restant auprès de mes grands parents jusqu'à leur mort. C'est chez eux, qu'enfant, Je passais la plus grande partie de mes vacances. À chaque fois que j'arrivais dans leur grande maison perdue dans la campagne je me faisais un plaisir de revoir tonton Pierre. Il était toujours là à m'attendre quelle que soit l'heure à laquelle nous arrivions et j'étais le premier qu'il serrait dans ses bras. Mon oncle était une véritable encyclopédie vivante. Professeur de sciences naturelles, Il me consacrait la majeure partie de ses vacances fier et heureux de partager avec moi ses nombreux hobbies. La pêche et la cueillette des champignons n'avaient aucun secret pour lui. Il aimait aussi m'emmener en balade pour observer les oiseaux. J'avais l'impression qu'il les connaissait tous ainsi que les étoiles que nous admirions ensemble dans le ciel nocturne. Les moments partagés avec Pierre étaient pour moi un pur bonheur. Malheureusement aujourd'hui il ne me reste plus grand chose de ce qu'il m'a appris. Et je ne peux plus compter sur lui pour raviver mes souvenirs car il nous a quitté brutalement il y a quelques mois. Il y a néanmoins une partie de ce qu'il m'a transmis que je n'ai pas oublié. Ce sont les aphorismes qu'il m'assénait sur les femmes et le couple dès que j'ai eu 16 ans. Mon oncle était misogyne et il ne s'en cachait pas. Un jour j'avais questionné ma mère sur le sujet mais elle était restée très évasive m'affirmant que Pierre m'en expliquerait peut être un jour les raisons s'il le jugeait nécessaire. Mais il n'a jamais trouvé le temps de le faire.
Lorsque je lui ai demandé le jour de mon mariage, pourquoi lui-même ne s'était jamais marié alors qu'il allait tranquillement sur ses 70 ans, il m'a simplement répondu :"Tu sais gamin, le célibat c'est encore le meilleur moyen de pas être cocu. Même épouser une femme très moche ne te garantit pas contre une poussée de cornes intempestive. Il s'est ensuite tourné vers Charlotte qui se trémoussait sur la piste et l'observa silencieux. mais son expression en disait plus qu'un long discours. À croire qu'en signant le registre à la salle des mariages, j'avais moi même semé la graine qui allait faire pousser des cors sur mon front.
J'ai alors regardé Pierre près d'une minute avec un certain désenchantement. Drôles d'encouragements pour un jour de mariage. Mais bon je n'allais pas me fâcher avec lui pour si peu. Et puis je m'étais remémoré une autre expression chère au tonton. Quand tu séduis la plus belle poule, ne t'étonnes pas si les autres coqs lui tournent autour.
OxOPhilippe venait de m'expliquer comment il avait découvert mon infortune. Il se trouve qu'il est flic et qu'il connait Charlotte de vue. Il m'a en effet aperçu un jour en sa compagnie sans nous aborder. Lorsque je l'ai revu quelque temps après il m'en a fait part. Charlotte lui avait vraiment tapé dans l'oeil et il m'a fait comprendre qu'il passerait volontiers un moment en sa compagnie. Bref, le visage et la silhouette de mon épouse sont gravés dans la mémoire de Philippe pour un bon moment.
Aussi lorsqu'il a vu ma chérie se faire tripoter par deux mecs dans un bistrot mal éclairé, il n'a pas eu besoin de se poser beaucoup de questions. Comme David le plus entreprenant auprès de Charlotte est un habitué du lieu, le barman a pu fournir à mon pote flic toutes les informations nécessaires à son identification. Informations que Philippe m'a gentiment transmises quand il m'a fait part de ses doutes sur la fidélité de ma femme.
Je ne peux pas prétendre que les révélations de Philippe m'ont anéanti. Finalement les réflexions de mon oncle m'ont peut être préparé à accepter ce genre de nouvelles. D'autant plus que j' ai trouvé quelques avantages aux écarts de ma femme. J'ignore si c'est la culpabilité ou le souhait d'éviter les questions gênantes qui l'ont motivée, mais j'ai enfin pu péter le cul de Charlotte alors qu'elle m'avait jusqu'alors toujours refusé l'entrée de service. Ce revirement me fit d'ailleurs pensé a posteriori à une autre remarque de mon cher oncle. Si le comportement de ta femme au lit change d'un coup, c'est qu'elle se cherche un amant, et si ce n'est pas le cas, c'est qu'elle l'a déjà trouvé.
D'autre part, je suis bien conscient que j'aurai quelque mal à jouer les maris vertueux et offensés. Ça fait quand même plus de trois mois que je me tape Samia la jolie brune de la comptabilité. Quand elle a commencé à me faire du rentre dedans, je n'ai pas résisté bien longtemps à ses rondeurs appétissantes si bien mises en valeur dans ses tenues suggestives et sa lingerie affriolante. Ce qui est particulièrement cocasse c'est que Charlotte a profité de la première nuit que j'ai passée avec Samia pour aller se faire sauter par son bellâtre. Un étrange concours de circonstances. Le mari de Samia avait dû partir en urgence dans sa famille au Maroc, et j'en avais profité pour attirer sa chère épouse dans un hôtel discret de la périphérie.
J'avais simplement expliqué à Charlotte que je devais dépanner en urgence un client situé à une centaine de kms de notre domicile et que je dormirais sur place. J'étais particulièrement ravi de ma nuit car j'avais enfin pu explorer la chatte incandescente de ma jolie comptable alors que jusqu'alors elle ne m'avait accueilli que dans sa bouche délicieuse et dans son fondement dont l'alésage augurait d'une utilisation plutôt intensive. Il est vrai qu'il n'est pas toujours facile chez une musulmane respectable de concilier un tempérament de feu et le souhait de garder son petit Trésor pour son mari.
J'ai compris plus tard qu'en me permettant de la baiser, Samia m'avait fait plonger dans l'adultère. Comme si elle avait considéré jusque là notre relation comme un flirt un peu poussé.
OxORestait à savoir ce que j'allais faire après les révélations de Philippe. J'aurais pu m'écraser et laisser Charlotte s'envoyer en l'air avec David et ses potes quand elle avait trop chaud au cul. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser que ce comportement manquait singulièrement de panache. Comme j'en sais désormais assez sur David et sur son employeur, j'ai décidé de m'amuser un peu. J'ai donc contacté sa société en me faisant passer pour un prospect et j'ai réussi à obtenir un rendez-vous avec lui quelques jours plus tard.
Quelle n'a pas été ma surprise alors que je poireautais à l'accueil du grand Immeuble d'apercevoir brièvement Elsa la copine de Charlotte sortir d'un local avant d'emprunter un long couloir. Tout est alors devenu limpide d'un coup dans mon esprit. J'ai enfin compris ce qui 3 mois plus tôt avait poussé Charlotte à regagner notre domicile complètement déchirée après une nuit soi disant passée à cuver chez son amie. Les deux salopes avaient sans doute picolé plus que de raison mais ça ne les avait sûrement pas empêché de se faire tringler toute la nuit par David et ses potes. J'avais dû croiser Elsa trois fois dans ma vie, mais je ne voulais surtout pas qu'elle me voit traîner sur son lieu de travail de peur qu'elle en parle à Charlotte ce qui aurait immanquablement fait foirer mon projet de vengeance.
Comme avait l'habitude de dire mon oncle Pierre à chaque fois qu'il apprenait l'infortune d'un de ses copains: Quand un mec se tape ta femme il n'y a pas 36 options. Soit c'est un pauvre type, soit c'est un connard. Dès que j'ai vu David, j'ai compris qu'il appartenait à la deuxième catégorie et bien sûr ça m'a fait chier parce que Charlotte n'avait aucune excuse de s'envoyer en l'air avec ce macho prétentieux sinon celle de se faire reluire comme une bonne salope accro à sa grosse bite.
Après les salutations d'usage, je refusai le café proposé par le commercial et j'entrai directement dans le vif du sujet.
"En fait voyez-vous, je ne suis pas du tout intéressé par votre activité professionnelle. C'est plutôt votre vie intime qui me tient à coeur"David a haussé les sourcils en me regardant avec incompréhension.
- Une de mes relations bien informée m'a raconté que vous avez l'habitude d'organiser des soirées cul avec vos copains et de chaudes bourgeoises triées sur le volet et j'y ai vu une bonne opportunité de me faire éponger le noeud à moindre effort.
Je crus qu'il allait me faire une attaque d'apoplexie mais il finit par retrouver sa voix ainsi qu'un ton franchement inamical.
-Je ne vous connais ni d'Eve ni d'Adam!
Vous débarquez dans mon bureau en me laissant entrevoir une collaboration juteuse, et au bout de deux minutes, vous me décrivez comme un organisateur de parties fines au cours desquelles mes amis et moi on se taperait des nanas qui ont le feu au cul. Et comme si ça ne suffisait pas, vous ajoutez de surcroît que vous allez vous inviter à ces hypothétiques sauteries.
Le ton du gars est monté d'un cran et il est passé au tutoiement.
- Maintenant, tu as intérêt à trouver une bonne raison pour m'empêcher de te sortir de mon bureau à coups de pompes dans le cul.
Je me suis abstenu de répondre "la peur peut être" car ce connard de David est plutôt balèze. C'est pourquoi je lui ai simplement dit.
- Il se trouve qu'une de ces salopes est mon épouse et comme tu l'imagines, j'apprécie modérément la désinvolture de son comportement.
Ma réponse laissa David sans voix. J'avais parié sur le fait que ce type était un connard mais aussi que ce n'était pas un salaud intégral. J'espérais donc qu'il écouterait ce que j'avais à dire avant de me foutre dehors.
- Tu vois. ça fait un paquet d'années que je partage la vie et le lit de Charlotte et je n'ai pas vraiment envie que ça cesse. Mais bon tu seras d'accord avec moi; Après ce qu'elle vient de me faire, il faut que je marque le coup. Comme me disait mon oncle Pierre, quoiqu'il se passe dans ta vie de couple, fais en sorte de toujours inspirer le respect à ta femme. Je viens de découvrir que Charlotte a le feu au cul et j'en profite déjà bien plus qu'avant. Tonton me disait aussi, mieux vaut une moitié de salope que 100% d'une prude. Malgré tout, j'aimerais bien un peu plus de considération. C'est humain pas vrai ?
Face au silence ahuri de David, j'ai estimé que c'était le moment pour tenter mon coup de bluff.
- Je suis sûr que tu es pour la paix dans les ménages. Alors si tu fais ce que je te demande, je serai content et j'espère que Charlotte le sera aussi.
- Dis toujours.
- Voilà, le week-end prochain, je vais devoir m'absenter de chez moi samedi matin et je ne rentrerai pas avant dimanche en fin d'après-midi. Du moins c'est la version officielle que je servirai à Charlotte. D'ici là tu vas t' efforcer de convaincre ta copine Elsa et ma chaude épouse de participer à une de ces petites soirées dont tu as le secret. Pour aiguiser leur appétit, tu leur diras que si elles sont aussi appliquées que d'habitude, elles auront droit à une petite surprise samedi à minuit pétantes. Tu convieras évidemment un ou deux potes à se joindre à toi mais pas plus. Faudrait surtout pas transformer les deux chaudasses en sacs à foutre avant que je me pointe. Ensuite, peu avant l'heure fatidique, vous banderez les yeux des deux nanas avec des foulards bien occultants. Puis vous leur demanderez d'attendre gentiment le cul en l'air la suite des événements. Comme tu l'as compris, c'est à partir de là que j'entrerai en scène. Évidemment, je commencerai par fourrer cette petite salope d'Elsa. Ça lui apprendra à dévergonder ma femme.
- tu sais ta nana, on n'a pas eu à insister beaucoup pour qu'elle se jette sur nos queues.
- si c'est toi que le dis... Une fois que j'aurai fait mon affaire à Elsa, on la refilera à tes copains. Ensuite on s'occupera de Charlotte toi et moi et on fera en sorte qu'elle se souvienne longtemps de cette petite fête.
David m'a regardé avec méfiance se demandant si je lui servais du lard ou du cochon.
- de toute façon qu'est ce que tu risques? C'est mon couple qui est en jeu dans cette histoire.
- Ok je vais réfléchir à ton plan.
- super. Si tu marches dans la combine, il faut absolument que rien de ce que je t'ai dit ne sorte de ce bureau jusqu'à dimanche.
- c'est bon. J'ai pigé. Je te tiens au courantJe me suis alors levé et je me suis cassé en prenant soin de ne pas me faire voir par Elsa. Dans l'après-midi, je reçus un SMS de David m'indiquant qu'il était d'accord pour suivre mon programme. J'ai donc pu le soir même raconter à ma chérie que j'allais être obligé de m'absenter une grande partie du week-end. Ce qui la rendit étrangement réceptive à mes désirs de la soirée. Le vendredi suivant, David me communiqua le programme du lendemain. Ses copains serge et Henri seraient de la fête. Les hommes avaient prévu d'inviter les deux filles au restaurant avant de les ramener dans leur maison pour les tirer par tous les trous.
Évidemment, il allait falloir que j'assure moi aussi et comme on est jamais trop prudent, j'avais fait une petite réserve de pilules bleues pour pallier les baisses de tension intempestives. La première partie du plan se déroula comme sur des roulettes. Je me trouvais sur le grand lit de la chambre avec David et Elsa. Pendant que cette salope pompait le noeud imposant de David, je lui défonçais la chatte à grands coups de boutoir. Malgré ce qu'elle avait pris avant que j'arrive elle n'a pas tardé à se mettre à gémir et à m'encourager à accélérer le rythme. J'ai fait au mieux mais je sentais que je n'allais pas tarder à envoyer la purée. Heureusement je suis parvenu à me retenir jusqu'au décollage d'Elsa qui se mit à nous vriller les oreilles au moment même où je déversais mon foutre au fond de son con. Tout en agrippant, fermement la croupe d'Elsa, je fis un signe à David. Il comprit le message et rejoignit ses potes dans la pièce d'à côté avant de présenter sa queue devant les lèvres de Charlotte.
- À votre tour les gars de vous enfiler Elsa. Elle vous attend avec impatience. Je vais m'occuper de cette salope de Charlotte avec notre invité.
Le temps pour moi de rejoindre la pièce et je vis David carrer son gland turgescent entre les lèvres de mon épouse. Il a ensuite forcé le passage au moment où je me calais entre les cuisses de ma chérie. Après avoir vérifié que ma bite était toujours bien raide, je m'enfonçai d'un coup dans la chatte de ma salope préférée. Elle se mit à gueuler manquant de mordre le gros dard de son amant.
" La vache ! vas y doucement. J'ai déjà bien reçu ce soir "J'ai ignoré le petit rire sarcastique de David et j'ai continué à limer ma charmante moitié. Avec une certaine efficacité puisqu'elle a commencé à soupirer de satisfaction. J'ai alors jeté un coup d'oeil à la pendule. Plus qu'une minute avant le bouquet final.
Soudain 3 types ont fait irruption dans la pièce. J'ai pointé deux doigts vers la Chambre. Philippe a fait signe à ses deux acolytes avant de se jeter sur David de lui choper les bras et de le menotter. En entendant le raffut, les deux autres queutards se sont précipités hors de la chambre tombant nez à nez avec Eddy un antillais d'un mètre quatre vingt dix et son collègue Hocine certes moins balèze mais néanmoins champion de boxe française. Charlotte eut à peine le temps de se libérer de ma queue et de retirer son bandeau avant de découvrir Henri et Serge allongés à poil sur le plancher les mains menottées dans le dos. En me reconnaissant ma femme dessaoula d'un coup et fondit en larmes.
- Allons ma chérie, ne pleure pas. Mes copains ne sont pas venus là pour vous faire de mal. Au contraire. Pas vrai les gars?
dis-je en me tournant vers Eddy qui commençait à se désaper alors qu'Hocine avait déjà rejoint Elsa dans la chambre.
Ma chérie blémit d'un coup en découvrant la matraque déployée de l'Antillais. David n'avait plus qu'à aller se rhabiller. Il n'était pas de taille à rivaliser avec le mandrin couleur chocolat d'Eddy. Je me suis alors adressé à Charlotte.
- Allez ma belle salope, vas donc t'occuper de cette queue magnifique. Je suis sûr que tu en meurs d'envie.
J'ai pu effectivement vérifier l'état d'excitation de ma belle en glissant sans difficulté trois doigts dans son vagin trempé. Charlotte s'est alors levée pour aller s'installer aux pieds de l'antillais et attraper le pieu majestueux pour l'emboucher et le lécher langoureusement. De la chambre nous parvenaient les gémissements de plus en plus bruyants d'Elsa qui appréciait sans retenue l'épaisseur peu commune de la queue d'Hocine. Satisfait du déroulement des opérations, Philippe s'est déshabillé à son tour. Nous étions désormais quatre mecs dont deux très généreusement dotés pour satisfaire deux nymphomanes déchaînées. Nous avions même à nos côtés trois remplaçants prêts à prendre notre relais sur le terrain en cas de coup (pas) dur. Nul doute que la nuit allait être longue.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
mais que c est nulle … PPO6 vous survole! je vous déconseille de lire sa suite …. c est un peu penser etre un genie en allignant 4 allumettes pour en faire un triangle et derrière vous leonard de vinci termine son avion 😏