Le mari de Karine 2 - histoire érotique

Karine prend la main de son amie et les deux montent à l'étage. Karine ouvre brusquement la porte de la chambre de son mari. Les deux femmes sursautent, Louis est nu sur le lit, sa bite est dressée, il l'agite en regardant les deux arrivantes, il dit en souriant :

-J'étais sûr de vous voir après ce qui s'est passé, tu en veux encore de ma bite hein salope avoue, c'est autre chose que de jouer avec ma femme hein !


C'est Karine qui répond en le toisant de haut :

- Arrête de dire des conneries salaud. Alors, on saute ma copine comme un apprenti, Aurélie m'a tout raconté, tu m'as déçu, pas de préliminaires, je t'ai connue plus performant mon salaud, elle vient réclamer son dû, aller ne la déçois pas cette fois !


Aurélie regarde la verge dressée, qui il y a peu de temps lui foré le ventre. Karine l'incite :

- Vas-y ma chérie, ne te pose pas de questions, je m'en moque que tu baises avec mon mari, il m'a tellement déçu, que maintenant ses délires, me font ni chauds ni froids !


Tout en parlant, elle retire un à un, les vêtements de son amie qui trésaille. Elle l'emmène jusqu'au lit, comme pour livrer une proie à un fauve. Aurélie reste figée, elle pense qu'elle a trahi sa meilleure amie en baisant avec son homme. Karine doit encore intervenir :

-Mais Aurélie, ne reste pas plantée là comme une cruche, branle-le ce salaud, vide-lui les couilles !


Elle ravale sa salive, jette un regard vers Karine et timidement saisit le mât de chair. Avec douceur, elle l'agite. À chaque descente de son poignet, elle décalotte à fond le gland. Louis soupire profondément à chaque décarottage de son gland. Les yeux d'Aurélie ne quittent pas le membre, des perles de rosées s'échappent du méat en enduisant le gland. Aurélie accélère, le branlage, Louis serre les dents, son gland, laisse échapper encore plus de perles. Karine qui fait la voyeuse dit :

-Il va décharger le bougre, suce-le ma chérie !

Comme un automate, Aurélie se penche sur la verge et gobe le champignon violacé. Elle suce et tète sans cesser de branler le manche. Soudain, Louis pousse un grognement rauque, et remplit de sa crème onctueuse la bouche d'Aurélie. La coquine presse la hampe pour bien la vider de son jus avant d'avaler la semence. Louis se redresse, bascule Aurélie sur le lit, et commence à lui embrasser le torse. Il lui attrape les seins, et les malaxe longuement. Habilement, ses doigts s'emparent des mamelons, les roulent, les étirent. Avant de poser sa bouche sur eux. Il suce, et tète les petits mâts de chair, l'un après l'autre. Le coquin sait doser les succions sur les mamelons, Aurélie geint en soufflant fortement. La bouche avide de Louis, fait durcir et épaissir les mamelons. Il les mordille, tire dessus avec ses dents.

Aurélie défaille en grimaçant, elle regarde son amie, les yeux de Karine brillent de mille feux. Karine en souriant, elle s'approche du lit et s'assoit sur le bord. La bouche de son mari descend sur le ventre, s'attarde sur le nombril, le fouille de la pointe de la langue, puis poursuit sa progression vers l'entrejambe. Sa langue glisse sur la toison, passe plusieurs fois sur la fente qui rejette de sa cyprine. La position n'est pas confortable, Louis se redresse et avec la complicité d'Aurélie ouvre le compas que forment les jambes. Il regarde un moment la chatte dégoulinante, avance sa main et du bout des doigts, caresse les grandes lèvres. Aurélie geint doucement en ouvrant davantage ses cuisses.




Karine regarde, en soupirant de nombreuses fois. Sa chatte commence à suinter, elle serre les cuisses pour tenter d'arrêter l'écoulement de cyprine. Aurélie se cabre, trois doigts viennent de s'enfoncer dans son vagin. Louis entreprend un va-et-vient rapide. Aurélie geint en serrant les poings. Les doigts qui tournent dans sa gaine lui font grincer des dents. Karine a les yeux écarquillés, elle déglutit plusieurs fois bruyamment sans quitter du regard le couple. La tension monte dans son corps. Louis retire ses doigts, et pose sa bouche sur le puits intarissable. Il aspire le jus en faisant un bruit étrange, sa langue s'enfonce profondément dans le vagin et le fouille voracement. Aurélie pâme de plaisir, ses râles rauques résonnent dans la chambre.



Karine pose sa main à hauteur de son sexe, et le frotte au travers de la jupe. Sa chatte est en feu, elle serre les dents pour retenir ses gémissements. Aurélie se cabre comme un cheval, Louis vient de lui aspirer le clito. Le bougre est un bon bouffeur de minou, sa femme peut le confirmer. Une envie de jouir la prend, Karine passe sa main sous sa jupe et habilement, elle écarte sa culotte très, très humide. Elle saisit son clito et le branle en geignant fortement, Louis se redresse, il donne un coup d'œil vers sa femme, il écarquille les yeux et dit :

-Ah, ah, je vois que ton mari te manque salope, mais dès que j'en aurai fini avec cette pouffiasse, que tu appelles ton amie, je m'occuperai bien de toi !


Louis se place entre les cuisses d'Aurélie et lui plante sa bite jusqu'aux couilles dans le ventre. Aurélie s'accroche à lui en donnant des coups de reins redoutables, elle pousse des cris de bête blessée en agitant son bassin. La queue puissante qui lui ravage la chatte, la fait geindre terriblement. L'engin gorgé de sang voyage dans son ventre en prenant de la vitesse. Louis regarde sa femme qui a arraché sa culotte, elle grimace en se martyrisant le clito. Ses longs doigts fins s'agrippent à sa boule de chair, le triture si fort qu'elle serre les dents pour ne pas hurler. Louis s'acharne sur Aurélie qui ne regrette plus de baiser avec le mari de son amie. Elle dit en soufflant comme un dragon :

-Karine, Karine, il me fait mourir ton homme, oh putain comme il me défonce !

Tout en se masturbant, Karine pose sa main sur le clito de son amie et le branle férocement. Soudain Aurélie pousse un gémissement monstrueux, en se cabrant, elle jouit affreusement fort. Pour le faire jouir plus fort, Karine lui écrase le clito. L'effet est immédiat, une puissante giclée est expulsée de la chatte de la jouisseuse, qui se laisse retomber sur le lit. Louis donne des coups de reins violents, ce bloc au fond du puits d'amour, et y envoie une décharge de sperme. Karine a les yeux rivés sur le couple, elle grimace en se torturant le clito. Louis retire sa bite gluante des entrailles d'Aurélie, bascule sa femme sur le lit en la plaçant sur le ventre, il lui retrousse la jupe sur les reins et, en position levrette, lui plante la bite au tréfonds de la chatte dégoulinante de désir. Karine pousse un long râle, la bite de son mari lui laboure la gaine brûlante, en prenant de la vitesse. Karine s'accroche au lit, en gémissant. Elle reconnait que son mari est un bon mâle. Le manche de chair entre et ressort du vagin en faisant un bruit de succion.

Louis ne doit pas attendre longtemps, pour que sa femme exprime sa jouissance, elle pousse un cri qui fait sursauter son amie, sa jouissance est terrible. Louis retire sa queue de la chatte trempée et la place sur l'anus de sa femme, il regarde Amélie et dit :

-Voilà ce qu'elle adore ta salope de copine !

Il enfonce sa queue d'un coup jusqu'aux testicules, Karine pousse un cri comme à chaque sodomie, mais rapidement agite sa croupe pour en avoir le plus possible. La sodomie est violente, Louis lui pilonne le rectum comme un soudard, il parvient à ses fins, Karine se cabre en gémissant comme une bête agonisante, elle jouit du cul sous les yeux ébahis de son amie. Enfin, Louis donne encore quelques estocades, avant de déverser sa semence dans le cul de Karine qui geint la tête enfoncée dans les draps. Louis dit en bondant le torse :

-Maintenant, mes salopes, vous serez mes vides couilles. Aller Aurélie présente ton cul, je vais t'enculer aussi, magne-toi salope !