LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17
LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17

Cette suite s'est faite attendre, mais les aléas de la vie font, que l'histoire aurait pu s'arrêter là. Alors !...

Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond Gardel, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée embrasser par son hôte. Victime d’un chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.

« Offerte ! J’aime cet adjectif un peu symbole de dépendance,
qui sous-entend ne pas avoir le droit de refuser ».
Mme Amaury de Montfort.


Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes d’un restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ses tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans qu’elle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsqu’elle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Il lui introduit un rosebud d’une taille supérieure dans l’anus. Puis, Edmond oblige Odile à s’exhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons d’un parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font l’amour entre elles.

Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout, il lui déflore le trou du cul sans vergogne… La journée se passe à faire l’amour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage. Lorsqu’elle retrouve Edmond trois jours après, il commence à la soumettre en la flagellant, puis, à sa grande confusion, elle est surprise par sa fille à la terrasse du restaurant où le couple se restaure. Le soir même, son mari et sa fille étant absents pour la nuit, elle rejoint Antoinette, sa jeune collègue de bureau et, elle ose prendre l’initiative de se gouiner avec elle. Deux semaines plus tard, Odile offre enfin son cul à Edmond qui en profite honteusement. Celui-ci l’entraine dans un cinéma X où elle se retrouve inopinément en présence de Gérard, l’ex petit ami Black de sa fille et qu’elle est prise pour la première fois dans ses deux orifices en même temps par les deux hommes.

Michel, le mari d’Odile l’emmène pour trois jours dans un lieu qu’il a tenu secret, c’est en fait l’auberge où elle a cédé à Edmond pour la première fois. Son mari la prend sans ménagement, alors qu’elle est angoissée qu’il découvre son infidélité.

***********************

Saint Macaire
À l’auberge des « Feuilles d’Acanthe » vers dix heures du matin, après une nuit où son mari l’a encore prise amoureusement, il la branle alors qu’elle est encore dans son sommeil. Odile se réveille doucement sous les sensations délicieuses des doigts qui fouillent les chairs qui laissent déjà s’écouler le jus de sa jouissance nocturne.

Elle ouvre les yeux et voit le visage de son mari, attentif à ses réactions. Michel se décide à aborder un sujet qu’elle redoutait entre tous.

« Ma chérie, tu mouilles de plus en plus depuis quelque temps. C’est très étonnant. Tu n’aurais pas un amant par hasard ? »

Odile, se souvient aussitôt de ce qu’elle a envisagé si justement Michel abordait cette question épineuse. Bien que très gênée de devoir parler de son intimité, elle lui lâche.

« Oh ! Michel, que vas-tu imaginer ? Tu sais, j’ai consulté ma gynécologue. Comme à 48 ans je suis en pré ménopause, elle m’a prescrit des hormones et depuis, je suis en permanence humide – c’est très gênant, mais elle m’a dit que c’était normal et qu’il fallait que je m’y habitue. »

« Au contraire, ma petite caille, cela facilite notre entente et je constate que tu as de plus envie de faire l’amour »

Odile rosit à cette évocation de sa sexualité,, qui, elle le sait bien est due à l’extrême habileté d’Edmond qui a su la révéler. Elle est tout de même étonnée qu’après toutes ces années, son époux ose parler de cela. Pourvu qu’il ne découvre pas comment elle s’est décoincée !

« Justement, ma chérie, tu te souviens, au début de notre mariage, je t’avais demandé de te libérer un peu plus, tu avais même accepté d’essayer une sortie dans un club libertin, tu te souviens ? »

Odile devient livide. Il ne suffit pas que ce coquin de notaire l’entraîne dans des situations dégradantes, il faut à présent que son mari s’y mette. Elle connaît la vie antérieure de Michel dans les grandes lignes, elle sait qu’avant leur mariage, lorsqu’il était en poste à Paris, il avait fréquenté des bars et des clubs libertins avec une de ses maîtresses. Elle avait même accepté, de le suivre, pensant qu’il pourrait la quitter si elle ne cédait pas. Heureusement, il avait renoncé… À présent, alors qu’elle prend du plaisir avec son amant et son mari, voilà que tous les deux veulent lui faire subir les pires avanies !


« Je vois que tes souvenirs te reviennent ma chérie. Oh, je ne te demande pas d’aller comme à l’époque dans un club échangiste, mais j’aimerais bien, à présent que tu jouis comme une femme normale, que tu acceptes d’avaler ma semence et que je puisse te sodomiser, j’aimerais bien que tu te montres plus coquine lorsque nous sommes ensemble et que tu allumes les autres hommes devant moi. »

Michel propose d’aller faire un tour dans la région oh combien viticole dans laquelle ils se trouvent, et de profiter de cette occasion pour aller goûter des vins et passer des commandes. Odile revêt pour cette journée la jupe longue à godets de bohémienne, aux dessins de fleurs champêtres, et la blouse paysanne aux plis froncés, avec un décolleté bateau, ainsi que les sandales blanches, le tout acheté justement sous les arcades de la place de Saint Macaire par Edmond. À cette évocation, Odile a une brusque bouffée de chaleur, car elle ne peut que se souvenir.

Elle ne peut oublier la honte incroyable, justement ici à Saint-Macaire, lorsqu’Edmond l’a troussée dans la rue. Mais aussi aux Abricotiers de la Garonne, lorsque le serveur et deux clients ont pu contempler son entrejambe dénudée, ainsi que son minou, scène qui s’est reproduite à Bordeaux, lors d’un déjeuner à la brasserie. Elle se souvient même qu’elle a pris du plaisir - elle ne peut se le cacher - que malgré l’humiliation ressentie, elle a aussi éprouvé un certain trouble à se savoir observée et détaillée dans toute son intimité : de même lorsque son suborneur l’a photographiée, lui faisant prendre des poses presque obscènes, où elle s’est sentie belle et désirable pour la première fois de sa vie.

Va-t-elle devoir encore une fois s’exposer ? Justement, son mari la retrousse et lui enlève son shorty ne tenant pas compte de ses protestations, puis, il lui dégrafe son soutien-gorge, trouvant que ses seins ballottant dans son corsage sont du meilleur effet. D’ailleurs dans la voiture, Michel lui demande de retrousser sa jupe de plus en plus haut et même de sortir ses seins de la blouse. Il y a peu de circulation sur ces routes surtout viticoles, mais ils croisent ou doublent tout de même des tracteurs, d’où les paysans juchés sur leur siège ne perdent pas une miette des appas qu’Odile offre à leurs yeux écarquillés.

Dans les caves où ils dégustent différents vins, si elle ne fait pas voir sa chatte, des yeux fureteurs plongent dans le décolleté de sa blouse baillant outrageusement, alors que, dans la presque obscurité des chais des mains baladeuses s’en donnent à cœur joie sur ses fesses. Odile a horreur de ces familiarités d’un autre âge, mais surexcitée depuis la veille par les agissements de son mari, elle est troublée par cette ambiance provocante et sensuelle à la fois. Au retour, Michel engage l’automobile dans un petit chemin de terre longeant un bois et ils font l’amour en pleine nature. Odile s’appuyant des deux mains sur un arbre, la jupe retroussée sur son dos, est prise en levrette pas son coquin de mari.

Le soir, son mari lui dit qu’il a trouvé un restaurant remarquable, il fouille dans le sac de voyage de son épouse et en sort une jupe très courte en cuir noir et un chemisier noir transparent en soie sauvage. Lorsqu’Odile veut d’abord passer un slip et un soutien-gorge, il l’en empêche.

« Mais mon chéri ce n’est pas possible, mon minou se verra lorsque je serai assise et ma poitrine à travers ce corsage sera par trop visible ! »

« C’est justement ce que je veux. Je veux que tu sois la plus salope possible mon amour. Tu me plais ainsi – il y a tellement longtemps que j’en rêve. »

Les deux époux partent à pieds à travers les ruelles médiévales, éclairées par des lampadaires aux lueurs jaunâtres. Odile manque s’évanouir lorsque sur la place du marché son mari se dirige vers la bâtisse du XVIe siècle où se loge « Les Abricotiers de la Garonne ». C‘est ce fameux restaurant où Edmond connaît particulièrement Agnès la patronne et où le serveur l’a prise en photo sur la demande du notaire, pendant qu’elle se masturbait allongé dans un fauteuil, les cuisses grandes ouvertes devant deux clients qui n’en perdaient pas une miette. À sa plus grande honte, elle a même joui bruyamment, en gémissant et en poussant des cris.

Elle ne peut même pas s’enfuir, car Michel la tient fermement par le bras. C’est sûr, elle va au-devant d’un affront lorsqu’elle va se retrouver devant la patronne de l’établissement. Justement, elle s’approche avec les cartes et les menus à la main. Elle salue les deux arrivants comme si elle les voyait pour la première fois, leur demandant où ils veulent s’installer : il y a une terrasse extérieure qui donne sur la place du marché et à l’intérieur, une grande salle aux meubles régionaux anciens. Agnès propose également le jardin, où sous des tonnelles fleuries se trouvent des tables et des fauteuils en osier. Michel choisit le jardin et Odile se retrouve très près de la table où Edmond l’a obligée à montrer ses appas. Elle subodore que son mari va vouloir la même chose.

La commande prise, c’est justement le jeune serveur qui l’a prise en photo dans une position très embarrassante qui vient leur servir le vin commandé. Bien qu’il ne laisse aucun signe qu’il peut la reconnaître, il ne peut s’empêcher d’admirer les seins nus, bien distincts sous la soie transparente du corsage et de jeter un coup d’œil rapide sur le haut des cuisses à la limite du bas-ventre de la belle mature. Le repas fin se déroule dans une atmosphère tendue pour Odile. Il y a peu de clients dans le jardin, alors que la terrasse extérieure est pleine et qu’un mariage se déroule dans la salle. Le jeune serveur, il a au plus vingt ans et une très belle gueule d’ange avec ses cheveux blonds, la reluque toujours avec attention lorsqu’il vient servir ou desservir. Le couple est installé à l’écart sous une tonnelle éloignée, Michel demande à sa femme de se soulever et de se rasseoir sur sa chaise en relevant sa jupe pour poser ses fesses nues sur le siège en osier. Puis, il lui demande d’avancer les fesses jusqu’au bord et d’écarter ses cuisses. L’humiliation de mettre sa pudeur à rude épreuve est encore une fois insupportable pour Odile, pourtant, elle obéit à son mari sans broncher, fermant les yeux lorsque le garçon vient pour la énième fois sans beaucoup de raison auprès de leur table.

Ils sont seuls à présent, car les quelques clients qui restaient sont partis. Agnès la patronne est très occupée avec ses serveuses par le mariage et les deux serveurs de la terrasse ne chôment pas. Michel apostrophe le jeune serveur.

« Mon garçon, je vois que la dame t’intéresse beaucoup. Allons approche, tu peux toucher sa chatte, elle ne demande que ça ! »

Odile, bien qu’elle éprouve un profond dégoût pour l’ignominie dans laquelle son époux la pousse inexorablement, sent que ses sens sont excités par cette situation singulière. La cyprine humidifie sa fente vulvaire et, lorsque le jeune homme touche timidement les chairs enflammées, elle laisse échapper un gémissement, soufflant un « continue » à peine audible au garçon. Celui-ci plonge ses doigts dans la conque béante, alors que Michel donne l’ordre à sa femme de se saisir de la verge du jeune serveur. Celle-ci, dans un état second, dégrafe le pantalon et en extrait un mandrin d’une belle taille. Odile branle la tige, retroussant le prépuce pour faire sortir un gland congestionné d’un beau rouge sombre.

« Suce-le » lui intime son mari. Odile devient rouge comme une écrevisse, mais elle se penche sur le vit du garçon, ouvre la bouche et absorbe le gland. Surexcité depuis le début du repas, il tressaute bientôt entre les lèvres féminines et lâche un flot de foutre que la malheureuse a bien du mal à avaler. La sève du jeune homme déborde des lèvres pour couler sur le menton et dans le cou, dégoulinant même entre les seins au travers l’ouverture du corsage. Le garçon se rajuste rapidement et s’en va sans demander son reste. Odile se rend aux toilettes pour se nettoyer et remettre de l’ordre dans sa tenue. Michel règle la note à la patronne du restaurant et le couple quitte bientôt le site de ses exploits.

De retour à l’hôtel Michel a une idée diabolique, pour mettre à l’épreuve son épouse sans qu’elle s’en doute. Pourtant, pour la première fois, il ne veut pas qu’elle subisse un affront qu’elle ne pourrait supporter.

Il demande à Odile de revêtir sa nuisette, mais de rester nue en dessous, puis il lui propose de lui mettre un foulard sur les yeux pour que ses sensations soient décuplées. Enfin lui dit-il pour jouer, il lui demande de s’allonger sur le lit, et lui attache délicatement les poignets et les chevilles aux montants verticaux du baldaquin attenant à leur lit avec des cordelettes sorties de sa valise. Odile, bien qu’un peu inquiète, mais amusée que son mari se décide à agrémenter leur partie de jambes en l’air s’est laissé faire.

Michel lui dit qu’il a oublié de commander du Champagne et, ne voulant pas que la serveuse la voie dans cette position, il descend lui-même le chercher. Il referme la porte derrière lui, ne laissant pas sortir de la bouche de sa femme, la protestation qu’elle s’apprêtait à émettre. Pourtant, à peine une minute plus tard, elle entend la porte s’ouvrir et se refermer aussitôt. Devant le silence que ne trouble aucune parole ni aucun bruit, Odile s’affole.

« Michel ? C’est toi ? Réponds-moi ? Il y a quelqu’un ? Oh ! Mon Dieu, Michel arrête de me faire peur… »

La voix d’Odile est de plus en plus angoissée. Si quelqu’un est dans la pièce que va-t-il lui arriver ? Il va la violer ? Avec l’assentiment de son mari qui l’a envoyé ? Ce ne peut être que lui qui veut la faire prendre par un autre homme, comme il le lui a laissé entendre tout à l’heure au restaurant. Tout à coup, elle sent un corps qui s’assoit sur le lit.

« Michel, dis-moi que c’est toi, je t’en supplie ! Ne me laisse pas me faire violer ! Monsieur, je ne veux pas, allez-vous en, ne me touchez pas Nonnnnnnn ! »

À ce moment, elle sent une main qui retrousse sa nuisette déjà très courte jusque sous ses seins. La main frôle son ventre, le masse légèrement et se pose sur son pubis, raclant de ses ongles les poils de sa toison. Odile est tétanisée, se sentant impuissante, attachée au lit, bras et jambes écartés, proie offerte à qui voudra bien la prendre. Elle ne peut douter que ce soit avec l’accord de Michel, que l’homme s’est introduit dans la chambre et qu’il s’apprête de toute évidence à la baiser. Les doigts viennent titiller le clitoris, repoussant le capuchon pour effleurer le bourgeon qui déjà pointe en avant, réclamant la caresse bienfaisante. Soudain, deux doigts s’infiltrent dans la vulve et plongent à l’intérieur du vagin. Odile ne peut s’empêcher de pousser un bref gémissement. Un troisième doigt rejoint les deux autres, s’agitant régulièrement dans la moule suintante, se concentrant sur la paroi interne, là où une petite surface spongieuse fait bondir dans ses liens la belle mature. Les doigts s’agitent furieusement dans les chairs vaginales, arrachant bientôt des feulements à la femme qui jouit, crie et hurle son bonheur. Elle ne peut se retenir alors qu’elle ne sait même pas qui est l’homme qui la masturbe aussi bien. À part Edmond, jamais elle n’a été doigtée ainsi, ce ne peut donc être son mari.

Elle entend des froissements de tissu et comprend que l’homme se déshabille. Il ne va pas tarder à la pénétrer. Elle sent la cyprine qui dégouline entre ses cuisses, elle a bien senti, comme la première fois avec Edmond, l’éjection de la femme fontaine qu’elle est devenue, surtout lorsqu’elle est doigtée. L’homme a dû en avoir plein la main, mais il n’a rien dit. Soudain, elle sent deux mains sur ses cuisses et un pénis, encapuchonné de son manteau en latex qui se glisse entre ses grandes lèvres béantes. Elle est certaine à présent que ce n’est pas son mari qui lui fait une farce. La verge qui la pénètre est plus grosse et plus longue. Après tout, puisqu’il le veut, autant qu’elle y prenne du plaisir. Elle accompagne donc son baiseur en y mettant tout son cœur, mais aussi son corps, projetant son bassin au-devant de la queue qui la pilonne, grognant, gémissant jusqu’à beugler sa jouissance devant l’acte impur dans lequel elle se délecte. Lorsque l’homme s’étend sur elle, épuisé, elle croît reconnaître l’odeur de son homme.

Lorsqu’il lui enlève son bandeau, elle le traite de salaud. Michel, la verge toujours engagée dans le pertuis de sa femme, l’embrasse amoureusement, riant de son stratagème. Se promettant intérieurement que, la prochaine fois, ce soit un inconnu qui la baise devant lui.

« Tu as bien joui ma petite salope de l’inconnu qui te baisait. D’ailleurs, tu ne perds rien pour attendre ma cochonne adorée. C’est aussi la première fois que je te vois éjecter du liquide de la chatte tellement tu étais excitée. »

« Oh ! J’ai tellement honte » lâche Odile en pleurnichant, faussement contrite, car elle sait très bien, qu’avec Edmond, elle expulse à chaque fois lorsqu’il la doigte.

« Je ne sais pas ce qu’est ce liquide mon chéri, je ne crois pas que ce soit de l’urine. Cela m’est déjà arrivé une fois, toute seule, alors que… que je me faisais du bien. Pardon, mon amour ! »

« Tu te masturbes en cachette ma petite putain, mais c’est très bien, au contraire et tu vas le faire devant moi dorénavant. Je veux en profiter et voir ma petite femme s’envoyer en l’air ! »

Tout en se parlant, Michel a détaché sa femme qui se trouve un peu déconfite, puis, s’étant retiré du vagin conjugal, il retire la capote d’un gode creux avec ceinture dans lequel il avait engagé son pénis, trompant ainsi sa femme sur la dimension du sexe qui la pénétrait. Odile n’en revient pas d’une telle supercherie et mi-souriante, mi-fâchée, embrasse son mari, flattant tout de même la vraie verge qu’elle prend en bouche, suçant avec application le bâton de chair qui n’avait pas joui. Michel ne tarde pas à laisser son foutre se répandre dans la gorge d’Odile, maculant les lèvres et le menton de sa tendre épouse.

À suivre…

Les avis des lecteurs

Visiblement, Vieulou a retrouvé la forme avec ce texte puissamment érotique et girondin. La suite devrait être, en cette région viticole, du même tonneau, pour notre plus grand plaisir.

Histoire Libertine
Quoi dire de plus et de mieux. Je me sens Odile, je me veux Odile. Vieulou, baroudeur des savanes, infatigable pervers des jeux de l'amour et des rapports humains. Vous êtes un maître. Et surtout portez-vous bien. On a besoin de votre plume.
Effrontée

Histoire Erotique
C'est parfait! Je me laisse emmener dans cette perversité avec goût...

Histoire Erotique
Merci pour ce texte si bien écrit et pour toutes les promesses d'aventures érotiques de la belle mâture.
Portez-vous bien tous nos voeux vous acompagnent.
Continuez de nous régaler de vos récits.

Quel plaisir de retrouver ta plume, Vieulou.
Odile prend une nouvelle dimension sous la houlette de son mari qui vient épauler Edmond pour la dévergonder.
Ton récit est toujours de qualité et toujours aussi bien construit
Merci

Histoire Erotique
L'attente est largement récompensée.
Merci
Rudy

Histoire Erotique
Plaisir de vous lire de nouveau VieuLou, votre long silence dispense aujourd'hui un épisode de la "Déroutante" Odile sans aucune ride prise que cela soit sur sa forme ou dans son contenu.

Votre plume illustre que l'érotisme au même titre que l'aventure, the thrillers ou le romantisme avive le bien - être du plaisir des sens ...

Demeurez le plus longtemps dans ce domaine

A la prochaine lecture



Texte coquin : LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17
Histoire sexe : Une rose rouge
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