Le mariage trop arrosé.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 132 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Plaisir39 ont reçu un total de 660 508 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 154 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le mariage trop arrosé.
La journée est ensoleillée, mais la route est longue. Je suis invité en 1985 au mariage d'un copain, les mariages, c'est pas trop mon truc, je trouve ça ennuyeux et on mange souvent assez mal.
Lisa, vit encore chez sa mère, elle ne peut pas venir avec moi.
Je suis assis à l'arrière de la voiture, j'ai l'impression d'être de trop à cette fête.
Mes amis me détendent en racontant des blagues et en rappelant des anecdotes qui nous font toujours rire.
Comme toujours, les cérémonies de mairie et d'église m'ennuient.
Enfin, on entame la fête et le repas, mes amis, continuent leurs délires de plaisanteries et nous commençons a boire un peu, puis un peu plus.
Viens le moment, ou on peut enfin danser sur des morceaux sympas, je ne connais pas grand monde, à part les mariés et mes amis.
Mais tout se passe très bien, à un moment, le nombre de danseurs oblige au contact rapproché.
Puis, j'hallucine, on vient de me toucher les fesses, je me retourne aussitôt, mais je ne devine pas qui l'a fait.
Quelques filles et des hommes mûrs sont autour de moi, puis le phénomène se répète à deux reprises.
J'attends la fin de la série pour quitter le centre de la piste, puis retourne m'abreuver d'alcool.
Les heures passent, et il est évident que j'ai beaucoup trop taquiné le goulot, j'amuse mon entourage proche, je suis complètement désinhibé.
Une nouvelle musique, que j'adore, rempli la salle, je me lève pour aller encore danser, mais à peine deux mètres plus loin, je m'écroule au sol.
Je sens de nombreux bras me soulever et j'entends:"Il est bourré, on va aller le mettre dans une des salles du fond!".
Je me laisse porter, et on me dépose sur un vieux canapé.
Pendant de longues minutes, je distingue le boom boom de la musique au loin, puis je sombre dans un sommeil profond.
Mes songes sont peuplés de rire avec mes potes, de moments de danse, et de moments érotiques.
Je rêve qu'un homme me caresse les fesses, il me prépare très doucement l'anus, le lubrifie avec de la salive.
Je rêve qu'il me pénètre très lentement le cul, il m'a excité, et je cherche sa pénétration, je gémis de plaisir.
Il coulisse en moi avec facilité et volupté, je l'aide en m'enfonçant sur lui avec mon cul.
Ses assauts sont de plus en plus profond, mais jamais violents.
L'euphorie de l'alcool me fait délirer, et amplifie mon plaisir.
Le plaisir monte très progressivement en moi, je suis bien, je ne veux pas me réveiller et sortir de ce rêve.
Les sensations deviennent plus fortes, puis un orgasme me gagne le cerveau, puis je sors peu à peu de mon sommeil et sens mon anus écartelé.
Je devine un sexe épais qui coulisse dans mon cul dans un rythme soutenu, mais sans être rapide.
C'est pas vrai, je suis en train de jouir du cul et c'est réel! Un homme m'encule quand je dors et j'y prend du plaisir.
J'ouvre les yeux, mais, je ne vois rien, on m'a caché les yeux avec une main.
Je pense à l'enlever, mais je constate que mes mains sont bloquées par quelqu'un que je ne vois pas.
Une forte odeur de tabac bon marché remplit la pièce.
Mes genoux touchent le sol, la logique veut que je dois être au bout du canapé, avec le cul offert à toute pénétration.
Mon réveil a du donner le signal que la personne qui est en moi peut se lâcher, puisque sa pénétration devient plus puissante et profonde.
Mon orgasme stoppé par mon réveil reprend de plus belle, alors que la main qui me bloque le visage me lâche.
Je suis toujours sous l'effet de l'alcool, ma tête est vaseuse, malgré le plaisir qui me gagne.
Je ne sais pas quand l'homme a commencé sa besogne, mais ses assauts sont interminables.
Je jouis en râles étouffés, l'homme s'en rend compte, il continue de me défoncer l'anus à fond avec excitation.
Quelques musiques séparent mon orgasme du moment ou il se met à grogner.
Des à-coups incontrôlés me révèlent qu'il éjacule dans mon cul.
J'ai enfin fini de subir ces assauts, mais alors qu'il se retire, j'entends:"C'est toujours aussi bon de t'enculer!".
"On se connait?".
"Oui, je t'ai baisé deux fois, au cinéma de la poste et au Sex-Shop avec mon pote!".
Je regarde l'homme et son complice, je ne les reconnais pas.
"Restes comme ça! mon pote va me remplacer!".
Je n'aurai pas pu me débattre, l'alcool annule toute énergie de ma part.
J'entends des bruits de boucle de ceinture et de tissu qui glisse sur la peau.
Puis des mains se posent dans le creux de mes reins.
Un pénis bien long vient me pénétrer, puis me baiser comme une brute.
J'hurle dans la main contre ma bouche. L'inconnu me défonce, et me fait jouir.
"Chht, on sait que t'adore ça! Mais fait moins de bruit!".
Seuls des sons étouffés sortent de ma bouche.
J'entend des bruits de pas derrière la porte.
"Il est là Patrick?".
"Oui, il est bourré, il dort, laisses le!".
La poignée bouge.
"C'est fermé, je pense que les mariés ont fermé pour qu'on le déranges pas!".
Pendant ce temps, l'homme m'encule toujours, mais sans cogner au fond de mon cul.
Quand les pas s'éloignent, il me défonce à nouveau.
Plusieurs musiques défilent, j'entends les gens sauter sur la piste.
L'alcool et le puissant orgasme anal qui me saisit me provoquent des fourmillement dans la tête.
"Ahhhrrrrrrrrrrrr, ouais, ça y est, je lui rempli le cul, arhhhhhhhhhhhh".
L'homme se lâche en râles bruyants protégé par le bruit ambient.
Il m'assène quelques derniers assauts pour finir son éjaculation.
Puis l'homme qui vient d'éjaculer dans mon cul, murmure dans mon oreille:"Merci, c'était bon, comme d'habitude, j'espère qu'on recommencera vers chez toi!"Les deux hommes ouvrent la serrure avec une clé, puis la porte se ferme.
Je me relève. Mon pantalon est coincé sous mes genoux.
Je me redresse, je remonte mes vêtements, je n'ai que la force de fermer le premier bouton de mon jean.
Ma tête se met à tourner, puis je m'affale en long sur le canapé, pour me rendormir.
Le matin, je me réveille avec une énorme gueule de bois. Franchement, il faut que j'arrête les mélanges d'alcool.
Je me rend aux toilettes pour pisser, je m'assoie, pas la force de tenir debout!
L'urine va rejoindre l'eau dans le bidet, puis je ressens le besoin instinctif de pousser avec mon anus, j'hallucine! C'était pas un rêve alors!
En poussant, j'expulse du sperme très abondant et bien visible dans l'urine matinale.
Je pense alors énervé (Merde! j'ai servi de vide-couille à deux hommes, et je me souviens plus d'eux!).
Une gêne me saisit, je m'essuie l'anus, puis je repense au plaisir que j'ai ressenti.
Tous ceux qui ont dormi sur place se retrouvent pour un petit déjeuner, Je mange deux croissants sans prendre de café, j'ai peur de ne pas le garder dans l'estomac.
Je scrute les hommes autour de la table, quelques filles de la veille me disent que je les ai beaucoup fait rire.
Je croise les regards des deux hommes d'une cinquantaine d'années, je vois une malice dans leurs yeux.
Le temps passe, j'attend que mes copains se décident a rentrer.
Puis je retourne aux toilettes, en sortant, je tombe sur les deux hommes, ils m'attirent dans la pièce ou j'ai dormi, l'un d'eux ferme a clé.
"Ca te dit de nous sucer? Ca va mieux, tu va pouvoir assurer!".
Je leur ai donné ma bouche avec plaisir et leur ai pratiqué une longue fellation qui se termine par leurs deux éjaculations dans ma gorge.
"Désolé pour cette nuit, jeune! Tu nous plaisait trop! On s'est dit que c'était une occasion à ne pas louper".
Lisa, vit encore chez sa mère, elle ne peut pas venir avec moi.
Je suis assis à l'arrière de la voiture, j'ai l'impression d'être de trop à cette fête.
Mes amis me détendent en racontant des blagues et en rappelant des anecdotes qui nous font toujours rire.
Comme toujours, les cérémonies de mairie et d'église m'ennuient.
Enfin, on entame la fête et le repas, mes amis, continuent leurs délires de plaisanteries et nous commençons a boire un peu, puis un peu plus.
Viens le moment, ou on peut enfin danser sur des morceaux sympas, je ne connais pas grand monde, à part les mariés et mes amis.
Mais tout se passe très bien, à un moment, le nombre de danseurs oblige au contact rapproché.
Puis, j'hallucine, on vient de me toucher les fesses, je me retourne aussitôt, mais je ne devine pas qui l'a fait.
Quelques filles et des hommes mûrs sont autour de moi, puis le phénomène se répète à deux reprises.
J'attends la fin de la série pour quitter le centre de la piste, puis retourne m'abreuver d'alcool.
Les heures passent, et il est évident que j'ai beaucoup trop taquiné le goulot, j'amuse mon entourage proche, je suis complètement désinhibé.
Une nouvelle musique, que j'adore, rempli la salle, je me lève pour aller encore danser, mais à peine deux mètres plus loin, je m'écroule au sol.
Je sens de nombreux bras me soulever et j'entends:"Il est bourré, on va aller le mettre dans une des salles du fond!".
Je me laisse porter, et on me dépose sur un vieux canapé.
Pendant de longues minutes, je distingue le boom boom de la musique au loin, puis je sombre dans un sommeil profond.
Mes songes sont peuplés de rire avec mes potes, de moments de danse, et de moments érotiques.
Je rêve qu'un homme me caresse les fesses, il me prépare très doucement l'anus, le lubrifie avec de la salive.
Je rêve qu'il me pénètre très lentement le cul, il m'a excité, et je cherche sa pénétration, je gémis de plaisir.
Il coulisse en moi avec facilité et volupté, je l'aide en m'enfonçant sur lui avec mon cul.
Ses assauts sont de plus en plus profond, mais jamais violents.
L'euphorie de l'alcool me fait délirer, et amplifie mon plaisir.
Le plaisir monte très progressivement en moi, je suis bien, je ne veux pas me réveiller et sortir de ce rêve.
Les sensations deviennent plus fortes, puis un orgasme me gagne le cerveau, puis je sors peu à peu de mon sommeil et sens mon anus écartelé.
Je devine un sexe épais qui coulisse dans mon cul dans un rythme soutenu, mais sans être rapide.
C'est pas vrai, je suis en train de jouir du cul et c'est réel! Un homme m'encule quand je dors et j'y prend du plaisir.
J'ouvre les yeux, mais, je ne vois rien, on m'a caché les yeux avec une main.
Je pense à l'enlever, mais je constate que mes mains sont bloquées par quelqu'un que je ne vois pas.
Une forte odeur de tabac bon marché remplit la pièce.
Mes genoux touchent le sol, la logique veut que je dois être au bout du canapé, avec le cul offert à toute pénétration.
Mon réveil a du donner le signal que la personne qui est en moi peut se lâcher, puisque sa pénétration devient plus puissante et profonde.
Mon orgasme stoppé par mon réveil reprend de plus belle, alors que la main qui me bloque le visage me lâche.
Je suis toujours sous l'effet de l'alcool, ma tête est vaseuse, malgré le plaisir qui me gagne.
Je ne sais pas quand l'homme a commencé sa besogne, mais ses assauts sont interminables.
Je jouis en râles étouffés, l'homme s'en rend compte, il continue de me défoncer l'anus à fond avec excitation.
Quelques musiques séparent mon orgasme du moment ou il se met à grogner.
Des à-coups incontrôlés me révèlent qu'il éjacule dans mon cul.
J'ai enfin fini de subir ces assauts, mais alors qu'il se retire, j'entends:"C'est toujours aussi bon de t'enculer!".
"On se connait?".
"Oui, je t'ai baisé deux fois, au cinéma de la poste et au Sex-Shop avec mon pote!".
Je regarde l'homme et son complice, je ne les reconnais pas.
"Restes comme ça! mon pote va me remplacer!".
Je n'aurai pas pu me débattre, l'alcool annule toute énergie de ma part.
J'entends des bruits de boucle de ceinture et de tissu qui glisse sur la peau.
Puis des mains se posent dans le creux de mes reins.
Un pénis bien long vient me pénétrer, puis me baiser comme une brute.
J'hurle dans la main contre ma bouche. L'inconnu me défonce, et me fait jouir.
"Chht, on sait que t'adore ça! Mais fait moins de bruit!".
Seuls des sons étouffés sortent de ma bouche.
J'entend des bruits de pas derrière la porte.
"Il est là Patrick?".
"Oui, il est bourré, il dort, laisses le!".
La poignée bouge.
"C'est fermé, je pense que les mariés ont fermé pour qu'on le déranges pas!".
Pendant ce temps, l'homme m'encule toujours, mais sans cogner au fond de mon cul.
Quand les pas s'éloignent, il me défonce à nouveau.
Plusieurs musiques défilent, j'entends les gens sauter sur la piste.
L'alcool et le puissant orgasme anal qui me saisit me provoquent des fourmillement dans la tête.
"Ahhhrrrrrrrrrrrr, ouais, ça y est, je lui rempli le cul, arhhhhhhhhhhhh".
L'homme se lâche en râles bruyants protégé par le bruit ambient.
Il m'assène quelques derniers assauts pour finir son éjaculation.
Puis l'homme qui vient d'éjaculer dans mon cul, murmure dans mon oreille:"Merci, c'était bon, comme d'habitude, j'espère qu'on recommencera vers chez toi!"Les deux hommes ouvrent la serrure avec une clé, puis la porte se ferme.
Je me relève. Mon pantalon est coincé sous mes genoux.
Je me redresse, je remonte mes vêtements, je n'ai que la force de fermer le premier bouton de mon jean.
Ma tête se met à tourner, puis je m'affale en long sur le canapé, pour me rendormir.
Le matin, je me réveille avec une énorme gueule de bois. Franchement, il faut que j'arrête les mélanges d'alcool.
Je me rend aux toilettes pour pisser, je m'assoie, pas la force de tenir debout!
L'urine va rejoindre l'eau dans le bidet, puis je ressens le besoin instinctif de pousser avec mon anus, j'hallucine! C'était pas un rêve alors!
En poussant, j'expulse du sperme très abondant et bien visible dans l'urine matinale.
Je pense alors énervé (Merde! j'ai servi de vide-couille à deux hommes, et je me souviens plus d'eux!).
Une gêne me saisit, je m'essuie l'anus, puis je repense au plaisir que j'ai ressenti.
Tous ceux qui ont dormi sur place se retrouvent pour un petit déjeuner, Je mange deux croissants sans prendre de café, j'ai peur de ne pas le garder dans l'estomac.
Je scrute les hommes autour de la table, quelques filles de la veille me disent que je les ai beaucoup fait rire.
Je croise les regards des deux hommes d'une cinquantaine d'années, je vois une malice dans leurs yeux.
Le temps passe, j'attend que mes copains se décident a rentrer.
Puis je retourne aux toilettes, en sortant, je tombe sur les deux hommes, ils m'attirent dans la pièce ou j'ai dormi, l'un d'eux ferme a clé.
"Ca te dit de nous sucer? Ca va mieux, tu va pouvoir assurer!".
Je leur ai donné ma bouche avec plaisir et leur ai pratiqué une longue fellation qui se termine par leurs deux éjaculations dans ma gorge.
"Désolé pour cette nuit, jeune! Tu nous plaisait trop! On s'est dit que c'était une occasion à ne pas louper".
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Plaisir39
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...