LE MARIN. Et les pics assiettes. (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. Et les pics assiettes. (2/4)
C’est au mariage de ma cousine que les mariés s’aperçoivent qu’un couple fort sympathique au demeurant lui la quarantaine et elle plus jeune la vingtaine, sont des pics assiette.
Avec mon cousin Robert, nous dissuadons le mari de ma cousine de leur demander de partir, car nous avons un plan plus intéressant.
Elvis aime les coupes de champagne alors nous entretenons son vice en lui remplissant sa coupe chaque fois qu’elle est vide.
Celui qui se faisait appeler Elvis et sa compagne Espoir avait un numéro très au point et nous est apparue comme des pros étant expert dans cette pratique mais finissent par lâcher des bribes de renseignements.
Nous apprenons qu’il travaille sur un chantier en Espagne et s’absente toute la semaine laissant Espoir seule à se morfondre.
Au moment où il est l’heure de nous séparer, les jeunes mariés partent directement pour l’aéroport en voyage de noces.
Avec Robert, nous récupérons Elvis qui titube ses jambes refusant de le soutenir.
Espoir est incapable de le porter jusqu'à leur domicile, car jamais il n’a été dans cet état.
Elle a du mal à comprendre pourquoi il est tombé dans la bouteille même si elle sait qu’il aime beaucoup le champagne.
Dans l’état où nous l’avons défoncée sans qu’elle s’en aperçoive sa jeunesse l’ayant emportée et les danses avec l’un de nous deux ayant succédé aux danses, elle est bien obligée de nous dire qu’ils habitent de l’autre côté du bois vers la porte de Saint-Cloud dans un trois-pièces de la ville de Paris.
Nous l’emmenons dans la voiture de Robert, nous le transportons jusqu’au bas de chez eux et nous le montons par les escaliers au troisième étage.
Nous l’avons couché et mon cousin est tout de suite reparti me laissant seul avec Espoir.
D’entrée, je la prends dans mes bras, mais elle semble vouloir me résister prenant pour motif la présence de son mari dans la chambre contiguë et elle souhaite continuer dans cette voie.
J’ai le temps de conclure avec elle étant en permission pour une semaine jusqu’au dimanche suivant.
Je prends donc la direction de la porte.
Au dernier moment, je lui lâche d’être bien présente demain à onze heures si elle veut éviter à son mari la prison, car nous avons découvert leur petit manège au restaurant où il semble avoir leur habitude hebdomadaire.
Je lui interdis de parler à son mari que l’on a tout découvert et qu’elle devrait répondre de leur agissement si elle parlait.
J’ai conscience que je lui fais du chantage, mais elle a un si joli petit cul sans compter ses yeux légèrement bridés que je suis sans aucun scrupule.
Après avoir rejoint Rober dans sa chambre où nous nous mettons d’accord sur une stratégie pour le lendemain et je rentre à la maison où je retrouve mes parents eux aussi de retour de la noce.
Lundi onze heures, je sonne. J’entends du bruit et une petite voix qui me demande qui je suis comme si elle l’ignorait.
Elle commence par résister en refusant d’ouvrir, mais lorsque je lui acène qu’avec son mari, ils sont des pics assiettes et vont avoir des ennuis, la porte s’ouvre.
Elle me fait entrer, la tenue qu’elle porte est très équivoque même si je l’ai un peu brusquée pour entrer.
Lorsque vous savez qu’un homme qui vous a tenu le long de sa queue en dansant et que vous savez qu’il connaît votre secret sur vos soirées gratuites dans le ou les restaurants pouvez-vous ignorer qu’il a envie de vous, est-ce en peignoir que vous le recevez ?
Porte refermée, je l’attire vers moi et je n’ai pas besoin de tirer beaucoup pour qu’elle se colle contre moi.
J’envoie ma main directement sous son peignoir et je ne trouve rien pour la protéger d’une éventuelle attaque. Ma bouche trouve la sienne et ma main entre dans sa fente qui ruisselle d’envie.
D’elle-même elle arrache carrément le pont de mon pantalon.
J’ai déjà parlé de ce pont du pantalon des marins sans dire, comment il est fait.
Sur le devant, il est fermé par quatre boutons qui enlevés permettent de le baisser et d’atteindre mes sous-vêtements.
Sachant où j’allais et que j’avais préparé le terrain favorablement, j’ai volontairement oublié d’en mettre ce matin et sa main peut directement m’empoigner et voir que je bande comme un taureau.
Elle fait tomber son peignoir et dans le mouvement, elle me saute au cou venant présenter sa vulve à mon sexe.
En accrochant ses jambes dans mon dos, je la plaque au mur, elle se laisse retomber sur moi pour s’empaler jusqu’à la partie la plus profonde de son intimité.
Pour une femme, qui voulait rester fidèle, soit elle vient d’ouvrir les vannes et souhaite se donner sans retenue, soit c’est déjà une salope qui aime se faire prendre draguant des hommes dès que son mari est parti pour se faire défoncer la chatte.
Pour le moment, c’est moi qui la prends ce que j’aime même si au bout d’un certain temps je fatigue de la soulever à bout de bras.
Ma venue hier matin me permet de la diriger vers la salle à manger où je peux la poser sur la table et continuer à la labourer.
La façon dont elle s’accroche à moi et que ses jambes me crochètent le dos me permet de voir monter en elle le premier orgasme que ma bite lui fournit.
Sans dessouder sa bouche de la mienne et faisant tourner sa langue de plus en plus fortement et rapidement au moment où tout explose, elle lâche ma bouche et un cri strident par dans la pièce.
Je suis un jeunot dans le domaine du sexe, mais je suis sûr qu’aucune femme ou jeune femme ont ressenti une telle force dévastatrice lorsque notre plaisir a éclaté.
J’arrive à me détacher de ses jambes qui sous la force de sa jouissance sont tombées au sol, je la retourne comme une crêpe, je la place les jambes écartées le buste posé sur la plaque de verre composant la table.
Un frisson parcourt son épiderme et les petits poils dans son cou se dressent de surprise.
J’espère que ses ardeurs sont toujours aussi fortes et que sa chatte est toujours aussi chaude.
J’ai tellement rêvé cet instant que malgré le plaisir qu’elle m’a donné une première fois, je bande toujours, je la reprends et suis rapidement rassuré surtout lorsqu’elle se saisit un de ses petits seins, puis l’autre alternativement pour les tirer à pleines mains ce qui au bout d’un moment fait apparaître des traces rouges dessus une joue posée sur la plaque de verre.
Pour équilibrer la couleur de ses seins et de ses fesses, une jolie claque bien appliquée la redresse lui cambrant les reins et manquant de me faire sortir de son sexe.
Ce mouvement a le don de faire redémarrer son plaisir qui va encore progresser lorsque j’assène une claque similaire de l’autre côté.
Même mouvement du corps, mais sans le risque de sortie car je suis prévenu et là c’est parti, la jouissance qu’elle ressent à d’égale que le sperme que je déverse en elle atteignant notre plaisir complet en même temps et avec encore plus d’intensité.
Je l’empêche de chuter en la saisissant par les hanches et je la retourne pour la faire reposer assise sur la table.
Elle finit par récupérer saute de la table et m’entraîne sur le canapé où nous nous écroulons moi dessus, elle sur moi.
Sa chatte vient se poser sur ma cuisse et je sens mon sperme et ses sécrétions couler tout le long.
Mieux même, j’ai l’impression qu’elle est bien ouverte et que nos deux corps font ventouse et que nous sommes collés l’un à l’autre.
J’ai dormi comme souvent après que ma jouissance me foudroie comme cela a été le cas avec cette première approche de nos corps.
Combien de temps peu importe, ce qui me réveille est plus important que mes états d’âme.
La bouche d’Espoir qui a glissé au pied du canapé et qui me pompe avec gourmandise me permet de reprendre force. Pressé la petite de se resservir de ma verge.
Est-elle en manque ?
Elvis, son mari était-il dans l’incapacité de la satisfaire après la biture que nous lui avons infligée et sa femme avant son départ a-t-elle été frustrée sans sa dose de plaisir que j’ai su lui procurer dès mon entrée dans les lieux.
Pomper, sucer, semble lui plaire, car elle me montre des prédispositions à cette tache. Elle arrive même à me faire pénétrer jusqu’aux couilles au fond de sa gorge sans aucun mouvement de recul.
Elle peut réussir à me faire cela sans une grande habitude, elle sait faire des gorges profondes.
Je me dégage voulant garder mes forces pour le reste de la journée.
Je lui demande de me faire à manger et c’est entièrement dénudé qu’elle me sert me faisant profiter par là même de sa chute de rein, car dans un placard, je lui ai choisi une paire de chaussures avec des talons hauts.
Je lui ai demandé cela ce qui l’a étonné, car c’est mon côté voyeur qu’ainsi je satisfais.
Espoir a oublié le dessert, je suis contrarié. Elle se propose de descendre m’en acheter.
Des mille feuilles, c’est ma pâtisserie préférée.
Elle se dirige vers la chambre certainement pour s’habiller.
Je la rappelle et je l’envoie dans l’entrée récupérer l’imper qui y est pendu et que j’ai vu en arrivant.
J’adore ce que je suis en train de découvrir, cette fille aime être soumise, car avant qu’elle parte, je lui demande d’embrasser ma verge, ce qu’elle s’empresse de faire.
Elle met, l’imper prend son porte-monnaie dans un tiroir et comme je lui ai commandé simplement vêtu de ce vêtement et de ses talons hauts, elle me quitte.
Assis sur une chaise dans la cuisine, je l’attends en sirotant une bière trouvée dans le frigo.
Quel plaisir après avoir cocufié ce pic assiette en baisant la chatte de sa femme et maintenant en sirotant sa bière, je me sens le roi du monde.
Surtout qu’en parlant de monde, avant ces quelques jours de vacances, j’ai appris que je quittais Toulon pour Lorient pour embarquer sur le Suffren dernier bateau sortie des arsenaux et qui doit partir pour ses essais en mer pour Rio.
Là encore c’est une autre histoire que LE MARIN racontera.
Sur la place, je sais qu’il y a une pâtisserie ouverte, je l’ai vu en sortant du métro.
Je me fais du souci lorsque au bout d’une demi-heure, elle est toujours absente.
Encore un quart d’heure d’attente et je l’entends entrer. Elle a déposé son imper dans l’entrée et elle me rejoint avec à la main un paquet qu’elle tient par la ficelle.
Je suis gourmand de ce genre de gâteau, mais par jeu je lui ordonne de le mettre dans le frigo lui reprochant le temps qu’elle a mis.
Elle se défend et m’explique qu’elle a dû faire trois pâtisseries avant d’en trouver une ouverte pendant l’heure de midi.
Ce que j’aime, c’est lorsqu’elle m’explique le plaisir qu’elle a pris lorsqu’elle croisait des gens surtout des hommes qui s’étonnaient de voir cette jolie fille remonter la rue en imper sous le magnifique soleil qu’il fait dehors.
Pour se faire pardonner, elle vient s’asseoir sur mes genoux se frottant régulièrement la croupe sur ma verge.
Elle se relève, se retourne et viens s’empaler sur ma verge en m’embrassant à pleine bouche ses bras autour de mon cou.
Je n’ai rien à faire qu’à profiter de ses montées et décentes de son corps manquant chaque fois de sortir tellement elle veut se donner des coups de bites de plus en plus puissants.
Son visage dans l’attente du plaisir qui monte en elle est méconnaissable.
Ses yeux se révulsent me montrant le blanc du fond de l’œil.
Ce qu’elle cherche, elle le trouve lorsqu’il lui est impossible de se remonter une dernière fois tellement son corps explose.
Je la saisis sous ses fesses très pulpeuses et je la porte sur le lit où je la jette sans ménagement comme si je déposais un sac à patates.
Je m’attendais qu’elle se rebelle, mais non un joli sourire apparaît sur son visage. Mieux elle semble boulimique de sexe, elle me tend les bras où je m’abandonne.
Dans la cuisine, je l’ai prévenue que, vers dix-sept heures elle aurait une surprise.
Elle m’avait tanné pour savoir ce que je lui réservais.
J’ai tenu bon et lorsque l’on sonne, je la vois aller prendre son peignoir vers la salle de bains.
L’ordre que je lui envoie est exécuté dans la seconde qui suit. C’est nue qu’elle se dirige vers le couloir et qu’elle ouvre à Robert qui sort de la caserne son service terminé.
Sans aucune pudeur Espoir amène mon cousin le tirant par le bras.
Après m’avoir félicité pour la belle paire de couilles que je lui présente permettant à la petite de lui dire qu’en plus je sais m’en servir, j’ordonne qu’elle le dénude.
À part le moment où j’ai été légèrement menaçant envers elle, depuis j’ai à ma pogne un joli petit être docile.
Je devrais dire, nous avons car Robert plus mature que moi dès qu’il est entré lui ouvrant dans toute sa nudité à compris qu’Espoir fait partie de ces femmes qui aiment être soumises et que j’avais réussi à déclencher en elle ce penchant.
Le connaissant comme je le connais depuis 6 heures où elle m’a fait voir l’étendue de sa perversité, il me reste à me laisser guider par mon cousin, car chaque fois que nous sommes ensemble, il m’a toujours épaté par les trouvailles qui lui permettent d’emballer à tous les coups.
Pour faire connaissance avec la dame, je les regarde faire l’amour d’une façon très classique. Un léger sentiment de frustration me gagne lorsqu’elle prend son plaisir mais ma main qu’elle prend pour glisser entre leur corps pour m’amener vers sa minette et sentir mon frère de baise entrer et sortir en elle me fait comprendre que je suis là dans sa tête évitant toute distinction entre l’un ou l’autre.
Lorsqu’elle a extrait sa substance pour la transférer dans son propre corps, il se lève, quelles minutes après, va vers la cuisine et revient avec mon mille-feuille à la main en ayant déjà mangé un grand morceau.
Il s’assoit près de notre maîtresse et lui fait partager mon gâteau sous le motif de lui redonner des forces.
Pas la moindre miette pour moi, si j’avais su, je l’aurais mangé lorsque aile me l’a amené, mais il est trop tard quand je le vois se faire sucer les doigts avec gourmandise par notre petite femme aux yeux bridés.
Il est plus de vingt heures quand nous sortons nos vêtement remis.
Espoir a revêtu son imper seul vêtement que nous lui avons toléré la prévenant qu’elle était à notre service pour payer la dette de son mari qui avait bu le champagne de mes cousins lors de leur mariage en s’invitant dans la noce sans qu’ils fassent partie de la famille.
Elle nous explique qu’il y a deux ans qu’il vienne jouer les pics assiette dans ce restaurant grace à un copain d’Elvis, qui les prévient dès que des personnes réservent une salle pour un banquet avec buffet froid difficile à contrôler lorsqu’il y a plus de 100 convives, ce qui était le cas pour le mariage de ma cousine.
Bien souvent ils sont arrivés à s’introduire dans des colloques ou des séminaires voire un jour la fête de fin d’année offerte par le PDG d’une grosse boîte coté en Bourse et ayant son siège à la défense.
C’était la première fois qu’ils faisaient les mariages. Elle avait toujours refusé n’aimant pas berner des gens qui était là pour célébrer leur bonheur.
Elle était persuadée que cela leur porterait malheur, mais le bon début de semaine que nous avons commencé lui fait passer, lui montre qu’elle a eu tort d’avoir des scrupules.
Elle essaye de le défendre en nous expliquant que ces soirées où ces repas du midi leur font économiser de quoi prendre une semaine de vacances tous les ans depuis qu’ils ont commencé et depuis qu’elle vit avec lui malgré leur différence d’âge.
Il l’a connue à une soirée où pour la première fois elle servait le champagne engagé comme extra par un grand traiteur parisien et où après lui avoir pris son pucelage, il lui a avoué qu’à cette réception, il avait réussi à s’y introduire sans aucune invitation.
Le week-end suivant elle était de nouveau sollicitée pour servir dans une réception au même endroit, mais c’était faite viré lorsque le chef de rang l’a trouvé en train de baiser avec Elvis dans les toilettes des hommes où elle l’avait caché au moment de la mise en place pensant que son employée se faisant un invité.
Avec patience il avait attendu son tour et lorsqu’il avait vu Elvis sortir, il a tante sa chance, mais elle s’est offusquée de la proposition de cet homme avec un léger embonpoint et c’est pour cela qu’elle a attendu pendant plus de cinq heures qu’Elvis entre c’était lui qu’y avaient les clefs.
Pour preuve de sa soumission s’il en était encore nécessaire elle qui son domicile entièrement d’accord que ce qu’ils ont fait mérite bien une punition que nos verges, en la pourfendant, sont loin de lui avoir été apportés…
Avec mon cousin Robert, nous dissuadons le mari de ma cousine de leur demander de partir, car nous avons un plan plus intéressant.
Elvis aime les coupes de champagne alors nous entretenons son vice en lui remplissant sa coupe chaque fois qu’elle est vide.
Celui qui se faisait appeler Elvis et sa compagne Espoir avait un numéro très au point et nous est apparue comme des pros étant expert dans cette pratique mais finissent par lâcher des bribes de renseignements.
Nous apprenons qu’il travaille sur un chantier en Espagne et s’absente toute la semaine laissant Espoir seule à se morfondre.
Au moment où il est l’heure de nous séparer, les jeunes mariés partent directement pour l’aéroport en voyage de noces.
Avec Robert, nous récupérons Elvis qui titube ses jambes refusant de le soutenir.
Espoir est incapable de le porter jusqu'à leur domicile, car jamais il n’a été dans cet état.
Elle a du mal à comprendre pourquoi il est tombé dans la bouteille même si elle sait qu’il aime beaucoup le champagne.
Dans l’état où nous l’avons défoncée sans qu’elle s’en aperçoive sa jeunesse l’ayant emportée et les danses avec l’un de nous deux ayant succédé aux danses, elle est bien obligée de nous dire qu’ils habitent de l’autre côté du bois vers la porte de Saint-Cloud dans un trois-pièces de la ville de Paris.
Nous l’emmenons dans la voiture de Robert, nous le transportons jusqu’au bas de chez eux et nous le montons par les escaliers au troisième étage.
Nous l’avons couché et mon cousin est tout de suite reparti me laissant seul avec Espoir.
D’entrée, je la prends dans mes bras, mais elle semble vouloir me résister prenant pour motif la présence de son mari dans la chambre contiguë et elle souhaite continuer dans cette voie.
J’ai le temps de conclure avec elle étant en permission pour une semaine jusqu’au dimanche suivant.
Je prends donc la direction de la porte.
Au dernier moment, je lui lâche d’être bien présente demain à onze heures si elle veut éviter à son mari la prison, car nous avons découvert leur petit manège au restaurant où il semble avoir leur habitude hebdomadaire.
Je lui interdis de parler à son mari que l’on a tout découvert et qu’elle devrait répondre de leur agissement si elle parlait.
J’ai conscience que je lui fais du chantage, mais elle a un si joli petit cul sans compter ses yeux légèrement bridés que je suis sans aucun scrupule.
Après avoir rejoint Rober dans sa chambre où nous nous mettons d’accord sur une stratégie pour le lendemain et je rentre à la maison où je retrouve mes parents eux aussi de retour de la noce.
Lundi onze heures, je sonne. J’entends du bruit et une petite voix qui me demande qui je suis comme si elle l’ignorait.
Elle commence par résister en refusant d’ouvrir, mais lorsque je lui acène qu’avec son mari, ils sont des pics assiettes et vont avoir des ennuis, la porte s’ouvre.
Elle me fait entrer, la tenue qu’elle porte est très équivoque même si je l’ai un peu brusquée pour entrer.
Lorsque vous savez qu’un homme qui vous a tenu le long de sa queue en dansant et que vous savez qu’il connaît votre secret sur vos soirées gratuites dans le ou les restaurants pouvez-vous ignorer qu’il a envie de vous, est-ce en peignoir que vous le recevez ?
Porte refermée, je l’attire vers moi et je n’ai pas besoin de tirer beaucoup pour qu’elle se colle contre moi.
J’envoie ma main directement sous son peignoir et je ne trouve rien pour la protéger d’une éventuelle attaque. Ma bouche trouve la sienne et ma main entre dans sa fente qui ruisselle d’envie.
D’elle-même elle arrache carrément le pont de mon pantalon.
J’ai déjà parlé de ce pont du pantalon des marins sans dire, comment il est fait.
Sur le devant, il est fermé par quatre boutons qui enlevés permettent de le baisser et d’atteindre mes sous-vêtements.
Sachant où j’allais et que j’avais préparé le terrain favorablement, j’ai volontairement oublié d’en mettre ce matin et sa main peut directement m’empoigner et voir que je bande comme un taureau.
Elle fait tomber son peignoir et dans le mouvement, elle me saute au cou venant présenter sa vulve à mon sexe.
En accrochant ses jambes dans mon dos, je la plaque au mur, elle se laisse retomber sur moi pour s’empaler jusqu’à la partie la plus profonde de son intimité.
Pour une femme, qui voulait rester fidèle, soit elle vient d’ouvrir les vannes et souhaite se donner sans retenue, soit c’est déjà une salope qui aime se faire prendre draguant des hommes dès que son mari est parti pour se faire défoncer la chatte.
Pour le moment, c’est moi qui la prends ce que j’aime même si au bout d’un certain temps je fatigue de la soulever à bout de bras.
Ma venue hier matin me permet de la diriger vers la salle à manger où je peux la poser sur la table et continuer à la labourer.
La façon dont elle s’accroche à moi et que ses jambes me crochètent le dos me permet de voir monter en elle le premier orgasme que ma bite lui fournit.
Sans dessouder sa bouche de la mienne et faisant tourner sa langue de plus en plus fortement et rapidement au moment où tout explose, elle lâche ma bouche et un cri strident par dans la pièce.
Je suis un jeunot dans le domaine du sexe, mais je suis sûr qu’aucune femme ou jeune femme ont ressenti une telle force dévastatrice lorsque notre plaisir a éclaté.
J’arrive à me détacher de ses jambes qui sous la force de sa jouissance sont tombées au sol, je la retourne comme une crêpe, je la place les jambes écartées le buste posé sur la plaque de verre composant la table.
Un frisson parcourt son épiderme et les petits poils dans son cou se dressent de surprise.
J’espère que ses ardeurs sont toujours aussi fortes et que sa chatte est toujours aussi chaude.
J’ai tellement rêvé cet instant que malgré le plaisir qu’elle m’a donné une première fois, je bande toujours, je la reprends et suis rapidement rassuré surtout lorsqu’elle se saisit un de ses petits seins, puis l’autre alternativement pour les tirer à pleines mains ce qui au bout d’un moment fait apparaître des traces rouges dessus une joue posée sur la plaque de verre.
Pour équilibrer la couleur de ses seins et de ses fesses, une jolie claque bien appliquée la redresse lui cambrant les reins et manquant de me faire sortir de son sexe.
Ce mouvement a le don de faire redémarrer son plaisir qui va encore progresser lorsque j’assène une claque similaire de l’autre côté.
Même mouvement du corps, mais sans le risque de sortie car je suis prévenu et là c’est parti, la jouissance qu’elle ressent à d’égale que le sperme que je déverse en elle atteignant notre plaisir complet en même temps et avec encore plus d’intensité.
Je l’empêche de chuter en la saisissant par les hanches et je la retourne pour la faire reposer assise sur la table.
Elle finit par récupérer saute de la table et m’entraîne sur le canapé où nous nous écroulons moi dessus, elle sur moi.
Sa chatte vient se poser sur ma cuisse et je sens mon sperme et ses sécrétions couler tout le long.
Mieux même, j’ai l’impression qu’elle est bien ouverte et que nos deux corps font ventouse et que nous sommes collés l’un à l’autre.
J’ai dormi comme souvent après que ma jouissance me foudroie comme cela a été le cas avec cette première approche de nos corps.
Combien de temps peu importe, ce qui me réveille est plus important que mes états d’âme.
La bouche d’Espoir qui a glissé au pied du canapé et qui me pompe avec gourmandise me permet de reprendre force. Pressé la petite de se resservir de ma verge.
Est-elle en manque ?
Elvis, son mari était-il dans l’incapacité de la satisfaire après la biture que nous lui avons infligée et sa femme avant son départ a-t-elle été frustrée sans sa dose de plaisir que j’ai su lui procurer dès mon entrée dans les lieux.
Pomper, sucer, semble lui plaire, car elle me montre des prédispositions à cette tache. Elle arrive même à me faire pénétrer jusqu’aux couilles au fond de sa gorge sans aucun mouvement de recul.
Elle peut réussir à me faire cela sans une grande habitude, elle sait faire des gorges profondes.
Je me dégage voulant garder mes forces pour le reste de la journée.
Je lui demande de me faire à manger et c’est entièrement dénudé qu’elle me sert me faisant profiter par là même de sa chute de rein, car dans un placard, je lui ai choisi une paire de chaussures avec des talons hauts.
Je lui ai demandé cela ce qui l’a étonné, car c’est mon côté voyeur qu’ainsi je satisfais.
Espoir a oublié le dessert, je suis contrarié. Elle se propose de descendre m’en acheter.
Des mille feuilles, c’est ma pâtisserie préférée.
Elle se dirige vers la chambre certainement pour s’habiller.
Je la rappelle et je l’envoie dans l’entrée récupérer l’imper qui y est pendu et que j’ai vu en arrivant.
J’adore ce que je suis en train de découvrir, cette fille aime être soumise, car avant qu’elle parte, je lui demande d’embrasser ma verge, ce qu’elle s’empresse de faire.
Elle met, l’imper prend son porte-monnaie dans un tiroir et comme je lui ai commandé simplement vêtu de ce vêtement et de ses talons hauts, elle me quitte.
Assis sur une chaise dans la cuisine, je l’attends en sirotant une bière trouvée dans le frigo.
Quel plaisir après avoir cocufié ce pic assiette en baisant la chatte de sa femme et maintenant en sirotant sa bière, je me sens le roi du monde.
Surtout qu’en parlant de monde, avant ces quelques jours de vacances, j’ai appris que je quittais Toulon pour Lorient pour embarquer sur le Suffren dernier bateau sortie des arsenaux et qui doit partir pour ses essais en mer pour Rio.
Là encore c’est une autre histoire que LE MARIN racontera.
Sur la place, je sais qu’il y a une pâtisserie ouverte, je l’ai vu en sortant du métro.
Je me fais du souci lorsque au bout d’une demi-heure, elle est toujours absente.
Encore un quart d’heure d’attente et je l’entends entrer. Elle a déposé son imper dans l’entrée et elle me rejoint avec à la main un paquet qu’elle tient par la ficelle.
Je suis gourmand de ce genre de gâteau, mais par jeu je lui ordonne de le mettre dans le frigo lui reprochant le temps qu’elle a mis.
Elle se défend et m’explique qu’elle a dû faire trois pâtisseries avant d’en trouver une ouverte pendant l’heure de midi.
Ce que j’aime, c’est lorsqu’elle m’explique le plaisir qu’elle a pris lorsqu’elle croisait des gens surtout des hommes qui s’étonnaient de voir cette jolie fille remonter la rue en imper sous le magnifique soleil qu’il fait dehors.
Pour se faire pardonner, elle vient s’asseoir sur mes genoux se frottant régulièrement la croupe sur ma verge.
Elle se relève, se retourne et viens s’empaler sur ma verge en m’embrassant à pleine bouche ses bras autour de mon cou.
Je n’ai rien à faire qu’à profiter de ses montées et décentes de son corps manquant chaque fois de sortir tellement elle veut se donner des coups de bites de plus en plus puissants.
Son visage dans l’attente du plaisir qui monte en elle est méconnaissable.
Ses yeux se révulsent me montrant le blanc du fond de l’œil.
Ce qu’elle cherche, elle le trouve lorsqu’il lui est impossible de se remonter une dernière fois tellement son corps explose.
Je la saisis sous ses fesses très pulpeuses et je la porte sur le lit où je la jette sans ménagement comme si je déposais un sac à patates.
Je m’attendais qu’elle se rebelle, mais non un joli sourire apparaît sur son visage. Mieux elle semble boulimique de sexe, elle me tend les bras où je m’abandonne.
Dans la cuisine, je l’ai prévenue que, vers dix-sept heures elle aurait une surprise.
Elle m’avait tanné pour savoir ce que je lui réservais.
J’ai tenu bon et lorsque l’on sonne, je la vois aller prendre son peignoir vers la salle de bains.
L’ordre que je lui envoie est exécuté dans la seconde qui suit. C’est nue qu’elle se dirige vers le couloir et qu’elle ouvre à Robert qui sort de la caserne son service terminé.
Sans aucune pudeur Espoir amène mon cousin le tirant par le bras.
Après m’avoir félicité pour la belle paire de couilles que je lui présente permettant à la petite de lui dire qu’en plus je sais m’en servir, j’ordonne qu’elle le dénude.
À part le moment où j’ai été légèrement menaçant envers elle, depuis j’ai à ma pogne un joli petit être docile.
Je devrais dire, nous avons car Robert plus mature que moi dès qu’il est entré lui ouvrant dans toute sa nudité à compris qu’Espoir fait partie de ces femmes qui aiment être soumises et que j’avais réussi à déclencher en elle ce penchant.
Le connaissant comme je le connais depuis 6 heures où elle m’a fait voir l’étendue de sa perversité, il me reste à me laisser guider par mon cousin, car chaque fois que nous sommes ensemble, il m’a toujours épaté par les trouvailles qui lui permettent d’emballer à tous les coups.
Pour faire connaissance avec la dame, je les regarde faire l’amour d’une façon très classique. Un léger sentiment de frustration me gagne lorsqu’elle prend son plaisir mais ma main qu’elle prend pour glisser entre leur corps pour m’amener vers sa minette et sentir mon frère de baise entrer et sortir en elle me fait comprendre que je suis là dans sa tête évitant toute distinction entre l’un ou l’autre.
Lorsqu’elle a extrait sa substance pour la transférer dans son propre corps, il se lève, quelles minutes après, va vers la cuisine et revient avec mon mille-feuille à la main en ayant déjà mangé un grand morceau.
Il s’assoit près de notre maîtresse et lui fait partager mon gâteau sous le motif de lui redonner des forces.
Pas la moindre miette pour moi, si j’avais su, je l’aurais mangé lorsque aile me l’a amené, mais il est trop tard quand je le vois se faire sucer les doigts avec gourmandise par notre petite femme aux yeux bridés.
Il est plus de vingt heures quand nous sortons nos vêtement remis.
Espoir a revêtu son imper seul vêtement que nous lui avons toléré la prévenant qu’elle était à notre service pour payer la dette de son mari qui avait bu le champagne de mes cousins lors de leur mariage en s’invitant dans la noce sans qu’ils fassent partie de la famille.
Elle nous explique qu’il y a deux ans qu’il vienne jouer les pics assiette dans ce restaurant grace à un copain d’Elvis, qui les prévient dès que des personnes réservent une salle pour un banquet avec buffet froid difficile à contrôler lorsqu’il y a plus de 100 convives, ce qui était le cas pour le mariage de ma cousine.
Bien souvent ils sont arrivés à s’introduire dans des colloques ou des séminaires voire un jour la fête de fin d’année offerte par le PDG d’une grosse boîte coté en Bourse et ayant son siège à la défense.
C’était la première fois qu’ils faisaient les mariages. Elle avait toujours refusé n’aimant pas berner des gens qui était là pour célébrer leur bonheur.
Elle était persuadée que cela leur porterait malheur, mais le bon début de semaine que nous avons commencé lui fait passer, lui montre qu’elle a eu tort d’avoir des scrupules.
Elle essaye de le défendre en nous expliquant que ces soirées où ces repas du midi leur font économiser de quoi prendre une semaine de vacances tous les ans depuis qu’ils ont commencé et depuis qu’elle vit avec lui malgré leur différence d’âge.
Il l’a connue à une soirée où pour la première fois elle servait le champagne engagé comme extra par un grand traiteur parisien et où après lui avoir pris son pucelage, il lui a avoué qu’à cette réception, il avait réussi à s’y introduire sans aucune invitation.
Le week-end suivant elle était de nouveau sollicitée pour servir dans une réception au même endroit, mais c’était faite viré lorsque le chef de rang l’a trouvé en train de baiser avec Elvis dans les toilettes des hommes où elle l’avait caché au moment de la mise en place pensant que son employée se faisant un invité.
Avec patience il avait attendu son tour et lorsqu’il avait vu Elvis sortir, il a tante sa chance, mais elle s’est offusquée de la proposition de cet homme avec un léger embonpoint et c’est pour cela qu’elle a attendu pendant plus de cinq heures qu’Elvis entre c’était lui qu’y avaient les clefs.
Pour preuve de sa soumission s’il en était encore nécessaire elle qui son domicile entièrement d’accord que ce qu’ils ont fait mérite bien une punition que nos verges, en la pourfendant, sont loin de lui avoir été apportés…
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