LE MARIN. Et les pics assiettes. (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. Et les pics assiettes. (4/4)
Après avoir surpris un couple de pic assiettes au mariage de ma cousine germaine,Robert, mon cousin pompier de Paris et moi Christian marin en permission, nous leur avons demandé de ne rien leur dire et de les laisser faire.
Après avoir saoulé Elvis, le mari, nous avons aidé Espoir, sa femme à le ramener dans son lit.
C’est ainsi que nous avons su où ils habitaient et que le lendemain alors qu’elle était seule, Elvis étant retourné en Espagne continué son chantier où il est contremaitre je me suis invité chez eux comme ils s’étaient invités chez nous.
Le lundi matin Espoir devient ma petite-maîtresse et dès qu’il arrive après être sorti de sa caserne Robert aussi.
Le soir seulement revêtu d’un imperméable et nu dessous Robert et moi pensant la punir de ce qu’elle a fait avec son mari, nous la conduisons en métro à Pigalle où il s’arrange avec un patron de boîte à strip-tease qu’il connaît où elle vient de passer plusieurs fois dans la soirée finissant par triompher d’un public récalcitrant au début.
Nous sortons et nous embrassons les unes et les autres.
Nous attrapons, le dernier métro après le changement en courant à Miromesnil, nous entrons dans le dernier wagon de la rame qui vient de s’arrêter.
Nous montons tous les trois et la dernière personne descend.
Nous sommes seules dans la rame. Nous nous assaillons et dès que les portes se ferment, Robert sort sa queue.
Espoir comprend tout de suite ce qu’il attend et se place entre ses jambes pour le prendre dans sa bouche. Je la vois arrondir ses lèvres autour du pieu qui bande rapidement.
Sa main vient caresser mon pantalon lorsque nous atteignons une station.
Aucune porte s’ouvre et elle peut continuer.
Ma bite sortie, elle me masturbe au même rythme où ses lèvres montent sur la tige de mon cousin.
Elle est douée, car il doit être difficile de coordonner les deux mouvements.
Arrêt de la rame, la porte s’ouvre à l’autre bout du wagon et une jeune femme monte se retournant par rapport à nous et restant debout le long de deux strapontins.
Espoir reste stoïque et change de bite en bouche et masturbe Robert.
Arrêt, monté d’une petite mémé qui s’asseoir, elle aussi dos, à notre banquette.
Dommage, si elle avait aperçu la petite en train de nous pomper et nous masturber, cela aurait pu lui rappeler des moments de sa jeunesse.
Arrêt, Robert, est près d’exploser, ce n’est pas qu’il manque de résistant, mais Espoir l’a pris en bouche avant moi.
La porte s’ouvre dans notre dos et dans les glaces, je vois une belle femme qui monte et sans avoir vu notre suceuse entre les deux banquettes vient s’asseoir sur celle à côté de nous.
En tournant la tête, elle voit notre maîtresse qui change de sexe et qui reprend mon cousin en bouche.
Il lui est difficile d’ignorer ce que nous fait Espoir qui nous démontre qu’elle est devenue femme et salope jusqu’au bout des ongles, continuant à nous faire ce qu’elle a commencé.
Je tourne la tête et la regarde. Elle est toute rouge et son regard est fixé devant elle.
L’envie me prend de lui demander si elle veut profiter de mon sexe, mais je sais me tenir en société et je ne dis rien.
En regardant le plan, il reste deux stations avant d’arriver porte de Saint-Cloud.
Je referme mon pont et Espoir se rassoit sans qu’aucun de nous ne lui ait rempli la bouche.
La belle femme doit se demander quelle position adoptée car elle doit descendre, elle finit par se lever pour s’approcher de la porte où nous aussi allons descendre.
Elle se place devant la porte la poignée à la main prête à sauter.
Je la rejoins m’appuie légèrement sur son dos ma bite appuyée encore toute dur et au moment où elle descend manquant de tomber le métro n’étant pas complètement arrêté, je lui glisse de passer une bonne nuit et de faire de beaux rêves.
De retour à l’appartement le répondeur du téléphone est au rouge après appel.
Elle déclenche et c’est son homme qui l’a appelé pour lui souhaiter bon nuit.
Sa réponse est ambiguë, elle enlève son alliance qu’elle pose sur la table de verre de la salle à manger et se frotte le doigt.
Elle a faim, toutes nos émotions l’ont creusée.
Pain, rillette et bière et nous sommes des personnes neuves.
Elle nous conduit sous la douche et souhaite nous laver de la tête aux pieds.
Cela suffit pour que nous bandions suffisamment pour continuer à nous occuper de notre petite femme.
Finie la punition si elle a vraiment eu lieu lorsque l’on voit la belle salope que nos actions ont déclenchée.
Si elle ne le savait pas notre petite aux yeux légèrement bridés est devenue une folle du cul qui en prend et demande à en reprendre.
Le lit nous reçoit et la fatigue peut finir par nous gagne, Robert vient s’allonger et Espoir vient s’empaler sur la verge qui pointe vers elle.
Je m’approche, la petite me prend la verge dans sa main et me tire littéralement jusqu’à sa petite rondelle bien dégagée dans la position où ils sont tous les deux.
Je n’ose forcer surtout quand Robert bouge sa verge dans l’autre grotte et que j’ai une drôle d’impression que nos verges se caressent comme elles l’ont été chez la copine repartie dans la Creuse.
Doucement je pénètre notre maîtresse et je la prends par les hanches afin de pouvoir me souder bien à elle.
Comme d’habitude rapidement se sentant attaquer des deux côtés, elle commence à avoir quelques petites jouissances avant que tout en elle explose.
Pour la première fois de ma vie, je rêve d’être une femme et de pouvoir ressentir ce que deux verges qui vous pourfendent dans un commun mouvement m’apporteraient.
Nous sommes cousins et d’un coup nous éjaculons chacun de notre côté extrayant du même coup les derniers soubresauts qui traversent Espoir.
Au matin, j’ouvre un œil. Notre petite amie est dans mes bras et mon cousin chante à tue tête le tube à la mode INCHALLAH chanté par Salvador Adamo.
À bien entendre, sa voie est plus harmonieuse que celle du chanteur professionnel. Il est vrai que dans nos soirées, je l’ai souvent vu prendre le micro et faire un numéro de crooneur.
Lorsqu’il sort, il est prêt pour entrer à la caserne pour sa journée de service.
Avant de nous quitter, il me donne les consignes pour la conduire ce soir faire son numéro.
En attendant il sort l’enveloppe qu’elle a gagnée la veille et grand seigneur, il l’envoie sur le lit près de moi.
Dans l’enveloppe 400 francs. 400 francs pour une soirée d’effeuillage alors que je les gagne difficilement en un mois.
Avec cet argent le soir, c’est en taxi que je conduis Espoir vers son nouveau travail.
Nous entrons directement par l’entrée des artistes et toute la soirée, c’est dans les coulisses que je regarde les filles se dénuder.
Comme je l’avais supposé la veille, elles s’échauffent à la barre qui est près des loges assez exiguës.
À la différence des clients qui sauf accident voient rarement les chattes des filles à nu, moi c’est à quelques centimètres de mes yeux que dans leurs mouvements, elles écartent les cuisses me montrant l’intérieur de leur vagin.
Chaque fois que Viviane et sa belle touffe rousse pratique ses exercices, je bande ayant envie de la planter immédiatement.
À chacun de ses passages, elle a pris l’habitude de me prendre mon bachi qui devient l’objet principal de son show.
Avant de passer, Espoir est aux petits soins pour elle, j’ai rapidement vu que la grande la subjuguait.
Pourtant, elle lui rend plus d’une tête, mais au moment où l’une des cinq filles fait son numéro déguisé en cow-boy et que j’ignore où sont partis les deux autres pensants que je regarde la scène, elle s’agenouille entre ses cuisses et la lèche consciencieusement dès qu’elle lui en a donné l’ordre.
Même avec cette femme, elle accepte d’être soumise.
Je m’approche et d’une main, je caresse la croupe d’Espoir tout en m’occupant de la poitrine de Viviane en rapport à la taille de celle qui me les présente.
Ils sont majestueux.
Lorsque le moment de son numéro est arrivé, je la vois fixer son carré.
Espoir l’aide à mettre le peu de vêtements qui doivent rapidement quitter son corps et lorsque sa musique et que le patron l’annonce, grande dame, elle entre en scène.
À la fin de son numéro Espoir fait sa rotation avec de plus en plus d’aisance et quand elle revient dans les loges, rapidement les deux femmes brillent toujours par leur absentent.
Je pensais qu’elle s’était isolée pour se gougnotter, mais le temps passe et je commence à avoir peur qui leur soit arrivée quelque chose.
D’un coup elles arrivent par une porte arrière de l’établissement.
Après leur nouveau passage, je passe la porte pour atterrir dans d’autres loges dans l’établissement d’à côté où elles ont fait un numéro avant de retourner dans la boîte où elles avaient commencé la soirée.
Espoir, le premier soir était resté dans le premier établissement, mais en changeant de boîte, elles travaillent plus et se font plus d’argent.
Comme les autres avec Viviane, Espoir chance de boîte dans la nuit ou par sécurité je l’a suis.
L’enveloppe que l’on me remet à la fin de tous leurs effeuillages à rapporter 900 francs à ma copine.
Viviane au moment de partir souhaite emmener ma petite fleur des îles au regard bridé ayant un type eurasien. Elle est d’accord à la condition que je suive et que nous partions tous les trois.
Viviane habite un trois-pièces qu’elle loue à quelques centaines de mètres de la boîte.
Quelques minutes on suffit pour que je me retrouve au lit avec ces dames.
Si au début l’atmosphère est un peu tendue, rapidement lorsque je commence à sucer la chatte rousse, ce sont des sourires et des cris de jouissance qui remplisse la chambre lorsque ma verge rencontre sa grotte.
Je trouve la dame très accueillante et toujours prête à se donner pour son plaisir et notre plaisir.
Espoir prend sa part au festin afin de nous satisfaire tous les deux.
Au matin, comme d’habitude je peux constater que mon Bachi à deux nouvelles fois fait son effet et continue à entretenir la tradition que les filles qui le mettent sur leur tête finissent dans le lit du marin.
Le lendemain, Robert vient nous rejoindre à la boîte ayant trouvé porte close lorsqu’il est retourné à Saint-Cloud.
Là encore au début Viviane semble être mécontente qu’il vienne avec nous, mais lorsqu’il la sodomise, elle le trouve bon amant et nous passons mes deux derniers jours de perme quatre-vingt-dix pour cent de temps couché dans son lit.
Le vendredi après-midi, nous nous rendons en taxi chez notre petite avec deux valises. Nous la déménageons à Pigalle pour le grand plaisir de miss Amérique.
Une lettre posé sur la table avec l’alliance a scellé son destin avec le pic assiette, elle devait nous l’avouer, ils vivaient sans être mariés.
Le prénom qu’il nous avait donné comme je m’en doutais «était faux.
Espoir aussi a un prénom différent, mais pour nous Espoir doit rester Espoir.
Au moment où le dimanche, elle entrait en scène, mon train démarrait gare de Lyon vers Toulon.
Les deux semaines suivantes, j’étais de service et donc sans permission.
La semaine suivante, elles ont été contentes de me faire passer un week-end enchanteur.
Quelques jours encore et j’ai déménagé mon paquetage pour retrouver le SUFFREN, ce qui va m’entraîner vers d’autres aventures.
Un mois après lorsque je suis arrivé sur le balcon de l’appartement de Viviane et Espoir une pancarte apposée « à louer. »Une vieille dame descendant l’escalier m’a confirmé qu’elles étaient parties et que ce jour-là, elles les avaient croisées avec leurs valises, les avaient entendues dire qu’elles partaient pour Hollywood.
J’ai revu Espoir un jour au générique d’un film américain où elle avait un petit rôle qui a été le début d’une belle carrière aux États-Unis.
Viviane l’avait donc bien conduite là-bas, mais d’elle jamais je n’ai eu de nouvelle.
Voilà comment de pics assiette elle est devenue star du porno aux USA.
Après avoir saoulé Elvis, le mari, nous avons aidé Espoir, sa femme à le ramener dans son lit.
C’est ainsi que nous avons su où ils habitaient et que le lendemain alors qu’elle était seule, Elvis étant retourné en Espagne continué son chantier où il est contremaitre je me suis invité chez eux comme ils s’étaient invités chez nous.
Le lundi matin Espoir devient ma petite-maîtresse et dès qu’il arrive après être sorti de sa caserne Robert aussi.
Le soir seulement revêtu d’un imperméable et nu dessous Robert et moi pensant la punir de ce qu’elle a fait avec son mari, nous la conduisons en métro à Pigalle où il s’arrange avec un patron de boîte à strip-tease qu’il connaît où elle vient de passer plusieurs fois dans la soirée finissant par triompher d’un public récalcitrant au début.
Nous sortons et nous embrassons les unes et les autres.
Nous attrapons, le dernier métro après le changement en courant à Miromesnil, nous entrons dans le dernier wagon de la rame qui vient de s’arrêter.
Nous montons tous les trois et la dernière personne descend.
Nous sommes seules dans la rame. Nous nous assaillons et dès que les portes se ferment, Robert sort sa queue.
Espoir comprend tout de suite ce qu’il attend et se place entre ses jambes pour le prendre dans sa bouche. Je la vois arrondir ses lèvres autour du pieu qui bande rapidement.
Sa main vient caresser mon pantalon lorsque nous atteignons une station.
Aucune porte s’ouvre et elle peut continuer.
Ma bite sortie, elle me masturbe au même rythme où ses lèvres montent sur la tige de mon cousin.
Elle est douée, car il doit être difficile de coordonner les deux mouvements.
Arrêt de la rame, la porte s’ouvre à l’autre bout du wagon et une jeune femme monte se retournant par rapport à nous et restant debout le long de deux strapontins.
Espoir reste stoïque et change de bite en bouche et masturbe Robert.
Arrêt, monté d’une petite mémé qui s’asseoir, elle aussi dos, à notre banquette.
Dommage, si elle avait aperçu la petite en train de nous pomper et nous masturber, cela aurait pu lui rappeler des moments de sa jeunesse.
Arrêt, Robert, est près d’exploser, ce n’est pas qu’il manque de résistant, mais Espoir l’a pris en bouche avant moi.
La porte s’ouvre dans notre dos et dans les glaces, je vois une belle femme qui monte et sans avoir vu notre suceuse entre les deux banquettes vient s’asseoir sur celle à côté de nous.
En tournant la tête, elle voit notre maîtresse qui change de sexe et qui reprend mon cousin en bouche.
Il lui est difficile d’ignorer ce que nous fait Espoir qui nous démontre qu’elle est devenue femme et salope jusqu’au bout des ongles, continuant à nous faire ce qu’elle a commencé.
Je tourne la tête et la regarde. Elle est toute rouge et son regard est fixé devant elle.
L’envie me prend de lui demander si elle veut profiter de mon sexe, mais je sais me tenir en société et je ne dis rien.
En regardant le plan, il reste deux stations avant d’arriver porte de Saint-Cloud.
Je referme mon pont et Espoir se rassoit sans qu’aucun de nous ne lui ait rempli la bouche.
La belle femme doit se demander quelle position adoptée car elle doit descendre, elle finit par se lever pour s’approcher de la porte où nous aussi allons descendre.
Elle se place devant la porte la poignée à la main prête à sauter.
Je la rejoins m’appuie légèrement sur son dos ma bite appuyée encore toute dur et au moment où elle descend manquant de tomber le métro n’étant pas complètement arrêté, je lui glisse de passer une bonne nuit et de faire de beaux rêves.
De retour à l’appartement le répondeur du téléphone est au rouge après appel.
Elle déclenche et c’est son homme qui l’a appelé pour lui souhaiter bon nuit.
Sa réponse est ambiguë, elle enlève son alliance qu’elle pose sur la table de verre de la salle à manger et se frotte le doigt.
Elle a faim, toutes nos émotions l’ont creusée.
Pain, rillette et bière et nous sommes des personnes neuves.
Elle nous conduit sous la douche et souhaite nous laver de la tête aux pieds.
Cela suffit pour que nous bandions suffisamment pour continuer à nous occuper de notre petite femme.
Finie la punition si elle a vraiment eu lieu lorsque l’on voit la belle salope que nos actions ont déclenchée.
Si elle ne le savait pas notre petite aux yeux légèrement bridés est devenue une folle du cul qui en prend et demande à en reprendre.
Le lit nous reçoit et la fatigue peut finir par nous gagne, Robert vient s’allonger et Espoir vient s’empaler sur la verge qui pointe vers elle.
Je m’approche, la petite me prend la verge dans sa main et me tire littéralement jusqu’à sa petite rondelle bien dégagée dans la position où ils sont tous les deux.
Je n’ose forcer surtout quand Robert bouge sa verge dans l’autre grotte et que j’ai une drôle d’impression que nos verges se caressent comme elles l’ont été chez la copine repartie dans la Creuse.
Doucement je pénètre notre maîtresse et je la prends par les hanches afin de pouvoir me souder bien à elle.
Comme d’habitude rapidement se sentant attaquer des deux côtés, elle commence à avoir quelques petites jouissances avant que tout en elle explose.
Pour la première fois de ma vie, je rêve d’être une femme et de pouvoir ressentir ce que deux verges qui vous pourfendent dans un commun mouvement m’apporteraient.
Nous sommes cousins et d’un coup nous éjaculons chacun de notre côté extrayant du même coup les derniers soubresauts qui traversent Espoir.
Au matin, j’ouvre un œil. Notre petite amie est dans mes bras et mon cousin chante à tue tête le tube à la mode INCHALLAH chanté par Salvador Adamo.
À bien entendre, sa voie est plus harmonieuse que celle du chanteur professionnel. Il est vrai que dans nos soirées, je l’ai souvent vu prendre le micro et faire un numéro de crooneur.
Lorsqu’il sort, il est prêt pour entrer à la caserne pour sa journée de service.
Avant de nous quitter, il me donne les consignes pour la conduire ce soir faire son numéro.
En attendant il sort l’enveloppe qu’elle a gagnée la veille et grand seigneur, il l’envoie sur le lit près de moi.
Dans l’enveloppe 400 francs. 400 francs pour une soirée d’effeuillage alors que je les gagne difficilement en un mois.
Avec cet argent le soir, c’est en taxi que je conduis Espoir vers son nouveau travail.
Nous entrons directement par l’entrée des artistes et toute la soirée, c’est dans les coulisses que je regarde les filles se dénuder.
Comme je l’avais supposé la veille, elles s’échauffent à la barre qui est près des loges assez exiguës.
À la différence des clients qui sauf accident voient rarement les chattes des filles à nu, moi c’est à quelques centimètres de mes yeux que dans leurs mouvements, elles écartent les cuisses me montrant l’intérieur de leur vagin.
Chaque fois que Viviane et sa belle touffe rousse pratique ses exercices, je bande ayant envie de la planter immédiatement.
À chacun de ses passages, elle a pris l’habitude de me prendre mon bachi qui devient l’objet principal de son show.
Avant de passer, Espoir est aux petits soins pour elle, j’ai rapidement vu que la grande la subjuguait.
Pourtant, elle lui rend plus d’une tête, mais au moment où l’une des cinq filles fait son numéro déguisé en cow-boy et que j’ignore où sont partis les deux autres pensants que je regarde la scène, elle s’agenouille entre ses cuisses et la lèche consciencieusement dès qu’elle lui en a donné l’ordre.
Même avec cette femme, elle accepte d’être soumise.
Je m’approche et d’une main, je caresse la croupe d’Espoir tout en m’occupant de la poitrine de Viviane en rapport à la taille de celle qui me les présente.
Ils sont majestueux.
Lorsque le moment de son numéro est arrivé, je la vois fixer son carré.
Espoir l’aide à mettre le peu de vêtements qui doivent rapidement quitter son corps et lorsque sa musique et que le patron l’annonce, grande dame, elle entre en scène.
À la fin de son numéro Espoir fait sa rotation avec de plus en plus d’aisance et quand elle revient dans les loges, rapidement les deux femmes brillent toujours par leur absentent.
Je pensais qu’elle s’était isolée pour se gougnotter, mais le temps passe et je commence à avoir peur qui leur soit arrivée quelque chose.
D’un coup elles arrivent par une porte arrière de l’établissement.
Après leur nouveau passage, je passe la porte pour atterrir dans d’autres loges dans l’établissement d’à côté où elles ont fait un numéro avant de retourner dans la boîte où elles avaient commencé la soirée.
Espoir, le premier soir était resté dans le premier établissement, mais en changeant de boîte, elles travaillent plus et se font plus d’argent.
Comme les autres avec Viviane, Espoir chance de boîte dans la nuit ou par sécurité je l’a suis.
L’enveloppe que l’on me remet à la fin de tous leurs effeuillages à rapporter 900 francs à ma copine.
Viviane au moment de partir souhaite emmener ma petite fleur des îles au regard bridé ayant un type eurasien. Elle est d’accord à la condition que je suive et que nous partions tous les trois.
Viviane habite un trois-pièces qu’elle loue à quelques centaines de mètres de la boîte.
Quelques minutes on suffit pour que je me retrouve au lit avec ces dames.
Si au début l’atmosphère est un peu tendue, rapidement lorsque je commence à sucer la chatte rousse, ce sont des sourires et des cris de jouissance qui remplisse la chambre lorsque ma verge rencontre sa grotte.
Je trouve la dame très accueillante et toujours prête à se donner pour son plaisir et notre plaisir.
Espoir prend sa part au festin afin de nous satisfaire tous les deux.
Au matin, comme d’habitude je peux constater que mon Bachi à deux nouvelles fois fait son effet et continue à entretenir la tradition que les filles qui le mettent sur leur tête finissent dans le lit du marin.
Le lendemain, Robert vient nous rejoindre à la boîte ayant trouvé porte close lorsqu’il est retourné à Saint-Cloud.
Là encore au début Viviane semble être mécontente qu’il vienne avec nous, mais lorsqu’il la sodomise, elle le trouve bon amant et nous passons mes deux derniers jours de perme quatre-vingt-dix pour cent de temps couché dans son lit.
Le vendredi après-midi, nous nous rendons en taxi chez notre petite avec deux valises. Nous la déménageons à Pigalle pour le grand plaisir de miss Amérique.
Une lettre posé sur la table avec l’alliance a scellé son destin avec le pic assiette, elle devait nous l’avouer, ils vivaient sans être mariés.
Le prénom qu’il nous avait donné comme je m’en doutais «était faux.
Espoir aussi a un prénom différent, mais pour nous Espoir doit rester Espoir.
Au moment où le dimanche, elle entrait en scène, mon train démarrait gare de Lyon vers Toulon.
Les deux semaines suivantes, j’étais de service et donc sans permission.
La semaine suivante, elles ont été contentes de me faire passer un week-end enchanteur.
Quelques jours encore et j’ai déménagé mon paquetage pour retrouver le SUFFREN, ce qui va m’entraîner vers d’autres aventures.
Un mois après lorsque je suis arrivé sur le balcon de l’appartement de Viviane et Espoir une pancarte apposée « à louer. »Une vieille dame descendant l’escalier m’a confirmé qu’elles étaient parties et que ce jour-là, elles les avaient croisées avec leurs valises, les avaient entendues dire qu’elles partaient pour Hollywood.
J’ai revu Espoir un jour au générique d’un film américain où elle avait un petit rôle qui a été le début d’une belle carrière aux États-Unis.
Viviane l’avait donc bien conduite là-bas, mais d’elle jamais je n’ai eu de nouvelle.
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