Le masque (2ème partie)
Récit érotique écrit par Plume79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Plume79 ont reçu un total de 1 440 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 440 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le masque (2ème partie)
Ce texte est une suite imaginée d'un premier chapitre écrit par "Esprit_à_vif" le 24 Mars 2021, qui s'intitule : "Le masque" https://www.histoires-de-sexe.net/le-masque-39168
J'ai essayé de retraduire l'état d'esprit de l'auteur, merci de votre indulgence :)
--------------------
Chapitre 2
Je restai planté là, dans l’encadrement de la porte, témoin silencieux d’un moment où tout semblait basculer. Laure, dans toute sa douceur, continuait ses gestes avec une intensité troublante.
Elle m'aperçut et me fixa un sourire complice et troublant. Ses yeux plongèrent dans les miens... Un simple signe, comme une promesse silencieuse que j’étais toujours là, à ses côtés, même dans cet instant inédit.
Soudain, elle s’approcha de moi, déposa un doux baiser amoureux sur mes lèvres, empreint d’une chaleur qui semblait me dire que j’étais toujours là, à ses côtés, même dans cet instant particulier. Puis elle referma machinalement la porte avant de retourner auprès de Thomas.
Je restai immobile, c’était comme si je venais de voir Laure sans son masque pour la première fois. Ce masque que nous portons tous, façonné par notre éducation, par ce que la société attend de nous. Là, je voyais une nouvelle part de Laure, brute et libre, ce qui me troubla profondément.
En retournant dans notre chambre, je me laissai glisser dans le lit, la tête remplie d’images de ce que je venais de voir. Des sons discrets émanaient du salon : des soupirs, des murmures étouffés, chaque bruit attisant mon imagination, me transportant dans des images imprécises mais puissantes, que je créais moi-même à partir des fragments de réalité. Mon esprit vagabondait entre ce que j’avais entrevu plus tôt et les échos discrets qui me parvenaient maintenant.
Je sentais mon cœur battre à cent à l'heure et une étrange chaleur envahissait mon corps à mesure que ces bruits s'intensifiaient, alimentant mes pensées les plus improbables…
Je fermai les yeux, tentant de visualiser Laure, ses gestes, son expression. Je l’imaginais attentive et douce, prodiguant à Thomas cette fellation infinie qu’elle savait offrir… et sûrement plus, vu la l’intensité des sons… c'était quelque chose que je ne parvenais pas à nommer sur le moment.
Chaque soupir devenait une histoire que mon esprit recréait, chaque silence portait une tension sourde. Cette attente me paraissait interminable, comme si chaque seconde s’étirait pour me faire ressentir toute la profondeur de ce que je vivais. Après un cri de jouissance de Laura qui me perça le ventre et le cœur, le silence retomba enfin.
Puis, j’entendis des pas dans le couloir, légers et feutrés, se rapprochant de la chambre. Laure entra doucement, glissant dans la pièce avec une aisance troublante, comme si elle assumait pleinement ce qui s’est passé.
Elle vint se blottir contre moi, une subtile fragrance flottait autour d’elle, un mélange de son propre parfum et d’une touche plus masculine, que je devinais être celui de Thomas. Cette odeur légère, encore imprégnée sur elle, évoquait des émotions difficiles à cerner.
Sans un mot, elle se pencha et m’embrassa, un baiser appuyé, chargé d’une intensité nouvelle, comme si ce geste seul cherchait à tout dire. Dans ce baiser, je percevais à la fois une tendresse infinie et un éclat de désir brûlant. Elle s’écarta à peine, me murmurant d’une voix douce, presque complice : « Merci, chéri. »
Ces mots simples, presque anodins, résonnaient en moi comme une promesse, une reconnaissance silencieuse de ce que nous partagions à cet instant.Elle se glissa sous les draps, blottie contre moi et, après quelques instants, s’endormit paisiblement contre moi, comme si ce moment particulier avait comblé en elle un besoin que je commençais seulement à comprendre.
Je la serrai contre moi, savourant cette proximité nouvelle, un lien intime que je n’avais jamais éprouvé de cette manière. Nous venions de franchir ensemble un seuil, d’entrer dans un territoire où les masques n’avaient plus leur place, où la sincérité brute de nos instincts nous liait plus profondément que jamais.
Ma femme et moi avions franchi un seuil invisible, laissant tomber les masques que nous avions toujours portés.
A suivre…
J'ai essayé de retraduire l'état d'esprit de l'auteur, merci de votre indulgence :)
--------------------
Chapitre 2
Je restai planté là, dans l’encadrement de la porte, témoin silencieux d’un moment où tout semblait basculer. Laure, dans toute sa douceur, continuait ses gestes avec une intensité troublante.
Elle m'aperçut et me fixa un sourire complice et troublant. Ses yeux plongèrent dans les miens... Un simple signe, comme une promesse silencieuse que j’étais toujours là, à ses côtés, même dans cet instant inédit.
Soudain, elle s’approcha de moi, déposa un doux baiser amoureux sur mes lèvres, empreint d’une chaleur qui semblait me dire que j’étais toujours là, à ses côtés, même dans cet instant particulier. Puis elle referma machinalement la porte avant de retourner auprès de Thomas.
Je restai immobile, c’était comme si je venais de voir Laure sans son masque pour la première fois. Ce masque que nous portons tous, façonné par notre éducation, par ce que la société attend de nous. Là, je voyais une nouvelle part de Laure, brute et libre, ce qui me troubla profondément.
En retournant dans notre chambre, je me laissai glisser dans le lit, la tête remplie d’images de ce que je venais de voir. Des sons discrets émanaient du salon : des soupirs, des murmures étouffés, chaque bruit attisant mon imagination, me transportant dans des images imprécises mais puissantes, que je créais moi-même à partir des fragments de réalité. Mon esprit vagabondait entre ce que j’avais entrevu plus tôt et les échos discrets qui me parvenaient maintenant.
Je sentais mon cœur battre à cent à l'heure et une étrange chaleur envahissait mon corps à mesure que ces bruits s'intensifiaient, alimentant mes pensées les plus improbables…
Je fermai les yeux, tentant de visualiser Laure, ses gestes, son expression. Je l’imaginais attentive et douce, prodiguant à Thomas cette fellation infinie qu’elle savait offrir… et sûrement plus, vu la l’intensité des sons… c'était quelque chose que je ne parvenais pas à nommer sur le moment.
Chaque soupir devenait une histoire que mon esprit recréait, chaque silence portait une tension sourde. Cette attente me paraissait interminable, comme si chaque seconde s’étirait pour me faire ressentir toute la profondeur de ce que je vivais. Après un cri de jouissance de Laura qui me perça le ventre et le cœur, le silence retomba enfin.
Puis, j’entendis des pas dans le couloir, légers et feutrés, se rapprochant de la chambre. Laure entra doucement, glissant dans la pièce avec une aisance troublante, comme si elle assumait pleinement ce qui s’est passé.
Elle vint se blottir contre moi, une subtile fragrance flottait autour d’elle, un mélange de son propre parfum et d’une touche plus masculine, que je devinais être celui de Thomas. Cette odeur légère, encore imprégnée sur elle, évoquait des émotions difficiles à cerner.
Sans un mot, elle se pencha et m’embrassa, un baiser appuyé, chargé d’une intensité nouvelle, comme si ce geste seul cherchait à tout dire. Dans ce baiser, je percevais à la fois une tendresse infinie et un éclat de désir brûlant. Elle s’écarta à peine, me murmurant d’une voix douce, presque complice : « Merci, chéri. »
Ces mots simples, presque anodins, résonnaient en moi comme une promesse, une reconnaissance silencieuse de ce que nous partagions à cet instant.Elle se glissa sous les draps, blottie contre moi et, après quelques instants, s’endormit paisiblement contre moi, comme si ce moment particulier avait comblé en elle un besoin que je commençais seulement à comprendre.
Je la serrai contre moi, savourant cette proximité nouvelle, un lien intime que je n’avais jamais éprouvé de cette manière. Nous venions de franchir ensemble un seuil, d’entrer dans un territoire où les masques n’avaient plus leur place, où la sincérité brute de nos instincts nous liait plus profondément que jamais.
Ma femme et moi avions franchi un seuil invisible, laissant tomber les masques que nous avions toujours portés.
A suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Plume79
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré la suite de cette histoire merci de l'avoir écrite. J'attends maintenant l'évolution et la transformation de Laure.
Aider un ami et trouver sa femme dans son lit n’est pas vraiment convenable. Un remerciement pour quelques choses que tu n’as jamais autorisé qui a eu lieu dans ton dos pendant que tu es supposé dormir est vraiment injurieux et hypocrite.
Il y avait seulement une personne qui se cherchait un logement, maintenant il y en aurait deux!
Le masque de l’humain le différencie de la bête.
Il y avait seulement une personne qui se cherchait un logement, maintenant il y en aurait deux!
Le masque de l’humain le différencie de la bête.