Le médecin de famille et l'adolescente
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le médecin de famille et l'adolescente
Un examen médical abusif
Je me suis souvenu qu’un jour Chantal m’avait raconté qu’adolescente, comme elle avait des idées de suicide, ses parents l’avaient envoyée chez le médecin de famille. Un détail m’avait frappé. Il l’avait fait mettre nue sur la table d’examen et laissée ainsi pour continuer à faire ses consultations. Il venait régulièrement la voir et lui demander simplement si cela allait bien ! Puis il repartait. Le petit jeu a duré plus d’une heure et chaque fois il revenait pour mater l’adolescente à poil sur sa table d’examen. Plus tard il aurait commencé à la toucher jusqu’à ce qu’elle rebiffe, se rhabille et se sauve. Elle n’en avait jamais parlé à ses parents qui avaient confiance en ce médecin de famille.
Quel scénario pour fantasmer ! Et Chantal qui me parle de cela après plus de 20 ans de vie commune…
Aussi un jour que nous étions en vacances, je lui ai demandé de me raconter cette histoire avec plus de détails. Au début rétissante, au fur et à mesure de sa narration, elle se livrait un peu plus pour me raconter une histoire des plus excitantes.
« J’avais flirté avec un copain du lycée et ça n’avait pas marché. Il m’a larguée sans ménagements et cela m’avait foutu le moral au plus bas. Ma mère qui voulait toujours tout savoir et surtout sur ma sexualité naissante, m’avait obligée à aller voir notre médecin. Je ne l’aimais pas. Quand il venait à la maison, il me regardait toujours avec des yeux de pervers. »
A entendre ces mots je suis déjà pris d’une grosse érection qu’elle ne manque pas de voir.
- « Je vois que tes fantasmes te poursuivent, dit-elle en me souriant. Je vais tout te raconter.
J’ai mis longtemps à me décider à prendre rendez-vous. Je me suis résignée devant l’insistance de maman. Le rendez-vous est convenu pour un soir 17 heures. Cet horaire me rassure car je pense qu’il y aura d’autres malades. Avant de partir ma mère me prend à l’écart : « Je te demande de tout dire au médecin, il est un homme de confiance et il est là pour t’aider. Laisse lui faire tout ce qu’il souhaite et qu’il te demande de faire. Je t’aime ma chérie. »
J’avoue que sur le moment je n’ai pas réagi. Mais en marchant pour aller à son cabinet, les paroles de maman me sont revenues en tête. Et là je me suis demandé ce qu’elle avait bien pu dire au médecin, car j’étais alors convaincue qu’elle lui avait parlé. Si elle voulait savoir jusqu’où était allé mon flirt, il et elle pouvaient s’accrocher. Je ne dirais rien.
Le salon d’attente comme je m’en doutais était plein de malades qui attendaient. Il n’a pas de secrétaire et on passe chacun à son tour. Je m’assois et je prends une revue. La porte de son cabinet s’ouvre et une grosse dame noire quitte la pièce. Le toubib attend sur le pas de la porte que le malade suivant le rejoigne. Il jette un regard circulaire dans la salle, me repère et me fait un sourire. La porte se referme. Quelques instants après une autre porte s’ouvre et il s’adresse tout de suite à moi :
- « Chantal, tu veux venir, il faut que je te fasse d’abord des examens. »
Je reste interdite, ne comprenant pas de quels examens il s’agit. J’hésite et autoritaire, il insiste :
- « Alors, tu te dépêches, tu vois bien qu’il y a du monde ! »
A cet instant, je suis glacée de peur. Car cet homme que je n’aime pas me fait peur. Je sens mes jambes qui tremblent quand je me lève pour le rejoindre. Il s’écarte à peine quand je passe devant lui et je ne pense pas sur le moment qu’il l’a fait exprès pour qu’on se touche.
A cet âge, on est plutôt timide et peu encore bien au courant des perversions des vieux messieurs. Moi à cette époque, j’étais toute fragile et innocente. Ce petit flirt passé n’était guère allé très loin. Encore assez pour m’inquiéter quand je te dirais la suite.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Cela devenait une véritable confession et vite Chantal était ravie de me raconter cette histoire et l’effet que cela me faisait.
Je m’étais habillée très sage : jean et pull col roulé avec des dessous en coton blancs. Une petite lycéenne. J’avais les cheveux assez longs qui faisaient de moi une mignonne adolescente.
- « Assied-toi sur cette chaise et attends moi, dit-t-il d’un ton sans chaleur ».
Et il quitta la pièce en me laissant là. Sa pièce de clinique était blanche avec en son milieu, une table d’examen pliante sur roulette. Un petit escabeau de deux marches permet de monter et de s’allonger. A l’endroit des pieds, il y a des bras avec des sangles repose-pieds qu’on imagine facilement destinés pour les examens gynécologiques jambes écartées. Du côté tête, il y a des poignées pour s’accrocher, sûrement au moment des accouchements quand les femmes sont amenées à pousser pour faire sortir le bébé. Une chaise assez haute attend qu’on se pose dessus.
Il est revenu un quart d’heure après. Sans un mot pour moi, il a pris dans un placard un rouleau de tissu papier, l’a étalé sur la table d’examen et me dit, d’un ton sec :
- « Déshabille-toi, je reviens dans quelques minutes ». Et, il sort sans même me regarder. Je me rappelle encore aujourd’hui que j’étais morte de peur. Seule, dans cette pièce froide, je tremble de froid et de peur. Il est revenu plus vite que prévu et je n’avais encore commencé à me déshabiller.
- « Chantal, je n’ai pas que cela à faire. Dépêche-toi. Déshabille-toi et allonge-toi sur la table d’examen. »
Sans plus attendre, je quitte mes chaussures, mon jean et mon pull. En slip, soutien gorge et petites chaussettes, je grimpe sur la table et reste en position assise, comme pour voir venir. M’allonger me semblait devenir plus fragile, sans défense, à la merci. Je pensais encore qu’il allait simplement m’examiner et m’interroger.
Il est revenu un quart d’heure après :
- « Tu te fous de moi ? Enlève-moi tout cela et met toi complètement nue si tu veux que je t’examine normalement. Et allonge-toi sur le dos. Je reviens ».
La porte par laquelle il disparaît est dans l’allongement de la table, côté pieds. Sans états d’âmes, je quitte mes derniers vêtements et nue, j’escalade la table et m’y allonge. Je serre les jambes car j’ai bien vu que quand il va revenir, il aura de suite une vue imprenable sur mon sexe. Cette fois, j’attends presque 25 minutes. J’ai froid et ma peau se couvre de chair de poule. Je sens mes tétons se dressent et pointent. Je croise les bras Pour me protéger. Quand il entre, il s’arrête quelques secondes sur le pas de la porte.
- « Tu n’as pas froid ? Je vais allumer le radiateur électrique. Il passe près de moi et je sens son regard qui parcoure mon corps nu. J’ai des frissons qui me submergent. Il s’arrête sur le côté et je le vois qui regarde mon ventre, descend le long de mes cuisses, jusqu’aux pieds. Lentement, sans un mot il remonte jusqu’à ma poitrine que je lui dissimule avec mes mains. Il s’attarde sur mon cou, mes cheveux avant d’aller jusqu’au radiateur derrière moi. Puis il me dit :
- « Reste comme cela, détends-toi, je vais revenir ».
A ce moment, je suis tellement excité par cette histoire que j’ai envie de me branler devant elle. Chantal qui a deviné ma pensée s’est approchée de moi et lentement elle me caresse le sexe dessus mon pantalon.
- « Attends, prends ton temps, le mieux est à venir ».
Il est revenu plus vite cette fois. Et encore, il s’est contenté de mater mon corps. Ses yeux me détaillaient et cela finit par me troubler. Surtout qu’il ne disait pas un mot ce qui ne laissait plus aucun doute sur ses idées. Je n’étais plus dupe et pourtant je me laissais mater par ce vieux cochon.
Il partit au bout de 10 minutes qui m’ont semblées interminables. Avant d’ouvrir la porte il m’a lancé :
- « Quand je reviendrai, allonge tes bras le long du corps et laisse toi aller en fermant les yeux. Tu n’as rien à craindre ».
Je n’avais pas trop à craindre il est vrai car j’entendais toujours les malades qui attendaient. Aussi comme une automate, j’ai mis mes bras le long du corps, découvrant ma jeune poitrine. Fermes, même dans cette position allongée, mes seins pointaient et cela me rendait fière. Ils n’étaient pas très gros mais assez pour exciter un homme. Involontairement, je fermais les yeux et fis semblant de dormir. J’ai senti à un moment mes pieds s’écarter et mes jambes s’ouvrir négligemment.
La porte s’ouvrit doucement, je gardais les yeux fermés. Je devinais facilement qu’il venait d’entrer. Je sentis sa présence tout près de moi. J’ai entendu le froissement de sa veste qui faisait le tour de la table. J’étais troublée. De plus en plus excitée même. Je sentis soudain que je mouillais et la panique me prit en comprenant qu’il pourrait s’en apercevoir. Je décidais de ne pas bouger. Il fit deux fois le tour de la table pour s’arrêter au niveau des jambes. Je savais qu’il regardait entre mes jambes, qu’il devait voir mon sexe briller sous les reflets de mes sécrétions. Je devenais comme folle mais j’arrivais quand même à me contenir. Il sortit sans rien dire. Je restais immobile car il pouvait revenir d’un instant à l’autre.
J’ai du rester seule encore quelques minutes. Je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir et je décidais de jouer toujours l’endormie. Je prenais plaisir à m’exhiber et même je me surpris à ouvrir un peu plus mes jambes pour qu’il puisse voir mon sexe humide. J’entrouvris très légèrement les yeux et dans une image floue, je le vis figé à mes pieds fixant mon entrejambes. Lentement il s’approche sur le côté. Il me regarde. Rassuré que je dors, il fixe mes seins. L’excitation me gagne, je sens des picotements aux bouts des seins et je réalise que mes tétons bandent. J’ouvre alors les yeux. Il se recule et me dit :
- « Tu es très jolie Chantal. Ta mère m’a dit que tu n’avais pas le moral. Tu as des chagrins ? Un amour déçu ? Tu peux me faire confiance et tout me dire. Rassure-toi, je ne répèterai rien à tes parents ».
Je m’étais juré de ne rien lui dire, mais maintenant, je me sentais comme hypnotisée par lui, par sa tranquille assurance. Son ton était chaud, amical, plus rien à voir avec tout à l’heure. Alors, je me livre, toute rougissante :
- « Un petit chagrin d’amour qui s’est mal terminé. C’est tout ».
- « Cela fait toujours mal. Tu as eu des rapports sexuels ? »
- « Non », je m’empresse de répondre trop vite, car je vois qu’il ne me croit pas ».
- « Je vais quand même t’examiner ».
Je sursaute quand il me pose sa main sur le ventre et me palpe en profondeur. Je panique car cette main déclenche une onde de chaleur dans tout mon corps. Puis elle remonte doucement vers ma poitrine.
- « Détends-toi, laisse-toi aller, tu vas voir, ce n’est pas terrible ».
Il enfonce doucement ses doigts sous mes cotes sous le sternum. Je me crispe.
- « Tu es toute dure, relâche tes muscles. J’ai besoin de tâter en profondeur. Puis sa main, à plat me presse à nouveau le ventre. Elle est chaude et j’aime cette sensation. Aujourd’hui encore, j’ai des frissons en pensant à cet instant. Il continue sa descente vers mon pubis, à travers les poils il caresse, juste au dessus de mes grosses lèvres. Je panique, car je me sens mouiller de plus en plus. Mais il laisse cette partie de mon corps et remonte en caressant le ventre.
Quand il se saisit du sein près de lui, je me sens m’évanouir. Je ne contrôle plus ma respiration qui s’accélère. Je me surprends à fermer les yeux pour mieux goûter cette caresse. Il se saisit de l’autre sein qu’il caresse à son tour. Puis je sens qu’il s’empare des deux mains de ma poitrine et qu’il la malaxe avec ardeur. C’est sûr maintenant, il a deviné que j’aimais ses caresses. Je l’entend qui respire de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il s’est approché et je le sens qui se frotte contre la table.
Alors qu’il laisse une main s’occuper de mes seins, je sens l’autre qui redescend vers mon ventre. Quand elle atteint les poils de mon pubis, je ramène d’un réflexe les genoux sur mon ventre, et serre les cuisses comme pour me protéger. Mais cela ne l’arrête pas. Je sens la pression qui m’oblige à m’ouvrir. Et sans vraiment m’en rendre compte, mes jambes s’écartent, invitant à la caresse. Elle frôle doucement les poils, puis lentement un doigt, délicatement s’insinue entre mes grandes lèvres toutes humides qu’il écarte. Le doigt remonte à la recherche de mon petit bouton qu’il se met à branler avec une pression délicate. C’est à ce moment que je m’entends gémir, au bord déjà de la jouissance. Jamais je n’avais ressenti ce genre de sensation et ce débordement de plaisir soudain me fait peur. Je suis vierge encore et mon petit copain ne m’a jamais touchée aussi précisément. Alors je me redresse soudain et lui demande d’arrêter. Je le vois qui panique à son tour.
- « Excuse-moi Chantal, je ne sais pas ce qui m’a pris. Mais te voir là nue m’a fait perdre les pédales. Et comme tu as eu l’air d’être d’accord et d’apprécier ».
- « D’accord, mais on en parle pas à ma mère ». Comme il acquiesce, je me rhabille très vite et je pars en courant. Arrivée à la maison, je suis montée dans ma chambre et j’ai essayé de me redonner ce plaisir. Je me suis caressée et très vite je me suis faite jouir.
En terminant son histoire, elle a sorti mon sexe et m’a fait jouir dans sa bouche.
En lisant ces mots, je me suis laissé aller à imaginer un autre déroulement à cette aventure, comme si Chantal ne m’avait pas tout dit. Voilà comment cela aurait pu être.
Il est revenu un quart d’heure après :
- « Tu te fous de moi ? Allonge-toi sur le dos. Je reviens ».
La porte par laquelle il disparaît est dans l’allongement de la table, côté pieds. Sans états d’âmes, j’escalade la table et m’y allonge. Je serre les jambes car j’ai bien vu que quand il va revenir, il aura de suite une vue imprenable sur mon sexe sous ma culotte. Cela me gêne. Cette fois, j’attends presque 25 minutes. J’ai froid et ma peau se couvre de chair de poule. Je sens mes tétons se dressent et pointent dans mon soutien gorge. Je croise les bras pour me protéger. Quand il entre, il s’arrête quelques secondes sur le pas de la porte.
- « Tu n’as pas froid ? Je vais allumer le radiateur électrique. Il passe près de moi et je sens son regard qui parcoure mon corps simplement habillé de mon slip et de mon soutien gorge. J’ai des frissons qui me submergent. Il s’arrête sur le côté et je le vois qui regarde mon ventre, descend le long de mes cuisses, jusqu’aux pieds. Lentement, sans un mot il remonte jusqu’à ma poitrine que je lui dissimule avec mes mains. Il s’attarde sur mon cou, mes cheveux avant d’aller jusqu’au radiateur derrière moi. Puis il me dit :
- « Reste comme cela, détends-toi, je vais revenir ».
Il revient dix minutes plus tard. Il va vers une armoire qu’il ouvre. Il est de dos et je ne vois pas ce qu’il fait. Quand il revient vers moi, il a un verre à la main.
- « Tiens, bois cela. C’est pour t’examiner ». Sans hésiter, j’avale d’un coup le liquide.
- « Allonge-toi maintenant et détends-toi le temps que le cachet fasse son effet. Je reviens ».
Il a à peine quitté la salle que je sens mon corps s’engourdir. Très vite je n’ai plus la force de bouger un bras. Quand il entre dans la salle, je le vois au bout de mes pieds qui me regarde. Puis il vient près de moi et doucement il dit :
- « Ca va Chantal, tu m’entends ? C’est pour t’aider à tout me dire que je t’ai fait boire ce liquide. Ne t’inquiète pas. Dis-moi si tu me comprends ».
- « … ».
J’essaye de parler mais aucun son sort de ma bouche ». Je le regarde avec un regard d’interrogation. Ma vue est trouble. Je vois un sourire s’afficher sur sa face, un sourire de satisfaction. Je le sens qu’il se saisit d’une bretelle de mon soutien gorge et la fait glisser sur mon bras. Le tissu couvre encore mon sein. Je le vois qui se recule et contemple le tableau. Je voudrais me cacher mais mes muscles ne répondent pas. Je ferme mes yeux mais par une petite fente je le regarde, sans plus aucune volonté. A ce moment, je crois encore que tout cela est normal, innocent, qu’il m’examine.
Il passe de l’autre côté et fait glisser l’autre bretelle, jusqu’au coude cette fois, si bien qu’une infime partie de mon téton doit être découverte. Une fois encore, il s’éloigne et regarde. Je me laisse faire, sans pouvoir réagir.
Il s’approche encore et cette fois, il abaisse le fin vêtement qu’il fait glisser sur mon ventre. Cette fois, ma poitrine est nue, exposée à son regard. Je prends peur, j’ouvre les yeux pour lui demander de cesser. Mais je ne bouge pas laissant mes seins nus. Je suis énervée mais je ne me sens pas la force de réagir. Lentement, sûr de lui, il tourne autour de la table et m’examine des yeux. Je l’entends soudain dire :
- « Tu es belle ma belle, vraiment belle à regarder ».
Je comprends qu’il m’a droguée mais petit à petit ma volonté revient. Je bouge un bras pour cacher ma poitrine. Il saisit mon bras et le repousse fermement. La lucidité revient mais je le laisse faire. Il est autoritaire et me fait peur.
- « Laisse tes bras le long du corps que je puisse t’examiner ».
Alors vaincue, je me soumets. C’est certain, il éprouve ma docilité. Il me parle doucement tout en matant toutes les parties de mon corps. Je me laisse faire, vaseuse.
Quand il se met à mes pieds, le médicament ne fait plus aucun effet. J’ai recouvré toute ma volonté. Il me prend les pieds et ramène mes jambes sur la poitrine. Je le vois qui regarde mes fesses, les fixe. Il est tout rouge, ses yeux gorgés de sang. Il fait peur tant il est menaçant. Il repose mes jambes, les allonge et quand il se saisit de l’élastique de ma culotte, je sais qu’il va me mettre le cul nu. Et je me surprends à soulever mes fesses pour lui faciliter le geste. Pourquoi ? Sans doutes les paroles de maman me reviennent à l’esprit. : « Laisse toi faire, il est notre médecin de famille ». Crédule, naïve ? Je ne sais pas mais en tous cas, je le laisse me déculotter. Il laisse ma culotte à mi cuisse, se recule et regarde, les yeux fixes. Je me sens ridicule, les seins nus, mon soutien gorge glissé sur le ventre et le cul nu, la culotte à mi cuisse. Je ne comprends pas.
- « Je vais t’examiner maintenant. Enlève ton soutien gorge et ta culotte et assieds-toi ». Je m’exécute sans hésiter. Je suis à poil sur la table d’examen.
Il passe derrière moi, ses mains se glissent sous mes bras, se saisissent de mes seins et commencent à les palper, médicalement au début puis très vite, alors que je sens sa respiration qui s’accélère, sa palpation devient rapidement un pelotage sans ménagement. Après quelques minutes de « palpation », il me demande :
- « Retourne-toi et allonge toi sur le ventre » usant d’un ton qui ne laisse la place à aucun refus. Il passe à mes pieds et je le sens qui regarde mes fesses. Quand ses mains se posent sur ma peau, je sursaute. Mon sexe est tout proche et c’est une zone sensible même pour une jeune fille innocente de presque 16 ans. Je résiste quand elles tentent d’écarter mes lobes pour découvrir ma raie.
- « Chantal, laisse toi faire, je dois t’examiner complètement ». Ces mots m’électrisent et de peur, je me relâche. Mes fesses sont écartelées et je sens un air frais s’engouffrer dans ma raie jusque dans mon sexe. J’ai honte, ainsi exhibée comme une bête.
- « Je dois vérifier que tu es encore vierge ». Je suis prise de panique. Il me demande de me mettre sur les genoux et je m’exécute sans résister.
- « Cambre toi bien que je puise bien te voir ».
Il me prends les fesses, les écarte. Un doigt s’insinue entre mes grandes lèvres puis caresse les chairs tendres de mes petites lèvres. Il les caressent, remonte et se saisit de mon petit bouton. Et là, il commence à le branler d’abord doucement et lentement puis de plus en plus vite. Cette caresse toute nouvelle pour moi me procure des sensations inconnues. Je sens le plaisir m’envahir et malgré la panique je m’abandonne.
- « Laisse toi aller ma belle, tu vas découvrir des sensations de jouissance sans précédent ». En disant ces mots, je sens son doigt qui délicatement pénètre mon sexe. Mais très vite il en ressort pour sans doutes ménager mon hymen. Il le glisse le long de ma raie, remonte, atteint mon petit trou et sans brutalité pénètre mon ventre. Je sais qu’il ne m’examine plus mais qu’il joue avec moi. De peur, par obéissance, je me laisse faire. Gardant son doigt dans mon cul, il s’empare de mes seins avec son autre main et en branlant le cul, il pelote mes seins. Toutes ces caresses en même temps m’amènent rapidement au plaisir et je crie quand je jouis. A bout de souffle, je m’affale sur la table.
Quand je tourne mon regard vers lui, je vois qu’il a sorti sa bite et se branle en matant mon corps nu.
- « Lève-toi et caresse toi les seins pour m’exciter ». Je m’exécute plus par peur que pour lui faire plaisir.
- « Tourne toi et mets toi à quatre patte que je vois ton cul ». Là aussi j’obéis et je m’exécute également quand il me demande de m’ouvrir. Je me penche et le regarde branler son sexe et je suis troublée de le voir aussi gros. Je suis troublée et effrayée en même temps. Soudain, il se met à pousser des petits cris, son visage se crispe et de longs jets de sperme s’échappent de son gland rouge et gonflé à éclater. Je reste fixé sur ce sexe qui se libère de son jus et vient s ‘étaler sur le carrelage de la pièce.
Repus, il se rajuste. Il vient vers moi et me dépose une bise sur le front.
- « Merci jolie Chantal. Tu m’as donné beaucoup de plaisir. Nous n’en dirons rien à tes parents, et si tu le souhaites, on pourra recommencer ce petit jeu qui n’a pas manqué de te donner du plaisir ».
Alors qu’il parlait, je me suis rhabillée et j’ai quitté le cabinet médical sans un mot, avec le sentiment de salissure et de culpabilité. Je me sentais salope, sale et pute. Je ne devais jamais plus retourner le voir.
Si vous voulez voir ce qu’elle est maintenant… réclamez.
AL
Je me suis souvenu qu’un jour Chantal m’avait raconté qu’adolescente, comme elle avait des idées de suicide, ses parents l’avaient envoyée chez le médecin de famille. Un détail m’avait frappé. Il l’avait fait mettre nue sur la table d’examen et laissée ainsi pour continuer à faire ses consultations. Il venait régulièrement la voir et lui demander simplement si cela allait bien ! Puis il repartait. Le petit jeu a duré plus d’une heure et chaque fois il revenait pour mater l’adolescente à poil sur sa table d’examen. Plus tard il aurait commencé à la toucher jusqu’à ce qu’elle rebiffe, se rhabille et se sauve. Elle n’en avait jamais parlé à ses parents qui avaient confiance en ce médecin de famille.
Quel scénario pour fantasmer ! Et Chantal qui me parle de cela après plus de 20 ans de vie commune…
Aussi un jour que nous étions en vacances, je lui ai demandé de me raconter cette histoire avec plus de détails. Au début rétissante, au fur et à mesure de sa narration, elle se livrait un peu plus pour me raconter une histoire des plus excitantes.
« J’avais flirté avec un copain du lycée et ça n’avait pas marché. Il m’a larguée sans ménagements et cela m’avait foutu le moral au plus bas. Ma mère qui voulait toujours tout savoir et surtout sur ma sexualité naissante, m’avait obligée à aller voir notre médecin. Je ne l’aimais pas. Quand il venait à la maison, il me regardait toujours avec des yeux de pervers. »
A entendre ces mots je suis déjà pris d’une grosse érection qu’elle ne manque pas de voir.
- « Je vois que tes fantasmes te poursuivent, dit-elle en me souriant. Je vais tout te raconter.
J’ai mis longtemps à me décider à prendre rendez-vous. Je me suis résignée devant l’insistance de maman. Le rendez-vous est convenu pour un soir 17 heures. Cet horaire me rassure car je pense qu’il y aura d’autres malades. Avant de partir ma mère me prend à l’écart : « Je te demande de tout dire au médecin, il est un homme de confiance et il est là pour t’aider. Laisse lui faire tout ce qu’il souhaite et qu’il te demande de faire. Je t’aime ma chérie. »
J’avoue que sur le moment je n’ai pas réagi. Mais en marchant pour aller à son cabinet, les paroles de maman me sont revenues en tête. Et là je me suis demandé ce qu’elle avait bien pu dire au médecin, car j’étais alors convaincue qu’elle lui avait parlé. Si elle voulait savoir jusqu’où était allé mon flirt, il et elle pouvaient s’accrocher. Je ne dirais rien.
Le salon d’attente comme je m’en doutais était plein de malades qui attendaient. Il n’a pas de secrétaire et on passe chacun à son tour. Je m’assois et je prends une revue. La porte de son cabinet s’ouvre et une grosse dame noire quitte la pièce. Le toubib attend sur le pas de la porte que le malade suivant le rejoigne. Il jette un regard circulaire dans la salle, me repère et me fait un sourire. La porte se referme. Quelques instants après une autre porte s’ouvre et il s’adresse tout de suite à moi :
- « Chantal, tu veux venir, il faut que je te fasse d’abord des examens. »
Je reste interdite, ne comprenant pas de quels examens il s’agit. J’hésite et autoritaire, il insiste :
- « Alors, tu te dépêches, tu vois bien qu’il y a du monde ! »
A cet instant, je suis glacée de peur. Car cet homme que je n’aime pas me fait peur. Je sens mes jambes qui tremblent quand je me lève pour le rejoindre. Il s’écarte à peine quand je passe devant lui et je ne pense pas sur le moment qu’il l’a fait exprès pour qu’on se touche.
A cet âge, on est plutôt timide et peu encore bien au courant des perversions des vieux messieurs. Moi à cette époque, j’étais toute fragile et innocente. Ce petit flirt passé n’était guère allé très loin. Encore assez pour m’inquiéter quand je te dirais la suite.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Cela devenait une véritable confession et vite Chantal était ravie de me raconter cette histoire et l’effet que cela me faisait.
Je m’étais habillée très sage : jean et pull col roulé avec des dessous en coton blancs. Une petite lycéenne. J’avais les cheveux assez longs qui faisaient de moi une mignonne adolescente.
- « Assied-toi sur cette chaise et attends moi, dit-t-il d’un ton sans chaleur ».
Et il quitta la pièce en me laissant là. Sa pièce de clinique était blanche avec en son milieu, une table d’examen pliante sur roulette. Un petit escabeau de deux marches permet de monter et de s’allonger. A l’endroit des pieds, il y a des bras avec des sangles repose-pieds qu’on imagine facilement destinés pour les examens gynécologiques jambes écartées. Du côté tête, il y a des poignées pour s’accrocher, sûrement au moment des accouchements quand les femmes sont amenées à pousser pour faire sortir le bébé. Une chaise assez haute attend qu’on se pose dessus.
Il est revenu un quart d’heure après. Sans un mot pour moi, il a pris dans un placard un rouleau de tissu papier, l’a étalé sur la table d’examen et me dit, d’un ton sec :
- « Déshabille-toi, je reviens dans quelques minutes ». Et, il sort sans même me regarder. Je me rappelle encore aujourd’hui que j’étais morte de peur. Seule, dans cette pièce froide, je tremble de froid et de peur. Il est revenu plus vite que prévu et je n’avais encore commencé à me déshabiller.
- « Chantal, je n’ai pas que cela à faire. Dépêche-toi. Déshabille-toi et allonge-toi sur la table d’examen. »
Sans plus attendre, je quitte mes chaussures, mon jean et mon pull. En slip, soutien gorge et petites chaussettes, je grimpe sur la table et reste en position assise, comme pour voir venir. M’allonger me semblait devenir plus fragile, sans défense, à la merci. Je pensais encore qu’il allait simplement m’examiner et m’interroger.
Il est revenu un quart d’heure après :
- « Tu te fous de moi ? Enlève-moi tout cela et met toi complètement nue si tu veux que je t’examine normalement. Et allonge-toi sur le dos. Je reviens ».
La porte par laquelle il disparaît est dans l’allongement de la table, côté pieds. Sans états d’âmes, je quitte mes derniers vêtements et nue, j’escalade la table et m’y allonge. Je serre les jambes car j’ai bien vu que quand il va revenir, il aura de suite une vue imprenable sur mon sexe. Cette fois, j’attends presque 25 minutes. J’ai froid et ma peau se couvre de chair de poule. Je sens mes tétons se dressent et pointent. Je croise les bras Pour me protéger. Quand il entre, il s’arrête quelques secondes sur le pas de la porte.
- « Tu n’as pas froid ? Je vais allumer le radiateur électrique. Il passe près de moi et je sens son regard qui parcoure mon corps nu. J’ai des frissons qui me submergent. Il s’arrête sur le côté et je le vois qui regarde mon ventre, descend le long de mes cuisses, jusqu’aux pieds. Lentement, sans un mot il remonte jusqu’à ma poitrine que je lui dissimule avec mes mains. Il s’attarde sur mon cou, mes cheveux avant d’aller jusqu’au radiateur derrière moi. Puis il me dit :
- « Reste comme cela, détends-toi, je vais revenir ».
A ce moment, je suis tellement excité par cette histoire que j’ai envie de me branler devant elle. Chantal qui a deviné ma pensée s’est approchée de moi et lentement elle me caresse le sexe dessus mon pantalon.
- « Attends, prends ton temps, le mieux est à venir ».
Il est revenu plus vite cette fois. Et encore, il s’est contenté de mater mon corps. Ses yeux me détaillaient et cela finit par me troubler. Surtout qu’il ne disait pas un mot ce qui ne laissait plus aucun doute sur ses idées. Je n’étais plus dupe et pourtant je me laissais mater par ce vieux cochon.
Il partit au bout de 10 minutes qui m’ont semblées interminables. Avant d’ouvrir la porte il m’a lancé :
- « Quand je reviendrai, allonge tes bras le long du corps et laisse toi aller en fermant les yeux. Tu n’as rien à craindre ».
Je n’avais pas trop à craindre il est vrai car j’entendais toujours les malades qui attendaient. Aussi comme une automate, j’ai mis mes bras le long du corps, découvrant ma jeune poitrine. Fermes, même dans cette position allongée, mes seins pointaient et cela me rendait fière. Ils n’étaient pas très gros mais assez pour exciter un homme. Involontairement, je fermais les yeux et fis semblant de dormir. J’ai senti à un moment mes pieds s’écarter et mes jambes s’ouvrir négligemment.
La porte s’ouvrit doucement, je gardais les yeux fermés. Je devinais facilement qu’il venait d’entrer. Je sentis sa présence tout près de moi. J’ai entendu le froissement de sa veste qui faisait le tour de la table. J’étais troublée. De plus en plus excitée même. Je sentis soudain que je mouillais et la panique me prit en comprenant qu’il pourrait s’en apercevoir. Je décidais de ne pas bouger. Il fit deux fois le tour de la table pour s’arrêter au niveau des jambes. Je savais qu’il regardait entre mes jambes, qu’il devait voir mon sexe briller sous les reflets de mes sécrétions. Je devenais comme folle mais j’arrivais quand même à me contenir. Il sortit sans rien dire. Je restais immobile car il pouvait revenir d’un instant à l’autre.
J’ai du rester seule encore quelques minutes. Je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir et je décidais de jouer toujours l’endormie. Je prenais plaisir à m’exhiber et même je me surpris à ouvrir un peu plus mes jambes pour qu’il puisse voir mon sexe humide. J’entrouvris très légèrement les yeux et dans une image floue, je le vis figé à mes pieds fixant mon entrejambes. Lentement il s’approche sur le côté. Il me regarde. Rassuré que je dors, il fixe mes seins. L’excitation me gagne, je sens des picotements aux bouts des seins et je réalise que mes tétons bandent. J’ouvre alors les yeux. Il se recule et me dit :
- « Tu es très jolie Chantal. Ta mère m’a dit que tu n’avais pas le moral. Tu as des chagrins ? Un amour déçu ? Tu peux me faire confiance et tout me dire. Rassure-toi, je ne répèterai rien à tes parents ».
Je m’étais juré de ne rien lui dire, mais maintenant, je me sentais comme hypnotisée par lui, par sa tranquille assurance. Son ton était chaud, amical, plus rien à voir avec tout à l’heure. Alors, je me livre, toute rougissante :
- « Un petit chagrin d’amour qui s’est mal terminé. C’est tout ».
- « Cela fait toujours mal. Tu as eu des rapports sexuels ? »
- « Non », je m’empresse de répondre trop vite, car je vois qu’il ne me croit pas ».
- « Je vais quand même t’examiner ».
Je sursaute quand il me pose sa main sur le ventre et me palpe en profondeur. Je panique car cette main déclenche une onde de chaleur dans tout mon corps. Puis elle remonte doucement vers ma poitrine.
- « Détends-toi, laisse-toi aller, tu vas voir, ce n’est pas terrible ».
Il enfonce doucement ses doigts sous mes cotes sous le sternum. Je me crispe.
- « Tu es toute dure, relâche tes muscles. J’ai besoin de tâter en profondeur. Puis sa main, à plat me presse à nouveau le ventre. Elle est chaude et j’aime cette sensation. Aujourd’hui encore, j’ai des frissons en pensant à cet instant. Il continue sa descente vers mon pubis, à travers les poils il caresse, juste au dessus de mes grosses lèvres. Je panique, car je me sens mouiller de plus en plus. Mais il laisse cette partie de mon corps et remonte en caressant le ventre.
Quand il se saisit du sein près de lui, je me sens m’évanouir. Je ne contrôle plus ma respiration qui s’accélère. Je me surprends à fermer les yeux pour mieux goûter cette caresse. Il se saisit de l’autre sein qu’il caresse à son tour. Puis je sens qu’il s’empare des deux mains de ma poitrine et qu’il la malaxe avec ardeur. C’est sûr maintenant, il a deviné que j’aimais ses caresses. Je l’entend qui respire de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il s’est approché et je le sens qui se frotte contre la table.
Alors qu’il laisse une main s’occuper de mes seins, je sens l’autre qui redescend vers mon ventre. Quand elle atteint les poils de mon pubis, je ramène d’un réflexe les genoux sur mon ventre, et serre les cuisses comme pour me protéger. Mais cela ne l’arrête pas. Je sens la pression qui m’oblige à m’ouvrir. Et sans vraiment m’en rendre compte, mes jambes s’écartent, invitant à la caresse. Elle frôle doucement les poils, puis lentement un doigt, délicatement s’insinue entre mes grandes lèvres toutes humides qu’il écarte. Le doigt remonte à la recherche de mon petit bouton qu’il se met à branler avec une pression délicate. C’est à ce moment que je m’entends gémir, au bord déjà de la jouissance. Jamais je n’avais ressenti ce genre de sensation et ce débordement de plaisir soudain me fait peur. Je suis vierge encore et mon petit copain ne m’a jamais touchée aussi précisément. Alors je me redresse soudain et lui demande d’arrêter. Je le vois qui panique à son tour.
- « Excuse-moi Chantal, je ne sais pas ce qui m’a pris. Mais te voir là nue m’a fait perdre les pédales. Et comme tu as eu l’air d’être d’accord et d’apprécier ».
- « D’accord, mais on en parle pas à ma mère ». Comme il acquiesce, je me rhabille très vite et je pars en courant. Arrivée à la maison, je suis montée dans ma chambre et j’ai essayé de me redonner ce plaisir. Je me suis caressée et très vite je me suis faite jouir.
En terminant son histoire, elle a sorti mon sexe et m’a fait jouir dans sa bouche.
En lisant ces mots, je me suis laissé aller à imaginer un autre déroulement à cette aventure, comme si Chantal ne m’avait pas tout dit. Voilà comment cela aurait pu être.
Il est revenu un quart d’heure après :
- « Tu te fous de moi ? Allonge-toi sur le dos. Je reviens ».
La porte par laquelle il disparaît est dans l’allongement de la table, côté pieds. Sans états d’âmes, j’escalade la table et m’y allonge. Je serre les jambes car j’ai bien vu que quand il va revenir, il aura de suite une vue imprenable sur mon sexe sous ma culotte. Cela me gêne. Cette fois, j’attends presque 25 minutes. J’ai froid et ma peau se couvre de chair de poule. Je sens mes tétons se dressent et pointent dans mon soutien gorge. Je croise les bras pour me protéger. Quand il entre, il s’arrête quelques secondes sur le pas de la porte.
- « Tu n’as pas froid ? Je vais allumer le radiateur électrique. Il passe près de moi et je sens son regard qui parcoure mon corps simplement habillé de mon slip et de mon soutien gorge. J’ai des frissons qui me submergent. Il s’arrête sur le côté et je le vois qui regarde mon ventre, descend le long de mes cuisses, jusqu’aux pieds. Lentement, sans un mot il remonte jusqu’à ma poitrine que je lui dissimule avec mes mains. Il s’attarde sur mon cou, mes cheveux avant d’aller jusqu’au radiateur derrière moi. Puis il me dit :
- « Reste comme cela, détends-toi, je vais revenir ».
Il revient dix minutes plus tard. Il va vers une armoire qu’il ouvre. Il est de dos et je ne vois pas ce qu’il fait. Quand il revient vers moi, il a un verre à la main.
- « Tiens, bois cela. C’est pour t’examiner ». Sans hésiter, j’avale d’un coup le liquide.
- « Allonge-toi maintenant et détends-toi le temps que le cachet fasse son effet. Je reviens ».
Il a à peine quitté la salle que je sens mon corps s’engourdir. Très vite je n’ai plus la force de bouger un bras. Quand il entre dans la salle, je le vois au bout de mes pieds qui me regarde. Puis il vient près de moi et doucement il dit :
- « Ca va Chantal, tu m’entends ? C’est pour t’aider à tout me dire que je t’ai fait boire ce liquide. Ne t’inquiète pas. Dis-moi si tu me comprends ».
- « … ».
J’essaye de parler mais aucun son sort de ma bouche ». Je le regarde avec un regard d’interrogation. Ma vue est trouble. Je vois un sourire s’afficher sur sa face, un sourire de satisfaction. Je le sens qu’il se saisit d’une bretelle de mon soutien gorge et la fait glisser sur mon bras. Le tissu couvre encore mon sein. Je le vois qui se recule et contemple le tableau. Je voudrais me cacher mais mes muscles ne répondent pas. Je ferme mes yeux mais par une petite fente je le regarde, sans plus aucune volonté. A ce moment, je crois encore que tout cela est normal, innocent, qu’il m’examine.
Il passe de l’autre côté et fait glisser l’autre bretelle, jusqu’au coude cette fois, si bien qu’une infime partie de mon téton doit être découverte. Une fois encore, il s’éloigne et regarde. Je me laisse faire, sans pouvoir réagir.
Il s’approche encore et cette fois, il abaisse le fin vêtement qu’il fait glisser sur mon ventre. Cette fois, ma poitrine est nue, exposée à son regard. Je prends peur, j’ouvre les yeux pour lui demander de cesser. Mais je ne bouge pas laissant mes seins nus. Je suis énervée mais je ne me sens pas la force de réagir. Lentement, sûr de lui, il tourne autour de la table et m’examine des yeux. Je l’entends soudain dire :
- « Tu es belle ma belle, vraiment belle à regarder ».
Je comprends qu’il m’a droguée mais petit à petit ma volonté revient. Je bouge un bras pour cacher ma poitrine. Il saisit mon bras et le repousse fermement. La lucidité revient mais je le laisse faire. Il est autoritaire et me fait peur.
- « Laisse tes bras le long du corps que je puisse t’examiner ».
Alors vaincue, je me soumets. C’est certain, il éprouve ma docilité. Il me parle doucement tout en matant toutes les parties de mon corps. Je me laisse faire, vaseuse.
Quand il se met à mes pieds, le médicament ne fait plus aucun effet. J’ai recouvré toute ma volonté. Il me prend les pieds et ramène mes jambes sur la poitrine. Je le vois qui regarde mes fesses, les fixe. Il est tout rouge, ses yeux gorgés de sang. Il fait peur tant il est menaçant. Il repose mes jambes, les allonge et quand il se saisit de l’élastique de ma culotte, je sais qu’il va me mettre le cul nu. Et je me surprends à soulever mes fesses pour lui faciliter le geste. Pourquoi ? Sans doutes les paroles de maman me reviennent à l’esprit. : « Laisse toi faire, il est notre médecin de famille ». Crédule, naïve ? Je ne sais pas mais en tous cas, je le laisse me déculotter. Il laisse ma culotte à mi cuisse, se recule et regarde, les yeux fixes. Je me sens ridicule, les seins nus, mon soutien gorge glissé sur le ventre et le cul nu, la culotte à mi cuisse. Je ne comprends pas.
- « Je vais t’examiner maintenant. Enlève ton soutien gorge et ta culotte et assieds-toi ». Je m’exécute sans hésiter. Je suis à poil sur la table d’examen.
Il passe derrière moi, ses mains se glissent sous mes bras, se saisissent de mes seins et commencent à les palper, médicalement au début puis très vite, alors que je sens sa respiration qui s’accélère, sa palpation devient rapidement un pelotage sans ménagement. Après quelques minutes de « palpation », il me demande :
- « Retourne-toi et allonge toi sur le ventre » usant d’un ton qui ne laisse la place à aucun refus. Il passe à mes pieds et je le sens qui regarde mes fesses. Quand ses mains se posent sur ma peau, je sursaute. Mon sexe est tout proche et c’est une zone sensible même pour une jeune fille innocente de presque 16 ans. Je résiste quand elles tentent d’écarter mes lobes pour découvrir ma raie.
- « Chantal, laisse toi faire, je dois t’examiner complètement ». Ces mots m’électrisent et de peur, je me relâche. Mes fesses sont écartelées et je sens un air frais s’engouffrer dans ma raie jusque dans mon sexe. J’ai honte, ainsi exhibée comme une bête.
- « Je dois vérifier que tu es encore vierge ». Je suis prise de panique. Il me demande de me mettre sur les genoux et je m’exécute sans résister.
- « Cambre toi bien que je puise bien te voir ».
Il me prends les fesses, les écarte. Un doigt s’insinue entre mes grandes lèvres puis caresse les chairs tendres de mes petites lèvres. Il les caressent, remonte et se saisit de mon petit bouton. Et là, il commence à le branler d’abord doucement et lentement puis de plus en plus vite. Cette caresse toute nouvelle pour moi me procure des sensations inconnues. Je sens le plaisir m’envahir et malgré la panique je m’abandonne.
- « Laisse toi aller ma belle, tu vas découvrir des sensations de jouissance sans précédent ». En disant ces mots, je sens son doigt qui délicatement pénètre mon sexe. Mais très vite il en ressort pour sans doutes ménager mon hymen. Il le glisse le long de ma raie, remonte, atteint mon petit trou et sans brutalité pénètre mon ventre. Je sais qu’il ne m’examine plus mais qu’il joue avec moi. De peur, par obéissance, je me laisse faire. Gardant son doigt dans mon cul, il s’empare de mes seins avec son autre main et en branlant le cul, il pelote mes seins. Toutes ces caresses en même temps m’amènent rapidement au plaisir et je crie quand je jouis. A bout de souffle, je m’affale sur la table.
Quand je tourne mon regard vers lui, je vois qu’il a sorti sa bite et se branle en matant mon corps nu.
- « Lève-toi et caresse toi les seins pour m’exciter ». Je m’exécute plus par peur que pour lui faire plaisir.
- « Tourne toi et mets toi à quatre patte que je vois ton cul ». Là aussi j’obéis et je m’exécute également quand il me demande de m’ouvrir. Je me penche et le regarde branler son sexe et je suis troublée de le voir aussi gros. Je suis troublée et effrayée en même temps. Soudain, il se met à pousser des petits cris, son visage se crispe et de longs jets de sperme s’échappent de son gland rouge et gonflé à éclater. Je reste fixé sur ce sexe qui se libère de son jus et vient s ‘étaler sur le carrelage de la pièce.
Repus, il se rajuste. Il vient vers moi et me dépose une bise sur le front.
- « Merci jolie Chantal. Tu m’as donné beaucoup de plaisir. Nous n’en dirons rien à tes parents, et si tu le souhaites, on pourra recommencer ce petit jeu qui n’a pas manqué de te donner du plaisir ».
Alors qu’il parlait, je me suis rhabillée et j’ai quitté le cabinet médical sans un mot, avec le sentiment de salissure et de culpabilité. Je me sentais salope, sale et pute. Je ne devais jamais plus retourner le voir.
Si vous voulez voir ce qu’elle est maintenant… réclamez.
AL
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c est plutot exitant je voudrais que sa m arive
ce toubib est une ordure si le recit est vrais c est une ordure un pervers conclusion
je ne comprend pas la maman qui n as pas accompagner sa fille j ai eu une fille je
crois que le medecin je lui aurais mis une raclér je souhaite que le recit soit un
fantasme pour moi cest un pedophile j aime les recits d adulte qui raconte leurs fessée
d efance j en ai recu aussi mais la c est une histoire qui me fait pas bander2
je ne comprend pas la maman qui n as pas accompagner sa fille j ai eu une fille je
crois que le medecin je lui aurais mis une raclér je souhaite que le recit soit un
fantasme pour moi cest un pedophile j aime les recits d adulte qui raconte leurs fessée
d efance j en ai recu aussi mais la c est une histoire qui me fait pas bander2
très excitant, j'adore cette histoire... et bien sur j'ai joui...
tres belle
Que de beaux souvenirs
merci à vous deux- une relecture m'a permis de jouir comme un jeune homme malgré mes 64
ans- je suis impatient de te lire à nouveau
ans- je suis impatient de te lire à nouveau
merci, j'ai joui.
Juliette
Juliette
Magnifique histoire, surtout la partie revisitée
pas mal =)
oui vite la suite