Le message du corbeau...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le message du corbeau...
Que fus ma surprise ce matin là de trouver parmi mon courrier un message m’avertissant que ma femme me cocufier. Hormis ses quelques mots, le corbeau m’a invité d’aller m’en rendre compte par moi même en me révélant le lieu de sa débauche, ainsi que le jour. Le mercredi après-midi, après 14H00.
Je me suis bien garder d’en parler à ma femme. Attendant patiemment le mercredi suivant pour honorer l’invitation, si je peux dire. Pour cela j’ai contourné la maison que le corbeau avait mentionné, qui déboucher derrière une grande haie de thuyas, comme c‘était noté. C‘est alors que j’ai entendu une voix de femme prodiguait des motivations.
- Allez, vas-y, pompe-le à fond, plus fort, il aime cela… Étant donné que la voix que j’ai entendue n’était pas celle de ma femme, donc par déduction, et si le corbeau disait vrai la suceuse ne pouvait qu’être mon épouse. Mais de l’endroit où je me trouvais il m’était impossible de voir ce qui se dérouler dans la pièce, surtout que la baie vitrée était entrouverte.
J‘ai repéré à quelques mètres devant moi une haie de buis. Situé face de la porte fenêtre. Avec mille précautions, je me suis avancé jusqu’à lui. Après m’être assuré que je n’avais pas été repéré j’ai porté mon regard dans la pièce, pour y apercevoir un spectacle hallucinant.
Où ma femme se trouvait bien sur place, à genoux devant un jeune homme, que je reconnu étant celui qui venait de temps à autre se baigner dans ma piscine. Je reconnais que la nature avait été bien généreuse avec lui. Il possédé un membre énorme que ma femme s’affairait à rendre encore plus gros, et cela avec sa bouche. Je ne sus sur le moment que faire, quoi penser. Alors que là-bas, ma femme pressait doucement les couilles du jeune type qui en retour gémissait à tue-tête.
Son gland était aussi gros et de la même couleur qu’une prune. Que ma femme mordillait, léchait, l’embrassait doucement avant de l’aspirer de nouveau. Faisant une série de va et vient bruyants en poussant des petits cris de plaisir. À genoux à côté d’elle, celle qui m‘avait été présenté quelques semaines plus tôt comme étant madame Durand. Rousse, le teint laiteux parsemé de taches de son. Avec un corps lourd, charnu, aux formes bien marquées. Et surtout une belle croupe ronde et proéminente.
Son implication sur l’instant était d’encouragé avec des mots crus, mon épouse à en donner encore plus. Soudain, le jeune homme s’est cabré, alors que plus bas ma femme semblait s’étouffer. J’ai tout de suite compris que le garçonnet venait de libérer son plaisir.
La maîtresse a quitté son rôle d’observatrice pour prendre celui de suceuse. Très vite en parfaite experte, elle a redonné vie à la queue du garçonnet. Qu’elle l’a recraché, et tout en le branlant énergiquement elle s’est adressé à ma femme.
- Dit Cathy, cela te dirait qu’il te la mette dans ta chatte. Regarde comme elle est belle.
Comme si elle aurait dit à un aveugle s’il voulait voir.
- Je te l’accorde, qu’elle belle queue !
Ma femme s’est empressée de se placer à quatre pattes sur le fauteuil. La maîtresse a entrainé le jeune homme jusqu’à elle. De mon poste d’observatoire, j’ai éprouvais comme des bouffées de chaleur. Mon souffle s’est accéléré lorsque j’ai vues le gland peu à peu disparaître dans le con de ma femme. Ça m’a fait l’effet d’une injection de lave brûlante dans mes veines. Dans un dernier cri à demi étouffé, ma femme l’a absorbé complètement. Une sensation de malaise désagréable s'est emparée de moi. Doucement elle a envoyé ses entrailles voyager sur le bâton de chair. Elle aimait tellement ça, qu’elle a donné à sa voix des petits cris. Et ceci à chaque fois qu’elle a sentit le pubis du jeunot chatouiller son cul. J’ai vu ainsi à plusieurs reprises la queue disparaître pour mieux réapparaître l’instant d‘après.
Ma femme râlait, comme je ne l‘avais jamais entendu avec moi. Suppliant au jeune homme de la baiser encore plus fort. J’ai joui sans me toucher. Souillant mon slip de ma jouissance.
Madame Durand s’est alors placée derrière le jeune homme et je l’ai vu lui enfoncer son index dans son cul. Donnant au doigt le même rythme que la pénétration. Ma femme a jouit à plusieurs reprises, avant de se découpler, et de se laisser tomber sur le tapis.
La maîtresse des lieux a alors relevé sa jupe sous laquelle elle portait une sorte de string fait de larges lanières de cuir. À la hauteur de son sexe de ce sous-vêtement bizarre, un court manchon y était solidement fixé. Sous mes yeux ébahis, elle a vissé un gode. Ma femme s’est retournée d’un bloc en sentant la pointe du gode s’appuyer sur mon anus. Madame Durand s’est agrippée aux hanches de ma femme pour mieux se positionner. Et d’un coup de reins, j’ai vue le gode violait l’entrée. Elle a remué du popotin jusqu’à ce que son cul bute contre le ventre de la femme. Les mouvements des deux femmes se sont accordé pour que le gode entame dans un premier temps un lent va-et-vient. Augmentant par la suite peu à peu la cadence. Les deux femmes ont joui presque en même temps.
Puis Cathy s’est rhabillée et je l’ai vu sortir. Elle a pris la direction de la maison moi à ses trousses. Faisant attention de ne pas me faire repéré. Quand je suis rentré, elle se tenait devant un café.
- Ça était ton boulot ? La questionnais-je tout en emplissant ma tasse.
- Oui, très éprouvante, à un tel point que tu ne peux pas savoir. Me fit-elle. Je suis en sueur. J’allais m’apprêter à prendre une douche.
- Moi ce n’est pas d’une douche que j’ai envie (bien que j’en avais un grand besoin !) mais de te baiser, surtout que nous sommes seuls à la maison.
- C’est… c’est que je ne suis pas bien propre, comme je te l‘ai dit, mon chéri. Après la douche si cela te dit.
- Tu sais bien que je n’aime pas quand tu ai trop propre.
Après avoir verrouillé la porte et sans un mot, je l‘ai serré contre moi. Après un baiser je l‘ai plaqué contre la table. D‘un geste brutal je lui ai arraché sa culotte.
- Comme tu vas, là ! Mon chéri… tu as vraiment très envie… - Tu ne peux pas savoir ! Ai-je répondu. En la forçant de se courber.
Elle a écarté les jambes, les deux mains appuyées sur la table. J’ai pris l’habitude de la baiser dans cette position ces derniers temps.
D’une claque sèche, j’ai fais valser sa fesse gauche. Qu’elle a projeté vers l’arrière. Trois autres ont suivirent. Plus fortes, comme je l’ai souhaité.
- Mais Alain, que t’arrive-t-il aujourd’hui ?
- Petite chochotte va… Les bras tendues sur le bord de la table, elle a affermit la position en soupirant. J’ai pétris ses chairs, malléables comme de la pâte à modeler. J’ai écarté les fesses dodues. Sa raie sombre tranchait sur ses rondeurs crémeuses. Révélant un large trou du cul que la dernière pénétration avait ouvert. J’ai descendu mes doigts vers sa chatte qui dégorger. Sans doute un mélange de sperme et de mouille. Du plat de la main, j’ai flatté sa vulve poissée. Quelques petites tapes qui la firent geindre.
- Dépêches-toi les enfants ne vont pas tarder à rentrer.
Mais ce qu’elle ne savait pas encore à cet instant, c’est que je n’avais l’intention de lui loger ma queue dans son sexe, mais ma langue. Pour cela je me suis agenouillé devant son fessier.
- Qu’est-ce que tu fais ?
Pour toute réponse, je l’ai reniflé bruyamment pour qu‘elle entende bien. Il s’en ai dégagé une saveur épicée tenace qui m’a agacé les papilles. Loin de l’écœurement, je me suis laissé aller à la tentation d’effleurer sa vulve de mes lèvres.
- Alain, je ne sais pas… si… - Si quoi… qu’est-ce qui t’arrive aujourd’hui ? Je ne reconnais pas… - C’n’est pas ça ! Mais… J’ai sortis la langue et l’ai passé de haut en bas sur le sexe éclaté, dont les chairs étaient à vifs. Cathy n’a pas osez m’interrompre une nouvelle fois. Elle respirait bruyamment. J’ai plaqué ma bouche contre son sexe, comme si j’avais l’intention de l’avaler. Aspirant les petites lèvres, le clitoris, le faisant rouler sous sa langue ce qui a arraché des grognements approbateurs à ma femme.
Mais hélas, mille fois hélas ! Les coups portés à la porte d’entrée m’ont obligé d’abréger mon festin. Cathy s’est empressée de filer jusqu’à la salle de bain. Alors que pour ma part, je me suis occupé de donner accès à mes enfants. Qui se sont empressé de filer jusqu’à leurs chambres, me laissant en tête à tête avec ma belle-mère.
- Waouh ! Mais tu sens le cul ! Me fit-elle après m’avoir embrassé.
- Si tu veux savoir, j’étais avant que t’arrive en train de sucer la chatte de ta fille. Lui murmurais-je à l’oreille.
- Je te pris de m‘excuser !
- Mets tu es toute excusé ma chère maman. Lui ai-je répondu, en faisant disparaître ma main droite, sous sa jupe. Celle-ci a bien essayé de résister sans pour ça, empêcher mes doigts de remonter le long de ses jambes. Que la douceur du collant qui voilé ses cuisses m’a exhorté de poursuivre mon exploration. Son entrejambe était trempée et chaude. La coquine ne portait pas de culotte sous le nylon. J’ai même senti sous ma cajolerie la naissance de son bourgeon sous mes doigts.
- Alain… Voyons ! Fit-elle en se détachant de moi. En pourrait se faire surprendre.
C’est alors que je l’ai vu se pencher et ramasser quelque chose qu’elle s’est empressée de m’exhiber.
- Eh bien, quelle violence ! Tu sais Alain, je ne dirai pas non de subir pour ma part la même bestialité ! Bien au contraire, je… Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase en voyant arrivée sa fille, emmitouflée dans son peignoir.
- De quoi parliez-vous, avant que j’arrive ? Fit ma femme.
- De fessée, si tu veux savoir ! Répondit la mère.
- Et pour qui ?
- Pour ton mari…
Je me suis bien garder d’en parler à ma femme. Attendant patiemment le mercredi suivant pour honorer l’invitation, si je peux dire. Pour cela j’ai contourné la maison que le corbeau avait mentionné, qui déboucher derrière une grande haie de thuyas, comme c‘était noté. C‘est alors que j’ai entendu une voix de femme prodiguait des motivations.
- Allez, vas-y, pompe-le à fond, plus fort, il aime cela… Étant donné que la voix que j’ai entendue n’était pas celle de ma femme, donc par déduction, et si le corbeau disait vrai la suceuse ne pouvait qu’être mon épouse. Mais de l’endroit où je me trouvais il m’était impossible de voir ce qui se dérouler dans la pièce, surtout que la baie vitrée était entrouverte.
J‘ai repéré à quelques mètres devant moi une haie de buis. Situé face de la porte fenêtre. Avec mille précautions, je me suis avancé jusqu’à lui. Après m’être assuré que je n’avais pas été repéré j’ai porté mon regard dans la pièce, pour y apercevoir un spectacle hallucinant.
Où ma femme se trouvait bien sur place, à genoux devant un jeune homme, que je reconnu étant celui qui venait de temps à autre se baigner dans ma piscine. Je reconnais que la nature avait été bien généreuse avec lui. Il possédé un membre énorme que ma femme s’affairait à rendre encore plus gros, et cela avec sa bouche. Je ne sus sur le moment que faire, quoi penser. Alors que là-bas, ma femme pressait doucement les couilles du jeune type qui en retour gémissait à tue-tête.
Son gland était aussi gros et de la même couleur qu’une prune. Que ma femme mordillait, léchait, l’embrassait doucement avant de l’aspirer de nouveau. Faisant une série de va et vient bruyants en poussant des petits cris de plaisir. À genoux à côté d’elle, celle qui m‘avait été présenté quelques semaines plus tôt comme étant madame Durand. Rousse, le teint laiteux parsemé de taches de son. Avec un corps lourd, charnu, aux formes bien marquées. Et surtout une belle croupe ronde et proéminente.
Son implication sur l’instant était d’encouragé avec des mots crus, mon épouse à en donner encore plus. Soudain, le jeune homme s’est cabré, alors que plus bas ma femme semblait s’étouffer. J’ai tout de suite compris que le garçonnet venait de libérer son plaisir.
La maîtresse a quitté son rôle d’observatrice pour prendre celui de suceuse. Très vite en parfaite experte, elle a redonné vie à la queue du garçonnet. Qu’elle l’a recraché, et tout en le branlant énergiquement elle s’est adressé à ma femme.
- Dit Cathy, cela te dirait qu’il te la mette dans ta chatte. Regarde comme elle est belle.
Comme si elle aurait dit à un aveugle s’il voulait voir.
- Je te l’accorde, qu’elle belle queue !
Ma femme s’est empressée de se placer à quatre pattes sur le fauteuil. La maîtresse a entrainé le jeune homme jusqu’à elle. De mon poste d’observatoire, j’ai éprouvais comme des bouffées de chaleur. Mon souffle s’est accéléré lorsque j’ai vues le gland peu à peu disparaître dans le con de ma femme. Ça m’a fait l’effet d’une injection de lave brûlante dans mes veines. Dans un dernier cri à demi étouffé, ma femme l’a absorbé complètement. Une sensation de malaise désagréable s'est emparée de moi. Doucement elle a envoyé ses entrailles voyager sur le bâton de chair. Elle aimait tellement ça, qu’elle a donné à sa voix des petits cris. Et ceci à chaque fois qu’elle a sentit le pubis du jeunot chatouiller son cul. J’ai vu ainsi à plusieurs reprises la queue disparaître pour mieux réapparaître l’instant d‘après.
Ma femme râlait, comme je ne l‘avais jamais entendu avec moi. Suppliant au jeune homme de la baiser encore plus fort. J’ai joui sans me toucher. Souillant mon slip de ma jouissance.
Madame Durand s’est alors placée derrière le jeune homme et je l’ai vu lui enfoncer son index dans son cul. Donnant au doigt le même rythme que la pénétration. Ma femme a jouit à plusieurs reprises, avant de se découpler, et de se laisser tomber sur le tapis.
La maîtresse des lieux a alors relevé sa jupe sous laquelle elle portait une sorte de string fait de larges lanières de cuir. À la hauteur de son sexe de ce sous-vêtement bizarre, un court manchon y était solidement fixé. Sous mes yeux ébahis, elle a vissé un gode. Ma femme s’est retournée d’un bloc en sentant la pointe du gode s’appuyer sur mon anus. Madame Durand s’est agrippée aux hanches de ma femme pour mieux se positionner. Et d’un coup de reins, j’ai vue le gode violait l’entrée. Elle a remué du popotin jusqu’à ce que son cul bute contre le ventre de la femme. Les mouvements des deux femmes se sont accordé pour que le gode entame dans un premier temps un lent va-et-vient. Augmentant par la suite peu à peu la cadence. Les deux femmes ont joui presque en même temps.
Puis Cathy s’est rhabillée et je l’ai vu sortir. Elle a pris la direction de la maison moi à ses trousses. Faisant attention de ne pas me faire repéré. Quand je suis rentré, elle se tenait devant un café.
- Ça était ton boulot ? La questionnais-je tout en emplissant ma tasse.
- Oui, très éprouvante, à un tel point que tu ne peux pas savoir. Me fit-elle. Je suis en sueur. J’allais m’apprêter à prendre une douche.
- Moi ce n’est pas d’une douche que j’ai envie (bien que j’en avais un grand besoin !) mais de te baiser, surtout que nous sommes seuls à la maison.
- C’est… c’est que je ne suis pas bien propre, comme je te l‘ai dit, mon chéri. Après la douche si cela te dit.
- Tu sais bien que je n’aime pas quand tu ai trop propre.
Après avoir verrouillé la porte et sans un mot, je l‘ai serré contre moi. Après un baiser je l‘ai plaqué contre la table. D‘un geste brutal je lui ai arraché sa culotte.
- Comme tu vas, là ! Mon chéri… tu as vraiment très envie… - Tu ne peux pas savoir ! Ai-je répondu. En la forçant de se courber.
Elle a écarté les jambes, les deux mains appuyées sur la table. J’ai pris l’habitude de la baiser dans cette position ces derniers temps.
D’une claque sèche, j’ai fais valser sa fesse gauche. Qu’elle a projeté vers l’arrière. Trois autres ont suivirent. Plus fortes, comme je l’ai souhaité.
- Mais Alain, que t’arrive-t-il aujourd’hui ?
- Petite chochotte va… Les bras tendues sur le bord de la table, elle a affermit la position en soupirant. J’ai pétris ses chairs, malléables comme de la pâte à modeler. J’ai écarté les fesses dodues. Sa raie sombre tranchait sur ses rondeurs crémeuses. Révélant un large trou du cul que la dernière pénétration avait ouvert. J’ai descendu mes doigts vers sa chatte qui dégorger. Sans doute un mélange de sperme et de mouille. Du plat de la main, j’ai flatté sa vulve poissée. Quelques petites tapes qui la firent geindre.
- Dépêches-toi les enfants ne vont pas tarder à rentrer.
Mais ce qu’elle ne savait pas encore à cet instant, c’est que je n’avais l’intention de lui loger ma queue dans son sexe, mais ma langue. Pour cela je me suis agenouillé devant son fessier.
- Qu’est-ce que tu fais ?
Pour toute réponse, je l’ai reniflé bruyamment pour qu‘elle entende bien. Il s’en ai dégagé une saveur épicée tenace qui m’a agacé les papilles. Loin de l’écœurement, je me suis laissé aller à la tentation d’effleurer sa vulve de mes lèvres.
- Alain, je ne sais pas… si… - Si quoi… qu’est-ce qui t’arrive aujourd’hui ? Je ne reconnais pas… - C’n’est pas ça ! Mais… J’ai sortis la langue et l’ai passé de haut en bas sur le sexe éclaté, dont les chairs étaient à vifs. Cathy n’a pas osez m’interrompre une nouvelle fois. Elle respirait bruyamment. J’ai plaqué ma bouche contre son sexe, comme si j’avais l’intention de l’avaler. Aspirant les petites lèvres, le clitoris, le faisant rouler sous sa langue ce qui a arraché des grognements approbateurs à ma femme.
Mais hélas, mille fois hélas ! Les coups portés à la porte d’entrée m’ont obligé d’abréger mon festin. Cathy s’est empressée de filer jusqu’à la salle de bain. Alors que pour ma part, je me suis occupé de donner accès à mes enfants. Qui se sont empressé de filer jusqu’à leurs chambres, me laissant en tête à tête avec ma belle-mère.
- Waouh ! Mais tu sens le cul ! Me fit-elle après m’avoir embrassé.
- Si tu veux savoir, j’étais avant que t’arrive en train de sucer la chatte de ta fille. Lui murmurais-je à l’oreille.
- Je te pris de m‘excuser !
- Mets tu es toute excusé ma chère maman. Lui ai-je répondu, en faisant disparaître ma main droite, sous sa jupe. Celle-ci a bien essayé de résister sans pour ça, empêcher mes doigts de remonter le long de ses jambes. Que la douceur du collant qui voilé ses cuisses m’a exhorté de poursuivre mon exploration. Son entrejambe était trempée et chaude. La coquine ne portait pas de culotte sous le nylon. J’ai même senti sous ma cajolerie la naissance de son bourgeon sous mes doigts.
- Alain… Voyons ! Fit-elle en se détachant de moi. En pourrait se faire surprendre.
C’est alors que je l’ai vu se pencher et ramasser quelque chose qu’elle s’est empressée de m’exhiber.
- Eh bien, quelle violence ! Tu sais Alain, je ne dirai pas non de subir pour ma part la même bestialité ! Bien au contraire, je… Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase en voyant arrivée sa fille, emmitouflée dans son peignoir.
- De quoi parliez-vous, avant que j’arrive ? Fit ma femme.
- De fessée, si tu veux savoir ! Répondit la mère.
- Et pour qui ?
- Pour ton mari…
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