Le métro 1
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le métro 1
Métro de Paris.
Il y a huit ans j’ai trouvé du travail à la RATP, je travaille en civil sans me faire remarquer les petits tireurs à la tire ou de sac sans chercher au départ s’ils sont en règle ou pas. Je fais plusieurs lignes avec des changements aléatoire. Passant par les lieux fréquentés par les touristes en priorité. J’ai vingt-six-ans et assez baraqué pour ne rien craindre. La plupart de ceux que je chope sur le vif ne sont que des gamins amenés là par un majeur qui les récupère avant de les emmener dormir dans des wagons abandonnés du côté de Versailles.
Ma formation avait été rapide, j’étais déjà rompu à leur technique je n’attrapais jamais le piqueur mais celui qui était derrière à qui part un tour de passe-passe il avait déjà donné ce qu’il avait volé. Je gardais celui-ci dans la rame pour ne pas être identifié par la bande et le sortait bien plus loin à une des brigades du métro où là il devait vider ses poches et passer en comparution immédiate. J’avais un autre travail où, totalement invisible dans la foule, J’interpelais le principal perturbateur avant même que ça dégénère. J’évitais ainsi pas mal de problèmes aux différentes personnalités et était connu par la plupart.
Un soir ou j’avais fini et rentrais par le RER nord au plus loin, la dernière station de la ligne J’ai senti une main passer sur ma poche. Je suis toujours attentif à ce genre de chose et j’ai bloqué le poignet avant même qu’il sorte.
Me retournant je suis tombé nez à nez avec non pas un gosse mais un mec dans les dix-huit ans qui m’a lancé un coup d’œil suppliant.
-Pardon mais il faut que je mange.
Il y avait de moins en moins de monde. Assieds-toi dans ce coin et ne bouge pas ! Sinon ce sont les flics. Il baissait la tête, gêné. Sa tenue n’était pas très propre et son jean troué avait vu de meilleurs jours. Je me suis assis à côté, la ligne allait finir.
T’as des papiers ?
-Non, piqués dans le métro avec le peu de fric que j’avais.
Et tu dors où, chez les flics ?
-Pas si je peux l’éviter.
Au moins ton prénom ?
-Hervé. Vous m’emmenez aux gendarmes ?
Dépend de toi. Tu fais quoi comme taf ?
-Si je vous le dis c’est direct les flics !
Dis toujours je jugerais après.
-Je fais la pute.
Ha quand même ! C’est vrai que tu es mignon. Dur de se faire baiser par des vieux non ?
-Bah ils payent et je ne les vois plus.
Tu vois, je suis embarrassé. En arrivant je te file au flic et je suis peinard ou tu fais ce que je veux sans demander le temps de ta peine normale.
-C’est-à-dire ?
Bof, Ils te gardent le temps de vérifier ton VIH avec les poivrots les violeurs et autres suspects et ça peut durer. Ou tu me suis et tu es à moi la même durée.
Il m’a fixé pour la première fois.
-Vous êtes sérieux ?
J’ai l’air de déconner ?
-Non je vous crois et je préfère vous aux flics.
Alors comme pute tu n’as plus de pudeur, ouvre ta braguette on arrive.
Il a défait les boutons, j’ai aperçu son slip rouge. Une voix annonçait le terminus, Clermont de l’Oise. Passe devant, sur le parking à droite jusqu’au Duster sombre. Un déclic a déverrouillé les portes. Monte ! On est sorti du patelin vers la forêt. Et je suis passé par une route en terre battue dont j’ai soulevé la barrière et refermé derrière moi.
Mon domaine commence là. Descend ton froc ici on est tranquille. C’est quoi cette tâche, tu es excité, toi une pute ?
-Ben c’est le lieu isolé et votre façon de me parler et puis en fait je débute comme pute je n’ai plus rien que mon corps.
Tu t’es fait combien avec combien de mecs ?
-Cinq cents mais avec 10 mecs que j’ai sucés.
Et t’as déjà tout bouffé bien sûr.
-Ben l’hôtel et la bouffe ce n’est pas donné.
Avec moi tu n’auras pas de fric mais la bouffe et un coin pour dormir. Pas un seul n’a pris ton cul ?
-Non tous pressés ou la frousse ou pas de lieu, l’hôtel leur faisait peur.
Mais tu étais prêt à le donner ?
-Oui j’aurais gagné plus.
Avec moi rien.
-Je te l’offre si tu aimes les jeunes salopes.
On arrivait devant chez moi et le chien m’a fait la fête avant de gronder en voyant le jeune
Couché Rex ! Comme tu vois on m’obéit ici.
-J’avais compris Monsieur
Je me suis assis sur la terrasse. Va prendre une douche mais dessape-toi ici.
En bonne salope il a tout enlevé
Tu bandes pourquoi ?
-Ben, la situation, être dehors nu, Je sais bien ce que je suis mais ça m’excite.
Rien que ça ?
-Non, d’être nu totalement devant vous surtout.
Il faudra t’y habituer. File à a douche c’est au fond du couloir et…Ne te branle pas !
J’ai réfléchi une fois seul que personne ne savait qu’il était là. J’étais homo et il avait un beau petit corps fin, presque d’ado et je ne lui avais même pas demandé son âge. D’un autre côté il en voulait et ce n’était pas de la violence. Il avait un côté fragile, pas comme les gamins surs d’eux que je chopais et qui mineurs savaient ne rien craindre. Surs de sortir avec un avertissement, on ne pouvait rien y faire. Il est sorti sec sauf ses cheveux ébouriffés, craquant.
Approche-toi. Tourne un peu sur toi-même que je te voie bien.
-Vous pouvez toucher aussi.
Je ne me gênerais pas. De face ses boules pendaient plus que le bout de sa queue. De dos ses fesses étaient bien rondes et le sillon remontait loin.
Rapproche-toi. J’ai passé la main sur ses reins, belle courbure il a frissonné. J’ai descendu les doigts par plaisir le long de la raie. Tourne-toi. La face valait le dos. Et j’ai fait durer le plaisir en caressant ses aréoles puis en pressant le bout il a reculé le torse, m’offrant son ventre. Je suis descendu passer le nombril et ses quelques poils, frôlant son sexe à nouveau raide je suis descendu sur ses couilles les malaxer. Son sexe dressé perlait juste au niveau du prépuce.
Tu aimes petite lopette ?
-Oui, à fond Monsieur.
Il y a huit ans j’ai trouvé du travail à la RATP, je travaille en civil sans me faire remarquer les petits tireurs à la tire ou de sac sans chercher au départ s’ils sont en règle ou pas. Je fais plusieurs lignes avec des changements aléatoire. Passant par les lieux fréquentés par les touristes en priorité. J’ai vingt-six-ans et assez baraqué pour ne rien craindre. La plupart de ceux que je chope sur le vif ne sont que des gamins amenés là par un majeur qui les récupère avant de les emmener dormir dans des wagons abandonnés du côté de Versailles.
Ma formation avait été rapide, j’étais déjà rompu à leur technique je n’attrapais jamais le piqueur mais celui qui était derrière à qui part un tour de passe-passe il avait déjà donné ce qu’il avait volé. Je gardais celui-ci dans la rame pour ne pas être identifié par la bande et le sortait bien plus loin à une des brigades du métro où là il devait vider ses poches et passer en comparution immédiate. J’avais un autre travail où, totalement invisible dans la foule, J’interpelais le principal perturbateur avant même que ça dégénère. J’évitais ainsi pas mal de problèmes aux différentes personnalités et était connu par la plupart.
Un soir ou j’avais fini et rentrais par le RER nord au plus loin, la dernière station de la ligne J’ai senti une main passer sur ma poche. Je suis toujours attentif à ce genre de chose et j’ai bloqué le poignet avant même qu’il sorte.
Me retournant je suis tombé nez à nez avec non pas un gosse mais un mec dans les dix-huit ans qui m’a lancé un coup d’œil suppliant.
-Pardon mais il faut que je mange.
Il y avait de moins en moins de monde. Assieds-toi dans ce coin et ne bouge pas ! Sinon ce sont les flics. Il baissait la tête, gêné. Sa tenue n’était pas très propre et son jean troué avait vu de meilleurs jours. Je me suis assis à côté, la ligne allait finir.
T’as des papiers ?
-Non, piqués dans le métro avec le peu de fric que j’avais.
Et tu dors où, chez les flics ?
-Pas si je peux l’éviter.
Au moins ton prénom ?
-Hervé. Vous m’emmenez aux gendarmes ?
Dépend de toi. Tu fais quoi comme taf ?
-Si je vous le dis c’est direct les flics !
Dis toujours je jugerais après.
-Je fais la pute.
Ha quand même ! C’est vrai que tu es mignon. Dur de se faire baiser par des vieux non ?
-Bah ils payent et je ne les vois plus.
Tu vois, je suis embarrassé. En arrivant je te file au flic et je suis peinard ou tu fais ce que je veux sans demander le temps de ta peine normale.
-C’est-à-dire ?
Bof, Ils te gardent le temps de vérifier ton VIH avec les poivrots les violeurs et autres suspects et ça peut durer. Ou tu me suis et tu es à moi la même durée.
Il m’a fixé pour la première fois.
-Vous êtes sérieux ?
J’ai l’air de déconner ?
-Non je vous crois et je préfère vous aux flics.
Alors comme pute tu n’as plus de pudeur, ouvre ta braguette on arrive.
Il a défait les boutons, j’ai aperçu son slip rouge. Une voix annonçait le terminus, Clermont de l’Oise. Passe devant, sur le parking à droite jusqu’au Duster sombre. Un déclic a déverrouillé les portes. Monte ! On est sorti du patelin vers la forêt. Et je suis passé par une route en terre battue dont j’ai soulevé la barrière et refermé derrière moi.
Mon domaine commence là. Descend ton froc ici on est tranquille. C’est quoi cette tâche, tu es excité, toi une pute ?
-Ben c’est le lieu isolé et votre façon de me parler et puis en fait je débute comme pute je n’ai plus rien que mon corps.
Tu t’es fait combien avec combien de mecs ?
-Cinq cents mais avec 10 mecs que j’ai sucés.
Et t’as déjà tout bouffé bien sûr.
-Ben l’hôtel et la bouffe ce n’est pas donné.
Avec moi tu n’auras pas de fric mais la bouffe et un coin pour dormir. Pas un seul n’a pris ton cul ?
-Non tous pressés ou la frousse ou pas de lieu, l’hôtel leur faisait peur.
Mais tu étais prêt à le donner ?
-Oui j’aurais gagné plus.
Avec moi rien.
-Je te l’offre si tu aimes les jeunes salopes.
On arrivait devant chez moi et le chien m’a fait la fête avant de gronder en voyant le jeune
Couché Rex ! Comme tu vois on m’obéit ici.
-J’avais compris Monsieur
Je me suis assis sur la terrasse. Va prendre une douche mais dessape-toi ici.
En bonne salope il a tout enlevé
Tu bandes pourquoi ?
-Ben, la situation, être dehors nu, Je sais bien ce que je suis mais ça m’excite.
Rien que ça ?
-Non, d’être nu totalement devant vous surtout.
Il faudra t’y habituer. File à a douche c’est au fond du couloir et…Ne te branle pas !
J’ai réfléchi une fois seul que personne ne savait qu’il était là. J’étais homo et il avait un beau petit corps fin, presque d’ado et je ne lui avais même pas demandé son âge. D’un autre côté il en voulait et ce n’était pas de la violence. Il avait un côté fragile, pas comme les gamins surs d’eux que je chopais et qui mineurs savaient ne rien craindre. Surs de sortir avec un avertissement, on ne pouvait rien y faire. Il est sorti sec sauf ses cheveux ébouriffés, craquant.
Approche-toi. Tourne un peu sur toi-même que je te voie bien.
-Vous pouvez toucher aussi.
Je ne me gênerais pas. De face ses boules pendaient plus que le bout de sa queue. De dos ses fesses étaient bien rondes et le sillon remontait loin.
Rapproche-toi. J’ai passé la main sur ses reins, belle courbure il a frissonné. J’ai descendu les doigts par plaisir le long de la raie. Tourne-toi. La face valait le dos. Et j’ai fait durer le plaisir en caressant ses aréoles puis en pressant le bout il a reculé le torse, m’offrant son ventre. Je suis descendu passer le nombril et ses quelques poils, frôlant son sexe à nouveau raide je suis descendu sur ses couilles les malaxer. Son sexe dressé perlait juste au niveau du prépuce.
Tu aimes petite lopette ?
-Oui, à fond Monsieur.
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