Le militaire de Lorient 2 - histoire érotique

Sorti de l'adolescence, je le reconnais, j'avais le feu au cul. Pour assouvir mes pulsions homosexuelles, je ne refusais aucune opportunité afin d'en découvrir les merveilleuses facettes.

La semaine précédente, à Lorient, un militaire m'a niqué autant qu'il a voulu toute la nuit… et m'a fortement recommandé un de ses copains, militaire lui aussi.

Au premier contact téléphonique, à sa voix puissante, j'imagine l'homme, le mâle dans toute sa splendeur. Je bande direct, incapable de me contrôler, rien qu'à entendre sa voix.

" Allo, je suis Laurent, j'appelle de la part de Damien.
" Ouais, c'est un pote à moi. Il m'a causé de toi. Tu m'as l'air jeune, t'es majeur?
" J'ai eu 18 ans il y a 3 mois.
" Vous avez fait quoi ensemble, toi et mon pote?
" Je suis allé chez lui et j'ai passé la nuit.
" Un sacré lascar celui là. T'as un bon cul, qu'il m'a dit. Avec moi, tu vas aimer.
" J'ai pas trop dormi, avec Damien.
" Quel queutard! Viens samedi, que j'te ramone, moi aussi.
" Je veux bien.
" Prépares toi le cul avec un gode, j'aime pas les mecs crades et j'embrasse pas.
" ….
La conversation continue, chaude et prometteuse. Je ne lui dis pas que j'ai une heure de trajet à faire pour le rencontrer. Je pense qu'il s'en tape. Je suis trop excité et j'ai hâte d'y être.

Le samedi arrive, enfin.
Lorsqu'il ouvre la porte, Humm, le mec!…je vois le mâle qui va me tirer. Le gars; musclé, puissant, baraqué, crâne rasé, plein de virilité, plein de testostérones. Je n'avais pas pensé à lui demander son âge; il a sans doute 40 ans, peut être 45 ans. Un homme mature, j'adore, c'est le top. Son regard d'acier est posé sur moi, je sens qu'il me baise déjà. Dominant, il me serre fort la main, me tire à l'intérieur. Je comprend que c'est OK pour lui, que je lui convient. Je suis raide dingue de ce mec, raide aussi dans mon slip, mon cul palpite pour lui.

" Fout toi à poil." me dit il dans la foulée.

Il est pieds nus, vêtu d'un pantalon treillis et d'un tee-shirt qui moule ses larges pectoraux.
Peu disposé à faire la conversation, bourrin et hyper chaud pour me baiser… Un barreau raide tend sa braguette. Vu la bosse, je sens que je vais morfler, qu'il y a du matos.
Pendant que je me dessape, il me mate, absolument sans aucune gêne, en silence, une main à se frotter l'entre-jambes.

" Tournes toi…hummm, putain le p'tit cul…tu t'es préparé le trou?
" Oui" …et je lui fait voir que j'ai apporté du gel.
" Ouais…tu t'en remets, t'as raison. J'vais défoncer ta p'tite chatte, mon lapin.

J'enduis mon trou devant lui… Le regard fixé sur mes fesses, il se pince un téton, sa respiration s'emballe. En rut, obnubilé par la saillie à venir… il enlève son teeshirt.
Sa musculature, sa masse imposante m'explose en pleine figure; pas un poil, pas de graisse, peu de bide… une énorme sculpture est là, devant moi, couverte de tatouages. Putain, le mec! Moi qui me branle quelquefois sur des photos de revues homo, celui là est encore mieux.

Une vraie figure de baroudeur ou de légionnaire. Mon sexe est tendu. Je le désire, tout mon corps le réclame. Il saisit toute mon envie, ma disponibilité envers lui. Se faire baiser par un militaire pareil, humm, le rêve.
Il joue de l'attrait de son corps splendide, déboucle son ceinturon et se libère de ses fringues. Son braquemart apparaît, raide, archi droit, colossal. Waouhhhh!!!!

Il m'avait dit qu'il était bien monté mais je ne m'étais pas imaginé le mandrin. Je comprend mieux pourquoi Damien, son copain, m'a envoyé chez ce mec et m'avait dit, ironique, que je ne serais pas déçu.

Il se régale de ma stupéfaction devant le morceau, saisit son manche à pleine main pour encore mieux m'éblouir. Il réalise deux trois mouvements de branlette pour finir de décalotter l'énorme gland et détendre l'engin, me montrer toute la vigueur de son manche. Je n'ose pas lui dire que j'en ai jamais eu une si longue et si grosse entre les fesses… Il l'a compris.

" Mets toi à genoux sur la petite table là et penche toi. Je vais te la mettre dans le cul
Son langage est cru, l'endroit surprenant, la position aussi. Je tente une approche pour lui sucer les tétons et la queue mais, d'un geste, je comprends que c'est Non, que c'est inutile d'insister.

" Elle est grosse!
" Les pédés adorent ça, en avoir une grosse. T'es venu pour te faire baiser ou pas? Penche toi!

Directif, autoritaire, sûr de lui, très mâle, il me bloque complètement le cerveau. Il va m'enculer, c'est pas le gars à changer d'avis…Je ne me vois pas résister, faire ma chochotte.
Dominé et sous son emprise, j'obéis, m'installe, je me penche, lui offre mon cul.

Vu la taille du gourdin, il me dirait 19 ou 20, ce serait sans doute ça, mais l'épaisseur est là en plus, et il le sait. Je me suis préparé la fleur, c'est mieux que rien. Sur le mur, en face de moi, un grand miroir me renvoie son image, comme une vidéo d'un film porno, ce qui ajoute encore à ma perturbation. Il déroule un préservatif sur sa queue en s'arrangeant pour que je le vois dans le miroir, puis s'approche.

Il passe un doigt pour évaluer l'état de mon trou, le plonge en entier, le remue dans mon anus. Instinctivement, parce que ça glisse bien, que j'ai envie d'une bite, je lève ma croupe pour profiter. Ce légionnaire endurci est direct; je suis chaud, je suis à lui.
Il écarte ses jambes pour s'ajuster, son gland se pose sur mon œillet… D'une poussée, ma rondelle, surprise, capitule, vaincue. Son solide braquemart me défonce, s'enfonce en moi. Un cri d'enculé, un long Ahhhhhhhhhhhhhhh s'échappe de mes poumons. Je tente de me cabrer, ses couilles sont arrivées contre mon cul.

" Tu vois, c'est rentré tout seul!

Une main fortement appuyée sur mes reins, sans hésiter, il m'a logé son manche de pioche.
Savoir qu'il m'a mis son splendide phallus dans le cul me transcende. Je suis ouvert, écartelé, livré à sa volonté. Il m'a niqué comme un cerf. J'ai tellement rêvé d'être baisé comme ça.
Je ne sens plus mon cul…ou plutôt je le sens trop bien, tiraillé, dilaté à l'extrême…
" C'est rentré tout seul"… c'est lui qui le dit; Je n'ai pas la force de lui répondre, vaincu par son braquemart enfoncé jusqu'à la garde. C'est moi qui l'ai appelé pour me faire sauter alors je n'ai pas envie de faire le petit joueur. C'est extraordinaire pour moi d'avoir un gabarit pareil dans mon cul. Je suis défoncé, mes jambes flageolent, je me sens tout bizarre.

Il ressort presque, sans doute par provocation. Mes esprits reviennent un peu et il m'encule dans la foulée. Cette deuxième pénétration me donne un plaisir sensationnel. J'ai l'impression qu'il a ouvert un boulevard tant il a glissé facilement et m'a fourré son gourdin exceptionnel. L'effet est extraordinaire tant on sent la longueur en soi qui frotte, qui te pénètre.
Il ne s'inquiète pas de mon état. Il me saisit fortement les hanches et démarre une sodomie énergique. Peu lui importe que je gémis fortement comme un jeune puceau, que les voisins pourraient entendre… Ils entendent sûrement et ça doit l'exciter. Il me nique, me baise, me lime le cul avec une volonté, un acharnement de dominateur, de mâle expérimenté.

" Penches toi! Accroches toi à la table! …me dit il, autoritaire, directif.

Ce n'est pas le moment de se déboîter ni de flancher. Je ne dois pas être le premier à me faire baiser sur cette table. A bonne hauteur, lourde, solide et dotée de rebords, elle est parfaite pour ce genre d'exercice. L'endroit est peu confortable, j'aurais préféré aller dans son lit ou ailleurs. Je suis comme un pédé qui est venu se faire emmancher là, venu le soulager de ses pulsions, de ses couilles trop pleines.
C'est humiliant mais c'est trop bon!

Il ressort, m'encule sur toute la longueur, use et abuse de son manche. Chaque pénétration, chaque va-et-vient m'arrache des cris d'enculé possédé qui doivent le ravir. Ses couilles pendantes ballotent contre mon cul et me prouvent qu'il m'encule à fond. Ma bite crache je ne sais quoi à chaque coup de reins, je ne maîtrise plus rien.
Il me serre dans ses bras puissants et, enchâssé en moi, me harponne, me coulisse avec délice, varie la cadence, prend un plaisir certain à me niquer, à m'entendre couiner.
Pendant de longues minutes, je subis sa saillie. Nous ne faisons qu'un, unis dans cette copulation débridée qui me ravi tout autant que lui. Crier et couiner m'excite moi-même et cette liberté ajoutée à sa hargne, je bande d'être possédé ainsi, par ce mâle si puissant, si viril.

Dans le miroir, il constate mes expressions de pédé soumis et comblé, voit sa réussite. Il ne sort aucune parole; uniquement concentré à me baiser, à prendre son plaisir, à me dominer.
Je sais sa pine majestueuse qui me ravage le conduit, qui va gicler en moi dans la capote.

L'estocade se profile; il me déglingue plus vite, me pistonne comme un sauvage… ses jambes vibrent… des ondes me parcourent, je crie, je jouis, un immense soulagement part de mes couilles et des spasmes secouent mon sexe, qui éjacule et éclabousse la table. Se faire baiser par ce légionnaire, par un mâle pareil, putain quel régal.
Il se bloque, rajoute deux derniers coups de bite, se cramponne sur mes hanches, se couche sur moi, le temps que ses couilles envoient et vidangent, le temps que sa semence me remplisse.

Un bécot dans le cou, qui doit lui échapper, il se redresse et se déboîte de mon cul. Sa table de salon est maculée de ma jouissance. Il jubile que j'ai pris mon pied pendant qu'il me besognait de sa puissance virile.
Je tâte mon cul, distendu, complètement déglingué, et descend de la table basse, lessivé.

La capote remplie de sperme pend de sa queue restée ferme et grosse et il se déplace comme ça dans la pièce, provocateur, fier de son attribut imposant, récupère du papier essuie-tout. Je regarde sa queue, magnifique, absolument magnifique. Elle était trop bonne dans mon cul. Il me demanderait de lui la sucer, je le ferais. Lui aussi est magnifique comme mâle, comme étalon. Je suis ébahi d'avoir encaissé un tel calibre dans mon trou…
" Tes fringues sont là." me dit-il en enlevant sa capote.

Il a tiré son coup, je l'ai eue dans le cul, la séance est close pour lui, pas question de s'attarder.
J'aurais bien voulu qu'il m'encule sans capote, qu'il me largue toute sa semence dans le cul, j'aurais dit oui.
J'ai le cul pété, complètement explosé mais je suis content, ça valait vraiment le coup de venir chez lui, je ne suis pas déçu.

Il est déjà habillé avant moi. Vu son regard de prédateur, je sais que je n'ai été pour lui qu'un vide couilles de passage. J'imagine les mecs qu'il doit niquer… ceux qui crient d'être trop serrés et les autres, ceux qui sont comme des truies en chaleur…
" La prochaine fois, avec mon pote Damien, on te baisera tous les deux.
" J'ai jamais fait à plusieurs.
" Ce sera l'occasion. J'en amènerai un autre qu'aime bien se faire sucer le nœud.
" Ca fera peut être beaucoup?
" Tu rigoles.

Le voilà déjà tout excité pour une prochaine "réunion" puis il m'indique la porte.

Je pars, claqué, bien baisé. C'est pas un sentimental, je fais avec. Je suis content; s'il me propose une seconde rencontre, c'est qu'il a aimé. Les deux ensemble, c'est peut être beaucoup pour moi. Et il parle d'en amener un autre…C'est excitant, tout ça.

Je ne suis pas habitué à aller chez des mecs. J'ai eu de la chance de tomber sur ces deux militaires qui m'ont invité uniquement pour le sexe, sans être tombé dans un traquenard. Bon, avec quelques câlins, cela aurait été mieux mais il m'avait prévenu.

J'ai l'impression d'avoir le cul encore tout ouvert. On ne m'a encore jamais baisé comme ça, avec autant de force et avec un sexe aussi imposant. Dans la rue, un peu plus loin, je m'assois sur un banc pour reprendre mes esprits; je suis claqué mais tellement heureux. Je repense à sa superbe queue; je l'aurais bien sucé mais, vu la taille, c'était trop pour moi. Il a bien fait de seulement m'enculer.
Entre lui et son copain, je ne sais lequel m'a procuré le plus de plaisir. Avec Damien, j'étais lessivé le matin… se faire niquer toute une nuit, c'est bon aussi.
Baiser à plusieurs, il a raison, j'ai hâte. Samedi prochain, j'espère… J'ai chaud, j'ai soif…

Caramel35
Une petite toute la nuit ou une grosse pendant une heure, n'hésitez pas à me donner votre choix.
Merci pour tous vos mails et commentaires que j'ai reçu pour le début de cette histoire.