Le Mondial 2022 : 8ème de finale 3
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 145 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Nico T ont reçu un total de 288 006 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 734 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le Mondial 2022 : 8ème de finale 3
Il était au dessus de moi, me tenant par les mains, sourire aux lèvres, yeux de coquin. Il me fixait, vous savez comme un mec qui a envie d'un autre mais qui semble hésiter.
Il retombe sur moi, collant son sexe bandé au mien et vient m'embrasser, tendrement, profondément. Je sens son bassin onduler contre le mien, son corps m'écrase mais qu'est ce que c'est bon.
Je prends son visage entre mes mains, l'approche de moi et lui fais des bisous sur le nez. Cela le fait rire, mais il ne bouge pas et attend les bisous. On se fixe, les yeux parlent entre eux.
-si mon Prince adoré veut s'occuper de moi.
Ses yeux sourient.
-Ali, je veux te sentir en moi.
Ses yeux sont de plus en plus tendres, je crois voir des paillettes d'or.
-Ali je suis à toi, prends moi comme tu aimes.
Il se penche à mon oreille.
-je veux bouffer ton petit cul de blond, sentir encore ton odeur que j'adore. Seuls les blonds ont cette odeur, tourne toi Fabrice le blond.
J'arrive à me retourner sous lui, pour sentir son gros machin m'écraser les fesses, il ondule du bassin et sa queue se coince dans ma raie des fesses.
-je crois qu'elle va être bien, tu vois elle a déjà trouvé le chemin.
Ses lèvres parcourent ma nuque, me donnant des frissons et sa bouche descend le long de ma colonne vertébrale. Sa moustache pique tout le long, de longs frissons me font trembler. Sa bouche arrive en haut de la raie et sa langue entre déjà en action, passant dans la raie, remontant mes fesses pour que je sois à quatre pattes, jambes bien écartées. Je suis offert à sa Majesté.
Je ne sais pas encore ce que va donner sa grosse queue dans mon petit cul mais sa langue donne déjà du plaisir, la sentir inonder l'anus, l'ouvrir telle une fleur en pleine floraison me faisant soupirer, gémir de plus en plus fort quand le bout de sa langue me pénètre ses deux grosses mains écartent bien mes fesses mais c'est sa langue la plus active. Ah il aime ça bouffer un cul le Prince Ali.
Alors je me suis offert du mieux que je pouvais rien que pour sa langue, ses moustaches, sa barbe piquante sur mes fesses.
Il m'a fessé en grognant, mais de petites tapes, pas fortes, presque des caresses appuyées, comme s'il avait peur de faire mal.
Puis ses doigts ont remplacé sa langue. On voit que c'est un pays qui sait faire les forages… Tout en délicatesse et profondeur, son doigt d'abord qui finit d'ouvrir l'anus, s'enfonce délicatement dans mon anus qui s'offre, la phalange qui caresse la paroi chaude et humide m'arrachant de petits cris. Je l'entends rire.
Deux doigts ont élargi avec tendresse le trou qui ne demandait que ça, me touchant, caressant encore plus profond. Je sentais toujours ses lèvres sur mes fesses, ses moustaches, sa barbe qu'il frottait dessus. Il devait regarder de près ses doigts entrer et sortir de mon antre chaude, il devait se lécher les doigts pour rentrer de nouveau. J'étais bien.
Sa langue a repris possession du petit trou, pendant que ses mains me caressaient les fesses, les flancs, venant me prendre aux hanches, me caressant de ses mains douces et chaudes. Je frissonnais encore de partout. La langue est partie, le trou restait ouvert, je le sentais prêt au sacrifice.
Ses mains se sont affermies sur mes hanches, j'ai senti son gros gland se coller devant l'ouverture.
-t'es prêt beau blond de français ? demande t-il dans un souffle.
J'ai tendu mes fesses en signe d'accord.
Le gland s'est mis à forcer lentement le sphincter, très lentement je le sentais m'ouvrir, m'écarteler déjà et le sphincter l'envelopper. Il glissait lentement en moi, m'ouvrant comme jamais et quand le gland s'est faufilé, j'ai gueulé très fort, pas de mal, mais cette sensation qu'on a quand on est pris, emmanché, baisé par un mec qui a envie de donner du plaisir.
Quand j'ai crié, il s'est arrêté, me maintenant les hanches, j'avais juste, si je puis dire, que son gros gland en moi et je savais ce qui restait.
Ses mains m'ont caressé les flancs, les fesses, ses longues caresses douces et chaudes pour me bloquer à nouveau les hanches.
Et le gros zob qatari a poursuivi son chemin lentement, se faisant apprécier à chaque millimètre qui m'ouvrait encore, sentir le gros gland racler la paroi que je serrais dessus et glisser en moi tel un serpent vivant qui cherche son nid. J'ai râlé tout le temps de l'introduction et soupirer quand j'ai senti ses poils durs pubiens me caresser mes petites fesses. Il a donné un léger coup de reins comme pour me montrer qu'il avait tout rentré. Je l'ai senti se pencher sur moi, ses mains remontant sur ma poitrine, pour me prendre et me relever contre lui et sentir son gros sexe bouger en moi, je serrais mon boyau dessus en me redressant pour coller ma tête dans le creux de son épaule. Ses lèvres sont venues me faire des bisous dans le cou, des petits bisous comme des ailes de papillons, ses mains caressaient mon torse, passant sur mon sexe dressé, le branlant rapidement pour revenir à ses caresses sur tout mon corps. Ses lèvres n'arrêtaient pas de me faire des bisous.
-quand je t'ai vu la première fois, j'ai eu envie de toi beau blond, te baiser très dur comme un esclave, une salope, mais tu vois beau blond, t'es pas comme les autres. J'ai envie de te baiser, ça c'est sûr, mais surtout de te faire l'amour comme vous dites les français et nous les arabes on a appris ça de vous qu'on peut baiser durement en faisant l'amour quand même.
J'ai tourné la tête pour lui offrir mes lèvres. Sa langue m'a pénétré, ses bras m'ont serré fort contre lui et j'ai senti sa queue qui bougeait en moi se retirant un peu pour revenir d'un coup sec et les vas et viens se faisaient de plus en plus fort mais sa queue coulissait bien dans mon conduit.
Il a lâché mes lèvres, m'a remis penché en avant, ses mains sont revenues sur mes hanches et il m'a baisé comme une salope. J'ai été ramoné, je me suis offert, ça claquait sur mes fesses, je l'entendais marmonner en arabe et ses coups de reins n'étaient pas simulés mais il n'a pas duré longtemps. Sûrement l'effet d'un cul de blond, ses ongles se sont enfoncés dans mes hanches et telle une lance à incendie j'ai été inondé de l'intérieur, les giclées chaudes se suivaient rapidement et lui gueulait des "non, non".
Je n'ai pas compris de suite pourquoi il disait "non".
Quand ses giclées se sont arrêtées, il bandait toujours, emmanché bien profond.
-tourne toi, sans sortir ma queue de ton petit cul.
J'ai obéi pour me retrouver face à lui, les jambes écartées qu'il a coincé sur ses épaules en se penchant sur moi.
-je voulais pas jouir si vite maudit blond dit Ali en souriant mais ton cul est un piège, ma queue y était si bien… alors on remet ça de suite!
Je le fixe.
-alors mon Prince adoré fait coup double, deux buts d'un seul coup! tu vas brûler toutes tes cartouches.
Il part d'un grand éclat de rires et je sens son bassin onduler, sa queue se durcit en moi, bouge, avance, recule lentement comme si maintenant elle visitait. J'ai de nouveau été baisé de toutes les vitesses possibles, face à lui, de dos, sur le côté, il ne débandait pas et ne jutait pas, que des caresses, des bisous et des coups de queue. Moi j'avais envie de jouir, quand il arrêtait de me baiser je jouais avec mon conduit sur sa queue, le faisant sourire.
Et il a joui une seconde fois en moi beaucoup plus longuement, les giclées étaient plus espacées, toujours aussi chaudes et abondantes mais c'est comme si il prenait son temps et me fixait quand il se vidait en moi. Il poussait de petits cris et je lui répondais pour qu'enfin il vienne s'emparer de ma bouche et me donner sa langue. Sentir sa belle queue sortir lentement de mon trou, attendre que le sphincter se referme avant de partir complètement, me serrer dans ses bras à m'étouffer tout en m'embrassant pour venir me caresser le visage et me faire des bisous sur le nez en riant.
-je suis bien avec toi Fabrice, tu es un amant merveilleux…
Je l'ai embrassé pour le faire taire.
-dis moi quelque chose s'il te plait dit il en me fixant.
-que veux tu que je te dise mon Prince, tu es un rêve pour moi, jamais je n'aurais imaginé me trouver nu dans un lit avec un vrai beau prince, un vrai mec, un homme de toute beauté qui adore les mecs. Tu te rends compte que je viens de réaliser un rêve que je n'avais pas fait…
Il rigole en me caressant la joue.
-vous êtes des drôles de mecs les français! mais c'est un plaisir de vous avoir dans un lit.
-tu parles très bien le français dis je.
-tu sais j'ai vécu en France pour mes études, incognito où j'ai tout appris avec des étudiants plus beaux les uns que les autres. Ils ont baisé avec un prince sans le savoir et j'ai toujours apprécié les français.
-personne ne peut te résister mon Prince adoré.
-ici oui dit Ali, ici on m'obéit à tout ce que je veux, on ne discute pas et surtout on ne voit rien et on n'entend rien mais quand j'étais en France… eh bien je me suis fait jeté par des mecs qui disaient que je savais pas baiser.
-alors t'as fait des progrès ? dis je en riant.
-plein de cours intensifs dit il en riant aussi, mais, et c'est pas pour te flatter, toi que je viens de baiser, mais tu es le mec le plus gentil que je connais. On sent que tu es franc, que tu dis ce que tu penses et que tu le fais. Tu ne pourrais pas vivre dans mon pays où il y a toujours quelqu'un pour donner un ordre et a qui il faut obéir.
-ben alors je serais Prince aussi!
On roule enlacé dans le grand lit. Il m'embrasse encore, mais j'ai mal à la queue tellement elle a envie de jouir. J'arrive à me retrouver sur lui.
-le Prince par intérim demande au Prince titulaire s'il peut s'occuper de son cul, voir de plus près à quoi ressemble un cul de Prince… j'en ai jamais vu moi! dis je de mon air le plus innocent possible.
Il éclate de rire en me serrant contre lui.
-et le Prince par intérim voudra sûrement niquer le Prince titulaire… pour voir ?
Je rigole.
-ça se voit tant que ça que j'en ai envie ?
-dit maudit de blond de français, on te refuse souvent quelque chose ?
-je ne sais faire que le bien alors pourquoi ne pas en profiter.
Il me serre encore contre lui, m'embrasse partout en rigolant.
-eh bien fais ce que tu veux de moi… je t'appartiens!
Là il avait un air sérieux, sans sourire, mais ses yeux disaient qu'il en avait envie.
J'avoue que j'ai été un peu embêté au début, ne sachant pas trop comment j'allais attaquer un cul princier et puis j'ai pensé, un cul c'est un cul, le Prince c'est un mec! et j'ai foncé…
Lui relever ses jambes, les plier sur son torse pour qu'apparaisse devant mes yeux le cul princier. Un beau cul poilu. Les fesses séparées par une raie touffue. Je l'ai trouvé beau! j'ai fait des bisous sur les fesses, j'ai vu ses mains arriver et ouvrir ses fesses, les poils s'éclaircissaient et j'ai vu l'anus princier, un bel anus plissé, marron clair, entouré de poils crêpus. J'ai passé mon nez dans la raie, touchant l'anus chaud et doux et ma langue est entrée en action. J'avais à peine touché l'anus que le Prince Ali gémissait.
Mais c'est un grand cachotier le Prince, il aime ça se faire tripoter l'anus, se faire bouffer le cul et son anus, j'ai trouvé qu'il s'ouvrait assez facilement et restait ouvert. Je n'en revenais pas de voir ce grand "O" majuscule me regarder, de voir l'intérieur rouge vif, j'ai inondé de salive en l'écartant avec la langue et je lui ai mis deux doigts d'un seul coup, fallait l'entendre gueuler le Prince. Ah il aimait ça!
Sa paroi était douce et chaude et toutes mes caresses recevaient en retour un gémissement.
Je me suis caressé la queue pendant que mes doigts le fouillaient, ma bite bien raide, bien décalottée toute seule, mouillait comme jamais, le miel coulait en permanence.
Quand je me suis redressé, je l'ai regardé, ses yeux disaient "baise moi, encule moi, nique moi".
J'ai posé mon gland sur l'entrée en le fixant et, tout en me penchant, ma queue s'enfonçait en lui, ouvrant encore plus son sphincter souple qui m'enveloppait bien et lui râlait, en fermant les yeux, se mordant la lèvre.
J'ai trouvé que ma queue s'enfonçait bien alors avant que le gland soit tout passé, j'ai donné un coup de reins pour m'enfoncer en lui d'une seule traite, l'entendre gueuler en ouvrant les yeux, pour finir par sourire.
Mes couilles ont frotté son cul poilu et, sans attendre je l'ai baisé, baisé comme une vraie salope qui aime ça, ça se voyait qu'il aimait ça, il s'offrait et je donnais de grands coups de reins et lui serrait bien sa paroi sur ma queue.
J'allais de plus en plus vite, et je sentais le plaisir arriver, ça grondait dans mes couilles et c'est arriver d'un seul coup, dans un rugissement je me suis vidé en de longues rasades dans ce cul princier et il râlait toujours, tout le temps que je gicle en lui.
Quand on a repris nos souffles, on s'est regardé. J'étais toujours bien emmanché en lui, il ne faisait rien pour s'en défaire. Il souriait, semblait heureux.
Je ne bougeais pas, j'ai pris une jambe pour la coller contre mon torse, caresser sa cuisse, voir sa belle queue bien raide qui avait juté et s'était répandue sur son ventre, plein ses poils. Ma main caressait son mollet pour arriver au pied, posé près de ma tête, je n'ai qu'à tourner la tête, toujours en le fixant pour lui faire un bisou dessus. Ses yeux sont étonnés, mais il ne dit rien alors je fais des bisous partout sur le pied, dessus, dessous, les orteils, les uns après les autres, il a le sourire et quand je prend le gros orteil entre mes lèvres pour le sucer ses yeux s'agrandissent. Il retient son souffle me regardant faire. Je le fixe en suçant le gros orteil, comme si je suçais son gland puis je passe ma langue entre chaque orteil et je reviens les sucer les uns après les autres. Ses yeux ne quittent pas mes lèvres.
Je sens ma queue qui gonfle en lui, il doit le sentir également, car ses yeux sourient d'un air coquin. Je me remets en position et fais de longs vas et viens dans son cul, lentement, lui faisant apprécier la bonne queue française qui le baise, qui baise un Prince arabe et il apprécie!
Naturellement cela dure plus longtemps, et je dirais pour notre plaisir à tous les deux et quand mon plaisir revient, c'est encore avec plus de force, de tendresse, d'amour pour ce beau mec et je retombe dans ses bras qui m'enveloppent en me serrant fort. Ma queue sort de son trou.
On reste un long moment serrés l'un contre l'autre, à se regarder, se parler avec les yeux, des yeux émerveillés de part et d'autre.
Je suis heureux!
Il se redresse, me regarde.
-on se prend une douche et on dort. Toi tu es en vacances mais moi j'ai du boulot demain matin
-votre altesse désire quelque chose de particulier ?
-oui, ne plus te quitter petit blond de français!
Après une douche rapide mais coquine quand même, on s'est couché. J'ai dormi dans les bras d'un Prince, d'un mec, d'un homme qui m'appréciait et qui me l'avait dit et prouvé.
Il retombe sur moi, collant son sexe bandé au mien et vient m'embrasser, tendrement, profondément. Je sens son bassin onduler contre le mien, son corps m'écrase mais qu'est ce que c'est bon.
Je prends son visage entre mes mains, l'approche de moi et lui fais des bisous sur le nez. Cela le fait rire, mais il ne bouge pas et attend les bisous. On se fixe, les yeux parlent entre eux.
-si mon Prince adoré veut s'occuper de moi.
Ses yeux sourient.
-Ali, je veux te sentir en moi.
Ses yeux sont de plus en plus tendres, je crois voir des paillettes d'or.
-Ali je suis à toi, prends moi comme tu aimes.
Il se penche à mon oreille.
-je veux bouffer ton petit cul de blond, sentir encore ton odeur que j'adore. Seuls les blonds ont cette odeur, tourne toi Fabrice le blond.
J'arrive à me retourner sous lui, pour sentir son gros machin m'écraser les fesses, il ondule du bassin et sa queue se coince dans ma raie des fesses.
-je crois qu'elle va être bien, tu vois elle a déjà trouvé le chemin.
Ses lèvres parcourent ma nuque, me donnant des frissons et sa bouche descend le long de ma colonne vertébrale. Sa moustache pique tout le long, de longs frissons me font trembler. Sa bouche arrive en haut de la raie et sa langue entre déjà en action, passant dans la raie, remontant mes fesses pour que je sois à quatre pattes, jambes bien écartées. Je suis offert à sa Majesté.
Je ne sais pas encore ce que va donner sa grosse queue dans mon petit cul mais sa langue donne déjà du plaisir, la sentir inonder l'anus, l'ouvrir telle une fleur en pleine floraison me faisant soupirer, gémir de plus en plus fort quand le bout de sa langue me pénètre ses deux grosses mains écartent bien mes fesses mais c'est sa langue la plus active. Ah il aime ça bouffer un cul le Prince Ali.
Alors je me suis offert du mieux que je pouvais rien que pour sa langue, ses moustaches, sa barbe piquante sur mes fesses.
Il m'a fessé en grognant, mais de petites tapes, pas fortes, presque des caresses appuyées, comme s'il avait peur de faire mal.
Puis ses doigts ont remplacé sa langue. On voit que c'est un pays qui sait faire les forages… Tout en délicatesse et profondeur, son doigt d'abord qui finit d'ouvrir l'anus, s'enfonce délicatement dans mon anus qui s'offre, la phalange qui caresse la paroi chaude et humide m'arrachant de petits cris. Je l'entends rire.
Deux doigts ont élargi avec tendresse le trou qui ne demandait que ça, me touchant, caressant encore plus profond. Je sentais toujours ses lèvres sur mes fesses, ses moustaches, sa barbe qu'il frottait dessus. Il devait regarder de près ses doigts entrer et sortir de mon antre chaude, il devait se lécher les doigts pour rentrer de nouveau. J'étais bien.
Sa langue a repris possession du petit trou, pendant que ses mains me caressaient les fesses, les flancs, venant me prendre aux hanches, me caressant de ses mains douces et chaudes. Je frissonnais encore de partout. La langue est partie, le trou restait ouvert, je le sentais prêt au sacrifice.
Ses mains se sont affermies sur mes hanches, j'ai senti son gros gland se coller devant l'ouverture.
-t'es prêt beau blond de français ? demande t-il dans un souffle.
J'ai tendu mes fesses en signe d'accord.
Le gland s'est mis à forcer lentement le sphincter, très lentement je le sentais m'ouvrir, m'écarteler déjà et le sphincter l'envelopper. Il glissait lentement en moi, m'ouvrant comme jamais et quand le gland s'est faufilé, j'ai gueulé très fort, pas de mal, mais cette sensation qu'on a quand on est pris, emmanché, baisé par un mec qui a envie de donner du plaisir.
Quand j'ai crié, il s'est arrêté, me maintenant les hanches, j'avais juste, si je puis dire, que son gros gland en moi et je savais ce qui restait.
Ses mains m'ont caressé les flancs, les fesses, ses longues caresses douces et chaudes pour me bloquer à nouveau les hanches.
Et le gros zob qatari a poursuivi son chemin lentement, se faisant apprécier à chaque millimètre qui m'ouvrait encore, sentir le gros gland racler la paroi que je serrais dessus et glisser en moi tel un serpent vivant qui cherche son nid. J'ai râlé tout le temps de l'introduction et soupirer quand j'ai senti ses poils durs pubiens me caresser mes petites fesses. Il a donné un léger coup de reins comme pour me montrer qu'il avait tout rentré. Je l'ai senti se pencher sur moi, ses mains remontant sur ma poitrine, pour me prendre et me relever contre lui et sentir son gros sexe bouger en moi, je serrais mon boyau dessus en me redressant pour coller ma tête dans le creux de son épaule. Ses lèvres sont venues me faire des bisous dans le cou, des petits bisous comme des ailes de papillons, ses mains caressaient mon torse, passant sur mon sexe dressé, le branlant rapidement pour revenir à ses caresses sur tout mon corps. Ses lèvres n'arrêtaient pas de me faire des bisous.
-quand je t'ai vu la première fois, j'ai eu envie de toi beau blond, te baiser très dur comme un esclave, une salope, mais tu vois beau blond, t'es pas comme les autres. J'ai envie de te baiser, ça c'est sûr, mais surtout de te faire l'amour comme vous dites les français et nous les arabes on a appris ça de vous qu'on peut baiser durement en faisant l'amour quand même.
J'ai tourné la tête pour lui offrir mes lèvres. Sa langue m'a pénétré, ses bras m'ont serré fort contre lui et j'ai senti sa queue qui bougeait en moi se retirant un peu pour revenir d'un coup sec et les vas et viens se faisaient de plus en plus fort mais sa queue coulissait bien dans mon conduit.
Il a lâché mes lèvres, m'a remis penché en avant, ses mains sont revenues sur mes hanches et il m'a baisé comme une salope. J'ai été ramoné, je me suis offert, ça claquait sur mes fesses, je l'entendais marmonner en arabe et ses coups de reins n'étaient pas simulés mais il n'a pas duré longtemps. Sûrement l'effet d'un cul de blond, ses ongles se sont enfoncés dans mes hanches et telle une lance à incendie j'ai été inondé de l'intérieur, les giclées chaudes se suivaient rapidement et lui gueulait des "non, non".
Je n'ai pas compris de suite pourquoi il disait "non".
Quand ses giclées se sont arrêtées, il bandait toujours, emmanché bien profond.
-tourne toi, sans sortir ma queue de ton petit cul.
J'ai obéi pour me retrouver face à lui, les jambes écartées qu'il a coincé sur ses épaules en se penchant sur moi.
-je voulais pas jouir si vite maudit blond dit Ali en souriant mais ton cul est un piège, ma queue y était si bien… alors on remet ça de suite!
Je le fixe.
-alors mon Prince adoré fait coup double, deux buts d'un seul coup! tu vas brûler toutes tes cartouches.
Il part d'un grand éclat de rires et je sens son bassin onduler, sa queue se durcit en moi, bouge, avance, recule lentement comme si maintenant elle visitait. J'ai de nouveau été baisé de toutes les vitesses possibles, face à lui, de dos, sur le côté, il ne débandait pas et ne jutait pas, que des caresses, des bisous et des coups de queue. Moi j'avais envie de jouir, quand il arrêtait de me baiser je jouais avec mon conduit sur sa queue, le faisant sourire.
Et il a joui une seconde fois en moi beaucoup plus longuement, les giclées étaient plus espacées, toujours aussi chaudes et abondantes mais c'est comme si il prenait son temps et me fixait quand il se vidait en moi. Il poussait de petits cris et je lui répondais pour qu'enfin il vienne s'emparer de ma bouche et me donner sa langue. Sentir sa belle queue sortir lentement de mon trou, attendre que le sphincter se referme avant de partir complètement, me serrer dans ses bras à m'étouffer tout en m'embrassant pour venir me caresser le visage et me faire des bisous sur le nez en riant.
-je suis bien avec toi Fabrice, tu es un amant merveilleux…
Je l'ai embrassé pour le faire taire.
-dis moi quelque chose s'il te plait dit il en me fixant.
-que veux tu que je te dise mon Prince, tu es un rêve pour moi, jamais je n'aurais imaginé me trouver nu dans un lit avec un vrai beau prince, un vrai mec, un homme de toute beauté qui adore les mecs. Tu te rends compte que je viens de réaliser un rêve que je n'avais pas fait…
Il rigole en me caressant la joue.
-vous êtes des drôles de mecs les français! mais c'est un plaisir de vous avoir dans un lit.
-tu parles très bien le français dis je.
-tu sais j'ai vécu en France pour mes études, incognito où j'ai tout appris avec des étudiants plus beaux les uns que les autres. Ils ont baisé avec un prince sans le savoir et j'ai toujours apprécié les français.
-personne ne peut te résister mon Prince adoré.
-ici oui dit Ali, ici on m'obéit à tout ce que je veux, on ne discute pas et surtout on ne voit rien et on n'entend rien mais quand j'étais en France… eh bien je me suis fait jeté par des mecs qui disaient que je savais pas baiser.
-alors t'as fait des progrès ? dis je en riant.
-plein de cours intensifs dit il en riant aussi, mais, et c'est pas pour te flatter, toi que je viens de baiser, mais tu es le mec le plus gentil que je connais. On sent que tu es franc, que tu dis ce que tu penses et que tu le fais. Tu ne pourrais pas vivre dans mon pays où il y a toujours quelqu'un pour donner un ordre et a qui il faut obéir.
-ben alors je serais Prince aussi!
On roule enlacé dans le grand lit. Il m'embrasse encore, mais j'ai mal à la queue tellement elle a envie de jouir. J'arrive à me retrouver sur lui.
-le Prince par intérim demande au Prince titulaire s'il peut s'occuper de son cul, voir de plus près à quoi ressemble un cul de Prince… j'en ai jamais vu moi! dis je de mon air le plus innocent possible.
Il éclate de rire en me serrant contre lui.
-et le Prince par intérim voudra sûrement niquer le Prince titulaire… pour voir ?
Je rigole.
-ça se voit tant que ça que j'en ai envie ?
-dit maudit de blond de français, on te refuse souvent quelque chose ?
-je ne sais faire que le bien alors pourquoi ne pas en profiter.
Il me serre encore contre lui, m'embrasse partout en rigolant.
-eh bien fais ce que tu veux de moi… je t'appartiens!
Là il avait un air sérieux, sans sourire, mais ses yeux disaient qu'il en avait envie.
J'avoue que j'ai été un peu embêté au début, ne sachant pas trop comment j'allais attaquer un cul princier et puis j'ai pensé, un cul c'est un cul, le Prince c'est un mec! et j'ai foncé…
Lui relever ses jambes, les plier sur son torse pour qu'apparaisse devant mes yeux le cul princier. Un beau cul poilu. Les fesses séparées par une raie touffue. Je l'ai trouvé beau! j'ai fait des bisous sur les fesses, j'ai vu ses mains arriver et ouvrir ses fesses, les poils s'éclaircissaient et j'ai vu l'anus princier, un bel anus plissé, marron clair, entouré de poils crêpus. J'ai passé mon nez dans la raie, touchant l'anus chaud et doux et ma langue est entrée en action. J'avais à peine touché l'anus que le Prince Ali gémissait.
Mais c'est un grand cachotier le Prince, il aime ça se faire tripoter l'anus, se faire bouffer le cul et son anus, j'ai trouvé qu'il s'ouvrait assez facilement et restait ouvert. Je n'en revenais pas de voir ce grand "O" majuscule me regarder, de voir l'intérieur rouge vif, j'ai inondé de salive en l'écartant avec la langue et je lui ai mis deux doigts d'un seul coup, fallait l'entendre gueuler le Prince. Ah il aimait ça!
Sa paroi était douce et chaude et toutes mes caresses recevaient en retour un gémissement.
Je me suis caressé la queue pendant que mes doigts le fouillaient, ma bite bien raide, bien décalottée toute seule, mouillait comme jamais, le miel coulait en permanence.
Quand je me suis redressé, je l'ai regardé, ses yeux disaient "baise moi, encule moi, nique moi".
J'ai posé mon gland sur l'entrée en le fixant et, tout en me penchant, ma queue s'enfonçait en lui, ouvrant encore plus son sphincter souple qui m'enveloppait bien et lui râlait, en fermant les yeux, se mordant la lèvre.
J'ai trouvé que ma queue s'enfonçait bien alors avant que le gland soit tout passé, j'ai donné un coup de reins pour m'enfoncer en lui d'une seule traite, l'entendre gueuler en ouvrant les yeux, pour finir par sourire.
Mes couilles ont frotté son cul poilu et, sans attendre je l'ai baisé, baisé comme une vraie salope qui aime ça, ça se voyait qu'il aimait ça, il s'offrait et je donnais de grands coups de reins et lui serrait bien sa paroi sur ma queue.
J'allais de plus en plus vite, et je sentais le plaisir arriver, ça grondait dans mes couilles et c'est arriver d'un seul coup, dans un rugissement je me suis vidé en de longues rasades dans ce cul princier et il râlait toujours, tout le temps que je gicle en lui.
Quand on a repris nos souffles, on s'est regardé. J'étais toujours bien emmanché en lui, il ne faisait rien pour s'en défaire. Il souriait, semblait heureux.
Je ne bougeais pas, j'ai pris une jambe pour la coller contre mon torse, caresser sa cuisse, voir sa belle queue bien raide qui avait juté et s'était répandue sur son ventre, plein ses poils. Ma main caressait son mollet pour arriver au pied, posé près de ma tête, je n'ai qu'à tourner la tête, toujours en le fixant pour lui faire un bisou dessus. Ses yeux sont étonnés, mais il ne dit rien alors je fais des bisous partout sur le pied, dessus, dessous, les orteils, les uns après les autres, il a le sourire et quand je prend le gros orteil entre mes lèvres pour le sucer ses yeux s'agrandissent. Il retient son souffle me regardant faire. Je le fixe en suçant le gros orteil, comme si je suçais son gland puis je passe ma langue entre chaque orteil et je reviens les sucer les uns après les autres. Ses yeux ne quittent pas mes lèvres.
Je sens ma queue qui gonfle en lui, il doit le sentir également, car ses yeux sourient d'un air coquin. Je me remets en position et fais de longs vas et viens dans son cul, lentement, lui faisant apprécier la bonne queue française qui le baise, qui baise un Prince arabe et il apprécie!
Naturellement cela dure plus longtemps, et je dirais pour notre plaisir à tous les deux et quand mon plaisir revient, c'est encore avec plus de force, de tendresse, d'amour pour ce beau mec et je retombe dans ses bras qui m'enveloppent en me serrant fort. Ma queue sort de son trou.
On reste un long moment serrés l'un contre l'autre, à se regarder, se parler avec les yeux, des yeux émerveillés de part et d'autre.
Je suis heureux!
Il se redresse, me regarde.
-on se prend une douche et on dort. Toi tu es en vacances mais moi j'ai du boulot demain matin
-votre altesse désire quelque chose de particulier ?
-oui, ne plus te quitter petit blond de français!
Après une douche rapide mais coquine quand même, on s'est couché. J'ai dormi dans les bras d'un Prince, d'un mec, d'un homme qui m'appréciait et qui me l'avait dit et prouvé.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Nico T
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...