Le Mondial 2022 : 8ème de finale 5
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 145 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Nico T ont reçu un total de 288 001 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 766 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le Mondial 2022 : 8ème de finale 5
J'ai été réveillé par des bisous de Jean Alexandre qui partait à son boulot.
-j'ai une réunion de bonne heure Fabrice, si tu veux déjeuner avec moi tu me rejoins à l'Ambassade, je file! sois sage beau blond!
Je ne l'avais pas entendu se préparer et j'ai trainé tout seul dans son appartement. Il était bien logé mon pote, pas loin de son boulot et du centre ville.
J'ai pris mon temps et j'ai paressé la matinée pour aller le rejoindre à midi.
En fin de matinée j'avais un message de mon beau Prince Ali.
-comment va mon beau blond de français ? je t'attends pour le cocktail à 16h30 tu viens avec Jean Alexandre et ce soir je t'enlève.
On s'est envoyé quelques messages comme des amoureux. J'étais content qu'il m'écrive. Je voyais ses lèvres prononcer les mots qu'il écrivait, son sourire. Je n'avais qu'une envie, l'avoir dans mes bras et me serrer contre lui.
Il me fallait patienter.
Lorsque je suis arrivé à l'ambassade, la réunion de Jean Alexandre n'était pas terminée, j'ai attendu et nous sommes allés déjeuner.
Je devais revenir le voir pour 16 heures, et partir au fameux cocktail. J'ai décidé de retourner pour une heure au centre commercial, à la salle de jeux pour retrouver et parler avec les deux jeunes qataris.
Mais j'ai eu beau chercher, tourner partout ils n'étaient pas là. J'étais un peu déçu, compte tenu que c'était eux qui avaient l'air d'être le plus demandeur.
Bon c'était pas les qataris qui manquaient dans le centre mais j'ai fait mon timide. Je me suis baladé et je suis rentré à l'ambassade.
Il y avait quand même pas mal de touristes qui trainaient également dans les rues en attendant les matches.
L'heure de partir est arrivée. On devait se rendre dans un building en forme d'ogive, je ne sais plus combien d'étages il y a, en tout cas on était en haut avec une vue magnifique à 360° sur toute la ville, c'était magnifique et cela me laissait rêveur.
Lorsque nous sommes arrivés dans cette grande salle, nous étions peut être plus de cent personnes, qataris, européens et autres nations étaient représentés.
-c'est en l'honneur de la Fondation du Prince qui collecte pour la Faim dans le Monde me dit Jean Alexandre, viens, je vais te présenter à des amis.
J'ai eu droit à la visite des attachés de différentes ambassades… ben, c'était bien mon Jean Alexandre le plus beau.
Et, il m'a entraîné vers un groupe d'arabe, dans leur belle tenue blanche et coiffe.
-viens Fabrice.
On était à quelques pas de ce petit groupe quand un homme s'est retourné, nous fixant.
-monsieur Jean Alexandre daigne enfin venir me saluer dit l'homme, un beau qatari de 35-40 ans, moustache drue, barbe bien taillée, des yeux perçants mais rieurs.
-mais Prince Abdallah je me réservais pour le meilleur des Princes du royaume.
Il rigole en passant sa main sur les épaules de Jean Alexandre.
-heureusement qu'Ali n'est pas arrivé, il serait vexé et ton ami ici présent ? tu ne fais pas les présentations ?
-Prince Abdallah je vous présente Fabrice, mon meilleur ami qui est venu fêter son anniversaire dans votre beau pays, il est français comme moi bien sûr.
Le Prince Abdallah me tend la main, ses yeux me forent, me transpercent. On dirait qu'il cherche à lire dans mes pensées.
-je suis ravi de vous connaitre, de connaitre le meilleur ami de mon meilleur ami français, que ferait on si Jean Alexandre n'était pas là ?
Il me tenait toujours la main, sa main chaude enveloppait la mienne et il ne semblait pas décidé à la lâcher.
-moi aussi je suis ravi de faire votre connaissance, Jean Alexandre m'a beaucoup parlé de vous, son ami.
-c'est un bavard Jean Alexandre dit le Prince Abdallah en riant, bon venez boire un verre avec moi.
Les trois quatre personnes qui étaient en train de parler avec lui se sont évanouis comme par enchantement. On ne restait plus que tous les deux et il semblait ravi d'avoir deux français rien que pour lui.
Il n'arrêtait pas de me fixer, sourire, me taper sur l'épaule amicalement, m'entourant les épaules pour me parler à l'oreille.
Comme le Prince Ali, il était incollable sur le foot et l'équipe de France. J'avoue qu'il a fallu que je vienne au Qatar pour en apprendre.
Il parlait, on buvait de l'orangeade quand le Prince Ali a fait une apparition. Son sourire s'est illuminé quand il nous a vu avec Abdallah, mais il avait des obligations et est passé de petits groupes en petits groupes puis a fait un petit discours en arabe et en anglais. Je n'ai pas tout compris puis il a continué ses salutations avant de se faire accaparer par un petit groupe de qataris qui semblaient le gonfler sérieusement, vu le regard qu'il avait.
Je suis resté sagement avec Jean Alexandre et le Prince Abdallah qui parlait toujours autant quand, d'un seul coup il s'est statufié en regardant par dessus mon épaule. Par politesse je ne me suis pas retourné.
Il s'est mis à vociférer en arabe, et, cela n'avait pas l'air d'être très gentil mais plutôt une engueulade, devant mon air surpris, il a repris en français.
-Fabrice je te présente mes deux neveux qui ne sont pas capables d'arriver à l'heure quand leur Prince les invite.
Je me retourne pour voir mes deux jeunes arabes, pas fiers du tout qui sont aussi surpris de me voir, que moi je le suis et cela se voit sur nos têtes.
J'ai vu que Jean Alexandre avait compris et levait les yeux au plafond.
-Fabrice je te présente Hakim et Saïd, mes neveux, deux frères qui se fichent du monde et qu'il faudrait dresser au fouet pour se faire obéir et mes neveux je vous présente Fabrice, un français, mon ami.
Simultanément ils m'ont tendu la main que j'ai serré. Ils s'inclinaient devant moi, sérieux comme des papes.
-enchanté de savoir vos noms dis je en me penchant entre eux.
Et, j'enfonce le clou.
-j'ai attendu cet après midi à la salle de jeux.
-désolé dit Hakim, mais nous avons eu tellement de choses à faire.
-pour finalement arriver en retard dit le Prince tonton d'un air sévère, mais… vous vous connaissez ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre.
-on s'est rencontré par hasard hier après midi dans un grand magasin et on a parlé ensemble.
-ah dit le Prince Abdallah me fixant, comme s'il voulait mon acquiescement.
Je ne disais rien, ne sachant pas trop ce qu'il fallait que je dise.
-ce serait pas plutôt dans la salle de jeux où l'on vous a demandé de ne pas aller ? dit le Prince tonton.
-mon oncle dit Hakim, on est quand même assez grand maintenant non ?
-on en reparlera dit il d'un ton ferme, allez vous servir à boire!
Et il reprend sa discussion avec moi, me soulant de foot jusqu'à l'arrivée du Prince Ali, mon sauveur!
Même le Prince Abdallah s'est incliné devant lui, lui baisant la main. Que dire des neveux, quelle autorité il avait mon Prince qui s'était installé entre Jean Alexandre et moi.
Il a dit quelques paroles en arabes aux neveux, qui ont baissé la tête sans répondre.
-tu ne t'ennuies pas trop mon petit français ?
-plus depuis que tu es à côté de moi dis je tout bas.
Je voyais bien que le Prince Abdallah me regardait, comme ses neveux qui semblaient se poser bien des questions. Autant Hakim était un beau jeune homme aux traits fins, de beaux yeux en amande, des lèvres bien ourlées, un nez aquilin un peu long, une très fine moustache comme si elle était dessinée, que Saïd, beau également, avait des traits plus bruts, il semblait tout le temps en colère quand il regardait quelqu'un et je trouvais que son regard sur moi n'était pas agréable contrairement à celui de son frère Hakim qui me mangeait des yeux. Il cherchait tout le temps à me fixer et quand nos yeux se rencontraient, ils étaient doux et souriaient, j'en devenais gêné.
Mon Prince Ali m'a confirmé qu'il m'enlevait à l'issue du cocktail, qu'il avait une surprise pour moi mais là, il devait s'occuper de ses invités, pour la bonne cause. Il part en me caressant la main, sourire aux lèvres.
C'est le Prince Abdallah qui vient prendre sa place.
-Jean Alexandre m'a dit que vous visitiez notre ville alors si vous voulez d'un Prince pour vous servir de guide, je pourrais être votre homme dit il de son plus beau sourire.
-pourquoi pas ? dis je et vous me feriez visiter quoi ?
-je peux vous faire visiter mon palais en dehors de la ville, en limite du désert c'est un endroit magnifique où j'adore vivre.
-oh oui j'aimerais bien dis je, mais il faut que j'en parle à Jean Alexandre.
-ou à Ali ?
-pourquoi le Prince Ali ?
-vous semblez bien ami dit il avec un petit sourire en coin.
-sûrement moins que vous l'êtes avec Jean Alexandre dis je avec aussi mon plus beau sourire.
-j'aime les gens qui ont la répartie et qui me tiennent tête dit il en riant.
-et moi, j'aime la discrétion.
-alors c'est réussi dit le Prince Abdallah, alors disons demain après midi ? vous serez libre ?
-pourquoi ne le serais je pas ?
-voilà ma carte de visite, vous m'appelez quand vous le désirez et je vous envoie mon chauffeur. Je pense que l'on va passer un bon moment.
Le Prince Ali, lui fait signe au loin, il part le rejoindre.
Je me retrouve seul, pas longtemps car Hakim tout sourire arrive.
-merci de n'avoir rien dit à mon oncle, mais de toute façon il sait tout! dit Hakim en souriant.
-oh il a été jeune aussi, vous en faites pas!
-oui mais il est tout le temps en train de nous crier dessus, ça devient lassant surtout quand il y a du monde. Mais vous avez l'air de bien le connaitre ?
-je le vois pour la première fois aujourd'hui dis je.
Il a l'air étonné.
-mais, si je peux me permettre, qui vous a invité ?
-le Prince Ali, c'est un ami.
-ah! c'est un homme merveilleux, dur mais bon qui ne cherche qu'à faire du bien et faire plaisir.
Je ne savais pas trop comment interpréter ses mots, compte tenu de l'air coquin qu'il avait en les prononçant.
Il me fixe de ses beaux yeux.
-si vous voulez visiter des endroits particuliers à Doha, je peux vous aider.
Là il avait son beau regard, mais il faisait le timide en disant cela.
-j'aimerais bien Hakim, c'est un plaisir de parler avec toi, je peux te tutoyer Hakim ?
-oui bien sûr Fabrice, c'est joli comme nom Fabrice.
-ah ah merci. Il était bien comme son oncle, charmeur!
-alors on peut se voir quand ? dit il en me touchant la main.
-je pense pas avant après demain, disons jeudi après midi ?
-d'accord, tiens ma carte de visite, tu m'appelles pour me confirmer ok ?
D'un seul coup il s'est reculé en baissant la tête, le Prince Ali arrivait.
-ah t'as fait connaissance avec le jeune Prince Hakim, c'est le plus beau des jeunes Princes du Royaume dit Ali en me tenant l'épaule.
-merci Prince Ali.
-allons ne fais pas le timide que tu n'es pas Hakim. Il est sympa mon ami Fabrice hein ? je suis sûr que tu l'as invité ?
-oui Prince dit Hakim en rougissant, je lui ai proposé de lui faire visiter notre belle ville.
-tu ne peux pas avoir meilleur guide, le meilleur et le plus beau en plus! bon on peut se sauver on a à faire Fabrice.
Le Prince Abdallah revenait. J'ai salué tout le monde en leur serrant la main, Prince Abdallah, Prince Hakim tout sourire et Prince Saïd, sourire narquois aux lèvres.
Jean Alexandre m'a dit qu'il restait la nuit avec Abdallah.
-tu vas encore avoir mal au cul demain je lui ai glissé dans le creux de l'oreille.
Il a rigolé en me faisant un signe de la main.
On a pris l'ascenseur avec Ali, directement dans dans le garage, sa voiture attendait, les rideaux tirés.
A peine installé :
-viens t'asseoir sur mes genoux Fabrice.
Il m'a enveloppé dans ses bras, me faisant des bisous sur mon nez en riant.
-tu m'as manqué tu peux pas savoir beau blond, j'ai mal à la queue depuis que je t'ai vu ce soir. J'en perdais le fil de mes discussions, obsédé par ta bite, ton cul et ta bouche mais comment je vais faire quand tu vas partir ?
J'ai pris son visage entre mes mains, des bisous sur son nez. Je n'aurais jamais tant embrassé de nez qu'au Qatar et j'ai pris ses lèvres, enfouissant ma langue dans sa bouche, sentir son souffle sortir par son nez et se répandre sur mon visage, sentir ses mains me caresser le dos.
J'ai aspiré sa langue, récupérant la salive princière. Il s'offrait mon Prince et moi aussi.
-j'ai envie de toi beau blond.
-j'ai envie de toi mon Prince adoré.
Les baisers ont repris jusqu'à l'arrêt de la voiture, les rideaux se retirent, la porte s'ouvre. On est dans un autre endroit, même ascenseur donnant directement dans un appartement, un autre appartement au lit aussi grand, il y avait des miroirs partout, quand on bougeait on avait l'impression qu'il y avait foule.
Il m'a pris dans ses bras, me retournant dos contre lui, ses mains m'ont déshabillé jusqu'à ce que je sois torse nu dans ses bras face à un miroir.
Ses mains caressaient mon torse. Il me fixait dans la glace, il avait enlevé sa coiffe frottait sa joue contre la mienne me faisant des bisous. J'aimais ses mains chaudes que je tenais, parcourir mon corps.
-ferme les yeux, ne cherche pas à voir ce que je fais, attend ma surprise beau blond.
J'ai obéi sans tricher.
Son corps s'est séparé du mien provoquant un grand vide. J'ai entendu du bruit comme s'il fouillait, des bruits de vêtements puis ses bras sont revenus sur mes épaules, son corps nu s'est collé à mon dos, son gros sexe qatari logé dans ma raie fessière.
-n'ouvre pas tes yeux encore dit il à l'oreille.
Je sens quelque chose de froid m'entourer le cou, je comprends qu'il me met un collier. Ses mains reviennent sur ma poitrine.
-ouvre les yeux maintenant.
J'ai un collier en argent autour du cou, entrecoupé de mon prénom en lettres d'or.
Je le regarde dans le miroir.
-mais pourquoi mon Prince adoré ?
-parce que j'en ai envie, parce que tu es un mec bien, parce que tu es beau.
Il parlait doucement, lentement à mon oreille et je voyais ses yeux s'embuer.
-et parce que tu as brisé mon cœur maudit français, j'ai jamais été si heureux avec un garçon. Je t'aime beaucoup tu sais.
Je me retourne dans ses bras.
-dis donc Ali, c'est pas toi qui disait l'autre soir de ne pas parler d'amour ?
-oui je sais, j'ai voulu jouer le dur, te faire croire que c'était que de la baise mais t'as vu tout ce que tu as obtenu de moi en une seule fois.
-c'était que du plaisir mon Prince, car c'est un plaisir d'être avec toi, moi je t'adore car j'aime ton corps, tes caresses, tes bisous et ta queue quand elle me visite.
-alors on attend quoi ? dit le Prince en me soulevant dans ses bras. Je vais te bouffer ton petit cul de blond avant de l'investir et t'entendre crier quand je vais te donner toute la semence princière.
-j'aime quand tu fais les menus dis je en riant.
-et toi ? ton menu sera quoi ?
-menu surprise mon Prince adoré.
Il rigole en me jetant sur le lit et vient s'allonger sur moi.
Une mi-temps de bisous, de caresses avant qu'il ne plonge à la redécouverte de mon cul. Sentir sa langue s'enfouir en moi, m'ouvrir de ses doigts puis me mettre à quatre pattes pour m'enfourner sa grosse queue qatari mais avec douceur, lenteur. Cette belle queue qui m'ouvrait bien pour sentir ses belles couilles frapper les miennes. Puis ce fût la fête à mon cul, putain que j'ai gueulé, gueulé de plaisir d'avoir cette queue qui coulissait en moi. Ses mains qui caressaient mon corps partout où il pouvait, ses lèvres dans mon dos, sa moustache qui pique et dans un râle rauque, il s'est vidé en moi comme la deuxième fois la nuit d'avant De longues giclées chaudes se sont succédées, ma queue était raide, collée à mon ventre.
Il est sorti de moi délicatement, laissant le bout de son gland qui attendait que mon petit trou se referme.
On a conclu cette mi-temps par encore des bisous et des caresses.
La deuxième mi-temps, que j'ai pris en main je lui ai bouffé son bon cul et il aime ça, vu les petits cris qu'il pousse. Je l'ai baisé avec trois doigts, l'ouvrant le plus possible pour voir son intérieur, le lécher, si j'avais forcé je suis sûr que j'aurais entré ma main. Il ne disait rien, me laissait faire, c'était moi le Prince, son Prince. Quand je l'ai baisé le plus durement que j'ai pu il ne m'a pas quitté des yeux jusqu'à la jouissance, la mienne et la sienne car il a éjaculé dans ses poils.
Je me suis fais un plaisir de le lécher, de lui donner son sperme du bout de la langue, il a hésité la première fois mais après l'acceptait puis je lui ai donné ma queue à lécher. J'ai offert mes couilles, fallait le voir avaler mes boules, mes poils blonds en contraste avec sa barbe noire.
Il m'a tellement bien sucé, que j'avais encore la forme, je me suis mis au dessus de lui et je lui ai baisé la bouche. Ses mains sur mes fesses pour m'accompagner et j'ai joui dans sa bouche, bouche ouverte, langue tirée. Mon bon jus coulait en lui et ses lèvres se sont refermées sur ma queue, l'aspirant, la léchant.
Je l'ai serré dans mes bras en l'embrassant comme un amoureux que j'étais, je le sentais bien, heureux. Il ronronnait.
-j'ai encore envie de toi Fabrice dit il.
Alors on a recommencé, plusieurs fois dans la nuit jusqu'au matin. On avait de drôles de têtes tous les deux, ça nous a fait rire.
-je t'aime mon petit français.
-je t'aime mon Prince adoré.
Ses yeux noirs brillaient, des pépites d'or dans les pupilles, qu'il était beau.
-tu rentres à l'ambassade ? on se revoit quand ?
-quand tu veux mon Prince adoré c'est toi qui décides et encore merci pour ce magnifique cadeau mais tu sais…
Il met son doigt sur ma bouche.
-tais toi blond de français, un Prince du Qatar fait ce qu'il veut quand il veut et il rigole.
Bisous sur le nez!
-mais tu n'aurais pas d'autres rendez vous à honorer ? dit il avec son petit sourire.
Je rougis.
-Abdallah t'a proposé de visiter son Palais ?
-oui ce soir.
-vas y mon petit français, tu vas passer une bonne nuit avec lui mais tu ne lui dis rien de ce que l'on fait ensemble hein ?
-t'en fais pas Ali je sais me tenir quand même, mais lui, il aime faire quoi ?
Il m'attire à lui pour me parler à l'oreille.
-dans son palais tu peux lui faire tout ce que tu veux. C'est un baiseur de première et il sait prendre la bite de ses amants, d'ailleurs Jean Alexandre adore passer des nuits avec lui.
-et le Prince Hakim ? dis je comme si de rien n'était.
Il pouffe de rire.
-tu ne vas pas coucher avec toute la famille ! ne t'attaque pas à Saïd il est homophobe tu peux pas savoir, au grand désespoir d'Abdallah et de Hakim.
-alors ? il fait quoi Hakim ?
-il débute mais il est prometteur. Comme t'es le mec le plus gentil que je connaisse tu devrais arriver à tout ce que tu veux mais faut être patient avec Hakim.
-il est très beau le Prince Hakim dis je rêveur.
-quand tu le verras nu il est encore plus beau dit le Prince Ali.
-quoi ? mon Prince adoré a couché avec le Prince Hakim ?
Il rigole..
-alors ça fera trois Princes à ton tableau beau blond.
-que veux tu mon Prince adoré, c'est ça de plaire.
Il rigole en me serrant contre lui, me faisant encore des bisous.
-et après ? tu reviens dans mon lit ?
-je croyais que tu avais des femmes à t'occuper ? dis je sérieusement.
Il rigole, on roule sur le lit en se faisant plein de bisous.
-j'ai une réunion de bonne heure Fabrice, si tu veux déjeuner avec moi tu me rejoins à l'Ambassade, je file! sois sage beau blond!
Je ne l'avais pas entendu se préparer et j'ai trainé tout seul dans son appartement. Il était bien logé mon pote, pas loin de son boulot et du centre ville.
J'ai pris mon temps et j'ai paressé la matinée pour aller le rejoindre à midi.
En fin de matinée j'avais un message de mon beau Prince Ali.
-comment va mon beau blond de français ? je t'attends pour le cocktail à 16h30 tu viens avec Jean Alexandre et ce soir je t'enlève.
On s'est envoyé quelques messages comme des amoureux. J'étais content qu'il m'écrive. Je voyais ses lèvres prononcer les mots qu'il écrivait, son sourire. Je n'avais qu'une envie, l'avoir dans mes bras et me serrer contre lui.
Il me fallait patienter.
Lorsque je suis arrivé à l'ambassade, la réunion de Jean Alexandre n'était pas terminée, j'ai attendu et nous sommes allés déjeuner.
Je devais revenir le voir pour 16 heures, et partir au fameux cocktail. J'ai décidé de retourner pour une heure au centre commercial, à la salle de jeux pour retrouver et parler avec les deux jeunes qataris.
Mais j'ai eu beau chercher, tourner partout ils n'étaient pas là. J'étais un peu déçu, compte tenu que c'était eux qui avaient l'air d'être le plus demandeur.
Bon c'était pas les qataris qui manquaient dans le centre mais j'ai fait mon timide. Je me suis baladé et je suis rentré à l'ambassade.
Il y avait quand même pas mal de touristes qui trainaient également dans les rues en attendant les matches.
L'heure de partir est arrivée. On devait se rendre dans un building en forme d'ogive, je ne sais plus combien d'étages il y a, en tout cas on était en haut avec une vue magnifique à 360° sur toute la ville, c'était magnifique et cela me laissait rêveur.
Lorsque nous sommes arrivés dans cette grande salle, nous étions peut être plus de cent personnes, qataris, européens et autres nations étaient représentés.
-c'est en l'honneur de la Fondation du Prince qui collecte pour la Faim dans le Monde me dit Jean Alexandre, viens, je vais te présenter à des amis.
J'ai eu droit à la visite des attachés de différentes ambassades… ben, c'était bien mon Jean Alexandre le plus beau.
Et, il m'a entraîné vers un groupe d'arabe, dans leur belle tenue blanche et coiffe.
-viens Fabrice.
On était à quelques pas de ce petit groupe quand un homme s'est retourné, nous fixant.
-monsieur Jean Alexandre daigne enfin venir me saluer dit l'homme, un beau qatari de 35-40 ans, moustache drue, barbe bien taillée, des yeux perçants mais rieurs.
-mais Prince Abdallah je me réservais pour le meilleur des Princes du royaume.
Il rigole en passant sa main sur les épaules de Jean Alexandre.
-heureusement qu'Ali n'est pas arrivé, il serait vexé et ton ami ici présent ? tu ne fais pas les présentations ?
-Prince Abdallah je vous présente Fabrice, mon meilleur ami qui est venu fêter son anniversaire dans votre beau pays, il est français comme moi bien sûr.
Le Prince Abdallah me tend la main, ses yeux me forent, me transpercent. On dirait qu'il cherche à lire dans mes pensées.
-je suis ravi de vous connaitre, de connaitre le meilleur ami de mon meilleur ami français, que ferait on si Jean Alexandre n'était pas là ?
Il me tenait toujours la main, sa main chaude enveloppait la mienne et il ne semblait pas décidé à la lâcher.
-moi aussi je suis ravi de faire votre connaissance, Jean Alexandre m'a beaucoup parlé de vous, son ami.
-c'est un bavard Jean Alexandre dit le Prince Abdallah en riant, bon venez boire un verre avec moi.
Les trois quatre personnes qui étaient en train de parler avec lui se sont évanouis comme par enchantement. On ne restait plus que tous les deux et il semblait ravi d'avoir deux français rien que pour lui.
Il n'arrêtait pas de me fixer, sourire, me taper sur l'épaule amicalement, m'entourant les épaules pour me parler à l'oreille.
Comme le Prince Ali, il était incollable sur le foot et l'équipe de France. J'avoue qu'il a fallu que je vienne au Qatar pour en apprendre.
Il parlait, on buvait de l'orangeade quand le Prince Ali a fait une apparition. Son sourire s'est illuminé quand il nous a vu avec Abdallah, mais il avait des obligations et est passé de petits groupes en petits groupes puis a fait un petit discours en arabe et en anglais. Je n'ai pas tout compris puis il a continué ses salutations avant de se faire accaparer par un petit groupe de qataris qui semblaient le gonfler sérieusement, vu le regard qu'il avait.
Je suis resté sagement avec Jean Alexandre et le Prince Abdallah qui parlait toujours autant quand, d'un seul coup il s'est statufié en regardant par dessus mon épaule. Par politesse je ne me suis pas retourné.
Il s'est mis à vociférer en arabe, et, cela n'avait pas l'air d'être très gentil mais plutôt une engueulade, devant mon air surpris, il a repris en français.
-Fabrice je te présente mes deux neveux qui ne sont pas capables d'arriver à l'heure quand leur Prince les invite.
Je me retourne pour voir mes deux jeunes arabes, pas fiers du tout qui sont aussi surpris de me voir, que moi je le suis et cela se voit sur nos têtes.
J'ai vu que Jean Alexandre avait compris et levait les yeux au plafond.
-Fabrice je te présente Hakim et Saïd, mes neveux, deux frères qui se fichent du monde et qu'il faudrait dresser au fouet pour se faire obéir et mes neveux je vous présente Fabrice, un français, mon ami.
Simultanément ils m'ont tendu la main que j'ai serré. Ils s'inclinaient devant moi, sérieux comme des papes.
-enchanté de savoir vos noms dis je en me penchant entre eux.
Et, j'enfonce le clou.
-j'ai attendu cet après midi à la salle de jeux.
-désolé dit Hakim, mais nous avons eu tellement de choses à faire.
-pour finalement arriver en retard dit le Prince tonton d'un air sévère, mais… vous vous connaissez ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre.
-on s'est rencontré par hasard hier après midi dans un grand magasin et on a parlé ensemble.
-ah dit le Prince Abdallah me fixant, comme s'il voulait mon acquiescement.
Je ne disais rien, ne sachant pas trop ce qu'il fallait que je dise.
-ce serait pas plutôt dans la salle de jeux où l'on vous a demandé de ne pas aller ? dit le Prince tonton.
-mon oncle dit Hakim, on est quand même assez grand maintenant non ?
-on en reparlera dit il d'un ton ferme, allez vous servir à boire!
Et il reprend sa discussion avec moi, me soulant de foot jusqu'à l'arrivée du Prince Ali, mon sauveur!
Même le Prince Abdallah s'est incliné devant lui, lui baisant la main. Que dire des neveux, quelle autorité il avait mon Prince qui s'était installé entre Jean Alexandre et moi.
Il a dit quelques paroles en arabes aux neveux, qui ont baissé la tête sans répondre.
-tu ne t'ennuies pas trop mon petit français ?
-plus depuis que tu es à côté de moi dis je tout bas.
Je voyais bien que le Prince Abdallah me regardait, comme ses neveux qui semblaient se poser bien des questions. Autant Hakim était un beau jeune homme aux traits fins, de beaux yeux en amande, des lèvres bien ourlées, un nez aquilin un peu long, une très fine moustache comme si elle était dessinée, que Saïd, beau également, avait des traits plus bruts, il semblait tout le temps en colère quand il regardait quelqu'un et je trouvais que son regard sur moi n'était pas agréable contrairement à celui de son frère Hakim qui me mangeait des yeux. Il cherchait tout le temps à me fixer et quand nos yeux se rencontraient, ils étaient doux et souriaient, j'en devenais gêné.
Mon Prince Ali m'a confirmé qu'il m'enlevait à l'issue du cocktail, qu'il avait une surprise pour moi mais là, il devait s'occuper de ses invités, pour la bonne cause. Il part en me caressant la main, sourire aux lèvres.
C'est le Prince Abdallah qui vient prendre sa place.
-Jean Alexandre m'a dit que vous visitiez notre ville alors si vous voulez d'un Prince pour vous servir de guide, je pourrais être votre homme dit il de son plus beau sourire.
-pourquoi pas ? dis je et vous me feriez visiter quoi ?
-je peux vous faire visiter mon palais en dehors de la ville, en limite du désert c'est un endroit magnifique où j'adore vivre.
-oh oui j'aimerais bien dis je, mais il faut que j'en parle à Jean Alexandre.
-ou à Ali ?
-pourquoi le Prince Ali ?
-vous semblez bien ami dit il avec un petit sourire en coin.
-sûrement moins que vous l'êtes avec Jean Alexandre dis je avec aussi mon plus beau sourire.
-j'aime les gens qui ont la répartie et qui me tiennent tête dit il en riant.
-et moi, j'aime la discrétion.
-alors c'est réussi dit le Prince Abdallah, alors disons demain après midi ? vous serez libre ?
-pourquoi ne le serais je pas ?
-voilà ma carte de visite, vous m'appelez quand vous le désirez et je vous envoie mon chauffeur. Je pense que l'on va passer un bon moment.
Le Prince Ali, lui fait signe au loin, il part le rejoindre.
Je me retrouve seul, pas longtemps car Hakim tout sourire arrive.
-merci de n'avoir rien dit à mon oncle, mais de toute façon il sait tout! dit Hakim en souriant.
-oh il a été jeune aussi, vous en faites pas!
-oui mais il est tout le temps en train de nous crier dessus, ça devient lassant surtout quand il y a du monde. Mais vous avez l'air de bien le connaitre ?
-je le vois pour la première fois aujourd'hui dis je.
Il a l'air étonné.
-mais, si je peux me permettre, qui vous a invité ?
-le Prince Ali, c'est un ami.
-ah! c'est un homme merveilleux, dur mais bon qui ne cherche qu'à faire du bien et faire plaisir.
Je ne savais pas trop comment interpréter ses mots, compte tenu de l'air coquin qu'il avait en les prononçant.
Il me fixe de ses beaux yeux.
-si vous voulez visiter des endroits particuliers à Doha, je peux vous aider.
Là il avait son beau regard, mais il faisait le timide en disant cela.
-j'aimerais bien Hakim, c'est un plaisir de parler avec toi, je peux te tutoyer Hakim ?
-oui bien sûr Fabrice, c'est joli comme nom Fabrice.
-ah ah merci. Il était bien comme son oncle, charmeur!
-alors on peut se voir quand ? dit il en me touchant la main.
-je pense pas avant après demain, disons jeudi après midi ?
-d'accord, tiens ma carte de visite, tu m'appelles pour me confirmer ok ?
D'un seul coup il s'est reculé en baissant la tête, le Prince Ali arrivait.
-ah t'as fait connaissance avec le jeune Prince Hakim, c'est le plus beau des jeunes Princes du Royaume dit Ali en me tenant l'épaule.
-merci Prince Ali.
-allons ne fais pas le timide que tu n'es pas Hakim. Il est sympa mon ami Fabrice hein ? je suis sûr que tu l'as invité ?
-oui Prince dit Hakim en rougissant, je lui ai proposé de lui faire visiter notre belle ville.
-tu ne peux pas avoir meilleur guide, le meilleur et le plus beau en plus! bon on peut se sauver on a à faire Fabrice.
Le Prince Abdallah revenait. J'ai salué tout le monde en leur serrant la main, Prince Abdallah, Prince Hakim tout sourire et Prince Saïd, sourire narquois aux lèvres.
Jean Alexandre m'a dit qu'il restait la nuit avec Abdallah.
-tu vas encore avoir mal au cul demain je lui ai glissé dans le creux de l'oreille.
Il a rigolé en me faisant un signe de la main.
On a pris l'ascenseur avec Ali, directement dans dans le garage, sa voiture attendait, les rideaux tirés.
A peine installé :
-viens t'asseoir sur mes genoux Fabrice.
Il m'a enveloppé dans ses bras, me faisant des bisous sur mon nez en riant.
-tu m'as manqué tu peux pas savoir beau blond, j'ai mal à la queue depuis que je t'ai vu ce soir. J'en perdais le fil de mes discussions, obsédé par ta bite, ton cul et ta bouche mais comment je vais faire quand tu vas partir ?
J'ai pris son visage entre mes mains, des bisous sur son nez. Je n'aurais jamais tant embrassé de nez qu'au Qatar et j'ai pris ses lèvres, enfouissant ma langue dans sa bouche, sentir son souffle sortir par son nez et se répandre sur mon visage, sentir ses mains me caresser le dos.
J'ai aspiré sa langue, récupérant la salive princière. Il s'offrait mon Prince et moi aussi.
-j'ai envie de toi beau blond.
-j'ai envie de toi mon Prince adoré.
Les baisers ont repris jusqu'à l'arrêt de la voiture, les rideaux se retirent, la porte s'ouvre. On est dans un autre endroit, même ascenseur donnant directement dans un appartement, un autre appartement au lit aussi grand, il y avait des miroirs partout, quand on bougeait on avait l'impression qu'il y avait foule.
Il m'a pris dans ses bras, me retournant dos contre lui, ses mains m'ont déshabillé jusqu'à ce que je sois torse nu dans ses bras face à un miroir.
Ses mains caressaient mon torse. Il me fixait dans la glace, il avait enlevé sa coiffe frottait sa joue contre la mienne me faisant des bisous. J'aimais ses mains chaudes que je tenais, parcourir mon corps.
-ferme les yeux, ne cherche pas à voir ce que je fais, attend ma surprise beau blond.
J'ai obéi sans tricher.
Son corps s'est séparé du mien provoquant un grand vide. J'ai entendu du bruit comme s'il fouillait, des bruits de vêtements puis ses bras sont revenus sur mes épaules, son corps nu s'est collé à mon dos, son gros sexe qatari logé dans ma raie fessière.
-n'ouvre pas tes yeux encore dit il à l'oreille.
Je sens quelque chose de froid m'entourer le cou, je comprends qu'il me met un collier. Ses mains reviennent sur ma poitrine.
-ouvre les yeux maintenant.
J'ai un collier en argent autour du cou, entrecoupé de mon prénom en lettres d'or.
Je le regarde dans le miroir.
-mais pourquoi mon Prince adoré ?
-parce que j'en ai envie, parce que tu es un mec bien, parce que tu es beau.
Il parlait doucement, lentement à mon oreille et je voyais ses yeux s'embuer.
-et parce que tu as brisé mon cœur maudit français, j'ai jamais été si heureux avec un garçon. Je t'aime beaucoup tu sais.
Je me retourne dans ses bras.
-dis donc Ali, c'est pas toi qui disait l'autre soir de ne pas parler d'amour ?
-oui je sais, j'ai voulu jouer le dur, te faire croire que c'était que de la baise mais t'as vu tout ce que tu as obtenu de moi en une seule fois.
-c'était que du plaisir mon Prince, car c'est un plaisir d'être avec toi, moi je t'adore car j'aime ton corps, tes caresses, tes bisous et ta queue quand elle me visite.
-alors on attend quoi ? dit le Prince en me soulevant dans ses bras. Je vais te bouffer ton petit cul de blond avant de l'investir et t'entendre crier quand je vais te donner toute la semence princière.
-j'aime quand tu fais les menus dis je en riant.
-et toi ? ton menu sera quoi ?
-menu surprise mon Prince adoré.
Il rigole en me jetant sur le lit et vient s'allonger sur moi.
Une mi-temps de bisous, de caresses avant qu'il ne plonge à la redécouverte de mon cul. Sentir sa langue s'enfouir en moi, m'ouvrir de ses doigts puis me mettre à quatre pattes pour m'enfourner sa grosse queue qatari mais avec douceur, lenteur. Cette belle queue qui m'ouvrait bien pour sentir ses belles couilles frapper les miennes. Puis ce fût la fête à mon cul, putain que j'ai gueulé, gueulé de plaisir d'avoir cette queue qui coulissait en moi. Ses mains qui caressaient mon corps partout où il pouvait, ses lèvres dans mon dos, sa moustache qui pique et dans un râle rauque, il s'est vidé en moi comme la deuxième fois la nuit d'avant De longues giclées chaudes se sont succédées, ma queue était raide, collée à mon ventre.
Il est sorti de moi délicatement, laissant le bout de son gland qui attendait que mon petit trou se referme.
On a conclu cette mi-temps par encore des bisous et des caresses.
La deuxième mi-temps, que j'ai pris en main je lui ai bouffé son bon cul et il aime ça, vu les petits cris qu'il pousse. Je l'ai baisé avec trois doigts, l'ouvrant le plus possible pour voir son intérieur, le lécher, si j'avais forcé je suis sûr que j'aurais entré ma main. Il ne disait rien, me laissait faire, c'était moi le Prince, son Prince. Quand je l'ai baisé le plus durement que j'ai pu il ne m'a pas quitté des yeux jusqu'à la jouissance, la mienne et la sienne car il a éjaculé dans ses poils.
Je me suis fais un plaisir de le lécher, de lui donner son sperme du bout de la langue, il a hésité la première fois mais après l'acceptait puis je lui ai donné ma queue à lécher. J'ai offert mes couilles, fallait le voir avaler mes boules, mes poils blonds en contraste avec sa barbe noire.
Il m'a tellement bien sucé, que j'avais encore la forme, je me suis mis au dessus de lui et je lui ai baisé la bouche. Ses mains sur mes fesses pour m'accompagner et j'ai joui dans sa bouche, bouche ouverte, langue tirée. Mon bon jus coulait en lui et ses lèvres se sont refermées sur ma queue, l'aspirant, la léchant.
Je l'ai serré dans mes bras en l'embrassant comme un amoureux que j'étais, je le sentais bien, heureux. Il ronronnait.
-j'ai encore envie de toi Fabrice dit il.
Alors on a recommencé, plusieurs fois dans la nuit jusqu'au matin. On avait de drôles de têtes tous les deux, ça nous a fait rire.
-je t'aime mon petit français.
-je t'aime mon Prince adoré.
Ses yeux noirs brillaient, des pépites d'or dans les pupilles, qu'il était beau.
-tu rentres à l'ambassade ? on se revoit quand ?
-quand tu veux mon Prince adoré c'est toi qui décides et encore merci pour ce magnifique cadeau mais tu sais…
Il met son doigt sur ma bouche.
-tais toi blond de français, un Prince du Qatar fait ce qu'il veut quand il veut et il rigole.
Bisous sur le nez!
-mais tu n'aurais pas d'autres rendez vous à honorer ? dit il avec son petit sourire.
Je rougis.
-Abdallah t'a proposé de visiter son Palais ?
-oui ce soir.
-vas y mon petit français, tu vas passer une bonne nuit avec lui mais tu ne lui dis rien de ce que l'on fait ensemble hein ?
-t'en fais pas Ali je sais me tenir quand même, mais lui, il aime faire quoi ?
Il m'attire à lui pour me parler à l'oreille.
-dans son palais tu peux lui faire tout ce que tu veux. C'est un baiseur de première et il sait prendre la bite de ses amants, d'ailleurs Jean Alexandre adore passer des nuits avec lui.
-et le Prince Hakim ? dis je comme si de rien n'était.
Il pouffe de rire.
-tu ne vas pas coucher avec toute la famille ! ne t'attaque pas à Saïd il est homophobe tu peux pas savoir, au grand désespoir d'Abdallah et de Hakim.
-alors ? il fait quoi Hakim ?
-il débute mais il est prometteur. Comme t'es le mec le plus gentil que je connaisse tu devrais arriver à tout ce que tu veux mais faut être patient avec Hakim.
-il est très beau le Prince Hakim dis je rêveur.
-quand tu le verras nu il est encore plus beau dit le Prince Ali.
-quoi ? mon Prince adoré a couché avec le Prince Hakim ?
Il rigole..
-alors ça fera trois Princes à ton tableau beau blond.
-que veux tu mon Prince adoré, c'est ça de plaire.
Il rigole en me serrant contre lui, me faisant encore des bisous.
-et après ? tu reviens dans mon lit ?
-je croyais que tu avais des femmes à t'occuper ? dis je sérieusement.
Il rigole, on roule sur le lit en se faisant plein de bisous.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Nico T
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...