Le mondial 2022 : 8ème de finale 6
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le mondial 2022 : 8ème de finale 6
Passer la nuit dans les bras de Prince Ali est magique.
Quand il m'a dit qu'il m'aimait, ses yeux le pensaient. Ses caresses, ses bisous, ses gestes de tendresse l'ont prouvé.
Son corps est chaud, doux, tendre. Sa langue dure et pleine de salive, aime se balader partout sur mon corps et c'est vraiment un doux plaisir.
Il m'a encore bouffer le cul dans la nuit. C'est un fou de ça… lécher, sucer, aspirer un cul, caresser les fesses, les embrasser pour ensuite entrer sans forcer dans ton cul, sentir ce gros barreau s'enfoncer en même temps que son corps épouse le tien et que ses lèvres s'emparent des tiennes pour que les langues puissent jouer ensemble et jouir en râlant, en criant.
Pour ensuite s'offrir, se donner, se plier à mes caprices heureux de me faire plaisir et on est bien dans son cul, dans sa bouche. Il m'a fait jouir plusieurs fois dans la nuit.
Se réveiller le matin me faisant caresser la joue, avec des bisous sur le nez, voir ses yeux noirs si doux, son sourire, ses mots doux.
-je dois aller au bureau beau blond reste dormir le temps que tu veux, quand tu seras prêt, tu descends par l'ascenseur, une voiture t'attend et te ramènera à l'Ambassade.
J'ai eu droit à plein de bisous que j'ai rendu avec tendresse mais il ne s'est pas attardé, il était déjà prêt.
-n'oublie pas de m'envoyer des messages beau blond que je ne te perde pas!
J'ai fait mon fainéant avant de prendre un bain avec plein de produits, ça moussait de partout et je me suis fait ramener à l'Ambassade.
-mais de passer tes nuits avec Ali ça te fais rajeunir mon pote me dit Jean Alexandre en riant.
On se raconte vite fait notre nuit.
-alors c'est le Prince Abdallah qui te sert de guide cet après midi ?
-il parait, faudrait que je l'appelle.
-s'il t'emmène à son Palais, il te baise.
-tu crois que je ne sais pas il ne me l'a pas dit ouvertement mais c'est ce que j'ai compris dis je en riant. Mais tu l'as pas crevé cette nuit ? t'es un bon quand même.
-oui je pense qu'il sera un peu fatigué, mais t'en fais pas il récupère vite, ce matin je l'ai laissé dans son lit à dormir!
Nous avons été déjeuner et j'ai appelé Abdallah, une voiture venait me chercher à 15 heures. La chaleur commençait à se faire sentir heureusement que tout était climatisé.
J'ai eu droit à un guide attentionné, très tactile. Fallait qu'en parlant il me touche toujours souriant, parlant beaucoup. Il m'a fait visiter la ville, m'expliquant la construction de chaque building, le gaz, le peu de pétrole. J'ai eu droit à une leçon d'économie et ce que j'ai apprécié, c'est que je pouvais poser n'importe quelle question. Il répondait toujours avec le sourire en ajoutant "ah la politique!".
Il m'a fait visiter sa société, dans un grand building prenant un malin plaisir de me présenter comme un ami français.
Il m'avait amené à ce qu'il voulait. J'étais vraiment sous son charme, il n'était pas aussi beau que le Prince Ali, mais son charisme faisait le reste.
On dîne tôt à Doha, et j'ai eu droit à un très grand restaurant au chef renommé. Très bon repas bien sûr, grands vins pour moi et lui orangeade!
Je n'ai pas vue la note.
-et maintenant direction le désert dit il en me faisant monter dans une grande voiture également.
Tous les rideaux étaient ouverts pour que j'admire le paysage m'a t-il dit.
Doha est une ville lumière et, quand on sort par la grande autoroute, malgré la nuit, on a l'impression d'être au grand jour.
Mais la voiture a quitté cette grande voie, et la nuit était là, le noir complet sous un ciel étoilé.
La voiture s'est arrêtée en haut d'une colline. Le chauffeur nous a ouvert la porte. Le Prince Abdallah m'a pris par la main et m'a emmené dans la nuit tout en haut de la colline.
Sa main autour de mon épaule il m'a désigné la ville que l'on voyait au loin brillante de mille feux, il m'expliquait ce que l'on voyait.
Puis il m'a fait lever la tête et dans la nuit noire brillaient également un nombre incalculable d'étoiles. Le ciel bien dégagé, sans nuage donnait un spectacle magnifique.
-c'est beau j'ai dit, j'ai jamais vu autant d'étoiles.
J'ai senti sa main serrer mon épaule pour me coller à lui, son autre main me prendre le menton pour que je le regarde.
-c'est très romantique jeune français.
-oui très dis je en le regardant, le fixant pour voir sa tête se rapprocher de la mienne. Je ne voyais pas bien ses yeux dans la nuit mais sa grosse moustache je l'ai sentie me caresser les lèvres, son souffle m'envelopper le visage et ses lèvres se sont posées sur les miennes.
Jeu de lèvres, sans langue au début, juste goûter la saveur de chacun. Ses bras m'entourent et me serrent contre lui, je m'abandonne en collant mon bassin au sien. Il bande déjà le Prince, je sens la queue raide sous sa robe se frotter à moi. Un grand soupir et sa langue vient me visiter, sa main sur ma nuque me tient le cou quand sa langue touche la mienne et qu'elles jouent ensemble.
Il devient très entreprenant le Prince, sa jambe passe entre les miennes, son autre main appuie sur mes fesses.
Il arrête de m'embrasser, me regarde.
-tu es beau le blond, tu es doux, dès que je t'ai vu j'ai eu envie de te mettre dans mon lit, je pense que tu es d'accord.
Au lieu de répondre, c'est moi qui l'ai embrassé, lui caressant le dos, passant une main entre nos corps, touchant sa queue raide et l'entendre gémir.
J'ai eu envie de faire la salope d'épater ce Prince, de toute façon on allait finir par baiser.
Je me suis laissé glisser le long de son corps, pour me mettre à genoux dans le sable, passer mes mains sous sa robe, en la remontant. Il me regardait et j'ai cru voir un sourire sur ses lèvres. Il a tenu sa robe pour bien dégager ses dessous.
Car ces dessous, ben c'est le bordel! son caleçon long qui lui arrive aux genoux! trouver l'entrée n'est pas facile, alors j'ai tiré dessus pour lui dégager la queue qui m'est tombée sur le visage. La bonne odeur qatari m'est arrivée dans les narines, un peu celle d'Ali.
Les dessous blancs faisaient ressortir la queue du Prince, et c'est un bon morceau. Je l'ai sniffé, léchant les grosses couilles que je ne voyais pas mais quand j'ai avalé les deux, il fallait l'entendre pousser de petits cris. Mes mains sont parties sur ses fesses, des fesses fermes, poilues, je les sentais se contracter quand mon nez est arrivé sur le gland circoncis, les fesses se sont durcies, mes lèvres se sont emparées de ce gros gland tout mouillé. De la pointe de la langue j'ai touché son méat aspirant la mouille qui sortait, il gémit en me tenant la tête et mes lèvres glissent sur sa grosse queue qui se frotte à ma langue. Il gémit encore, je serre mes lèvres sur sa queue et je le pipe lentement en agitant bien ma langue.
Je le sens se tendre, sa queue s'enfonce encore dans ma bouche, je la laisse faire tout en continuant de le piper en tenant ses fesses et d'un seul coup il se bloque et lâche les vannes. La bonne liqueur qatari coule sur ma langue. Les giclées ne sont pas fortes, mais très abondantes, ça m'étouffe presque.
Il me relève, me prend dans ses bras et sa langue vient lécher la mienne, l'aspirer et avaler toute la salive.
Il me regarde et là, à la faveur de la lumière des étoiles, je vois ses yeux briller.
-il est temps d'aller au Palais jeune français j'ai les jambes qui tremblent.
Je passe mon bras comme pour le soutenir. Je l'entends rire.
-c'est bien la première fois que cela me fait ça mon ami!
Il m'embrasse encore une fois en regagnant la voiture.
On est sage, assis côte à côte, il a juste pris ma main dans la sienne.
Et je vois les lumières de son Palais c'est féérique.
Il ne me fait pas visiter en arrivant m'emmène directement dans sa chambre enfin dans une chambre et se déshabille rapidement! j'en fais autant, il m'observe, ses cheveux sont crêpus, il est pas mal en fin de compte ce Prince.
-on va se prendre une douche, j'en ai besoin dit il et je vais te laver pour faire connaissance avec ton corps.
Je bande comme un malade, ses yeux s'attardent sur ma queue mais quand il fait couler l'eau sur nos corps c'est lui qui se met à genoux, juste devant ma queue raide. Mais c'est ma toison dorée qui l'intéresse. Je me fais lécher la toison, sniffer puis il sort des produits et m'enduit le corps. Ses mains passent partout, me caressant, me frottant, son doigt entre dans mon cul, sans forcer mais avec le liquide, ça glisse facilement. J'écarte les jambes pour qu'il aille le plus loin possible, mais non, c'est bien juste pour me laver qu'il fait cela. Chaque parcelle de mon corps a droit à ce traitement. Je lui fais pareil et quand je touche ses fesses, il se penche pour que j'atteigne son petit trou et mon doigt s'enfonce sans problème. Je le doigte fermement pour l'entendre gémir.
L'eau coule encore sur nos corps, on se sèche mutuellement et il m'entraîne directement sur le lit.
Il m'écrase de son corps, son sexe se frotte sur le mien. Il vient lécher mes tétons, descendre rapidement sur mon sexe pour se plonger dans ma toison quand il me regarde ses yeux sont comme fous.
Sa main prend mes couilles, tire et ma queue se redresse. Il l'avale d'un seul coup au fond de sa gorge. Il tousse le Prince, mais ne cède pas et me pipe comme un pro. Je ne suis pas sa première bite au Prince. Il sait jouer avec. Son doigt fonce entre mes jambes pour forer mon petit trou.
J'aime qu'on me pipe en me mettant un doigt et je sens le plaisir arriver. Je me tends bien et la première giclée arrive au fond de sa gorge, je le vois tousser, mais ses lèvres restent closes sur ma queue et il avale tout ce que je lui offre.
Il vient m'embrasser en disant.
-nous sommes à égalité le français.
Je le vois me soulever les jambes, pour les mettre sur mon torse et plonger sur mon cul. Lui aussi aime bouffer un cul mais il n'a pas le même savoir faire que mon bon Prince Ali. Mais pour avoir l'anus humide, ça je l'ai et rapidement deux doigts me vrillent. Je sais que mon cul va bien s'ouvrir avec les coups de queue d'Ali mais il ne fait pas durer ce plaisir, je le vois se redresser et me pointer rapidement comme l'entrée de son gros sexe en moi sans tendresse.
A la va vite, comme s'il était pressé. Je suis écartelé avec force, son gland passe vite, trop vite et je hurle. Il me fait mal ce con de Prince! mais de la manière dont il me tient je ne peux pas bouger et je subis ses assauts. Car à peine tout entré, il me baise comme un métronome qui resterait fixé sur une grande vitesse.
Mon cul en ayant vu d'autre, la douleur s'en va mais je n'aime pas sa façon de baiser. Je fais le mec content, je m'offre, je serre bien sa queue dans mon cul et, il est tellement excité, je vois la sueur couler de son front, et il joui avec force cette fois. C'est bien la seule chose agréable.
Il s'écroule sur moi, respirant avec force. Je le retourne pour me retrouver sur lui. Il me laisse faire. Je m'attaque à ses gros tétons perdus au milieu de ses poils et il commence déjà gémir. Je les malaxe, les triture durement. Je vois bien qu'il a mal, mais il aime ça le Prince, alors j'en profite, je me venge à le faire hurler.
Puis je remonte ses jambes pour qu'il m'offre son cul. Il ne dit rien, me laisse faire alors j'en profite et je m'attaque au cul super poilu. Il faudrait un GPS pour retrouver l'anus que je fore d'un doigt et que je viens inonder de salive, le lécher comme il faut, mettre deux doigts, ça s'ouvre! mettre trois doigts c'est pareil. Il est temps de trouer ce cul.
Rapidement , avant qu'il ne change d'avis, je le pointe, le tenant par les mollets. D'un coup de reins je fais entrer mon gland rien que pour l'entendre crier mais il s'abandonne et moi je reprends des forces pour le baiser avec grande vaillance et je sens mon sexe voyager dans le conduit serré avant de l'inonder comme un chef! De longues giclées qui emplissent bien son petit cul poilu. Je me retire sèchement, il crie, allonge ses jambes, les bras le long de son corps, il ferme les yeux.
Je m'allonge près de lui, j'attends… le souffle devient régulier, le bon Prince Abdallah s'est endormi.
Je me tourne sur le côté et m'endors en souriant, quand je vais raconter ça au Prince Ali!
Le réveil fût rapide, il est grognon le Prince au réveil, aucune tendresse, aucun bisou!
Douche, petit déj et sa voiture m'a ramené à l'ambassade.
J'ai raconté ma nuit à Jean Alexandre lui disant que son Prince s'était endormi. Il n'en revenait pas.
-faut dire que je lui avais mis la dose la nuit d'avant dit Jean Alexandre en riant.
-parce que tu le baises aussi ?
-c'est ce qu'il préfère ce faire baiser par un blanc et il nique les arabes!
Je suis rentré chez Jean Alexandre pour me changer, reprendre une douche, envoyer quelques messages à mon bon Prince Ali toujours égal à lui même et j'ai appelé Hakim, lui demandant si l'on pouvait se voir cet après midi.
Le "oui" qu'il m'a lancé, m'a fait bander de suite.
Quand il m'a dit qu'il m'aimait, ses yeux le pensaient. Ses caresses, ses bisous, ses gestes de tendresse l'ont prouvé.
Son corps est chaud, doux, tendre. Sa langue dure et pleine de salive, aime se balader partout sur mon corps et c'est vraiment un doux plaisir.
Il m'a encore bouffer le cul dans la nuit. C'est un fou de ça… lécher, sucer, aspirer un cul, caresser les fesses, les embrasser pour ensuite entrer sans forcer dans ton cul, sentir ce gros barreau s'enfoncer en même temps que son corps épouse le tien et que ses lèvres s'emparent des tiennes pour que les langues puissent jouer ensemble et jouir en râlant, en criant.
Pour ensuite s'offrir, se donner, se plier à mes caprices heureux de me faire plaisir et on est bien dans son cul, dans sa bouche. Il m'a fait jouir plusieurs fois dans la nuit.
Se réveiller le matin me faisant caresser la joue, avec des bisous sur le nez, voir ses yeux noirs si doux, son sourire, ses mots doux.
-je dois aller au bureau beau blond reste dormir le temps que tu veux, quand tu seras prêt, tu descends par l'ascenseur, une voiture t'attend et te ramènera à l'Ambassade.
J'ai eu droit à plein de bisous que j'ai rendu avec tendresse mais il ne s'est pas attardé, il était déjà prêt.
-n'oublie pas de m'envoyer des messages beau blond que je ne te perde pas!
J'ai fait mon fainéant avant de prendre un bain avec plein de produits, ça moussait de partout et je me suis fait ramener à l'Ambassade.
-mais de passer tes nuits avec Ali ça te fais rajeunir mon pote me dit Jean Alexandre en riant.
On se raconte vite fait notre nuit.
-alors c'est le Prince Abdallah qui te sert de guide cet après midi ?
-il parait, faudrait que je l'appelle.
-s'il t'emmène à son Palais, il te baise.
-tu crois que je ne sais pas il ne me l'a pas dit ouvertement mais c'est ce que j'ai compris dis je en riant. Mais tu l'as pas crevé cette nuit ? t'es un bon quand même.
-oui je pense qu'il sera un peu fatigué, mais t'en fais pas il récupère vite, ce matin je l'ai laissé dans son lit à dormir!
Nous avons été déjeuner et j'ai appelé Abdallah, une voiture venait me chercher à 15 heures. La chaleur commençait à se faire sentir heureusement que tout était climatisé.
J'ai eu droit à un guide attentionné, très tactile. Fallait qu'en parlant il me touche toujours souriant, parlant beaucoup. Il m'a fait visiter la ville, m'expliquant la construction de chaque building, le gaz, le peu de pétrole. J'ai eu droit à une leçon d'économie et ce que j'ai apprécié, c'est que je pouvais poser n'importe quelle question. Il répondait toujours avec le sourire en ajoutant "ah la politique!".
Il m'a fait visiter sa société, dans un grand building prenant un malin plaisir de me présenter comme un ami français.
Il m'avait amené à ce qu'il voulait. J'étais vraiment sous son charme, il n'était pas aussi beau que le Prince Ali, mais son charisme faisait le reste.
On dîne tôt à Doha, et j'ai eu droit à un très grand restaurant au chef renommé. Très bon repas bien sûr, grands vins pour moi et lui orangeade!
Je n'ai pas vue la note.
-et maintenant direction le désert dit il en me faisant monter dans une grande voiture également.
Tous les rideaux étaient ouverts pour que j'admire le paysage m'a t-il dit.
Doha est une ville lumière et, quand on sort par la grande autoroute, malgré la nuit, on a l'impression d'être au grand jour.
Mais la voiture a quitté cette grande voie, et la nuit était là, le noir complet sous un ciel étoilé.
La voiture s'est arrêtée en haut d'une colline. Le chauffeur nous a ouvert la porte. Le Prince Abdallah m'a pris par la main et m'a emmené dans la nuit tout en haut de la colline.
Sa main autour de mon épaule il m'a désigné la ville que l'on voyait au loin brillante de mille feux, il m'expliquait ce que l'on voyait.
Puis il m'a fait lever la tête et dans la nuit noire brillaient également un nombre incalculable d'étoiles. Le ciel bien dégagé, sans nuage donnait un spectacle magnifique.
-c'est beau j'ai dit, j'ai jamais vu autant d'étoiles.
J'ai senti sa main serrer mon épaule pour me coller à lui, son autre main me prendre le menton pour que je le regarde.
-c'est très romantique jeune français.
-oui très dis je en le regardant, le fixant pour voir sa tête se rapprocher de la mienne. Je ne voyais pas bien ses yeux dans la nuit mais sa grosse moustache je l'ai sentie me caresser les lèvres, son souffle m'envelopper le visage et ses lèvres se sont posées sur les miennes.
Jeu de lèvres, sans langue au début, juste goûter la saveur de chacun. Ses bras m'entourent et me serrent contre lui, je m'abandonne en collant mon bassin au sien. Il bande déjà le Prince, je sens la queue raide sous sa robe se frotter à moi. Un grand soupir et sa langue vient me visiter, sa main sur ma nuque me tient le cou quand sa langue touche la mienne et qu'elles jouent ensemble.
Il devient très entreprenant le Prince, sa jambe passe entre les miennes, son autre main appuie sur mes fesses.
Il arrête de m'embrasser, me regarde.
-tu es beau le blond, tu es doux, dès que je t'ai vu j'ai eu envie de te mettre dans mon lit, je pense que tu es d'accord.
Au lieu de répondre, c'est moi qui l'ai embrassé, lui caressant le dos, passant une main entre nos corps, touchant sa queue raide et l'entendre gémir.
J'ai eu envie de faire la salope d'épater ce Prince, de toute façon on allait finir par baiser.
Je me suis laissé glisser le long de son corps, pour me mettre à genoux dans le sable, passer mes mains sous sa robe, en la remontant. Il me regardait et j'ai cru voir un sourire sur ses lèvres. Il a tenu sa robe pour bien dégager ses dessous.
Car ces dessous, ben c'est le bordel! son caleçon long qui lui arrive aux genoux! trouver l'entrée n'est pas facile, alors j'ai tiré dessus pour lui dégager la queue qui m'est tombée sur le visage. La bonne odeur qatari m'est arrivée dans les narines, un peu celle d'Ali.
Les dessous blancs faisaient ressortir la queue du Prince, et c'est un bon morceau. Je l'ai sniffé, léchant les grosses couilles que je ne voyais pas mais quand j'ai avalé les deux, il fallait l'entendre pousser de petits cris. Mes mains sont parties sur ses fesses, des fesses fermes, poilues, je les sentais se contracter quand mon nez est arrivé sur le gland circoncis, les fesses se sont durcies, mes lèvres se sont emparées de ce gros gland tout mouillé. De la pointe de la langue j'ai touché son méat aspirant la mouille qui sortait, il gémit en me tenant la tête et mes lèvres glissent sur sa grosse queue qui se frotte à ma langue. Il gémit encore, je serre mes lèvres sur sa queue et je le pipe lentement en agitant bien ma langue.
Je le sens se tendre, sa queue s'enfonce encore dans ma bouche, je la laisse faire tout en continuant de le piper en tenant ses fesses et d'un seul coup il se bloque et lâche les vannes. La bonne liqueur qatari coule sur ma langue. Les giclées ne sont pas fortes, mais très abondantes, ça m'étouffe presque.
Il me relève, me prend dans ses bras et sa langue vient lécher la mienne, l'aspirer et avaler toute la salive.
Il me regarde et là, à la faveur de la lumière des étoiles, je vois ses yeux briller.
-il est temps d'aller au Palais jeune français j'ai les jambes qui tremblent.
Je passe mon bras comme pour le soutenir. Je l'entends rire.
-c'est bien la première fois que cela me fait ça mon ami!
Il m'embrasse encore une fois en regagnant la voiture.
On est sage, assis côte à côte, il a juste pris ma main dans la sienne.
Et je vois les lumières de son Palais c'est féérique.
Il ne me fait pas visiter en arrivant m'emmène directement dans sa chambre enfin dans une chambre et se déshabille rapidement! j'en fais autant, il m'observe, ses cheveux sont crêpus, il est pas mal en fin de compte ce Prince.
-on va se prendre une douche, j'en ai besoin dit il et je vais te laver pour faire connaissance avec ton corps.
Je bande comme un malade, ses yeux s'attardent sur ma queue mais quand il fait couler l'eau sur nos corps c'est lui qui se met à genoux, juste devant ma queue raide. Mais c'est ma toison dorée qui l'intéresse. Je me fais lécher la toison, sniffer puis il sort des produits et m'enduit le corps. Ses mains passent partout, me caressant, me frottant, son doigt entre dans mon cul, sans forcer mais avec le liquide, ça glisse facilement. J'écarte les jambes pour qu'il aille le plus loin possible, mais non, c'est bien juste pour me laver qu'il fait cela. Chaque parcelle de mon corps a droit à ce traitement. Je lui fais pareil et quand je touche ses fesses, il se penche pour que j'atteigne son petit trou et mon doigt s'enfonce sans problème. Je le doigte fermement pour l'entendre gémir.
L'eau coule encore sur nos corps, on se sèche mutuellement et il m'entraîne directement sur le lit.
Il m'écrase de son corps, son sexe se frotte sur le mien. Il vient lécher mes tétons, descendre rapidement sur mon sexe pour se plonger dans ma toison quand il me regarde ses yeux sont comme fous.
Sa main prend mes couilles, tire et ma queue se redresse. Il l'avale d'un seul coup au fond de sa gorge. Il tousse le Prince, mais ne cède pas et me pipe comme un pro. Je ne suis pas sa première bite au Prince. Il sait jouer avec. Son doigt fonce entre mes jambes pour forer mon petit trou.
J'aime qu'on me pipe en me mettant un doigt et je sens le plaisir arriver. Je me tends bien et la première giclée arrive au fond de sa gorge, je le vois tousser, mais ses lèvres restent closes sur ma queue et il avale tout ce que je lui offre.
Il vient m'embrasser en disant.
-nous sommes à égalité le français.
Je le vois me soulever les jambes, pour les mettre sur mon torse et plonger sur mon cul. Lui aussi aime bouffer un cul mais il n'a pas le même savoir faire que mon bon Prince Ali. Mais pour avoir l'anus humide, ça je l'ai et rapidement deux doigts me vrillent. Je sais que mon cul va bien s'ouvrir avec les coups de queue d'Ali mais il ne fait pas durer ce plaisir, je le vois se redresser et me pointer rapidement comme l'entrée de son gros sexe en moi sans tendresse.
A la va vite, comme s'il était pressé. Je suis écartelé avec force, son gland passe vite, trop vite et je hurle. Il me fait mal ce con de Prince! mais de la manière dont il me tient je ne peux pas bouger et je subis ses assauts. Car à peine tout entré, il me baise comme un métronome qui resterait fixé sur une grande vitesse.
Mon cul en ayant vu d'autre, la douleur s'en va mais je n'aime pas sa façon de baiser. Je fais le mec content, je m'offre, je serre bien sa queue dans mon cul et, il est tellement excité, je vois la sueur couler de son front, et il joui avec force cette fois. C'est bien la seule chose agréable.
Il s'écroule sur moi, respirant avec force. Je le retourne pour me retrouver sur lui. Il me laisse faire. Je m'attaque à ses gros tétons perdus au milieu de ses poils et il commence déjà gémir. Je les malaxe, les triture durement. Je vois bien qu'il a mal, mais il aime ça le Prince, alors j'en profite, je me venge à le faire hurler.
Puis je remonte ses jambes pour qu'il m'offre son cul. Il ne dit rien, me laisse faire alors j'en profite et je m'attaque au cul super poilu. Il faudrait un GPS pour retrouver l'anus que je fore d'un doigt et que je viens inonder de salive, le lécher comme il faut, mettre deux doigts, ça s'ouvre! mettre trois doigts c'est pareil. Il est temps de trouer ce cul.
Rapidement , avant qu'il ne change d'avis, je le pointe, le tenant par les mollets. D'un coup de reins je fais entrer mon gland rien que pour l'entendre crier mais il s'abandonne et moi je reprends des forces pour le baiser avec grande vaillance et je sens mon sexe voyager dans le conduit serré avant de l'inonder comme un chef! De longues giclées qui emplissent bien son petit cul poilu. Je me retire sèchement, il crie, allonge ses jambes, les bras le long de son corps, il ferme les yeux.
Je m'allonge près de lui, j'attends… le souffle devient régulier, le bon Prince Abdallah s'est endormi.
Je me tourne sur le côté et m'endors en souriant, quand je vais raconter ça au Prince Ali!
Le réveil fût rapide, il est grognon le Prince au réveil, aucune tendresse, aucun bisou!
Douche, petit déj et sa voiture m'a ramené à l'ambassade.
J'ai raconté ma nuit à Jean Alexandre lui disant que son Prince s'était endormi. Il n'en revenait pas.
-faut dire que je lui avais mis la dose la nuit d'avant dit Jean Alexandre en riant.
-parce que tu le baises aussi ?
-c'est ce qu'il préfère ce faire baiser par un blanc et il nique les arabes!
Je suis rentré chez Jean Alexandre pour me changer, reprendre une douche, envoyer quelques messages à mon bon Prince Ali toujours égal à lui même et j'ai appelé Hakim, lui demandant si l'on pouvait se voir cet après midi.
Le "oui" qu'il m'a lancé, m'a fait bander de suite.
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