Le Mondial 2022 : 8ème de finale 7
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Mondial 2022 : 8ème de finale 7
On s'est retrouvé à la salle de jeux. Il avait un grand sourire en me voyant arriver, il est venu vers moi en me tendant la main.
-comment va mon ami Fabrice ?
-je vais très bien Prince Hakim et toi ?
-je vais mieux maintenant que tu es là dit il avec un sourire coquin.
Il m'a entraîné en dehors de la salle, nous avons marché en parlant dans le grand centre. Je voyais bien qu'il faisait le fier à côté de moi, me mettant souvent la main sur l'épaule pour parler et surtout quand on croisait des amis à lui qui le saluaient avec respect.
-j'ai quelque chose à te demander me dit Prince Hakim, et c'est pas facile.
On était assis sur un banc, l'un à côté de l'autre. Il était penché en avant, il ne me regardait pas.
-tu peux me demander ce que tu veux Hakim, je répondrais si je sais bien sûr.
-je ne sais pas pourquoi, dit il en se tournant vers moi, me fixant de ses beaux yeux mais j'ai confiance en toi. Toi qui ne me connait pas, j'ai confiance en toi surtout depuis que je sais et que j'ai vu que le Prince Ali semblait bien t'apprécier. C'est un homme bon, un homme sûr en qui l'on peut avoir confiance, tu sais, alors si tu comptes, comme je l'ai vu hier parmi ses amis, c'est que toi aussi on peut te faire confiance.
Je l'ai regardé, et j'ai souri.
-demande Hakim, ne fait pas ton timide.
-oui mais on va ailleurs, j'ai une chambre dans cette tour on sera mieux pour discuter.
En disant cela, il avait baissé la tête et sa peau était devenue blanche.
J'avais envie de rire devant ce jeune qatari mais je me suis retenu. S'il avait envie de me mettre dans son lit ben j'étais d'accord, il devait être très beau tout nu.
-alors si tu veux on peut y aller.
J'ai dit oui, on s'est levé. Nous sommes allés prendre un ascenseur. Je l'ai vu appuyé sur le bouton du 36ème étage et nous sommes montés telle une fusée. J'avais les jambes qui tremblaient, lui regardait ailleurs, ne cherchant plus à me regarder dans les yeux.
Nous sommes arrivés dans un grand couloir avec différentes portes, éloignées les unes des autres. Il a ouvert au 12 et nous sommes rentrés dans sa "chambre", en fait c'est un petit appartement tout aménagé, salon, salle à manger, chambres, salle de bains. C'était magnifique.
-viens on va au salon.
Je m'installe dans le grand canapé.
-si tu veux boire un whisky j'en ai dit Hakim.
-tu sais je peux boire une orangeade.
-comme tu veux dit il en partant. Il revient et j'en suis resté la bouche ouverte.
Il revenait avec l'orangeade, du whisky, deux grands verres et il avait enlevé sa coiffe libérant de beaux cheveux frisés courts noirs corbeau, son visage ressortait, ses yeux étaient encore plus beau, il avait le sourire.
Il sert l'orangeade et vient s'asseoir à côté de moi.
On trinque en se regardant et, je m'aperçois que ses yeux sont tristes, il n'a plus son beau sourire, il baisse la tête.
Là je me demande vraiment ce qui se passe.
Je lui retire le verre de sa main et la prend dans la mienne.
-qu'est ce qui te tracasse tant mon ami ? je vois bien que tu es embêté alors si je peux t'aider, je le ferais.
-alors il faut que je te raconte tout depuis le début, mais tu sais j'ai honte tu vas être le premier à qui je vais raconter tout ce que j'ai sur le cœur.
-tu sais ça fait du bien de le faire et je te promets que, quoique tu me dises je ne te jugerais pas.
-alors assis toi bien dans le canapé, je vais te raconter mais je ne veux pas te regarder.
Je m'installe bien callé dans les grands coussins, il me tourne le dos et se laisse tomber sur mon épaule, sa tête dans mon cou, j'ai ses cheveux qui frottent. Il arrive à me prendre les mains dans les siennes, qu'il pose sur son ventre, il bouge la tête et commence.
-je vais te parler d'abord un peu de mon pays, le Qatar est un beau pays et je suis fier d'en faire partie mais c'est un pays dirigé par des vieux qui n'acceptent pas que les jeunes donnent leur avis. Bon les femmes chez nous, sont assez libres mais doivent encore demander la permission pour sortir, conduire et faire tout plein de choses, à l'heure où nous vivons c'est intolérable. Le monde entier nous insulte d'avoir organisé la coupe du Monde, d'avoir fait construire des stades climatisés et que des ouvriers y soient morts. Je peux te dire que c'est vrai, il y a eu de nombreux morts, oh tous étrangers, pas des Qataris, nous on paye et ils obéissent. Je crois que tout ceci doit changer.
J'aurais bien aimé voir ses yeux quand il me parlait, mais je sentais ses mains sur les miennes qui me serraient, les caressaient.
-et s'il n'y avait que ça! tiens parlons des LGBT, il ne faut pas dire dans ce pays qu'on aime coucher avec un homme! hypocrisie! nous les jeunes on n'a pas le droit de coucher avec des femmes avant le mariage. Oh! on a le droit de faire venir des putes, ça c'est vrai mais comment veux tu trouver une épouse si tu peux pas choisir, c'est ton père qui choisi pour toi ta première épouse, et t'as rien à dire. Alors les jeunes du pays ont pris l'habitude de coucher entre eux. On se soulage à deux ou plus, on fait des réunions où on se nique ensemble.
Il bouge sur moi, se retournant, sa tête sur ma poitrine, sa main vient me caresser la joue.
-et, j'y ai pris goût Fabrice, j'aime coucher avec un garçon, j'aime ce plaisir car je n'en connais pas d'autres. Je ne veux pas avoir à faire avec des prostituées, je vois mon père, il en a je ne sais combien qu'il entretient en plus de ma mère. C'est honteux et cela fait que j'ai peur Fabrice, peur que mon père apprenne que j'ai des amants, peur qu'il apprenne que je couche avec mon oncle, son frère.
Sa main me tenait la joue, ses épaules bougeaient en soubresauts, quand il a relevé la tête pour me regarder, les larmes coulaient sur son visage.
Je les ai essuyées avec mes doigts, caressant sa joue.
-faut lui dire non! dis je.
-parce que tu crois que c'est facile, d'abord il ne me demande pas mon avis.
-et ton frère Saïd ?
-je crois que lui aussi dit Hakim, mais quand je parle de notre oncle, il change toujours de conversations et critique ouvertement tout ce qui est gay.
-mais tu voudrais que je fasse quoi ?
-j'aimerais que tu parles au Prince Ali pour que mon frère et moi nous soyons sous sa protection comme ça mon oncle n'osera plus nous toucher du tout!
Je restais sans voix, cherchant dans ma petite tête comment j'allais pouvoir présenter ça à mon bon Prince.
-tu ne veux pas ? demande Hakim avec un air inquiet.
-si si mais je me demande comment je vais pouvoir lui parler de ça.
-tu sais j'aime beaucoup le Prince Ali et il me le rend bien, toujours un mot gentil, une caresse sur la joue, une tape sur l'épaule. J'aime bien parler avec lui, c'est un homme cultivé, pas comme mon oncle qui ne pense qu'à mettre un mec dans son lit et le baiser et se faire sucer.
-calme toi Hakim, on va bien trouver une solution quand même, je ne sais pas encore quand je revois le Prince, sûr pour le match de foot puisqu'on est dans sa grande loge.
-oh je viens aussi dit Hamid avec un grand sourire, justement le Prince Ali m'a invité personnellement.
-et ton frère ?
-il est rentré chez mes parents, il doit voir mon père qui est très mécontent après lui, mon oncle se serait plaint mais je ne sais pas pourquoi.
-mais ton oncle sera là pour le match ?
-je ne sais pas, il ne m'a rien dit.
-écoute, dis je en le serrant contre moi, je vais tâcher de voir le Prince avant le match, lui en parler pour te donner une réponse ce jour là, ça te va mon petit Prince ?
Il s'est retourné d'un bloc, presque entièrement sur moi, ses beaux yeux me transperçaient tellement ils riaient.
-j'étais sûr que je pouvais compter sur toi Fabrice mon ami.
Et avant que je dise quelque chose, ses belles lèvres se posaient sur les miennes, ses yeux se fermaient et sa langue jouait l'intruse dans ma bouche pendant que ses bras m'enveloppaient le cou.
Quand il m'a regardé de nouveau, il était magnifique, ses yeux encore humides, brillaient, son sourire éclairait son visage. Je l'ai pris par le menton, et, prenant un air sévère aux yeux doux.
-dis donc mon petit Prince tu aurais pu me demander si j'aimais moi aussi les garçons !
Il ne bouge pas, mais il rit.
-ben tu es le copain de Jean Alexandre et, compte tenu qu'il passe ses nuits entre mon oncle et le prince Ali, que tu loges chez lui, que t'as passé la nuit chez mon oncle hier et que le bon Prince Ali t'a enlevé sous mes yeux l'autre soir… tu crois pas que ça fait de sérieux indices ?
Je rigole en maintenant son menton entre mon pouce et mon index, en l'attirant vers moi.
-mais c'est un vrai Sherlock Holmes mon petit Prince.
Je l'attire à moi, ses yeux ne me quittent pas. Il me tend ses lèvres entrouvertes mais je lui baisse la tête et lui fait des bisous sur son beau nez.
Il éclate de rire en me regardant.
-on ne m'a jamais fait ça et ça chatouille dit il en se frottant le nez.
-t'aimes pas ? dis je prenant un air inquiet.
-si si… recommence! et il approche son visage en fermant les yeux.
Je dépose un bisou sur son nez, il le fronce, un coup de langue et ma langue vient lui lécher les lèvres. Il ne bouge plus, ma main passe sur sa nuque et je l'approche de moi, jusqu'à ce que nos lèvres soient collées, bougent entre elles, ma langue passe partout, savourant le goût de ce jeune Prince. Il soupire, gémit. Ses yeux sont toujours fermés, il s'offre le petit Prince.
J'essaie de m'allonger sur le canapé pour qu'il soit sur moi.
-attend dit il, et je le vois prendre une télécommande, l'actionne, le siège du canapé s'avance et le dossier se met à plat. Gentiment il met un gros coussin sous ma tête et je sens son corps s'allonger sur moi, sa bouche reprendre la mienne et nos salives s'échangent.
Mes mains lui caressent le dos, les fesses et je me rends compte que c'est un garçon fin, aux petites fesses fermes, dures. Quand je touche ses fesses il pousse de petits gémissements.
Ses mains m'entourent le visage, il me dévisage, je vois ses yeux parcourir mon visage, m'étudiant minutieusement sérieux puis son visage s'éclaire avec son sourire, il se penche et me fait un bisou sur le nez, se recule, rigole et recommence avant de dire.
-c'est drôlement doux le nez!
Et c'est tout mon visage qui est baigné des bisous princiers. Il prend son temps, il papillonne sur mon visage lentement, ses lèvres humides sont chaudes et douces. J'ai la queue serrée dans mon pantalon.
-tu es mon premier français Fabrice, j'en ai jamais vu tout nu dit il en rougissant.
-et tu as vu d'autres étrangers nus ? j'ai demandé doucement.
-oui, un américain, un Escort que j'ai fait venir exprès mais j'ai été déçu tu peux pas savoir, il était beau, gentil c'est sûr, mais il n'y avait rien de naturel, aucune conversation ne pensant qu'à me montrer son gros sexe ou son cul. S'offrir comme une pute en disant "fuck", c'était son mot favori. J'ai été déçu et je n'ai jamais recommencé. Je n'ai que des garçons qataris avec lesquels je m'amuse mais il n'y a pas d'amour entre nous, ils disent tous "c'est en attendant que l'on se marrie" tu vois quelle vie nous avons, les jeunes !
-alors tu veux faire quoi avec moi mon petit Prince ?
-je veux que tu m'apprennes l'amour à la française, j'en entends tellement parler.
-tu sais, on fait bien l'amour quand deux personnes en ont envie, ensemble et qu'ils le font dans la douceur, la tendresse, sans forcer l'autre à faire ce qu'il ne veut pas, le respect de l'autre est primordial.
-tiens! faudrait que tu tiennes ce discours à mon oncle, lui me dit, "ce soir tu viens à la maison", il ne me demande pas si je peux, si j'ai autre chose.
-arrête de penser à ça Hakim et occupe toi de moi, fais de moi ce que tu veux, fais comme si j'étais ton cadeau obéissant à son magnifique petit Prince Hakim.
-mais... mais tu veux que je te fasse quoi ?
-si tu commençais déjà par ouvrir ton cadeau, enlever tout ce qui m'enveloppe et me découvrir.
Rapidement il défait les boutons de ma chemise, l'ouvre sur mon torse de blond, torse imberbe aux tétons qui pointent durs.
-quand tu aimes dis je doucement tu fais un bisou.
Il me fait des bisous sur les tétons, les regarde, passe ses mains dessus, joue d'un doigt avec le téton, cela me fait frémir. Le téton durcit encore plus, il dépose ses belles lèvres dessus et sa langue me lèche. Je ne peux m'empêcher de pousser un petit cri et de gémir. Il relève la tête inquiet et recommence pour passer au second. Il prend son temps, sa main enveloppe mon torse, le caresse.
J'aime sa main douce et chaude. Il me redresse pour m'enlever la chemise.
Et s'attaque à mon ceinturon, il peine à l'ouvrir, je le laisse faire. Il voit mon sexe bander à travers le pantalon, la grosse barre est là, il la touche de la paume de sa main en ouvrant ma braguette. Je soulève mes fesses, il baisse mon pantalon, et le voilà à genoux devant moi, m'enlevant mes chaussures, chaussettes et le pantalon suit.
Me voilà en boxer, plein à craquer, sur le dos, la tête sur un gros coussin regardant mon petit Prince qui me caresse des yeux mes jambes revêtues d'un duvet blond? mes cuisses, de belles cuisses française monsieur! et ses yeux s'attardent sur mon boxer. ses mains viennent se poser sur mes genoux, je bande, je fais bouger ma queue dans le boxer. je vois qu'il l'a vu? ses yeux me regardent? ses mains caressent mes cuisses en remontant, mais presqu'arrivé au boxer, il s'arrête, me regarde.
-et moi ? tu ne me déshabilles pas ? dit il d'un air malheureux.
Je me redresse, on se lève tous les deux, face à face. je défaits les boutons de sa robe devant mais je ne sais pas trop comment faire.
-j'ai jamais rien compris à vos habits dis je d'un air agacé.
Il rigole.
-soulève d'en bas.
J'obéis et je vois le petit Prince en marcel blanc, toujours les dessous infâme bouffant.
Je retire son marcel, il est mince, très mince. Sa peau brune est magnifique, sans aucun poil sur le torse, ses petits tétons pointent sur deux aréoles plus claires.
Je touche les tétons ensemble, en le fixant, les entourant de mon pouce et de l'index, et, sans serrer, je tourne doucement. Il ferme les yeux en soupirant, tendant sa poitrine à mes caresses. Je me penche et lui fait un bisou sur le nez, il ouvre les yeux et sourit.
Je serre les tétons un peu plus fort, il gémit encore, j'en lâche un pour le lécher, l'aspirer, le noyer de ma salive chaude pour le lécher encore et encore. Quand j'aspire le téton il pousse de petits cris, ses mains sont sur mes épaules, il ne bouge pas… il s'offre. Je suis certain à ce moment là que je vais pouvoir en faire ce que je veux.
Sans lâcher un téton, je me mets à genoux devant lui, passant ma langue partout sur son torse. C'est un faux maigre, certes il est mince, mais les abdos sont bien là, bien durs quand ma langue fore son nombril, il gémit encore plus fort et sa main me tient la tête dessus. Je lâche le téton pour que mes deux mains caressent ce beau corps lisse, chaud et doux. Il aime les caresses ce petit Prince.
Mes mains descendent du dos, passent sur ses fesses, j'ai eu l'impression qu'il les tendait aux caresses, mes mains sur les jambes enveloppées de ses dessous, pour les attraper de chaque côté et d'un mouvement sec je descends le caleçon informe en bas de ses pieds. Je lui fais retirer, j'enlève ses petites chaussettes et j'ai un petit Prince en boxer devant moi et un boxer bien rempli également.
Il bande mon petit chéri, et d'avoir un boxer blanc quand on mouille ça se voit qu'il est excité. Je lui fais des bisous sur les cuisses, regardant ce sexe emballé sans y toucher. Je me relève, pour le prendre dans mes bras, le coller à moi pour que nos corps, nos peaux fassent connaissance, qu'elles se transmettent la chaleur.
-voilà Hakim nous sommes à égalité maintenant.
Il sourit, me fait des bisous avant de m'accaparer les lèvres et sa langue revient jouer avec la mienne.
Un vrai bisounours le petit Prince, mais c'est pas pour me décevoir.
Je sens son corps onduler sur le mien, nos sexes se frotter lentement, ses bras m'entourent le cou comme s'il avait peur de me toucher. Les miennes lui caressent le dos, de bonnes caresses chaudes, appuyées, grattant légèrement avec mes ongles pour le faire frémir et gémir et mes mains viennent envelopper ses petites fesses, je les prends bien en mains l'appuyant encore plus contre moi.
Je malaxe, je pétris, je caresse, lui gémit, s'offre et je passe mes mains dans le boxer, il sursaute quand mes mains enveloppent ses fesses mais les tend à mes mains. Qu'elle est douce sa peau des fesses, elles sont dures et fermes et aiment les caresses. Sa tête se pose sur mon épaule, il gémit.
-ça va mon petit Prince ?
-oui je suis bien avec toi Fabrice, je le savais que tu étais un bon garçon!
-alors prêt pour la première leçon française ?
-oui dit il en revenant face à moi, yeux dans les yeux.
-alors je vais te manger Hakim des pieds à la tête. T'es peut être grand en taille mais je vais y arriver.
Il rigole en me regardant pas l'air inquiet du tout.
Tout en parlant je m'étais retourné avec lui dans les bras et je le pousse sur le divan qui fait lit maintenant. Je sens ses mains glisser de mon cou, il se retrouve sur le dos prêt à être consommé.
Je soulève ses jambes et pose ses pieds sur mon torse. Oh je n'avais pas remarqué qu'il a de très grands pieds le petit Prince, de longs orteils, même le gros orteil est long. Je prends un pied dans mes mains et je le scrute de tous les côtés. Il sent bon Hamid, je fais un bisous sous le gros orteil et je vois ses yeux s'étonner mais il ne bouge pas, me laisse faire. Mes lèvres parcourent les orteils dessous, leur faisant des bisous puis j'embrasse tout le pied, talon, dessous, là il rigole en se tortillant, et je reviens aux orteils, tenant fermement le pied, je passe mes lèvres sur le gros orteil en le fixant dans les yeux.
Lui fixe mes lèvres qui enveloppent et descendent sur son gros orteil pour disparaitre à sa vue et je le suce lentement comme je sucerais sa queue plus tard. Ses yeux pensent à ça également, car je vois sa queue bouger dans le boxer, elle sursaute. Alors je regarde sa queue et je suce le gros orteil plus rapidement. Il respire de plus en plus vite, sa main vient se toucher la queue, la bouger dans le boxer ce qui fait que je vois bien la tâche de mouille s'agrandir.
Je lui suce tous les orteils, deux par deux. Je vois que cela l'amuse, il bouge ses orteils dans ma bouche, je les noie de salive, ça coule sous ses pieds, je les lèche pour le voir se tortiller en riant.
Ma langue remonte sur la cheville, fine, je lève la jambe pour lui lécher le mollet, beau mollet recouvert d'un duvet noir. Gros muscle dur que je masse en léchant et venir faire des bisous à son genou.
Il s'est mis un coussin sous la tête et m'observe.
Mes mains remontent sur sa cuisse, l'enveloppant, la caressant. Je l'entends soupirer, il écarte les cuisses me donnant accès à l'intérieur de la cuisse. Toujours ce beau duvet doux, lèvres et langues passent dans l'intérieur remontant vers son sexe. Mais je lèche la cuisse, lui fait des bisous. Ses cuisses sont bien ouvertes. J'ai devant les yeux sa queue à peine voilée par le boxer blanc presque transparent. Le morceau est là, à ma merci, pour moi!
C'est mon nez qui vient se coller sur ses couilles, les bougeant pour les voir rouler, je le respire, le sniffe. La bonne odeur de mâle excité arrive à mes narines qui remontent le long de sa longue tige. Je la hume le plus fort possible et avec mes lèvres j'humidifie encore plus pour la voir apparaitre.
Je la mords, oh pas fort, mais je prends le morceau entre mes dents et le regarde comme un toutou qui vient de trouver le bon nonos.
Il a un sursaut avant de rire.
Je le mordille tout le long de sa verge, pour sentir un bon morceau de viande dur. Mes mains entrent en action et viennent retirer le boxer. Il soulève ses petites fesses, puis lève ses jambes pour que je puisse lui enlever. J'ai sous mon regard ses belles fesses et j'en ai envie.
Mais faut lui donner du plaisir au petit Prince, je vois qu'il en a envie. Sa belle bite circoncise au gros gland marron foncé coule en abondance, une mouille claire coule sur son ventre.
Lorsque ses jambes se sont rallongées, je lui lèche les couilles, de petites couilles serrées autour de la verge. Je lèche, les gobe, les avale, une par une et j'arrive à prendre les deux pour l'entendre gémir de plus en plus fort.
Sa belle queue bouge toute seule. Je lâche les couilles et ma langue suit la grosse veine pour aller jusqu'au gland, titille le frein et, quand mes lèvres chaudes se posent sur son gland c'est un grand "ohhhhhhhhh" qui sort de ses lèvres. Je le vois les yeux fermés, la langue tirée et ses jambes veulent bouger.
Mes lèvres restent sur son gland, pendant que ma main relève la queue, la tenant bien en main, la pressant doucement, la serrant quand mes lèvres enveloppent complètement le gland et que j'aspire la mouille qui ne cesse pas de couler. Les "Oh" n'en finissent pas, il se mord la lèvre, ses mains griffent le canapé et il tend bien sa queue.
Je serre bien son gland entre mes lèvres en aspirant et j'avale tout doucement sa queue prenant ses couilles en main et rapidement je le suce, je le pipe serrant bien sa grosse tige entre mes lèvres. Son gland me bloque le fond de la bouche mais c'est moi qui mène la danse.
Je l'entends marmonner en arabe les yeux toujours fermés.
Je le pipe de plus en plus vite, ses fesses commencent à se décoller du canapé. Je le laisse faire coulisser sa queue dans ma bouche.
Il crie en arabe, je le regarde, il ouvre les yeux et en même temps qu'il crie :
-je vais jouir!
Je reçois la première giclée et quelle giclée mes amis. Je sens sa sève se répandre dans ma bouche, j'avale malgré moi car les autres giclées suivent aussi fortes, aussi abondantes. Je continue de le piper, bien passer mes lèvres sur son gland sensible. Il crie, il râle et retombe, épuisé sur le canapé, me regarde, sourire aux lèvres.
Il allait dire quelque chose mais je relève ses jambes pour les coller sur son torse. Ses longues jambes bien ouvertes me donnent accès au petit cul princier. Il se tient sous les genoux et son beau petit cul est bien ouvert. Tout de suite je me penche dessus et mon jeu de langue reprend pour l'entendre à nouveau gémir et pousser de petits cris.
C'est bien ce que je pensais le petit Prince a déjà pris de la bite dans son petit cul et je prends un malin plaisir de lui lécher son petit trou qui s'ouvre facilement pour accueillir ma langue.
Lorsque ma langue s'enfonce dans son petit cul, j'ai vue sur ses couilles et sa grosse queue qui est repartie à bander.
Je lui ouvre encore plus les jambes, le penchant un peu sur le côté et ma langue entre encore plus profond. Quand je pose un doigt dessus, le petit trou s'ouvre bien, je m'enfonce en lui directement au plus profond pour lui caresser la paroi et l'entendre gueuler, gémir et pousser ses "oh" encore une fois.
Et je vois sa main venir s'emparer de sa queue, se caresser en cadence des caresses de mon doigt en lui. Je le sors et en rentre deux, en vissant, le forant encore et encore et je le doigte rapidement pour voir sa main s'accélérer sur sa queue, il marmonne en arabe, son cul est de plus en plus ouvert, sa main s'agite de plus en plus vite sur sa queue, ses petites couilles bougent de chaque côté de sa queue et, quand j'enfonce mes deux doigts au plus profond que je peux c'est pour l'entendre pousser un hurlement et voir des geysers de bon jus princier monter dans les airs et retomber sur son corps. Il râle, il grogne, joui encore, ses jambes retombent, mes doigts sont éjectés du cul princier.
Sa queue demi molle repose sur son ventre avec plein de tâche de sperme sur le corps. Ses doigts sont souillés de jus, il respire longuement la bouche ouverte, les yeux fermés.
Je rigole tout seul, je me redresse pour me pencher sur lui et lui lécher les doigts, léché le ventre, récupérer son jus, avancer vers sa bouche, déposer mes lèvres sur les siennes et lui donner son jus. Ses yeux s'écarquillent, mais il lèche ma langue et je recommence jusqu'à bien tout nettoyer avant de l'écraser sous mon corps, sentir ses bras m'envelopper et m'embrasser à pleine bouche, me regarder.
-tu m'as tué le français.
-ben pourtant c'est pas fini faudrait peut être que tu t'occupes de ton cadeau non ? je vais pas rester comme ça quand même!
Il rigole en me retournant pour venir sur moi.
-tu connais déjà la mode qatari mon ami dit il sournoisement.
-chaque individu a sa mode mon ami, j'aimerais bien connaitre la tienne et j'en ai pas fini avec toi petit Prince.
Il a commencé par m'embrasser encore et encore.
-comment va mon ami Fabrice ?
-je vais très bien Prince Hakim et toi ?
-je vais mieux maintenant que tu es là dit il avec un sourire coquin.
Il m'a entraîné en dehors de la salle, nous avons marché en parlant dans le grand centre. Je voyais bien qu'il faisait le fier à côté de moi, me mettant souvent la main sur l'épaule pour parler et surtout quand on croisait des amis à lui qui le saluaient avec respect.
-j'ai quelque chose à te demander me dit Prince Hakim, et c'est pas facile.
On était assis sur un banc, l'un à côté de l'autre. Il était penché en avant, il ne me regardait pas.
-tu peux me demander ce que tu veux Hakim, je répondrais si je sais bien sûr.
-je ne sais pas pourquoi, dit il en se tournant vers moi, me fixant de ses beaux yeux mais j'ai confiance en toi. Toi qui ne me connait pas, j'ai confiance en toi surtout depuis que je sais et que j'ai vu que le Prince Ali semblait bien t'apprécier. C'est un homme bon, un homme sûr en qui l'on peut avoir confiance, tu sais, alors si tu comptes, comme je l'ai vu hier parmi ses amis, c'est que toi aussi on peut te faire confiance.
Je l'ai regardé, et j'ai souri.
-demande Hakim, ne fait pas ton timide.
-oui mais on va ailleurs, j'ai une chambre dans cette tour on sera mieux pour discuter.
En disant cela, il avait baissé la tête et sa peau était devenue blanche.
J'avais envie de rire devant ce jeune qatari mais je me suis retenu. S'il avait envie de me mettre dans son lit ben j'étais d'accord, il devait être très beau tout nu.
-alors si tu veux on peut y aller.
J'ai dit oui, on s'est levé. Nous sommes allés prendre un ascenseur. Je l'ai vu appuyé sur le bouton du 36ème étage et nous sommes montés telle une fusée. J'avais les jambes qui tremblaient, lui regardait ailleurs, ne cherchant plus à me regarder dans les yeux.
Nous sommes arrivés dans un grand couloir avec différentes portes, éloignées les unes des autres. Il a ouvert au 12 et nous sommes rentrés dans sa "chambre", en fait c'est un petit appartement tout aménagé, salon, salle à manger, chambres, salle de bains. C'était magnifique.
-viens on va au salon.
Je m'installe dans le grand canapé.
-si tu veux boire un whisky j'en ai dit Hakim.
-tu sais je peux boire une orangeade.
-comme tu veux dit il en partant. Il revient et j'en suis resté la bouche ouverte.
Il revenait avec l'orangeade, du whisky, deux grands verres et il avait enlevé sa coiffe libérant de beaux cheveux frisés courts noirs corbeau, son visage ressortait, ses yeux étaient encore plus beau, il avait le sourire.
Il sert l'orangeade et vient s'asseoir à côté de moi.
On trinque en se regardant et, je m'aperçois que ses yeux sont tristes, il n'a plus son beau sourire, il baisse la tête.
Là je me demande vraiment ce qui se passe.
Je lui retire le verre de sa main et la prend dans la mienne.
-qu'est ce qui te tracasse tant mon ami ? je vois bien que tu es embêté alors si je peux t'aider, je le ferais.
-alors il faut que je te raconte tout depuis le début, mais tu sais j'ai honte tu vas être le premier à qui je vais raconter tout ce que j'ai sur le cœur.
-tu sais ça fait du bien de le faire et je te promets que, quoique tu me dises je ne te jugerais pas.
-alors assis toi bien dans le canapé, je vais te raconter mais je ne veux pas te regarder.
Je m'installe bien callé dans les grands coussins, il me tourne le dos et se laisse tomber sur mon épaule, sa tête dans mon cou, j'ai ses cheveux qui frottent. Il arrive à me prendre les mains dans les siennes, qu'il pose sur son ventre, il bouge la tête et commence.
-je vais te parler d'abord un peu de mon pays, le Qatar est un beau pays et je suis fier d'en faire partie mais c'est un pays dirigé par des vieux qui n'acceptent pas que les jeunes donnent leur avis. Bon les femmes chez nous, sont assez libres mais doivent encore demander la permission pour sortir, conduire et faire tout plein de choses, à l'heure où nous vivons c'est intolérable. Le monde entier nous insulte d'avoir organisé la coupe du Monde, d'avoir fait construire des stades climatisés et que des ouvriers y soient morts. Je peux te dire que c'est vrai, il y a eu de nombreux morts, oh tous étrangers, pas des Qataris, nous on paye et ils obéissent. Je crois que tout ceci doit changer.
J'aurais bien aimé voir ses yeux quand il me parlait, mais je sentais ses mains sur les miennes qui me serraient, les caressaient.
-et s'il n'y avait que ça! tiens parlons des LGBT, il ne faut pas dire dans ce pays qu'on aime coucher avec un homme! hypocrisie! nous les jeunes on n'a pas le droit de coucher avec des femmes avant le mariage. Oh! on a le droit de faire venir des putes, ça c'est vrai mais comment veux tu trouver une épouse si tu peux pas choisir, c'est ton père qui choisi pour toi ta première épouse, et t'as rien à dire. Alors les jeunes du pays ont pris l'habitude de coucher entre eux. On se soulage à deux ou plus, on fait des réunions où on se nique ensemble.
Il bouge sur moi, se retournant, sa tête sur ma poitrine, sa main vient me caresser la joue.
-et, j'y ai pris goût Fabrice, j'aime coucher avec un garçon, j'aime ce plaisir car je n'en connais pas d'autres. Je ne veux pas avoir à faire avec des prostituées, je vois mon père, il en a je ne sais combien qu'il entretient en plus de ma mère. C'est honteux et cela fait que j'ai peur Fabrice, peur que mon père apprenne que j'ai des amants, peur qu'il apprenne que je couche avec mon oncle, son frère.
Sa main me tenait la joue, ses épaules bougeaient en soubresauts, quand il a relevé la tête pour me regarder, les larmes coulaient sur son visage.
Je les ai essuyées avec mes doigts, caressant sa joue.
-faut lui dire non! dis je.
-parce que tu crois que c'est facile, d'abord il ne me demande pas mon avis.
-et ton frère Saïd ?
-je crois que lui aussi dit Hakim, mais quand je parle de notre oncle, il change toujours de conversations et critique ouvertement tout ce qui est gay.
-mais tu voudrais que je fasse quoi ?
-j'aimerais que tu parles au Prince Ali pour que mon frère et moi nous soyons sous sa protection comme ça mon oncle n'osera plus nous toucher du tout!
Je restais sans voix, cherchant dans ma petite tête comment j'allais pouvoir présenter ça à mon bon Prince.
-tu ne veux pas ? demande Hakim avec un air inquiet.
-si si mais je me demande comment je vais pouvoir lui parler de ça.
-tu sais j'aime beaucoup le Prince Ali et il me le rend bien, toujours un mot gentil, une caresse sur la joue, une tape sur l'épaule. J'aime bien parler avec lui, c'est un homme cultivé, pas comme mon oncle qui ne pense qu'à mettre un mec dans son lit et le baiser et se faire sucer.
-calme toi Hakim, on va bien trouver une solution quand même, je ne sais pas encore quand je revois le Prince, sûr pour le match de foot puisqu'on est dans sa grande loge.
-oh je viens aussi dit Hamid avec un grand sourire, justement le Prince Ali m'a invité personnellement.
-et ton frère ?
-il est rentré chez mes parents, il doit voir mon père qui est très mécontent après lui, mon oncle se serait plaint mais je ne sais pas pourquoi.
-mais ton oncle sera là pour le match ?
-je ne sais pas, il ne m'a rien dit.
-écoute, dis je en le serrant contre moi, je vais tâcher de voir le Prince avant le match, lui en parler pour te donner une réponse ce jour là, ça te va mon petit Prince ?
Il s'est retourné d'un bloc, presque entièrement sur moi, ses beaux yeux me transperçaient tellement ils riaient.
-j'étais sûr que je pouvais compter sur toi Fabrice mon ami.
Et avant que je dise quelque chose, ses belles lèvres se posaient sur les miennes, ses yeux se fermaient et sa langue jouait l'intruse dans ma bouche pendant que ses bras m'enveloppaient le cou.
Quand il m'a regardé de nouveau, il était magnifique, ses yeux encore humides, brillaient, son sourire éclairait son visage. Je l'ai pris par le menton, et, prenant un air sévère aux yeux doux.
-dis donc mon petit Prince tu aurais pu me demander si j'aimais moi aussi les garçons !
Il ne bouge pas, mais il rit.
-ben tu es le copain de Jean Alexandre et, compte tenu qu'il passe ses nuits entre mon oncle et le prince Ali, que tu loges chez lui, que t'as passé la nuit chez mon oncle hier et que le bon Prince Ali t'a enlevé sous mes yeux l'autre soir… tu crois pas que ça fait de sérieux indices ?
Je rigole en maintenant son menton entre mon pouce et mon index, en l'attirant vers moi.
-mais c'est un vrai Sherlock Holmes mon petit Prince.
Je l'attire à moi, ses yeux ne me quittent pas. Il me tend ses lèvres entrouvertes mais je lui baisse la tête et lui fait des bisous sur son beau nez.
Il éclate de rire en me regardant.
-on ne m'a jamais fait ça et ça chatouille dit il en se frottant le nez.
-t'aimes pas ? dis je prenant un air inquiet.
-si si… recommence! et il approche son visage en fermant les yeux.
Je dépose un bisou sur son nez, il le fronce, un coup de langue et ma langue vient lui lécher les lèvres. Il ne bouge plus, ma main passe sur sa nuque et je l'approche de moi, jusqu'à ce que nos lèvres soient collées, bougent entre elles, ma langue passe partout, savourant le goût de ce jeune Prince. Il soupire, gémit. Ses yeux sont toujours fermés, il s'offre le petit Prince.
J'essaie de m'allonger sur le canapé pour qu'il soit sur moi.
-attend dit il, et je le vois prendre une télécommande, l'actionne, le siège du canapé s'avance et le dossier se met à plat. Gentiment il met un gros coussin sous ma tête et je sens son corps s'allonger sur moi, sa bouche reprendre la mienne et nos salives s'échangent.
Mes mains lui caressent le dos, les fesses et je me rends compte que c'est un garçon fin, aux petites fesses fermes, dures. Quand je touche ses fesses il pousse de petits gémissements.
Ses mains m'entourent le visage, il me dévisage, je vois ses yeux parcourir mon visage, m'étudiant minutieusement sérieux puis son visage s'éclaire avec son sourire, il se penche et me fait un bisou sur le nez, se recule, rigole et recommence avant de dire.
-c'est drôlement doux le nez!
Et c'est tout mon visage qui est baigné des bisous princiers. Il prend son temps, il papillonne sur mon visage lentement, ses lèvres humides sont chaudes et douces. J'ai la queue serrée dans mon pantalon.
-tu es mon premier français Fabrice, j'en ai jamais vu tout nu dit il en rougissant.
-et tu as vu d'autres étrangers nus ? j'ai demandé doucement.
-oui, un américain, un Escort que j'ai fait venir exprès mais j'ai été déçu tu peux pas savoir, il était beau, gentil c'est sûr, mais il n'y avait rien de naturel, aucune conversation ne pensant qu'à me montrer son gros sexe ou son cul. S'offrir comme une pute en disant "fuck", c'était son mot favori. J'ai été déçu et je n'ai jamais recommencé. Je n'ai que des garçons qataris avec lesquels je m'amuse mais il n'y a pas d'amour entre nous, ils disent tous "c'est en attendant que l'on se marrie" tu vois quelle vie nous avons, les jeunes !
-alors tu veux faire quoi avec moi mon petit Prince ?
-je veux que tu m'apprennes l'amour à la française, j'en entends tellement parler.
-tu sais, on fait bien l'amour quand deux personnes en ont envie, ensemble et qu'ils le font dans la douceur, la tendresse, sans forcer l'autre à faire ce qu'il ne veut pas, le respect de l'autre est primordial.
-tiens! faudrait que tu tiennes ce discours à mon oncle, lui me dit, "ce soir tu viens à la maison", il ne me demande pas si je peux, si j'ai autre chose.
-arrête de penser à ça Hakim et occupe toi de moi, fais de moi ce que tu veux, fais comme si j'étais ton cadeau obéissant à son magnifique petit Prince Hakim.
-mais... mais tu veux que je te fasse quoi ?
-si tu commençais déjà par ouvrir ton cadeau, enlever tout ce qui m'enveloppe et me découvrir.
Rapidement il défait les boutons de ma chemise, l'ouvre sur mon torse de blond, torse imberbe aux tétons qui pointent durs.
-quand tu aimes dis je doucement tu fais un bisou.
Il me fait des bisous sur les tétons, les regarde, passe ses mains dessus, joue d'un doigt avec le téton, cela me fait frémir. Le téton durcit encore plus, il dépose ses belles lèvres dessus et sa langue me lèche. Je ne peux m'empêcher de pousser un petit cri et de gémir. Il relève la tête inquiet et recommence pour passer au second. Il prend son temps, sa main enveloppe mon torse, le caresse.
J'aime sa main douce et chaude. Il me redresse pour m'enlever la chemise.
Et s'attaque à mon ceinturon, il peine à l'ouvrir, je le laisse faire. Il voit mon sexe bander à travers le pantalon, la grosse barre est là, il la touche de la paume de sa main en ouvrant ma braguette. Je soulève mes fesses, il baisse mon pantalon, et le voilà à genoux devant moi, m'enlevant mes chaussures, chaussettes et le pantalon suit.
Me voilà en boxer, plein à craquer, sur le dos, la tête sur un gros coussin regardant mon petit Prince qui me caresse des yeux mes jambes revêtues d'un duvet blond? mes cuisses, de belles cuisses française monsieur! et ses yeux s'attardent sur mon boxer. ses mains viennent se poser sur mes genoux, je bande, je fais bouger ma queue dans le boxer. je vois qu'il l'a vu? ses yeux me regardent? ses mains caressent mes cuisses en remontant, mais presqu'arrivé au boxer, il s'arrête, me regarde.
-et moi ? tu ne me déshabilles pas ? dit il d'un air malheureux.
Je me redresse, on se lève tous les deux, face à face. je défaits les boutons de sa robe devant mais je ne sais pas trop comment faire.
-j'ai jamais rien compris à vos habits dis je d'un air agacé.
Il rigole.
-soulève d'en bas.
J'obéis et je vois le petit Prince en marcel blanc, toujours les dessous infâme bouffant.
Je retire son marcel, il est mince, très mince. Sa peau brune est magnifique, sans aucun poil sur le torse, ses petits tétons pointent sur deux aréoles plus claires.
Je touche les tétons ensemble, en le fixant, les entourant de mon pouce et de l'index, et, sans serrer, je tourne doucement. Il ferme les yeux en soupirant, tendant sa poitrine à mes caresses. Je me penche et lui fait un bisou sur le nez, il ouvre les yeux et sourit.
Je serre les tétons un peu plus fort, il gémit encore, j'en lâche un pour le lécher, l'aspirer, le noyer de ma salive chaude pour le lécher encore et encore. Quand j'aspire le téton il pousse de petits cris, ses mains sont sur mes épaules, il ne bouge pas… il s'offre. Je suis certain à ce moment là que je vais pouvoir en faire ce que je veux.
Sans lâcher un téton, je me mets à genoux devant lui, passant ma langue partout sur son torse. C'est un faux maigre, certes il est mince, mais les abdos sont bien là, bien durs quand ma langue fore son nombril, il gémit encore plus fort et sa main me tient la tête dessus. Je lâche le téton pour que mes deux mains caressent ce beau corps lisse, chaud et doux. Il aime les caresses ce petit Prince.
Mes mains descendent du dos, passent sur ses fesses, j'ai eu l'impression qu'il les tendait aux caresses, mes mains sur les jambes enveloppées de ses dessous, pour les attraper de chaque côté et d'un mouvement sec je descends le caleçon informe en bas de ses pieds. Je lui fais retirer, j'enlève ses petites chaussettes et j'ai un petit Prince en boxer devant moi et un boxer bien rempli également.
Il bande mon petit chéri, et d'avoir un boxer blanc quand on mouille ça se voit qu'il est excité. Je lui fais des bisous sur les cuisses, regardant ce sexe emballé sans y toucher. Je me relève, pour le prendre dans mes bras, le coller à moi pour que nos corps, nos peaux fassent connaissance, qu'elles se transmettent la chaleur.
-voilà Hakim nous sommes à égalité maintenant.
Il sourit, me fait des bisous avant de m'accaparer les lèvres et sa langue revient jouer avec la mienne.
Un vrai bisounours le petit Prince, mais c'est pas pour me décevoir.
Je sens son corps onduler sur le mien, nos sexes se frotter lentement, ses bras m'entourent le cou comme s'il avait peur de me toucher. Les miennes lui caressent le dos, de bonnes caresses chaudes, appuyées, grattant légèrement avec mes ongles pour le faire frémir et gémir et mes mains viennent envelopper ses petites fesses, je les prends bien en mains l'appuyant encore plus contre moi.
Je malaxe, je pétris, je caresse, lui gémit, s'offre et je passe mes mains dans le boxer, il sursaute quand mes mains enveloppent ses fesses mais les tend à mes mains. Qu'elle est douce sa peau des fesses, elles sont dures et fermes et aiment les caresses. Sa tête se pose sur mon épaule, il gémit.
-ça va mon petit Prince ?
-oui je suis bien avec toi Fabrice, je le savais que tu étais un bon garçon!
-alors prêt pour la première leçon française ?
-oui dit il en revenant face à moi, yeux dans les yeux.
-alors je vais te manger Hakim des pieds à la tête. T'es peut être grand en taille mais je vais y arriver.
Il rigole en me regardant pas l'air inquiet du tout.
Tout en parlant je m'étais retourné avec lui dans les bras et je le pousse sur le divan qui fait lit maintenant. Je sens ses mains glisser de mon cou, il se retrouve sur le dos prêt à être consommé.
Je soulève ses jambes et pose ses pieds sur mon torse. Oh je n'avais pas remarqué qu'il a de très grands pieds le petit Prince, de longs orteils, même le gros orteil est long. Je prends un pied dans mes mains et je le scrute de tous les côtés. Il sent bon Hamid, je fais un bisous sous le gros orteil et je vois ses yeux s'étonner mais il ne bouge pas, me laisse faire. Mes lèvres parcourent les orteils dessous, leur faisant des bisous puis j'embrasse tout le pied, talon, dessous, là il rigole en se tortillant, et je reviens aux orteils, tenant fermement le pied, je passe mes lèvres sur le gros orteil en le fixant dans les yeux.
Lui fixe mes lèvres qui enveloppent et descendent sur son gros orteil pour disparaitre à sa vue et je le suce lentement comme je sucerais sa queue plus tard. Ses yeux pensent à ça également, car je vois sa queue bouger dans le boxer, elle sursaute. Alors je regarde sa queue et je suce le gros orteil plus rapidement. Il respire de plus en plus vite, sa main vient se toucher la queue, la bouger dans le boxer ce qui fait que je vois bien la tâche de mouille s'agrandir.
Je lui suce tous les orteils, deux par deux. Je vois que cela l'amuse, il bouge ses orteils dans ma bouche, je les noie de salive, ça coule sous ses pieds, je les lèche pour le voir se tortiller en riant.
Ma langue remonte sur la cheville, fine, je lève la jambe pour lui lécher le mollet, beau mollet recouvert d'un duvet noir. Gros muscle dur que je masse en léchant et venir faire des bisous à son genou.
Il s'est mis un coussin sous la tête et m'observe.
Mes mains remontent sur sa cuisse, l'enveloppant, la caressant. Je l'entends soupirer, il écarte les cuisses me donnant accès à l'intérieur de la cuisse. Toujours ce beau duvet doux, lèvres et langues passent dans l'intérieur remontant vers son sexe. Mais je lèche la cuisse, lui fait des bisous. Ses cuisses sont bien ouvertes. J'ai devant les yeux sa queue à peine voilée par le boxer blanc presque transparent. Le morceau est là, à ma merci, pour moi!
C'est mon nez qui vient se coller sur ses couilles, les bougeant pour les voir rouler, je le respire, le sniffe. La bonne odeur de mâle excité arrive à mes narines qui remontent le long de sa longue tige. Je la hume le plus fort possible et avec mes lèvres j'humidifie encore plus pour la voir apparaitre.
Je la mords, oh pas fort, mais je prends le morceau entre mes dents et le regarde comme un toutou qui vient de trouver le bon nonos.
Il a un sursaut avant de rire.
Je le mordille tout le long de sa verge, pour sentir un bon morceau de viande dur. Mes mains entrent en action et viennent retirer le boxer. Il soulève ses petites fesses, puis lève ses jambes pour que je puisse lui enlever. J'ai sous mon regard ses belles fesses et j'en ai envie.
Mais faut lui donner du plaisir au petit Prince, je vois qu'il en a envie. Sa belle bite circoncise au gros gland marron foncé coule en abondance, une mouille claire coule sur son ventre.
Lorsque ses jambes se sont rallongées, je lui lèche les couilles, de petites couilles serrées autour de la verge. Je lèche, les gobe, les avale, une par une et j'arrive à prendre les deux pour l'entendre gémir de plus en plus fort.
Sa belle queue bouge toute seule. Je lâche les couilles et ma langue suit la grosse veine pour aller jusqu'au gland, titille le frein et, quand mes lèvres chaudes se posent sur son gland c'est un grand "ohhhhhhhhh" qui sort de ses lèvres. Je le vois les yeux fermés, la langue tirée et ses jambes veulent bouger.
Mes lèvres restent sur son gland, pendant que ma main relève la queue, la tenant bien en main, la pressant doucement, la serrant quand mes lèvres enveloppent complètement le gland et que j'aspire la mouille qui ne cesse pas de couler. Les "Oh" n'en finissent pas, il se mord la lèvre, ses mains griffent le canapé et il tend bien sa queue.
Je serre bien son gland entre mes lèvres en aspirant et j'avale tout doucement sa queue prenant ses couilles en main et rapidement je le suce, je le pipe serrant bien sa grosse tige entre mes lèvres. Son gland me bloque le fond de la bouche mais c'est moi qui mène la danse.
Je l'entends marmonner en arabe les yeux toujours fermés.
Je le pipe de plus en plus vite, ses fesses commencent à se décoller du canapé. Je le laisse faire coulisser sa queue dans ma bouche.
Il crie en arabe, je le regarde, il ouvre les yeux et en même temps qu'il crie :
-je vais jouir!
Je reçois la première giclée et quelle giclée mes amis. Je sens sa sève se répandre dans ma bouche, j'avale malgré moi car les autres giclées suivent aussi fortes, aussi abondantes. Je continue de le piper, bien passer mes lèvres sur son gland sensible. Il crie, il râle et retombe, épuisé sur le canapé, me regarde, sourire aux lèvres.
Il allait dire quelque chose mais je relève ses jambes pour les coller sur son torse. Ses longues jambes bien ouvertes me donnent accès au petit cul princier. Il se tient sous les genoux et son beau petit cul est bien ouvert. Tout de suite je me penche dessus et mon jeu de langue reprend pour l'entendre à nouveau gémir et pousser de petits cris.
C'est bien ce que je pensais le petit Prince a déjà pris de la bite dans son petit cul et je prends un malin plaisir de lui lécher son petit trou qui s'ouvre facilement pour accueillir ma langue.
Lorsque ma langue s'enfonce dans son petit cul, j'ai vue sur ses couilles et sa grosse queue qui est repartie à bander.
Je lui ouvre encore plus les jambes, le penchant un peu sur le côté et ma langue entre encore plus profond. Quand je pose un doigt dessus, le petit trou s'ouvre bien, je m'enfonce en lui directement au plus profond pour lui caresser la paroi et l'entendre gueuler, gémir et pousser ses "oh" encore une fois.
Et je vois sa main venir s'emparer de sa queue, se caresser en cadence des caresses de mon doigt en lui. Je le sors et en rentre deux, en vissant, le forant encore et encore et je le doigte rapidement pour voir sa main s'accélérer sur sa queue, il marmonne en arabe, son cul est de plus en plus ouvert, sa main s'agite de plus en plus vite sur sa queue, ses petites couilles bougent de chaque côté de sa queue et, quand j'enfonce mes deux doigts au plus profond que je peux c'est pour l'entendre pousser un hurlement et voir des geysers de bon jus princier monter dans les airs et retomber sur son corps. Il râle, il grogne, joui encore, ses jambes retombent, mes doigts sont éjectés du cul princier.
Sa queue demi molle repose sur son ventre avec plein de tâche de sperme sur le corps. Ses doigts sont souillés de jus, il respire longuement la bouche ouverte, les yeux fermés.
Je rigole tout seul, je me redresse pour me pencher sur lui et lui lécher les doigts, léché le ventre, récupérer son jus, avancer vers sa bouche, déposer mes lèvres sur les siennes et lui donner son jus. Ses yeux s'écarquillent, mais il lèche ma langue et je recommence jusqu'à bien tout nettoyer avant de l'écraser sous mon corps, sentir ses bras m'envelopper et m'embrasser à pleine bouche, me regarder.
-tu m'as tué le français.
-ben pourtant c'est pas fini faudrait peut être que tu t'occupes de ton cadeau non ? je vais pas rester comme ça quand même!
Il rigole en me retournant pour venir sur moi.
-tu connais déjà la mode qatari mon ami dit il sournoisement.
-chaque individu a sa mode mon ami, j'aimerais bien connaitre la tienne et j'en ai pas fini avec toi petit Prince.
Il a commencé par m'embrasser encore et encore.
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