Le Mondial 2022 : 8ème de finale 8
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 156 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Nico T ont reçu un total de 308 386 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 426 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le Mondial 2022 : 8ème de finale 8
Les bisous n'arrêtaient pas, ses mains me caressaient les joues, il souriait.
-j'ai envie de toi mon beau français.
-je suis à toi je t'ai dit tout à l'heure, ton cadeau.
-oui mais j'ai envie de toi en moi, je veux ton jus en moi. J'aime ça tu peux pas savoir dit il en baissant les yeux.
-alors faut tout que je fasse moi-même dis je en riant. En toi ? tu veux dire là ? dis je en touchant ses lèvres, ou là? en tapant sur sa fesse.
Il rigole, s'allonge sur moi et me souffle à l'oreille.
-les deux mon beau français, les deux.
-alors tu m'obéis en tout ce que je vais te demander ?
-oui dit il les yeux brillants.
-viens je vais te le dire à l'oreille et après tu me fais tout.
Docilement il m'écrase de son corps, collant son oreille à mes lèvres.
-tu vas commencer par m'enlever mon boxer que ma queue française respire et ensuite…
Il a écouté comme un élève écoute une leçon, m'a regardé avec un grand sourire. Ses mains ont parcouru mon torse, me caressant de ses belles grandes mains chaudes et douces.
M'a enlevé mon boxer, et s'est mis à genoux entre mes jambes regardant ma queue sur mon ventre, le gland a demi décalotté d'où la mouille s'écoulait sur ma toison jaune or. Je l'ai vu froncer ses sourcils et me regarder.
-oui je ne suis pas circoncis Hakim, il faut que tu fasses bouger la peau, le prépuce.
Il a pris ma queue en main, la serrant et a descendu la peau, laissant apparaitre le gland. J'ai vu ses yeux s'émerveiller, il a recommencé lentement, admirant le prépuce recouvrir le gland puis s'enlever. Sa main m'excitait.
Il s'est redressé pour mettre sa queue raide à côté de la mienne, les superposer et branler doucement les deux. Une bite circoncise et l'autre non, se côtoyer, mélangeant leur mouille.
Il s'est amusé un moment comme ça pour finir par s'allonger entre mes jambes, la tête au niveau de mes couilles qu'il s'est mis à lécher et il s'appliquait le petit Prince. Je l'entendais me sniffer. Il m'a dégusté avant de s'attaquer à ma queue. J'ai failli jouir dès que ses lèvres m'ont touché le gland tellement j'appréciais ce qu'il faisait et sentir ma queue entrer dans sa bouche, mon gland glisser sur sa langue, toucher son palais, s'enfoncer jusqu'à la gorge.
Tellement gourmand qu'il a toussé, craché mais a maintenu ma queue bien au fond et s'est mis à me piper. Une belle pipe qatari par un petit Prince qui n'en n'était pas à sa première!
Ah il me l'a bouffée la queue, bouffée, léchée, aspirée, sucée. Quand il sentait ma queue durcir en lui, il la remettait à l'air libre pour observer le prépuce. Cela l'amusait et revenait à la charge jusqu'au moment où je n'en pouvais plus, ça bouillonnait en moi, quand ma queue fût bien au fond, j'ai tenu sa tête, soulevant mes fesses pour donner un coup de reins et j'ai joui au fond de sa bouche sur sa langue. En fin de compte c'est lui qui gémissait le plus.
Je jouissais et il avalait sans problème pour me regarder et sourire.
Je l'ai attiré à moi, pour l'embrasser, lui lécher la langue, sentir mon jus. Il ronronnait comme moi le petit Prince.
-il ne reste plus que mon cul dit Hamid en riant.
-et le mien ? tu oublies ?
-non non dit il.
-tu bandes bien là ?
-oui dit il fièrement.
-alors occupe toi de mon cul, bouffe le avec ta langue et nique moi mon beau Prince.
Sans attendre sa réponse je me suis retourné pour me mettre à quatre pattes et lui tendre bien mes fesses.
S'il avait eu une moustache, j'aurais cru que c'était le Prince Ali, même façon d'honorer un cul, même façon de le lécher, de le préparer, de faire gémir, me faire gémir et je me suis offert.
J'ai aimé sa langue me forer, ses doigts fins me caresser l'intérieur et ses gémissements.
Quand il a rentré son bel engin, il l'a fait avec tendresse, gentillesse. Son beau morceau m'a ouvert délicatement, et s'est enfoncé lentement pendant que ses mains me caressaient les fesses, le dos, les hanches. J'ai crié quand le gland est passé. Il s'est excusé le chéri, me caressant encore plus tendrement, avant de poursuivre sa percée jusqu'à ce que je sente ses petits poils durs contre mes fesses et ses couilles toucher les miennes.
Je sentais sa grosse queue palpiter en moi. Il n'osait plus bouger, c'est moi qui ai commencé à faire des vas et viens. Mon conduit chaud a dû l'exciter, car j'ai senti ses mains se raffermirent sur mes hanches, comme s'il voulait me bloquer et c'est lui qui a fait les vas et viens. Courts au départ et de plus en plus amples jusqu'à presque sortir sa queue de mon cul et la rentrer très fermement me faisant crier à chaque fois. Rien à voir avec son tonton ou avec le Prince Ali.
Et je me suis fait ramoner comme un chef, il était endurant le petit Prince. Je me suis redressé pour coller mon dos contre son torse, ma tête tournée vers lui, quémandant un bisou qu'il me donne.
-nique moi mon petit Prince, nique moi bien! j'aime ça tu sais!
Il a souri, m'a repoussé en avant et ses vas et viens se sont faits de suite plus rapide… niquer, niquer! j'étais bien niquer par ce jeune qatari jusqu'à ce qu'il se bloque au fond de moi et que son bon jus chaud se répande en moi. J'ai cru qu'il n'allait jamais arrêter et il gueulait aussi fort que moi à chaque giclée.
Il a sorti son gros zob, me tenant toujours les fesses écartées. J'ai senti son souffle venir sur mon trou ouvert, son jus devait sortir et il a léché en me faisant des bisous sur les fesses.
Il est venu s'allonger près de moi, me prenant dans ses bras et les bisous ont recommencé.
-je crois que j'ai jamais tant juter dans le cul de quelqu'un dit il l'air émerveillé.
-c'est le cul français qui fait ça dis je en riant.
-je t'ai pas fait mal quand même ? prenant son air inquiet.
-non Hakim ne t'en fais pas!
C'était mignon de poser la question.
Il se serrait contre moi, je l'ai pris dans mes bras, le caressant tendrement, bisous sur le nez.
-t'as pas faim? dit il, car c'est l'heure, si tu veux je commande et on mange tous les deux et après tu restes bien dormir avec moi ?
-oh si c'est uniquement pour dormir dis je sans rire.
-j'aimerais tant que tu restes tu sais à moins bien sûr que tu préfères rejoindre le Prince Ali.
-ne sois pas jaloux mon petit Prince, profitons du moment que l'on va passer ensemble, bien sûr que je vais rester passer la nuit avec toi… dormir, mais aussi m'occuper de ton beau petit cul, t'as pas oublié quand même ?
-non j'ai pas oublié, j'attends ça avec impatience tu sais.
J'ai eu droit a encore une séance de bisous, de baisers, de caresses.
Il a pris son téléphone et a commandé à manger, livraison dans un quart d'heure.
-tu vas mettre un peignoir dit il et rester dans la chambre là-bas le temps que le livreur entre dans l'appartement, je ne veux pas qu'il te voit.
-pas de problème Hakim.
Je ne sais pas trop ce qu'on a mangé, pour moi c'était un genre de couscous, en tout cas c'était bon et très épicé.
J'ai eu droit à un whisky avec insistance, lui n'en a pas bu.
Il était amoureux le petit Prince, je le voyais dans son regard quand il me regardait. Il était doux dans ses gestes, toujours prévenant et n'arrêtait pas de me parler du prince Ali, au cas où j'aurais oublié.
J'ai appelé Jean Alexandre pour lui dire que je ne rentrais pas, sans lui dire où j'étais compte tenu qu'Hakim écoutait, mais il l'a bien compris quand je l'ai entendu ricaner, et me souhaiter bonne nuit.
Puis on s'est remis dans le canapé qui avait retrouvé sa forme normale.
On était en peignoir tous les deux. Il est venu s'asseoir à califourchon sur mes genoux, face à moi.
-comment tu connais Jean Alexandre ?
Il a fallu que je lui raconte en détails notre rencontre, notre vie ensemble tous les deux, il écoutait religieusement et buvait mes paroles.
-mais alors maintenant t'es tout seul ?
-oh pas tout le temps tu sais, je suis un beau mec quand même ? non ?
Il rigole.
-oh oui tu es le plus beau des français.
-bien sûr tu connais que moi.
-non je connais aussi Jean Alexandre.
-ah il t'a touché ton petit cul Jean Alexandre ?
-ah ah non, j'ai jamais rien fait avec lui, pourtant j'ai essayé de l'inviter ici, mais il n'a jamais voulu… tu sais pourquoi ?
-non il ne m'en a pas parlé.
-peut être parce qu'il fait ça avec mon oncle et qu'il a peur qu'il l'apprenne. D'ailleurs t'as l'intention de le revoir mon oncle ?
-non Hakim avec tout ce que tu m'as dit, je n'ai plus envie de le voir du tout!
-et avec le Prince Ali ? tu fais quoi ?
-et le petit Prince Hakim, il arrête quand de poser des questions très indiscrètes ?
-excuse moi, c'est vrai je veux toujours tout savoir… Mais tu crois que le Prince Ali voudra de moi ? moi je m'offre à lui tu sais, car je sais que je serais tranquille après…
Je l'ai serré contre moi tendrement.
J'en revenais pas de cette discussion, en gros il voulait que je le mette dans le lit d'Ali, se faire baiser pour que son oncle lui fiche la paix.
-Mais dis moi Fabrice, tu l'aimes beaucoup le Prince Ali ?
-oui ça je peux te répondre, je l'aime beaucoup, c'est un homme gentil, cultivé et je suis bien en sa compagnie et je pense qu'il me le rend bien.
-tu es envoutant Fabrice. Je n'avais jamais vu de blond… enfin tout nu et tes poils sont magnifiques… c'est sûr que ça plait à tous les qataris.
-bien sûr que ça plait tout le monde est fou de mes poils, t'as vu même toi. Je t'ai observé quand tu me suçais tu les touchais souvent et tu vas pouvoir les toucher toute la nuit mon petit Hakim.
Il se penche à mon oreille et me dit tout bas.
-tu sais je suis prêt à me faire niquer par le Prince, je veux lui appartenir, je l'aime ce Prince, je veux être à ses côtés, l'aider… alors mon ami je compte sur toi pour que ça réussisse.
-il n'y a pas de raison Hakim, tu es un très beau garçon, t'aimes faire l'amour alors ça devrait lui plaire. En plus tu es doux, caressant, collant même dis je en riant, mais c'est un tel plaisir de t'avoir dans ses bras. Alors si monsieur le petit Prince veut bien que je le nique que je baise son petit trou si accueillant à ma langue et mes doigts que je suis sûr que ma queue va être bien.
Il rigole, me fait des bisous sur le nez.
-alors montre moi mon français adoré!
Je l'ai relevé le tenant dans mes bras et je l'ai emmené dans une des chambres le jetant sur le lit. J'enlève mon peignoir, il retire le sien et il fixe ma queue bien raide qui le regarde et, immédiatement se met à quatre pattes, juste au bord du lit, ses belles petites fesses bien écartées, je vois l'anus qui m'attend. Je donne quelques claques sur les belles fesses, il se retourne en disant "eh!" mais je le frappe doucement en le regardant, il rigole et tend ses fesses.
Je finis par des bisous pour revenir lécher son petit trou, qui doit reconnaitre ma langue car il s'offre de suite et j'entend Hakim gémir comme un malade. Ses mains viennent ouvrir encore plus ses fesses, sa tête sur les draps, le cul bien haut, bien ouvert je le fore avec ma langue, il s'ouvre facilement et deux doigts le laissent bien ouvert. Je vois qu'il pousse pour le garder ouvert. Je caresse la paroi d'un doigt humide pour l'entendre crier et gémir.
J'ai envie de le niquer comme ils disent, je sens ma queue raide qui coule, le gland s'est décalotté entièrement tout seul. Il doit savoir qu'il va visiter un nouveau cul.
J'ai juste posé mon gland sur l'entrée, que ce petit coquin d'Hakim recule rapidement dessus et dans un hurlement se sodomise tout seul sur ma queue. Il s'arrête à mi chemin, mais le gland est bien entré.
Je le bloque aux reins. Je l'entends souffler, pas le temps de respirer je donne un coup de reins sec et ma queue s'enfonce dans le petit Prince qui continu à gueuler, couine mais ne cherche pas à se retirer.
Il se redresse, pour s'enfoncer encore plus dessus, se collant à moi, sa main prend ma tête et je sens sa langue me lécher les lèvres, je l'aspire en donnant un coup de reins, lui faisant bien sentir ma queue qui remonte dans son conduit. Il couine, mais s'offre.
Je lui martyrise les tétons, ses petits tétons durs en donnant des petits coups de reins.
Il gueule encore, ses mains sur les miennes qui tiennent ses tétons.
Je lâche tout, le pousse en avant, le reprend aux hanches et le baise comme un trou docile, faisant coulisser ma grosse queue en lui de toute sa longueur.
Je l'ai fait mettre sur le côté, sa jambe collée sur mon torse, j'ai fait des bisous à ses orteils, en donnant des coups de reins. J'ai branlé sa queue, serré ses couilles, le retourner, l'enfourner encore plus profond.
Il s'est toujours offert à mes coups de bite!
Quand j'ai joui, j'ai hurlé tellement c'était bon de remplir ce conduit, ce petit cul princier, alors les giclées se sont succédées le remplissant.
Il a hurlé en même temps que moi puis les gémissements sont arrivés.
Je suis sorti délicatement de son trou le laissant se refermer.
Il s'est retourné pour me prendre dans ses bras, m'a regardé tendrement.
-je t'aime mon français adoré.
Avant que je puisse répondre, j'avais sa langue au fond de la gorge.
Je l'ai entraîné sur le lit, bouches cousues entre elles, on s'est allongé, nos jambes se sont emmêlées, je sentais son sexe contre le mien. Son long corps souple et fin se frotter au mien plus mastoc quand même.
Il s'est séparé de moi pour respirer, m'a regardé.
-tu m'aimes ?
Je l'ai fixé, faisant mes yeux les plus doux possible.
-oui mon petit Prince chéri, oui je t'aime, j'aime te tenir dans mes bras, sentir tes lèvres sur les miennes, goûter ta langue, apprécier ton corps contre le mien, ta peau douce et chaude, j'aime t'entendre rire, te voir sourire et j'aime autant te faire l'amour que toi tu me le fasses.
Ses yeux ne me quittaient et étaient embués. J'ai caressé sa joue, touchant ses lèvres de mon pouce, son nez, son beau nez fin.
-si on dormait un peu dis je tout bas, car je suis sûr qu'un coquin de petit Prince va me réveiller dans la nuit pour faire un jeu.
Il rigole.
-on dirait que tu me connais depuis longtemps mon français que j'aime.
Il s'est blotti dans mes bras, serré son corps contre le mien, comme s'il voulait entrer à l'intérieur. Sa main a pris la mienne, la serrant. Il m'a fait un bisou sur le nez, un grand sourire, il a fermé les yeux. Sa respiration s'est faite lente, j'avais son souffle sur le visage. J'ai fermé les yeux également.
J'étais bien, heureux comme jamais!
-j'ai envie de toi mon beau français.
-je suis à toi je t'ai dit tout à l'heure, ton cadeau.
-oui mais j'ai envie de toi en moi, je veux ton jus en moi. J'aime ça tu peux pas savoir dit il en baissant les yeux.
-alors faut tout que je fasse moi-même dis je en riant. En toi ? tu veux dire là ? dis je en touchant ses lèvres, ou là? en tapant sur sa fesse.
Il rigole, s'allonge sur moi et me souffle à l'oreille.
-les deux mon beau français, les deux.
-alors tu m'obéis en tout ce que je vais te demander ?
-oui dit il les yeux brillants.
-viens je vais te le dire à l'oreille et après tu me fais tout.
Docilement il m'écrase de son corps, collant son oreille à mes lèvres.
-tu vas commencer par m'enlever mon boxer que ma queue française respire et ensuite…
Il a écouté comme un élève écoute une leçon, m'a regardé avec un grand sourire. Ses mains ont parcouru mon torse, me caressant de ses belles grandes mains chaudes et douces.
M'a enlevé mon boxer, et s'est mis à genoux entre mes jambes regardant ma queue sur mon ventre, le gland a demi décalotté d'où la mouille s'écoulait sur ma toison jaune or. Je l'ai vu froncer ses sourcils et me regarder.
-oui je ne suis pas circoncis Hakim, il faut que tu fasses bouger la peau, le prépuce.
Il a pris ma queue en main, la serrant et a descendu la peau, laissant apparaitre le gland. J'ai vu ses yeux s'émerveiller, il a recommencé lentement, admirant le prépuce recouvrir le gland puis s'enlever. Sa main m'excitait.
Il s'est redressé pour mettre sa queue raide à côté de la mienne, les superposer et branler doucement les deux. Une bite circoncise et l'autre non, se côtoyer, mélangeant leur mouille.
Il s'est amusé un moment comme ça pour finir par s'allonger entre mes jambes, la tête au niveau de mes couilles qu'il s'est mis à lécher et il s'appliquait le petit Prince. Je l'entendais me sniffer. Il m'a dégusté avant de s'attaquer à ma queue. J'ai failli jouir dès que ses lèvres m'ont touché le gland tellement j'appréciais ce qu'il faisait et sentir ma queue entrer dans sa bouche, mon gland glisser sur sa langue, toucher son palais, s'enfoncer jusqu'à la gorge.
Tellement gourmand qu'il a toussé, craché mais a maintenu ma queue bien au fond et s'est mis à me piper. Une belle pipe qatari par un petit Prince qui n'en n'était pas à sa première!
Ah il me l'a bouffée la queue, bouffée, léchée, aspirée, sucée. Quand il sentait ma queue durcir en lui, il la remettait à l'air libre pour observer le prépuce. Cela l'amusait et revenait à la charge jusqu'au moment où je n'en pouvais plus, ça bouillonnait en moi, quand ma queue fût bien au fond, j'ai tenu sa tête, soulevant mes fesses pour donner un coup de reins et j'ai joui au fond de sa bouche sur sa langue. En fin de compte c'est lui qui gémissait le plus.
Je jouissais et il avalait sans problème pour me regarder et sourire.
Je l'ai attiré à moi, pour l'embrasser, lui lécher la langue, sentir mon jus. Il ronronnait comme moi le petit Prince.
-il ne reste plus que mon cul dit Hamid en riant.
-et le mien ? tu oublies ?
-non non dit il.
-tu bandes bien là ?
-oui dit il fièrement.
-alors occupe toi de mon cul, bouffe le avec ta langue et nique moi mon beau Prince.
Sans attendre sa réponse je me suis retourné pour me mettre à quatre pattes et lui tendre bien mes fesses.
S'il avait eu une moustache, j'aurais cru que c'était le Prince Ali, même façon d'honorer un cul, même façon de le lécher, de le préparer, de faire gémir, me faire gémir et je me suis offert.
J'ai aimé sa langue me forer, ses doigts fins me caresser l'intérieur et ses gémissements.
Quand il a rentré son bel engin, il l'a fait avec tendresse, gentillesse. Son beau morceau m'a ouvert délicatement, et s'est enfoncé lentement pendant que ses mains me caressaient les fesses, le dos, les hanches. J'ai crié quand le gland est passé. Il s'est excusé le chéri, me caressant encore plus tendrement, avant de poursuivre sa percée jusqu'à ce que je sente ses petits poils durs contre mes fesses et ses couilles toucher les miennes.
Je sentais sa grosse queue palpiter en moi. Il n'osait plus bouger, c'est moi qui ai commencé à faire des vas et viens. Mon conduit chaud a dû l'exciter, car j'ai senti ses mains se raffermirent sur mes hanches, comme s'il voulait me bloquer et c'est lui qui a fait les vas et viens. Courts au départ et de plus en plus amples jusqu'à presque sortir sa queue de mon cul et la rentrer très fermement me faisant crier à chaque fois. Rien à voir avec son tonton ou avec le Prince Ali.
Et je me suis fait ramoner comme un chef, il était endurant le petit Prince. Je me suis redressé pour coller mon dos contre son torse, ma tête tournée vers lui, quémandant un bisou qu'il me donne.
-nique moi mon petit Prince, nique moi bien! j'aime ça tu sais!
Il a souri, m'a repoussé en avant et ses vas et viens se sont faits de suite plus rapide… niquer, niquer! j'étais bien niquer par ce jeune qatari jusqu'à ce qu'il se bloque au fond de moi et que son bon jus chaud se répande en moi. J'ai cru qu'il n'allait jamais arrêter et il gueulait aussi fort que moi à chaque giclée.
Il a sorti son gros zob, me tenant toujours les fesses écartées. J'ai senti son souffle venir sur mon trou ouvert, son jus devait sortir et il a léché en me faisant des bisous sur les fesses.
Il est venu s'allonger près de moi, me prenant dans ses bras et les bisous ont recommencé.
-je crois que j'ai jamais tant juter dans le cul de quelqu'un dit il l'air émerveillé.
-c'est le cul français qui fait ça dis je en riant.
-je t'ai pas fait mal quand même ? prenant son air inquiet.
-non Hakim ne t'en fais pas!
C'était mignon de poser la question.
Il se serrait contre moi, je l'ai pris dans mes bras, le caressant tendrement, bisous sur le nez.
-t'as pas faim? dit il, car c'est l'heure, si tu veux je commande et on mange tous les deux et après tu restes bien dormir avec moi ?
-oh si c'est uniquement pour dormir dis je sans rire.
-j'aimerais tant que tu restes tu sais à moins bien sûr que tu préfères rejoindre le Prince Ali.
-ne sois pas jaloux mon petit Prince, profitons du moment que l'on va passer ensemble, bien sûr que je vais rester passer la nuit avec toi… dormir, mais aussi m'occuper de ton beau petit cul, t'as pas oublié quand même ?
-non j'ai pas oublié, j'attends ça avec impatience tu sais.
J'ai eu droit a encore une séance de bisous, de baisers, de caresses.
Il a pris son téléphone et a commandé à manger, livraison dans un quart d'heure.
-tu vas mettre un peignoir dit il et rester dans la chambre là-bas le temps que le livreur entre dans l'appartement, je ne veux pas qu'il te voit.
-pas de problème Hakim.
Je ne sais pas trop ce qu'on a mangé, pour moi c'était un genre de couscous, en tout cas c'était bon et très épicé.
J'ai eu droit à un whisky avec insistance, lui n'en a pas bu.
Il était amoureux le petit Prince, je le voyais dans son regard quand il me regardait. Il était doux dans ses gestes, toujours prévenant et n'arrêtait pas de me parler du prince Ali, au cas où j'aurais oublié.
J'ai appelé Jean Alexandre pour lui dire que je ne rentrais pas, sans lui dire où j'étais compte tenu qu'Hakim écoutait, mais il l'a bien compris quand je l'ai entendu ricaner, et me souhaiter bonne nuit.
Puis on s'est remis dans le canapé qui avait retrouvé sa forme normale.
On était en peignoir tous les deux. Il est venu s'asseoir à califourchon sur mes genoux, face à moi.
-comment tu connais Jean Alexandre ?
Il a fallu que je lui raconte en détails notre rencontre, notre vie ensemble tous les deux, il écoutait religieusement et buvait mes paroles.
-mais alors maintenant t'es tout seul ?
-oh pas tout le temps tu sais, je suis un beau mec quand même ? non ?
Il rigole.
-oh oui tu es le plus beau des français.
-bien sûr tu connais que moi.
-non je connais aussi Jean Alexandre.
-ah il t'a touché ton petit cul Jean Alexandre ?
-ah ah non, j'ai jamais rien fait avec lui, pourtant j'ai essayé de l'inviter ici, mais il n'a jamais voulu… tu sais pourquoi ?
-non il ne m'en a pas parlé.
-peut être parce qu'il fait ça avec mon oncle et qu'il a peur qu'il l'apprenne. D'ailleurs t'as l'intention de le revoir mon oncle ?
-non Hakim avec tout ce que tu m'as dit, je n'ai plus envie de le voir du tout!
-et avec le Prince Ali ? tu fais quoi ?
-et le petit Prince Hakim, il arrête quand de poser des questions très indiscrètes ?
-excuse moi, c'est vrai je veux toujours tout savoir… Mais tu crois que le Prince Ali voudra de moi ? moi je m'offre à lui tu sais, car je sais que je serais tranquille après…
Je l'ai serré contre moi tendrement.
J'en revenais pas de cette discussion, en gros il voulait que je le mette dans le lit d'Ali, se faire baiser pour que son oncle lui fiche la paix.
-Mais dis moi Fabrice, tu l'aimes beaucoup le Prince Ali ?
-oui ça je peux te répondre, je l'aime beaucoup, c'est un homme gentil, cultivé et je suis bien en sa compagnie et je pense qu'il me le rend bien.
-tu es envoutant Fabrice. Je n'avais jamais vu de blond… enfin tout nu et tes poils sont magnifiques… c'est sûr que ça plait à tous les qataris.
-bien sûr que ça plait tout le monde est fou de mes poils, t'as vu même toi. Je t'ai observé quand tu me suçais tu les touchais souvent et tu vas pouvoir les toucher toute la nuit mon petit Hakim.
Il se penche à mon oreille et me dit tout bas.
-tu sais je suis prêt à me faire niquer par le Prince, je veux lui appartenir, je l'aime ce Prince, je veux être à ses côtés, l'aider… alors mon ami je compte sur toi pour que ça réussisse.
-il n'y a pas de raison Hakim, tu es un très beau garçon, t'aimes faire l'amour alors ça devrait lui plaire. En plus tu es doux, caressant, collant même dis je en riant, mais c'est un tel plaisir de t'avoir dans ses bras. Alors si monsieur le petit Prince veut bien que je le nique que je baise son petit trou si accueillant à ma langue et mes doigts que je suis sûr que ma queue va être bien.
Il rigole, me fait des bisous sur le nez.
-alors montre moi mon français adoré!
Je l'ai relevé le tenant dans mes bras et je l'ai emmené dans une des chambres le jetant sur le lit. J'enlève mon peignoir, il retire le sien et il fixe ma queue bien raide qui le regarde et, immédiatement se met à quatre pattes, juste au bord du lit, ses belles petites fesses bien écartées, je vois l'anus qui m'attend. Je donne quelques claques sur les belles fesses, il se retourne en disant "eh!" mais je le frappe doucement en le regardant, il rigole et tend ses fesses.
Je finis par des bisous pour revenir lécher son petit trou, qui doit reconnaitre ma langue car il s'offre de suite et j'entend Hakim gémir comme un malade. Ses mains viennent ouvrir encore plus ses fesses, sa tête sur les draps, le cul bien haut, bien ouvert je le fore avec ma langue, il s'ouvre facilement et deux doigts le laissent bien ouvert. Je vois qu'il pousse pour le garder ouvert. Je caresse la paroi d'un doigt humide pour l'entendre crier et gémir.
J'ai envie de le niquer comme ils disent, je sens ma queue raide qui coule, le gland s'est décalotté entièrement tout seul. Il doit savoir qu'il va visiter un nouveau cul.
J'ai juste posé mon gland sur l'entrée, que ce petit coquin d'Hakim recule rapidement dessus et dans un hurlement se sodomise tout seul sur ma queue. Il s'arrête à mi chemin, mais le gland est bien entré.
Je le bloque aux reins. Je l'entends souffler, pas le temps de respirer je donne un coup de reins sec et ma queue s'enfonce dans le petit Prince qui continu à gueuler, couine mais ne cherche pas à se retirer.
Il se redresse, pour s'enfoncer encore plus dessus, se collant à moi, sa main prend ma tête et je sens sa langue me lécher les lèvres, je l'aspire en donnant un coup de reins, lui faisant bien sentir ma queue qui remonte dans son conduit. Il couine, mais s'offre.
Je lui martyrise les tétons, ses petits tétons durs en donnant des petits coups de reins.
Il gueule encore, ses mains sur les miennes qui tiennent ses tétons.
Je lâche tout, le pousse en avant, le reprend aux hanches et le baise comme un trou docile, faisant coulisser ma grosse queue en lui de toute sa longueur.
Je l'ai fait mettre sur le côté, sa jambe collée sur mon torse, j'ai fait des bisous à ses orteils, en donnant des coups de reins. J'ai branlé sa queue, serré ses couilles, le retourner, l'enfourner encore plus profond.
Il s'est toujours offert à mes coups de bite!
Quand j'ai joui, j'ai hurlé tellement c'était bon de remplir ce conduit, ce petit cul princier, alors les giclées se sont succédées le remplissant.
Il a hurlé en même temps que moi puis les gémissements sont arrivés.
Je suis sorti délicatement de son trou le laissant se refermer.
Il s'est retourné pour me prendre dans ses bras, m'a regardé tendrement.
-je t'aime mon français adoré.
Avant que je puisse répondre, j'avais sa langue au fond de la gorge.
Je l'ai entraîné sur le lit, bouches cousues entre elles, on s'est allongé, nos jambes se sont emmêlées, je sentais son sexe contre le mien. Son long corps souple et fin se frotter au mien plus mastoc quand même.
Il s'est séparé de moi pour respirer, m'a regardé.
-tu m'aimes ?
Je l'ai fixé, faisant mes yeux les plus doux possible.
-oui mon petit Prince chéri, oui je t'aime, j'aime te tenir dans mes bras, sentir tes lèvres sur les miennes, goûter ta langue, apprécier ton corps contre le mien, ta peau douce et chaude, j'aime t'entendre rire, te voir sourire et j'aime autant te faire l'amour que toi tu me le fasses.
Ses yeux ne me quittaient et étaient embués. J'ai caressé sa joue, touchant ses lèvres de mon pouce, son nez, son beau nez fin.
-si on dormait un peu dis je tout bas, car je suis sûr qu'un coquin de petit Prince va me réveiller dans la nuit pour faire un jeu.
Il rigole.
-on dirait que tu me connais depuis longtemps mon français que j'aime.
Il s'est blotti dans mes bras, serré son corps contre le mien, comme s'il voulait entrer à l'intérieur. Sa main a pris la mienne, la serrant. Il m'a fait un bisou sur le nez, un grand sourire, il a fermé les yeux. Sa respiration s'est faite lente, j'avais son souffle sur le visage. J'ai fermé les yeux également.
J'étais bien, heureux comme jamais!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Nico T
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...