Le Mondial 2022 : 8ème de finale 9

- Par l'auteur HDS Nico T -
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Récit libertin : Le Mondial 2022 : 8ème de finale 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Mondial 2022 : 8ème de finale 9
La nuit a quand même été agité. Ce bougre de petit Prince est insatiable et me l'a prouvé plusieurs fois dans la nuit.
Si bien qu'on s'est réveillé il devait être près de 11 heures. Cela n'a pas eu l'air de le perturber, j'ai été couvert de bisous et de remerciements et je voyais bien qu'il voulait que je lui en fasse.
-ne bouge pas, je fais le café m'a t-il dit d'un air fier.
Il est revenu avec un plateau et deux grandes tasses de café. Lui était nu et sa queue bandée se ballotait quand il marchait.
Après le café, séance de câlins, puis il a voulu qu'on aille déjeuner tous les deux dans la ville.

Quand j'ai regardé mon portable j'avais différents messages de Jean Alexandre qui me demandait si ça allait, puis "tu dois être mort puisque tu donnes pas de nouvelles" et "mon" Prince Ali qui voulait savoir comment j'allais.

J'ai répondu à tout le monde et j'ai eu la surprise d'avoir un appel du Prince Ali. Hakim n'était pas loin.
-bonjour mon Prince, tout va bien ?
-oui très bien mon petit blond de français, je t'ai manqué ?
-bien sûr dis je.
-oh t'es pas tout seul ?
-non.
-j'aimerais dîner avec toi ce soir dit le Prince, c'est possible si l'agenda de mon blond préféré n'est pas trop chargé ?

Je rigole.
-non mon Prince je peux ce soir, je suis libre comme l'air. Là je vais déjeuner avec un jeune Prince qui est adorable et qui m'a invité pour ce midi donc je suis libre ce soir mon Prince.
-coquin de français! alors t'en est à ton troisième Prince ? c'est un challenge ? t'as fait un pari ? et je l'entends éclater de rire, t'as raison profite bien d'Hakim, car je pense que c'est un garçon charmant que j'aime beaucoup… tu me raconteras ?
-oui mon Prince je te raconterais tout ce que tu veux d'ailleurs j'en ai déjà à te raconter… deux histoires, où je suis sûr que sur une, tu vas rire mais pas la deuxième.

J'avais pris mon air sérieux pour dire ça.
-oh la la t'es bien cérémonieux Fabrice mais je pense qu'il faut que j'attende ce soir pour savoir ?
-oui Prince Ali, je préfère te raconter ça en face à face.
-ah ces français! passe un bon moment avec Hakim et tu peux lui dire que je suis content qu'il te connaisse.
-bisous mon Prince à ce soir!
-bisous mon beau français! dit Prince Ali en riant.

Hakim avait entendu ma conversation et m'a regardé inquiet.
-tout va bien Hakim, tout va bien, je vais dîner avec Ali ce soir et quand je lui ai dit que j'allais déjeuner avec un Prince il a compris que c'était toi. Il m'a dit que je pouvais te dire qu'il t'aimait beaucoup et qu'il était content qu'on se connaisse tous les deux.
-c'est vrai ? dit Hakim, les yeux pleins de larmes.
-viens dans mes bras petit Prince, je suis sûr que tout va s'arranger pour toi.
J'ai eu droit a encore plein de bisous avec des larmes.

Nous sommes allés déjeuner, il était près de 14 heures. Je ne sais pas d'où sortait la voiture qui nous a conduit dans un superbe restaurant, j'étais effectivement l'invité de mon petit Prince.

Il n'arrêtait pas de me dévisager, ses yeux sentaient l'amour.
On a passé l'après midi à se promener dans des endroits pas tellement fréquenté ou par des touristes qui ne faisaient pas attention à nous. Il me touchait la main le plus souvent possible, ses yeux brillaient de mille feux.

Quand il a fallu nous séparer j'ai bien cru qu'il allait y avoir un drame, il avait toujours quelque chose à dire, une question à poser.
-Hakim sois sage, sois raisonnable on se voit demain au stade car tu viens bien sûr ?
-bien sûr, je vais pas dormir de la nuit tu sais.
-dort jeune Prince, tu vas voir la magie française comment elle va opérer.
Il rigole en me serrant la main dans les siennes.
-alors à demain mon ami, mon amour dit il tout bas et on peut même pas se faire un bisou.
-non vaut mieux pas Hakim, allez, je dois voir le Prince Ali et je vais tout faire pour toi.

Un déchirement de me séparer d'Hakim pour aller attendre la voiture du Prince Ali auquel j'avais envoyé un message disant où je me trouvais.
La voiture est arrivée et j'ai été conduit dans un autre restaurant où le Prince Ali m'attendait sourire aux lèvres, son air vicieux quand on s'est serré la main. Je me suis incliné devant lui, compte tenu que des gens nous regardaient, des qataris qui devaient se demander qui j'étais pour dîner seul avec le Prince Ali.

Nous avons dîner, exprès dans la grande salle, en tête à tête. Pendant tout le repas il n'a fait que me parler du Qatar ou de l'équipe de foot française, disant qu'il était sûr et certain qu'ils seraient en finale.

Quand le repas fut terminé on s'est levé de table et il m'a entrainé vers les ascenseurs.
-j'ai un appartement au dernier étage dit Ali en souriant.
-t'en as un dans chaque immeuble ? dis je en riant.
-c'est bien pratique tu sais et je crois que tu as des choses à me raconter, mais désolé ce soir on passera pas la nuit ensemble, il faut que je rentre chez moi.
-alors je vais te raconter mes histoires et te faire un gros câlin pour ne pas que tu m'oublies.

L'appartement était encore plus luxueux que les autres. Il m'a regardé en souriant de me voir si étonné de tout ce qui nous entourait et est venu me prendre dans ses bras. Je me suis permis de lui retirer sa coiffe, de passer ma main dans sa barbe, sa joue, et remonter dans ses beaux cheveux et aussitôt ses lèvres sont venues prendre les miennes.

Je retrouvais son odeur, son goût, sa salive qu'il déversait sur ma langue. Ses mains qui me serraient contre lui en emprisonnant mes fesses.
C'était vraiment le mâle mon Prince Ali, le mâle qu'on a envie de vénérer, de respecter mais de baiser aussi et j'en avais envie.
Il a dû le sentir, m'a regardé.
-on fait le gros câlin de suite ou on parle ? dit doucement à mon oreille.
-j'ai envie d'un gros câlin mon Prince adoré, tu m'as manqué quand même tu sais.
-qu'est ce que je devrais dire monsieur le français disparait deux nuits et couche avec deux Princes.
-dis donc Prince adoré, le premier tu m'as presque jeté dans ses bras en me disant que je serais bien.
-oh t'as l'air d'être déçu petit français dit il en rigolant.
-cela fait partie de la première histoire dis je malicieusement.
-et hier alors tu t'es laissé faire par le jeune Prince Hakim.
-alors là je peux te dire mon Prince adoré que j'ai passé une excellente nuit et une bonne journée avec lui aujourd'hui mais cela fait partie de ma deuxième histoire.
-alors on va se dépêcher si tu as tant d'histoires à me raconter.

Il me soulève dans ses bras, et m'emmène dans la chambre me dépose doucement sur le lit et entreprend de me déshabiller, de me mettre nu comme au premier jour et de voir que je suis heureux d'être dans cette tenue. Ma queue a dû le reconnaître elle est bien raide, s'est décalottée et la mouille coule sur mon ventre. Je vois ses yeux qui scintillent en la regardant, tout en se mettant nu également.

Il se laisse admirer nu. Son corps de mâle arabe si bien bâti avec sa grosse teub qui pointe vers moi.
Je me retourne pour avoir son zob juste devant ma bouche, je me mets sur le dos, la tête penchée dans le vide. Il comprend très vite le message.
Son gland vient me caresser les lèvres, le nez, le menton pour revenir aux lèvres. J'ouvre la bouche, tire la langue et lèche le gros gland circoncis.
Il gémit déjà mon Prince adoré.

Je sens sa queue s'enfoncer dans ma bouche, glisser sur ma langue, frotter mon palais pour bousculer la luette et s'enfoncer dans ma gorge.
Je ne peux m'empêcher de tousser, cracher sur cette belle queue qui se retire, pour que je respire et revenir.

J'aime le goût de sa queue, son odeur d'arabe. Il se met à me baiser la bouche mais lentement, juste pour avoir le plaisir de faire glisser sa queue sur ma langue. Ses grosses couilles roulent sur mon visage, mes yeux, mon nez, je respire à pleins poumons pour m'imprégner comme il faut de son odeur.
Sa queue ne bouge plus. Il se penche sur moi, ses mains caressent mon torse et une se saisit de ma queue.
Sa queue s'enfonce dans ma bouche je suis presque étouffé quand je sens ses lèvres aspirer mon gland. Il aspire, suce, me branle.

Nos torses sont collés l'un à l'autre, les queues glissent dans les bouches. Je passe mes mains sur ses fesses dures, les caresse. On gémit tous les deux. Je sens que je ne peux plus me retenir dans cette bouche si accueillante, ma queue se raidie, en réponse la sienne en fait autant.
Il râle, en fermant ses lèvres sur ma queue, et je sens la première giclée couler sur ma langue direction ma gorge.
J'en fait autant dans sa bouche, ses lèvres serrent bien ma queue.

On a donné à chacun notre bonne liqueur. Il m'a léché pour ne laisser aucune trace, sa queue s'est retirée de ma bouche lentement, je serrais bien mes lèvres dessus.
Il m'a fait bouger pour venir s'allonger près de moi, me prendre dans ses bras, m'embrasser, me faire des bisous sur le nez en riant comme un gamin facétieux. Je lui rends ses bisous sur le nez… ça l'amuse beaucoup.
-mais pourquoi je t'aime autant petit français ?
-ben parce que je suis français dis je en riant.
-tu ne veux pas rester dans mon pays, je ferais de toi un Prince avec tout ce qu'il faut, tu seras obéi, respecté et je pourrais te voir tout le temps que je voudrais.
-ne dis pas de bêtises Ali moi aussi je t'aime, j'aime passer ces moments avec toi mais tu oublies une chose, je ne parle pas arabe, je n'ai pas la même mentalité que vous, pas les mêmes opinions sur certaines choses.
-je sais bien tout cela tu sais. Si je devenais Emir je pourrais faire évoluer les choses, mais c'est mon frère aîné qui le sera.
-tu connais l'Emir ? dis je éberlué.
-oui petit français, c'est mon père, je suis le deuxième dans la succession et, comme je ne souhaite pas de mal à mon frère aîné, je ne serais sûrement jamais Emir.

Pendant qu'il parlait, je comprenais mieux maintenant pourquoi tout le monde faisait des courbettes.

-Et le Prince Abdallah ?
-lui ne fait pas partie du pouvoir c'est de la famille très éloignée. Mais au fait, tu voulais me dire quoi sur Abdallah ? t'as pas passé une bonne soirée avec lui ?
-si bien sûr. Et je lui racontais ma soirée, visite de la colline à la belle étoile, la pipe et nos baises dans son lit, qu'il s'était endormi de suite après.
Il est parti d'un grand éclat de rire faisant venir des larmes dans ses yeux.
-j'avais entendu dire qu'il n'était pas vaillant au lit mais s'endormir comme ça!
-oui même pas une caresse ni un bisou.

Il rigole encore.
-et, en plus le matin qu'est ce qu'il est grognon, pareil, pas de bisous ! rien!
Il rigole en se tournant vers moi.
-mon pauvre petit chéri, c'est vrai que tu mérites mieux.
On s'embrasse tendrement avec jeux de langues.

-alors ta deuxième histoire c'est quoi ?
Ses yeux me fixaient et, moi je réfléchissais comment présenter l'histoire.
-tu m'as l'air bien sérieux d'un coup c'est si grave que ça Fabrice ?
-oui pour moi c'est grave dis je.
-on t'a fait du mal ?
-non mon Prince, pas à moi… voilà, ce que je vais te dire n'est pas facile, mais je sais que tu as un grand cœur… c'est encore à propos d'Abdallah.

Je n'avais pas dit Prince Abdallah exprès. J'ai vu ses sourcils se froncer, ses yeux devenir durs.
-comme je t'ai dit, j'ai passé la nuit dans les bras du Prince Hakim, c'est un garçon charmant, un bon baiseur et nous nous sommes bien amusés mais à un moment il est devenu tout triste, s'est mis à pleurer dans mes bras. Je l'ai consolé et j'ai voulu savoir ce qu'il avait, ça a été très long à venir, il m'a raconté sans me regarder, il fallait juste que je le tienne serré contre moi. J'ai eu beaucoup de peine tu sais mon Prince adoré.
-mais dis moi ! il lui arrive quoi à Hakim ?

Je fixe le Prince Ali dans les yeux, les faisant le plus doux possible.
-il est obligé de coucher avec son oncle, comme son frère Saïd d'ailleurs.
Ses yeux étaient devenus fixes, durs, son visage s'était figé et il était devenu tout pâle. J'ai passé ma main sur sa joue, il a repris des couleurs.
-mais pourquoi il ne refuse pas ça ?
-c'est ce que je lui ai demandé et il m'a répondu "tu crois que c'est facile!"
-et, donc il t'a demandé de m'en parler.
-oui Prince Ali.
-mais pourquoi il n'est pas venu m'en parler directement! je l'aime beaucoup ce garçon, en dehors qu'il soit beau, il est intelligent et il parait qu'il travaille très bien.
-oh mon Prince adoré s'est renseigné sur lui ? j'ai demandé malicieusement.
-oui car j'ai envisagé de le faire travailler pour moi, mais je sais qu'Abdallah est le tuteur de ses neveux, compte tenu que les parents sont loin, alors je ne voulais pas le vexer.
-tu sais, c'est ce qu'il voudrait Hakim, travailler avec toi.
-il te l'a dit ?
-oui, ce qu'il m'a dit exactement c'est qu'il aimerait que tu les prennes sous ta protection, que cela empêcherait son oncle de lui faire des misères. J'avoue que je n'ai pas tout compris mais c'est ce qu'il m'a dit.

-C'est simple mon petit français quand tu travailles pour la famille régnante, tu es obligatoirement sous sa protection et même les parents n'ont plus aucune autorité. Il a de la suite dans les idées le Prince Hakim.
-Il est surtout malheureux, alors tu vas faire quoi mon Prince adoré ? demandais je en lui faisant des bisous.
-je crois qu'il a trouvé le meilleur des ambassadeurs le Prince Hakim.
-tu m'as pas donné ta réponse.
-je lui dirais demain ce que je vais faire… t'en fais pas petit français!
-donc il va être tranquille vis à vis de son oncle.
-oui et je peux te garantir qu'il ne les touchera plus jamais.

Je lui ai fait de gros bisous, entrant ma langue dans sa bouche, léchant la sienne.
-alors il nique bien Hakim ? ne me dis pas que tu l'as niqué aussi ?
-ben si… je ne peux pas résister aux beaux mecs c'est mon grand défaut et tu ne sais peut être pas mais il t'admire, il m'a même dit qu'il était prêt à t'obéir en tout, qu'il te trouvait très beau.
-ne me dit pas que t'as envisagé de le mettre entre nous deux dans un lit ? dit il les yeux rieurs.
-je ne le dit pas et je fais juste remarquer que c'est toi qui l'a proposé.

Il est parti d'un grand éclat de rires, s'est jeté sur moi.
-je vais te niquer rapidement ce soir et toi tu ne me le feras pas! se sera ta punition maudit français!
Il riait quand il m'a vu me mettre à quatre pattes et lui présenter mon cul.
-je veux bien être puni souvent par toi mon beau Prince.

J'ai eu droit à une baise rapide comme il dit et il m'a branlé en me suçant pour pas que je reparte les couilles pleines.
On a pris une douche rapide. J'ai appelé Jean Alexandre pour savoir s'il était chez lui et la voiture du Prince m'a déposé devant sa porte.

On se revoyait le lendemain pour le match France Angleterre et il m'avait garanti qu'il allait y avoir du sport tant sur le terrain que dans sa loge.

J'avais hâte d'être au lendemain…

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