Le Mondial 2022 : Demi-finale 5 - histoire érotique

Hamid se tenait debout à côté de moi. Je l'ai obligé à s'asseoir entre mes jambes, la tête sur mon épaule.
Ali nous regardait, tout sourire.
J'ai chuchoté à l'oreille d'Hamid :
-t'es mon Prince pour la journée Hamid détends toi! tout ira bien, il n'y a que des amis ici.
Il a tourné la tête et m'a fait un bisou.
-Il ensorcèle tout le monde ce français dit Saïd en riant.

Le yacht filait sur les eaux turquoises et le Prince Ali nous a fait une leçon de géographie. Nous étions dans le golfe Persique, en face, les îles au loin, c'était Bahreïn. Il y avait tout plein de petites îles, il donnait les noms en arabe, on écoutait le maître d'école.
Au bout d'une heure le bateau a ralenti, nous étions dans une crique, près d'une petite falaise. Le yacht s'est arrêté.
-c'est le plus bel endroit sur terre pour nager, plonger et voir la faune sous marine. Ceux qui veulent trouveront tout le matériel à bord mais déjà avec un simple masque on voit de très belles choses. Je pense que vous avez tous un maillot de bains... alors en tenue!

Et il s'adresse à Hamid en arabe. Quelques mots qui font rougir le beau Hamid qui se met en maillot comme tout le monde, en me faisant un sourire.
Les mousses du bateau nous ont amené des masques. Il y avait des palmes aussi et on s'est harnaché en riant.
Tout le monde était magnifique. On est allé sur le côté du yacht pour plonger trois par trois et se retrouver dans une eau claire et aussi chaude que celle de la douche.

La colonie de vacances était en route. On a nagé, on s'est chamaillé, on s'est fait couler pour s'embrasser sous l'eau jusqu'à l'asphyxie. Enfin on a fichu un sacré bazar sous l'œil bienveillant du Prince Ali.
Il nous a fait signe de le suivre et nous sommes allés à pic de la petite falaise observer tout ce qui se trouvait là.

Ne vous attendez pas à ce que je vous donne les noms mais j'ai encore les images dans la tête, et la sensation de l'eau. Mon petit Prince me tenait d'une main et j'avais Hamid qui me tenait l'autre et ils m'entrainaient tous les deux.
Notre balade aquatique a bien duré une heure. Une heure de pur bonheur, je les ai tous eu à venir me faire des bisous et me toucher la queue en riant.

J'ai nagé à côté du Prince Ali pour regagner le yacht. Il s'est arrêté en cours de route, si je peux dire, pour me prendre dans ses bras et me faire couler en m'embrassant. Je savais bien qu'il ne voulait pas me noyer et quand on a fait surface, sa bouche était toujours collée à la mienne. Il souriait.
-j'ai rêvé que l'on venait que tous les deux ici et que je te niquais dans l'eau mais là il y a trop de voyeurs et l'eau est trop claire.
-rho j'aurais raté ça alors ? c'est bien dommage.
Je tenais son sexe en main, je le caressais en l'embrassant sur le nez mouillé. Le soleil tapait fort.
-viens, il faut rentrer te mettre à l'ombre espèce de blond français, sinon tu vas cuire comme les homards que l'on va déguster maintenant.

Lorsqu'on est arrivé, douche pour tout le monde dans des cabines luxurieuses. Saïd avait été le plus rapide et m'avait poussé dans une cabine toutes faites pour deux et m'avait rincé de l'eau de mer en me faisant des bisous.
-maintenant tu vas voir Hamid il va te passer de la crème sur les endroits sensibles dit Saïd en riant.

Hamid devait attendre derrière la porte. Il a laissé sortir le Prince Saïd en baissant la tête, et est rentré, tout sourire.. me montrant un flacon de crème.
J'étais nu encore une fois et lui s'était rhabillé avec sa tenue.
-si le démon français veut bien s'allonger sur le ventre pour ne pas exciter son serviteur dit Hamid en anglais.
J'ai obéi pour sentir immédiatement ses grandes mains douces et fraîches écarter la crème et me masser. Je me suis laisser faire, m'abandonnant complètement.
-retourne toi s'il te plait dit Hamid.
Il n'a pu s'empêcher de rire quand il a vu mon sexe bandant et coulant.
-mais tu es toujours raide ? dit il en riant.
-mais c'est de la faute à qui ? hein ?

Il a pris ma queue entre ses mains, la serrant, la pétrissant et s'est mis à la branler, caresser doucement me fixant de ses beaux yeux. J'avais déjà envie de jouir mais juste avant, sa bouche s'est emparée de mon gland décalotté pour l'enserrer entre ses lèvres et recueillir tout le bon jus français. Sa main me serrait les couilles comme s'il voulait faire sortir tout le jus.
Il a relevé la tête, m'a regardé, il avait du sperme sur la lèvre supérieure. J'ai passé mon index dessus et je lui ai donné à lécher.
-voilà maintenant tu es plus présentable.

Vite fait, il a passé de la pommade sur les cuisses, les jambes, mon torse, m'a relevé et m'a aidé à m'habiller en qatari.
-viens on va manger. Le Prince Ali a dit que je mangeais avec vous, à côté de toi. Si tu savais comme je suis heureux de manger à la même table que mes Princes. Mais je sais que c'est grâce à toi, tu as forcé le Prince Ali m'a t-il dit.
-oh s'il n'avait pas voulu, il ne l'aurait pas fait mais je crois qu'il t'aime beaucoup tu sais.
-oui je sais, il me le dit souvent je suis très bien à son service.
Il avait le sourire et les yeux dans le vague en disant cela.
-et ça fait longtemps que tu es à son service ?
- j'ai eu 26 ans, donc ça fait 12 ans maintenant.
J'ai arrêté de poser des questions.

-tu as été bien long Fabrice, dit le Prince Hakim, Hamid n'avait plus de crème ?
-que veux tu mon petit Prince, un beau corps comme le mien, c'est toujours long à entretenir.
Ils buvaient l'apéro. Le Prince Ali n'était pas arrivé.
Je suis allé faire un bisou à Mehdi et Alif et mon pote Jean Alexandre qui était tout sourire.
-je croyais que ça travaillait plus que ça un attaché d'ambassade.
-c'est le Prince Ali qui a dit à l'ambassadeur qu'il m'enlevait pour deux jours, y'a pas à discuter des demandes du Prince.
-alors ? il te plait le Prince Saïd ? tu ne peux plus t'en séparer on dirait.
-ça te va bien de dire ça... j'ai jamais vu un européen baiser avec tant de qataris en si peu de temps.
-j'y suis pour rien, tous les jours y'en a des nouveaux.

La table avait été installée à l'ombre. On était bien avec la brise.
-même à l'ombre tu prends des coups de soleil dit le Prince Ali.
J'étais assis à ses côtés et de l'autre j'avais effectivement Hamid qui n'a pas arrêté de se lever de table à chaque fois que son Prince voulait quelque chose.
Nous avons dégusté un festin de roi! ou de Princes comme vous voulez... le champagne coulait à flot.

Repas servi par de jeunes mousses arabes, beaux comme des Dieux mais qui ne regardaient personne dans les yeux, toujours la tête baissée.
Après le ventre bien plein on s'est allongé chacun sur un transat et nous sommes revenus à bon port.
Tout le monde était ravi, que se soient les Princes, les français, ou les simples qataris qui nous accompagnaient. Tous ont remercié chaleureusement le Prince Ali qui aimait bien se faire baiser la main. Moi je lui ai fait un gros câlin et de gros bisous.
-je propose une petite sieste dit le Prince Ali, individuelle car ce soir... non je ne dis rien...!
Certains ont préféré rester dehors, à l'ombre près de la piscine, moi j'avais besoin de frais et un serviteur que je n'avais pas vu encore m'a conduit dans une grande chambre climatisée comme il fallait.

Je me suis mis nu et je me suis allongé sur le dos soufflant doucement.
Je n'avais pas vraiment envie de dormir mais d'être un peu au calme et de repenser à tout ce que j'avais fait depuis mon arrivée.

Je rêvassais, quand j'ai vu la porte de la chambre s'ouvrir doucement et le nez d'Hamid arriver. Il m'a regardé, m'a souri en voyant que je ne dormais pas, est vite rentré, s'est mis nu en un rien de temps. Il ne bandait pas encore, et, sans rien dire s'est glissé sous le drap fin, se collant à mon corps, sa tête sur mon épaule.
-j'aurais voulu dormir un peu avec toi Fabrice.
-coquin va! eh bien dors, je te surveille.
Il a posé une main sur ma poitrine, sa jambe a enjambé les miennes. Il a fermé les yeux, son souffle est devenu régulier. Je ne bougeais pas et quelques instants après il ronronnait Hamid son souffle dans mon cou.
J'étais heureux.
J'ai somnolé, me réveillant, me rendormant doucement. Il ne bougeait pas d'un pouce.

Quand il s'est réveillé, j'ai senti sa main me caresser la poitrine, mes tétons qui se sont mis à durcir. Ses lèvres se sont posées sur ma joue. Il fermait toujours ses beaux yeux et me faisait de petits bisous.
-mon beau serviteur va bien ? j'ai demandé doucement.
-il est heureux tu peux pas savoir comme je suis heureux d'être avec toi un français!
Je me suis tourné pour prendre sa joue dans ma main, le caresser doucement, il a ouvert ses yeux, ses beaux yeux, j'ai embrassé son nez, ses lèvres. Ma main s'est affermit sur sa joue et je lui ai bouffé les lèvres en allant chercher sa langue avec la mienne. Il me l'a offerte, la faisant entrer dans ma bouche, je l'ai aspiré, buvant sa salive qatari. Sa main me tenait la tête, on a joué ainsi un long moment sans rien dire, se regardant simplement, les yeux parlaient pour nous.

Mais j'ai senti nos sexes qui réclamaient. J'avais encore envie de le goûter le beau qatari. Mes lèvres sont descendues sur son menton, son cou qu'il m'offrait, riant en recevant les bisous. J'ai été lui lécher les tétons, de beaux tétons que j'avais négligé jusque là. Les aréoles étaient très brunes, aucun poil et des petits tétons qui pointaient bien durs.

Et, en plus il était sensible des tétons Hamid. Alors rien que pour l'entendre gémir, je le léchais, suçais, mordillais ses tétons. Il parlait en arabe en fermant les yeux.
Je suis descendu au nombril et j'avais enfin cette belle queue rasée devant moi, épilée même car on ne voyait aucune trace de poils.
J'ai pris sa queue d'une main, la posant dessus et je lui ai fait mille bisous du pubis au gland cela l'a fit rire.
J'ai senti ses mains qui essayaient de faire tourner mon corps. J'ai fait ce qu'il voulait et il avait ma queue pour lui. J'ai senti qu'il me faisait des bisous dessus et il a reproduit sur moi tout ce que je lui faisais.

Quand j'ai avalé sa queue, il a avalé la mienne et là c'est moi qui a gémi comme si je recevais ma première pipe. Qu'elle était bonne sa bouche, sa langue et il avalait tout, ses lèvres dans mon pubis. Moi il fallait vraiment que je me force pour avaler tout son membre et j'avais les yeux qui pleuraient.

On s'est mis à se sucer à se lécher cherchant à nous faire plaisir. Je sentais ma queue raidir de plus en plus et quand il sentait que je n'allais pas tarder à jouir, il ralentissait lui faisait des bisous.
Mais tout a une fin et, en même temps on a senti le plaisir arriver. Les bouches se sont bloquées sur les queues les glands bien enveloppés au chaud.

Quand il me donnait une giclée, je lui en offrais une. On était devenu intarissable, on a pas arrêté de gémir.
On s'est léché comme des chefs et il est revenu dans mes bras pour m'embrasser tendrement en se serrant bien fort contre moi.
Caresses, regards intenses, bisous tendres. On n'avait vraiment pas envie de retrouver les autres mais c'est Hamid qui fût le plus sérieux.
-il faut aller voir les Princes, Fabrice, il est l'heure tu sais, ils vont attendre. Allez lève toi, je t'habille.
Voilà que je prenais l'habitude de me faire habiller par un beau mec!
Encore des bisous et il me raccompagne vers la piscine, me laissant entrer seul.

Ils m'ont tous applaudi en riant.
-lequel a envouté l'autre d'Hamid ou Fabrice ? demande le Prince Ali.
Je viens derrière lui, passe mes mains autour de son cou, lui fait un bisou.
-alors comme ça vous êtes tous jaloux d'Hamid! si vous saviez comme il est adorable, doux, caressant. Tout à l'heure mon Prince adoré, tu m'as demandé si je ne voulais pas le ramener en France je t'ai dit non car il serait malheureux mais en fait...

Je laisse mes mots en suspend, les regarde tous.
-c'est moi qui serais très heureux de l'avoir mais je reviens à ce que je te disais, pas de soleil, pas de chaleur et pas de Princes! je crois que c'est cette habitude qui va me manquer de ne pas faire un pas sans tomber sur un Prince, plus beaux les uns que les autres.
Ils recommencent à applaudir.
-je vais profiter de vous avoir tous ici, pour vous remercier. Le beau Prince Ali que je ne saurais vraiment jamais comment remercier de m'avoir fait vivre de si belles vacances avec un anniversaire somptueux. Prince Ali, votre Majesté, vous êtes l'homme le plus merveilleux au monde que je connaisse, vous avez su me rendre très heureux tout le temps que j'ai été à vos côtés.

Un silence c'était fait, tout le monde me regardait. Je voyais bien le regard inquiet de Jean Alexandre qui devait se demander jusqu'où j'allais aller.

J'ai lâché le Prince Ali, pour entourer de mes bras les Princes Hakim et Saïd.
-quant aux deux jeunes Princes ici présent, j'ai un immense plaisir de les avoir rencontré, de les avoir connu et, j'espère qu'ils viendront me voir à Paris comme ils en ont fait la promesse. Je serais enchanté de les recevoir. Ils m'ont fait vivre des moments merveilleux. Je sais que je les ai agacé certains jours... hein mon petit Prince ?
Il rigole sans rien dire.
-mais les deux frères sont beaux et agréables et je ne les oublierais jamais.
Je leur fais chacun un gros bisou.
-quant à Alif et Mehdi... que dire ?
J'étais derrière eux, mes mains posées sur leur cou.
-Ils m'ont été offert en cadeau d'anniversaire comme vous le savez tous et ils m'ont fait passer une nuit que je ne peux pas vous raconter... c'est classé X.

Ils rigolent tous.
-mais je les adore tous les deux comme je vous aime tous. Mais, celui que je préfère quand même, car lui je sais que je vais le revoir c'est mon ami Jean Alexandre. D'abord sans lui on ne se serait pas connu tous... bon! c'est un coquin! un vrai coquin français qui m'a appris beaucoup de choses il y a quelques années et, malgré son départ, j'ai toujours plaisir à le revoir et lui dire que je l'aime beaucoup d'ailleurs ce coquin me l'a encore répété il y a peu.
Jean Alexandre était tout rouge.

Et Hamid a fait son entrée nous regardant discrètement tous.
-et voilà le meilleur d'entre nous mes amis, Hamid le serviteur.
J'ai pris Hamid par le bras, le mettant devant moi, le prenant par les épaules, et j'ai continué en anglais.
-Hamid le serviteur disais je, Hamid toujours là quand on ne l'attend pas, discret, gentil, doux, aimant, heureux de vivre auprès de son Prince qu'il vénère comme un Dieu. C'est ce qu'il m'a dit Prince Ali, c'est pour ça que je t'ai demandé de l'amener avec nous faire la balade en mer et tu as accepté bien sûr car tu l'apprécies beaucoup également. Alors Hamid fait partie de mes remerciements et je peux vous affirmer qu'il est numéro un en massage et passage de crème!

C'est là que je me suis rendu compte qu'Hamid était rouge comme une pivoine et que des larmes coulaient sur ses joues.

Le Prince Ali s'est levé en venant vers nous.
-trêve de bavardage Fabrice, dit il en anglais tu embarrasses mon ami Hamid.
Il le prend dans ses bras, le serre contre lui.
-tout ce que tu viens de dire Fabrice est exact, Hamid est MON serviteur, il me rend heureux dans tout ce qu'il fait et, en plus c'est le garçon le plus discret que je connaisse. J'ai été également très heureux qu'il vienne avec nous aujourd'hui, bon maintenant que tout le monde a été remercié vous avez faim les jeunes ?
Tout le monde semblait d'accord pour manger.
Le soleil commençait à décroitre à l'horizon, la nuit n'allait pas tarder.
Le Prince Ali a donné ses instructions en arabe à Hamid qui est revenu avec deux autres personnes pour installer la table.

j'ai eu droit à plein de bisous, de caresses, de mots doux de tout le monde! et j'en étais très content.
On a dîné de bonnes salades, crudités avec de la viande puis il y avait de grosses glaces en dessert.
On a encore bu le champagne.
Vers 22 heures, on s'est retrouvé en maillot de bains et on a tous piquer une tête dans la piscine sauf le Prince Ali.

Un peu plus tard, il nous a souhaité à tous bonne nuit, disant qu'il était fatigué. J'ai vu le regard du petit Prince qui cherchait le sien mais Ali ne l'a pas regardé, a pris Hamid par l'épaule.
-je vais me coucher dit il.
On lui a tous souhaité bonne nuit mais fallait voir la tête d'Hakim.

Alif et Mehdi se sont levés, sont venus derrière Jean Alexandre. C'est Alif qui a pris la parole.
-maintenant qu'on a goûté à un français on aimerait bien goûter au deuxième, d'autant plus que c'est lui qui aurait appris à Fabrice des choses, on aimerait bien les connaitre, allez debout Jean Alexandre!

J'ai vu le regard de Jean Alexandre, son regard coquin qui vient de participer à une connerie.

Et, j'ai compris comme les deux Princes que les pigeons s'étaient nous. Tout avait été fait pour qu'on se retrouve tous les trois. Moi j'étais heureux mais je voyais les frangins se regarder, se toiser.
-ça ne sera pas pire que l'autre matin dans ta cuisine petit Prince.
Ils me regardaient.
-ce sera moi le jouet alors.

Saïd ne disait rien, mais son visage souriait. Il est venu s'asseoir à côté de moi :
-t'étais au courant ? demande t-il.
-non Saïd je te le jure. Je vous aime tous les deux et j'ai aimé ce que l'on a fait l'autre matin tous les trois, d'ailleurs vous aussi. Alors je ne veux pas vous forcer à faire ce que vous ne voulez pas. Je sais que vous êtes frères et je le comprends très bien.
-alors frangin t'en penses quoi ?
-je suis sûr qu'il devait se douter de quelque chose dit Hakim, n'oublie pas mon frère que nous avons à faire avec un Démon Français!
Ils font les mecs horrifiés, me toisent.
-mais qu'allons nous devenir ? dit Hakim.
-si vous voulez le savoir on se trouve une grande chambre...

Quand je me suis levé, ils sont venus m'entourer, m'embrasser sur la joue.
Je les serrais contre moi.
-alors ? on y va ? on essaie de se faire plaisir tous les trois ensemble mes Princes ?
J'ai eu deux "oui" dans un souffle.

On allait rentrer dans la maison, qu'un serviteur est arrivé parlant en arabe. On l'a suivi, "notre chambre" était prête, une petite table avec un seau à champagne, des verres nous attendaient.
On s'est regardé tous les trois.

-je crois que c'est bien le Prince Ali le chef de ce complot!!