Le Mondial 2022 : Quart de finale 5

- Par l'auteur HDS Nico T -
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Récit libertin : Le Mondial 2022 : Quart de finale 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Mondial 2022 : Quart de finale 5
Lorsque j'ai retrouvé Jean Alexandre, j'étais encore sur un petit nuage, me demandant comment cela allait se passer avec le Prince Saïd. Je repensais aux dires d'Hakim, mais en même temps je revoyais la tête de Saïd le soir du cocktail il n'était pas très amène quand même mais il devait se donner un genre.
-oh toi! t'es sur un coup dit Jean Alexandre en me tapant sur l'épaule.
-je sais pas mais j'ai rendez vous avec le Prince Saïd qui veut me remercier en m'invitant à dîner.
-mais c'est gentil ça je ne le croyais pas comme ça, qu'il ait de la reconnaissance. Il est plutôt fier, altier et condescendant ce Prince mais bon! t'as rendez vous à quelle heure ?
-16 heures à la salle de jeux.

Je vois Jean Alexandre partir d'un fou rire, que cela le fait tousser, pleurer.
-ben qu'est ce que j'ai dit de drôle!
-16 heures pour dîner! mais il mange de bonne heure ce Prince.
-Hakim m'a dit qu'il voulait parler avec moi avant d'aller dîner et qu'on irait chez lui pour être plus tranquille.

Il est reparti de rire.
-tu sais que t'es quand même un phénomène mon chéri je crois que tu vas te taper ton 4ème Prince cet après-midi.
Et il continue de rigoler.
-t'es bête! j'en sais rien.
-écoute petit blond français, un qatari qui t'invite chez lui à 16 heures pour parler et dîner ensuite c'est qu'il a envie de coucher avec toi.
-on verra bien, jaloux! dis je en lui tirant la langue.
-bon tu me tiens au courant si tu rentres pas ce soir.

J'étais à l'heure au rendez vous, je les attendais sur le banc en face la salle de jeux. J'ai reconnu l'allure du petit Prince au loin qui arrivait, plus ils approchaient, plus je les trouvais beaux. Je me suis levé à leur approche, Hakim m'a pris dans ses bras, me faisant une accolade, ce qui lui permettait de me faire une bise sur les joues.
-tu as déjà vu mon frère Saïd, voilà encore un Prince qui veut te remercier pour ce que tu as fait dit Hakim avec son plus beau sourire.

Je tends ma main.
-Saïd je te présente Fabrice, le meilleur des français, mon meilleur ami et celui du Prince Ali tu peux avoir toute confiance en lui.
Saïd se saisit de ma main, je la porte à mes lèvres en m'inclinant devant lui.
-je suis ravi de faire votre connaissance Prince Saïd.
-moi également dit il, mon frère m'a tellement parlé de vous, que j'ai l'impression de vous connaître depuis toujours.

Nos yeux se croisent et l'image que j'avais gardé de lui s'envole. Son sourire, ses beaux yeux comme ceux de son frère, sourient. Le même nez qu'Hakim avec des lèvres encore plus ourlées, gourmandes je dirais surmontées d'une petite moustache plus fournie qu'Hakim.
-Saïd, dit Hakim, vous n'allez pas vous donner du monsieur toute la soirée tu l'appelles Fabrice et lui t'appelle Saïd, t'en mourras pas si on te donne pas ton titre grand frère. C'est un ami Fabrice.
-t'en fais pas petit Prince, ça ne me gêne pas, laisse Prince Saïd faire comme il veut.

Et mes yeux tombent sur ses moustaches je fronce les sourcils, le fixe.
-dis donc, je ne te vois pas de deux jours et je trouve que ta moustache est plus épaisse t'as fait quoi.
Il rougit le petit Prince, pendant que son frère éclate de rire.
-eh bien mon cher Fabrice, sache que mon petit frère veut vieillir plus rapidement, alors il a trouvé je ne sais pas quoi qui redessine la moustache en la faisant plus épaisse
.
On rigole tous les deux en se moquant gentiment d'Hakim.
-plus c'est vieux plus c'est bête dit Hakim en haussant les épaules.
Je le prends par l'épaule, me penche à son oreille.
-j'espère que ça déteint pas sinon évite d'embrasser un non barbu.
Il rigole quand même.
-bon je vous laisse tous les deux, soyez sages et toi Saïd sois sympa, fais pas ton Prince.
Il lui fait une grosse bise et me prend dans ses bras.
-à demain au stade les amis!

On le regarde s'éloigner et on se regarde, il me toise, m'observe. Je vois dans son beau regard qu'il se pose mille questions et qu'il ne sait pas par laquelle commencer.
-on s'assoit ? dis je en me posant sur le banc.
Il vient à côté de moi, regarde autour de lui et s'aperçoit que nous sommes observés par les jeunes de la salle de jeux.
-on va marcher un peu si tu veux bien.

On a déambulé dans les couloirs, mais je voyais bien qu'il m'emmenait quelque part.
Il me parlait de son pays, de sa vie à ne pas faire grand chose et qu'il était heureux maintenant de pouvoir travailler pour le Prince Ali. Puis on a parlé de Paris, il m'a posé plein de questions, sur les jeunes parisiens, les mœurs, les boites de nuit et on en est arrivé à la liberté sexuelle juste au moment où il m'a dit.
-j'ai mon appartement ici, on va chez moi ?
-bien sûr Saïd, je boirais bien un verre bien frais dis je.

On a pris un ascenseur, je n'ai pas fait attention à l'étage, son appartement était plus grand que celui d'Hakim, meublé avec style j'ai trouvé et il y avait un grand balcon qui donnait sur la ville. J'ai voulu allez voir.
-n'ouvre pas il fait encore trop chaud dehors.

Il est venu à côté de moi, on avait presque le nez collé à la baie et il m'expliquait tout ce que l'on voyait.
-c'est vraiment une belle vue y'a le soleil toute l'année comme ça ?
-à peu près dit-il sauf les jours de tempêtes de sable qui viennent du désert alors là faut pas sortir et attendre que ça passe.
Il était reparti à parler je sentais sa main frôler la mienne de temps en temps.

-tu voulais boire, eau ou orangeade ?
-j'aime bien votre orangeade dis je.
-alors va t'asseoir dans le divan je vais chercher ce qu'il faut.
Quand il est revenu, avec un plateau, il avait enlevé sa coiffe et j'ai pu découvrir le vrai Prince Saïd. Des cheveux noirs courts, mais frisés sur le dessus, coupés au carré. Cela lui allongeait son visage, je le trouvais magnifique et j'en suis resté un peu bouche bée.
-J'ai quoi ? dit il en riant.
-rien de particulier, mais sans vouloir te vexer tu es très beau sans ta coiffe j'adore ta chevelure frisée comme ça.

Voilà qu'il rougit lui aussi en venant s'asseoir à côté de moi oh pas à l'autre bout du canapé, mais juste à côté, si j'écarte mes jambes nos genoux se touchent.
Il sert l'orangeade, me tend mon verre.
-à notre rencontre et à mon plaisir de faire vraiment ta connaissance Fabrice dit il en me fixant d'un regard perçant.
-à notre rencontre oui et je peux te faire une confidence ?

Il me fait oui de la tête.
-et je suis content de voir que tu es plus sympathique aujourd'hui que lors de notre première rencontre et j'en suis ravi Saïd, car comme ton frère Hakim tu dois être un bon garçon, à qui il est arrivé plein de misères.
-oui dit Saïd, dès fois je fais mon crâneur, je snobe les gens, je les méprise surtout les étrangers ou certains qataris qui insistent pour m'emmener faire un tour chez eux mais je sais les remettre à leur place. C'est pour ça que, face aux personnes que je ne connais pas je peux être très désagréables, je le sais et je m'en excuse dit il en prenant ma main.
-t'es pardonné Saïd dis je avec mon plus beau sourire.
-merci pour ce que tu viens de dire, et merci pour ce que tu as fait pour mon frère et moi, on est enfin tranquille et l'on va pouvoir faire ce que l'on veut avec la protection du Prince Ali.

-C'est un grand homme le Prince Ali, je suis content de le connaître, on ne s'ennuie pas entre Ali et ton frère dis je malicieusement en le regardant.
-c'est la raison pour laquelle, j'ai décidé de parler avec toi de choses que je ne dirais pas à un qatari et j'ai plein de questions aussi alors tu veux bien m'écouter et répondre franchement à ce que je pourrais te demander ?
-bien sûr mon ami, tout ce que tu voudras.
-alors installe toi bien dans le divan je vais m'appuyer sur toi de dos et je vais te parler... si je te regarde j'aurais trop honte.

Je fais comme il veut. Je suis un vrai pacha dans son divan et j'ai le Prince Saïd qui s'installe sur mon épaule, la tête dans mon cou, ses cheveux caressent ma joue. Il prend mes deux mains et les prend dans les siennes. Exactement la même position que son frère Hakim...

-je t'ai parlé des mœurs à Paris tu m'as répondu franchement et tu te rends compte que cela n'existe pas dans notre beau pays, qui est quand même arriéré sur ce sujet. Nous les jeunes on aimerait s'amuser entre nous, filles et garçons mais ce n'est pas possible, dans nos boites il n'y a que des garçons. Je n'ai jamais eu de relations sexuelles avec une fille j'aimerais bien tu sais pourtant mais j'en aurais uniquement si je me marie avec une femme que me désignera mon père... c'est pas juste ça!

Il me triturait les mains en parlant.
-alors c'est tout naturellement que l'on couche entre garçons oh quand je dis coucher, on se fait des bisous rapides sur les lèvres, on se frotte, on se masturbe, on jouit. Actuellement j'ai deux amis que j'aime beaucoup et on ne fait ça que tous les trois. On ne va pas voir ailleurs car on a peur que cela se sache et puis il y a eu mon oncle qui a tout cassé. Je ne savais pas qu'il s'était attaqué à Hakim avant moi mais il m'a invité dans son Palais. Il était très gentil et m'a parlé sexualité pour finir dans son lit à me faire niquer, j'ai eu mal tu peux pas savoir.

Il serrait mes mains et tremblait en parlant.
-cette première nuit il m'a niqué plusieurs fois et je n'avais rien à dire, c'était mon tuteur à Doha. Puis à chaque fois qu'il avait envie, fallait que je fasse ce qu'il voulait. Il m'a prêté à des amis à lui et je me suis fait niqué encore et encore. J'en avais marre et je n'osais en parler à personne même pas à mon frère, qui en fin de compte vivait la même chose que moi.

Il tremblait de plus en plus et me faisait mal aux mains tellement il serrait.
-tout est fini Saïd, calme toi maintenant.
-au début avec mes amis, je pensais que si on faisait ça ensemble c'est parce qu'on avait pas de femmes et qu'on ne voulait pas aller voir les escortes girls qui viennent dans le pays mais quand mon oncle, qui est marié m'a fait ça je ne comprenais plus du tout. Je l'ai vu faire venir des escortes boys pour son plaisir alors je me demandais ça sert à quoi, s'il est marié! j'avais peur de devenir gay quand tu vois comment ils sont traités dans mon pays. Alors que je me demande si tous les hommes ne couchent pas entre eux!
-tu sais la vie est compliquée Saïd, faut pas trop se poser de questions et faire ce que tu as envie certes tu n'es pas en France. Je crois qu'au Qatar il faut être très discret mais cela n'empêche pas de vivre non ?
-oui mais maintenant je crois que j'aime ça, coucher avec un garçon, être dans ses bras, tu vois comme toi qui me serres dans ses bras maintenant j'ai envie de ça.

Je ne bougeais plus j'étais tétanisé mais je me suis repris.
-j'ai jamais eu de plaintes quand je serrais un garçon dans mes bras dis je en lui faisant un bisou sur les cheveux, surtout un beau garçon comme toi.
Il tourne la tête vers moi en me regardant.
-c'est là que j'ai quelque chose de particulier à te demander Fabrice.
-je t'écoute Saïd.

Il détourne la tête, me serre encore les mains dans les siennes.
-j'ai jamais vu d'européens nus, j'ai jamais couché avec un étranger... j'aimerais que tu sois mon premier.
Un silence s'est fait. J'ai enlevé mes mains des siennes pour les prendre et les caresser en remontant sur ses bras doux et chauds.
-t'es vraiment sûr Saïd ?
-oui dit-il en tournant la tête vers moi ses beaux yeux plongés dans les miens, on se déshabille?
-attend! ne sois pas si pressé, en Europe, tout du moins en France quand deux garçons qui se plaisent se rencontrent ils se font des bisous, des caresses, s'excitent pour faire monter la tension puis après on découvre les corps avec les mains, la bouche, la langue et on fait l'amour tendrement ensuite.
Il a un sourire merveilleux.

Je lui fais un rapide bisou sur le nez. Il me regarde, lui aussi, surpris et sans rien demander m'en fait un.

Il se tourne un peu dans mes bras. Je caresse tendrement son visage, sa joue, passe mon pouce sur sa moustache.
-hum ça pousse pas vite jeune Prince dis je en riant.
-c'est de famille dit il mon père non plus n'a plus rien, il s'est tout fait enlevé car c'était ridicule je pense qu'on fera pareil.
Mon pouce passe sur ses lèvres humides, les caressant sans trop appuyer. Ses yeux ne me quittent pas, je sens son souffle sur mon pouce.

Je penche ma tête vers lui, yeux dans les yeux jusqu'à ce que nos nez se touchent. Je frotte le mien contre le sien, ses yeux rigolent et mes lèvres effleurent les siennes. C'est lui qui me fait un bisou rapide et retire ses lèvres mais je reviens à la charge, juste à les effleurer, je veux qu'il ne bouge plus, qu'il se laisse faire pour que je puisse lui manger les lèvres.

Comprenant que je ne fais pas les bisous rapides qataris je vois ses lèvres juste s'entrouvrir, il attend. Effleurements de plus en plus appuyés, jusqu'à ce que mes lèvres épousent les siennes. Il ne bouge plus, je ferme les yeux, les rouvre il a fermé les siens. Je retire mes lèvres, il a ouvert les yeux, je sors ma langue et la passe sur ses lèvres. Je vois qu'il est surpris mais cela ne doit pas lui être désagréable car il me laisse faire. Je lèche lentement, sans trop laisser de salive pour revenir épouser ses lèvres écartées et ma langue, cette bonne fouineuse pointe le bout de son nez et lui caresse les dents. Je sens qu'il est troublé mais me laisse opérer. Ma langue continue son avancée pour trouver sa nouvelle copine qu'elle tâte du bout.

Là j'en reviens pas. Saïd pousse un long gémissement, ses yeux sont fermés et sa langue approche de la mienne, s'y colle, elles s'enroulent et la salive coule de partout. J'aspire la sienne. Elle a bon goût cette langue qui apparemment n'est allée nulle part.
Nos lèvres se mangent entre elles, nos langues jouent une farandole dans les bouches. Il a l'air d'apprécier de visiter ma bouche avec sa langue. Il grogne, gémit, il souffle par le nez. Il bouge, et vient me caresser le visage, me collant encore plus dans le divan, je sens sa jambe passer sur moi. Il vient se mettre à califourchon, me tenant la tête dans ses deux mains et m'embrasse comme un fou poussant de grands soupirs.
J'en profite pour caresser son dos, son cou.

Lorsqu'il arrête son baiser, ses lèvres sont humides, gonflées encore plus, il a un grand sourire qui illumine son visage.
-tu vas penser que je suis un idiot, mais jamais on m'avait embrassé comme ça avec la langue! ça m'a excité tu peux pas savoir si tu voyais comme ma queue est raide, j'en ai mal dit il en riant.
Et il replonge sur mes lèvres pour un deuxième round mais il prend son temps, et ses lèvres papillonnent partout sur mon visage. Il me donne sa langue à lécher. Je lui donne la mienne cela le fait rire.
Ses bisous descendent dans mon cou. Il vient me lécher la pomme d'Adam je reçois mille bisous, moi en tout cas j'adore ses belles lèvres.
-et en France vous vous faites des bisous partout comme ça sur le corps ?
-oui, moi j'adore ça en recevoir et en faire bien sûr mais pour ça il faut se déshabiller... alors qu'en penses tu Saïd ?
-je suis tout à fait d'accord viens on va dans la chambre.

D'un bond il est debout, me tire par la main et nous voilà dans la chambre. Décidément ça doit être la mode d'avoir des grands lits.
A peine arrivé, il commence à se déshabiller, je l'arrête, il me regarde inquiet.
-attend j'ai envie de te déshabiller, de te sentir... de te voir.

Il rigole et se laisse faire.
J'enlève sa robe pour voir encore une fois un marcel blanc et un caleçon informe bouffant qui lui arrive aux genoux. Je me suis retenu pour ne pas rire mais je l'ai regardé.
-va falloir changer la mode de vos sous vêtements au Qatar c'est pas terrible ce caleçon!
-ça fait partie de la tenue mon ami.

Je lui enlève le marcel et un beau torse bronzé, ambré m'apparait, deux tétons qui pointent au milieu de leur aréole. Il est musclé Saïd, je caresse sa poitrine, passe sur ses abdos durs, il sourit. Je m'approche et le respire, humant cette bonne odeur de jeune mâle arabe. Je fais un bisou sur son téton il rigole. Je prends un téton entre mes lèvres et le lèche, lui arrachant un petit cri. Je le tète, il gémit. Je prends l'autre téton entre deux doigts et le martyrise gentiment en le tournant doucement.

Ses mains se posent sur ma tête, il gémit à n'en plus finir. Je vois le caleçon avec un grand mât qui pointe. Il est temps de faire plaisir au Prince, je veux le faire jouir en premier.
Je reviens l'embrasser en le serrant contre moi, sentir son corps chaud se coller à mon tee-shirt.
Il me donne de suite sa langue et mes bisous descendent sur son menton, son cou, passe entre ses seins. Ma langue lèche les abdos. Je prends le caleçon à deux mains et le tire vers le bas le descendant à ses pieds pour voir surgir un bel engin pas du tout la même queue qu'Hakim ou Ali.

Il bande comme un fou, son gland marron a viré au rouge. Une queue dans la normale, pas très longue mais épaisse. Le gland ressort bien et le méat laisse couler son bonheur. Une petite touffe de poils noirs encadrent cette belle queue. Elle pointe devant mon nez, ma bouche fonce vers les couilles légèrement poilues, de petites couilles serrées. Je soulève la queue et lèche avec application. Ses mains se posent sur ma tête et les gémissements reprennent. Avec ma langue je remonte sous la queue épaisse, titille le frein et de la pointe touche le méat. Il sursaute en reculant puis revient vite, je le tiens aux cuisses pour lécher le gland, l'entendre gémir encore, voir sa jambe bouger. Sa queue devient de plus en plus dure... mais c'est qu'il est excité mon jeune Prince.

J'enroule mes lèvres sur le gland et j'avale sa queue entièrement jusqu'au fond de ma gorge tout tient, bien au chaud. Je fais glisser mes lèvres sur cette grosse hampe. La mouille coule, le gland durcit encore. Je n'ai pas fait trois allers retours que je l'entends crier, en s'enfonçant encore dans ma bouche et les vannes sont ouvertes. Il crie de plus en plus fort et les giclées se suivent, de la bonne crème chaude qui coule en moi. Il a des soubresauts dans le corps, il serre fort ma tête et les giclées s'arrêtent et sa queue sort lentement pleine de salive. Je lui lèche lentement pour le voir sursauter.

Il tombe à genoux devant moi, m'entoure de ses bras en me serrant contre lui, sa tête dans mon cou me faisant des bisous, me regarde.
-j'avais jamais joui comme ça si vite et pas toi! dit il d'un air désolé.
-mais Saïd, maintenant c'est à toi de me déshabiller, de découvrir mon corps et de me faire jouir. J'en ai envie car moi aussi je bande.

Je sens sa main me caresser l'entre jambe et me serrer la queue dans sa main.
-mais le français a l'air d'avoir un beau morceau dit il en riant.
-et bon aussi.
-alors je m'occupe de toi.

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