Le Mondial 2022 : Quart de finale 6 - histoire érotique

On s'est relevé, il s'est jeté dans mes bras me serrant fort contre lui, j'en ai profité pour caresser son dos, descendre sur ses petites fesses, les caresser tendrement.
Il m'a enlevé mon tee-shirt m'a regardé.
-t'es blond partout ?
-oui dis je souriant tu vas avoir une surprise, déballe ton cadeau Saïd.

Mais avant de continuer à me déshabiller, il a reproduit sur moi ce que je lui avais fait sur les torse et les tétons. Un peu maladroit mais on sentait qu'il y mettait tout son cœur et j'ai adoré la douceur de ses mains et pour être léché, j'ai été léché!
-t'as pas la même odeur que nous les qataris dit il.

Il n'arrêtait pas de me renifler puis il s'est mis à genoux, a peiné à défaire mon ceinturon, je sentais ses doigts toucher ma queue. Elle allait être contente d'être libérée.
Mon pantalon est enfin tomber à terre sa main est passée sur la protubérance que faisait ma queue dans le boxer.
-c'est beau à regarder on voit bien le dessin de la queue et tu mouilles beaucoup dis donc!
Il a baissé mon boxer rapidement et ma belle queue lui est tombée sous le nez. Ses yeux n'en n'avaient que pour ma toison, c'était vraiment la première qu'il voyait, une toison de blond et qu'il allait pouvoir toucher.
-j'en avais vu des blonds comme toi dans les films pornos américains mais là je vais pouvoir toucher.

Il a joué avec ses doigts dans ma toison, me faisant frissonner quand il tirait sur les poils puis il s'est aperçu que je n'étais pas circoncis..
-on voit pas le bout entièrement ?
-eh bien caresse la, tu vas voir tout ce que tu veux voir.
Quand sa main chaude et douce a enveloppé coquine, j'ai bien cru qu'elle allait cracher de suite mais je sais me retenir lol.

Le voilà à s'amuser avec mon prépuce. J'ai un gland légèrement plus gros que la tige, un peu en obus ce qui fait qu'elle peut entrer n'importe où...
Je crois que mon gland n'avait jamais été observé de si près durant si longtemps et, enfin il a tiré sa langue pour la passer dessus et c'est lui qui m'a fait gémir et de l'autre main il me caressait les couilles.

Je me suis abandonné à ses caresses, je l'ai laissé faire comme il voulait. Il a essayé d'avaler ma queue entièrement mais ça n'a pas duré longtemps, il avait des hauts le cœur. Je n'ai fait aucune remarque, sentir ses lèvres et sa langue s'occuper du gland était très jouissif.
Il s'est mis à me téter la queue de plus en plus rapidement, je ne sais pas s'il sentait qu'elle durcissait mais je lui ai dit que j'allais jouir. Il m'a fait oui de la tête, mais n'a pas bougé. Les deux premières giclées ont coulé dans sa bouche mais il n'a pu continuer et les autres ont jailli à travers son beau visage. Deux longues trainées de sperme et il est revenu me lécher le gland puis m'a regardé en riant le visage plein de sperme.

Je me suis agenouillé devant lui, pris sa tête entre mes mains et j'ai léché mes traces, avalant les premières lampées et je lui ai offert les suivantes qu'il a pris en souriant.

Il m'a serré encore dans ses bras... des bisous, des bisous, des caresses, des caresses.
On s'est relevé pour s'allonger sur le lit.
J'avais une pieuvre dans mes bras et il bandait encore Saïd.
Il s'était mis sur moi, me faisant des bisous partout.
-mon frère m'a dit que t'étais génial eh bien je confirme! t'as fait la même chose avec lui ?
-t'es bien curieux jeune Prince.
-oui c'est vrai t'as raison, ça ne me regarde pas, surtout que c'est mon frère mais dit il de son air taquin, vicieux, de la manière dont il parle de toi.

Je rigole en l'embrassant.
-alors ? et maintenant tu m'apprends quoi comme deuxième leçon ?
-dis donc jeune Prince je croyais que tu m'avais invité pour dîner t'as vu l'heure qu'il est ? 20 heures passées.
-t'as faim ?
-de toi oui mais mon ventre réclame aussi dis je en riant.
-ok en va dîner mais après tu reviens avec moi hein ?
-oui je reviens avec toi et même que je peux rester toute la nuit si tu veux, rien que pour te regarder dormir et te voir te réveiller demain matin.
-t'es vraiment un coquin quand même, allez on prend une douche et on y va!

On est pas allé loin pour dîner, dans l'ascenseur il me tenait la main mais dehors, et au restaurant, il est redevenu le Prince qatari a qui tout est dû. Il ne pouvait s'empêcher de jouer au Prince. Cela allait lui faire du bien de travailler pour le Prince Ali.
Il n'y avait pas grand monde au restaurant, mais je peux dire qu'on était regardé.

Il avait hâte de rentrer chez lui. Dès l'entrée dans l'ascenseur il s'est jeté sur moi pour m'embrasser.
-je suis raide tu peux pas savoir dit Saïd les yeux brillants.
-et moi alors.

Il prend ma queue dans sa main.
-j'ai envie de te sucer encore Fabrice.
-faudrait peut être passer à la leçon suivante non ?
-c'est quoi ? demande t-il de son air vicieux.
-ton frère t'a dit où nous étions ce week-end ?
-oui chez le Prince Ali dans sa maison au bord de la mer.
-je les ai tellement embêté, j'ai fait le rebelle, tout ça pour rire que je leur ai dit que j'étais le chef des Princes alors ils m'ont nommé Emir par intérim.
-et vous avez couché tous les trois ensemble.
-qui t'a dit cela ?
-je ne dévoile pas mes sources Démon de français! dit il en me faisant un clin d'œil.

On rigole tous les deux en entrant chez lui.
-Mais tu ne m'as pas dit ce qu'était la deuxième leçon.
-que je suis le maître et qu'il faut m'obéir jeune Prince.
Je le tenais serré contre moi, mes mains sur ses belles fesses.
-alors tu veux abuser de moi, un jeune Prince sans défense, je vais être obligé de me laisser faire alors ?
-t'as intérêt sinon c'est la fessée!
Il m'embrasse tendrement, et me dit :
-je t'adore Fabrice et je vais t'obéir en tout.
-alors allons prendre du plaisir, rien que du plaisir entre beaux garçons que nous sommes.

A peine arrivés dans la chambre qu'il était déjà nu complètement, il avait jeté tous ses vêtements partout. Droit devant moi, son beau gros sexe au garde à vous, il me regardait tout sourire.
J'ai pris mon temps pour me mettre nu, le laissant me regarder, voir mes fesses et me retourner pour qu'il voit que moi aussi j'avais envie de lui.
On a fait un pas tous les deux pour se retrouver bouche contre bouche et nos langues jouaient ensemble.

Je caressais comme lui me le faisait, son dos et ses fesses. Tout était lisse chez lui et chaud.
-qu'est ce tu as la peau douce et qu'est ce qu'elle est claire dit il les yeux brillants.
-Saïd tu me fais confiance... tu me laisses faire ? je vais te manger des pieds à la tête.
-t'as encore faim gourmand!
-de toi je crois que oui j'en aurais envie tout le temps.
Je le pousse sur le lit. Il tombe sur le dos. Il se recule. Je fais le tour du lit et au pied, je tire les siens vers moi. Il glisse sur le drap fin en riant et je colle ses pieds sur ma poitrine. Je vois ses yeux s'écarquiller.

Un pied recouvrant un téton et l'autre pied que je prend dans mes mains. Je le masse sous la plante des pieds, je sais que cela chatouille mais il ne bronche pas. Je sens le pied bien détendu. Je masse les orteils toujours en le fixant, caresse entièrement le pied, la cheville. Je le vois soupirer mais il ne me quitte pas des yeux.

J'approche son pied de ma bouche. Je regarde ses orteils, il a vraiment de beaux pieds Saïd, de longs orteils, le gros orteil est bien séparé des autres.
Je reviens à ses yeux qui me regardent toujours. Je fais un bisou sur le gros orteil. Je vois bien qu'il est surpris, je lèche le dessous de l'orteil, ses yeux s'agrandissent et mes lèvres viennent entourer le gros orteil, l'avaler et ma langue le lèche comme elle a léché son gland.
Il a les yeux grand ouvert, la bouche ouverte. Il est étonné que je lui fasse ça mais il est curieux et quand il sent mes lèvres sucer son orteil, le voir entrer et sortir de ma bouche, ma langue qui l'enveloppe je vois son gros sexe qui bandait déjà, bouger, tenter de se redresser.

Je passe un coup de langue sur les autres orteils, d'affilé et là il gémit quand je reviens passer ma langue entre chaque orteil, profitant de les lécher un par un. Il tend son pied, me l'offre à cette caresse que j'adore faire et recevoir, lui c'est la première fois qu'on lui fait ça et je vois bien qu'il aime, ça l'excite car sa queue a réussi à se décoller de son ventre, et coule.
J'ai pris mon temps avec son pied et attaquer l'autre. Il n'a jamais manifesté son désaccord.

Quand ma langue a remonté le long de ses mollets, léchant d'un côté, de l'autre faisant des bisous aux genoux, remontant sur les belles cuisses musclées et bien bronzées naturellement jusqu'à ce que mon nez sniffe ses petites couilles. Surpris il a crié, je les ai léché. J'ai pris un pied dans chaque main et j'ai relevé ses jambes, les pliant pour les coller sur son torse.

Je l'ai fixé, ses yeux brillaient de mille feux et je me suis occupé du cul princier... mon quatrième quand même.

Il est souple le Prince, et ses jambes sont bien relevées, bien écartées et j'ai une belle vue sur des petites fesses imberbes, lisses qui laissent voir dans la raie un bel anus qui a déjà servi et qui palpite.
C'est vraiment un coquin le Prince Saïd.

Je lèche les couilles , les inondant de salive, salive qui coule directement dans la raie. J'en met tellement que ça coule en continue et ma langue descend dans la raie, gros coup de langue sur l'anus, écartant la salive et petit cri, son anus s'ouvre déjà.
Je le frotte avec mon nez, l'aspire avec ma bouche, le lèche, force avec ma langue et je peux lécher l'ouverture qui se fait et entendre Saïd pousser des gémissements de plus en plus forts.
Je remets de la salive et mon index vient la faire rentrer dans le petit cul. Il disparait, avalé. Je caresse la paroi... il crie, geint.

Je tourne mon doigt dans son petit cul. Je le sors et je reviens à l'assaut avec deux doigts, foré, troué on sent bien qu'il aime ça ce coquin il s'offre en poussant.
J'ai la queue dure comme du béton, elle s'est décalottée toute seule et est prête à aller visiter ce nouveau cul princier.

Quand il voit ma tête apparaitre entre ses jambes, s'avancer sur son corps, me positionner en bloquant ses jambes avec mes bras, je vois qu'il comprend ce qui va se passer, son visage est tranquille, serein, confiant.
Mon gland frotte dans la raie, trouve l'entrée. Je le regarde, souriant.
-prêt jeune Prince ?
Il me fait oui des yeux.

Je pousse doucement, son sphincter s'ouvre en enveloppant mon gland. Il ouvre la bouche, ferme les yeux et au fur et à mesure que mon gland avance il se mord la lèvre.
Je m'arrête, il souffle et je pousse d'un petit coup de reins, et le gland passe mais lui gueule comme un sauvage. Je fais une pause, je sens bien son conduit me serrer mais y'en a encore à entrer.
Alors j'enfonce, ça glisse bien, son conduit me serre bien fort et mes couilles finissent par se coller à ses petites fesses.
Il me regarde, des larmes dans les yeux.
-ça va Saïd ?
-oui Fabrice, elle est bonne la queue française et toi au moins tu rentres pas en force! mais nique moi maintenant... nique moi comme t'as niqué mon frère et le Prince Ali.
Je souris.
-t'oublies Abdallah ton oncle... mon jeune Prince.
-tu l'as niqué aussi ? j'en reviens pas.

Cela a l'air de le laisser rêveur.
Quand j'ai commencé à bouger en lui, il a commencé à pousser de petits cris et cela a augmenté tout le temps qu'il a eu ma queue en lui.
J'ai fait coulisser ma belle bite dans son beau cul. Je l'ai fait changer de position plusieurs fois, sans sortir de son cul pour l'achever en face à face et le remplir de bon jus français.
On avait bien fait de faire une pose j'avais bien repris des forces et Saïd a été inondé. Il souriait quand il sentait le jus chaud l'inonder.

Je suis sorti doucement de lui regardant son petit trou se refermer. J'ai soulevé ses fesses pour lécher le jus qui trainait et je l'ai étouffé de mon corps, pour sentir sa grosse queue dure coincée entre nous.
-t'es un amour Saïd... et je lui ai fait plein de bisous.
-non c'est toi l'amour.
-maintenant je suis à toi moi aussi je veux goûter à la bite qatari.
-ça sera pas ta première dit il en riant.
On aurait dit qu'il était jaloux quand il disait ça.

J'ai roulé dans le lit pour le mettre sur moi et j'ai écarté les bras.
-je suis tout à toi, fais ce que tu veux.
Il m'a fait un grand sourire avant d'aller directement renifler ma queue et la lécher tendrement, me soulever les jambes et m'ausculter.
Je n'ai pas compris ce qu'il disait, il marmonnait en arabe.
Par contre j'ai bien senti sa langue, sa salive, ses doigts, ses bisous. Il m'a ouvert l'anus en prenant son temps. Un, deux et trois doigts m'ont foré le cul, il fallait bien ça pour sa grosse queue épaisse.

Il avait l'air d'être pressé de me baiser. J'ai senti ses genoux encadrer mes fesses, son gland passer dans ma raie duvetée se poser sur mon anus, relever son petit cul en s'enfonçant lentement. Il n'a pas fait de halte, son gland est passé, je râlais au début puis j'ai gueulé aussi et la queue entrait en moi.
Heureusement sa queue n'était pas très longue mais il n'y a pas eu de répit et s'est mis à me baiser comme une mitraillette ses mains posées sur mes cuisses, sa queue faisaient des vas et viens.
Heureusement qu'il était très excité, cela n'a pas duré si longtemps et quand il s'est bloqué pour jouir, j'ai bien cru par contre, qu'il ne s'arrêterait jamais. Je devais avoir le cul de bien rempli!!

Sa queue est sortie et il s'est écroulé dans mes bras, sa tête contre la mienne, il soufflait comme un asthmatique. Je le serrais en caressant son dos et ses fesses.
-Fabrice ?
-oui dis je.
Il relève la tête, me fixe.
-je t'aime beaucoup j'ai jamais tant joui avec un garçon, tu m'as crevé.
-ben fallait pas aller si vite aussi dis je en riant.

Il se met à côté de moi, passe sa jambe entre les miennes, sa main caresse ma joue, il me fait des bisous, m'embrasse le nez. Je lui rends ses bisous.
-tu sais c'est vrai que je t'aime dit il sérieusement.
-j'en doute pas Saïd, mais tu sais que je pars bientôt en France.
-oui je sais mais si je viens à Paris, tu voudras me voir ?
-bien sûr! et j'en serais très heureux de te recevoir.
-alors je viendrais te voir, je veux faire l'amour avec toi à Paris!

Il était très sérieux en disant cela, et je repensais à ce que Jean Alexandre m'avait dit, que le Prince qatari est un vrai gamin qui a des caprices et qui les assouvit.

Il était bien redevenu le prince qatari.
Il parlait encore, collé à moi. Je sentais le sommeil me gagner. Il a éteint la lumière et j'ai pensé que j'avais oublié d'avertir Jean Alexandre que je ne rentrais pas. Il devait pester...
-on dort le français ?
-oui mon Prince on dort! fait de beaux rêves Saïd.
-avec toi c'est sûr.

Et j'ai encore droit à des bisous tendres avant de s'endormir.