le monstre dur de mon beau-frere - histoire érotique

Je reviens vers vous sur la pointe des pieds car j’ai longtemps hésité à vous conté ces faits qui se sont déroulé deux ans après mon histoire précédente (comment j’ai cédé à mon beau-frère)
J’avais une certaine appréhension que les lecteurs me prennent pour une putain ou une fille un peu trop facile et finalement je me suis dit que les histoires écrites sur ce site sont plus pour exciter les lecteurs que de juger l’auteur.
Je vous avoue avoir les joues rouges avant d’appuyer sur « envoyer »

Ma sœur Melanie et mon beau frère Willy tous deux 30 ans ont une caravane dans les Ardennes le long d’un cours d’eau (je sais plus le nom) et mon mari Hugo et moi Aurélie avons été invité à passer un long WE avec eux.
Il faisait un temps magnifique et l’eau de la rivière un peu fraiche quand on rentrait dedans mais bonne après.
Quand on est arrivé, il y avait un couple d’amis que j’avais déjà vu, qui y passait une journée également.
Ils étaient déjà tous en maillot, les femmes deux pièces et les hommes un maillot.
Willy avait un maillot que je trouvais un peu petit surtout qu’il avait un beau paquet à cacher.
A midi, avant le diner, l’apéro allait bon train, ma sœur et moi avions préparé une sangria.
Vers quatorze heures nous avons tous eu envie de faire un petit plongeon et on s’amusait comme des fous. Mon Hugo et le copain bafouillaient un peu en parlant, la sangria et le vin de midi leurs faisaient apparemment tourner la tête et nous les femmes étions plus que très joyeuses.
Willy ne boit que très peu et était bien sobre.

Dans l’eau nous avions décidé de nous mettre sur les épaules de nos maris et on essayait de nous faire tomber. En s’empoignant, et tirant les trois femmes pour finir n’avaient plus le haut du maillot. Toutes les trois avons plus ou moins des seins 85-90C et moi en plus j’ai des tétons gros et longs que Willy ne tardait pas de nous faire remarquer.
Puis on décide de changer de partenaire et je me retrouve sur les épaules de Willy.
Etant un peu enfuis des deux autres il me demande si c’est mon clitoris qu’il ressent si fort dans son cou et je lui réponds qu’il est coquin.
On termine notre jeu et nous étions tous les six ensembles et Willy fait remarquer encore une fois que j’avais des gros tétons par rapport aux autres.
Et moi je réponds, et vous 3 avez aussi des grosses queues ?
Nous avions de l’eau jusqu’aux seins et Willy est le premier a sortir sa queue de son maillot et les deux autres après hésitations et sous la pression de leurs femmes sortent également leur queue.
Comme l’eau déforme on ne voyaient pas distinctement les trois queues.
Seule celle de Willy était bien plus grande que les deux autres et ma sœur crie que son Willy était le champion et fait remarquer que son frère et donc mon mari n’avait pas une grande queue et il répond qu’elle a froid et qu’elle s’est totalement recroquevillée.
Bref les rires allaient bons trains tous en se taquinant
Où nous étions, la rivière faisait un tournant assez sec et vers la droite, il y a beaucoup d’arbuste, et je me suis mise à nager vers cet endroit, je m’arrête et je vois les autres sortir de l’eau sauf Willy qui nage également un peu plus loin. Je lui fais signe en faisait remarquer que les autres sortent de l’eau.
Puis il me rejoint et on continue à nager, nous étions totalement à l’abri des regards des autres On s’était arrêté, car il y avait peu d’eau, l’eau effleurait à peine ma chatte et mes tétons pointaient fièrement et je ne régalais a les lui exhiber.
Puis il m’avait demandé si c’était vrai que mon mari avait une petite queue et je lui répondis peu importe comme elle est, il me donne suffisamment de plaisir et je poursuis en lui demandant : c’est quoi une petite queue pour toi ?
Et il m’avait répondu en baissant son maillot, ça c’est une grosse queue.
J’étais très surprise de voir sa queue et je lui faisais remarquer qu’en érection son Hugo avait une plus petite et mince queue que la sienne au repos.
Il avait pris ma main et insisté pour la déposer sur sa queue et en m’aidant à faire des vas et viens et sa queue devenait énorme.
J’ai été très surprise de m’autoriser à me laisser guider la main sur sa queue alors que je n’avais encore jamais songé qu’il puisse en arrivé là.
- Qu’en penses-tu ?
- Waouw que c’est gros et long

Lui n’avait pas hésité à empoigner mes tétons et les faire rouler entre ses doigts.
Encore une fois je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais le l’ai laissé faire et ses caresses me plaisait
Après un moment je lui ai dit que ma sœur avait de la chance d’avoir un mari avec une aussi grosse et longue queue et il m’a répondu que je n’avais qu’à le lui demander mais à sa façon de me le dire j’avais compris qu’il y avait quelque chose de négatif.
On s’était assis dans l’eau pour pas nous voir avec sa queue en main que je continuais seule a masturbé et sa main s’aventurait entre mes cuisses, je le regardais dans les yeux, il m’avait souris sans dire un seul mot et j’ouvrais les jambes pour lui montrer mon approbation.
Il passait sa main sous mon élastique ventrale, ses doigts touchaient mon clitoris, je me soulevais un peu et deux doigts entraient dans ma chatte. Son pouce s’activait sur mon clitoris, je gémissais de plus en plus….. J’allais jouir et il accélérait ses mouvements, mes spasmes étaient puissants, j’avais la bouche grande ouverte, je venais de jouir entre les mains d’un autre que mon mari et je repensais au plaisir que j’avais eu avec Alain, mon autre beau-frère.
Puis j’avais repris à le masturber, sa queue devenait de plus en plus énorme, longue et très épaisse. Il a poussé son bassin vers le haut si bien que sa queue sortait de l’eau. J’avais accéléré le mouvement car je voyais qu’il était au bord de l’explosion. Son premier jet m’a surprise par sa quantité et la hauteur du jet avant de retomber sur mon bras et plusieurs jets sont encore sortis de sa queue dans un râle de satisfaction.
Il avait repris mes deux tétons entre les doigts, les roulaient et m’a dit que si j’avais envie d’essayer une grosse queue dans la chatte que je pouvais compter sur lui et j’ai répondu par un sourire.

- Laisse-moi rejoindre la rive seule et arrive après pour pas qu’il y a des soupçons.
Arrivé près des autres, ma sœur me faisait remarquer que mes tétons étaient tous rouges et lui ai répond qu’ils avaient pris un bon bain d’eau froide.
Quand Willy est arrivé, on pouvait bien voir la forme de son sexe au travers de son maillot.

Vers 18 h on s’était préparé pour le barbecue, quand le téléphone de Mélanie sonnait et s'était sa belle-mère toute affolée qui essayait de joindre Willy qui ne répondait pas au GSM.
Elle avait eu un accident de voiture et demandait à Willy de l’aider, elle ne savait pas comment faire pour rentrer chez elle et embarquer sa voiture.
Bref elle voulait que Willy revienne mais il ne savait pas être là avant 1h 30 car il a quand même 150Km à faire.
Ma sœur embêtée, son BBQ qui s’apprêtait, nous étions là ainsi que ses amis
Elle disait à Willy qu’elle ne savait quand même pas l’accompagner.
J’ai proposé à ma sœur de l’accompagner s’il le fallait et ma sœur avait l’air content que quelqu’un accompagne Willy.
Bref Willy et moi sommes partis et à peine sur la route que la main de Willy était déjà sur ma jambe et il remontait vers mon string, je le regardais dans les yeux et me fit un sourire en disant :
- Tu n’attends que ça…avoue
- Tu veux que je l’enlève ?
- Oui et ton soutien aussi
Je m’exécutais et lui mis mon string sous le nez.
- Dis donc pour une qui n’avait jamais trompé son mari…..on dirait que tu aimes…
Je lui avais dit que c’était la première fois que je tenais la queue d’un autre homme dans la main, bref je n’étais plus moi-même et je me surprends à lui dire :
- ma chatte aime qu’une langue s’en occupe.
- Attend…tu t’en souviendras !!!
Bref, 30 secondes plus tard j’avais ma jupette remontée au max et mon chemisier ouvert avec mes seins bien visible, j’étais totalement soumise à lui et dans un état d’excitation extrême.
Tant bien que mal il me caressait la chatte toute trempée par ma cyprine tout en faisant attention à la route.
Sur la route, au moment de dépasser un camion, il ralentit à la hauteur du chauffeur, mais je n’avais pas plus fait attention et le chauffeur du camion à klaxonner, j’avais été saisie et j’ai regardé le routier qui m’avait fait un pouce en l’air.
J’avais traité Willy de salaud et lui avait dit que je n’étais pas une pute.
Puis c’est moi qui ai sorti sa grosse bite de son short, il m’avait aidé en glissant son short vers le bas et ainsi je pouvais bien masser sa queue que je trouvais encore plus grosse et longue qu’il y a une heure dans l’eau.

Ayant quitté l’autoroute, il avait reculé un peu son siège et c’est ainsi que j’avais pu lécher et sucer sa grosse queue, je dirais plus tôt son gland. Il s’est arrêté dans l’entrée d’un champ pour que je puisse le finir comme il n’avait dit. Il avait incliné le dossier de son siège et me traitait de salope qui suce divinement bien. Au plus je le suçais son gland, au plus il poussait son bassin vers le haut et dans un râle de mâle en rut, il a fini par me remplir la bouche de son jus que j’avais avalé puis bien lécher sa queue pour la nettoyer.
- Dit donc ton Hugo doit être aux anges si tu le baises aussi bien que tu m’as sucé.
- Même si mon mari n’a pas une bite comme la tienne sache qu’il est très performant et que l’on baise au moins six fois semaine et qu’il me donne de multiples orgasmes lors d’une baise



Je vous passe la partie chez sa mère et quand tout était en ordre, nous avons pris congé de sa mère pour retourner au camping.


A peine sur la route du retour, comme on passe à proximité de chez moi, j’avais demandé à Willy de faire un arrêt chez moi car j’avais oublié mes lunettes de soleil.
- Toi tu as une idée derrière la tête…. !
- Ho si tu ne veux pas… pas de soucis !
- Je vais te faire connaitre une grosse queue dans ta chatte
- Je n’attends que cela
A peine entré chez moi, je lui ai sauté au cou et nos bouches se touchaient et nos langues s’entremêlaient.
Arrivé dans ma chambre, bien vite nous nous sommes retrouvés nu.
Debout devant moi, sa queue était énorme, dur , monstrueuse avec des grosses veines, bien droite, un gland rose plus gros que le reste de sa queue et totalement décalotté et je commençais à avoir des doutes sur la pénétration
Il s’acharnait sur mes tétons comme un bébé en manque de lait. Sa bouche m’a procuré tellement de sensation que j’ai eu mon premier orgasme, je sentais ma chatte perler de cyprine.
Je n’avais plus de patience et je le tirais sur moi afin qu’il m’enfonce sa grosse queue au fond de mon puits de plaisir.
J’avoue que j’ai hurlé quand son énorme gland est entré mais quel plaisir de sentir sa chatte remplie à ce point. Je le sentais bien au fond de ma chatte qui n’avait jamais été explorée aussi profondément par mon mari et j’en voulais encore plus.
Vous direz peut être que je suis une menteuse car mon autre beau-frère a aussi une très longue queue mais elle ne me remplis pas aussi bien la chatte.
Après être resté un moment bien au fond sans bouger afin que mes chairs s’habituent, il a commencé à me limer les fondements et moi j’avais callé mes talons dans son dos. A chaque coup de queue, certains de mes organes se déplaçaient certainement, ses mouvements étaient longs et profonds et je n’ai pas tardé à avoir un orgasme comme je n’avais encore jamais eu. A chacune de mes contractions je sentais sa queue se gonflé, comme je n’avais encore jamais ressenti, avant de déversé son jus dans mon puits d’amour et comme il continuait ses vas et vient, mon orgasme ne faiblissait pas.
Et quel plaisir de sentir sa queue rester bien au fond de sa chatte après un tel orgasme, d’habitude la queue d’Hugo aurait déjà longtemps quitté ma chatte.

Quand il a décidé de se retiré très lentement, je ressentais le vide qui se créait dans ma chatte jusqu’à ce qu’il soit complètement dehors.

Il s’est glissé entre mes jambes et a léché ma chatte certainement dégoulinante de son sperme et de ma cyprine, puis il a sucé mon clitoris en mettant deux doigts dans ma chatte et quand il a trouvé mon point G mon bassin s’est mis a balancé dans tous les sens. Ses caresses étaient trop forte pour une chatte qui venait de se faire laminé, il ne lâchait pas, j’hurlais de plaisirs et criais d’arrêter, j’essayais de fermer mes jambes, mais rien n’y fessait et j’ai perdu prise, j’ai eu une absence et quand j’ai repris mes esprits, Willy était sur moi et me faisait des bisous partout sur le visage.
Puis il a eu un mouvement de recul et c’est alors que je me suis rendu compte qu’il avait certainement remis sa queue dans ma chatte pendant que je voyageais au septième ciel. Il n’a pas fait dix mouvements que j’ai de nouveau ressenti sa queue gonflé plusieurs fois et lâché son sperme dans ma chatte.
Je ne veux pas reproché quoi que ce soit à mon mari ou son frère Alain mais je n’avais encore jamais connu une telle jouissance
Nous sommes passés par la douche avant de prendre le chemin du retour.

Arrivé tard au camping, nous avions parlé de l’accident de sa mère et puis sommes allé au lit.
Alain avait envie de me baiser et lui avait dit que j’étais trop fatiguée, j’avais peur qu’il découvre ma chatte toute dilatée et encore bien mouillée, mais le lendemain matin j’avais réveillé mon mari alors que j’étais déjà assisse sur sa bite, j’avais encore la chatte trempée de la veille et me suis déchainée sur sa bite, il adore que je le réveille de la sorte. On s’étaient déchainé tous les deux en oubliant que des personnes auraient pu nous entendre.

Quand on a rejoint ma sœur qui faisait le café alors que Willy était parti chercher le petit déjeuner, elle m’a dit que j’avais fait bouger la caravane et lui ai répondu je ne n’avais rien senti de son côté et m’a dit que ce n’était pas sa tasse de thé et si tu veux savoir ce n’est que quand il me lèche que j’ai du plaisir sinon il me fait mal avec sa trop grosse queue.
Alors j’ai fait l’innocente et lui demandant si la bite de son mari était si grosse, elle m’avait répondu en prenant et me montrant la bonbonne de crème fraîche qui était sur le meuble de sa cuisine
- Imagine toi avoir l’équivalent de ça dans la chatte… c’est trop douloureux.
Je n’ai rien dit mais je me suis dit que moi j’avais vraiment pris un plaisir immense.

Je dois avouer également que j’ai ainsi tromper mon Hugo pendant 6 ans avec mes deux beaux-frères jusqu’à ce que l’on déménage…..un peu trop loin pour avoir des rapports ensemble sans se faire prendre mais lorsque l’on se voient, n’hésitent toujours pas lorsqu’ils ont l’occasion de passer une main sur mes fesses ou mes seins. Et moi de mon côté je relève ma jupe ou ma robe et je leur montre que je n’ai pas de culotte ou je leur montre un sein et passe ma main sur leur braguette. Et le soir après leur visite, mon Hugo me demande pourquoi je suis aussi excitée et on baise comme des fous, je suis tellement excitée en repensant à ses bons moments de baises que l'on a eu ensemble mais que du sexe
Mon Hugo n’a jamais rien vu et mon couple se porte à merveille, avec lui je fais l'Amour. Parfois je me demande pourquoi je l'ai trompé alors qu'il me fait très bien jouir ou alors ce dérapage a servi à ne pas tomber dans la monotonie. Ceci ne plaira peut être pas à certains lecteurs mais je pense parfois à Willy quand Hugo me baise et mon excitation est alors décuplée, et je vois à sa satisfaction qu'il en profite également.

Je termine par cette petite parenthèse, pendant le déjeuner Willy et Hugo ont décidé d’aller faire du kayak mais Mélanie n’avait pas envie et par solidarité je suis restée avec elle.
Ils étaient à peine partis que Mélanie reprend conversation avec le sexe et me répète ce qu’elle avait déjà dit à savoir que ce n’est que quand son Willy lèche sa chatte qu’elle a des orgasmes mais il rouspète que je suis trop poilu. Alors je lui ai dit que j’avais la chatte lisse. J’ai relevé ma jupe et baissé mon string pour lui montrer
- Passe ta main et sent comme c’est lisse
- Hoo oui…. mais moi je n’oserai pas et puis je ne sais pas faire cela moi-même
- Tu veux que je te rase ?
- Hooo je sais pas si cela plaira à Willy de raser, lui parlais de raccourcir
- Fait lui la surprise de te raser…il va te dévoré la chatte
Elle hésite et finalement elle accepte que je la rase.
Nous avons mis sur le lit un essuie de bain sous ses fesses et effectivement ma sœur était très poilue, j’ai d’abords couper au ciseau avant de procédé au rasage avec de la mousse à raser de son mari et son rasoir.

J’ai commencé par le plus facile, son pubis et puis entre les jambes.
Quand je me suis mise à raser tout autour de sa chatte, ma main se posait sur ses lèvres, je les tendais pour raser sans la blesser (j’avoue le faire à moi-même est plus facile).
Au plus je m’y attelais, au plus je voyais sa chatte s’humidifié, jusqu’à voir un filet de cyprine s’écoulé. J’entendais le souffle de ma sœur changé et quand ce fut fini, j’ai pris un essuie de bain pour essuyer le peu de mousse à raser qui restait autour de sa chatte, je voyais l’intérieur des jambes de Mélanie qui tremblais. J’ai écarté ses lèvres vaginales et passé ma langue de bas en haut, elle s’est raidi et lors de mon deuxième coup de langue, elle a attrapé mes cheveux et pousser ma tête sur sa chatte, elle a redressé son bassin, je lui ai enfoncé deux doigts dans la chatte et elle hurlait de plaisir en criant encore et encore jusqu’à ce qu’elle me repousse. Elle avait les lèvres gonflées, la chatte grande ouverte et une multitude de filet de cyprine tout autour
- J’espère que mon Willy me donnera autant de plaisir que tu m’as fait jouir.
Elle s’est redressée et devant son miroir elle a contemplé sa chatte rasée.
On n’en a plus jamais discuté par la suite.