Le nouveau job de Clémence
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le nouveau job de Clémence
Clémence galérait à trouver un emploi en lien avec ses études de psychologie. Elle n’aimait pas trop toucher les aides du chômage aussi prenait-elle tous les petits boulots qui pouvaient se présenter en attendant des jours meilleurs.
C’est ainsi qu’elle répondit favorablement à une annonce pour effectuer des ménages à domicile.
La jeune femme de 28 ans se présenta à l’adresse convenue, située dans une résidence occupée par des personnes ayant des revenus aisés. Un homme d’une petite cinquantaine d’années lui ouvrit la porte. Il était plutôt bel homme, impeccablement vêtu et arborant un air très soigné.
Elle entra dans l’appartement cossu. L’épouse de l’homme se tenait debout dans le salon. C’était une belle femme également, semblant un plus jeune que son mari d’une dizaine d’années selon Clémence. Tous deux, avec beaucoup de sympathie, expliquèrent à la jeune femme ce qu’ils attendaient d’elle. Ils souhaitaient qu’elle vienne deux heures par semaine pour des tâches ménagères, répartis sur 2 jours (le lundi et le jeudi à 18h). Ces horaires étaient compatibles avec les autres jobs de la jeune femme et était bien payé 15€ net de l’heure. Une fois les présentations terminées, Clémence accepta l’emploi et commença sans tarder son ménage dans le vaste appartement avec le matériel que lui avait confié Valérie, l’épouse de Pierre.
Le couple vaquait à ses occupations, principalement dans le salon, assis derrière un ordinateur. Tous les deux faisaient du télétravail et étaient de ce fait très souvent à leur domicile.
Comme Clémence dépoussiérait des meubles, elle avait le sentiment de sentir le regard insistant du couple se poser sur elle. Elle était habillée de façon classique et même si son jean moulant mettait bien en valeur ses belles fesses et que son t-shirt offrait un joli décolleté il n’y avait rien qui pouvait attirer les regards de façon aussi insistante selon elle.
Clémence était une belle femme, mince et aux formes généreuses et avait l’habitude d’être observée. Généralement cela ne la gênait pas, bien au contraire, mais elle trouvait étrange l’attention que ce couple lui portait.
Les quelques séances suivantes se déroulèrent de la même manière. Le couple la laissait travaillait mais avait toujours un œil insistant sur elle. La jeune femme se sentait déshabillé du regard et ne savait pas trop quoi en penser.
A l’issue de sa dernière heure de ménage, Pierre la raccompagna à la porte avec un vêtement à la main. Il lui montra la jupe, assez courte, qu’il avait apporté et dit à Clémence :
- Jeudi prochain, je vous propose que vous portiez cette jupe pour faire le ménage. Si vous le faites, nous vous paierons 20€ de l’heure.
La jeune femme était tellement surprise qu’elle resta bouche-bée et prit congés , scandalisée.
Dans les deux jours qui suivirent, Clémence avait en tête de ne pas y retourner, ne trouvant la proposition révoltante. Ce n’est finalement que tardivement le jeudi qu’elle décida d’y aller malgré tout. Le job était bien payé et ce n’était qu’une jupe. Elle ne faisait rien d’immoral et avait besoin d’argent.
Elle se présenta donc à l’appartement à l’heure. Le visage de Pierre s’illumina en la voyant :
- Nous ne savions pas si vous alliez revenir. J’en suis en tout cas ravi s’entousisma-t-il.
- J’ai longtemps hésité, avoua Clémence, un peu gênée.
- Vous avez fait le bon choix.
L’homme lui tendit la jupe et l’invita à se changer dans la chambre d’amis.
La jeune femme rentra dans la pièce et referma la porte derrière elle. Elle ôta son pantalon slim et enfila la jupe. Cette dernière était en effet assez courte. Elle la mit le plus bas possible sur sa taille mais malgré cela elle lui arrivait juste en dessous des fesses. Sachant ce qu’elle allait porter pour l’heure de ménage à venir, elle avait fait attention à ne pas mettre de lingerie qui en dévoilait trop. Elle avait donc opté pour un shorty en coton rose tout ce qu’il y a de plus classique.
Clémence commença son ménage dans la salle de bain, pour échapper aux regards de ses employeurs de la dernière fois. Elle nettoya les lavabos puis s’affaira dans la baignoire.
Alors qu’elle était penchée en avant pour frotter de celle-ci, elle se releva pour astiquer la robinetterie. Elle s’aperçut alors de la présence de Pierre dans son dos, à l’entrée de la pièce. Elle ne savait pas depuis quand il était là mais à voir son visage satisfait il avait dû en voir suffisamment depuis un moment. Absorbé par sa tâche, Clémence avait oublié la jupe et réalisa qu’ainsi penchée elle ne couvrait plus ses fesses et qu’il avait dû se délecter de la vue de sa culotte.
- Très bien, continuez comme ça dit-il en s’en allant avec un sourire comblé.
Alors qu’il s’éloignait, la jeune femme remarque une bosse au niveau de la braguette.
Clémence se sentit à la fois un peu gênée et excitée par la vue qu’elle avait offerte et l’effet qu’elle avait produit sur son voyeur de patron. Cela lui rappelait un peu la plage quand les yeux des hommes mariés louchaient sur son maillot décolleté et échancré. Elle aimait créer l’excitation et l’émoi et s’imaginait avec amusement ces hommes un peu à l’étroit dans leur maillot. La différence ici était qu’elle ne menait pas le jeu, bien qu’elle soit toujours l’objet des désirs.
Lorsqu’elle eut terminé son travail, Pierre lui indiqua qu’elle pouvait garder la jupe, que c’était sa tenue de travail. Il la raccompagna à la porte et il lui tendit un billet de 20€.
- Lundi, si vous mettez une jolie lingerie plutôt que cette horrible culotte sous cette jupe, je vous paie 25€.
- Vous ne manquez pas d’air ! s’offusqua Clémence avant de prendre congé, à la fois un peu déconcertée et excitée par l’idée d’en montrer un peu plus.
Le lundi suivant, elle se surprit à chercher dans ses sous-vêtements les plus sexy. Son choix se porta un string rouge en tulle parsemé de jolies broderies qui, elle devait le reconnaître, ne cachait pas grand-chose de son intimité. Elle choisit un débardeur dont le décolleté plongeait au milieu de ses seins. Elle enfila la jupe grise et s’admira dans le miroir, satisfaite. Elle se prenait au jeu. Outre le salaire intéressant, elle s’amusait à présent du regard pervers de ses employeurs sur elle.
A l’heure dite, elle se présenta à l’appartement. C’est Valérie qui lui ouvrit :
- Très jolie ! S’exclama-t-elle en la fixant de la tête aux pieds.
- Merci, répondit la jeune femme satisfaite.
Elle rencontra Pierre dans le salon qui posa sur elle un regard plein de de désir puis s’affairât à sa tâche.
Elle se pencha pour épousseter la table basse. L’homme lui faisant face avait tout le loisir de perdre ses yeux ente ses beaux seins qui dansaient à chaque mouvement du chiffon sur le meuble. Tout en frottant la plaque vitrée, elle fixa Pierre avec un regard provocateur. La jeune femme avait totalement adhéré à leur jeu et cela plaisait beaucoup à son employeur.
Elle s’empara ensuite de l’aspirateur et passa dans tous les recoins du salon. Elle dû se baisser plusieurs fois pour décaler des plantes ou autres objets gênant au sol. Elle savait alors que Pierre et Valérie ne perdaient pas une miette de la vue qu’elle offrait, et cela lui plaisait de plus en plus.
Elle prenait son temps lorsqu’elle était courbée en avant, pour leur laisser le temps d’admirer son postérieur et sa vulve joliment enveloppée par le fin tissus du string, épousant délicatement ses lèvres intimes, puis se perdait entre ses fesses.
Elle entreprit ensuite de nettoyer le meuble TV. Elle se mit à quatre pattes pour épousseter le bas du meuble. Elle se cambra exagérément et resta ainsi un moment. Ses employeurs ne la lâchèrent pas un seconde du regard. La jeune femme pensait à l’excitation que les deux voyeurs devaient ressentir alors en la fixant avec gourmandise, du désir qu’ils devaient avoir de l’effeuiller comme un bonbon et de se délecter de son corps. Elle ressentit elle-même sa chatte se gonfler de sang et s’humidifier. La pensée d’une auréole d’humidité visible sur son string l’excita encore plus.
Lorsqu’elle partit, elle vit bien qu’elle avait fortement émoustillé le couple et qu’ils étaient ravis de sa présence.
Cette situation dura ainsi plusieurs semaines jusqu’à ce qu’un jour, Valérie amène plusieurs pièces de lingerie qu’elle posa sur le canapé.
-Vous pourriez essayer cette tenue. Mon mari et moi-même apprécierions beaucoup. Bien sûr, nous augmenterons votre salaire en conséquence pour récompenser vote investissement.
Clémence se contenta de leur faire un sourire complice puis pris la lingerie pour se changer dans la chambre. Il s’agissait d’un ensemble noir comprenant une guêpière, un string et des bas. Elle enfila le tout et se regarda dans le miroir de la chambre, et se trouva belle avec. Il était parfaitement à sa taille.
Lorsqu’elle ressortit dans le salon, le couple l’admira.
- Bravo ma chérie, tu as parfaitement choisi, s’exclama Pierre à l’attention de sa femme. Et tu avais deviné parfaitement pour la taille, elle fait bien un 90C.
- Rien de tel que l’œil expert d’une femme ! Indiqua son épouse.
Clémence fit le ménage dans la salon et dans la chambre sous le regard subjugués de ses employeurs. Elle s’amusait à prendre des poses suggestives pour exciter au maximum le couple. Elle se plaisait à offrir la vue de son décolleté, de ses fesses ou même de son entre jambe en écartant ostensiblement les jambes lorsqu’elle s’accroupissait.
Elle monta sur le canapé dans lequel Pierre était installé. Elle posa sa jambe droite sur le dossier pour prendre appui et épousseta le large tableau fixé au mur. Dans cette position, le visage de son employeur se trouvait à quelques centimètres de son ventre et pouvait se rassasier de la vue du duvet du pubis de la jeune femme que le fin et transparent string ne cachait pas beaucoup. Elle redescendit et se pencha en avant pour nettoyer l’arrière du canapé et offrir cette fois à Pierre un voyage entre ses seins.
Ce petit jeu dura encore plusieurs séances avant que Pierre ne fasse une nouvelle proposition, voulant toujours plus de son employée.
- J’augmente votre salaire à 35€ si vous remettez la jupe mais que vous ne mettez aucun sous-vêtement la prochaine fois.
Clémence était allé trop loin dans le jeu pour reculer, et voulait voir jusqu’où elle pourrait aller. Aussi lorsqu’elle revint la fois suivante, assise derrière le volant de sa voiture elle retira sa culotte et la glissa dans la boîte à gants. Elle monta jusqu’à l’appartement, excitée de ne rien porter sous sa jupe. Elle avait l’impression que toutes les personnes qu’elle croisait savaient qu’elle était nue et cela lui chauffait le bas du ventre plus qu’elle ne l’aurait cru. Lorsqu’elle sonna à la porte, sa chatte était déjà bien humide.
Une fois qu’elle fut dans l’appartement, Pierre demanda :
- Avez-vous suivit la nouvelle consigne ?
- Oui, répondit la jeune femme avec un sourire complice.
- Il va falloir nous le prouver !
Clémence souleva sa jupe pour laisser Valérie et son mari voir sa fine toison brune. Lorsque le couple fut satisfait, elle rebaissa sa jupe. Valérie lui demanda de nettoyer la cuisine, sans oublier le dessus des placards. Pour faire ces derniers, Clémence monta sur une chaise. Elle leva le bras pour atteindre le dessus des meubles avec son chiffon.
Pierre et Valérie qui n’étaient pas loin approchèrent et purent admirer les fesses nues de la jeune femme, à peine recouvertes par le tissus de sa jupe qui était remonté.
Alors que Clémence s’affairait et tendait le bras pour nettoyer le plus loin possible, la jupe remontait encore plus haut, laissant entrevoir un petit triangle de lumière entre le haut de ses cuisses et sa vulve. Sa peau semblait douce comme la pêche, captivant l’attention du couple.
Valérie voyait le regard que portait son mari à Clémence et observa une bosse se former sur son pantalon ce qui l’excita également beaucoup.
- Il faudrait aussi nettoyer le canapé, indiqua Valérie.
Lorsqu’elle eût fini dans la cuisine, Clémence se dirigea alors vers le canapé et se pencha en avant afin de tapoter avec sa main sur l’assise et le dossier pour les dépoussiérer. Elle offrit une fois de plus ses fesses au regard de son couple pervers, ce qui ne cessait de faire monter la tension dans son corps.
Ils purent contempler sa chatte toute lisse, bien charnue, qui semblait plaire aussi bien à Pierre que Valérie. La jeune femme prit tout son temps pour venir à bout de sa tâche, voulant prolonger le plaisir autant pour elle que pour eux. Clémence sentait à présent qu’elle avait la chatte trempée à force de l’exhiber ainsi.
La jeune femme s’amusait parfois à porter un débardeur blanc sous lequel elle ne portait rien. Ses mamelons rose foncés étaient alors visibles sous le fin tissus en coton. Cette tenue plaisait particulièrement à Pierre. Occasionnellement, en nettoyant dans la salle de bain, elle mouillait « maladroitement » l’un de ses seins puis se plaisait à s’exhiber devant le couple qui se délectait de sa poitrine sur laquelle le tissus blanc collé laissait voir sans équivoque un téton rose durcit d’excitation.
Clémence prit pour habitude également d’acheter régulièrement de la lingerie, jouant avec les styles, les couleurs, les matières pour amener la surprise, offrir l’émerveillement, faire monter l’excitation au sein du couple.
Ces 2h chez eux étaient les moments de la semaine qu’elle préférait maintenant. Après chaque séance, la chatte en feu, elle se masturbait dès qu’elle rentrait dans sa voiture. Elle glissait ses mains entre ses jambes, caressait son clitoris gonflé de désir et introduisait ses doigts dans sa chatte trempée d’excitation. Elle faisait un rapide va-et-vient dans son vagin avec son majeur et son index et laissait son pouce s’égarer sur son bouton pour le satisfaire à chaque fois qu’elle plongeait ses doigts en elle. Elle les léchait de temps en temps pour savourer son jus puis poursuivait ses voluptueuses caresses.
Parfois, après avoir jouit derrière son volant, elle s’apercevait qu’un homme ou une femme, sur le parking, debout devant une voiture l’observait avec un regard réprobateur ou envieux. A leur visage, elle savait que la personne l’avait vu savourer son orgasme. Elle n’en était pas gênée, bien au contraire. Elle éprouvait plutôt un regain d’excitation en sachant que quelqu’un pouvait la contempler en train de se masturber.
Clémence poursuivit ainsi son travail chez son couple. Lorsqu’elle arrivait chez eux, elle découvrait la tenue qu’elle devrait porter : un ensemble de lingerie, une tenue sexy, aucune culotte, un costume de soubrette de temps en temps ou tout autre habit sexy qui plaisait à ses employeurs.
Jamais aucun d’eux n’émit le désir d’aller plus loin, d’avoir des relations charnelles, ce qui convenait parfaitement à la jeune femme. L’une se plaisait dans son rôle d’exhibitionniste tandis que les autres se délectaient de leur situation de voyeurs, chacun alimentant les fantasmes des autres.
C’est ainsi qu’elle répondit favorablement à une annonce pour effectuer des ménages à domicile.
La jeune femme de 28 ans se présenta à l’adresse convenue, située dans une résidence occupée par des personnes ayant des revenus aisés. Un homme d’une petite cinquantaine d’années lui ouvrit la porte. Il était plutôt bel homme, impeccablement vêtu et arborant un air très soigné.
Elle entra dans l’appartement cossu. L’épouse de l’homme se tenait debout dans le salon. C’était une belle femme également, semblant un plus jeune que son mari d’une dizaine d’années selon Clémence. Tous deux, avec beaucoup de sympathie, expliquèrent à la jeune femme ce qu’ils attendaient d’elle. Ils souhaitaient qu’elle vienne deux heures par semaine pour des tâches ménagères, répartis sur 2 jours (le lundi et le jeudi à 18h). Ces horaires étaient compatibles avec les autres jobs de la jeune femme et était bien payé 15€ net de l’heure. Une fois les présentations terminées, Clémence accepta l’emploi et commença sans tarder son ménage dans le vaste appartement avec le matériel que lui avait confié Valérie, l’épouse de Pierre.
Le couple vaquait à ses occupations, principalement dans le salon, assis derrière un ordinateur. Tous les deux faisaient du télétravail et étaient de ce fait très souvent à leur domicile.
Comme Clémence dépoussiérait des meubles, elle avait le sentiment de sentir le regard insistant du couple se poser sur elle. Elle était habillée de façon classique et même si son jean moulant mettait bien en valeur ses belles fesses et que son t-shirt offrait un joli décolleté il n’y avait rien qui pouvait attirer les regards de façon aussi insistante selon elle.
Clémence était une belle femme, mince et aux formes généreuses et avait l’habitude d’être observée. Généralement cela ne la gênait pas, bien au contraire, mais elle trouvait étrange l’attention que ce couple lui portait.
Les quelques séances suivantes se déroulèrent de la même manière. Le couple la laissait travaillait mais avait toujours un œil insistant sur elle. La jeune femme se sentait déshabillé du regard et ne savait pas trop quoi en penser.
A l’issue de sa dernière heure de ménage, Pierre la raccompagna à la porte avec un vêtement à la main. Il lui montra la jupe, assez courte, qu’il avait apporté et dit à Clémence :
- Jeudi prochain, je vous propose que vous portiez cette jupe pour faire le ménage. Si vous le faites, nous vous paierons 20€ de l’heure.
La jeune femme était tellement surprise qu’elle resta bouche-bée et prit congés , scandalisée.
Dans les deux jours qui suivirent, Clémence avait en tête de ne pas y retourner, ne trouvant la proposition révoltante. Ce n’est finalement que tardivement le jeudi qu’elle décida d’y aller malgré tout. Le job était bien payé et ce n’était qu’une jupe. Elle ne faisait rien d’immoral et avait besoin d’argent.
Elle se présenta donc à l’appartement à l’heure. Le visage de Pierre s’illumina en la voyant :
- Nous ne savions pas si vous alliez revenir. J’en suis en tout cas ravi s’entousisma-t-il.
- J’ai longtemps hésité, avoua Clémence, un peu gênée.
- Vous avez fait le bon choix.
L’homme lui tendit la jupe et l’invita à se changer dans la chambre d’amis.
La jeune femme rentra dans la pièce et referma la porte derrière elle. Elle ôta son pantalon slim et enfila la jupe. Cette dernière était en effet assez courte. Elle la mit le plus bas possible sur sa taille mais malgré cela elle lui arrivait juste en dessous des fesses. Sachant ce qu’elle allait porter pour l’heure de ménage à venir, elle avait fait attention à ne pas mettre de lingerie qui en dévoilait trop. Elle avait donc opté pour un shorty en coton rose tout ce qu’il y a de plus classique.
Clémence commença son ménage dans la salle de bain, pour échapper aux regards de ses employeurs de la dernière fois. Elle nettoya les lavabos puis s’affaira dans la baignoire.
Alors qu’elle était penchée en avant pour frotter de celle-ci, elle se releva pour astiquer la robinetterie. Elle s’aperçut alors de la présence de Pierre dans son dos, à l’entrée de la pièce. Elle ne savait pas depuis quand il était là mais à voir son visage satisfait il avait dû en voir suffisamment depuis un moment. Absorbé par sa tâche, Clémence avait oublié la jupe et réalisa qu’ainsi penchée elle ne couvrait plus ses fesses et qu’il avait dû se délecter de la vue de sa culotte.
- Très bien, continuez comme ça dit-il en s’en allant avec un sourire comblé.
Alors qu’il s’éloignait, la jeune femme remarque une bosse au niveau de la braguette.
Clémence se sentit à la fois un peu gênée et excitée par la vue qu’elle avait offerte et l’effet qu’elle avait produit sur son voyeur de patron. Cela lui rappelait un peu la plage quand les yeux des hommes mariés louchaient sur son maillot décolleté et échancré. Elle aimait créer l’excitation et l’émoi et s’imaginait avec amusement ces hommes un peu à l’étroit dans leur maillot. La différence ici était qu’elle ne menait pas le jeu, bien qu’elle soit toujours l’objet des désirs.
Lorsqu’elle eut terminé son travail, Pierre lui indiqua qu’elle pouvait garder la jupe, que c’était sa tenue de travail. Il la raccompagna à la porte et il lui tendit un billet de 20€.
- Lundi, si vous mettez une jolie lingerie plutôt que cette horrible culotte sous cette jupe, je vous paie 25€.
- Vous ne manquez pas d’air ! s’offusqua Clémence avant de prendre congé, à la fois un peu déconcertée et excitée par l’idée d’en montrer un peu plus.
Le lundi suivant, elle se surprit à chercher dans ses sous-vêtements les plus sexy. Son choix se porta un string rouge en tulle parsemé de jolies broderies qui, elle devait le reconnaître, ne cachait pas grand-chose de son intimité. Elle choisit un débardeur dont le décolleté plongeait au milieu de ses seins. Elle enfila la jupe grise et s’admira dans le miroir, satisfaite. Elle se prenait au jeu. Outre le salaire intéressant, elle s’amusait à présent du regard pervers de ses employeurs sur elle.
A l’heure dite, elle se présenta à l’appartement. C’est Valérie qui lui ouvrit :
- Très jolie ! S’exclama-t-elle en la fixant de la tête aux pieds.
- Merci, répondit la jeune femme satisfaite.
Elle rencontra Pierre dans le salon qui posa sur elle un regard plein de de désir puis s’affairât à sa tâche.
Elle se pencha pour épousseter la table basse. L’homme lui faisant face avait tout le loisir de perdre ses yeux ente ses beaux seins qui dansaient à chaque mouvement du chiffon sur le meuble. Tout en frottant la plaque vitrée, elle fixa Pierre avec un regard provocateur. La jeune femme avait totalement adhéré à leur jeu et cela plaisait beaucoup à son employeur.
Elle s’empara ensuite de l’aspirateur et passa dans tous les recoins du salon. Elle dû se baisser plusieurs fois pour décaler des plantes ou autres objets gênant au sol. Elle savait alors que Pierre et Valérie ne perdaient pas une miette de la vue qu’elle offrait, et cela lui plaisait de plus en plus.
Elle prenait son temps lorsqu’elle était courbée en avant, pour leur laisser le temps d’admirer son postérieur et sa vulve joliment enveloppée par le fin tissus du string, épousant délicatement ses lèvres intimes, puis se perdait entre ses fesses.
Elle entreprit ensuite de nettoyer le meuble TV. Elle se mit à quatre pattes pour épousseter le bas du meuble. Elle se cambra exagérément et resta ainsi un moment. Ses employeurs ne la lâchèrent pas un seconde du regard. La jeune femme pensait à l’excitation que les deux voyeurs devaient ressentir alors en la fixant avec gourmandise, du désir qu’ils devaient avoir de l’effeuiller comme un bonbon et de se délecter de son corps. Elle ressentit elle-même sa chatte se gonfler de sang et s’humidifier. La pensée d’une auréole d’humidité visible sur son string l’excita encore plus.
Lorsqu’elle partit, elle vit bien qu’elle avait fortement émoustillé le couple et qu’ils étaient ravis de sa présence.
Cette situation dura ainsi plusieurs semaines jusqu’à ce qu’un jour, Valérie amène plusieurs pièces de lingerie qu’elle posa sur le canapé.
-Vous pourriez essayer cette tenue. Mon mari et moi-même apprécierions beaucoup. Bien sûr, nous augmenterons votre salaire en conséquence pour récompenser vote investissement.
Clémence se contenta de leur faire un sourire complice puis pris la lingerie pour se changer dans la chambre. Il s’agissait d’un ensemble noir comprenant une guêpière, un string et des bas. Elle enfila le tout et se regarda dans le miroir de la chambre, et se trouva belle avec. Il était parfaitement à sa taille.
Lorsqu’elle ressortit dans le salon, le couple l’admira.
- Bravo ma chérie, tu as parfaitement choisi, s’exclama Pierre à l’attention de sa femme. Et tu avais deviné parfaitement pour la taille, elle fait bien un 90C.
- Rien de tel que l’œil expert d’une femme ! Indiqua son épouse.
Clémence fit le ménage dans la salon et dans la chambre sous le regard subjugués de ses employeurs. Elle s’amusait à prendre des poses suggestives pour exciter au maximum le couple. Elle se plaisait à offrir la vue de son décolleté, de ses fesses ou même de son entre jambe en écartant ostensiblement les jambes lorsqu’elle s’accroupissait.
Elle monta sur le canapé dans lequel Pierre était installé. Elle posa sa jambe droite sur le dossier pour prendre appui et épousseta le large tableau fixé au mur. Dans cette position, le visage de son employeur se trouvait à quelques centimètres de son ventre et pouvait se rassasier de la vue du duvet du pubis de la jeune femme que le fin et transparent string ne cachait pas beaucoup. Elle redescendit et se pencha en avant pour nettoyer l’arrière du canapé et offrir cette fois à Pierre un voyage entre ses seins.
Ce petit jeu dura encore plusieurs séances avant que Pierre ne fasse une nouvelle proposition, voulant toujours plus de son employée.
- J’augmente votre salaire à 35€ si vous remettez la jupe mais que vous ne mettez aucun sous-vêtement la prochaine fois.
Clémence était allé trop loin dans le jeu pour reculer, et voulait voir jusqu’où elle pourrait aller. Aussi lorsqu’elle revint la fois suivante, assise derrière le volant de sa voiture elle retira sa culotte et la glissa dans la boîte à gants. Elle monta jusqu’à l’appartement, excitée de ne rien porter sous sa jupe. Elle avait l’impression que toutes les personnes qu’elle croisait savaient qu’elle était nue et cela lui chauffait le bas du ventre plus qu’elle ne l’aurait cru. Lorsqu’elle sonna à la porte, sa chatte était déjà bien humide.
Une fois qu’elle fut dans l’appartement, Pierre demanda :
- Avez-vous suivit la nouvelle consigne ?
- Oui, répondit la jeune femme avec un sourire complice.
- Il va falloir nous le prouver !
Clémence souleva sa jupe pour laisser Valérie et son mari voir sa fine toison brune. Lorsque le couple fut satisfait, elle rebaissa sa jupe. Valérie lui demanda de nettoyer la cuisine, sans oublier le dessus des placards. Pour faire ces derniers, Clémence monta sur une chaise. Elle leva le bras pour atteindre le dessus des meubles avec son chiffon.
Pierre et Valérie qui n’étaient pas loin approchèrent et purent admirer les fesses nues de la jeune femme, à peine recouvertes par le tissus de sa jupe qui était remonté.
Alors que Clémence s’affairait et tendait le bras pour nettoyer le plus loin possible, la jupe remontait encore plus haut, laissant entrevoir un petit triangle de lumière entre le haut de ses cuisses et sa vulve. Sa peau semblait douce comme la pêche, captivant l’attention du couple.
Valérie voyait le regard que portait son mari à Clémence et observa une bosse se former sur son pantalon ce qui l’excita également beaucoup.
- Il faudrait aussi nettoyer le canapé, indiqua Valérie.
Lorsqu’elle eût fini dans la cuisine, Clémence se dirigea alors vers le canapé et se pencha en avant afin de tapoter avec sa main sur l’assise et le dossier pour les dépoussiérer. Elle offrit une fois de plus ses fesses au regard de son couple pervers, ce qui ne cessait de faire monter la tension dans son corps.
Ils purent contempler sa chatte toute lisse, bien charnue, qui semblait plaire aussi bien à Pierre que Valérie. La jeune femme prit tout son temps pour venir à bout de sa tâche, voulant prolonger le plaisir autant pour elle que pour eux. Clémence sentait à présent qu’elle avait la chatte trempée à force de l’exhiber ainsi.
La jeune femme s’amusait parfois à porter un débardeur blanc sous lequel elle ne portait rien. Ses mamelons rose foncés étaient alors visibles sous le fin tissus en coton. Cette tenue plaisait particulièrement à Pierre. Occasionnellement, en nettoyant dans la salle de bain, elle mouillait « maladroitement » l’un de ses seins puis se plaisait à s’exhiber devant le couple qui se délectait de sa poitrine sur laquelle le tissus blanc collé laissait voir sans équivoque un téton rose durcit d’excitation.
Clémence prit pour habitude également d’acheter régulièrement de la lingerie, jouant avec les styles, les couleurs, les matières pour amener la surprise, offrir l’émerveillement, faire monter l’excitation au sein du couple.
Ces 2h chez eux étaient les moments de la semaine qu’elle préférait maintenant. Après chaque séance, la chatte en feu, elle se masturbait dès qu’elle rentrait dans sa voiture. Elle glissait ses mains entre ses jambes, caressait son clitoris gonflé de désir et introduisait ses doigts dans sa chatte trempée d’excitation. Elle faisait un rapide va-et-vient dans son vagin avec son majeur et son index et laissait son pouce s’égarer sur son bouton pour le satisfaire à chaque fois qu’elle plongeait ses doigts en elle. Elle les léchait de temps en temps pour savourer son jus puis poursuivait ses voluptueuses caresses.
Parfois, après avoir jouit derrière son volant, elle s’apercevait qu’un homme ou une femme, sur le parking, debout devant une voiture l’observait avec un regard réprobateur ou envieux. A leur visage, elle savait que la personne l’avait vu savourer son orgasme. Elle n’en était pas gênée, bien au contraire. Elle éprouvait plutôt un regain d’excitation en sachant que quelqu’un pouvait la contempler en train de se masturber.
Clémence poursuivit ainsi son travail chez son couple. Lorsqu’elle arrivait chez eux, elle découvrait la tenue qu’elle devrait porter : un ensemble de lingerie, une tenue sexy, aucune culotte, un costume de soubrette de temps en temps ou tout autre habit sexy qui plaisait à ses employeurs.
Jamais aucun d’eux n’émit le désir d’aller plus loin, d’avoir des relations charnelles, ce qui convenait parfaitement à la jeune femme. L’une se plaisait dans son rôle d’exhibitionniste tandis que les autres se délectaient de leur situation de voyeurs, chacun alimentant les fantasmes des autres.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire très excitante et fort bien écrite
J'ai adoré, on a envie qu'il se passe autre chose
Très jolie histoire qui mérite une suite