Le nouveau mâle dominant de la meute. 5
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le nouveau mâle dominant de la meute. 5
LE NOUVEAU MÂLE DOMINANT DE LA MEUTE. 5
C’est samedi soir et Lydia a invité mon frère Claude chez ses parents.
Son père est chez des amis pour jouer au poker et sa mère a rendez-vous avec une copine.
A la pensée d’être à la maison seule avec la star du Lycée, son corps frissonne, un frisson qu’elle connait bien maintenant depuis cette nuit autour de la piscine. Un frisson provoqué par l’excitation sexuelle qui part de sa tête pour finir dans sa chatte au souvenir de cette folle nuit où elle a largué Jean.
Elle sait que Claude va en profiter pour la baiser ou se faire sucer sa grosse bite mais elle n’attend que ça.
Dès que ses parents sont partis de la maison, elle l’entraine dans sa chambre.
Claude l'embrasse dans le cou, et remonte sa petite robe à bretelle découvrant un joli string en dentelle. Puis la main du jeune homme se faufile sous la robe. Elle écarte légèrement les jambes pour lui faciliter l’accès. Claude ouvre le chemisier de Lydia et lui suce le bout de ses magnifiques seins. Elle n’a pas mis de soutien gorge…
Il caresse un sein avec vigueur pendant que son autre main glisse entre les cuisses de la fille pour lui caresser la chatte au travers du string qui ne tarde pas à se gorger de mouille. La robe est complètement retroussée et des doigts fouillent son intimité et décalottent son clito.
Elle est déjà dans tous ses états et remue dans tous les sens en poussant des petits gémissements de satisfaction.
-Salaud ! Ma petite chatte est trempée. Gémit-elle.
- Tu aimes quand je te doigte, petite salope !
- Oh oui j’aime ! Tu le fais tellement bien ! Mais j’aime encore mieux quand … Oh oui ! Oui…je jouis ! Je viens !
Lydia a son premier orgasme. Ses cris de plaisir résonnent dans la pièce.
Elle glisse une main entre les jambes du jeune homme, empaumant la grosseur que forme son sexe à travers son pantalon.
-Oh mon dieu ! Qu’elle est déjà grosse ! Je ne peux pas te laisser dans cet état. Tu veux que je te taille une pipe ?
-Hum ! Ce serait un bon début, Lydia !
Elle s’accroupit, déboutonne puis baisse le pantalon du jeune étalon, libérant la bite dantesque qu’elle a découverte avec ses amies cette fameuse soirée.
Sa langue voltige sur le gland, puis sur toute la longueur du gourdin, partant des couilles pour finir au prépuce avant de recommencer en sens inverse. Cette façon de faire enchante Claude.
Elle décalotte le gland du bout des lèvres, et l’engloutit dans sa bouche. Elle entame de lents va et vient allant toujours plus loin sur sa lance. Claude maintient de ses mains la tête de Lydia dont les joues se déforment sous les assauts du calibre peu courant dans sa bouche. Elle caresse les testicules d’une main, ouvrant très grand la bouche.
Elle écarte les mâchoires et introduit le gland entre ses lèvres, l’agaçant du bout de la langue, avant d’avancer la tête pour le faire pénétrer le plus profondément qu’elle le peut.
Elle sait qu’il est trop long mais Lydia tente d’aller plus loin, au delà de la glotte. Elle prend quand même la précaution de raccourcir l’organe en serrant sa base dans sa main libre pour qu’il ne puisse pas aller trop profond.
Claude attrape les cheveux de la donzelle pour bloquer sa tête et pilonne la bouche avec vigueur.
Elle a peur d’étouffer s’il continue trop longtemps à ce rythme. L’énorme verge frotte sur les dents et essaie d’élargir la gorge.
Effrayée, elle enserre encore plus fort la racine de ce bélier pour l’empêcher d’aller trop loin.
Elle salive abondamment sur la queue qui ressort totalement de sa bouche avant de replonger encore plus loin.
Elle sent ses yeux se remplir de larmes et son nez renifle telle une forge. Claude la regarde avec un sourire en coin, content de l’effet de ses coups de boutoir.
À chacune des pénétrations brutales de son immense gourdin, il pousse un long râle.
Il accélère encore le rythme de ses va-et-vient dans la bouche accueillante et lâche une formidable rasade de semence directement dans la trachée de Lydia.
Elle avait pris l’habitude des lâchages de sperme au fond de sa gorge avec Jean mais la quantité de sperme de Claude est tellement importante qu’elle s’étouffe. Elle essaie d’éjecter sa lance pour reprendre son souffle pendant qu’il continue imperturbablement à se vider.
Trois éjaculations engluent sa bouche et le reste finit sur son visage.
–Avale-tout si tu veux que je reste ! T’aimes que je me vide les couilles dans ta bouche…vas-y, avale !
Lydia le regarde d’un air de défi. Elle avale avec gourmandise tout en le fixant dans les yeux pour le provoquer et le pousser à la baiser. Elle en veut plus et se jette sur son organe.
La bite ne résiste pas longtemps avant de rebander à nouveau. Elle prend à peine le temps de lui retirer complètement pantalon et slip avant de lui dire de s’étendre.
Lydia se met sur lui jambes écartées pour chevaucher cet étalon. Le jonc vigoureux s’enfonce dans l’antre serré de Lydia où il se sent si bien, c’est chaud et humide. Elle profite de sa chevauchée solitaire pour se toucher le bouton et ressentir un orgasme encore plus puissant.
Mais pendant ce temps, la porte d’entrée vient de s’ouvrir. Lucie est de retour car sa copine lui a posé un lapin. Elle est énervée et monte les escaliers pour se changer dans sa chambre. La belle robe finit par terre, elle passe une nuisette et se dirige vers la salle de bain.
Soudain elle entend de drôles de bruits qui proviennent de la chambre de sa fille. Elle la croit encore innocente mais un doute la taraude en entendant ses râles de plaisir.
Elle ouvre la porte et voit sa fille de dos, complètement nue, qui remue comme une folle sur la queue d’un garçon dont elle ne voit que les jambes.
-Lydia ! Tu n’as-pas honte ! Et toi Jean ! J’avais confiance en toi !
Surprise, sa fille se relève brusquement et Lucie découvre un inconnu si jeune qu’elle n’en revient pas. Mais ce qui la frappe encore plus, c’est la monstrueuse verge de ce garçon, elle n’a jamais vu ça. Elle est immense et d’une épaisseur folle.
Elle reprend enfin ses esprits et s’adresse à sa fille :-Je ne te croyais pas capable d’avoir le culot de faire ça sous mon toit…Et tu les prends au berceau ma parole !
-Mais maman… Ce n’est pas ce que tu crois ! Il est dans ma classe et on a le même âge. Et tu devais bien t’attendre un jour à ce que je saute le pas ! Je ne suis plus une gamine !
Lucie tourne la tête vers le garçon qui s’est relevé aussi. Sa verge a perdu de sa superbe mais le morceau arrive à mi-cuisses. Ce gosse, même comme ça, a une bite encore deux fois plus longue que celle de son mari dans ses meilleurs jours.
Elle n’en revient pas du culot de ce garçon au visage d’ange qui s’avance vers elle, prend sa main droite et la pose sur son gros dard. Elle ne réagit pas, complètement abasourdie.
Elle sent dans sa main pulser cette chose et ses doigts se referment malgré elle dessus. Son pouce touche à peine son majeur mais la banane courbée se transforme en saucisse de Morteau : Droite, énorme, immense.
Lucie a quarante cinq ans, mariée depuis une vingtaine d’année à Michel. Il est loin d’être un Apollon et c’est elle qui porte la culotte à la maison.
Elle le domine même au lit et il doit faire ce qu’elle lui demande mais ce n’est pas un foudre de sexe, et en parlant de sexe, le sien est ridicule.
Maintenant elle contrôle totalement la sexualité de son mari, décidant quand il peut lui faire l’amour, quand il peut se masturber, quand il peut éjaculer.
Des fois, elle lui impose un amant vigoureux pour l’humilier du plaisir qu’il est incapable de lui donner, imaginant les émotions qu’il ressent au moment fatidique où elle jouit d’un autre alors que la petite queue est privé de sa chatte.
De temps en temps il lui faut une vrai bite dans sa vulve ou ailleurs. Et là, justement, ce qu’elle tient dans la main est exceptionnel.
Il ose encore lui déclarer :- J’ai pensé que vous aimeriez peut-être aider votre fille, comme ça, vous ne la gronderez pas trop !
Elle est estomaquée par ses paroles mais s’aperçoit que la main du garçon a quitté la sienne qui s’accroche comme une mort de faim à son sexe.
La verge est aussi grande que son avant-bras et aussi grosse que le poignet de sa fille, un véritable monstre… Qui n’a pas rebuté Lydia.
Elle essaie de garder les pieds sur terre car elle aime quand même son mari et fait tout son possible pour limiter ses écarts, mais là…Il est bien foutu coté sexe, ça c’est sûr. Elle adore cette vraie verge d’Homme sur ce corps d’ado attardé.
Elle ne répond toujours pas, bloquée par la situation de ce jeunot qui bande comme un taureau, au chibre bien droit et dur.
Il voit le regard d’envie de Lucie parcourant son corps et son sexe, il sait son pouvoir sur les femmes et sait très bien qu’elle n’opposera aucune résistance.
Il lève sa nuisette, elle se tient devant lui, en le regardant dans les yeux. La main de Claude se dirige vers la chatte de Lucie et glisse facilement un doigt en elle tellement elle mouille.
Il se dégage un tel magnétisme de ce jeune mâle.
- Oooohhh !
Il ne dit plus rien et enfonce lentement son doigt et le ressort, elle écarte ses jambes pour lui offrir un meilleur accès à sa grotte, respirant difficilement , écartant encore plus les cuisses et faisant bien ressortir son cul, lui signifiant ainsi qu’elle acceptera tout de lui.
Les doigts de Claude travaillent la chatte et l’un d’eux s’égare dans son trou du cul, lui aussi humide et à sa complète disposition.
- Oh... Ooooohhhhh ! Comment t’appelles-tu ?
-Claude.
-Prends-moi !
(À suivre)
C’est samedi soir et Lydia a invité mon frère Claude chez ses parents.
Son père est chez des amis pour jouer au poker et sa mère a rendez-vous avec une copine.
A la pensée d’être à la maison seule avec la star du Lycée, son corps frissonne, un frisson qu’elle connait bien maintenant depuis cette nuit autour de la piscine. Un frisson provoqué par l’excitation sexuelle qui part de sa tête pour finir dans sa chatte au souvenir de cette folle nuit où elle a largué Jean.
Elle sait que Claude va en profiter pour la baiser ou se faire sucer sa grosse bite mais elle n’attend que ça.
Dès que ses parents sont partis de la maison, elle l’entraine dans sa chambre.
Claude l'embrasse dans le cou, et remonte sa petite robe à bretelle découvrant un joli string en dentelle. Puis la main du jeune homme se faufile sous la robe. Elle écarte légèrement les jambes pour lui faciliter l’accès. Claude ouvre le chemisier de Lydia et lui suce le bout de ses magnifiques seins. Elle n’a pas mis de soutien gorge…
Il caresse un sein avec vigueur pendant que son autre main glisse entre les cuisses de la fille pour lui caresser la chatte au travers du string qui ne tarde pas à se gorger de mouille. La robe est complètement retroussée et des doigts fouillent son intimité et décalottent son clito.
Elle est déjà dans tous ses états et remue dans tous les sens en poussant des petits gémissements de satisfaction.
-Salaud ! Ma petite chatte est trempée. Gémit-elle.
- Tu aimes quand je te doigte, petite salope !
- Oh oui j’aime ! Tu le fais tellement bien ! Mais j’aime encore mieux quand … Oh oui ! Oui…je jouis ! Je viens !
Lydia a son premier orgasme. Ses cris de plaisir résonnent dans la pièce.
Elle glisse une main entre les jambes du jeune homme, empaumant la grosseur que forme son sexe à travers son pantalon.
-Oh mon dieu ! Qu’elle est déjà grosse ! Je ne peux pas te laisser dans cet état. Tu veux que je te taille une pipe ?
-Hum ! Ce serait un bon début, Lydia !
Elle s’accroupit, déboutonne puis baisse le pantalon du jeune étalon, libérant la bite dantesque qu’elle a découverte avec ses amies cette fameuse soirée.
Sa langue voltige sur le gland, puis sur toute la longueur du gourdin, partant des couilles pour finir au prépuce avant de recommencer en sens inverse. Cette façon de faire enchante Claude.
Elle décalotte le gland du bout des lèvres, et l’engloutit dans sa bouche. Elle entame de lents va et vient allant toujours plus loin sur sa lance. Claude maintient de ses mains la tête de Lydia dont les joues se déforment sous les assauts du calibre peu courant dans sa bouche. Elle caresse les testicules d’une main, ouvrant très grand la bouche.
Elle écarte les mâchoires et introduit le gland entre ses lèvres, l’agaçant du bout de la langue, avant d’avancer la tête pour le faire pénétrer le plus profondément qu’elle le peut.
Elle sait qu’il est trop long mais Lydia tente d’aller plus loin, au delà de la glotte. Elle prend quand même la précaution de raccourcir l’organe en serrant sa base dans sa main libre pour qu’il ne puisse pas aller trop profond.
Claude attrape les cheveux de la donzelle pour bloquer sa tête et pilonne la bouche avec vigueur.
Elle a peur d’étouffer s’il continue trop longtemps à ce rythme. L’énorme verge frotte sur les dents et essaie d’élargir la gorge.
Effrayée, elle enserre encore plus fort la racine de ce bélier pour l’empêcher d’aller trop loin.
Elle salive abondamment sur la queue qui ressort totalement de sa bouche avant de replonger encore plus loin.
Elle sent ses yeux se remplir de larmes et son nez renifle telle une forge. Claude la regarde avec un sourire en coin, content de l’effet de ses coups de boutoir.
À chacune des pénétrations brutales de son immense gourdin, il pousse un long râle.
Il accélère encore le rythme de ses va-et-vient dans la bouche accueillante et lâche une formidable rasade de semence directement dans la trachée de Lydia.
Elle avait pris l’habitude des lâchages de sperme au fond de sa gorge avec Jean mais la quantité de sperme de Claude est tellement importante qu’elle s’étouffe. Elle essaie d’éjecter sa lance pour reprendre son souffle pendant qu’il continue imperturbablement à se vider.
Trois éjaculations engluent sa bouche et le reste finit sur son visage.
–Avale-tout si tu veux que je reste ! T’aimes que je me vide les couilles dans ta bouche…vas-y, avale !
Lydia le regarde d’un air de défi. Elle avale avec gourmandise tout en le fixant dans les yeux pour le provoquer et le pousser à la baiser. Elle en veut plus et se jette sur son organe.
La bite ne résiste pas longtemps avant de rebander à nouveau. Elle prend à peine le temps de lui retirer complètement pantalon et slip avant de lui dire de s’étendre.
Lydia se met sur lui jambes écartées pour chevaucher cet étalon. Le jonc vigoureux s’enfonce dans l’antre serré de Lydia où il se sent si bien, c’est chaud et humide. Elle profite de sa chevauchée solitaire pour se toucher le bouton et ressentir un orgasme encore plus puissant.
Mais pendant ce temps, la porte d’entrée vient de s’ouvrir. Lucie est de retour car sa copine lui a posé un lapin. Elle est énervée et monte les escaliers pour se changer dans sa chambre. La belle robe finit par terre, elle passe une nuisette et se dirige vers la salle de bain.
Soudain elle entend de drôles de bruits qui proviennent de la chambre de sa fille. Elle la croit encore innocente mais un doute la taraude en entendant ses râles de plaisir.
Elle ouvre la porte et voit sa fille de dos, complètement nue, qui remue comme une folle sur la queue d’un garçon dont elle ne voit que les jambes.
-Lydia ! Tu n’as-pas honte ! Et toi Jean ! J’avais confiance en toi !
Surprise, sa fille se relève brusquement et Lucie découvre un inconnu si jeune qu’elle n’en revient pas. Mais ce qui la frappe encore plus, c’est la monstrueuse verge de ce garçon, elle n’a jamais vu ça. Elle est immense et d’une épaisseur folle.
Elle reprend enfin ses esprits et s’adresse à sa fille :-Je ne te croyais pas capable d’avoir le culot de faire ça sous mon toit…Et tu les prends au berceau ma parole !
-Mais maman… Ce n’est pas ce que tu crois ! Il est dans ma classe et on a le même âge. Et tu devais bien t’attendre un jour à ce que je saute le pas ! Je ne suis plus une gamine !
Lucie tourne la tête vers le garçon qui s’est relevé aussi. Sa verge a perdu de sa superbe mais le morceau arrive à mi-cuisses. Ce gosse, même comme ça, a une bite encore deux fois plus longue que celle de son mari dans ses meilleurs jours.
Elle n’en revient pas du culot de ce garçon au visage d’ange qui s’avance vers elle, prend sa main droite et la pose sur son gros dard. Elle ne réagit pas, complètement abasourdie.
Elle sent dans sa main pulser cette chose et ses doigts se referment malgré elle dessus. Son pouce touche à peine son majeur mais la banane courbée se transforme en saucisse de Morteau : Droite, énorme, immense.
Lucie a quarante cinq ans, mariée depuis une vingtaine d’année à Michel. Il est loin d’être un Apollon et c’est elle qui porte la culotte à la maison.
Elle le domine même au lit et il doit faire ce qu’elle lui demande mais ce n’est pas un foudre de sexe, et en parlant de sexe, le sien est ridicule.
Maintenant elle contrôle totalement la sexualité de son mari, décidant quand il peut lui faire l’amour, quand il peut se masturber, quand il peut éjaculer.
Des fois, elle lui impose un amant vigoureux pour l’humilier du plaisir qu’il est incapable de lui donner, imaginant les émotions qu’il ressent au moment fatidique où elle jouit d’un autre alors que la petite queue est privé de sa chatte.
De temps en temps il lui faut une vrai bite dans sa vulve ou ailleurs. Et là, justement, ce qu’elle tient dans la main est exceptionnel.
Il ose encore lui déclarer :- J’ai pensé que vous aimeriez peut-être aider votre fille, comme ça, vous ne la gronderez pas trop !
Elle est estomaquée par ses paroles mais s’aperçoit que la main du garçon a quitté la sienne qui s’accroche comme une mort de faim à son sexe.
La verge est aussi grande que son avant-bras et aussi grosse que le poignet de sa fille, un véritable monstre… Qui n’a pas rebuté Lydia.
Elle essaie de garder les pieds sur terre car elle aime quand même son mari et fait tout son possible pour limiter ses écarts, mais là…Il est bien foutu coté sexe, ça c’est sûr. Elle adore cette vraie verge d’Homme sur ce corps d’ado attardé.
Elle ne répond toujours pas, bloquée par la situation de ce jeunot qui bande comme un taureau, au chibre bien droit et dur.
Il voit le regard d’envie de Lucie parcourant son corps et son sexe, il sait son pouvoir sur les femmes et sait très bien qu’elle n’opposera aucune résistance.
Il lève sa nuisette, elle se tient devant lui, en le regardant dans les yeux. La main de Claude se dirige vers la chatte de Lucie et glisse facilement un doigt en elle tellement elle mouille.
Il se dégage un tel magnétisme de ce jeune mâle.
- Oooohhh !
Il ne dit plus rien et enfonce lentement son doigt et le ressort, elle écarte ses jambes pour lui offrir un meilleur accès à sa grotte, respirant difficilement , écartant encore plus les cuisses et faisant bien ressortir son cul, lui signifiant ainsi qu’elle acceptera tout de lui.
Les doigts de Claude travaillent la chatte et l’un d’eux s’égare dans son trou du cul, lui aussi humide et à sa complète disposition.
- Oh... Ooooohhhhh ! Comment t’appelles-tu ?
-Claude.
-Prends-moi !
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