Le nouveau travail de Cathy et Walter
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le nouveau travail de Cathy et Walter
Walter n'a pas attendu longtemps. Le Docteur Robert Cassidy et sa femme, Catherine, sont sortis du théâtre par la porte latérale. Ils se sont engouffrés dans la voiture avant que Walt n’ait le temps de descendre pour leur tenir la porte ouverte. Tandis qu’ils se glissaient sur la banquette arrière, il démarra le moteur.
"Tu as raté un super spectacle, Walt" dit Robert avec un sourire narquois. "Cathy s'est vraiment surpassée, ce soir." Il embrassa profondément Cathy, à pleine bouche : "As-tu pu la voir s’accoupler ?"
Walt a juste jeté un coup d’œil dans le rétroviseur, occupé à s’insérer dans la circulation, avant de répondre :
"J'ai pu la voir sucer quelques mecs, puis ce grand type l’a baisée en levrette, lorsqu’elle était penchée par-dessus le dossier du fauteuil, Docteur Cassidy !"
Robert a ri : "Et qu'est-ce que ça t'a fait, Walter ?" demanda-t-il ironiquement.
Walt rougit légèrement : "J'étais tellement enthousiaste que j’ai joui dans mon pantalon ! Sans me toucher, M. Cassidy. Je crois que la première fois qu’elle m’excite autant !"
Cathy éclaté de rire : "Oh, la vilaine petite fiotte !" Elle regarda Robert : "Je n'avais pas réalisé à quel point ce petit pervers aime regarder pendant que je me fais baiser, chéri !"
Robert insistait, en cherchant le regard de Walt dans le rétroviseur : "Est-ce la vérité, Walt ? Aimes-tu regarder quand un mec baise Cathy ?"
"Oh oui, Dr. Cassidy !" reconnu Walt, sans se faire prier. Parfaitement docile, il livrait ses états d’âme au docteur sans aucune pudeur : "J'adore regarder Mme Cassidy se faire baiser. Mais je préfère quand c’est vous. Je pourrais vous regarder la baiser toute la journée !"
"Je parie que tu préfères me regarder la baiser plutôt que d'essayer de la baiser toi-même, n'est-ce pas, Walt ?" Robert poursuivait le conditionnement de Walt et Cathy par petites touches.
Walter n'a pas hésité : "Oh, oui, M. Cassidy, je préfère. Vous la baisez si profond et si fort avec votre énorme bite, que je préfère vous regarder baiser Mme Cassidy !"
Cathy éclata de rire. Un rire moqueur, cruel : "Pas étonnant, Robert ! Tu es un amant fabuleux, bien meilleur que cette petite loque, avec sa limace microscopique qui lui sert pour faire pipi !"
Cathy posa sa main sur l'entrejambe de Robert pour caresser sa grosseur à travers le pantalon : "C'est tellement meilleur d'avoir ta grosse bite pour combler ma chatte désireuse."
"Qu’est-ce que tu en dis, Walt ?" S’enquit Robert.
"Oui, c'est vrai." a reconnu Walt d'une voix admirative. "Vous la baisez mieux que je ne l'ai jamais fait quand elle était ma femme. Jamais je n’aurais pu imaginer qu’elle puisse être aussi bien baisée. Nous avons eu beaucoup de chance de faire votre connaissance. Votre bite est tellement plus grosse que la mienne, et elle jouit tellement fort, que ça me rend heureux !"
Robert sourit : "C'est bien, Walter. Tu ne peux pas t'empêcher d'être épris, même si tu manques de virilité. Tu n'as pas besoin d'une grosse bite pour pouvoir jouer avec toi-même. Tu peux regarder les vrais hommes baiser ta femme et te branler. D’ailleurs, te branler, c’est la forme de sexe que tu préfères, n'est-ce pas ?"
Walt hocha lentement la tête, comme pour se convaincre de cette pensée : "Oui, c’est vrai, je préfère me branler, surtout quand je regarde Cathy se faire baiser." Il sentait son sexe s’ériger lentement.
"Walt ! Pas de familiarités ! C'est Mme Cassidy pour toi !"
Walt rougit et débanda instantanément : "Oui, Mme Cassidy ! Excusez-moi ! Je suis vraiment désolé ! Cela m’a échappé, pardonnez-moi !"
Cathy se fâchait déjà : "Je ne suis plus ni ta femme ni même ton amie, espèce de vermisseau prétentieux !
Tu peux donc oublier toutes ces horribles années où j'ai dû subir tes assiduités. Si tu me manques encore une fois de respect, tu ne seras plus autorisé à me regarder baiser avec de vrais hommes !"
Walt était consterné : "S'il vous plaît, Mme Cassidy. Je ne le ferai plus. Plus jamais. Ne me punissez pas si durement, s’il vous plaît, vous regarder vous offrir à de vrais hommes, c’est mon seul plaisir !"
Robert profita de la contrition de Walter : "Tu aimes regarder Cathy baiser, et se faire baiser par de vrais hommes, Walter. Tu aimes regarder les vrais hommes enfoncer leurs grosses bites dans sa chatte étirée. N'importe qui, du moment que ce n'est pas toi !"
Sa voix rythmée, persuasive, inculquait le message à Walt : "Je suis sûr que tu aimerais la voir sur grand écran, au cinéma porno, baiser avec beaucoup d’hommes. Des vrais hommes, avec des grosses bites, dans tous ses orifices. Penses-y, quel spectacle merveilleux, des milliers d’hommes se branlant en regardant Cathy se faire baiser !"
L’esprit de Walt se soumettait facilement aux suggestions de Robert, d'autant plus que cela nourrissait ses fantasmes érotiques : "Oui. M. Cassidy. J'adorerais voir Mme Cassidy se faire baiser sur grand écran, au cinéma. Et tous les mecs, dans la salle, en train de se branler pendant qu'elle se fait démonter. À présent, elle peut baiser avec n’importe qui, du moment qu’il a une grosse bite. C’est pourquoi elle ne peut pas baiser avec moi et les mecs qui ont une petite bite toute molle. Ça la dégoûte !"
La voix de Walt s’échauffait, et sa bite se dressait, pendant qu'il parlait : "Faites-en une star du porno, Doc, faites-en une femelle que n'importe qui peut baiser, et je serai le plus heureux des hommes !"
Robert eut un large sourire avant de confirmer ses intentions : "Très bien, Walter. Je ferai tout mon possible pour exaucer ton vœu, et te rendre heureux. Cathy va devenir une star du porno. Et tu pourras suivre sur grand écran ses exploits et ses prouesses."
"Merci, M. Cassidy." Walt avait de nouveau l'air heureux.
"Dès que nous serons rentrés à la maison, prépare nos valises pour un voyage de deux semaines. Nous filerons à la capitale pour rencontrer un de mes amis producteurs."
Cathy souriait, prétentieuse et stupide : "Je vais être une star de ciné, espèce de petite merde pathétique !"
En se garant dans l'allée, Walt se demandait si Cathy pouvait réellement devenir une star, combien de centaines d’hommes allaient la baiser, est-ce que le Docteur Cassidy allait participer aux tournages, et est-ce qu’il aurait le droit de se branler en public, dans une salle de cinéma. Toutes ces questions existentielles occupaient son esprit, et il souriait béatement en tenant la porte ouverte à son maître et à sa dulcinée.
Deux semaines après qu'il eut conduit le couple à l'aéroport, le téléphone sonna à la maison. Walt a décroché : "Famille Cassidy, en quoi puis-je vous aider ?" Il était devenu un parfait larbin en peu de temps, le Doc n’avait eu aucun mal à le dresser.
"Walter" disait la voix de Cathy au téléphone : "Je voulais t’informer que nous avons terminé le tournage de mes deux premiers films."
"Très bien, Mme Cassidy." répondit-il respectueusement.
"Robert a fait envoyer une copie du premier au cinéma de ton quartier. Il sera en projection, en avant-première, ce soir. Si tu veux en profiter, dépêche-toi, tu as juste le temps."
Walt demanda poliment : "Puis-je aller le voir ?"
Le rire clair de Cathy résonna dans le téléphone : "Bien sûr, crétin. Si je t’appelles, c’est pour que tu ailles m’admirer en train de me faire démonter par des mâles bien membrés. Allez, perds pas ton temps, vas-y et amuses-toi !"
"Merci" répondit Walt. "Je raccroche et j’y cours !"
Walt ne tenait plus. Il devait la voir baiser. Deux semaines de privation, c’était long ! Il a saisit ses clés et il a sauté dans la voiture. Le temps de garer la voiture, il n’y avait jamais de place disponible sur ce parking trop petit, faire la queue pour le billet, quand il a poussé la porte de la salle, le film était commencé.
Sur l’écran, la chatte rasée de Cathy se faisait bourrer par une bite surdimensionnée. Cathy passait un bon moment, entourée d’étalons bien membrés, et elle s’agitait en passant de l’un à l’autre. Assit sur son siège, Walt dégrafa sa braguette pour être à l’aise.
Gentiment, son voisin a tendu la main pour caresser sa bite en érection pendant que Cathy gueulait en ses faisant démonter en doublette. À cause de la double action, l’inconnu qui le tripotait, et son ex-femme qui gémissait sous les coups de boutoir synchronisés, Walt n’a pas tenu longtemps.
À l’écran, l’homme qui la baisait dans le cul s’est retiré pour envoyer la purée sur les fesses de Cathy. Walt, sollicité par le voisin complaisant, envoya la purée sur le dossier du siège de devant.
Pendant qu’un autre gars prenait place dans le cul de Cathy, le voisin conciliant sollicitait Walt pour qu’il lui rende la politesse. Walt se mit à tripoter son voisin, pendant qu’à l’écran, un troisième mec, un grand noir, installait sa bite d’ébène dans la bouche de Cathy, pour l’empêcher de gueuler.
Walt entendit un gémissement sur sa droite et vit un mec en train d’en sucer un autre. Son voisin passa son bras derrière les épaules de Walt, et poussa sur sa nuque pour l’inciter à lui faire une fellation.
Complaisant, Walt s’est penché pour absorber la bite palpitante dans sa bouche. Le type s’agitait sur son siège, en appuyant sur la tête de Walt, forçant la tête de sa bite dans sa gorge.
Rapidement, il s’est répandu à l'intérieur de la bouche affamée de Walt, envoyant son sperme chaud jaillir dans sa gorge. Walt déglutit et continua le à sucer avidement, savourant le goût âcre et légèrement salé.
Lorsque son voisin a fini de jouir, Walt s'est redressé pour regarder la suite du film. Son voisin remettait de l’ordre dans ses vêtements, se leva et partit. Walt regardait Cathy se faire baiser dans tous ses orifices. C’était une merveilleuse soirée.
"Tu as raté un super spectacle, Walt" dit Robert avec un sourire narquois. "Cathy s'est vraiment surpassée, ce soir." Il embrassa profondément Cathy, à pleine bouche : "As-tu pu la voir s’accoupler ?"
Walt a juste jeté un coup d’œil dans le rétroviseur, occupé à s’insérer dans la circulation, avant de répondre :
"J'ai pu la voir sucer quelques mecs, puis ce grand type l’a baisée en levrette, lorsqu’elle était penchée par-dessus le dossier du fauteuil, Docteur Cassidy !"
Robert a ri : "Et qu'est-ce que ça t'a fait, Walter ?" demanda-t-il ironiquement.
Walt rougit légèrement : "J'étais tellement enthousiaste que j’ai joui dans mon pantalon ! Sans me toucher, M. Cassidy. Je crois que la première fois qu’elle m’excite autant !"
Cathy éclaté de rire : "Oh, la vilaine petite fiotte !" Elle regarda Robert : "Je n'avais pas réalisé à quel point ce petit pervers aime regarder pendant que je me fais baiser, chéri !"
Robert insistait, en cherchant le regard de Walt dans le rétroviseur : "Est-ce la vérité, Walt ? Aimes-tu regarder quand un mec baise Cathy ?"
"Oh oui, Dr. Cassidy !" reconnu Walt, sans se faire prier. Parfaitement docile, il livrait ses états d’âme au docteur sans aucune pudeur : "J'adore regarder Mme Cassidy se faire baiser. Mais je préfère quand c’est vous. Je pourrais vous regarder la baiser toute la journée !"
"Je parie que tu préfères me regarder la baiser plutôt que d'essayer de la baiser toi-même, n'est-ce pas, Walt ?" Robert poursuivait le conditionnement de Walt et Cathy par petites touches.
Walter n'a pas hésité : "Oh, oui, M. Cassidy, je préfère. Vous la baisez si profond et si fort avec votre énorme bite, que je préfère vous regarder baiser Mme Cassidy !"
Cathy éclata de rire. Un rire moqueur, cruel : "Pas étonnant, Robert ! Tu es un amant fabuleux, bien meilleur que cette petite loque, avec sa limace microscopique qui lui sert pour faire pipi !"
Cathy posa sa main sur l'entrejambe de Robert pour caresser sa grosseur à travers le pantalon : "C'est tellement meilleur d'avoir ta grosse bite pour combler ma chatte désireuse."
"Qu’est-ce que tu en dis, Walt ?" S’enquit Robert.
"Oui, c'est vrai." a reconnu Walt d'une voix admirative. "Vous la baisez mieux que je ne l'ai jamais fait quand elle était ma femme. Jamais je n’aurais pu imaginer qu’elle puisse être aussi bien baisée. Nous avons eu beaucoup de chance de faire votre connaissance. Votre bite est tellement plus grosse que la mienne, et elle jouit tellement fort, que ça me rend heureux !"
Robert sourit : "C'est bien, Walter. Tu ne peux pas t'empêcher d'être épris, même si tu manques de virilité. Tu n'as pas besoin d'une grosse bite pour pouvoir jouer avec toi-même. Tu peux regarder les vrais hommes baiser ta femme et te branler. D’ailleurs, te branler, c’est la forme de sexe que tu préfères, n'est-ce pas ?"
Walt hocha lentement la tête, comme pour se convaincre de cette pensée : "Oui, c’est vrai, je préfère me branler, surtout quand je regarde Cathy se faire baiser." Il sentait son sexe s’ériger lentement.
"Walt ! Pas de familiarités ! C'est Mme Cassidy pour toi !"
Walt rougit et débanda instantanément : "Oui, Mme Cassidy ! Excusez-moi ! Je suis vraiment désolé ! Cela m’a échappé, pardonnez-moi !"
Cathy se fâchait déjà : "Je ne suis plus ni ta femme ni même ton amie, espèce de vermisseau prétentieux !
Tu peux donc oublier toutes ces horribles années où j'ai dû subir tes assiduités. Si tu me manques encore une fois de respect, tu ne seras plus autorisé à me regarder baiser avec de vrais hommes !"
Walt était consterné : "S'il vous plaît, Mme Cassidy. Je ne le ferai plus. Plus jamais. Ne me punissez pas si durement, s’il vous plaît, vous regarder vous offrir à de vrais hommes, c’est mon seul plaisir !"
Robert profita de la contrition de Walter : "Tu aimes regarder Cathy baiser, et se faire baiser par de vrais hommes, Walter. Tu aimes regarder les vrais hommes enfoncer leurs grosses bites dans sa chatte étirée. N'importe qui, du moment que ce n'est pas toi !"
Sa voix rythmée, persuasive, inculquait le message à Walt : "Je suis sûr que tu aimerais la voir sur grand écran, au cinéma porno, baiser avec beaucoup d’hommes. Des vrais hommes, avec des grosses bites, dans tous ses orifices. Penses-y, quel spectacle merveilleux, des milliers d’hommes se branlant en regardant Cathy se faire baiser !"
L’esprit de Walt se soumettait facilement aux suggestions de Robert, d'autant plus que cela nourrissait ses fantasmes érotiques : "Oui. M. Cassidy. J'adorerais voir Mme Cassidy se faire baiser sur grand écran, au cinéma. Et tous les mecs, dans la salle, en train de se branler pendant qu'elle se fait démonter. À présent, elle peut baiser avec n’importe qui, du moment qu’il a une grosse bite. C’est pourquoi elle ne peut pas baiser avec moi et les mecs qui ont une petite bite toute molle. Ça la dégoûte !"
La voix de Walt s’échauffait, et sa bite se dressait, pendant qu'il parlait : "Faites-en une star du porno, Doc, faites-en une femelle que n'importe qui peut baiser, et je serai le plus heureux des hommes !"
Robert eut un large sourire avant de confirmer ses intentions : "Très bien, Walter. Je ferai tout mon possible pour exaucer ton vœu, et te rendre heureux. Cathy va devenir une star du porno. Et tu pourras suivre sur grand écran ses exploits et ses prouesses."
"Merci, M. Cassidy." Walt avait de nouveau l'air heureux.
"Dès que nous serons rentrés à la maison, prépare nos valises pour un voyage de deux semaines. Nous filerons à la capitale pour rencontrer un de mes amis producteurs."
Cathy souriait, prétentieuse et stupide : "Je vais être une star de ciné, espèce de petite merde pathétique !"
En se garant dans l'allée, Walt se demandait si Cathy pouvait réellement devenir une star, combien de centaines d’hommes allaient la baiser, est-ce que le Docteur Cassidy allait participer aux tournages, et est-ce qu’il aurait le droit de se branler en public, dans une salle de cinéma. Toutes ces questions existentielles occupaient son esprit, et il souriait béatement en tenant la porte ouverte à son maître et à sa dulcinée.
Deux semaines après qu'il eut conduit le couple à l'aéroport, le téléphone sonna à la maison. Walt a décroché : "Famille Cassidy, en quoi puis-je vous aider ?" Il était devenu un parfait larbin en peu de temps, le Doc n’avait eu aucun mal à le dresser.
"Walter" disait la voix de Cathy au téléphone : "Je voulais t’informer que nous avons terminé le tournage de mes deux premiers films."
"Très bien, Mme Cassidy." répondit-il respectueusement.
"Robert a fait envoyer une copie du premier au cinéma de ton quartier. Il sera en projection, en avant-première, ce soir. Si tu veux en profiter, dépêche-toi, tu as juste le temps."
Walt demanda poliment : "Puis-je aller le voir ?"
Le rire clair de Cathy résonna dans le téléphone : "Bien sûr, crétin. Si je t’appelles, c’est pour que tu ailles m’admirer en train de me faire démonter par des mâles bien membrés. Allez, perds pas ton temps, vas-y et amuses-toi !"
"Merci" répondit Walt. "Je raccroche et j’y cours !"
Walt ne tenait plus. Il devait la voir baiser. Deux semaines de privation, c’était long ! Il a saisit ses clés et il a sauté dans la voiture. Le temps de garer la voiture, il n’y avait jamais de place disponible sur ce parking trop petit, faire la queue pour le billet, quand il a poussé la porte de la salle, le film était commencé.
Sur l’écran, la chatte rasée de Cathy se faisait bourrer par une bite surdimensionnée. Cathy passait un bon moment, entourée d’étalons bien membrés, et elle s’agitait en passant de l’un à l’autre. Assit sur son siège, Walt dégrafa sa braguette pour être à l’aise.
Gentiment, son voisin a tendu la main pour caresser sa bite en érection pendant que Cathy gueulait en ses faisant démonter en doublette. À cause de la double action, l’inconnu qui le tripotait, et son ex-femme qui gémissait sous les coups de boutoir synchronisés, Walt n’a pas tenu longtemps.
À l’écran, l’homme qui la baisait dans le cul s’est retiré pour envoyer la purée sur les fesses de Cathy. Walt, sollicité par le voisin complaisant, envoya la purée sur le dossier du siège de devant.
Pendant qu’un autre gars prenait place dans le cul de Cathy, le voisin conciliant sollicitait Walt pour qu’il lui rende la politesse. Walt se mit à tripoter son voisin, pendant qu’à l’écran, un troisième mec, un grand noir, installait sa bite d’ébène dans la bouche de Cathy, pour l’empêcher de gueuler.
Walt entendit un gémissement sur sa droite et vit un mec en train d’en sucer un autre. Son voisin passa son bras derrière les épaules de Walt, et poussa sur sa nuque pour l’inciter à lui faire une fellation.
Complaisant, Walt s’est penché pour absorber la bite palpitante dans sa bouche. Le type s’agitait sur son siège, en appuyant sur la tête de Walt, forçant la tête de sa bite dans sa gorge.
Rapidement, il s’est répandu à l'intérieur de la bouche affamée de Walt, envoyant son sperme chaud jaillir dans sa gorge. Walt déglutit et continua le à sucer avidement, savourant le goût âcre et légèrement salé.
Lorsque son voisin a fini de jouir, Walt s'est redressé pour regarder la suite du film. Son voisin remettait de l’ordre dans ses vêtements, se leva et partit. Walt regardait Cathy se faire baiser dans tous ses orifices. C’était une merveilleuse soirée.
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