Le nouveau voisin 03
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le nouveau voisin 03
Pendant plusieurs jours je ne croisais pas les voisins, j'en profitais pour récupérer, il m'avait sacrément remué l'autre jour mon voisin. J'ai eu du mal à m'asseoir pendant plusieurs jours.
C'est un soir en rentrant chez moi que je retrouvais Dylan, il entrait chez lui, il m'invitait à boire un verre. Je suivais.
– Coraline n'est pas là en ce moment. Elle est absente pour deux semaines. C'est son travail.
– Alors tu es célibataire ?
– Bein oui, je te laisse t'installer, tu ouvres deux bières, je vais prendre une douche. Tu m'excuses, j'en ai pour deux minutes.
Il était rapide en effet plus rapide que quand il faisait l'amour à sa copine, là il lui fallait du temps mais pour ce qui est de se doucher … Il revenait, il était entièrement nu, il avait gardé sa serviette autour du ventre. Je me rinçais l’œil. Je le trouvais toujours aussi beau.
Il avait compris quelles étaient mes tendances mais ça ne le dérangeait pas, il ne se cachait pas. Et puis il avait aussi les mêmes tendances. On discutait pendant un moment et forcément sa serviette finissait par tomber.
Je m'attendais à voir sa belle grosse bite mais … Je ne comprenais pas tout de suite. Elle avait disparue, et semblait confinée dans une petite cage, ça ressemblait à une cage, et c'était blanc. Je regardais et je pouvais pas cacher une certaine surprise. Il l'a remarqué, et ça le faisait rire. Il se relevait alors et me montrait plus en détail.
Il portait un cock-ring à la base de son sexe et sur le dessus de cet anneau il y avait comme une cage qui recouvrait et confinait totalement sa queue. La mienne à protesté instantanément. Je bandais comme un fou, ça m'a pris avec violence d'un coup quand j'ai vu ça. Je manquais d'air aussi, j'avais la cervelle en feu.
– C'est un jeu auquel nous jouons Coraline et moi.
– Hein cheu ?
– Non un jeu … Tu m'as l'air troublé, ça va Charly ?
– Oui ça va ! Lui répondais-je en reprenait mon souffle.
– Oui donc c'est un jeu. Régulièrement je mets ce dispositif, surtout quand Coraline est absente. Excitant non ?
Il avait dit ces derniers mots en balançant son bassin, ses couilles formaient deux boules bien fermes qui remontait contre sa queue en cage. Ça formait un beau petit ensemble qui se balançait. Oui c'était excitant, c'était même terriblement excitant !
– Et , Eh , Euh, Fé, Cé … Tentais-je de lui demandé .
– Oui tout à fait !
Je ne sais pas ce qu'il avait compris. Surtout que moi je ne m'étais pas vraiment compris. Je me souviens seulement que j'avais voulu demander quelques chose, puis, je ne sais plus quoi. Mais c'est vrai que Dylan n'est pas contrariant.
– Tu es en sueur, tu devrais prendre une douche. Me disait-il.
C'est ce que finalement je décidais de faire. Je retirais mes vêtements sans faire de manières. Je bandais, ça l'a beaucoup amusé, puis je passais sous la douche. Il restait dans l'ouverture et on continuait à discuter. Je bandais ça l'amusait toujours. On parlait de son dispositif, il m'expliquait que le jeu donc. Consistait à le frustrer pour faire monter le désire, il arrivait quelquefois que Coraline fasse l'amour avec un partenaire de passage devant lui alors qu'il portait le dispositif. Il devait bien sur être entièrement nu pendant.
Les périodes sous clés pouvaient durer plusieurs semaines. Il était resté ainsi pendant six mois une fois.
Je bandais à mort, je bandais et je ne contrôlait plus rien.
Il me demandait si je m'intéressait aussi aux filles.
– Bein moi c'est plutôt les mecs, les mecs exclusivement.
– Pourtant l'autre jour, Coraline te faisait bien réagir.
– C'est parce que tu étais là.
– C'est pas grave, Coraline ne devrait pas se formaliser pour si peux. Me répondait-il en rigolant. En plus je pense qu'elle s'en doute.
Je me séchait puis je revenais dans le salon. Il me suivait en prenant deux bières dans le frigo en passant. Puis on discutait. Je me renseignais sur son dispositif. Si ça fait mal, si ça gêne etc …
il s'installait en face de moi, les jambes bien écartées, j'écartais également les cuisses mais moi je bandais. J'admirais son dispositif, il était blanc ivoire, et il tranchait bien sur sa peau noire. Il n'avait pas de poil et sa cage à bite n'en était que plus visible. Je ne sais pas ce que cet objet m'inspirait. Il me fascinait seulement, il me fascinait. Mon regard était attiré.
Il terminait sa bière, je le regardais faire, il s'approchait alors de moi se penchait, s'accroupissait entre mes jambes puis me suçait la queue. J'ai craqué, j'ai pris sa tête entre mes mains et ne pouvant plus me retenir je lui ai balancé quelques coup de bassin. Ma queue est alors entrée directement au fond de sa gorge. Il a encaissé.
Il ne m'avait pas demandé mon avis, il avait du trouver que c'était inutile. Il me suçait, je le laissais faire. Il me caressait les cuisses, ses doigt devenaient indiscrets. J'aimais bien, ils se glissaient entre mes fesses, ils se glissaient comme ils pouvaient. Un instant j'ai pensé qu'il allait m'enculer, j'aurais bien aimé, j'avais seulement oublié que là, il ne pourrait pas faire grand chose. Ça ne calmait pas mon excitation, je bandais toujours et je me disais que c'est moi qui allait l'enculer. C'est bien aussi !
Il me prenait la main et m'entraînait vers la chambre. Il me prenait dans ses bras, je sentais son corps lisse et chaud contre moi. Je sentais ses caresses, ses mains qui maintenant se promenait sur mes fesses sans que rien ne les gêne. J'en faisais de même. Je glissais mes doigts entre ses fesses, je les prenais à pleine mains. Son corps était ferme et musclé, sa peau était tellement douce. Je tombais à genoux devant lui et comme je ne pouvais pas lui sucer la queue je me contentais de lui tripoter ses couilles, je les prenais dans ma bouche, je les lui caressais et en même temps je glissais une main entre ses fesses, doucement, sans rien lui demander, sans prévenir, je lui glissais un doigt dans son cul.
Il ne retenait pas quelques gémissements qui exprimaient son plaisir.
On se retrouvait tous les deux allongés sur son lit, tous les deux dans les bras de l'autre, c'étaient des caresses passionnées que nous partagions. Je ne pouvais pas lui sucer la queue mais lui, il pouvait, et il ne s'en privait pas. Il me chevauchait en me tournant le dos et se retrouvait avec ma queue dans la bouche et moi ses fesses en face de moi.
Je les caressais avec détermination, rapidement je lui glissait de nouveau un doigt dans le cul, puis deux. Arrivé à trois j'y mettais les deux mains puis c'était quatre doigts. Il gémissait et tremblait. Je sentais mon gland contre sa langue, il me suçait avec douceur et force.
Je me dégageais délicatement. Je le laissais dans la position qu'il était et prenais position juste derrière lui. J'appuyais ma queue sur son anus, il ne tentait pas de se dégager. Je me penchais sur lui, glissait une main entre ses cuisses lui caressais les couilles et finalement j'appuyais ma queue sur son cul. Elle entrait lentement. Je sentais son muscle anal se dilater, se contracter par moment. Là ça ne rentrait plus mais quand il se décontractait de nouveau, ça glissait bien, je poussais alors à fond.
Il a poussé un cri, mon ventre s'est écrasé contre ses fesses. J'étais entré à fond en un mouvement rapide. Il gémissait. Je me retirais et sans attendre de savoir ce qu'il en pensait je revenais, plus vite, plus fort. Je commençais alors à lui limer le cul, avec force. Il me laissait faire. Je sentais ses muscles de contracter.
Je me penchais sur lui et refermais mes bras autour de son torse. Je l'embrassais sur ses épaules, il tournait son visage vers le mien et on échangeait alors un baiser passionné. Je le limais en appuyant bien contre ses fesses au moment ou ma bite entrait à fond dans son cul.
Je me retirais, à chaque fois un peu plus, j'en arrivais à me retirer complètement, à ressortir ma queue de son cul, j'en profitais d'abord pour lubrifier un peu plus puis, je m'enfonçait à nouveau, avec force, dans un mouvement rapide puis je reprenais. Mes mouvements devenaient rapides, très rapides. Il gémissait, mon ventre claquait quand il s'écrasait contre ses fesses.
Progressivement j'y mettais plus de violence, plus de force et j'allais vraiment très vite. Il gémissait. Puis je ralentissais, plus amples et plus lents, les mouvements devenaient plus courts et plus rapides.
Je faisais des poses, puis je reprenais. Il respirait de plus en plus fort, je ne pensais plus qu'à mon plaisir et j'ai joui sans prévenir. A cet instant je ne m'inquiétais plus du tout de lui, je prenais mon plaisir sur son dos, dans son cul. Il devait lui aussi apprécier à l'entendre gueuler, il devait lui aussi aimer finalement.
Je déchargeais avec force plusieurs giclées de sperme, puis je m'effondrais sur son dos, il s'écroulait sur le lit, je me retrouvais allongé sur lui, ma queue restait encore bien ferme et bien plantée, confortablement dans son cul.
On a fini par réagir un peu plus tard, j'avais débandé, il s'est redressé et m'a entraîne sous la douche. Là on se l'avait l'un l'autre, j'en profitais pour lui laver sa cage à bite et j'observais comment elle fonctionnait dans les détail.
C'était étrange comme dispositif. Ça semblait tout petit, l'anneau étranglait son sexe à la base de son sexe, sa queue était gonflée et saucissonnée dans une cage, qui semblait minuscule. C'était à la fois effrayant et fascinant.
– Ça ne fait pas mal ? Demandais-je.
– Non , ça ne fait pas mal. Je ne te dirais pas que c'est confortable mais non, en fait ça ne fait pas mal.
Il lui a fallu tu temps pour se calmer, peu à peu tout rentrait dans l'ordre. Sa queue retrouvait une taille plus raisonnable et logeait dans sa cage de nouveau. Il ajustait l'anneau en tirant sur la peau puis on revenait s'allonger l'un à côté de l'autre.
– Tu veux essayer ? Me demandait-il.
– Non merci !
– Tu ne trouves pas ça excitant ?
– Si mais non ! Sans façons …
Il rigolait à ma réponse, je lui tripotais les couilles et je pouvais constater que en effet il était plus détendu. Moi j'avais pris mon pied mais il me manquait quelque chose, je me serais bien pris sa queue dans le cul. Vous savez je suis plus passif qu'actif. Mais bon, c'était plus au programme.
On a soupé ensemble ce soir là, c'était la dernière fois. Coraline devait être absente pendant encore un moment. Plusieurs fois on a remis ça. Son corps, sa peau, ses muscles, sa douceur et sa force, c'était pour moi tout ça … Pour ce qui est de sa queue, là oui, je ne dis pas ça manquait.
Mais il était chaud du cul, de plus en plus. C'était le manque. Il m'expliquait que ça lui faisait ça à chaque fois.
– Une fois, on avait tenté une privation de tout plaisir sexuel pendant six semaines. Me disait-il. Coraline a des idées je te jure. On avait choisi un amant pour elle. Un mec actif, viril, costaud, grand, il croyait qu'il resterait la pauvre. Tous les jours ils faisaient l'amour et moi je restais là, nu, je n'avait droit à aucune stimulation. C'était l'enfer, c'était génial.
– Six semaines ?
– Ouai, c'est long mais le jours ou on a mis fin à l'expérience c'était le pied, la frustration pendant tout ce temps c'était génial, dément. Pour finir, il m'a enculé. On l'avait choisi bien monté. Il m'a enculé devant Coraline, j'ai pris un pied de dingue …– Ah ouai !
– Et le lendemain on l'a viré !
Là c'était trop, je pouffais de rire. C'était des conneries c'est sûr, j'ai appris par la suite que non, c'était pas des conneries. Ces deux là avaient vraiment des jeux érotiques peu ordinaire.
Pour le moment c'est moi qui en profitait, j'avais droit au cul de mon voisin. Et il était beau son cul. Dans quelques jours, à peine quelques semaines Coraline allait revenir et …
Oui c'est vrai ça, Coraline allait revenir et ensuite …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'est un soir en rentrant chez moi que je retrouvais Dylan, il entrait chez lui, il m'invitait à boire un verre. Je suivais.
– Coraline n'est pas là en ce moment. Elle est absente pour deux semaines. C'est son travail.
– Alors tu es célibataire ?
– Bein oui, je te laisse t'installer, tu ouvres deux bières, je vais prendre une douche. Tu m'excuses, j'en ai pour deux minutes.
Il était rapide en effet plus rapide que quand il faisait l'amour à sa copine, là il lui fallait du temps mais pour ce qui est de se doucher … Il revenait, il était entièrement nu, il avait gardé sa serviette autour du ventre. Je me rinçais l’œil. Je le trouvais toujours aussi beau.
Il avait compris quelles étaient mes tendances mais ça ne le dérangeait pas, il ne se cachait pas. Et puis il avait aussi les mêmes tendances. On discutait pendant un moment et forcément sa serviette finissait par tomber.
Je m'attendais à voir sa belle grosse bite mais … Je ne comprenais pas tout de suite. Elle avait disparue, et semblait confinée dans une petite cage, ça ressemblait à une cage, et c'était blanc. Je regardais et je pouvais pas cacher une certaine surprise. Il l'a remarqué, et ça le faisait rire. Il se relevait alors et me montrait plus en détail.
Il portait un cock-ring à la base de son sexe et sur le dessus de cet anneau il y avait comme une cage qui recouvrait et confinait totalement sa queue. La mienne à protesté instantanément. Je bandais comme un fou, ça m'a pris avec violence d'un coup quand j'ai vu ça. Je manquais d'air aussi, j'avais la cervelle en feu.
– C'est un jeu auquel nous jouons Coraline et moi.
– Hein cheu ?
– Non un jeu … Tu m'as l'air troublé, ça va Charly ?
– Oui ça va ! Lui répondais-je en reprenait mon souffle.
– Oui donc c'est un jeu. Régulièrement je mets ce dispositif, surtout quand Coraline est absente. Excitant non ?
Il avait dit ces derniers mots en balançant son bassin, ses couilles formaient deux boules bien fermes qui remontait contre sa queue en cage. Ça formait un beau petit ensemble qui se balançait. Oui c'était excitant, c'était même terriblement excitant !
– Et , Eh , Euh, Fé, Cé … Tentais-je de lui demandé .
– Oui tout à fait !
Je ne sais pas ce qu'il avait compris. Surtout que moi je ne m'étais pas vraiment compris. Je me souviens seulement que j'avais voulu demander quelques chose, puis, je ne sais plus quoi. Mais c'est vrai que Dylan n'est pas contrariant.
– Tu es en sueur, tu devrais prendre une douche. Me disait-il.
C'est ce que finalement je décidais de faire. Je retirais mes vêtements sans faire de manières. Je bandais, ça l'a beaucoup amusé, puis je passais sous la douche. Il restait dans l'ouverture et on continuait à discuter. Je bandais ça l'amusait toujours. On parlait de son dispositif, il m'expliquait que le jeu donc. Consistait à le frustrer pour faire monter le désire, il arrivait quelquefois que Coraline fasse l'amour avec un partenaire de passage devant lui alors qu'il portait le dispositif. Il devait bien sur être entièrement nu pendant.
Les périodes sous clés pouvaient durer plusieurs semaines. Il était resté ainsi pendant six mois une fois.
Je bandais à mort, je bandais et je ne contrôlait plus rien.
Il me demandait si je m'intéressait aussi aux filles.
– Bein moi c'est plutôt les mecs, les mecs exclusivement.
– Pourtant l'autre jour, Coraline te faisait bien réagir.
– C'est parce que tu étais là.
– C'est pas grave, Coraline ne devrait pas se formaliser pour si peux. Me répondait-il en rigolant. En plus je pense qu'elle s'en doute.
Je me séchait puis je revenais dans le salon. Il me suivait en prenant deux bières dans le frigo en passant. Puis on discutait. Je me renseignais sur son dispositif. Si ça fait mal, si ça gêne etc …
il s'installait en face de moi, les jambes bien écartées, j'écartais également les cuisses mais moi je bandais. J'admirais son dispositif, il était blanc ivoire, et il tranchait bien sur sa peau noire. Il n'avait pas de poil et sa cage à bite n'en était que plus visible. Je ne sais pas ce que cet objet m'inspirait. Il me fascinait seulement, il me fascinait. Mon regard était attiré.
Il terminait sa bière, je le regardais faire, il s'approchait alors de moi se penchait, s'accroupissait entre mes jambes puis me suçait la queue. J'ai craqué, j'ai pris sa tête entre mes mains et ne pouvant plus me retenir je lui ai balancé quelques coup de bassin. Ma queue est alors entrée directement au fond de sa gorge. Il a encaissé.
Il ne m'avait pas demandé mon avis, il avait du trouver que c'était inutile. Il me suçait, je le laissais faire. Il me caressait les cuisses, ses doigt devenaient indiscrets. J'aimais bien, ils se glissaient entre mes fesses, ils se glissaient comme ils pouvaient. Un instant j'ai pensé qu'il allait m'enculer, j'aurais bien aimé, j'avais seulement oublié que là, il ne pourrait pas faire grand chose. Ça ne calmait pas mon excitation, je bandais toujours et je me disais que c'est moi qui allait l'enculer. C'est bien aussi !
Il me prenait la main et m'entraînait vers la chambre. Il me prenait dans ses bras, je sentais son corps lisse et chaud contre moi. Je sentais ses caresses, ses mains qui maintenant se promenait sur mes fesses sans que rien ne les gêne. J'en faisais de même. Je glissais mes doigts entre ses fesses, je les prenais à pleine mains. Son corps était ferme et musclé, sa peau était tellement douce. Je tombais à genoux devant lui et comme je ne pouvais pas lui sucer la queue je me contentais de lui tripoter ses couilles, je les prenais dans ma bouche, je les lui caressais et en même temps je glissais une main entre ses fesses, doucement, sans rien lui demander, sans prévenir, je lui glissais un doigt dans son cul.
Il ne retenait pas quelques gémissements qui exprimaient son plaisir.
On se retrouvait tous les deux allongés sur son lit, tous les deux dans les bras de l'autre, c'étaient des caresses passionnées que nous partagions. Je ne pouvais pas lui sucer la queue mais lui, il pouvait, et il ne s'en privait pas. Il me chevauchait en me tournant le dos et se retrouvait avec ma queue dans la bouche et moi ses fesses en face de moi.
Je les caressais avec détermination, rapidement je lui glissait de nouveau un doigt dans le cul, puis deux. Arrivé à trois j'y mettais les deux mains puis c'était quatre doigts. Il gémissait et tremblait. Je sentais mon gland contre sa langue, il me suçait avec douceur et force.
Je me dégageais délicatement. Je le laissais dans la position qu'il était et prenais position juste derrière lui. J'appuyais ma queue sur son anus, il ne tentait pas de se dégager. Je me penchais sur lui, glissait une main entre ses cuisses lui caressais les couilles et finalement j'appuyais ma queue sur son cul. Elle entrait lentement. Je sentais son muscle anal se dilater, se contracter par moment. Là ça ne rentrait plus mais quand il se décontractait de nouveau, ça glissait bien, je poussais alors à fond.
Il a poussé un cri, mon ventre s'est écrasé contre ses fesses. J'étais entré à fond en un mouvement rapide. Il gémissait. Je me retirais et sans attendre de savoir ce qu'il en pensait je revenais, plus vite, plus fort. Je commençais alors à lui limer le cul, avec force. Il me laissait faire. Je sentais ses muscles de contracter.
Je me penchais sur lui et refermais mes bras autour de son torse. Je l'embrassais sur ses épaules, il tournait son visage vers le mien et on échangeait alors un baiser passionné. Je le limais en appuyant bien contre ses fesses au moment ou ma bite entrait à fond dans son cul.
Je me retirais, à chaque fois un peu plus, j'en arrivais à me retirer complètement, à ressortir ma queue de son cul, j'en profitais d'abord pour lubrifier un peu plus puis, je m'enfonçait à nouveau, avec force, dans un mouvement rapide puis je reprenais. Mes mouvements devenaient rapides, très rapides. Il gémissait, mon ventre claquait quand il s'écrasait contre ses fesses.
Progressivement j'y mettais plus de violence, plus de force et j'allais vraiment très vite. Il gémissait. Puis je ralentissais, plus amples et plus lents, les mouvements devenaient plus courts et plus rapides.
Je faisais des poses, puis je reprenais. Il respirait de plus en plus fort, je ne pensais plus qu'à mon plaisir et j'ai joui sans prévenir. A cet instant je ne m'inquiétais plus du tout de lui, je prenais mon plaisir sur son dos, dans son cul. Il devait lui aussi apprécier à l'entendre gueuler, il devait lui aussi aimer finalement.
Je déchargeais avec force plusieurs giclées de sperme, puis je m'effondrais sur son dos, il s'écroulait sur le lit, je me retrouvais allongé sur lui, ma queue restait encore bien ferme et bien plantée, confortablement dans son cul.
On a fini par réagir un peu plus tard, j'avais débandé, il s'est redressé et m'a entraîne sous la douche. Là on se l'avait l'un l'autre, j'en profitais pour lui laver sa cage à bite et j'observais comment elle fonctionnait dans les détail.
C'était étrange comme dispositif. Ça semblait tout petit, l'anneau étranglait son sexe à la base de son sexe, sa queue était gonflée et saucissonnée dans une cage, qui semblait minuscule. C'était à la fois effrayant et fascinant.
– Ça ne fait pas mal ? Demandais-je.
– Non , ça ne fait pas mal. Je ne te dirais pas que c'est confortable mais non, en fait ça ne fait pas mal.
Il lui a fallu tu temps pour se calmer, peu à peu tout rentrait dans l'ordre. Sa queue retrouvait une taille plus raisonnable et logeait dans sa cage de nouveau. Il ajustait l'anneau en tirant sur la peau puis on revenait s'allonger l'un à côté de l'autre.
– Tu veux essayer ? Me demandait-il.
– Non merci !
– Tu ne trouves pas ça excitant ?
– Si mais non ! Sans façons …
Il rigolait à ma réponse, je lui tripotais les couilles et je pouvais constater que en effet il était plus détendu. Moi j'avais pris mon pied mais il me manquait quelque chose, je me serais bien pris sa queue dans le cul. Vous savez je suis plus passif qu'actif. Mais bon, c'était plus au programme.
On a soupé ensemble ce soir là, c'était la dernière fois. Coraline devait être absente pendant encore un moment. Plusieurs fois on a remis ça. Son corps, sa peau, ses muscles, sa douceur et sa force, c'était pour moi tout ça … Pour ce qui est de sa queue, là oui, je ne dis pas ça manquait.
Mais il était chaud du cul, de plus en plus. C'était le manque. Il m'expliquait que ça lui faisait ça à chaque fois.
– Une fois, on avait tenté une privation de tout plaisir sexuel pendant six semaines. Me disait-il. Coraline a des idées je te jure. On avait choisi un amant pour elle. Un mec actif, viril, costaud, grand, il croyait qu'il resterait la pauvre. Tous les jours ils faisaient l'amour et moi je restais là, nu, je n'avait droit à aucune stimulation. C'était l'enfer, c'était génial.
– Six semaines ?
– Ouai, c'est long mais le jours ou on a mis fin à l'expérience c'était le pied, la frustration pendant tout ce temps c'était génial, dément. Pour finir, il m'a enculé. On l'avait choisi bien monté. Il m'a enculé devant Coraline, j'ai pris un pied de dingue …– Ah ouai !
– Et le lendemain on l'a viré !
Là c'était trop, je pouffais de rire. C'était des conneries c'est sûr, j'ai appris par la suite que non, c'était pas des conneries. Ces deux là avaient vraiment des jeux érotiques peu ordinaire.
Pour le moment c'est moi qui en profitait, j'avais droit au cul de mon voisin. Et il était beau son cul. Dans quelques jours, à peine quelques semaines Coraline allait revenir et …
Oui c'est vrai ça, Coraline allait revenir et ensuite …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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