Le nouveau voisin 04

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le nouveau voisin 04 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le nouveau voisin 04
Le nouveau voisin 04

Coraline était revenue dans la journée, c'est elle que je voyais en premier au moment ou je suis passé voir Dylan. Je me faisait une fête de me retrouver avec lui, de pouvoir lui faire des papouilles, des câlins et finalement de l'enculer.

Comme vous pouvez le constater je suis très romantique, je suis également plutôt passif mais à ce moment, pas le choix, j'étais actif, uniquement actif. Et puis c'est vrai que Dylan suce vraiment très bien. J'étais bien un peu frustré de ne pas pouvoir m'amuser avec sa queue, de me la prendre dans le cul mais bon, c'était bien quand même.

Coraline venait m'embrasser et me recevait chaleureusement. Elle ne cachait pas qu'elle était ravie de me revoir. Elle m'offrait un verre et nous commencions à discuter. C'est bien plus tard que Dylan arrivait, il m'embrassait également et se joignait à nous.

Un peu plus tard, c'est sans prévenir que Coraline se levait et avec un petit air vicieux, elle nous regardait l'un puis l'autre …
– Alors messieurs, lequel de vous deux va me faire un petit plaisir ?
– A toi l'honneur ! Me disais Dylan.

Coraline me saisissait par le col me tirait vers elle et m'embrassait avec passion. Elle se collait à moi, je sentais ses seins s'écraser sur ma poitrine, je sentais la chaleur de son corps. D'habitude les filles ne me font que très peu d'effet, mais ça devait être la présence de Dylan. Je bandais comme un fou, je sentais un érection qui venait, c'était étonnant mais c'était violent.

C'était Dylan, ça ne pouvait être que Dylan. Je le voyais là, juste à côté de nous, il était déjà torse nue et déjà ouvrait son pantalon. Coraline m'ouvrait ma chemise, elle ouvrait son corsage et je sentais alors sa peau contre ma peau, et je voyais Dylan qui baissait son pantalon, son dispositif de chasteté apparaissait et je bandais encore plus fort.

Sur sa lancée, Coraline ouvrait mon pantalon, elle ne semblait pas surprise de me voir avec telle érection, elle était plutôt satisfaite. Elle se penchait sur moi et prenait ma queue dans sa bouche. Dylan était presque entièrement nu à côté de moi, il me retirait ma veste, baissait mon pantalon et je me retrouvais rapidement nu sans que Coraline n'ait arrêté de me sucer.

Dylan s'asseyait à côté de nous, un peu en retrait et regardait. Il n'était pas indifférent à ce qu'il voyait le pauvre, je le voyais à ses yeux, il avalait sa salive et surtout, il y avait son petit dispositif qui se redressait. Ça faisait bien trois semaines qu'il n'avait pas joué avec sa queue et ça devait le travailler.

Coraline me suçait, c'est vrai qu'elle fait ça bien. Aussi bien que son mari finalement. J'étais surpris se voir qu'elle me faisait autant d'effet. J'avais comme un agréable vertige, très léger, à peine perceptible. Je me sentais bien.

Je la regardais faire, ma queue entrait et sortait de sa bouche, c'était doux, c'était chaud, c'était humide. Ma queue entrait de plus en plus profond, c'est le fond de sa gorge que je sentais, sa glotte peut être, c'était difficile à dire mais c'était doux, terriblement doux. Je ne sentais pas ses dents.

Je tournais le regard vers Dylan, il semblait à l'étroit. Je veux dire par là, plus que d'habitude. Depuis trois semaines que je l'enculais presque tous les jours, il avait l'air d'être à l'étroit, ce jour là plus que d'autres …
Ça m'amusait, je sais c'est un peu sadique, mais sa situation m'amusait. Il remuait un peu, il ajustait son dispositif en tirant sur sa peau dans un sens puis dans l'autre. Moi je bandais.

Je commençais à gémir de plaisir, c'est que la petite me donnait de plus en plus de plaisir, elle m'arrachait des gémissement, presque des cris de plaisir. Je lui prenais le visage entre mes mains, et avec une grande douceur j’accompagnais ses mouvements, j'évitais le plus possible de lui donner un coup de bite dans la gorge, je ne voulait la mettre mal à l'aise. J'avais moins de retenu avec son mari c'est vrai.

Avec Dylan je me laissais aller. J'appuyais sur sa tête, il faisait des bruits bizarres mais ça ne me retenait pas, au contraire même, et en plus ça m'amusait. Je savais que lui il pouvait encaisser. Mais sa femme était toute menue, toute fragile, toute … Ça m'attendrissait, et j'avais peur de lui faire mal.

Je sais pourquoi elle m'appréciait, son mari avec elle n'était pas aussi tendre que je ne l'étais. Je me souvenais l'avoir vu lui défoncer le cul ou la chate et, il y allait, elle gueulait, il y allait et quand il s'arrêtait elle en redemandait...

Elle n'était peut être pas la petite chose fragile qu'elle semblait !

Un coup de bassin m'échappait, elle encaissait sans broncher. Sentant que j'avais du mal à en retenir un autre, elle appuyait son visage contre mon ventre tout en me tirant vers elle avec force. Finalement je ne lâchais et lui balançais un violent coup de bite dans la gorge, elle encaissait et me retenais alors contre elle avec force.

C'était génial ! A propos à l'intention de ceux qui disent que les filles sucent moins bien que les mecs … J'ai trouvé une fille qui prouve que c'est pas toujours le cas ! Cool !

Malgré tout ce qui m'excitait le plus c'était la présence de Dylan. Je l'entendais, par moment il laissait échapper un petit bruit, il n'était pas à son aise et c'était comme une plainte à peine perceptible qui lui échappait. Il faut le comprendre aussi le pauvre. Il portait un dispositif de chasteté depuis trois mois et le jour de libération qu'il attendait ne venait pas, c'était une sorte de torture oui il devait attendre sans rien dire en regardant sa femme s'envoyer en l'air avec son voisin.

Surtout de depuis trois semaines c'est lui qui s'envoyait en l'air avec le voisin. A mon niveau tout allait bien, le voisin, c'était moi ! J'ai dit trois mois, je crois que j'anticipe, pour l'instant il n'en est qu'à trois semaines …
Coraline se relevait et en se relevant sortait de sa robe, elle la laissait glisser sur elle et la robe tombait. Coraline était nue devant moi, je bandais toujours. Je sentais ses seins s'écraser sur ma poitrine, je sentais ma queue qui se redressait entre ses cuisses, j'entendais Dylan glousser. Mais il ne bougeait toujours pas.

Coraline se renversait sur le canapé et m'entraînait avec elle, je me retrouvais allongé sur elle et en un mouvement rapide je la pénétrais. Je ne le faisais presque pas exprès mais je le faisais et elle me tirait contre elle. Elle aimait.

Elle refermait ses jambes dans mon dos et me retenait avec force. Je la limais, d'abord timidement puis avec un peu plus de conviction. Elle m'encourageait. J'entendais Dylan, mais cette fois ci il gloussait plus fort. Je le regardait, il avait les yeux fixé sur mes fesses, je supposais alors naïvement qu'il voulait m'enculer, mais il voulait peut être tout simplement prendre ma place.

Je me lâchais, j'accélérais les mouvements, Coraline gémissait de plaisir à son tour. Je l'embrassais avec force, je la serrais contre moi, je la caressais. Je vous jure, si je m'étais vu à cet instant je n'aurais jamais voulu croire que j'étais gay …
Il y a des jours comme ça ou tout va de travers, ou rien ne se passe comme prévu. Mais bon il faut faire avec !

Je la limais avec conviction, j'y mettais tout con cœur, on roulait l'un sur l'autre et j’atterrissais sur le tapis, Coraline atterrissait sur moi. Elle n'est pas bien lourde. C'est elle qui prenait les commande et contrôlait la situation. Elle me chevauchait et s'empalait sur moi, se relevait et se laissait retomber puis elle recommençait.

Elle était insatiable, je voyais ses seins se balancer de haut en bas. C'est elle qui s'amusait avec moi, c'est elle qui contrôlait, moi je n'étais plus que son sex-toy. Dylans ne couinait plus, il poussait un long soupir.

– Tu fais beaucoup de bruit mon amour, si tu continues comme ça tu vas garder le dispositif pendant encore quelque temps.
– Mais tu ne te rends pas compte amour. Lui répondait Dylan.
– On avait dit … Période de frustration … et on n'en avait pas déterminé la durée.

Elle continuait à s'agiter, à se relever et à se laisser retomber sur moi. Ma queue glissait avec vigueur dans le corps de Coraline et je sentais le plaisir monter en moi. Elle devait aussi sentir le plaisir monter si j'en croyais les gémissements qu'elle poussait.

Elle vibrait dans mes bras, elle tremblait et nous avons joui en même temps, nous étions parfaitement synchronisé, j'ai senti son corps trembler et se contracter au moment ou j'ai éjaculé en elle. Je l'ai senti se détendre puis retomber sur moi, j'ai entendu Dylan soupirer une dernière fois .

On ne bougeait plus, on reprenait notre souffle, peu après je débandais et ma queue ressortait puis retombait entre mes cuisses.

– Dis moi mon amour tu pourrais me servir un verre ? Demandais Coraline à son époux Dylan.

Vous ne trouvez pas qu'elle abuse ?

Dylan, bon bougre s'exécutait, il gloussait un peu mais savait se retenir. Quand il s'est approché, je tendais une main qui rencontrait ses couilles, il me laissait faire et je bandais de nouveau. Coraline s'installait sur le fauteuil.

– Voilà qui va devenir intéressant. Déclarait Coraline.

Dylan se penchait sur moi, j'étais toujours allongé sur le tapis. Il me couvrait le corps de baiser en commençant par les épaules puis en descendant le long de mon ventre. Quant il arrivait à ma bite, je bandais de nouveau bien ferme. J'avais une érection forte comme un peu plus tôt. Il me suçait alors, le plaisir devenait intense immédiatement. Techniquement il ne faisait pas ça mieux que sa femme, il l'avait bien entraîné, mais lui c'était un homme et ma tête faisait la différence, pas ma queue. Tout était dans ma tête.

Je lui prenait le visage entre les mains et là, par contre, je ne me retenais pas de lui balancer des coups de bite dans la gorge. Je le retenais et j'appuyais sur sa tête. Ma queue s'écrasait alors contre le fond de sa gorge. Il couinait encore mais c'était pas pareil, il ne faisait pas le même bruit. Là c'était un couinement de soulagement.

Enfin je dis soulagement, il ne faut pas exagérer non plus, le plaisir il le donnait. C'est vrai que c'est agréable de sucer une belle queue, personnellement j'adore mais c'est pas le même plaisir que quand on joui avec sa queue ou avec son cul. Là pour le moment, ce plaisir il ne le recevait pas encore. Mais moi je m'en moquais, il me donnait du plaisir et ça me suffisait.

– Charly, tu devrais enculer mon mari. Je pense que c'est ce qu'il attend. Déclarait Coraline.

Dylan s'allongeait sur le dos, sur le tapis. Je me glissais entre ses jambes et les relevais. Son cul devenait accessible, je le lubrifiais et sans attendre plus longtemps je le pénétrais. Là tout changeait. Si c'était agréable au moment ou j'ai pénétré Coraline, là c'était le pied. C'était mieux, c'était bien mieux. Là je sentais que j'allais prendre mon pied.

Vous savez le sexe, c'est dans la tête !

J'enfonçais bien ma queue à fond, je me penchais alors sur lui et l'embrassais. Quand je me relevais je me retirais et revenais avec force. Je commençais alors à le limer bien comme il faut sans tenir compte de ses cris de plaisir. Je me concentrais sur mon plaisir et sur mon plaisir seulement.

Il râlait, il gémissait, il se contractait. Je sentais tous les muscles de son ventre réagir et ma queue dans ses entrailles était massée avec douceur et avec force.

Ma queue entrait, sortait, entrait de nouveau et mon ventre s'écrasait sur ses fesses. J'y mettais toute mes forces, je ne me retenais pas, je savais qu'il pouvait encaisser, je n'avais pas peur de le casser lui. Je savais qu'il pouvait encaisser et il encaissait.

J'accélérais le mouvement sans en réduire l'amplitude. Ma queue entrait à fond, sortait totalement et revenait avec force, il gémissait, il couinait et je recommençais.

J'ai senti le plaisir monter dans mon corps, puis dans ma queue. J'ai senti mon plaisir venir et je l'ai laissé venir, je l'ai laissé exploser et il à hurlé fort quand je me suis laissé aller dans son cul dans un coup de bassin particulièrement violent.

J'ai pris mon pied trois fois et trois fois je balancé un coup de bassin particulièrement violent. Au dernier coup qu'il recevait il hurlait, c'était du plaisir, il hurlait puis il gémissait puis il jutais. Il me regardait il avait un regard de fou mais un sourire béat.

Je m'effondrait sur lui, on ne bougeait plus puis on récupérait. Quand je me relevais, Coraline me regardait avec un petit sourire vicieux, c'est normal elle est un peu vicieuse …
– Dis moi Charly j'aimerais bien te proposer de te joindre à notre couple, je veux dire d'une manière officielle …
Elle me faisait alors tout un discours, j'ai rien compris … Puis elle me tendait un dispositif de chasteté, un truc très beau, il était blanc, c'était un modèle similaire à celui que portait son mari.

– Alors ? Demandait Coraline. Le petit aphrodisiaque que j'avais mis dans ton verre ne devrais plus faire d'effet, sinon on remet ça …
Dylan ne parvenait pas à cacher son envie de rigoler.

– Tu devais t'étonner qu'une fille te fasse autant d'effet ? Me disait-il avec un air très amusé. Puis il rajoutait . '' Vas y dis oui ! ''
Il me faisait oui de la tête, elle me faisait un sourire plein de dents éblouissantes. Je retenais un fou-rire.

Je ne bandais plus, je me sentais bien et très détendu, je m'étais bien vidé les couilles. J'ai cédé.

Ils me regardaient, il me fixaient du regard quand j'ai passé les couilles dans l'anneau, ils souriaient quand j'ai glissé ma queue dans cage, il y avait de la jubilation dans leurs regards quand j'ai verrouillé le dispositif. Puis j'ai tendu la clé à Dylan.

– C'est pas moi qui la garde ! Me disait-il.

Je la tendais alors à Coraline, elle me donnait un baiser passionné puis la faisait disparaître.

J'étais comme en état second, je n'avais pas peur, je n'éprouvais aucune excitation. Je regardais Dylan et me disait que maintenant on était à égalité.

– On t'a beaucoup entendu Dylan, je vais donc prolonger son séjour sous clé. Tu viens de passer trois semaines, disons, le double. Je prolonge du double …
Dylan faisait des yeux tout ronds de surprise. Il ne s'y attendait pas à ça mais il faisait bonne figure. Elle prolongeait de six semaines, pour lui ce serait un record.

– Et pour toi Charly, on verra, tu seras libéré après Dylan.

A suivre

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Texte coquin : Le nouveau voisin 04
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