Le nouveau voisin 08
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le nouveau voisin 08
Le nouveau voisin 08
Après cette soirée très reposante, quoi que, non c'est pas le mot exact … Après cette soirée qui nous avait bien détendus … Voilà c'est mieux. On reprenait notre quotidien...
A deux reprises Coraline m'a invité pour souper. Elle cuisine divinement bien, je n'allais pas refuser même si je me doutais bien que ça risquait de dégénérer.
Et ça a dégénéré !
Avec Dylan je me suis retrouvé à poil, à tenir la chandelles pour Eddy et Coraline. Et quand je dis tenir la chandelle, ce n'est pas une simple manière de parler. Eddy trouvait très amusant de nous faire tenir un chandelier pour qu'il puisse faire l'amour à sa princesse dans une ambiance plus romantique, comme il disait.
Coraline s'amusait comme une petite folle, autant avec Eddy qu'avec nous. Enfin quand je dis avec nous, elle s'amusait surtout de nous voir ainsi.
Quelques semaines passaient encore et Eddy était toujours là. Tout se passait bien en fait entre nous. J'avais seulement envie de l'étrangler à chaque fois que je le voyais. Normal quoi.
Jusqu'au jour ou, oui un jour particulier ou il me surprenait. Dylan était toujours sous clé, moi aussi mais Coraline était sortie avec Dylan qui l'avait invitée au restaurant. Vous savez ces deux là sont très complices et je me doutais que cette sortie annonçait un changement de situation prochain … Surtout que la période de chasteté imposée à Dylan allait bientôt prendre fin.
J'étais chez moi, je venais de terminer mon repas et je regardais le début du film à la télé. On frappait à la porte. J'allais ouvrir. C'était Eddy !
– Salut p'tit frappe, tu me laisses entrer. Déclarait-il en entrant sans attendre d'y être invité !
J'étais un peu surpris mais comme j'étais en pleine digestion, je ne lui sautait pas à la gorge. Bon je déconne, quand je dis ' envie de l'étrangler ', j'exagère, je ne suis pas comme ça. Je l'aurais seulement jeté à coup de bottes dans le cul, ça m'aurait suffit et en plus ça soulage tout autant. En attendant il était dans mes murs .
–Tu me sers un verre, je prendrais bien une petite bière. Tu sais Cora et Dyl sont sortis. Je pense qu'il y a de la rupture dans l'air …
Il s'était installé sur le fauteuil quand j'arrivais avec deux bières.
– Tu crois qu'ils vont rompre. Demandais-je.
– ELLE va rompre !
– Elle te l'a dit ?
– Non mais je suis psychologue, et les femmes n'ont aucun secret pour moi. Elle est folle de moi, je la fait gueuler de plaisir, tu as pu le constater.
– Tu sais Coraline est un peu particulière.
– T'inquiète pas, je contrôle. En attendant si tu me suçais la queue, ce serait une bien meilleure soirée. Tu ne crois pas ?
Décidément il ne doute de rien, il s'imaginait que j'allais lui sucer la queue, comme ça, juste parce qu'il en avait envie. Mais il me prends pour quoi. J'arrivais pas à croire ce que j'entendais. Non mais franchement il me prend pour quoi ? Il écartait les jambes bien à l'aise, allongé autant qu'il le pouvait.
J'étais debout devant lui, il ouvrait sa braguette, j'étais là debout, mes pieds juste entres les siens.
Il ouvrait sa ceinture, ouvrait bien bien large son pantalon, je me rapprochais imperceptiblement, en tout cas moi je ne m'en rendais pas compte.
Il baissait son pantalon, sa grosse queue ressortait et se redressait. Il était super bien gaulé le mec, et moi … J'étais à genoux devant lui et déjà ma langue caressait son gland avec une grande douceur …
Je crois qu'à ce moment j'avais loupé un épisode !
J'étais là entre ses cuisses, je lui suçais goulûment la queue. Il faut dire que j'y avais déjà pensé, et plus d'une foi. Il est peut être un peu con mais il est bien foutu et bien monté. J'étais résigné, je n'y croyais plus, comme quoi. Bon d'accord je sais que je ne faisais que remplir un trou, Coraline n'était pas à la maison ce soir là, sinon je n'aurais eu aucune chance …
Oh et puis finalement je m'en moquais, je prenais son gland dans ma bouche et ça me plaisait. C'est à ce moment qu'il appuyait avec force sur l'arrière de ma tête, je n'ai pas eu le temps de réagir, sa queue s'écrasait violemment au fond de ma gorge, j'ai même pas réussi à faire des bruits bizarres. J'étais comme cloué, surtout qu'il est costaud le bonhomme et je n'étais pas en position de résister.
Il me laissait relever la tête pour reprendre mon souffle, et appuyait aussitôt avec les deux mains, là je manquais d'air. Il m'a relâché quelques instants plus tard mais au moment ou je relevais la tête il recommençait. Et en plus il rigolait le con.
Là je paniquais, je lui tapais dessus avec mes poings, déjà je voyais des étoiles et des petits points lumineux un peu partout … Rapidement il me relâchait mais cette fois ci il le faisait vraiment, je relevais la tête et prenais de grandes inspirations.
– Mais pourquoi tu me tapes dessus. C'est pas drôle !
– Harff, harff, harff, afff, afff …– Je ne sais pas ce que tu dis mais je ne te trouve pas drôle du tout.
– Mais , affffeu, affffeu, affffeu , tu veux me tuer ou quoi ? Affeu !
– J'ai compris, tu ne pouvais pas respirer, je me disais bien aussi que j'avais oublié un tout petit détail ! Rajoutait-il avant d'éclater de rire.
Je m'étais éloigné, mon cœur battait fort, je me sentais au bord de l'évanouissement, et je toussais encore. Il se marrait mais je vous jure, moi je ne rigolais pas.
– Bah si on peut plus rigoler maintenant !
Je le regardais et je me demandais s'il était réellement irresponsable ou s'il faisait semblant. Il sirotait sa bière. Sans prévenir il baissait son pantalon sur ses chevilles, sur sa lancée il retirait sa chemise et repoussait son pantalon un peu plus loin. Et en plus il se masturbait lentement en me regardant, sa bière dans une main et sa queue dans l'autre.
– Je sens qu'il va faire soif, ma bouteille est presque vide !
Je terminais ma bière et me dirigeais ver le réfrigérateur, je prenais bien le temps de le regarder, c'est vrai qu'il était bien foutu. Je revenais avec deux bières.
– Tu devrais te mettre à poil, tu te sentirait bien mieux.
Là encore je me disais que ça risquait de dégénérer, et je savais par expérience qu'avec ce loustic mon instinct ne me trompait jamais …
Je revenais avec mes bières dans les mains et plus rien sur le dos, je n'avais gardé que le petit dispositif que Coraline m'avait installé. Certains jours ça me faisait un peu rager, et justement c'était un de ces jours là.
Je bandais comme un malade dans ma cage, ma queue protestait, elle se relevait et ma cage suivait. La cage se balançait de haut en bas en suivant les battements de mon cœur. Eddy rigolait en me voyant arriver, il se masturbait doucement, il ne cherchait pas à jouir, en tout cas pas à ce moment. Il se caressait juste la queue avec douceur.
Je l'avais sucé, je le voyais se masturber, j'avais la queue dans une cage et vous devez supposer que je me sentais calmé, soulagé … Et bien non !
J'avais envie de lui sauté dessus, de le sucer, de le caresser et de le couvrir de baiser … Je lui ai tendu sa bière …
C'est seulement après que je lui ai sauté dessus. De nouveau j'ai pris sa queue dans ma bouche, frénétiquement je l'avalais le plus profond possible. Son gland s'écrasait dans ma gorge. J'appuyais mon visage contre lui, je le relevais, avec ma langue je prenais bien le temps de lui caresser le gland.
Lui il sirotait sa bière, il me regardait faire mais n'intervenait pas.
– Si tu me refait le même coup Eddy on arrête tout !
– Ok, ok, je ne fais rien,plus rien …
Il a respecté sa parole, il ne me touchait pas la tête, il n'appuyait pas dessus, il bougeait un peu, je ne sais pas ce qu'il faisait mais je ne m'en occupait pas. Sa queue rentrait et ressortait de ma bouche, ma langue s'attardait longuement sur son gland, surtout sur son gland. Mes lèvres suivaient, je le couvrais de baisers sur le ventre, je lui tripotais les couille et le masturbais avec douceur.
Au bout d'un long moment je me relevais, je faisais une pause et j'en profitais pour goûter à ma bière, elle était vide, l'autre abruti avait terminé la sienne et avait continué avec la mienne.
– Bon je reprends les chose en mains ! Tu te lèves, tu te retourne et tu te penche en avant … Devine ce que je veux faire …
Quel abruti, devine, il me dit devine. Non mais franchement s'il s'imagine que je vais faire ce qu'il me dit comme ça juste parce qu'il me le dit … J'étais perdu dans mes pensées et je me retrouvais donc en position, appuyé sur le fauteuil, les jambes bien écartées et mon cul bien offert à ses caprices.
Je crois que là j'avais encore loupé un épisode.
Je le sentais me lubrifier le cul généreusement. Je vous rassure là, j'avais parfaitement compris ou il voulait en venir. Il prenait position je sentais une pression forte contre mon anus.
– Tu ne résistes pas surtout ça ne servirait à rien.
J'allais répondre quand il a poussé avec une extrême force, il s'est enfoncé en moi, son ventre s'est écrasé contre mes fesses et sa queue … Je ne sais même pas ou elle s'est arrêtée mais je vous jure que je l'ai senti passer. J'ai hurlé, il m'a dit que je faisais trop de brui.
Il est comme ça l'animal ! Je l'ai senti, il s'installait, il prenait position puis se retirait avant de revenir à la charge. De nouveau j'ai hurlé. C'était bon, mais c'était violent, ça me faisait bien un peu mal mais je n'avais pas envie de lui dire d'arrêter ou de se calmer. Et puis de toutes façons je suis sûr qu'il ne m'aurait pas écouté.
Il me tirait vers lui avec force et en même temps me balançait des coups de bassin sur les fesses et des coups de queue dans le cul. Bien profond dans le cul. Je vous rassure je ne suis pas une petite nature, j'en ai vu d'autres. Au début ça fait bien un peu mal, mais rapidement c'est le plaisir qui prend le dessus. Et quand j'ai commencé à ressentir du plaisir c'est devenu aussi intense que la force qu'il y mettait.
J'ai hurlé, j'ai râlé, j'en ai redemandé.
Là il a tout arrêté l'animal.
– Ça te plais on dirait ?
– Oui vas y défonce moi le cul !
– Attention je vais le faire.
– Des promesses, toujours des promesses, défonce moi le cul je te dis ; p'tite bite.
En entendant ça il a pouffé de rire, et s'est mis à me limer le cul dans les règles, c'est à dire bien à fond. Il se retirait complètement et revenait à la charge. Il donnait un dernier coup de bassin contre mes fesses quand il arrivait à fond puis se retirait de nouveau.
Je râlait de plaisir, il ne se fatiguait pas le bestiau. Je le savais en plus, il a de l'endurance, je le savais et c'est seulement au bout d'un moment, d'un long moment que j'en prenais vraiment conscience. Je commençais à trembler, je râlais toujours mais là je n'osais plus l'encourager.
Je ne le traitait plus de p'tit bite, ça ne faisait que l'énerver et quand il s'énerve ça devient vraiment fort, vraiment violent. Bon il ne se calmait pas tout de suite pour autant.
Par moment il semblait se calmer, mais je sentais qu'il n'avait pas l'intention de s'attarder sur moi, et je sentais qu'il se calmait. Sauf qu'en fait il ne se calmais pas, il se retenait et c'est seulement quand il à décidé de se laisser aller qu'il reprenait avec une grande, une très grande violence. Mais là ça ne durait pas, là c'était pour conclure.
Il a hurlé, un instant je me demandais ce qu'en penserait le voisin avant de réagir que le voisin, bein c'était un peu lui.
Il a juté avec force si j'en crois les derniers coups de queue que je me suis pris dans le cul. Il me tirait ensuite contre lui, il maintenait sa queue bien à fond dans mon cul. Je le sentais il tremblait puis il m'a lâché. C'est quand il est ressortie que j'ai éjaculé, j'ai joui en même temps. Ce n'était pas le même plaisir que celui que je ressentais depuis un moment, c'était inattendu. Je jutais longuement, lentement, et en même temps je jouissait.
C'était cool.
Il a fallu que je retourne chercher deux autres bières. À mon retour il était vautré sur le fauteuil, je m'étais bien essuyé et je lui apportait une serviette. Il s'essuyait.
– Tu sais, tu as un beau p'tit cul et ça faisait un moment que je me demandais quand j'allais te le péter. Tu as bien aimé en plus ! Je savais que tu aimais ça mais je ne me savais pas que tu aimerais ça à ce point.
Il continuait ses commentaires pendant un moment. Moi je préférais rester debout pour boire ma bière.
J'avais mal au cul !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Après cette soirée très reposante, quoi que, non c'est pas le mot exact … Après cette soirée qui nous avait bien détendus … Voilà c'est mieux. On reprenait notre quotidien...
A deux reprises Coraline m'a invité pour souper. Elle cuisine divinement bien, je n'allais pas refuser même si je me doutais bien que ça risquait de dégénérer.
Et ça a dégénéré !
Avec Dylan je me suis retrouvé à poil, à tenir la chandelles pour Eddy et Coraline. Et quand je dis tenir la chandelle, ce n'est pas une simple manière de parler. Eddy trouvait très amusant de nous faire tenir un chandelier pour qu'il puisse faire l'amour à sa princesse dans une ambiance plus romantique, comme il disait.
Coraline s'amusait comme une petite folle, autant avec Eddy qu'avec nous. Enfin quand je dis avec nous, elle s'amusait surtout de nous voir ainsi.
Quelques semaines passaient encore et Eddy était toujours là. Tout se passait bien en fait entre nous. J'avais seulement envie de l'étrangler à chaque fois que je le voyais. Normal quoi.
Jusqu'au jour ou, oui un jour particulier ou il me surprenait. Dylan était toujours sous clé, moi aussi mais Coraline était sortie avec Dylan qui l'avait invitée au restaurant. Vous savez ces deux là sont très complices et je me doutais que cette sortie annonçait un changement de situation prochain … Surtout que la période de chasteté imposée à Dylan allait bientôt prendre fin.
J'étais chez moi, je venais de terminer mon repas et je regardais le début du film à la télé. On frappait à la porte. J'allais ouvrir. C'était Eddy !
– Salut p'tit frappe, tu me laisses entrer. Déclarait-il en entrant sans attendre d'y être invité !
J'étais un peu surpris mais comme j'étais en pleine digestion, je ne lui sautait pas à la gorge. Bon je déconne, quand je dis ' envie de l'étrangler ', j'exagère, je ne suis pas comme ça. Je l'aurais seulement jeté à coup de bottes dans le cul, ça m'aurait suffit et en plus ça soulage tout autant. En attendant il était dans mes murs .
–Tu me sers un verre, je prendrais bien une petite bière. Tu sais Cora et Dyl sont sortis. Je pense qu'il y a de la rupture dans l'air …
Il s'était installé sur le fauteuil quand j'arrivais avec deux bières.
– Tu crois qu'ils vont rompre. Demandais-je.
– ELLE va rompre !
– Elle te l'a dit ?
– Non mais je suis psychologue, et les femmes n'ont aucun secret pour moi. Elle est folle de moi, je la fait gueuler de plaisir, tu as pu le constater.
– Tu sais Coraline est un peu particulière.
– T'inquiète pas, je contrôle. En attendant si tu me suçais la queue, ce serait une bien meilleure soirée. Tu ne crois pas ?
Décidément il ne doute de rien, il s'imaginait que j'allais lui sucer la queue, comme ça, juste parce qu'il en avait envie. Mais il me prends pour quoi. J'arrivais pas à croire ce que j'entendais. Non mais franchement il me prend pour quoi ? Il écartait les jambes bien à l'aise, allongé autant qu'il le pouvait.
J'étais debout devant lui, il ouvrait sa braguette, j'étais là debout, mes pieds juste entres les siens.
Il ouvrait sa ceinture, ouvrait bien bien large son pantalon, je me rapprochais imperceptiblement, en tout cas moi je ne m'en rendais pas compte.
Il baissait son pantalon, sa grosse queue ressortait et se redressait. Il était super bien gaulé le mec, et moi … J'étais à genoux devant lui et déjà ma langue caressait son gland avec une grande douceur …
Je crois qu'à ce moment j'avais loupé un épisode !
J'étais là entre ses cuisses, je lui suçais goulûment la queue. Il faut dire que j'y avais déjà pensé, et plus d'une foi. Il est peut être un peu con mais il est bien foutu et bien monté. J'étais résigné, je n'y croyais plus, comme quoi. Bon d'accord je sais que je ne faisais que remplir un trou, Coraline n'était pas à la maison ce soir là, sinon je n'aurais eu aucune chance …
Oh et puis finalement je m'en moquais, je prenais son gland dans ma bouche et ça me plaisait. C'est à ce moment qu'il appuyait avec force sur l'arrière de ma tête, je n'ai pas eu le temps de réagir, sa queue s'écrasait violemment au fond de ma gorge, j'ai même pas réussi à faire des bruits bizarres. J'étais comme cloué, surtout qu'il est costaud le bonhomme et je n'étais pas en position de résister.
Il me laissait relever la tête pour reprendre mon souffle, et appuyait aussitôt avec les deux mains, là je manquais d'air. Il m'a relâché quelques instants plus tard mais au moment ou je relevais la tête il recommençait. Et en plus il rigolait le con.
Là je paniquais, je lui tapais dessus avec mes poings, déjà je voyais des étoiles et des petits points lumineux un peu partout … Rapidement il me relâchait mais cette fois ci il le faisait vraiment, je relevais la tête et prenais de grandes inspirations.
– Mais pourquoi tu me tapes dessus. C'est pas drôle !
– Harff, harff, harff, afff, afff …– Je ne sais pas ce que tu dis mais je ne te trouve pas drôle du tout.
– Mais , affffeu, affffeu, affffeu , tu veux me tuer ou quoi ? Affeu !
– J'ai compris, tu ne pouvais pas respirer, je me disais bien aussi que j'avais oublié un tout petit détail ! Rajoutait-il avant d'éclater de rire.
Je m'étais éloigné, mon cœur battait fort, je me sentais au bord de l'évanouissement, et je toussais encore. Il se marrait mais je vous jure, moi je ne rigolais pas.
– Bah si on peut plus rigoler maintenant !
Je le regardais et je me demandais s'il était réellement irresponsable ou s'il faisait semblant. Il sirotait sa bière. Sans prévenir il baissait son pantalon sur ses chevilles, sur sa lancée il retirait sa chemise et repoussait son pantalon un peu plus loin. Et en plus il se masturbait lentement en me regardant, sa bière dans une main et sa queue dans l'autre.
– Je sens qu'il va faire soif, ma bouteille est presque vide !
Je terminais ma bière et me dirigeais ver le réfrigérateur, je prenais bien le temps de le regarder, c'est vrai qu'il était bien foutu. Je revenais avec deux bières.
– Tu devrais te mettre à poil, tu te sentirait bien mieux.
Là encore je me disais que ça risquait de dégénérer, et je savais par expérience qu'avec ce loustic mon instinct ne me trompait jamais …
Je revenais avec mes bières dans les mains et plus rien sur le dos, je n'avais gardé que le petit dispositif que Coraline m'avait installé. Certains jours ça me faisait un peu rager, et justement c'était un de ces jours là.
Je bandais comme un malade dans ma cage, ma queue protestait, elle se relevait et ma cage suivait. La cage se balançait de haut en bas en suivant les battements de mon cœur. Eddy rigolait en me voyant arriver, il se masturbait doucement, il ne cherchait pas à jouir, en tout cas pas à ce moment. Il se caressait juste la queue avec douceur.
Je l'avais sucé, je le voyais se masturber, j'avais la queue dans une cage et vous devez supposer que je me sentais calmé, soulagé … Et bien non !
J'avais envie de lui sauté dessus, de le sucer, de le caresser et de le couvrir de baiser … Je lui ai tendu sa bière …
C'est seulement après que je lui ai sauté dessus. De nouveau j'ai pris sa queue dans ma bouche, frénétiquement je l'avalais le plus profond possible. Son gland s'écrasait dans ma gorge. J'appuyais mon visage contre lui, je le relevais, avec ma langue je prenais bien le temps de lui caresser le gland.
Lui il sirotait sa bière, il me regardait faire mais n'intervenait pas.
– Si tu me refait le même coup Eddy on arrête tout !
– Ok, ok, je ne fais rien,plus rien …
Il a respecté sa parole, il ne me touchait pas la tête, il n'appuyait pas dessus, il bougeait un peu, je ne sais pas ce qu'il faisait mais je ne m'en occupait pas. Sa queue rentrait et ressortait de ma bouche, ma langue s'attardait longuement sur son gland, surtout sur son gland. Mes lèvres suivaient, je le couvrais de baisers sur le ventre, je lui tripotais les couille et le masturbais avec douceur.
Au bout d'un long moment je me relevais, je faisais une pause et j'en profitais pour goûter à ma bière, elle était vide, l'autre abruti avait terminé la sienne et avait continué avec la mienne.
– Bon je reprends les chose en mains ! Tu te lèves, tu te retourne et tu te penche en avant … Devine ce que je veux faire …
Quel abruti, devine, il me dit devine. Non mais franchement s'il s'imagine que je vais faire ce qu'il me dit comme ça juste parce qu'il me le dit … J'étais perdu dans mes pensées et je me retrouvais donc en position, appuyé sur le fauteuil, les jambes bien écartées et mon cul bien offert à ses caprices.
Je crois que là j'avais encore loupé un épisode.
Je le sentais me lubrifier le cul généreusement. Je vous rassure là, j'avais parfaitement compris ou il voulait en venir. Il prenait position je sentais une pression forte contre mon anus.
– Tu ne résistes pas surtout ça ne servirait à rien.
J'allais répondre quand il a poussé avec une extrême force, il s'est enfoncé en moi, son ventre s'est écrasé contre mes fesses et sa queue … Je ne sais même pas ou elle s'est arrêtée mais je vous jure que je l'ai senti passer. J'ai hurlé, il m'a dit que je faisais trop de brui.
Il est comme ça l'animal ! Je l'ai senti, il s'installait, il prenait position puis se retirait avant de revenir à la charge. De nouveau j'ai hurlé. C'était bon, mais c'était violent, ça me faisait bien un peu mal mais je n'avais pas envie de lui dire d'arrêter ou de se calmer. Et puis de toutes façons je suis sûr qu'il ne m'aurait pas écouté.
Il me tirait vers lui avec force et en même temps me balançait des coups de bassin sur les fesses et des coups de queue dans le cul. Bien profond dans le cul. Je vous rassure je ne suis pas une petite nature, j'en ai vu d'autres. Au début ça fait bien un peu mal, mais rapidement c'est le plaisir qui prend le dessus. Et quand j'ai commencé à ressentir du plaisir c'est devenu aussi intense que la force qu'il y mettait.
J'ai hurlé, j'ai râlé, j'en ai redemandé.
Là il a tout arrêté l'animal.
– Ça te plais on dirait ?
– Oui vas y défonce moi le cul !
– Attention je vais le faire.
– Des promesses, toujours des promesses, défonce moi le cul je te dis ; p'tite bite.
En entendant ça il a pouffé de rire, et s'est mis à me limer le cul dans les règles, c'est à dire bien à fond. Il se retirait complètement et revenait à la charge. Il donnait un dernier coup de bassin contre mes fesses quand il arrivait à fond puis se retirait de nouveau.
Je râlait de plaisir, il ne se fatiguait pas le bestiau. Je le savais en plus, il a de l'endurance, je le savais et c'est seulement au bout d'un moment, d'un long moment que j'en prenais vraiment conscience. Je commençais à trembler, je râlais toujours mais là je n'osais plus l'encourager.
Je ne le traitait plus de p'tit bite, ça ne faisait que l'énerver et quand il s'énerve ça devient vraiment fort, vraiment violent. Bon il ne se calmait pas tout de suite pour autant.
Par moment il semblait se calmer, mais je sentais qu'il n'avait pas l'intention de s'attarder sur moi, et je sentais qu'il se calmait. Sauf qu'en fait il ne se calmais pas, il se retenait et c'est seulement quand il à décidé de se laisser aller qu'il reprenait avec une grande, une très grande violence. Mais là ça ne durait pas, là c'était pour conclure.
Il a hurlé, un instant je me demandais ce qu'en penserait le voisin avant de réagir que le voisin, bein c'était un peu lui.
Il a juté avec force si j'en crois les derniers coups de queue que je me suis pris dans le cul. Il me tirait ensuite contre lui, il maintenait sa queue bien à fond dans mon cul. Je le sentais il tremblait puis il m'a lâché. C'est quand il est ressortie que j'ai éjaculé, j'ai joui en même temps. Ce n'était pas le même plaisir que celui que je ressentais depuis un moment, c'était inattendu. Je jutais longuement, lentement, et en même temps je jouissait.
C'était cool.
Il a fallu que je retourne chercher deux autres bières. À mon retour il était vautré sur le fauteuil, je m'étais bien essuyé et je lui apportait une serviette. Il s'essuyait.
– Tu sais, tu as un beau p'tit cul et ça faisait un moment que je me demandais quand j'allais te le péter. Tu as bien aimé en plus ! Je savais que tu aimais ça mais je ne me savais pas que tu aimerais ça à ce point.
Il continuait ses commentaires pendant un moment. Moi je préférais rester debout pour boire ma bière.
J'avais mal au cul !
A suivre
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